Les 44 écoles supérieures d’art et design publiques du ministère de la Culture

Avignon

École Supérieure d’art d’Avignon

présentation

L’École supérieure d’art d’Avignon fait partie des écoles d’art et de design publiques sous la tutelle du ministère de la Culture. Elle est soutenue financièrement et administrativement par la Ville d’Avignon, pour une large part, et par l’État à travers de la DRAC. L’établissement s’inscrit sur un territoire à la fois proche et plus élargi, en nouant des liens de partenariats avec des institutions aussi bien au plan local que national et international.

Établissement d’enseignement supérieur, l’ESAA forme ses étudiant·e·s en vue de l’obtention de diplômes nationaux : le Diplôme National d’Art (DNA) et le Diplôme National d’Expression Plastique (DNSEP), valant, respectivement, grades universitaires de Licence et de Master. L’École supérieure d’art d’Avignon dispose de deux mentions : la Conservation-Restauration des Biens Culturels et la Création.

 

Conservation-Restauration des Biens Culturels
La mention Conservation-Restauration des Biens Culturels forme à la conservation et à la restauration d’objets composites et s’attache en particulier, mais sans exclusive, aux œuvres d’art contemporaines ainsi qu’aux objets ethnographiques. Elle vise à faire état des problèmes que posent les biens culturels afin d’envisager des solutions de traitement ajustées aux contraintes, à la fois patrimoniales ou muséales, et déontologique propres à la conservation-restauration. L’étude de la vie immatérielle des objets, de leurs usages et de leurs fonctions, occupent une place importante dans le travail de recherche demandé aux étudiant·e·s, enrichissant ainsi l’approche matérielle.

Création
La mention Création est généraliste. Elle est fondée sur le dialogue et la confrontation avec des pratiques, des situations sensibles, des questionnements et des savoirs très différenciés. Elle doit permettre à chaque étudiant·e de mettre en place un dispositif de travail plastique et critique. Ce dispositif repose sur la capacité de chacun·e à définir des points de vue, des hypothèses formelles, à témoigner d’un rapport au monde en mouvement constant. Il s’agit donc de former à la curiosité, à l’acuité et à la précision et l’expression plastique. La formation conduit les étudiants à maîtriser les étapes de la conduite de projet (conception, expérimentation, réalisation, évaluation réception) ainsi qu’avoir la capacité de répondre à des appels à projets ou des commandes publiques.

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options

Art

diplômes

DNA option Art mention création 
DNA  option Art mention conservation restauration
DNSEP option Art mention création 
DNSEP  option Art mention conservation restauration

post-diplôme

Les post-diplômes sont des dispositifs resserrés sur une courte durée. Ils consistent en une année de formation complémentaire de professionnalisation, ou ils s’apparentent à des résidences de création associées à des bourses, et non plus à de l’enseignement au sein du cursus. À dimensions variables, les post-diplômes permettent à des professionnels déjà engagés dans leur carrière de poursuivre une spécialisation ou de réaliser un projet en s’appuyant sur les ressources de l’école et sur son réseau artistique et culturel (logistique de production, possibilité d’exposition dans des conditions professionnelles…)

Le post-diplôme à l’ESAA s’adresse aux titulaires d’un DNSEP ou d’un master (ou diplôme international équivalent master) d’une formation artistique ou en Conservation-Restauration des Biens Culturels. La sélection se fait sur dossier sur la base de la maturité du projet et son adéquation avec les orientations pédagogiques et de recherche de l’ESAA.

 

Offre de l’année post-diplôme en Conservation-Restauration des Biens Culturels

  • Entretiens personnalisés dans le cadre des recherches de stages et d’emploi.
  • Mise à disposition des infrastructures de l’ESAA (ateliers de conservation-restauration, matériauthèque, laboratoire, bibliothèque).
  • Formation complémentaire (participation aux semaines de workshops et aux conférences institutionnelles).
  • Initiation à l’enseignement (assister des enseignant·e·s dans l’encadrement des ateliers de conservation-restauration).
  • Initiation à la gestion et à l’organisation des ateliers de conservation-restauration (l’étudiant·e sera rémunéré·e dans le cadre des activités d’accompagnement à l’encadrement des étudiant·e·s et de gestion des ateliers).
  • Accompagnement à la recherche (participation aux ateliers de recherche et de création et aux séminaires de recherche, accompagnement à l’édition d’un article scientifiques et suivis individuels mensuels).

 

Offre de l’année post-diplôme en Création

  • Accompagnement à la professionnalisation par des dispositifs qui abordent l’ensemble
    de l’activité artistique dans tous ses aspects : présenter et exprimer le propos artistique, les méthodologies du processus de création, le développement du réseau professionnel, la maîtrise des outils et stratégies de communication.
  • Entretiens personnalisés et aide méthodologique dans le cadre des recherches d’emploi, de résidences artistiques et de réponses aux appels à projets.
  • Mise à disposition des infrastructures de l’ESAA (ateliers, machines, outils, bibliothèque).
  • Formation complémentaire (participation aux semaines de workshops et aux conférences institutionnelles).
  • Accompagnement à la recherche (participation aux ateliers de recherche et de création, aux séminaires de recherche et par des suivis individuels mensuels).

vae

L’ESAA ne propose pas de VAE.

programmes de recherche

Affordances

Coordination : Cyril Jarton

Notre démarche est librement inspirée par la théorie de la perception du psychologue James J. Gibson (The Ecological Approach to Visual Perception, 1979). Par le néologisme « affordance », il désigne la faculté des humains, et de l’animal en général, à guider ses comportements en percevant ce que l’environnement lui offre en termes de potentialités d’actions. La même souche d’arbre peut servir de siège à un humain, nourrir des champignons, abriter des insectes. L’espace gagne en complexité quand il ouvre à une grande variété de rencontres et d’actions ou s’appauvrit lorsqu’ il réduit l’expérience à des objectifs trop spécifiques : ainsi la polyculture est préférable à la monoculture, une friche abritant de nombreuses espèces, à un jardin d’agrément. Pour la création et la restauration environnementales, ceci implique une critique des aménagements « brutalistes » qui imposent mondialement le productivisme en écrasant la diversité. (Achille Mbembe, Brutalisme, 2023). À partir d’une expérience de terrain, il s’agit au contraire de faire émerger des possibilités sous-jacentes ou encore non existantes. Sur le site de l’ESAA, les pelouses affranchies de leur fonction ornementale ont pu accueillir différentes essences et insectes pollinisateurs, transformer l’aspect policé du site en une zone plus « sauvage », permettre l’implantation d’un potager et d’une réserve d’eau. Ces affordances ont constitué le point de départ de plusieurs créations avec les étudiant·es : Hors sol d’Elvia Teotski (installation détournant les fonctionnements de l’agriculture industrielle), Table à offrandes de Liu Ke (destinée aux arbres et aux insectes), Le village interspéciste de Laurent Tixador (mettant en relation humains et oiseaux).
En conservation-restauration, cette recherche inaugure de nouvelles problématiques : nous n’avons plus à faire à des objets mais à des espaces vivants, dégradés par la pollution, les conditions sociales, l’urbanisation. Dans la périphérie avignonnaise, la restauration du chemin de Baigne-Pieds, envahi par une décharge sauvage, a engagé des opérations de nettoyages collectifs, des rencontres avec les habitant·es. La fermeture du site à la circulation automobile a permis d’éloigner les pollueurs, favorisant la résilience du paysage forestier, le respect des modes la vie (communauté de Voyageurs implantée depuis une trentaine d’année), la possibilité d’un chemin plutôt qu’un axe routier. À la mine de charbon de Wumuchong (Chine), fermée en 2017, nous sommes engagés dans un projet de restauration et de requalification du site : tout en préservant la mémoire ouvrière présente dans les vestiges, il s’agit aussi d’insuffler une nouvelle vie en découvrant sur place d’autres affordances tirant parti de la végétation qui a envahi les ruines, de la campagne environnante, du tiers lieu artistique implanté dans la zone, des perceptives post extractivistes dans le contexte du réchauffement climatique. À l’intersection de ces horizons lointains et de nos actions sur
le territoire avignonnais, l’implantation du village de Mari-Mira, donné à l’ESAA par le collectif Les Pas Perdus, constitue une expérience inédite dans les écoles d’arts. Les modules conçus à partir de 1997 avec des habitants de l’Île Maurice, d’Afrique du Sud, des Îles Fidji, de Camargue, de Marseille ou des rives du canal de l’Ourcq, permettent de partager savoir-faire et expressions des cultures autochtones. Il s’agit aussi de croiser les compétences des artistes, des conservateurs-restaurateurs, des métiers de la construction. Comme les autoconstructions de nos voisins manouches et tziganes, les matériaux utilisés dans les bidonvilles de Durban ou de Port Louis, ne correspondent pas toujours aux normes écologiques des pays riches. Avant tout, ils témoignent d’une économie de moyens, d’un art de la récupération, du détournement, d’un luxe créé avec les choses de peu. Là où se trouvaient des parkings sous-utilisés, s’ouvre la possibilité de restaurer et de poursuivre une œuvre multiforme, connectant les pratiques enseignées à l’ESAA à des témoignages vivants, traversant de manière critique les représentations coloniales, l’apartheid, l’exotisme, les arts des groupes sociaux minorés.

 

AMAZONIE(S)

Coordination : Léa Le Bricomte et Camille Benecchi

Quand l’acte de restauration concerne des objets de provenance coloniale, il devient nécessaire de questionner certains fondamentaux de la profession, en particulier l’objectif de préservation de l’intégrité physique et matérielle de l’objet, qui induit une forme de refus de son changement d’état, négligeant tout un pan de son histoire et du contexte l’ayant mené jusque dans les musées. Le projet de recherche AMAZONIE(S) s’adosse à la pédagogie singulière de la conservation-restauration à l’ESAA et met en avant plusieurs questions hétérodoxes : que se passe-t-il lorsque des artistes investissent les collections de provenances coloniales ? Que signifie conserver un objet si ce dernier est totalement coupé de sa culture, de son milieu, de son environnement, de ses usages d’origine ; sans plus de lien avec les personnes et communautés qui l’ont créé ? Que préserve-t-on alors, et pour qui ? La méthode de travail se fonde sur la rencontre avec des représentant·es de communautés autochtones d’Amazonie brésilienne, en particulier des peuples Surui, Guarani et Ashaninka avec lesquels des partenariats ont été noués depuis 2022. Le projet invite à aborder différentes problématiques : penser une horizontalisation des savoirs et des épistémologies ; repenser les modes opératoires du présent (remplacer, avec Anna Tsing et Donna Haraway, anthropocène par capitalocène et plantaciocène pour nommer la crise globale, et articuler luttes environnementales, luttes sociales et luttes pour l’auto-détermination) ; repenser la façon dont l’art peut agir dans la société comme projet d’émancipation ; questionner les modes opératoires des musées ethnographiques en promouvant leur métamorphose lente mais sûre vers l’intégration de l’expertise autochtone au sein de leurs conseils scientifiques.

 

Landing Zones (Unruly Ecologies. Art, Attention, Neurodiversity)

Projet porté par Emma Bigé et Morgan Labar ; Directeur Artistique : Lucas Fritz ; Référent ESAA : Ross Louis

Le projet Landing Zones (Unruly Ecologies. Art, Attention, Neurodiversity), qui a obtenu un financement Europe Créative pour 2025-2026, vise à favoriser les espaces et les cultures à l’intersection de l’activisme pour la neurodiversité et de l’écologie, par la création d’une bibliothèque numérique transnationale et d’installations aménageant les espaces de travail. Depuis plusieurs décennies, l’activisme et la théorie neurodiverse se déploient dans les mondes sociaux, culturels et académiques, cherchant à nous rappeler les triple fait que :

  • il existe une multitude de façons de percevoir, d’interagir et d’être au monde,
  • toute une série de pressions sont exercées pour nous faire croire que l’une est meilleures que les autres,
  • il est nécessaire de créer des conditions concrètes (espaces, modes d’attention, ressources, méthodologies) pour ouvrir les espaces d’accueil de la neurodiversité.

Pour répondre à ce besoin, le projet est centré sur la construction de zones d’atterrissage temporaires (ZAT) : des lieux de repos, de sieste, de ralentissement. Les ZAT sont des insertions architecturales, dans une école, dans une galerie d’art, au cœur d’une ville : ce sont des espaces où l’on peut rester, aller et venir, dormir ou ne rien faire pendant un certain temps. En complément des ZAT, le projet travaillera à la création et la traduction de ressources textuelles essentielles à l’intersection des études environnementales et neurodiverses. En donnant un contexte théorique à la nécessité de récupérer « le repos comme résistance », cette bibliothèque sera composée de textes physiques et numériques (dans des zines et des livres audio), traduits en langues faciles (anglais / français / croate / danois), ou faciles à lire. Les activités de Landing Zones consisteront en deux séries d’ateliers d’une semaine dans chaque site partenaire. Ils aboutiront à l’installation de ZAT dans chaque site et la création, en ligne et sur place, d’une bibliothèque transnationale.

Trois partenaires constituent ce consortium : l’École supérieure d’art d’Avignon ; Umjetnički Paviljon Zagreb, centre d’art contemporain de la capitale croate ; l’Université de Aarhus au Danemark. Ce consortium sera éventuellement rejoint par l’ENSBA de Lyon et l’ENSAD de Limoges.

 

RIKEN NO KEN : le regard éloigné

Coordination : Benoit Broisat, Gaspard Salatko

Le programme de recherche Riken no ken se construit autour d’une collaboration entre l’École Supérieure d’Art d’Avignon et l’université d’art de Musashino à Tokyo. Depuis 2024/25, ce programme bénéficie du soutien du ministère de la Culture à travers le dispositif RADAR d’accompagnement de la recherche dans les écoles d’art et de design. En 2025/26, il se prolongera notamment par la venue à Avignon d’étudiantes et étudiants de l’université
d’art de Musashino et par des restitutions (publications et exposition) prévues en fin d’année
Au plan pédagogique, le programme de recherche Riken no ken a pour ambition d’inviter les étudiantes et étudiants en création et en conservation-restauration à examiner et expérimenter des questions méthodologiques liées à l’observation et à la description, tout en déployant une réflexion critique sur les outils de communication à distance (emails, visioconférences, réseaux sociaux…) en les envisageant comme médiums artistiques et espaces d’exposition potentiels.
L’intitulé du projet fait allusion à un concept développé par le dramaturge et théoricien du nô Zeami (1363-1443) pour qui l’acteur qui veut pleinement maîtriser son jeu doit apprendre à se voir en imagination depuis le point de vue du spectateur. Zeami nomme ce point de vue décentré Riken no ken, expression que Claude Lévi-Strauss a ultérieurement traduite en « regard éloigné » pour en faire la métaphore d’une démarche consistant « d’une part, à regarder très loin, vers des cultures très différentes de celle de l’observateur, mais aussi, pour l’observateur, à regarder sa propre culture de loin, comme s’il appartenait lui-même à une culture différente. » Saisie sous le prisme de l’anthropologie, la formule métaphorise ainsi le désir d’articuler les échelles du local et du global (avec leurs problématiques sociétales et environnementales), en nourrissant l’appréhension d’un contexte donné de l’apport d’un regard extérieur éloigné. S’inspirant de cette attitude comparative, le programme de recherche Riken no ken met en jeu une collaboration entre l’École supérieure d’art d’Avignon et l’université d’art de Musashino à Tokyo, pour tirer mutuellement profit de la complémentarité de leurs approches et de leurs compétences et pour développer une activité de recherche conjointe. En 2025/26, le projet s’adossera à la venue des étudiantes et étudiants de Musashino et au soutien du Grenier à Sel (lieu d’art avignonnais) pour développer séminaires, workshop, exposition et publication. Tout au long de l’année, nous réfléchirons à la façon dont les conceptions immatérielles du patrimoine et de la restauration entretiennent des connivences avec une approche artistique centrée sur la conception, l’échange, la circulation et l’activation de protocoles, conçus comme matrices de possibles expositions. Il s’agira aussi de nourrir les pratiques de conservation-restauration et création des spécificités de l’approche japonaise qui, plutôt que la préservation de l’objet dans sa matérialité, privilégie celle de son idée, de son principe et des savoir-faire qui lui sont associés.

activité post- ou périscolaire

Les Ateliers Libres (pratiques amateurs pour jeunes et adultes)

Les ateliers libres d’Éducation Artistique et Culturelle est indispensable à la démocratisation culturelle et à l’égalité des chances. Le parcours d’éducation artistique et culturelle accompli par chaque élève se construit de l’école primaire au lycée, dans la complémentarité des temps scolaire et périscolaire d’une part, des enseignements et des actions éducatives d’autre part. Il conjugue l’ensemble des connaissances et des compétences que l’élève a acquises, des pratiques qu’il a expérimentées et des rencontres qu’il a faites dans les domaines des arts et de la culture.

Depuis 2021, l’École supérieure d’art d’Avignon mène une politique d’Éducation Artistique et Culturelle active à travers ses ateliers libres. On notera en particulier le partenariat avec le Festival d’Avignon et la tenue d’atelier à destination du jeune public, ainsi que la réalisation de la brochure jeune public en 2021. On notera également la participation au Festival “C’est pas du luxe” depuis 2018, en particulier la proposition de quatre ateliers par les intervenant·e·s des ateliers de pratique amateur.

Plus d’informations : esaavignon.eu/ateliers-libres/

coopération internationale

L’École supérieure d’art d’Avignon participe à de nombreux projets pédagogiques nationaux et internationaux et à des programmes d’échanges bilatéraux. Elle reçoit le soutien du programme Erasmus, de l’Union européenne, du Ministère de la culture (DGCA) et de la Région PACA (bourses Prame).

 

Partenariats nationaux

  • Partenariats engagés sur Avignon et la région proche : Festival d’Avignon, Festival off Avignon, Université d’Avignon, Collection Lambert en Avignon, Fondation Calvet, Le Grenier à Sel, Cinéma Utopia, Maison Jean Vilar, FRAC PACA, FRAC OCCITANIE, Musée d’Art Contemporain de Marseille, MUCEM, CICRP, le Palais les Pape, l’Espace Yiiiiiy, la Chartreuse, La Garance, École du Sud
  • Partenariats engagés avec les acteurs culturels nationaux : Palais de Tokyo, Musée du Quai Branly, Centre Interdisciplinaire de Conservation et de Restauration du Patrimoine, le CNRS, l’Institut Français de Chine, l’Institut Français du Brésil, le Centre Wallonie Bruxelles

 

Partenariats internationaux

  • Partenariats avec l’Académie des beaux-arts de Canton, Chine; Shenyang University of fine art and design Chine; l’Académie des Beaux-arts Jan Matejko de Cracovie, Pologne; l’Académie des Beaux-arts de Stuttgart, Allemagne; l’École Supérieure de Conservation-Restauration des Biens Culturels de Madrid, Esapagne; l’École Supérieure d’Art Saint-Luc de Liège, Belgique;  l’Université de Lisbonne, Portugal; l’École Supérieure de Conservation et Restauration de Biens Culturels d’Aragon, Espagne

équipements spécifiques

  • Ateliers techniques spécialisés (pôle multimédia, laboratoire argentique, menuiserie, soudure, moulage …) et ateliers de conservation-restauration.
  • Bibliothèque, salle de conférences et de spectacles.
  • Les conventions établies avec les institutions partenaires (Université, CICRP, ISTS), ouvrent aux étudiants l’accès aux laboratoires et aux équipements professionnels.

réseaux

ANdÉA, L’Âge d’or- réseau des écoles d’art du sud de la France, École du Sud, MIRAMAR

équipe administrative

Directeur Benoît Broisat
Secrétaire générale Raphaëlle Mancini
Responsable pédagogique Ludmilla Barrand
Assistante pédagogique, scolarité et mobilité internationale : Francesca Casu
Accueil et secrétariat pédagogique Laetitia Herbette
Bibliothécaire Delphine Pauletto
Comptable Émilie Cosme
Chargé de communication digitale Romain Vanlemmens
Chargé des systèmes d’information et de la maintenance Pascal Genty
Régisseur Pédagogique Philippe Montchaud
Chargé de l’atelier Volume, Ébénisterie et Menuiserie Maxime Mercadier
Régisseur de maintenance des sites Sébastien Carré

professeurs

Camille Benecchi
Marie Boyer
Tiphaine Calmettes
François Duboisset
Hervé Giocanti
Nicolas Gruppo
Marie Jacotey
Cyril Jarton
Jean Laube
Léa Le Bricomte
Ross Louis
Hamid Maghraoui
Mylène Malberti
Émilie Masse
Sylvie Nayral
Gaspard Salatko
Benoit Pype

coordonnées

École supérieure d’art d’Avignon
500, chemin de Baigne-Pieds
84000 Avignon

Téléphone : 04 90 27 04 23
Mail : scolarite@esaavignon.fr
Site Internet : www.esaavignon.fr
Facebook : www.facebook.com/esa.avignon
Instagram : www.instagram.com/esa.avignon
LinkedIn : www.linkedin.com/school/esa-avignon

effectif

157 étudiant·e·s (cycle 2025-2026)