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Aix-en-Provence École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini Amiens École supérieure d’art et de design d’Amiens Angers École supérieure d’art et de design TALM-Angers Angoulême École européenne supérieure de l’image Angoulême-Poitiers | Site Angoulême Annecy École supérieure d’art Annecy Alpes Arles École nationale supérieure de la photographie Avignon École supérieure d’art d’Avignon Bayonne - Biarritz École supérieure d’art Pays Basque Besançon Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon Bordeaux École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux Bourges École nationale supérieure d’art de Bourges Brest École européenne supérieure d’art de Bretagne | site de Brest Caen École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Caen Cambrai École supérieure d’art et de communication de Cambrai Cergy École nationale supérieure d’arts Paris-Cergy Chalon-sur-Saône École Media Art du Grand Chalon Cherbourg École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Cherbourg Clermont-Ferrand École Supérieure d’Art de Clermont Métropole Dijon École nationale supérieure d’art de Dijon Dunkerque École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing — site de Dunkerque Épinal École Supérieure d’Art de Lorraine | site Épinal Fort-de-France Campus Caraïbéen des Arts Grenoble École Supérieure d’Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble Le Havre École supérieure d’art et design Le Havre Rouen | site Le Havre Le Mans École supérieure d’art et de design TALM-Le Mans Le Port École supérieure d’art de La Réunion Limoges École nationale supérieure d’art et de design de Limoges Lorient École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Lorient Lyon École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon Marseille Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM Metz École Supérieure d’Art de Lorraine | site Metz Monaco Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la Ville de Monaco (ESAP) Montpellier MO.CO. ESBA – École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Contemporain Mulhouse Haute école des arts du Rhin | site Mulhouse Nancy École nationale supérieure d’art et de design de Nancy Nantes et Saint-Nazaire Beaux-arts Nantes Saint-Nazaire Nice École nationale supérieure d’art de Nice – Villa Arson Nîmes École supérieure des beaux-arts de Nîmes Orléans École supérieure d’art et de design d’Orléans Paris Beaux-Arts de Paris Paris École des Arts Décoratifs Paris ENSCI – Les Ateliers Pau École supérieure d’art et de design des Pyrénées – site de Pau Poitiers École européenne supérieure de l’image Angoulême-Poitiers | Site Poitiers Quimper École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Quimper Reims École supérieure d’Art et de Design de Reims Rennes École européenne supérieure d’art de Bretagne | site de Rennes Rouen École supérieure d’art et design Le Havre Rouen | site Rouen Saint-Étienne École supérieure d’art et design de Saint-Étienne Strasbourg Haute école des arts du Rhin | site Strasbourg Tarbes École supérieure d’art et de design des Pyrénées – site de Tarbes Toulon École supérieure d’art et de design Toulon Provence Méditerranée Toulouse institut supérieur des arts et du design de Toulouse Tourcoing École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing — site de Tourcoing Tourcoing Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains Tours École supérieure d’art et de design TALM-Tours Valence École Supérieure d’Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Valence Valenciennes École supérieure d’art et de design de Valenciennes Nantes et Saint-Nazaire Beaux-arts Nantes Saint-Nazaire

Aix-en-Provence

École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini

présentation

L’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini est un établissement public de coopération culturelle, ayant pour mission l’enseignement supérieur artistique et la recherche en art. L’école prépare ses étudiants au Diplôme national d’art (DNA, valant grade de Licence) et au Diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP, valant grade de Master). Elle accompagne aussi un parcours doctoral de recherche en création, en cotutelle avec Aix-Marseille université et le CNRS. De plus, l’école mène des activités de diffusion, de promotion et d’expertise dans le domaine de la création contemporaine en organisant des expositions, cycles de conférences et colloques.
Engagée auprès des habitants de la ville et ses alentours, l’école assure également le fonctionnement des cours de pratiques amateurs pour un public de 400 personnes (enfants, adolescents et adultes) répartis sur 20 ateliers (modelage, peinture, modèle vivant, histoire et actualité de la musique expérimentale, bande dessinée, expression plastique, sérigraphie, photographie, etc.).
Elle valorise le travail de ses étudiants et de ses diplômés à travers des programmes de résidences et de rencontres avec des professionnels de l’art. Elle met en place des actions artistiques visant à garantir l’égal accès de tous à la culture en participant à des événements dans la ville et la région.

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Photo : Christian Merlhiot

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

troisièmes cycles

Doctorat de création

L’ESAAix a documenté à la demande de son rapporteur Jean-Raymond Fanlo, le projet de création d’une nouvelle mention de doctorat « Pratique et Étude de la Création Artistique et Littéraire » adoptée par le conseil scientifique de l’AMU (Aix Marseille Université). Les modes d’accompagnements sur les questions méthodologiques de ce nouveau parcours de thèse ainsi que les questions de codirections sont en cours. Y participe également l’ENSP d’Arles.

Locus sonus

Depuis 2004, l’ESAAix a mis en place Locus Sonus, un laboratoire de recherche de type post-diplôme, spécialisé en art sonore dont l’objectif principal est d’explorer la relation entre le son, l’espace et les usages notamment liés aux technologies émergentes.

Le laboratoire accueille toute l’année des artistes, chercheurs, scientifiques, développeurs ou designers engagés dans ses programmes. Il est le lieu d’encadrement de parcours innovants de doctorats de création
en co-validation avec Aix-Marseille Université, permettant aujourd’hui à des artistes diplômés des écoles d’art de continuer leurs études au niveau BAC +8 vers l’obtention d’un doctorat (le doctorat « pratique et théorie de la création artistique et littéraire », École Doctorale ED 354, Aix-Marseille Université – www.amu.fr).

Locus Sonus fait partie d’une structure de recherche interdisciplinaire plus vaste intitulée PRISM : Perception, Réalisation, Image, Son, Musique.

http://locusonus.org/
http://www.prism.cnrs.fr/

vae

VAE pour le DNA et le DNSEP
+ d’informations

unités de recherche

E-Topie

E-Topie est un programme de réflexion, d’échange, d’expérimentation et de création, une plate-forme qui s’est progressivement structurée depuis 2010 et que nous souhaitons opérationnelle à partir de la rentrée 2013/2014. C’est également un espace de collaboration avec différents partenaires aux activités complémentaires qui permettent à cette plate-forme de se déployer dans et hors l’école sous différentes formes. E-topie se décline en 5 programmes principaux : FRONTIÈRES du 21e siècle, MENTION A/RT, OBS’IN, LOCUS SONUS, DOCTORAT DE CRÉATION.

Locus Sonus – audio in art

Depuis 2004, l’ESAAix a mis en place un laboratoire de recherche de type post-diplôme, spécialisé en art sonore dont l’objectif principal est d’explorer la relation entre le son, l’espace et les usages notamment liés aux technologies émergentes.

Le laboratoire accueille toute l’année des artistes, chercheurs, scientifiques, développeurs ou designers engagés dans ses programmes. Il est le lieu d’encadrement de parcours innovants de doctorats de création
en co-validation avec Aix-Marseille Université, permettant aujourd’hui à des artistes diplômés des écoles d’art de continuer leurs études au niveau BAC +8 vers l’obtention d’un doctorat (le doctorat « pratique et théorie de la création artistique et littéraire », École Doctorale ED 354, Aix-Marseille Université – www.amu.fr).

Locus Sonus fait partie d’une structure de recherche interdisciplinaire plus vaste intitulée PRISM : Perception, Réalisation, Image, Son, Musique.

+ d’info sur le site de locus sonus
+ d’info sur le site de l’ESAAix

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

programmes de recherche

Frontières du 21e siècle

Frontières du 21e siècle est un programme de recherche transdisciplinaire et exploratoire lancé par Cédric Parizot à l’IMéRA en septembre 2011. Associant l’ESAAix depuis son lancement, il regroupe chercheurs en sciences sociales, chercheurs en sciences dures, artistes et professionnels (douaniers, industriels…) pour repenser les mutations des dispositifs de contrôle aux frontières des États ainsi que leur impact sur les espaces et les populations. Opérant un véritable décloisonnement entre ces différentes disciplines, il constitue un outil majeur de structuration de la plate-forme de recherche et de création e-topie arts/sciences/technologies, permettant de modéliser la question de la recherche à l’ESAAix dans un rapprochement pluridisciplinaire. Le croisement des approches permet d’expérimenter des modèles protéiformes de la recherche arts/sciences/technologies et d’inventer les formes nouvelles de production autour des questions d’édition et d’exposition.

Mention A-RT

La mention A-RT qui est attachée au DNSEP option art sera proposée aux étudiants de 2e cycle dès la rentrée 2013/14. Elle rendra explicite un parcours au sein de l’option art qui caractérise depuis de nombreuses années une part de nos enseignements. Ce parcours nécessite la structuration de cette plate-forme à laquelle il participe comme espace de formation et d’expérimentation. Sans exclure pour autant les autres ateliers de l’école. La transversalité étant au coeur de nos pratiques pédagogiques.

Obs/IN

Fondateur de l’Obs/IN, Observatoire des pratiques de création de l’image numérique, avec l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie et l’IUT Imagerie Numérique (AMU-Arles), l’apport spécifique de l’école est lié à la relation nouée art science et technologie que l’école développe depuis de nombreuses années et précisément à partir de l’atelier permanent Art Temps Réel mis en place en 2010.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

éditions

Édition de livres d’artistes, catalogues

activités & événements

Conférences, restitutions de résidences et de worshops, projections
Les semaines thématiques : Deux semaines thématiques de culture générale sont organisées chaque année. Il s’agit d’une série d’interventions destinées à soulever le débat, croiser des points de vue, permettre un moment d’information et d’échanges autour d’une question. Ces semaines sont en général conçues en liaison avec des activités pédagogiques initiées dans l’école, comme un contre point, un moment d’élargissement d’une réflexion, un moment de rencontre aussi.

activité post- ou périscolaire

L’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini propose des ateliers de pratiques artistiques aux amateurs de tout âge. Les cours sont construits avec la rigueur d’un enseignement de formation supérieure, dispensés par des artistes professionnels et s’adressent à des passionnés. L’enseignement repose d’abord sur le plaisir de l’art et de la création et veille également à créer un lien avec la vie culturelle et artistique de la ville afin de susciter et satisfaire la curiosité de chacun. Les élèves des ateliers publics disposent d’un accès à la médiathèque de l’école et peuvent y emprunter les ouvrages et autres ressources documentaires.

coopération internationale

La politique internationale de l’école vise à enrichir et développer le projet d’établissement, caractérisé par une approche critique et participative de la pédagogie, son échelle et son implantation dans le territoire, par deux axes de recherche qui identifient son projet dans le champ de l’art. Dans cette optique, l’école a défini trois approches stratégiques de mobilité internationale :
– Le premier axe vise le développement d’un sentiment d’appartenance active à une communauté artistique internationale. D’une part, comme c’est le cas pour de nombreux établissements d’enseignement artistique, il s’agit de mettre en œuvre des dynamiques portant notamment sur l’autonomisation, la responsabilisation de l’étudiant et une approche critique ou participative de la pédagogie en art. Les enjeux environnementaux, politiques et sociétaux qui occupent une place centrale dans les projets développés à Aix-en-Provence nourrissent donc un travail de prospection international qui permet d’établir un dialogue fructueux avec l’ambition d’établissements similaires. D’autre part, deux faisceaux de recherche développés à l’école, l’un par le laboratoire Locus Sonus et l’autre à travers le programme Décor, Dispositif, Déplacements nourrissent des projets en lien avec des partenaires internationaux, permettant ainsi à l’étudiant d’inscrire sa recherche dans un écosystème artistique étendu.
– Le deuxième axe s’attache à l’amélioration de la mobilité et de l’accueil des étudiants internationaux. Chaque année, un étudiant sur cinq intègre l’école dans le cadre de programmes d’échange via la plateforme Campus art ou par voie de concours. En parallèle, plusieurs artistes chercheurs étrangers, sélectionnés lors d’un appel à projet, sont accueillis en résidence par Locus Sonus pour développer un projet en résonance avec les axes du laboratoire. Un artiste en situation d’exil économique et politique, enfin, est accueilli à l’école dans le cadre du programme Artist protection fund. Une forte interaction est alors rendue possible tout au long de l’année entre étudiants, résidents, chercheurs, enseignants et membres de l’équipe.
– Le troisième axe de mobilité internationale est basé sur l’appréhension par l’étudiant, mais aussi par l’enseignant ou le personnel, d’autres systèmes de références au contact de cultures artistiques et de modèles économiques différents. À ce titre, l’école accompagne les projets de mobilité internationale dans le cadre de séjours d’études, de stages et de formations professionnelles. Cette expérience, encouragée au premier semestre de la quatrième année du cursus, vient soutenir et confirmer une expérience d’ouverture sur le monde et de professionnalisation du parcours artistique.

équipements spécifiques

L’école bénéficie de plusieurs ateliers de pratique et de technique dirigés par des enseignants : dessin, numérique, peinture, édition, mécatronique, performance, photographie, son, vidéo, volume, bois et métal

réseaux

Réseaux d’établissements supérieurs : ANdÉA, École(s) du Sud

équipe administrative

Christian Merlhiot, directeur
Céline Marx, responsable des enseignements et de la professionnalisation
Elza Espenel, assistante pédagogique et chargé de la vie étudiante
David Bouchet, responsable des relations internationales et recherche
David Brasseur, responsable technique
Juliette Beorchia, responsable de la médiathèque
Sophie Kerléaux, responsable de la communication

professeurs

Cécile Ampelas
Jean-Marc Andrieu
Romain Bigé
France Cadet
Hémery Jacques
François Lejault
Catherine Melin
Jurgen Nefzger
Paul-Emmanuel Odin
François Parra
Abraham Poincheval
Josué Rauscher
Graeme Reid
Barbara Satre
Jérémie Setton
Peter Sinclair
Guillaume Stagnaro
Douglas Edric Stanley
Camille Videcoq

coordonnées

Rue Émile Tavan
13100, Aix-en-Provence
tél. +33 (0)4 65 40 05 00
contact@ecole-art-aix.fr
www.esaaix.fr
brochure.ecole-art-aix.fr
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effectif

  • 145 étudiants
  • 19 enseignants
  • 12 assistants d’enseignement

Amiens

École supérieure d’art et de design d’Amiens

présentation

L’Esad d’Amiens propose deux filières d’enseignements artistiques orientés vers l’image :
– le design : design graphique, design numérique, dessin de caractères
– l’image animée : animation 3D pour le cinéma et le jeu vidéo.

L’objectif de l’Ésad d’Amiens est de conduire chaque étudiant à acquérir les connaissances et les savoir-faire fondamentaux tout en approfondissant constamment sa propre démarche artistique. Cette progression s’obtient par une ouverture culturelle avérée, de nombreuses expérimentations plastiques et le développement d’une capacité critique. C’est par ce cheminement que l’étudiant fait émerger progressivement sa position dans le champ de la création pour, ensuite, l’inscrire dans une perspective professionnelle. Cette pédagogie est propre au réseau des écoles d’art publiques du Ministère de la Culture. L’Ésad d’Amiens y ajoute la particularité de préparer ses futurs diplômés à exercer dans des secteurs dynamiques autour de l’image auxquels ils sauront s’intégrer et qu’ils contribueront à faire évoluer.

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Esad Amiens
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Portes ouvertes 2019, Salle de 2e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 2e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 2e année
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(c) Esad Amiens, Atelier de sérigraphie
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Salle de Volume © Samuel Dhote
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Portes ouvertes 2019, Salle de Volume
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Portes ouvertes 2019, Salle de 3e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 3e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 4e année
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Portes ouvertes 2019, Galerie
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École supérieure d’art et de design d'Amiens © Michel Sabbagh
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Département Waide Somme © Samuel Dhote
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Département Waide Somme © Samuel Dhote
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Département Waide Somme © Samuel Dhote
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Département Waide Somme © Samuel Dhote

options

Art (image animée)
Design (design graphique)
Design (design graphique en double cursus avec le Master User eXperience Design)

diplômes

DNA  option Art mention images animées
DNA  option Design mention design graphique
DNSEP  option Art mention images animées
DNSEP  option Design mention design graphique
DNSEP  option Design mention design numérique
Master User eXperience Design de l'Université de Technologie de Compiègne (double cursus DNSEP option Design mention design numérique)

post-diplôme

EsadType

Le post-diplôme EsadType est destiné à former de futurs dessinateurs de caractères latins et non latins. D’une durée de 16 mois, son recrutement est international. Ses enseignements sont en anglais pour les cours théoriques, et en français ou en anglais pour le suivi de projet. Ce cursus conduit à la production d’un grand projet. Il bénéficie de journées d’études consacrées à l’histoire et à la création typographique. La soutenance en fin de parcours du post-diplôme a lieu devant un jury international.

formation continue

Animation 3D, Esad d’Amiens

À destination des professionnels et des demandeurs d’emploi, l’offre de formation concerne les domaines de l’animation 3D, de la création numérique et du design graphique. Les stagiaires intègrent une formation thématique ou bénéficient d’un parcours personnalisé. Sous certaines conditions, les stagiaires peuvent bénéficier d’aides du Pôle Emploi, de la Région Hauts-de-France, et de l’AFDAS.
Les formations thématiques sont présentées sur les sites web de l’Ésad d’Amiens et de Waide Somme. Les personnes souhaitant effectuer un parcours personnalisé s’adressent directement au service de la scolarité.
Renseignements : Guillaume Darras
waide-somme@amiens-metropole.com
www.waide-somme.fr

unités de recherche

de-Sign-e

L’Unité De-Sign-e de l’Ésad d’Amiens développe deux axes de recherche orientés sur l’écriture, le signe, la typographie et le langage d’une part, et deux axes d’adossement à la recherche qui traitent de problématiques liées au design numérique pour l’un et aux relations entre art et technologie pour l’autre.

programmes de recherche

Design numérique

L’axe de recherche en design numérique est né de la rencontre avec des chercheurs du Costech, unité de recherche pluridisciplinaire du département Technologies et sciences de l’Homme de l’Université de Technologie de Compiègne (UTC). Le partenariat s’est constitué avec l’équipe CRED qui s’interroge sur « les dimensions techniquement constituées et techniquement constituantes de l’expérience humaine ». Le CRED mène des recherches cognitives basées sur le concept d’Enaction lui-même inspiré du philosophe Martin Heidegger et de la phénoménologie de Maurice Merleau-Ponty. L’approche constitutive d’un individu dans son environnement, notamment technologique, est étudiée par le CRED dans le cadre de programmes de recherche sur la suppléance perceptive au service des handicaps (exemple : un individu privé de la vue peut s’informer grâce à des dispositifs technologiques sonores ou vibrants). L’objectif de la coopération avec le cours de 4e année en design numérique de l’Ésad est de confronter les propositions (dispositifs scientifiques) des chercheurs avec des scénarios d’usage (design de services numériques) imaginés par les étudiants, ceci afin de nourrir les hypothèses des travaux de recherche. Pour l’Ésad, l’objectif est de permettre aux étudiants d’accéder à un savoir scientifique et à des protocoles d’expérimentation à partir desquels ils peuvent produire des scénarios novateurs. L’enjeu est de soutenir le développement de l’enseignement au design numérique : développer une dimension collaborative interdisciplinaire, comprendre les processus qui vont de la recherche à l’innovation, inviter les élèves à effectuer une veille sociale et technologique…).

Gestual Script

L’équipe de recherche Gestual Script mène, depuis 2008, des recherches pluridisciplinaires issues d’un premier projet portant sur la notion de conception d’une écriture pour la langue des signes (Gestual Script), lequel s’est poursuivi par projet de transcription graphique de la langue des signes à l’usage de la communauté scientifique (Typannot). L’équipe a été également partenaire d’une recherche concernant un environnement d’apprentissage scriptural (Descript, coordonné par l’UTC). Les perspectives ouvertes par ce projet maintenant terminé ont conduit à définir un nouveau projet de recherche destiné à la sauvegarde du geste scriptural (InScript).

L’originalité de ces travaux est qu’ils associent un champ de recherche émergent en design graphique et typographique à des disciplines scientifiques reconnues : la linguistique et la psychologie cognitive. L’objectif, pour l’Ésad, est de fonder une position scientifique singulière au service du développement de sa propre discipline, laquelle est abordée ici à partir de sa capacité à développer une gestualité productrice et créatrice de traces susceptibles de constituer un corpus de glyphes. Les enjeux sont multiples : développer les savoirs disciplinaires en graphisme et la pédagogique du design, définir une recherche transdisciplinaire à partir d’une équipe pluridisciplinaire, qualifier les enseignants et jeunes chercheurs, irriguer les cycles de formation des étudiants dont le post-diplôme, être en mesure de s’adosser à une école doctorale.

Marionnette Numérique (adossement à la recherche)

La recherche sur la Marionnette Numérique porte sur un dispositif permettant la projection d’images animées sur une marionnette manipulée sur scène et dont le corps, recouvert d’un tissu neutre, sert d’écran. Un tel procédé, une animation projetée sur un objet lui même en mouvement, n’existait pas auparavant. L’objectif est d’associer la technique de vidéo mapping et celle de la capture de mouvement, l’enjeu artistique étant de proposer une nouvelle forme créative et d’en expérimenter le potentiel narratif. L’enjeu institutionnel est de fonder une dimension réflexive sur notre pratique disciplinaire afin d’ouvrir des perspectives de recherche et de collaboration avec l’université, et ceci d’autant plus que nos enseignements ont besoin de se distinguer d’une offre de formation par ailleurs majoritairement portée par le secteur privé et très orientée vers la profession.

Typographie, histoire et création

L’axe de recherche Typographie, histoire et création, ouvert en 2013, propose de fonder une approche historique de la typographie pour en constituer les savoirs et afin de les délivrer à des enseignants chercheurs comme à des populations d’étudiants se formant au dessin de caractères. L’objectif est de développer des recherches et études sur les dessinateurs de caractères anciens et contemporains et d’en diffuser les résultats notamment dans le cadre d’un centre de ressources et d’archives à constituer. Les enjeux sont communs à ceux de l’équipe Gestual Script avec, en sus, le souhait de faire émerger la typographie en tant que discipline au niveau national et que ceci soit reconnu au niveau l’international.

éditions

éditions propres, coéditions en design graphique et en typographie

revues

revues

Expositions
Workshops
Journées d’études, séminaires, colloques, conférences
Mnemosyne

coopération internationale

L’école bénéficie du programme Erasmus+ et des bourses régionales (Mermoz) pour les étudiants qui souhaitent réaliser une mobilité d’études ou de stage à l’étranger.

Les partenariats Erasmus+ de l’Ésad d’Amiens :
Belgium, Anvers Royal Academy of Fine Arts d’Anvers
Belgium, Bruxelles Bruxelles ESA Saint-Luc Bruxelles
Belgium, Bruxelles École de recherche graphique
Germany, Karlsruhe Karlsruhe University of Arts and Design
Germany, Cologne TH Köln/University of Applied Sciences
Germany, Mayence Fachhochschule Mainz University of Applied Science
Germany, Weimar Bauhaus Universität Weimar
Ireland, Limerick Limerick Institute of Technology (LIT)
Italy, Urbino ISIA di Urbino
Italy, Venezia Università Iuav di Venezia
Lithuania, Vilnius Vilnius Academy of Art
Poland, Łódź Strzeminski Academy of Art Łódź
Portugal, Barcelos Escola Superior de design
Slovénie, Ljubljana University of Ljubljana
Tchéquie, Prague, UMPRUM Academy of Arts Architecture & Design

Les partenariats internationaux de l’Ésad d’Amiens :
South Corea, Gyeonggi-do PaTI, Paju Typography Institute

galerie

L’Ésad d’Amiens dispose d’une galerie et y expose régulièrement des travaux de graphistes ou d’artistes, ainsi que des projets d’étudiants.

équipements spécifiques

Centre de ressources documentaires
Fonds d’ouvrages spécialisés, collections de spécimen de caractères, fonds d’archives de graphistes.

Équipements spécifiques
Équipement informatique, dont 1 poste de travail pour chaque étudiant en animation 3D
Matériel photographique, vidéo et audio
Composants micro-électroniques pour le prototypage numérique
Imprimante 3D
Imprimantes dans les salles de cours

Ateliers équipés
Atelier volume
Atelier de sérigraphie
Atelier d’impression numérique, dont deux imprimantes Riso, 1 traceur adhésif
Atelier reliure
Laboratoire de photographie argentique
Atelier de typographie au plomb

Partenariat avec La Machinerie, fab lab amiénois, pour la fabrication et le prototypage de projets.

réseaux

ANdEA

équipe administrative

Barbara Dennys Directrice
Alisa Nowak Coordinatrice département design | relations internationales
Cécile Welker Coordinatrice département image animée
Catherine Cresson Rondon Responsable du service de la scolarité
François Lenin Adjoint au service de la scolarité
Myriam Terchani Responsable du personnel
Sylvie Debure Responsable administrative et financière
Laurence Julien Agente financière
Peggy Letuppe Responsable du centre de documentation
Guillaume Darras Responsable informatique
Arnaud Fudala Informaticien
Anthony Roinet Responsable technique
Arnaud Vilbert Responsable de l’atelier volume

professeurs

Donald Abad
Mathieu Allard
Vinçent Blary
Pierre Boutiller
François Caspar
Olivier Charpentier
Jean-Claude Chianale
Léonore Conte
Olivier Cornet
Françoise Courbis
Arnaud de la Bâtie
Patrick Doan
Rémi Dumas Primbault
Olivier Fraisier
Virginie Gervaise
Dominique Giroudeau
Julien Grigny
Frédéric Guérin
Clément Hector
Laurent Herbet
Paul Heynen
Stéphanie Katz
Sarah Kremer
Eva Kubinyi
Yvain Lecryt
Alexis Leleu
Nicolas Lenys
Jean-Baptiste Levée
Christophe Loy
Daniel Ly
Éric Madeleine
Sara Martinetti
Sébastien Morlighem
Cécile Noesser
Patrick Paleta
Hally Pancer
Isabelle Prieur
Anna Radecka
Simon Renaud
Romain Renault
Nick Roberts
Christian Rondet
David Rosenfeld
Clément Saudemont
Mike Tarrate
Olivier Thiébaut
Cécile Walker
Mark Webster
Benoit Wimart

coordonnées

40 rue des Teinturiers
80080 | Amiens
tél. +33 (0)3 22 66 49 90
esad@amiens-metropole.com
www.esad-amiens.fr

effectif

200 étudiants

Angers

École supérieure d’art et de design TALM-Angers

présentation

L’École supérieure d’art et de design TALM, produit de la réunion de trois écoles Tours, Angers et Le Mans, est un établissement sous tutelle du ministère de la Culture. Elle offre un vaste éventail de formations : en art, en conservation-restauration, en design avec des spécialisations espace, objet, sonore, mécatronique et computationnel, en sculpture, en techniques textiles. L’enseignement y est dispensé par un corps professoral – artistes, plasticiens, photographes, architectes, chercheurs, designers, théoriciens, conservateurs-restaurateurs, etc. – dont les qualités pédagogiques se doublent de talents et de compétences multiples.
Grâce à son vaste réseau partenarial dans les territoires régionaux, nationaux et internationaux, TALM permet à ses élèves de découvrir l’univers pluriel de l’art et du design contemporain, de la conservation-restauration, d’effectuer des stages dans le monde entier et de préparer avec efficacité leur insertion professionnelle.
L’établissement accorde une attention toute particulière à la recherche dans les disciplines de la création dont il sait maîtriser les enjeux et relever les défis. Singulière, attentive à la qualité de ses enseignements et soucieuse d’anticiper l’avenir de ses élèves, l’École supérieure d’art et de design TALM se pose comme l’un des acteurs essentiels de l’enseignement supérieur public artistique en France.

L’offre de formation de TALM

L’organisation en trois sites de TALM est une chance qui permet aux élèves d’éprouver de multiples médiums, d’ouvrir des voies nouvelles, d’expérimenter des techniques. L’enseignement à TALM, qui articule expérimentation, théorie, pratique et recherche, est assuré par des professionnels de haut niveau, artistes ou théoriciens.  Les élèves sont accompagnés vers la gestion autonome de leur engagement artistique afin de pouvoir construire un parcours singulier qui prend en compte l’aspiration artistique, les enjeux théoriques et les besoins techniques d’une création. Depuis 2011, TALM a intégré le système LMD (licence, master, doctorat) inscrivant ses formations dans le cadre de l’espace européen de l’enseignement supérieur. Le rayonnement des élèves à l’international, l’insertion professionnelle et la recherche dans les disciplines de la création irriguent le projet pédagogique de TALM.

 

Journées Portes ouvertes

>Vendredi 2 février et samedi 3 février 2024

Horaires et programme sur esad-talm.fr

 

Concours d’entrée en 1re année Art ou Design

> Épreuves théorique et pratiques : 6 et 7 avril 2024 en distanciel
> Entretien devant le jury : le 17 ou 18 avril 2024 à TALM-Angers

Sujets à télécharger sur esad-talm.fr à partir du 4 avril 2024

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Art mention Techniques textiles
DNA  option Design
DNSEP  option Art mention ÉCRAN _ Écritures cinématographiques et récits animés
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention EXTRA _ Expérimentations textiles et recherche en art
DNSEP  option Art mention PATTERN _ Pratiques artistiques et technologies réactives numériques
DNSEP  option Design

post-diplôme

Art by translation

Art by Translation est un programme de recherche et d’exposition initié par l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy et l’École Supérieure d’Art et de Design ALM-Angers, dirigé par Maud Jacquin et Sébastien Pluot, directeurs fondateurs, et Jeff Guess, directeur pédagogique réalisateur. Il est soutenu par le ministère français de la Culture et collabore avec de nombreuses institutions académiques et artistiques internationales.

Organisé en sessions consacrées à des thèmes de recherche spécifiques, ce programme itinérant se déroule sur différents sites d’Europe et d’Amérique du Nord et développe des projets artistiques et deconservation, des événements discursifs et des publications en collaboration avec des musées, des écoles d’art et des universités. En tant que programme de troisième cycle, il implique chaque année quatre artistes et conservateurs sélectionnés.

Les participants 2018-2019 sont Lila Athanasiadou, Jasmin Blasco, Daniel Frota et Slow Reading Group (Bryana Fritz et Henry Andersen). La première session est consacrée aux processus et aux enjeux idéologiques de la traduction dans les arts.

classe préparatoire

Classe préparatoire de l’École d’arts du choletais

Convention avec l’École supérieure d’art et de design TALM

La classe préparatoire

34 heures de cours hebdomadaires sont dispensées de septembre à mai : cours d’anglais, dessin, histoire de l’art, art contemporain, volume, arts appliqués, estampe, création assistée par ordinateur, atelier de recherche, couleur, photo, rencontres avec des professionnels de la création et d’anciens étudiants de l’école. L’équipe pédagogique est composée de plasticiens ou critiques d’art. Des bilans trimestriels sont rendus aux étudiants sous forme d’un bulletin rempli par l’ensemble des professeurs et de la direction. Un oral blanc devant un jury composé de professeurs de l’école, de la direction, d’un artiste invité est organisé en mars.

L’étudiant est invité à expérimenter l’interdisciplinarité et à approfondir les domaines du design, du graphisme, de l’architecture, du cinéma et de la littérature, autant de pratiques qui nourriront ses futures productions personnelles.

https://www.cholet.fr/download/down/eac_livret_etudiant.pdf

unités de recherche

La plateforme de recherche de l’Esad TALM – site d’Angers

Sept programmes de recherche sont à ce jour identifiés, ils constituent une plateforme de recherche collaborative dont la structure repose à la fois, sur une Unité de recherche des programmes autonomes, et une coordination fonctionnelle. Deux types de programmes se développent au sein de la plate forme : Ceux s’inscrivant dans un temps longs et structurant, à la fois pour la recherche, le 3ème cycle et les formations initiales, et ceux dont la durée s’installe sur une période courte, entre 18 et 24 mois.
L’Unité de recherche regroupe les programmes longs. Son fonctionnement est assuré par un coordinateur de recherche dont les missions répondent à plusieurs inflexions : l’accompagnement administratif et la veille à appels à projet, la valorisation, l’articulation avec le 3ème cycle et son développement à l’international. A la fois physique et fonctionnelle, cette plate forme est adaptée à la recherche dans une école d’art parce que le transfert d’une pratique artistique est différent de celle d’un savoir, la forme et la temporalité de ces programmes peuvent se décliner différemment suivant les besoins et suivant les options d’où ils émergent. Pour l’essentiel les travaux émanant des programmes et de l’Unité de recherche s’adressent aux différents milieux professionnels de la création dont celui de l’art qui est central. Les modes de diffusion que sont l’exposition, la monstration, la démonstration, la projection, etc… sont formellement la conséquence de l’objet de recherche qui sous tend les conditions d’existence sociale de la pratique artistique et de ses enjeux à partager.

Le Conseil scientifique
Le développement de la recherche est accompagné par un Conseil scientifique qui est une instance consultative de l’établissement. Il est composé des enseignants porteurs d’un programme de recherche, de personnalités qualifiées, du coordinateur et des directeurs de site. Sa mission d’expertise et de conseil porte sur les formations initiales, les post diplômes, le 3e cycle et leur développement respectif, la recherche et son développement stratégique. Ses avis sont portés devant la Conseil Pédagogique et de la Vie Etudiante (CPVE) et débattus. Ils peuvent être validés par le Conseil de Direction avant d’être mis en délibéré lors d’un Conseil d’Administration si nécessité fait loi.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

programmes de recherche

En traduction

Directeurs de recherche : Sébastien Pluot
Professeurs associés
TALM : Fabien Vallos, Jacqui Riva & Goeffrey Lowe.
Barnard College, University of Columbia : Peter Tracey Connor, Brian O’Keffee
Ce programme de recherche a pour ambition de développer un approfondissement des connaissances théoriques sur les phénomènes et procédures de traduction dans les arts qui engagent un champ de problématiques liés aux théories linguistiques, la technique, la psychanalyse, les théories esthétiques (les relations entre les arts et le rapport à l’oeuvre, son interprétation, sa compréhension). La recherche prend en compte les phénomènes de traductions dans toutes leurs dimensions : inter-linguistiques (d’une langue à l’autre) comme intra linguistiques (la métaphore, la métonymie, l’allégorie) et intersémiotiques (d’un médium vers un autre). La recherche historique et théorique est envisagée dans une articulation permanente entre des pratiques curatoriales, de productions d’oeuvres et de publications. Ce programme a produit une série de projets d’expositions, de conférences et de colloques : Living Archives, Louie Louie et Art by Telephone Recalled.
En traduction est devenu un programme de recherche international qui se développe à partir d’un partenariat entre l’esba TALM site d’Angers, le San Francisco Art Institute, le Cneai de Chatou et le département « Barnard Translation Center » du Barnard College, Columbia University, New York. De nombreux autres participants au projet interviennent lors des séminaires, des expositions ou publications : Mel Bochner, Artiste ; Pierre Bal Blanc, Commissaire et critique ; Corinne Diserens, Historienne de l’art et commissaire d’exposition ; Silvia Kolbowski, Artiste ; Nicolas Knight, artiste ; Ben Kinmont, artiste, Marcella Lista, historienne de l’art ; Pierre Leguillon, artiste ; Fabrice Reymond, artiste ; Julia Robinson, historienne de l’art, professeur à NYU ; Coline Sunier & Charles Mazé, graphistes ; Avital Ronell, professeur de Littérature comparée à New York University et l’European Graduate School, Suisse ; Yann Sérandour, artiste ; Raphael Zarka, artiste.
En Traduction se décline autour de trois volets :
-Art by Telephone
www.artbytelephone.com
-Living Archives
living-archives.com
-Une traduction d’une langue en une autre

Low, fictions et stratégies du peu en design et en architecture

Enseignants référents : Catherine Geel, David Enon, Pascal Riffaud et Denis Brillet (Block)
Partenaires : Sandberg Instituut, Amsterdam, Gili Eco Trust, S.A.R.A (Société d’aménagement de la région d’Angers.
La recherche propose au terme de deux années des premières réponses théoriques et plastiques à un ensemble de termes correspondant à des stratégies du peu (pauvreté, absence, vide, carence, manque, dénuement, austérité, simplicité, épuisement, faible, diffus, fragile), à ses fictions (catégorie de la croyance moderne versus outil de critique postmoderne) et leurs relations aux écritures plastiques du design, de l’architecture et de l’art. Deux études de cas (tissus urbain et territoire auto-administré) permettent d’envisager différents aspects des techniques aujourd’hui employées, tant sur le plan des pratiques d’expertises de territoire, des productions plastiques (dans l’environnement et domestiques) et d’intégration des systèmes (énergétiques, écologiques, culturels et administratifs) que sur les significations de ces gestes au sein d’une industrie culturelle sans cesse en demande.
L’édition : Low, fictions et stratégies du peu
vol.1. rassemblera les textes d’études, les interventions de conférenciers et les travaux d’étudiants (état de l’art), les actes du Festival « Design Poverty Fiction » organisé à Hornu (Centre d’art – Belgique – mars 2013) par l’option Design (Arc BNC) EPCC Talm-Angers, le Dirty Art Department (Sandberg Instituut) et le département Design Objet (Arts Déco-Paris), ainsi que le travail d’analyse et d’exposition « Prospectives architecturales » mené au sein du département Design d’Angers (novembre 2012-octobre 2013). Elle se présente comme un état de l’art et des éléments utilisés pour la recherche.

Réseau CINEMA

Directeurs de recherche : Judith Abensour
Enseignant associé : Thomas Bauer

En collaboration avec les écoles supérieures d’art de Toulon, d’Aix-en-Provence, d’Angers, de Marseille et de Valence-Grenoble.

Réseau cinéma en écoles supérieures d’art : avec l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017, 2017-2018 en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.

Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ? Le programme de recherche « Cinéma » pose la question de la place du cinéma dans une école d’art et travaille à partir de toutes les contradictions et de tous les paradoxes que le cinéma porte en lui depuis son origine et qui sont toujours aussi pertinents dans notre contexte actuel de production des images. En effet, le cinéma, entendu dans ce sens, semble alors porter à son point extrême de tension, un certain nombre des enjeux de l’art d’aujourd’hui : l’articulation entre art et non-art, les relations entre le visible et le lisible, le rapport à la technique et à la reproduction, la tension entre document et mise en scène du réel. Tous ces éléments nous font penser que le cinéma n’est plus seulement à considérer comme l’espace où se fabriquent et se diffusent des films, mais bien plus généralement comme un des régimes de l’art contemporain quel que soit le médium ou la pratique revendiqués.
Faux-raccord
« Faux raccord » entend être un dispositif qui pose les principaux jalons théoriques d’une équipe cinéma dans une école d’art et qui parallèlement développe une méthodologie pratique. « Faux raccord » propose de faire du cinéma un moteur de décloisonnement des disciplines. Nous entendons créer un espace collectif de réflexion réunissant artistes, écrivains et théoriciens pour échanger sur leur rapport au cinéma dans des pratiques autres que des pratiques strictement filmiques. « Faux raccord » produit des formes hétérogènes qui donnent lieu à une circulation de pensées et à divers formats de transmission et de diffusion : des éditions chez Le Gac Press (West de Marcelline Delbecq, Passages de l’histoire de Dork Zabunyan, Sommeil léger de Dominique Petitgand, Stairway to d’autres supports de Jean-Charles Massera. Livrets à venir de Pierre Creton et de Raymond Bellour). En lien avec les éditions, un colloque et une exposition sont en préparation pour l’automne 2014.
Dans le cadre de cette recherche, plusieurs partenariats ont été mis en place : une convention de recherche en 2013 avec l’université Paris 7 l’université Paris 7- Denis Diderot (CERILAC) et l’université de Paris 13 – Villetaneuse (CENEL) pour le projet « Les contemporains. Littérature, arts visuels et théorie. ». Il a donné lieu à une journée d’études au printemps 2013, intitulée « Sur quelques événements politiques récents. ». Un partenariat avec l’ESAD – Grenoble Valence pour le Projet « Entr’écoles » : Des formes de la transmission à la transmission comme forme – Un film de Grenoble par Kassel (2013-2014). Un partenariat avec le festival Premiers plans d’Angers qui donne lieu à l’organisation de programmations de films. Nous assistons chaque année au séminaire automnal du BAL organisé à l’EHESS-Paris et souhaitons renforcer à l’avenir le lien avec cette institution. Le programme, soutenu par l’Institut Français, a une portée internationale. Le film Parades a été réalisé à l’issue d’un partenariat avec Beit Berl College en Israël. Un projet « Crossing documents » est en cours en partenariat avec l’Académie Internationale des Arts en Palestine à Ramallah.

programmes de recherche

Journées Portes ouvertes

> Vendredi 2 février et samedi 3 février 2024

Concours d’entrée 1e année Art et Design

> Épreuves théorique et pratiques : 6 et 7 avril 2024 en distanciel
> Entretien devant le jury : le 17 ou 18 avril 2024 à TALM-Angers

activité post- ou périscolaire

Cours publics
Des cours et ateliers sont conçus pour répondre aux attentes du public amateur.
Ils ont lieu le soir ou la journée et durent de deux à trois heures. Des voyages sont occasionnellement organisés pour des visites d’expositions, des rencontres d’artistes.
– Ateliers d’éveil aux arts plastiques (6 -14 ans)
– Cours de dessin préparatoires (15-20 ans)
– Dessin et peinture (15-20 ans) – Multimédia (15-20 ans)
– Dessin, croquis (18 ans et +)
– Dessin et peinture (18 ans et +)
– Peinture (18 ans et +)
– Histoire de l’art (18 ans et +)
– Modelage, volume, sculpture (18 ans et +)
– Gravure (18 ans et +)
+ d’informations

Intensifs
Ces ateliers sont proposés sous la forme de sessions courtes – de cinq à treize séances d’une durée de deux heures. Elles ont pour objectif de faire découvrir un médium inédit dans les ateliers de pratiques amateurs : photographie, fonderie, film d’animation ou encore tapisserie. Les intensifs sont encadrés par des intervenant professionnels. Ces ateliers sont accessibles à partir de 15 ans.
– Photographie (technique)
– Photographie (artistique)
– Film d’animation
– Fonderie
– Textile miniature
+ d’informations

Stages
Les stages pour adultes et pour enfants sont encadrés par des intervenants professionnels. Les stages pour adolescents sont des stages monitorés. Ils sont encadrés par des élèves de quatrième ou de cinquième années de l’École supérieure d’art et de design TALM-Angers.
+ d’informations

coopération internationale

TALM élargit chaque année son envergure internationale en développant de nombreux partenariats avec des écoles d’art et des institutions étrangères.
L’établissement offre de multiples possibilités de séjours d’études à l’étranger. Les programmes d’échanges s’inscrivent dans le cursus normal de l’étudiant et sont proposés en priorité aux étudiants de quatrième année. Le séjour d’études dans une école étrangère oblige à confronter les premières ébauches d’un projet personnel à d’autres enseignants, d’autres milieux pédagogiques et culturels. Les trois sites de l’école signent des conventions bilatérales Erasmus pour la mobilité de leurs étudiants et de leurs professeurs et ont également des partenariats privilégiés avec des institutions hors Europe.
Établissements partenaires ERASMUS

galerie

2 salles d’exposition intégrées.

équipements spécifiques

Ateliers sérigraphie, lithographie, gravure, fab-lab, céramique, édition/impression, cinéma-vidéo, photographie, informatique, fonderie, métallerie, menuiserie-ébénisterie, textile…

réseaux

ANdÉA, Art Accord France, ELIA (European League of Institutes of the Arts), Institut français, OFAJ (Office franco-allemand pour la jeunesse), Campus Art, ENCoRE (European Network for Conservation-Restoration Education), Le Bois Sacré.
+ d’info sur les partenaires

équipe administrative

Marie-Haude Caraës Directrice générale TALM
Anne-Hélène Frostin Directrice TALM-Angers, directrice adjointe TALM
Corinne Arrivé Assistante de direction
Sylvain Coneau Informatique
Fanny Dumez Chargée d’accueil et des cours publics
Béatrice Dupré Coordinatrice de l’action financière
Carole Fiani Assistante pédagogique
Éva Foisneau Chargée de communication
Soizic Lebrun Responsable pédagogique
Céline Ménager Documentation
Nicolas Quemener Responsable équipe technique

professeurs

Enseignant·es cursus : Thomas Bauer, Arnaud Bernus, Antoinette Bois de Chesne, Sophie Breuil, Denis Brillet, Bernard Calet, Anne Couzon Cesca, Mathieu Delalle, Agathe Dumont, David Enon, Salomé Gendron, Géraldine Gourbe, Gildas Guihaire, François Guindon, Sandrine Jousseaume, Regine Kolle, Myriam Lefkowitz, Clovis Maillet, Grégory Markovic, Laurent Millet, Strbac Mladen, Nicolas Moulin, Angeline Ostinelli, Jérôme Pasquet, Sandrine Pincemaillle, Sébastien Pluot, Charles Poulain, Etienne Poulle, Julien Quentel, Jacqui Riva, Vanessa Theodoropoulou, Fabien Vallos, Jean-Benoît Vétillard

Enseignant·es des cours publics : Claire Alary, Matthieu Boucheron, Marika Bürhmann, Andy Guérif, Janig Merien, Gildas Paré, Mladen Strbac, Émilie Thibaudeau, Élodie Verdier

coordonnées

Hôtel d’Ollone – 72, rue Bressigny
49100 | Angers
tél. +33 (0)2 72 79 86 90
contact-angers@talm.fr
esad-talm.fr

effectif

  • 290 élèves en cursus
  • 650 élèves aux cours publics

Angoulême

École européenne supérieure de l’image Angoulême-Poitiers | Site Angoulême

présentation

L’École européenne supérieure de l’image – ÉESI Angoulême-Poitiers est née de la réunion des écoles d’art d’Angoulême et de Poitiers.
En plus d’un parcours en création artistique contemporaine proposé sur les deux sites de l’école, les champs de spécialité cultivés à l’ÉESI sont les littératures graphiques et la bande dessinée à Angoulême, et la création numérique étendue aux jeux, aux nouveaux médias et à tous dispositifs d’interaction, à Poitiers. L’ÉESI est le seul établissement à proposer un master bande dessinée et un doctorat de création en bande dessinée, en partenariat avec l’université de Poitiers.
Composée de professeur·es, artistes, auteur·trices et technicien·nes spécialisé·es reconnu·es dans le champ professionnel, l’équipe pédagogique de l’ÉESI travaille à l’émergence de la jeune scène artistique de demain. Elle prodigue un enseignement exigeant, diversifié et ouvert mêlant théorie et pratique artistique, en lien avec de nombreux partenaires régionaux, nationaux et internationaux qui favorisent l’insertion de chaque étudiante et étudiant dans le monde de la création artistique contemporaine.
Des projet architecturaux sont actuellement en cours sur les deux sites : l’école disposera en 2024 de bâtiments répondant aux besoins évolutifs de l’établissement, pour faire émerger l’individualité des élèves, dans la proximité, la friction, entre les disciplines et médiums, offrant de multiples lieux de pratiques et d’expositions.
Photo : WorkshopLaurentTixador-©2017FloreTricotelle

1/1

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Art mention bande dessinée (site d’Angoulême)
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention bande dessinée (site d’Angoulême)

 

troisièmes cycles

Doctorat d’expression artistique et littéraire spécialité bande dessinée, en partenariat avec l’université de Poitiers

vae

L’association Le Grand Huit qui regroupe les cinq écoles supérieures d’art et deux classes préparatoires publiques de Nouvelle Aquitaine sous tutelle du ministère de la Culture, propose la VAE – Validation des acquis de l’expérience pour l’obtention du DNA (grade licence) et du DNSEP (grade master).

coopération internationale

Particulièrement soucieuse d’ouvrir les jeunes artistes à d’autres espaces (culture, histoire, pratique, concept, économie), l’École européenne supérieure de l’image Angoulême – Poitiers, mène une politique active d’internationalisation, pensée à deux échelles : l’internationalisation à l’étranger et l’internationalisation à domicile. En art, comme en tout autre domaine, les jeunes diplômé·es doivent obtenir de leur formation la capacité d’interlocution (maîtrise linguistique) et d’interaction (adaptation au contexte) avec le monde contemporain.
Partir à l’étranger : mobilité en 4ème année, stages, ERASMUS+
Venir étudier à l’ÉESI
Établissements partenaires
Projets internationaux

équipements spécifiques

Description complète de nos équipements spécifiques dans le rapport d’activité
Ateliers volume, menuiserie, photo, plateau de prise de vue, studio de montage vidéo et son, atelier numérique, presses, sérigraphie, photo, vidéo, son, édition, programmation, peinture, volume, stop-motion, 2D, 3D, postproduction…
Bibliothèque

 

équipements spécifiques

 

 

 

équipe administrative

accueil Angoulême Gaëlle Peron
tél. 05.45.92.66.02 g.puimaly@eesi.eu

accueil Poitiers Charlotte Guibert 07 45 19 45 35  c.guibert@eesi.eu

direction générale Marc Monjou
direction.generale@eesi.eu
assistante de direction Sophie Burel
s.burel@eesi.eu
secrétaire générale – adjointe à la direction Catherine Beaudeau
c.beaudeau@eesi.eu
directrice des études Sandrine Rebeyrat
s.rebeyrat@eesi.eu

coordinatrices pédagogiques
Adeline Lapeyre, site d’Angoulême
a.lapeyre@eesi.eu
Barbara Benedetti, site de Poitiers
b.benedetti@eesi.eu

responsable des relations internationales
Charlotte Martin
c.martin@eesi.eu

responsables bibliothèques
Anne Balanant, site d’Angoulême
a.balanant@eesi.eu
Romain Gasmi, site de Poitiers
r.gasmi@eesi.eu

responsable communication
Hélène Meunier
h.meunier@eesi.eu
designer graphique
Céline Chip
c.chip@eesi.eu

assistante communication

Belaura Alialabi

b.alialabi@eesi.eu

Service informatique
Sébastien Gonzalez, site d’Angoulême
s.gonzalez@eesi.eu
Jérôme Grellier, site de Poitiers
j.grellier@eesi.eu

Gestion des sites
Aurélien Stricher, site d’Angoulême
a.stricher@eesi.eu
Vincent Delavault, site de Poitiers
v.delavault@eesi.eu

Comptabilité
Marie Mahérault, site d’Angoulême
Charlotte Guibert, site de Poitiers

Ressources humaines
Fabienne Berger

Atelier technique
Stéphane Desforges, technique et maintenance, site d’Angoulême
Patrick Simonnet, agent de maintenance, site de Poitiers
Jacqueline Guéraud, agent d’entretien, Poitiers
Rudy Champagne, gardien, site de Poitiers
Samir Dahmani, gardien, site d’Angoulême

professeurs

Elsa Abderhamani, bande dessinée, second semestre
Louise Aleksiejew, dessin
Alexandre Balcaen, histoire de la bande dessinée
Laurent Bourlaud, bande dessinée
Margot Criseo, bande dessinée, premier semestre
Frédéric Curien, espaces sonores et musicaux
Athanassios Evanghelou, histoire et théorie des médias, second semestre
Claire Fouquet, images animées
Malgorzata Grygielewicz, théorie de l’art, philosophie
Dominique Hérody, bande dessinée, dessin de narration
Oriane Lassus, bande dessinée
Frédéric Lefever, photographie
Guy Limone, peinture
Désirée Lorenz, lecture et écriture critique
Géraldine Longueville, études culturelles
Laurent Makowec, vidéo, cinéma
Audrey Ohlmann, édition
Régis Pinault, volume
Benoît Preteseille, bande dessinée, littératures graphiques
Élodie Royer, actualités de l’art contemporain
Julie Staebler, bande dessinée, littératures graphiques
Emmanuel Van der Meulen, peinture
Caroline-Jane Williams, anglais
Stephen Wright, pratique de la théorie.

coordonnées

134 rue de Bordeaux
16000 | Angoulême
tél. +33 (0)5 45 92 66 02
fax +33 (0)5 45 94 92 28
contact@eesi.eu
www.eesi.eu
Site dédié aux journées portes ouvertes et concours : jpo.eesi.eu
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vimeo

effectif

Effectif des étudiant·es 2022-2023
Nombre d’étudiant·es : 275
Site d’Angoulême : 167
Site de Poitiers : 108

Annecy

École supérieure d’art Annecy Alpes

présentation

L’école supérieure d’art Annecy Alpes (ESAAA) fait partie du réseau national des écoles supérieures d’art sous tutelle pédagogique du Ministère de la Culture. Partant d’un postulat global d’une attentionalité, d’une émancipation par une approche réflexive, l’ESAAA propose un programme pédagogique conçu et construit collectivement par un groupe d’enseignant∙e∙x∙s en relation avec une équipe active pour les accompagner dans la mise en œuvre des idées, des processus et des projets.

Deux voies sont proposées à l’issue d’une année propédeutique :

  • le cursus ART vers un Master Monstre
  • le cursus DESIGN vers un Master Terrain

Ainsi se créent d’octobre à juin, et au-delà, des situations, des performances, des objets, des formes multi-médias ou encore des éditions.

L’enseignement artistique et de terrain se prolonge et se déploie en lien avec ESAAA unité de recherche qui rassemble un DSRA et les laboratoires de l’École, et agence leurs activités. Il est ouvert à des artistes qui trouvent dans l’école un accompagnement propice au développement d’un projet de recherche-création.

C’est en synergie que programme pédagogique et programme de recherche viennent constituer une aura singulière qui est celle de l’ESAAA.

L’ESAAA, c’est aussi :
− une structure éditoriale, ESAAA éditions pour mettre en partage ce qui est produit (dans la pédagogie, dans la recherche, avec les personnes qui proposent des « positions ») ;
− un fablab Art et Design, l’ESAAA lab, également ouvert aux makers du territoire ;
− une résidence d’artistes et chercheur∙ses, ESAAA résidences à La Puya et ses extensions pour accueillir des artistes en exil ;
− une classe préparatoire aux écoles d’art et design, ESAAA prépa (en cours de redéfinition) ;
− des ateliers, ESAAA pratiques amateurs, pour enfants, adolescent∙es, adultes.

Toutes ces dimensions ont vocation à s’inter-connecter, à entrer en friction, et à être mises à l’épreuve de terrains tant locaux qu’européens ou internationaux, comme autant de mondes à rencontrer pour que les mutations et transformations nécessaires puissent avoir lieu. Pour que la multiplicité des regards et des expériences puissent opérer et venir enrichir les études des artistes en devenir.

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ESAAA - site des Marquisats crédits : Léonard Contrameste

options

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design d'espace
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design d'espace

troisièmes cycles

DSRA Diplôme supérieur de recherche en art de l’ESAAA

Le DSRA est un diplôme de troisième cycle (Bac+8) reconnu et financé par le Ministère de la Culture. Il conduit de jeunes artistes, designers, architectes et autres créateur∙trices ainsi que des théoricien∙nes à un diplôme d’école préparé en 3 ans, après un master ou un DNSEP.

classe préparatoire

ESAAA prépa

Vers une nouvelle classe prépa 2024-2025

L’ESAAA est accessible sur concours immédiatement après le Bac et la première année d’étude est un temps de découverte des possibles, d’exploration des territoires artistiques et d’orientation entre les départements Art et Design. Cependant, parce que tout le monde ne réussit pas du premier coup l’examen d’entrée, ou parce que certain∙es doivent d’abord préciser leur orientation, développer leur pratique et leurs compétences, ou encore parce qu’iels souhaitent s’entraîner pour entrer en première année dans une école ailleurs qu’à Annecy, la classe préparatoire de l’ESAAA accueille après le Bac, ou son équivalent, celles et ceux qui souhaitent s’engager dans une formation artistique et qui ont besoin d’une passerelle.

La classe prépa de l’ESAAA est cette année en pause et en redéfinition, pour un retour prévu en septembre 2024.

unités de recherche

L’Unité de recherche de l’ESAAA

Depuis 2005, l’ESAAA a développé une activité de recherche regroupant l’activité de plusieurs de ces enseignant·es, étudiant·es, et jeunes artistes issus de l’école. Ce travail, soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre des appels à projet Recherche, a permis la mise en place d’une ligne de recherche (le LAC, 2005-2008) extrêmement productive et qui a commencé à typer l’activité de l’ESAAA. Puis, fort de cette première expérience et de l’arrivée à l’école de personnalités engagées dans des démarches de recherche, l’école a mis en place à la rentrée 2009 une unité de recherche pérenne dotée d’un espace de travail, d’un soutien administratif et d’un budget propre, afin d’accompagner au mieux le travail d’une équipe référente qui travaille selon différents programmes de recherche.

Cette équipe référente est par ailleurs augmentée de « chercheur·ses associé·es » (théoricien·nes, artistes et autres praticien·nes), en nombre variable en fonction des projets, ainsi que de jeunes artistes et étudiant·es chercheurs·ses qui préparent à l’ESAAA un troisième cycle, le DSRA (Diplôme Supérieur de Recherche en Art).

Profitant de cet écosystème, encadré par des enseignant·es-chercheurs·ses qui, pour la plupart, dirigent des programmes de recherche ou sont responsables d’un ou plusieurs projets de Diplôme Supérieur de Recherche en Art, les étudiant·es de DNSEP à l’ESAAA sont associé·es au travail que développe l’ESAAA – pour définir, mettre en œuvre et diffuser une recherche spécifique, en phase avec l’environnement spécifique qu’est une école supérieure d’art et de design.

Ses actions :

  • Nourrir l’enseignement en 1er cycle du travail des enseignant·es, théoricien·nes et praticien·nes, qui sont aussi des chercheur·ses actif·ves, apportant dans leurs enseignements le contenu et la dynamique prospective de leurs recherches
  • Mettre en place une réelle initiation à la recherche en 2e cycle, proposant aux étudiant·es de Master en Art et en Design une méthodologie, des habitudes de travail, une maîtrise de la démarche de projet et une capacité à mener leur activité selon le régime de la recherche, en particulier en s’appuyant sur une réflexion systématique relative aux formes du mémoire
    de DNSEP
  • Soutenir et valoriser l’activité du premier 3e cycle spécifique dans une école d’art française : le DSRA – le Diplôme Supérieur de Recherche en Art qui, depuis 2009, propose à des artistes, designers, architectes et autres praticien·nes, mais aussi à des philosophes, des historien·es de l’art et autres théoricien·nes, de mener un projet de recherche pendant une durée de trois ans minimum
  • Contribuer à capitaliser l’expérience des programmes de recherche pluriannuels développés au fil du temps (sur l’expérimentation, le format, les marges de la scène artistique de
    Los Angeles, la pensée sauvage, la basse définition, le cinéma de Daniel Pollet, la question des ambiances…) avec des équipes constituées ad hoc, en fonction de la définition et des enjeux précis du programme en question
  • Explorer de nouvelles pistes de recherche possédant une dimension structurante pour l’activité de recherche de l’ESAAA et l’accueil des projets de DSRA

programmes de recherche

Effondrement des Alpes – Inventer un nouveau patrimoine 2018-2022

L’EdA (pour «Effondrement des Alpes») est un programme de recherche transversal qui s’est inscrit au cœur de l’ESAAA de 2018 à 2022, mobilisant des étudiant·es, des artistes et chercheurs·ses inscrit·es en DSRA, des enseignant·es, artistes, designers, théoricien·nes, et autres praticien·nes de la recherche en art à l’ESAAA.

Le point de départ de cette recherche (le réchauffement climatique qui dans les Alpes provoque la fonte du permafrost, ciment de glace qui maintient la cohésion des falaises d’altitude, et qui, depuis quelques années, provoque de spectaculaires effondrements rocheux) a permis de lancer une aventure collective multipliant les approches : art, ethnologie, architecture, géomorphologie, cinéma, design, géographie, alpinisme, collapsologie, droit, économie…

L’EdA s’est ainsi déployé sur trois années, fonctionnant projet après projet, inventé au fur et à mesure de l’avancée du programme, et construit pour et avec des partenaires inscrits dans différents territoires.

 

L’humilité des possibles – 2023-2026

« L’humilité des possibles » est un projet collectif de recherche en art porté par l’Unité de Recherche de l’ESAAA qui a l’ambition d’explorer et expérimenter les conditions esthétiques situées de la transformation écologique, entendue non pas seulement dans le sens du développement durable mais plus largement dans le sens d’une transformation anthropologique consistant à redevenir terrien pour mieux changer de cosmos, autrement dit changer de conception du monde et de place de l’humain en son sein.

Dans le prolongement du projet « Effondrement des Alpes » (Interreg France-Suisse 2018-2022) et de son volet de production artistique « Les Ambassadrices » (soutenu par la Fondation Carasso), « L’humilité des possibles » vise un triple objectif : théorique, communautaire et artistique. Riche de son expérience de réflexion et de création menée au carrefour de l’art et des sciences face aux conséquences du réchauffement climatique sur le territoire alpin, l’ESAAA propose en effet d’approfondir cette recherche en réfléchissant aux modalités de l’expérience sensible capables de transformer le rapport des individus à l’environnement. Ces modalités nous apparaissent aujourd’hui comme une propédeutique esthétique nécessaire pour réactiver l’imaginaire du possible.

L’idée centrale de ce projet est en effet que les mondes possibles qui seraient en mesure de défier le probable de la catastrophe ne sont ni des utopies clés en main élaborées par des idéologies hors sol, ni des plans techniques dessinés par une ingénierie incapable de quitter le territoire de ses certitudes : le possible doit être désormais situé et terrien – telle est son humilité – mais d’une manière qui fait justement de ce lien le ressort d’un imaginaire puissant capable de déplacer les points de vue, de pluraliser les perspectives, de décentrer les identités et de composer des communautés hybrides et fortes.

Mobilisant notamment les ressources de l’esthétique environnementale, de l’anthropologie, des théories féministes, de l’art et de la littérature contemporaine, ce projet accompagnera, concrètement, la transformation de la communauté de l’école dans sa mutation architecturale et urbanistique durant une période de travaux où des locaux nouveaux seront investis, stimulant ainsi les étudiant·es, les enseignant·es et les chercheurs·ses dans la définition d’une pédagogie expérimentale tournée vers la transition écologique.

éditions

ESAAA éditions

Depuis 2013, l’ESAAA diffuse des positions artistiques et théoriques nécessaires à notre époque à travers sa structure éditoriale ad hoc : ESAAA éditions. Sont ainsi produits chaque année des ouvrages issus de l’activité de recherche de l’école, des travaux d’artistes et designers chercheur·ses inscrit·es en DSRA, ou encore des projets portés par l’école.
ESAAA éditions est distribué par les Presses du Réel.

 

activités & événements

Bénéficiant d’un réseau de partenaires précieux aux niveaux local, régional, national et international, l’ESAAA propose plusieurs activités :

  • Conférences avec des artistes, designers et autres professionnel·les du monde de l’art
  • Expositions
  • Séminaires de recherche
  • Rencontres avec des intervenant·es extérieur·es
  • Workshops
  • Voyages d’étude
  • Mobilités internationales d’étude et de stage
  • Résidences de création et restitutions…

Les expositions de travaux d’étudiant·es et d’artistes invité·es ont lieu dans divers espaces d’exposition de l’Agglomération d’Annecy et du Département de la Haute-Savoie mais aussi plus loin, selon les projets artistiques et de recherche du moment (par exemple : BOZAR Bruxelles, le Centre de la Photographie Genève, le MAC Lyon, Le Magasin – Centre national d’art contemporain…).

Pour en savoir plus : esaaa.fr/esaaa/agenda/

activité post- ou périscolaire

ESAAA pratiques amateurs

L’ESAAA p.a., l’école des pratiques amateurs de l’ESAAA est ouverte à toutes et tous : enfants, adolescent·es et adultes, débutant·es ou praticien·es confirmé·es. Celle-ci propose plusieurs activités relevant autant des pratiques historiques des Beaux-Arts que des formes les plus contemporaines de la création : une trentaine d’ateliers à l’année, workshops et stages artistiques, mais aussi des expositions, des visites de lieux culturels d’autres événements.

L’école des pratiques amateurs de l’ESAAA est membre associé de l’ANÉAT – Association Nationale des Écoles d’Art Territoriales de pratiques amateurs et fait partie du réseau des pratiques amateurs sur le territoire annécien appelé PAM’ – les arts visuels en pratique.

coopération internationale

L’ESAAA est titulaire de la charte Erasmus+ et bénéficie du dispositif de la Bourse Région Mobilité Internationale Étudiants de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Mettant à profit sa situation géographique privilégiée – au carrefour entre la France, la Suisse et l’Italie, l’ESAAA mène de nombreux projets internationaux et intègre les expériences à l’international dans sa vision de la pédagogie et de la recherche.

Par ailleurs, les étudiant∙es de l’ESAAA prennent part à des voyages à l’international dans le cadre de leur cursus (workshops, travaux situés, voyages d’observation, etc.). Entre autres, ils et elles ont la possibilité d’effectuer un stage à l’international ou de passer plusieurs mois dans une école partenaire lors d’une mobilité internationale d’études.

galerie

Le bâtiment de l’ESAAA situé sur le site de Marquisats propose plusieurs espaces de monstration :

  • la salle blanche
  • la salle noire
  • la salle volume
  • les salles d’accrochage 1, 2 et 3…

équipements spécifiques

  • ateliers techniques et leurs magasins d’outils : ESAAA lab (impression 3D, machines à coudre, etc.), l’atelier éditions, les ateliers volumes, bois, métal, sérigraphie, céramique…
  • ateliers de production vidéo-son, photo et de travail multimédia
  • salle informatique
  • bibliothèque
  • BOZAR : lieu de réemploi de matériaux en partenariat avec Bazar sans Frontières, qui intègre un magasin de matériaux et un espace réservé aux étudiant∙es de l’ESAAA.

 

réseaux

ANdEA, Le Grand Large (anciennement ADÉRA), AC//RA, Altitudes, BEAR, ANEAT, PAM’ – les arts visuels en pratique.

équipe administrative

Isabelle Carlier Directrice
Laurie Chappis-Peron Responsable des études
Kristell Blache-Comte Responsable de la recherche
Danièle Arditi Administratrice / responsable des ressources

Sandrine Alberca Accueil, secrétariat ESAAA p.a., administration
Kévin Anthoine-Milhomme Fab Manager
Kardelen Ayhan Secrétariat pédagogique
Hélène Donzier Administration
Liz Escalle-Dyachenko & Julie Nugues Bibliothèque
Camille Garnier Éditions
Andra Mardare Communication, international

professeurs

Sheila Atala
Arlène Berceliot Courtin
Jean-Marc Chapoulie
Matthieu Clainchard
Alexandre Costanzo
Clôde Coulpier
Estelle Deschamp
Guillaume Dorvillé
Laurent Faulon
Vir-Andrés Hera
Anne Kawala (congé d’un an)
Sandra Lorenzi
Emmanuel Louisgrand
Gilles Perdu
Julien Ribeiro
aniara rodado
Mathilde Sauzet Mattei (disponibilité)
Didier Tallagrand
Maxime Thieffine
Nicolas Tixier
Claire Viallat-Patonnier
David Zerbib

coordonnées

52 bis rue des Marquisats
74000 | Annecy
tél. +33 (0)4 50 33 65 50
contact@esaaa.fr
www.esaaa.fr

effectif

Environ 200 étudiant·es

Arles

École nationale supérieure de la photographie

présentation

Dédiée à la formation, à la recherche, et à l’expérimentation à la fois artistique, scientifique et technique des créateurs et des créatrices des images contemporaines, l’École nationale supérieure de la photographie (ENSP) est également un espace de rencontres et de partage entre étudiant·e·s, enseignant·e·s, artistes, chercheur·cheuse·s et citoyen·ne·s.

Établissement d’enseignement supérieur sous la tutelle du Ministère de la Culture, l’ENSP est située à Arles au sud de la France, ville emblématique de la culture photographique. En 2020, l’École d’Arles a déménagé dans un bâtiment de 5000 m2 tout en transparence, signé par l’architecte français Marc Barani et qui permet de poursuivre ses activités d’enseignement, tout en proposant des espaces ouverts au public : une salle d’expositions de 450 m2, un auditorium de 185 places, une bibliothèque avec plus de 30 000 exemplaires et un Fablab, laboratoire de fabrication et de création numérique d’objets et d’images de toute sorte.

Fière de sans cesse développer de nouvelles réflexions interdisciplinaires et d’encourager la pluralité des pratiques artistiques autour de la photographie et des images, plusieurs sphères de formations et d’activités se croisent à l’École d’Arles: de la Formation initiale, diplômante, à la Formation professionnelle continue et certifiante, sans oublier la recherche avec le Doctorat en partenariat avec l’Université d’Aix-Marseille, les activités proposées aux amateurs avec les Cours de photographie pour tous, ou encore, la jeune création internationale au travers du programme de résidence et de mentorat de recherche et de création qui lui est consacré.

En 2019, un nouveau bâtiment de 5000m2, pensé toute en transparence et en ouverture vers le public, dessiné par l’architecte Marc Barani, a été inauguré et pleinement occupé par les étudiant·e·s et les équipes à l’aube de l’année 2020.

Le premier étage, en rez-de-boulevard, est ouvert au public, avec son auditorium de 185 places et ses 450 m2 de salle d’exposition.

L’étage intermédiaire, plus intime, s’organise autour d’un patio gradiné, et héberge des espaces où se côtoient les étudiant.e.s et le public extérieur, avec trois salles de monstration des travaux des étudiant.e.s , la bibliothèque et ses 30 000 volumes ainsi que les espaces dédiés à la Formation continue, et au Fablab.

Enfin, l’étage inférieur, en rez-de-jardin, abrite l’essentiel des espaces pédagogiques avec les laboratoires de photographie couleur comme noir et blanc, argentique comme numérique, des salles d’infographie, de vidéo et de son, ainsi que trois studios de prise de vue. L’école est l’un des derniers établissements – peut-être le dernier – à poursuivre la pratique des procédés anciens aux côtés des pratiques photographiques et audiovisuelles les plus contemporaines.

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diplômes

Le diplôme de l’École nationale supérieure de la photographie, conférant le grade de Master, offre en trois années d’études de solides connaissances théoriques et une formation technique approfondie de l’image et de ses enjeux contemporains. Jeunes artistes, chercheurs et chercheuses sont alors prêts à débuter leur activité dans les métiers de l’image fixe ou en mouvement, tels que photographe-auteur, vidéaste, retoucheur, technicien d’art, mais aussi à évoluer dans les domaines de l’exposition ou de l’édition.
Le master est accessible à Bac+2, sur Concours d’entrée.
La limite d’âge pour se présenter au concours est fixée à 30 ans. Après avoir passé avec succès les épreuves du concours, l’étudiant ou l’étudiante n’est formellement inscrit·e dans l’école qu’après avoir réglé le montant annuel des frais d’inscription de la première année (frais fixés par un arrêté du Ministère de la Culture, à titre indicatif : 438 euros pour l’année 2020/2021).

À leur sortie de l’école, les diplômé·e·s sont accompagné·e·s par l’ENSP pendant les trois premières années de leur vie professionnelle, notamment grâce à l’accès aux équipements de l’école. Depuis janvier 2021, une plateforme virtuelle dédiée offre également une visibilité sur leur travail et leur actualité : alumni.ensp-arles.fr/

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-master

troisièmes cycles

Doctorat de création

Depuis 2013, l’ENSP propose le doctorat « Pratique et théorie de la création artistique et littéraire », offert conjointement par l’École d’Arles et Aix-Marseille Université. Ce projet pluridisciplinaire a pour objectif de permettre aux doctorant·e·s de développer un projet de recherche en photographie et d’associer une réflexion théorique et épistémologique à leur pratique artistique.

Le doctorat se déroule à l’École d’Arles et à AMU pendant 3 ans.
Pendant la durée de la thèse, les doctorant·e·s en spécialité photographie sont co-encadré·e·s par un.e co-directeur·trice artistique et par un·e directeur·trice académique professeur·e de rang A, titulaire d’une Habilitation à diriger des recherches (HDR) rattaché·e à l’une des huit unités de recherche de l’ED 354.

Les candidat·e·s doivent être titulaires d’un diplôme de Master 2 (ou conférant le grade de Master 2) depuis plus de deux ans et pouvoir attester dans leur parcours d’une initiation à la recherche.

Pendant la durée de la thèse, le ou la doctorant·e est autonome dans la conduite de sa recherche, mais est en contact régulier avec ses co-directeur·trice·s. Il ou elle s’implique dans ses activités de recherche et bénéficient de tous les équipements et les ressources proposés au sein de l’ENSP. L’encadrement doctoral comprend plusieurs séminaires doctoraux par an dont les invité·e·s sont choisi·e·s par les doctorant·e·s et l’équipe pédagogique selon les recherches et les intérêts en cours. Les doctorant·e·s ont eu l’occasion de présenter leurs travaux à des personnalité·e·s aux expériences et compétences variées telles que Arnaud Claass, Arno Gisinger, Véra Léon, Nathalie Voarino, Alexis Guiller, Mélanie Pavy.

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-doctorat

post-diplôme

Le mentorat

L’École nationale supérieure de la photographie, avec 40 ans d’expérience dans le domaine de l’éducation à l’image, au cœur d’Arles, ville emblématique de la photographie en France, ouvre pour la première fois un programme international de mentorat. Il s’adresse à tout.e photographe artiste ayant une pratique professionnelle, consolidée sur plusieurs années, qui souhaite bénéficier d’un accompagnement approfondi dans sa démarche artistique.
Partant d’un questionnement sur votre parcours professionnel et votre pratique artistique, vous serez guidé.e pour donner une nouvelle orientation à vos projets de création, porter un regard critique, conduire leur mise en œuvre, et renforcer vos compétences techniques et vos connaissances du milieu de l’art et de la photographie. Ce travail d’accompagnement individuel et collectif est porté dans son ensemble par Gilles Saussier, artiste photographe et enseignant à l’ENSP, avec la complicité de différents intervenant.e.s invité.e.s tout au long du programme.

Pendant toute la durée du mentorat, vous bénéficiez d’un accès à l’ensemble des équipements et activités de l’école : laboratoires numérique, argentique, infographie, audiovisuel, studio, Fablab, bibliothèque avec plus de 30 000 références, conférences, rencontres, etc.

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-mentorat

vae

L’École nationale supérieure de la photographie s’est engagée dans cette voie d’acquisition de diplôme depuis 2007 en instituant son propre centre d’examen et de validation pour l’obtention du diplôme de l’ENSP, conférant le grade de Master.
+ d’information

formation continue

Formation professionnelle continue aux métiers de l’image à l’ENSP d’Arles

Depuis presque 40 ans, l’École nationale supérieure de la photographie (ENSP), établissement Public sous tutelle du Ministère de la Culture et de la Communication, dispense un enseignement de haut niveau pour former des photographes auteurs, des vidéastes et d’une manière plus générale des professionnels de l’image.

L’ENSP a ouvert un pôle de formation continue en 2007 afin de proposer des sessions de formation aux professionnels des métiers de l’image, aux artistes ainsi qu’aux passionnés de photographie.

La programmation pédagogique se base sur un apprentissage précis et complet des pratiques de la photographie contemporaine, combinant rigueur technique et réflexion théorique, conformément à ce qui, depuis son origine, caractérise l’ENSP.

L’ENSP propose en présentiel comme en distanciel :
› des formations courtes
› des formations longues, dont 3 certifications et un cycle thématique non certifiant
› une VAE
› un mentorat
› des formations sur-mesure pour les entreprises

L’équipe de la formation continue de l’ENSP est à votre écoute pour construire conjointement votre parcours de formation et de professionnalisation.

› Toute l’offre est à découvrir sur le site dédié : ensp-formation.fr

coopération internationale

Découvrir comment partir à l’étranger ou venir étudier à l’ENSP depuis l’étranger, mais aussi la liste des écoles partenaires de l’ENSP : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-master/linternational

revues

activité post- ou périscolaire

Les cours pour tout·e·s
L’ENSP propose, dans le cadre des Cours de photographie pour tout·e·s, un samedi par mois de novembre à avril, un enseignement adapté à la découverte et/ou à la pratique maîtrisée de la photographie, comprenant des apprentissages techniques et pratiques, ainsi que des apports historiques et théoriques. Une restitution du travail de l’année, des trois niveaux de formation, sera programmée en clôture du stage.
Les Cours de photographie pour tous sont ouverts aux photographes amateurs ou confirmés ainsi qu’aux passionnés de l’image souhaitant découvrir d’autres facettes de la création photographique. Une pratique régulière de la photographie est cependant nécessaire.

› En savoir plus : Les cours pour tout·e·s

galerie

La salle d’exposition de l’ENSP s’étend sur une surface de 450 m2 et accueille tout au long de l’année des travaux d’étudiants, des workshops, des expositions et des performances.

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/evenements

réseaux

› ANdEA
› ELIA
› L’École(s) du Sud
› Arles contemporain

équipe administrative

Marta Gili, Directrice
Delphine Paul, Directrice des études et de la recherche
Céline Bigi, Secrétaire générale

Véronique Louviot, Secrétaire pédagogique
Gwendoline Allain, Responsable du développement international et de la professionnalisation
Laurence Canaux, Assistante chargée de la recherche, du 3e cycle et des relations internationales
Yannick Vernet, Responsable du Fablab et des projets numériques
Marie Viguié, Responsable de la Bibliothèque
Juan Castro, Responsable de la formation professionnelle continue
Lucile Guyomarc’h, Chargée de communication
Juliette Vignon, Responsable des expositions et des éditions
Sarah Le Brocq, Coordinatrice des projets d’action culturelle

professeurs

Caroline BERNARD
Nicolas GIRAUD
Tadashi ONO
Paul POUVREAU
Gilles SAUSSIER
Muriel TOULEMONDE
Fabien VALLOS

Laboratoire noir et blanc et Studio
Patrick MASSARY, responsable
Alexis BACOT, assistant

Laboratoire couleur
Christian L’HUILLIER, responsable
Axelle GEORGES, assistante

Laboratoire numérique
Lionel GENRE, responsable
Marie CONSTANT, assistante

Laboratoire audiovisuel
Franck HIRSCH, responsable

coordonnées

30 avenue Victor Hugo
BP 10149
13631 Arles Cedex
Du lundi au vendredi,
de 9h à 12h et de 14h à 17h30
T + 33 (0)4 90 99 33 33
communication @ensp-arles.fr
www.ensp-arles.fr

effectif

› 75 étudiant·e·s en master
› 5 doctorant·e·s
› 10 à 15 personnes formé·e·s dans le cadre de la VAE
› plus de 200 professionnel·le·s de l’image accueilli·e·s dans le cadre de la formation continue

Avignon

École supérieure d’art d’Avignon

présentation

L’École Supérieure d’Art d’Avignon est un établissement d’enseignement supérieur artistique dont la mission de formation se présente de manière originale au regard des autres écoles d’art en France : elle combine l’enseignement de la création avec celui de la préservation des biens culturels en préparant les étudiants à l’obtention de diplômes nationaux avec, d’un côté, une spécialisation en Création (mention Création) et, de l’autre, une spécialisation en Conservation-Restauration (mention Conservation-Restauration).

Conservation-Restauration
La mention Conservation-Restauration aborde des problématiques telles que diversité et combinaison de matériaux, regard critique sur ses pratiques (ex : pourquoi et comment restaurer une oeuvre éphémère ? l’acte de restauration doit-il être visible ?). Les réflexions s’appuient sur des objets ethnographiques ainsi que des œuvres d’art contemporaines. L’école offre actuellement l’un des quatre cursus nationaux de conservation-restauration habilités par la Direction des Musées de France et dont la reconnaissance est internationale.

Création
La mention Création conduit les étudiants à maîtriser les étapes de la conduite de projet (conception, expérimentation, réalisation, évaluation, réception) ainsi qu’à être en capacité de répondre à des appels à projet ou des commandes publiques. Il les prépare à exercer une profession artistique ou des activités connexes au champ de la création nécessitant des compétences administratives et/ou techniques : régisseur dans des institutions culturelles, enseignant en arts plastiques, concepteur-créateur, commissaire d’exposition, chef de projet artistique…

Visite virtuelle de l’école : esaavignon.eu/visite-virtuelle-de-lecole-superieure-dart-davignon/

 

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options

Art

diplômes

DNA option Art mention création 
DNA  option Art mention conservation restauration
DNSEP option Art mention création 
DNSEP  option Art mention conservation restauration

vae

DNA Art mention conservation restauration
DNSEP Art mention conservation restauration

programmes de recherche

activité post- ou périscolaire

Les Ateliers Libres (pratiques amateurs pour jeunes et adultes)

À l’instar de sa formation de licence et de master, l’École supérieure d’art d’Avignon offre une formation artistique non diplômante à destination d’un large public amateur de tout âge et tout parcours. Créés afin d’encourager l’expression d’une singularité individuelle, les Ateliers Libres de l’ESAA sont menés par des artistes dotés d’une trajectoire professionnelle dans l’enseignement.

esaavignon.eu/ateliers-libres/

coopération internationale

L’école participe à de nombreux projets pédagogiques nationaux et internationaux et à des programmes d’échanges bilatéraux. Elle reçoit le soutien du programme Erasmus de l’Union européenne, du Ministère de la culture (DGCA) et de la Région PACA (bourses Prame).

 

Partenariats nationaux

  • Partenariats engagés sur Avignon et la région proche : Festival d’Avignon, Université d’Avignon, Collection Lambert en Avignon, Institut supérieur des techniques du spectacle, Maison Jean Vilar, FRAC PACA, Musée d’Art Contemporain de Marseille, MUCEM…
  • Partenariats engagés avec les acteurs culturels nationaux : Palais de Tokyo, Musée du Quai Branly, Centre Interdisciplinaire de Conservation et de Restauration du Patrimoine.

 

Partenariats internationaux

  • Partenariats avec l’Académie des beaux-arts de Sarajevo, Bosnie, avec l’Académie des beaux-arts de Canton, Chine et le ’75’, Bruxelles, Belgique, Shenyang University of fine art and design Chine

équipements spécifiques

  • Ateliers techniques spécialisés (pôle multimédia, laboratoire argentique, menuiserie, soudure, moulage …) et ateliers de conservation-restauration.
  • Bibliothèque, salle de conférences et de spectacles.
  • Les conventions établies avec les institutions partenaires (Université, CICRP, ISTS), ouvrent aux étudiants l’accès aux laboratoires et aux équipements professionnels.

réseaux

ANdÉA, L’Âge d’or- réseau des écoles d’art du sud de la France

équipe administrative

Directeur Morgan Labar
Administrateur Raphaëlle Mancini
Assistante coordinatrice Émilie Chabert
Responsable pédagogique Cécile Cavagna
Accueil et secrétariat pédagogique Laetitia Herbette
Bibliothécaire Delphine Pauletto
Comptable Émilie Cosme
Chargé des systèmes d’information et de la maintenance Pascal Genty
Régisseur Pédagogique Philippe Montchaud
Régisseur de maintenance des sites Jean-Louis Praet

professeurs

Marie Boyer
Salma El Ghezal
Stéphanie Elarbi
Dominique Favet
Nicolas Gruppo
Hervé Giocanti
Emilie Hubert
Cyril Jarton
Jean Laube
Alain Léonesi
Marc Maire
Hamid Maghraoui
Mylène Malberti
Carlos Marcano
Bernard Müller
Jill Myhill
Sylvie Nayral
Benoit Sanair
Gaël Anasse
Sylvette Ardoino
Thomas Bohl
Claire Thiriet
Aymeric Vergnon
Ana Arango
Maria Guilbert

coordonnées

École Supérieure d’Art d’Avignon
500, chemin de Baigne-Pieds
84000 AVIGNON

Téléphone : 04 90 27 04 23
Mail : scolarite@esaavignon.fr
Site Internet : www.esaavignon.fr
Page Facebook : www.facebook.com/esa.avignon

effectif

125 étudiants (cycle 2020-2021)

Bayonne - Biarritz

École supérieure d’art Pays Basque

présentation

Située sur les communes de Bayonne et de Biarritz, l’École supérieure d’art Pays Basque (ESAPB) est un établissement public de coopération culturelle sous tutelle du ministère de la Culture soutenu par la Communauté d’agglomération Pays Basque. Son projet d’établissement s’inscrit pleinement dans la dynamique territoriale transfrontalière portée par la Communauté d’agglomération Pays Basque et l’Eurorégion Nouvelle-Aquitaine · Euskadi · Navarre.

 

L’ESAPB délivre le Diplôme National d’Art (option Art, BAC+3 conférant grade de licence) et le Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (option Art, BAC+5 *).
En outre, elle propose des classes préparatoires aux écoles supérieures d’art et de design (réseau APPEA), ainsi que des ateliers de pratiques plastiques amateurs ouverts à tous les publics.

 

Encadrés par une équipe pédagogique engagée, l’enseignement supérieur et les classes préparatoires se caractérisent par une politique d’invitations soutenue et motrice pour les formations (artistes, théoriciens, commissaires, etc.). Dès le premier cycle, des artistes invités jouent un rôle de premier plan, délivrent des ECTS et intègrent pleinement, le temps d’un semestre, l’équipe pédagogique. Pour chaque année du cursus, les artistes invités interviennent de façon régulière sur l’ensemble d’un semestre, ce qui permet d’impulser la dimension projet dès la première année. Parallèlement, divers intervenants extérieurs couvrant d’autres champs de l’art (théoriques et techniques, liés par exemple aux domaines du graphisme, du spectacle, de la production…etc.) viennent compléter et ouvrir ce programme.

 

Avec son second cycle menant au DNSEP, l’ESAPB renforce au sein de son projet d’établissement les synergies entre mobilité internationale, professionnalisation et relations transfrontalières avec le Pays Basque sud (San Sebastian, Gazteiz, Bilbao, Pampelune).

 

* Demande d’attribution du grade universitaire de master aux titulaires du DNSEP en cours d’instruction auprès du ministère de l’Enseignement supérieur pour ouverture de cette nouvelle formation à partir de la rentrée 2024

 

 

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options

Art

diplômes

  • DNA option Art, mention industries culturelles
  • DNSEP option Art

classe préparatoire

L’ESAPB propose deux formations préparatoires à Biarritz, l’une en Art, l’autre en Design. La PRÉPA ART offre un enseignement qui permet à ses étudiants d’accéder aux écoles supérieures d’art, tandis que la PRÉPA DESIGN ouvre aux différentes formations de l’enseignement supérieur en design : les écoles supérieures d’art option design, les écoles d’architectures et les DNMADE.

 

En découvrant les différents médiums de la pratique artistique contemporaine ou les différents champs du design, l’étudiant acquiert les compétences fondamentales dans les disciplines théoriques et pratiques. Ces acquis stimulent ses aptitudes à l’expérimentation, à l’analyse et à la création.

En lien avec l’enseignement supérieur diplômant situé à Bayonne, les classes préparatoires bénéficient d’un important programme culturel, de workshops et de séminaires animés par des artistes. L’école organise régulièrement des voyages culturels et des visites d’expositions en France et à l’étranger.

 

+ d’infos :

vae

La VAE ou Validation des Acquis de l’Expérience est une voie d’accès aux diplômes. Elle permet aux personnes engagées dans la vie active de faire reconnaitre leurs compétences professionnelles par un titre, un certificat de qualification ou un diplôme professionnel.

 

Le Grand Huit – G8 est une association regroupant l’ensemble des 5 écoles supérieures d’art et 2 classes préparatoires publiques de Nouvelle Aquitaine sous tutelle du Ministère de la Culture. Pour répondre aux fortes demandes de qualification et de diplôme des professionnels de la création en art, design et communication, le Grand Huit (G8) coordonne une démarche de VAE – Validation des Acquis de l’Expérience menant au Diplôme National d’Art (DNA) et au Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP). Elle permet aux personnes engagées dans la vie active de faire reconnaître leurs compétences professionnelles par un titre, un certificat de qualification ou un diplôme professionnel.

+ d’infos : www.le-grand-huit.fr/formations-continue-vae

réseaux

Nombreux partenariats aux niveaux régional, national et international :

  • Plateau Image de Biarritz (BTS audiovisuel du Lycée René Cassin, BTS Photo du Lycée André Malraux) ;
  • Médiathèque de Biarritz
  • Cinéma Le Royal
  • Cinéma l’Atalante
  • Frac Aquitaine
  • Institut de recherche et d’innovation (IRI)
  • Villa Médicis
  • Conservatoire Régional Maurice Ravel
  • Salle de spectacles l’Atabal
  • Festival Le temps d’aimer la danse
  • Festival International de Programmes Audiovisuels (FIPA)
  • Musée basque et de l’histoire de Bayonne
  • Résidence de création Nekatoenea (Abbadia)
  • Galerie Station V et la Villa Madeleine

activité post- ou périscolaire

ATELIERS DE PRATIQUES AMATEURS

 

Les principaux objectifs des ateliers de pratiques amateurs de l’école sont l’éducation artistique, la transmission des connaissances fondamentales en arts plastiques et visuels, l’acquisition de données théoriques et techniques permettant de construire un projet personnel. L’enseignement conjugue culture historique et ouverture sur le monde. Ces ateliers s’adressent au jeune public comme aux adultes, ceci dans plusieurs disciplines. Les séances concourent tant au développement d’une intelligence plastique qu’au développement des capacités créatives. Elles favorisent la compréhension des formes d’art diverses et sensibilisent aux questions de l’art en train de se faire. La pédagogie est adaptée aux différents stades du développement sensible et intellectuel des élèves, elle fait appel au plaisir et à la sensibilité. Parallèlement à sa mission d’enseignement, l’école entend contribuer au développement harmonieux et équilibré des personnes dans le cadre de la vie sociale contemporaine.

coopération internationale

Le positionnement géographique singulier de l’École supérieure d’art Pays Basque (ESAPB) permet le développement d’un projet d’établissement organisé autour de la coopération transfrontalière et internationale.

 

Cette coopération s’invite au cœur de la pédagogie et se traduit par :

  • la mobilité des étudiants, professeurs et membres du personnel
  • la venue d’artistes invités et d’experts transfrontaliers, européens et internationaux
  • la mise en place de projets pédagogiques de coopération et de séminaire de recherches
  • un réseau de partenaires transfrontaliers, européens et internationaux en constante évolution

 

Elle s’organise à différentes échelles. Transfrontalière dans un premier temps afin de s’enrichir de la diversité culturelle et interculturelle du Pays Basque tout en promouvant une internationalisation de proximité, respectueuse de l’environnement et équitable. Puis européenne et internationale afin de s’inscrire pleinement dans le réseau européen d’enseignement supérieur artistique pour créer une familiarité avec d’autres contextes d’études, de travail et promouvoir l’interculturalité comme élément constitutif de l’approche pédagogique et institutionnelle.

galerie

La Galerie du 2e étage
ESAPB – Cité des Arts, 3 av. Jean Darrigrand, Bayonne
240 m2 d’espaces d’exposition à visée pédagogique

équipements spécifiques

Audiovisuel, multimédia et média-multiples, volume, espace, scénographie, studio de prise de vue, studio son, studio 3D, scanner 3D, caméra DVCPro HD, un ordinateur portable par étudiant…

réseaux

L’École supérieure d’art Pays Basque est membre :

  • de l’ANdEA – Association nationale des écoles supérieures d’art
  • du Grand Huit – Réseau des écoles supérieures d’art publiques de la Nouvelle Aquitaine
  • de l’APPEA – Association Nationale des Prépas Publiques aux Écoles Supérieures d’Art
  • du BEAR – Bibliothèques d’écoles d’art en réseau

équipe administrative

DIRECTION

  • Delphine Etchepare – Directrice
  • Frédéric Duprat – Directeur adjoint en charge des classes préparatoires et des pratiques amateurs

ADMINISTRATION

  • Amaya Vanhems – Responsable administrative et financière
  • Anaiz Aguirre Olhagaray – Secrétariat pédagogique enseignement supérieur – Assistante de direction
  • Claire Meekel – Gestionnaire administrative et financière
  • Sandrine Evanno – Chargée de la comptabilité et du secrétariat du service technique

COMMUNICATION ÉDITION DOCUMENTATION

  • Joel Belouet – Responsable de la communication et de la documentation
  • Mathilde Serra – Assistante documentaliste

RELATION INTERNATIONALES & PARTENARIATS

  • Lucile Gouffon – Responsable des relations internationales et partenariats

AUDIOVISIUEL & INFORMATIQUE

  • Frédéric Gayel – Responsable de l’équipe informatique et audiovisuel
  • Axel Laburthe – Technicien informatique
  • Margaux Liensenborghs – Agent technique audiovisuel et multimedia

TECHNIQUE

  • Eric Quatre Vieux – Responsable des bâtiments
  • Samuel Gerbou – Responsable de l’équipe technique
  • Jérôme De Elizondo – Agent technique
  • Fabien Etchebbery – Agent technique

professeurs

ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 

  • Uxue Arbelbide – Numérique
  • Maddi Barber – Vidéo
  • Charlotte El Moussaed – Photo
  • Marc Fontenelle – Volume / espace
  • Bernard Hausséguy – Inter-médias & dispositifs d’images
  • Omar Ibrahim – Anglais
  • Vincent Labaume – Théorie & pratique
  • Thomas Lannette – Numérique
  • Maxime Morel – Histoire de l’art & actualité de l’art contemporain – Écritures
  • Clara Pacquet – Sciences Humaines – Chargée de mission préfiguration DNSEP
  • Olivier Passieux – Peinture
  • Charlotte Prévot – Histoire de l’art & actualité de l’art contemporain
  • Chantal Raguet – Dessin, couleur, images & installation
  • Romain Sein – Numérique
  • Mathilde Supe – Vidéo
  • Mickaël Vivier – Numérique

coordonnées

3 av. Jean Darrigrand
64100 | Bayonne
tél. +33 (0)5 59 47 80 02
contact@esa-paysbasque.fr

Site internet : http://esa-paysbasque.fr
Instagram : https://www.instagram.com/esapaysbasque/
Facebook : https://www.facebook.com/ESAPB.PaysBasque/
Youtube : https://www.youtube.com/c/ESAPaysBasque

effectif

  • Diplôme National d’Art (1er cycle dans l’option ART) : 65 étudiants
  • Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (2e cycle dans l’option ART) : 30 étudiants (jauge théorique)
  • Prépa ART : 36 étudiants
  • Prépa DESIGN : 18 étudiants

Besançon

Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon

présentation

Trois axes de développement caractérisent l’ISBA :
1. La recherche qui pour être spécifique à nos pratiques artistiques et graphiques n’en est pas moins nécessairement adossée à des laboratoires universitaires avec lesquels nous avons pu constituer trois PRS – Pôle de Recherche Structurant tant ils engagent l’ensemble de la pédagogie menée à l’école : l’imprimer, le contrat social, et le corps de l’artiste.
2. La coopération internationale : plus qu’une activité, l’international représente pour l’ISBA une véritable dimension de son développement. Pour ce faire, plusieurs outils s’offrent à nous : les échanges étudiants Erasmus mais aussi hors Europe, des professeurs et intervenants étrangers dans l’équipe enseignante, une résidence internationale d’artistes, des voyages d’études et un enseignement intensif d’anglais.
3. La fabrique culturelle qui permet de placer les élèves au plus vite dans une situation professionnelle d’artiste et d’auteur en produisant et montrant leurs travaux. Dans le même esprit, la venue d’intervenants et d’expositions sont organisées chaque année. Citons parmi les dernières : Jean Dupuy, Thomas Hirschhorn, Perr Hutner, Phil Niblock, Kendel Geers, Peter Knapp, Harmen Liemburg.
Enfin, deux dimensions caractérisent également notre établissement :
– Une pratique constante de l’évaluation
– Le suivi de l’insertion professionnelle

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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon
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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon
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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon
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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon

options

Art
Communication

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Communication
DNSEP  option Art
DNSEP  option Communication

classe préparatoire

Ecole des beaux-arts de Belfort, partenaire de l’Isba

Intégration des élèves sous forme de contrôle continu et jury en fin d’année

vae

DNA option Art
DNA option Communication
DNSEP option Art
DNSEP option Communication
Contact : Nathalie Gentilhomme
mail : nathalie.gentilhomme@isba.besancon.fr /  tel : 0381878132

unités de recherche

Fronts & frontières

Une unité de recherche ancrée territorialement
La détermination du champ d’investigation de la recherche déployée à l’ISBA a tout d’abord obéi à son ancrage historique, culturel et géographique. En effet, l’école s’est développée depuis le XVIIIe siècle dans ce fameux « arc jurassien » que les historiens français et helvètes qualifient souvent comme la terre natale en Europe de l’anarchosyndicalisme.Besançon, qui a vu naître Proudhon et Fourier, s’est très tôt affirmée en effet comme la capitale de cette terre de coopératives ouvrières qui, des premières fruitières de Comté à la première caisse du Crédit agricole, de la Fraternelle de Saint-Claude à la Saline royale d’Arc-et-Senans, s’est forgée une réputation de frondeuse aux réflexions politiques ne dédaignant pas l’utopie.
C’est donc dans un même mouvement que l’on peut évoquer ici le Courbet de la Commune et les rêves oecuméniques aussi théologiques qu’architecturaux de Le Corbusier à Ronchamp ou de son célèbre adjoint Josep-Lluís Sert qui conçut avant même la Fondation Maeght les bâtiments que nous habitons et qui, architecte du pavillon espagnole de 1937 accueillant Guernica, fut ensuite contraint de fuir le franquisme pour les États-Unis, ou bien encore les convulsions autogestionnaires de « Lip »,moment essentiel dans l’histoire du mouvement ouvrier français, et la création du SMIC inspiré, admet-on couramment aujourd’hui, par les efforts pionniers d’une municipalité bisontine. Si l’on joint à cette histoire aussi mouvementée que spécifique, la situation éminemment transfrontalière de la ville universitaire comtoise, l’on ne saurait s’étonner du choix de l’appellation de notre unité qui sonne comme un programme fédérateur : Fronts & Frontières (titre d’un ouvrage bien connu du géographe politique et diplomate, Michel Foucher). Celle-ci s’attache en effet à comprendre en son sein les propositions plastiques et graphiques qui interrogent (à commencer par elles-mêmes comme disciplines) les frontières de tous ordres et leur processus de légitimation.
Qu’il s’agisse des déterminations de genre ou de pratiques culturelles, telle l’auto-représentation par exemple,des pratiques de travail et leur inscriptions sociales et ethnologiques, ou encore de la vision du corps vivant de l’artiste, Fronts & Frontières propose au plus grand nombre les réflexions croisées de créateurs et de chercheurs académiques qui traitent de ces sujets,permettant de remettre en cause bien des préjugés. Et ce, sans craindre l’affrontement ou la prise de position intempestive. Aussi impliquée dans la question de la diffusion publique des oeuvres que dans les questions de la sexualité ou du travail en lutte, Fronts & Frontières tente également de mettre en relation dans un système de références organisées et une structuration en réseau, des acteurs internationaux qui de l’école d’art de Chittagong au Bangladesh à l’AFSA d’Athènes, de l’ERG de Bruxelles à l’UCAM de Montréal, trouvent en ses sujets une occasion à penser, à créer, à montrer et à diffuser, voire à se mobiliser et à se battre.
Dans un monde que nous pensons de plus en plus crispé sur des interrogations identitaires, notre unité génère des complicités et des solidarités internationales sans lesquelles aucune communauté scientifique véritable ne serait pensable et trouve chaque jour davantage de jeunes chercheurs/créateurs qui souhaitent nous rejoindre aspirant à une création plastique et graphique poreuse aux problématiques sociales,économiques et géopolitiques. Moins « engagée » que « située » pour reprendre la distinction sartrienne bien connue, cette unité de recherche « en situation », une fois encore, trouve en son territoire même quelque légitimité.
C’est en effet, non loin de l’ISBA que le village de Champagney a, pour reprendre les mots d’Aimé Césaire, « sauver l’honneur des Lumières » en inscrivant, le seul dans le royaume, la fin de l’esclavage comme première de ses « doléances ». Située entre la « mort blanche » du château de Joux où périt abandonné de tous Toussaint Louverture et ce village héroïque visité par les plus grands noms de la « Négritude », l’ISBA s’est ainsi pensée comme légitime et, qui sait peut-être, en quelque sorte obligée de faire de Fronts & Frontières, l’unité programmatique de sa recherche/création.

programmes de recherche

Contrat Social

Référence rousseauiste non fortuite, le pôle de recherche Contrat Social pose la question de l’engagement de l’artiste, de l’artiste-citoyen. Il trouve son ancrage dans l’histoire économique, sociale et culturelle de la ville de Besançon. L’utopie sociale, fruit de la pensée de Charles Fourier et de Pierre-Joseph Proudhon, bisontins de naissance, est en effet le terreau dans lequel cette histoire n’a cessé de puiser, marquant en particulier sa mémoire ouvrière. Des grèves à l’usine Rhodiacéta de 1967 à l’Affaire Lip en 1973 et les tentatives d’autogestion de l’entreprise qui en suivirent, l’émancipation culturelle et l’auto-représentation sont alors de véritables enjeux dont le groupe Medvedkine est, en outre, issu. Cette histoire qui a connu un retentissement international pousse à interroger aujourd’hui la place de l’artiste dans la société, sa réception et ses positions ou attitudes face au monde actuel, son rapport au travail et les nouvelles formes qui peuvent en découler. Plusieurs programmes de recherche ont déjà été menés ou sont en cours « Puisqu’on vous dit que c’est possible »(2012-2015), « L’auto-représentation comme acte politique » (depuis2016) ou encore « Résidents » et ce en dialogue avec différents partenaires, le laboratoire CIMEOS de l’université de Bourgogne, celui d’Art&Flux de l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, l’Ecole Supérieure d’Art Visuel de La Cambre à Bruxelles (Belgique), l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan et la Cinémathèque de Tanger-(Maroc), l’Académie des Beaux-Arts de Zagreb et la Saline Royale d’Arc-et-Senans entre autres.

Equipe de recherche ISBA :
Stéphanie Jamet, docteure en histoire de l’art, enseignante-théoricienne (ISBA), Centre André Chastel de l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV)
Gilles Picouet, artiste-enseignant (ISBA)
Géraldine Pastor Lloret, artiste-enseignant (ISBA)
Philippe Terrier-Hermann, artiste-enseignant (ISBA), professeur Master photographie ENSAV La Cambre (Belgique)

Quelques repères

  • Dès 2012 ont été organisés tous les ans en collaboration Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne des colloques à la Saline royale d’Arc-et-Senans avec la participation de Matthieu Laurette (ancien membre co-fondateur de Contrat Social) : Ian Baxter&, Michel Verjux ou encore Seth Siegelaub.
  • 2013-2015 Programme de recherche Puisqu’on vous dit que c’est possible avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication et la collaboration de Université -Sorbonne Paris 1 – Panthéon-Sorbonne, laboratoire d’Histoire contemporaine sur l’histoire du mouvement ouvrier en Histoire contemporaine, Université de Bourgogne – Laboratoire CIMEOS, ENSAV de La Cambre à Bruxelles (Belgique) et Ecole Nationale des Beaux-Arts de Tétouan (Maroc).
  • 2016 Début du programme de recherche « L’auto-représentation comme acte politique » Constitution d’une archive marocaine / Simplon Express – Revenir à Zagreb / Résidents avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication et en collaboration avec l’Université d’Aix Marseille – Institut d’ethnologie méditerranéenne européenne et comparative et l’atelier de l’Observatoire à Casablanca (Maroc), Université Paris 8 et la Faculté des Beaux-Arts de Zagreb(Croatie).

Le corps de l’artiste

Le champ d’expérimentation Performance & Art Action s’est constitué depuis 2009 en un pôle de recherche, intitulé Le Corps de l’artiste. Ce dispositif est intégré au sein d’un réseau institutionnel international -dont les principaux partenaires sont la Faculté des Beaux-Arts de l’Université Polytechnique de Valencia, la Faculté des Beaux-Arts d’Athènes – et s’inscrit dans la dynamique de travail d’un groupe de chercheurs et d’artistes de plusieurs pays. La présence physique de l’artiste, son engagement corporel dans sa création mais également les conditions – mentales, émotionnelles, physiques- qui permettent l’échange et le rapport à l’autre, sont l’objet de nos questionnements qui portent pour l’essentiel sur les domaines de la performance, de l’art action, des interactions avec les zones poétiques et des nouveaux dispositifs. Par l’étude et la mise en oeuvre de propositions exploratoires et expérimentales, il s’agit au sein du pôle Le corps de l’artiste de construire des lignes de recherche innovantes, dans une nouvelle épistémologie qui fonde la recherche contemporaine dans les arts, mais aussi dans les sciences et la pédagogie en école d’art. Outre le programme de recherche « Art, corps, performance – créations et résistances par temps de crise » débuté en 2016 qui interroge les états du corps dans un contexte de lutte, une nouvelle approche sur les enseignements alternatifs «Handle with Care – De la pédagogie critique comme pratique collective » est initiée où un espace d’investigation transversal aux disciplines permettra de révéler la porosité constante opérée au sein de l’ISBA entre art et communication visuelle

Quelques repères

  • 2015 – Programme de recherche Le corps de l’artiste. Préfiguration – Avril 2015 : Symposium International organisé à l’Ecole d’Art d’Athènes Colloque international : Artist as organiser ASFA & ISBA.
  • 2016 – Lancement du programme de recherche Art Action performance furtive avec le soutien du laboratoire Hexagram UCAM de Montréal, UKB de Berne (en sus de Valencia et Athènes)

Equipe de recherche ISBA :
Michel Collet, théoricien, performeur, enseignant en sciences humaines/art(ISBA), associé laboratoire Sciences de l’art Marc Bloch Strasbourg, chercheur associé au réseau de recherche Hexagram UQAM Montréal.
Laurent Devèze, philosophe, Directeur (ISBA)
Valentine Verhaeghe, artiste-performeuse, chargée d’enseignements (ISBA) et Lyon 2, doctorante esthétique UFR Franche-Comté

Teaching to transgress

Over the past ten years, tendencies towards polarisation and discrimination in wider society have had a perceptible influence on attitudes and behaviours within education, not to mention forceful impacts on learning and teaching in our classrooms. In attempts to meet these contemporary threats to diversity, questions about pedagogical inclusivity have risen to the forefront among European communities. As three major art schools engaged in higher education (erg Brussels, ISBA Besancon and Valand Academy, University of Gothenburg), we identify the pressing need to respond to these political and social issues, and with urgency propose to address this historical challenge through a collective focus on questions of inclusive learning and teaching. Intersectionality asserts that oppressions (based in racism, sexism, homophobia, classism, etc.) are interconnected and cannot be examined separately from one another. Critical intersectional feminist pedagogies have, by now, been proven to provide valuable conceptual and practical tools with which to focus on inclusivity.
This is particularly true in the field of art, where teaching is known to be open to devising and applying new critical frameworks, tools of analysis and creative practices.
« Teaching To Transgress Toolbox » [1] is a two-year research and study programme, which focuses on critical pedagogy, using artistic tools based on peer-learning and innovative research practices. This programme enables strongly interconnected research and teaching and is developed transnationally by the three schools, each of which contributes a strong track record of engagement and complementary expertise. Partners have already embarked on specific research and teaching agendas which tackle discrimination in their local context. These include (but are not limited to) : « Teaching to Transgress Working Group » at erg ; « Plateform Shoes » at ISBA ; and « Let’s Mobilize : What is Feminist Pedagogy ?« , the KUNO seminar « Inclusive Actions-Art Schools Imagining Desegregation ? », « PARSE Conference Exclusion » and « Decolonising Film Education » at Valand Academy.
After several highly beneficial exchanges between the partner institutions (shared participation in workshops, lectures and exams), the moment has come to formalise and connect previous research and action. This two-year joint research and study programme would have the attendant aim of serving as a springboard from which to develop a future, much-needed, transnational Erasmus+ Joint Masters Degree on critical pedagogies in the arts.
The « Teaching to Transgress Toolbox » is addressed to artists, researchers, students and teachers. The explicit aim is fostering inclusive pedagogies, and questioning the so-called neutrality and equality in systems of schooling, production and consumption in the arts. The programme invites people from various backgrounds, fields, abilities, gender identification, sexual orientation, ethnicity and religion to collectively explore how intersectional and de-colonial approaches can activate and spread embodied and theoretical knowledges.
The programme consists of four common moments : four one-week workshops hosted at partner institutions, personal/group projects, and a series of public events with external partners. In its first phase, the program offers a historical approach to critical, feminist and de-colonial practices. This entails a close study of the infrastructure and organisation of each institution : How do we work ? With whom ? Where ? And under which conditions ?
This will enable insights into the variety of educational systems and respective agencies within local, political and cultural contexts, and will investigate politics of knowledge practices. Having introduced this groundwork, the next three phases will focus on creating and sharing pedagogical/artistic tools e.g. ; experimental teaching assignments, policy proposals and innovative good practice guidelines.Part of the programme is dedicated to :

  • developing an open access archive and dissemination platform to share findings with a wider public. The platform’s editorial objects are to include papers,studies, manifestos, interviews, video podcasts, radio broadcasts, and digital objects that will circulate in a range of educational, artistic contexts, both inside and outside higher education ;
  • print publication that will be distributed internationally and
  • a one-month exhibition of historical reference material in dialogue with contemporary responses. This newly formed knowledge, crucial in light of the lack of material on the topic, will be distributed to art schools and disseminated over European borders, informing curricula and providing critical tools for day-to-day learning/teaching practice in higher education. Forming connections with other schools and universities will be taken into account in each phase.

[1] The title is inspired by bell hooks’ book « Teaching to Transgress:Education as the Practice of Freedom »

Team
+ Isabelle Massu, artiste-enseignante (ISBA)
+ Emilie Mc Dermott, artiste-enseignante (ISBA)
+ Caroline Dath, Graphiste-enseignante (ERG)
+ Sarah Magnan, graphiste (ERG)
+ Xavier Gorgol, Artiste (ERG)
+ Eva Weinmayr, artiste-enseignante (VALAND)

éditions

Contrat Social

  • Revue D’Ailleurs, numéro spécial Puisqu’on vous dit que c’est possible, ISBA printemps 2015.
  • Livret d’exposition Puisqu’on vous dit que c’est possible, Saline royale d’Arc-et-Senans, 18 octobre 2014- 4 janvier 2015.
  • Résidents, réunion de textes sur quatre années de recherche, ISBA, février 2018.
  • Simplon Express -Revenir à Zagreb, programme de recherche, édition bilingue français-anglais, ISBA, avril 2018.

Le Corps de l’artiste

  • L’art au risque du corps, revue D’Ailleurs de la Recherche à l’ISBA, Besançon, 2014.
  • Gestes en éclat, UFC-Presses du réel, 2016.
  • Mobile Album International, Performance Body, Fiction, réalisé par Montagne Froide, partenariat avec l’ISBA et Les presses du réel (Dijon).

activités & événements

Colloques

Puisqu’on vous dit que c’est possible
http://www.isba-besancon.fr/spip.php?article252

Le Corps de l’artiste
Interventions publiques et Colloques

Dès 2012 ont été organisés des cycles de conférences auxquelles ont participé : John Giorno, Franz Erhard Walther, Kendell Geers, Jeffrey Perkins, Valerian Maly (…).
Excentricités – table ronde annuelle avec les étudiants en performance (8e édition)
Geste en éclats, DU Art Danse Performance avec l’UFC et le Centre chorégraphique national de Belfort, Université de Franche-Comté.
Expositions

Excentricité 8 éditions annuelles (soixantaine de performers professionnels et étudiants invités chaque année) avec entre autres Kendell Geers, Julien Blaine, Demosthenes Agrafiotis, Michel Giroud (…)
Farbika Voxa édition annuelle depuis 2012, Evénement Montagne Froide et Centre d’art multimédia Gantner, partenariat recherche-action avec le programme Corps de l’artiste, Unité de Recherche Fronts et Frontières ISBA.
Blago Bung, événement Cold Mountain et Fondation Emily Harvey, New York, 10e édition à New York, partenariat de recherche avec Research Korpernika et ISBA.

activité post- ou périscolaire

Cours pour auditeurs libres, cours du soir pour adultes et cours du mercredi pour adolescents.

coopération internationale

galerie

Espace 24, galerie de l’école.

équipements spécifiques

Ateliers dessin, peinture, vidéo, son, infographie, multimédia, Internet, photographie, sérigraphie, typographie plomb, bois, céramique, métal, gravure.
Auditorium/salle de conférence.

réseaux

Partenariat avec d’autres établissements Culturels
Frac Franche-Comté
Saline royale d’Arc-et-Senans
Musée de Dole
Musées de Montbéliard
Bibliothèque d’études de Besançon
Centre d’art La Kunsthalle, Mulhouse
Cinémathèque de Tanger (Maroc)
Institut français de Zagreb (Croatie)

Partenariat avec des établissements d’Enseignement Supérieur
Laboratoire d’esthétique du geste de l’Université de Franche-Comté qui regroupe le Centre chorégraphique national de Franche-Comté à Belfort, le Centre dramatique national et le Conservatoire.
Le Laboratoire CIMEOS (EA4177) (Communications, Médiations, Organisations, Savoirs), Université Bourgogne, Dijon.
Ecole Nationale Supérieure de la photographie d’Arles (Christian Gattinoni)
Université Panthéon-Sorbonne-Paris I (France)
Laboratoire CRIT. Université de Franche-Comté, Centre de Recherches Interdisciplinaires et Transculturelles (C.R.I.T.) (EA3224)
Université du Québec à Montréal en lien avec l’Institut de recherche/création en arts et technologies médiatiques (Hexagram), le laboratoire animé par André-Eric Létourneau, professeur
Université de Valencia UPV, Faculté des Beaux Arts, département, sculpture performance. (Espagne)
Université d’Aix-Marseille – Institut d’ethnologie méditerranéenne et comparative (France)
Equipe de recherche en histoire de l’art contemporaine (ERCO) Laboratoire de recherche en Histoire de l’art – Centre André Chastel, Université Paris-Sorbonne Paris IV (France)
Ecole nationale supérieure d’Art de Dijon (France)
EMA Fructidor (Chalon-sur-Saône)
Partenariat dans le cadre de la Plateforme de regroupement des écoles d’art de la région Bourgogne Franche-Comté.
ERG, École de recherche graphique,Bruxelles (Belgique)
ASFA,Ecole des beaux-arts & Université d’art d’Athènes (Grèce)
Ecole Nationale d’Art Visuel de la Cambre à Bruxelles(Belgique)
Institut Supérieur National des Beaux-Arts de Tétouan (Maroc)
Académie des Beaux-Arts de Zagreb (Croatie)

Autres Partenariats
Thalie Art Foundation Bruxelles (Belgique)
Atelier de l’Observatoire à Casablanca (Maroc)
Beton Seven, Centre d’Art (Grèce)
Emily Harvey Foundation de New York (Etats-Unis)
Centre d’art Multimédia/Gantner
Radio Campus Besançon

équipe administrative

Nicolas Surlapierre Directeur par intérim
Nathalie Gentilhomme Directrice adjointe
Marie Lambert Responsable des études | relations internationales
Séverine Vuillemin Bibliothèque
Christelle Botton Secrétariat pédagogique
Julien Cadoret Chargé de l’Action Culturelle

professeurs

Danièle Balit
Nicolas Bardey
Jean-Luc Bari
Didier Barthod-Malat
Thomas Bizzarri
Manon Bruet
Christophe Gaudard
Clément Gérardin
Catherine Guesde
Claire Kueny
Nina Kennel
Anaïs Maillot
Isabelle Massu
Emilie Mc Dermott
Didier Mutel
Rainer Oldendorf
Géraldine Pastor-Lloret
Gilles Picouet
Martha Salimbeni
Hugo Schuwer-Boss
Philippe Terrier-Hermann
Christophe Vaubourg
Valentine Verhaeghe
Marie Weisensel
Rémy Yadan

coordonnées

12 rue Denis Papin
25000 | Besançon
tél. +33 (0)3 81 87 81 30
fax +33 (0)3 81 88 60 94
christelle.botton@isba.besancon.fr
www.isba-besancon.fr

effectif

224 étudiants

Bordeaux

École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux

présentation

L’ebabx – école supérieure des beauxarts de Bordeaux est un établissement d’enseignement supérieur artistique public spécialisé en Art et en Design, placé sous la tutelle du Ministère de la Culture, du Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation. L’école propose un enseignement artistique complet en formation initiale (avec des études structurées en option Art et Design) entre théorie et pratique et en formation continue (VAE, webinaires de formation) et des Cours Publics à plus de 250 amateurs.
Établissement Public de Coopération Culturelle, l’ebabx contribue activement au développement de l’art et du design sur son territoire, au sein d’une diversité de réseaux professionnels et de partenariats locaux, nationaux et internationaux, en collaborant tout au long de l’année avec des artistes et des designers, des centres d’art, des galeries, des musées, des associations, des festivals, des théâtres, des lieux alternatifs, etc. L’école adhère à l’Association Nationale des Écoles supérieures d’Art et de Design (ANdÉA) qui réunit 44 écoles supérieures d’art de design réparties en métropole et Outre-Mer et du Grand Huit réseau des classes préparatoires et écoles supérieures d’art et de design publiques de la Nouvelle-Aquitaine.

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Performance live Composition musicale de musiques thérapeutiques du web Isis Lherm, 2020, ebabx, (c) Catherine Gilloire
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options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design

unités de recherche

Edition

L’UNITÉ DE RECHERCHE « ÉDITION » va se déployer par le lancement d’une Web-Radio, appuyée sur les ressources logistiques et le flux de Mollat-Vox. Et par l’accompagnement de l’édition des cours d’Emmanuel Hocquard par P.O.L. en une « saison EH », comprenant une série d’expositions, de performances et de programmes radio tout au long de l’année 2017-18. L’Unité de Recherche « Edition » met l’accent sur l’acte de publier, en défendant l’idée que publier n’est pas simplement produire des formes éditoriales. Il s’agit surtout de créer un public, voire contre-public. L’édition à l’EBABX est liée à la situation particulière de l’école, marquée d’une part par le fait que les écritures éditoriales y sont intégrées à un projet pédagogique en art et en design, et d’autre part, par la manière dont les Parcours, les Plateformes et les séminaires lient les questions du livre, du son et du cinéma aux modes de production et de réflexion des étudiants. À partir de cette situation, l’EBABX envisage, de manière interdisciplinaire, la diversité des pratiques qui, investies par les « auteurs » que sont les designers graphiques, les écrivains, les musiciens, les cinéastes, les artistes, peuvent prendre valeur de prises de position, tout en donnant lieu, bien sûr, à des objets d’édition et de diffusion.
L’importance de l’édition pour les étudiant.e.s en art, n’a pas seulement à voir avec les qualités formelles et objectives d’une publication, mais également avec les possibilités qu’ouvre l’acte de publier en tant que tel. Les enjeux des pratiques d’édition, de création, de mise en forme, de diffusion, de lecture, s’envisagent au-delà de questions de rôles, de savoir-faire ou de compétences. Ce qui est en jeu est d’être attentif aux modes de fonctionnement, aux échanges et aux agencements dont dépendent les objets éditoriaux, pas seulement à leurs sens ou aux intentions de leurs producteurs. De plus, si la partie enseignement à l’édition trouve ses marques dans une alliance entre le design et l’art, elle se fonde aussi sur la formation et l’apprentissage technique à la réalisation, livrant à chacun des étudiants inscrits dans son option des solutions autonomes et singulièrement identifiées. Pour les réalisations, l’école dispose d’un atelier d’impression numérique, d’une imprimerie offset et de sérigraphie, d’un studio son, d’un studio photo et d’un studio vidéo. Des partenariats institutionnels et privés ouvrent l’Unité Edition sur des outils, des lieux de diffusion publique, des réseaux professionnels pour des expérimentations de création multiples.

Programme au sein des Plateformes Art et Design, cycle 2

CYCLE 2 – ANNÉES 4 ET 5 – M 1 ET M2 LA PÉDAGOGIE EST INVERSÉE, CENTRÉE AUTOUR DES PROJETS SINGULIERS DES ARTISTES ÉTUDIANT·E·S

Le second cycle d’une durée de 2 ans est essentiellement consacré à la préparation du DNSEP Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique, Bac + 5, grade Master.
3 temps animent les deux années de Master en option Art ou Design :

• La mobilité d’étude ou de stage
• Le mémoire de recherche
• Et la monstration du projet plastique pour le diplôme

Les 2 Plateformes option Art ou option Design accueillent différents dispositifs structurés sur 4 semestres : des ateliers orientés production et diffusion, l’initiation à la recherche (groupes de travail, séminaires/publications/recherche documentaire/mémoires), des cours de langues étrangères, des sessions d’accrochages et de travail avec les enseignants, des professionnels invités et des structures partenaires, et des rendez-vous réguliers individuels.

L’expérience internationale fait partie du programme de la 4e année : les étudiant·e·s sont encouragé·e·s à partir en mobilité pendant leur cursus, pour une période d’étude ou un stage professionnel. Les séjours d’étude sont réalisés dans les écoles partenaires, le stage à l’étranger permet à l’étudiant·e de confronter son projet artistique et professionnel à un nouveau contexte géographique, social et culturel.

Des situations d’accrochages et de diffusion publiques exposent l’étudiant·e à une variété de situations individuelles et collectives dans et hors école.

Des modules d’acquisition d’outils pré-professionnels (connaissances juridiques, ingénierie de projet) ainsi que le stage apportent des connaissances de l’environnement professionnel.

La soutenance du mémoire et du diplôme devant un jury de professionnels en fin de cycle 2 permettent à l’étudiant·e de développer une position critique et d’inscrire ses projets dans le champ des pratiques artistiques contemporaines.

programmes de recherche

Programme au sein des Plateformes Art et Design, cycle 2

CYCLE 2 – ANNÉES 4 ET 5 – M 1 ET M2 LA PÉDAGOGIE EST INVERSÉE, CENTRÉE AUTOUR DES PROJETS SINGULIERS DES ARTISTES ÉTUDIANT·E·S

Le second cycle d’une durée de 2 ans est essentiellement consacré à la préparation du DNSEP Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique, Bac + 5, grade Master.
3 temps animent les deux années de Master en option Art ou Design :

• La mobilité d’étude ou de stage
• Le mémoire de recherche
• Et la monstration du projet plastique pour le diplôme

Les 2 Plateformes option Art ou option Design accueillent différents dispositifs structurés sur 4 semestres : des ateliers orientés production et diffusion, l’initiation à la recherche (groupes de travail, séminaires/publications/recherche documentaire/mémoires), des cours de langues étrangères, des sessions d’accrochages et de travail avec les enseignants, des professionnels invités et des structures partenaires, et des rendez-vous réguliers individuels.

L’expérience internationale fait partie du programme de la 4e année : les étudiant·e·s sont encouragé·e·s à partir en mobilité pendant leur cursus, pour une période d’étude ou un stage professionnel. Les séjours d’étude sont réalisés dans les écoles partenaires, le stage à l’étranger permet à l’étudiant·e de confronter son projet artistique et professionnel à un nouveau contexte géographique, social et culturel.

Des situations d’accrochages et de diffusion publiques exposent l’étudiant·e à une variété de situations individuelles et collectives dans et hors école.

Des modules d’acquisition d’outils pré-professionnels (connaissances juridiques, ingénierie de projet) ainsi que le stage apportent des connaissances de l’environnement professionnel.

La soutenance du mémoire et du diplôme devant un jury de professionnels en fin de cycle 2 permettent à l’étudiant·e de développer une position critique et d’inscrire ses projets dans le champ des pratiques artistiques contemporaines.

éditions

Consultez la page Publications sur ebabx.fr

revues

revues

Expositions, conférences, rencontres avec des artistes intervenants, séminaires de recherche, workshops, grand atelier (productions collectives avec des jeunes artistes), colloques, éditions.
Actualités sur ebabx.fr

activité post- ou périscolaire

rubrique COURS PUBLICS sur ebabx.fr

coopération internationale

L’ebabx encourage les étudiants à partir en mobilité à l’international pendant leur cursus, pour une mobilité d’étude ou un stage professionnel. L’année 4 est spécifiquement dédiée à cette expérience internationale, qui peut se dérouler aux semestres 7 ou 8. Ces expériences internationales font partie intégrante du Master et sont validées par des ECTS.

L’ebabx s’intéresse également au développement d’expériences croisées avec les écoles partenaires. Des projets pédagogiques, articulés autour de problématiques communes et traitant notamment des pratiques de l’exposition, de l’édition, de la diffusion, de l’action publique et de la professionnalisation des étudiants, permettent de créer des contextes d’échange et de mobilité construits conjointement. Ces projets peuvent donner lieu à des workshops en France et à l’étranger.

galerie

La Galerie ebabx

Lieu d’exposition et de monstration offrant à l’ebabx une vitrine ouverte sur la rue.

Son activité se partage entre des manifestations à l’adresse du public, et des expériences de présentation menées dans le cadre du cursus. Grâce à sa programmation annuelle de six expositions, concerts ou projections, La Galerie ebabx s’inscrit dans le cadre des autres institutions culturelles de Bordeaux et sa Métropole (capc musée d’art contemporain de Bordeaux, Frac Nouvelle-Aquitaine MECA et les Musées de Bordeaux).

Par ailleurs, toute l’année est ponctuée, de travaux finalisés, essais de design, performances ou réalisations des divers Parcours ou Plateformes, qui rendent compte de la diversité des champs et des effets de l’enseignement artistique : artistes invités, artistes-enseignants, diplômés et élèves des cours publics.

Galerie ebabx
1 rue des étables, 33800 Bordeaux

équipements spécifiques

Des ateliers productions techniques dotés d’équipements performants et regroupés au sein de trois pôles permettent aux étudiants de s’initier, de se perfectionner et d’expérimenter, aux côtés de techniciens chefs d’atelier et d’assistants spécialisés :

• Le pôle édition Impression et façonnage : imprimerie (stations de traitement, traceur), offset, sérigraphie, etc.

• Le pôle image et son Studio vidéo (salle de montage, bancs de montage), studio son (studio d’enregistrement, espace instrumental, salon d’écoute), multimédia, studio photographie (studio prise de vue, laboratoire de traitement de films argentiques noir et blanc), pratiques numériques et nouveaux médias, etc.

• Le pôle volume et matériaux Bois, métal, résine, plastique, terre, céramique, couture, machines de prototypages, découpe laser, imprimante 3D, maquette, électronique, etc. Vidéos des Ateliers techniques sur ebabx.fr

réseaux

équipe administrative

Audry Liseron-Monfils Directeur
Hervé Alexandre Secrétaire général
Annette Nève Directrice des études
Ann-Gaëlle Coomber Coordonnatrice pédagogique
Axelle Blin-Deguet Secrétaire des études
Rachel Helvadjian Responsable relations internationales et projets
Soizic Legrand Assistante relations internationales
Marguerite Joanne Directrice des finances
Nathalie Mestrallet Responsable Administration / Finances
Isabelle Durci Responsable RH
Hélène Squarcioni Responsable Communication
Jean-Marie Blanc Bibliothécaire
Lise Cluzeau Assistante de direction / Coordinatrice Cours Publics
Laurent Ostinet Responsable bâtiment
Sylvain Kalbfleisch Responsable magasin
Sylviane Cavaignac Accueil / standard
Equipe technique Bruno Gaillardon, Alix Caumont, Arnaud Larrère
Equipe entretien Béatrice Séry, Nathalie Olivier
Equipe des techniciens responsables d’atelier Florian Aimard Desplanques Technicien Photographie / Tanguy Bonnet Technicien imprimerie et sérigraphie / Farid Bourenane Technicien matériaux / Leslie-Carole Desseignet Technicienne métal / Arnaud Maudru Technicien vidéo / Antoine Demacon Technicien Son / Adrien Edeline Technicien Vidéo et Son / Patrick Mouret Technicien imprimerie numérique / Emmanuel Sorel Technicien menuiserie / Xavier Vairai Technicien numérique et maquettes

professeurs

AKTYPI Madeleine
BANGS Galen
BAUER Angelika
BOURGEOIS  Myrtille
BOUSSIRON  Xavier
CHEN Patricia
COLOMES Anne
EON Franck
GAUTIER Charles
GILLOIRE Catherine
GONZALEZ Lola
HERRMANN Gauthier
HOUNDEGLA Franck
KLEIN Fernando
LAHACHE Florent
LAHONTAA Thierry
LECHENNE Didier
LEGRAND Soizic
LEGROS Marie
LIESENBORGHS Peter
MARTIROSYAN Nora
MEBKHOUT Malak
MILHE Nicolas
MONIEZ Cyriaque
RENIE Pierre
ROBINSON Charles
RODRIGUEZ-ROBLES Isabel
SALERNO Paola
DE SINGLY Camille
VONIER Sébastien
ZEBO Jean-Charles

BALLANGE Jean-Christophe
COLLET Sébastien
LAVIALLE Myriam

coordonnées

7 rue des Beaux-Arts
CS 72010
33088 Bordeaux Cedex
tél. +33 (0)5 56 33 49 10
fax +33 (0)5 56 31 46 23
www.ebabx.fr
ebabx@ebabx.fr
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Soundcloud La voix des beaux-Arts

effectif

250 étudiants pour l’enseignement supérieur et 250 élèves pour les Cours Publics

Bourges

École nationale supérieure d’art de Bourges

présentation

Sous la tutelle du ministère de la Culture, l’École nationale supérieure d’art (ENSA) de Bourges propose une formation généraliste en art et délivre deux diplômes d’État : le Diplôme National d’Art (DNA) option art qui confère le grade de licence, le Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP) option art, le grade de master et le DNSEP option art. Elle donne accès aussi à deux parcours singuliers : Programmer, pratiques curatoriales de l’image en mouvement et Fictions sonores (Voix, images, sons).

Installée dans un ancien édifice du XVIIe siècle , dans le cœur historique de la ville de Bourges, l’école bénéficie de sa proximité avec les établissements culturels et patrimoniaux, offrant ainsi à ses étudiants un cadre favorable à l’apprentissage et au développement de leur pratique artistique. Les ateliers collectifs des étudiants, répartis sur 5 plateaux, permettent un développement de toutes les pratiques, y compris des pratiques de volume à grande échelle ou les tournages de films dans un studio professionnel (La Chapelle).

L’école offre un enseignement pluridisciplinaire en histoire de l’art, dessin, peinture, photographie, sculpture volumecinéma/vidéoarts sonoresédition/gravurepratiques de l’écrit, céramique, performance, multimédia.

1/5
Stanca Soare, DNSEP 2019
2/5
Vasyl Odrekhivskyy, DNSEP 2012, Ensa Bourges
3/5
Lola Antunes Sandhinhia, DNAP 2012, Ensa Bourges
4/5
Baptiste Brévart, DNSEP 2012, Ensa Bourges
5/5
Shu Yang, DNSEP 2019

diplômes

DNA option Art
DNSEP option Art

classe préparatoire

L’Ensa Bourges est partenaire de deux classes préparatoires au concours d’entrée :

CPES-CAAP – Classe dapprofondissement en arts plastiques
Lycée Alain-Fournier – Bourges

La Classe préparatoire aux études supérieures – Classe d’approfondissement en arts plastiques s’adresse à tous les bacheliers (Bac généraux – STD2A – STI2A – Bac Pro. – BMA) ayant soit suivi un enseignement artistique (Arts plastiques, Arts appliqués, Histoire des arts, Théâtre, Musique, Cinéma Audio-visuel, Danse) de Spécialité ou en Option, ou bénéficiant d’une pratique et d’une culture artistique personnelles.

Cette formation en un an prépare les étudiants aux concours d’entrée dans une école supérieure d’art (art, art-design, art-communication, architecture, arts de la scène, illustration, graphisme, animation, cinéma, etc.), ainsi qu’aux cursus universitaires en Histoire de l’art (L2) ou en Arts plastiques (accès par validation de parcours).

Objectifs de la formation :

Autour de l’enseignement des arts plastiques et de la culture artistique, la formation s’appuie sur une approche pluridisciplinaire et interdisciplinaire pour privilégier les compétences liées à la notion de projet artistique : toutes les disciplines inscrites dans le cursus concourent à la cohésion et à l’approfondissement de la culture et de la pratique de l’étudiant, articulées autour de domaines artistiques variés (arts plastiques, arts graphiques, histoire de l’art, arts de la scène, son, etc.). La formation lui permet d’élaborer un dossier personnel qui sera présenté aux concours et aux entretiens d’admission dans les écoles d’art, d’art et design, d’art et communication, d’architecture ou de formation à l’image.

Une attention particulière est portée à la maîtrise de l’anglais dans une perspective d’ouverture internationale et de poursuite d’études à l’étranger.

Pour en savoir + :
https://lycee-alain-fournier.fr/wp-content/uploads/2021/02/Pre%CC%81sentation-CPES-CAAP-20211.pdf


École municipale des Beaux-Arts de Châteauroux

L’apprentissage donné par les enseignants dans les différents cours fait appel à la réflexion, la recherche et la créativité. L’objectif de la formation est de donner à l’étudiant les bases nécessaires à l’affirmation de sa personnalité au travers de ses réalisations et d’en assumer la mise en forme. La finalité de la classe préparatoire est d’aider l’élève à s’engager dans un processus créatif et une dynamique de travail, en mettant à profit les enseignements reçus pour constituer un dossier de travaux personnels.

La grande richesse de l’école est d’être une structure ouverte à la création contemporaine. Les expositions dans la galerie, les workshops, l’accueil d’artistes en résidence offrent un contexte créatif exceptionnel, un cadre de vie qui met l’élève en prise directe avec les œuvres et les artistes. Les rencontres et les échanges sont au cœur de la pédagogie et donnent l’opportunité d’une véritable rencontre avec le milieu artistique.

L’effectif limité d’élèves permet aux sept professeurs qui les encadrent d’avoir une écoute et une attention particulière pour chacun, favorisant de fait de bonnes conditions de travail.

Cette année préparatoire permet à l’étudiant de faire le point sur son orientation et d’éprouver sa motivation pour les études artistiques.

Pour en savoir + :
https://www.chateauroux-metropole.fr/les-beaux-arts/la-classe-preparatoire-520.html

 

formation continue

Centre d’études au partenariat et à l’intervention artistiques
(Centre de Formation des Plasticiens Intervenants)

La formation

L’objectif de cette formation est d’apporter à des plasticiens et plasticiennes engagé.e.s dans la vie professionnelle une formation complémentaire à leur pratique artistique fondée sur l’acquisition de compétences didactiques et de capacités réflexives appliquées à leur création contemporaine.
Elle est une préparation à intervenir sur la base d’une expérience pratique singulière, auprès de publics diversifiés en milieu scolaire, péri-scolaire, médico-social, hospitalier, carcéral, associatif, service culturel, etc.

Le CÉPIA de Bourges propose l’acquisition de connaissances théoriques et de compétences pratiques basées sur l’alternance : Connaissance-Expérience-Analyse.

La formation offre aux artistes des incursions dans des territoires inhabituels à l’art où l’intervention artistique – comme modalité – positionne la rencontre entre un.e artiste et des personnes se trouvant dans un cadre spécifique… qu’elles soient malades, privées de liberté, unies autour d’une même situation, d’un même questionnement.

L’intervention artistique institue un échange autour d’un partage entre la pratique artistique de l’un et le vécu de l’autre. Si cette rencontre préparée s’avère fructueuse, la personne s’en nourrit et bénéficie du réconfort qu’elle en tire.

La formation prépare à une bonne connaissance de ces milieux d’interventions spécifiques grâce au solide réseau de partenaires professionnels de l’école. Elle guide, accompagne, prévient et analyse les moments de mise en pratique du projet du ou de la stagiaire. Elle construit avec lui, avec elle, le moment de conclusion et de restitution de son expérience.
La formation est certifiante et atteste des compétences acquises, de la connaissance des modalités de l’intervention.

Nourri.e.s des expériences de terrain et des nombreuses interventions de professionnels (artistes, responsables et représentants d’institutions, universitaires), les artistes pourront ainsi appréhender un lieu, un contexte donné qui définira la nature de l’intervention artistique, car celle-ci suppose toujours une rencontre spécifique qui se rejoue à chaque fois.

Le public :
Ce programme est ouvert aux diplômé.e.s d’école d’art et de design ou des universités, titulaires à minima du niveau licence ainsi qu’aux personnes justifiant d’une pratique et d’un parcours professionnels en arts.

Organisation du programme et objectifs :

Connaissance-Expérience-Analyse

Organisés en alternance, les séminaires et rencontres, les temps d’expérimentation (workshops et stages) et les entretiens analytiques permettent aux artistes de transposer des problématiques de leurs recherches artistiques en des projets d’intervention à destination de publics issus de milieux autres que ceux de l’art. Les objectifs étant de ne pas dénaturer les propos du travail artistique et de s’inscrire en cohérence avec les capacités des publics et les projets d’institutions. Le but est de conduire de manière équilibrée un transfert de la pratique artistique à une proposition de production artistique collaborative et commune et en partenariat.

Volume horaire : 300 heures réparties sur 9 semaines de 35h + un stage de 15h + travail personnel.

Dates : d’octobre à juillet.

Tarif : 500 €

Contenus pédagogiques et Partenariats : ICI

Évaluation et obtention du certificat sont soumises :

Au contrôle continu :
– suivi de l’ensemble du programme
– élaboration de projets d’interventions artistiques
– réalisation du projet d’intervention (stages)
– rédaction d’un rapport réflexif entre les enjeux de la pratique artistique et ceux de l’intervention artistique

À la soutenance orale :
– présentation argumentée de son rapport devant un jury

A l’issue de l’obtention du certificat, l’artiste est intégré.e au réseau des Alumni de l’Ensa Bourges.

Inscription-contact :
Sylvie Chany, coordinatrice des formations en partenariat
sylvie.chany@ensa-bourges.fr 02 48 69 79 91

éditions

Catalogues monographiques et collectifs :

  • Olivier Nottellet (deux volumes : expositions 1999 – 2017 ; dessins 2010 – 2016), Antonia Birnbaum, Vincent Brocvielle, Luis Perez Oramas, Yann Ricordel, Éditions Villa Saint Clair, Sète, 2017
  • Alexandre Castant, Les Arts sonores – Son & Art contemporain, Transonic/École nationale supérieure d’art, Charleroi et Bourges, 2017, 96 pages.
  • Pierre Coulibeuf, Fiction, Silvana Editoriale, 2018
  • Miguel Bonneville, Dissecaçao de um Cisne, Lisbonne, 2018
  • Les Cahier du DSRA, Document et art contemporain, n° 6 et 7-8, DSRA, ÉESI & Ensa-Bourges, 2019
  • Alexandre Castant et Iwona Tokarska-Castant, Visions de Mandiargues – Modernité, avant-garde, expériences, Essai, 2020
  • Yves Sabourin, Vivace & Troppo, le verre à l’état libre, Ensa Bourges, Bourges, 2020
  • Première, Meymac (une édition tous les ans)
  • Alex Bodea, The man with a hole in his tie, 100 visual notes on Berlin, The Fact Finder, Verlag, Berlin, 2020
  • Julie Crenn, Bertrand Godot, Frédéric Herbin et Gaëlle Rageot-Deshayes, Cueco, LIENART éditions, Paris, 2020
  • Les catalogues d’exposition de la galerie La Box depuis 1990.
    https://ensa-bourges.fr/images/Liste_editions_box_dec._2017.pdf

 

coopération internationale

Le Bureau de la mobilité et de l’action internationale, entité du service de la pédagogie et des formations, pilote l’ensemble de l’action internationale.

Les objectifs

– garantir la mobilité des étudiant.e.s, des jeunes artistes (post-diplôme et recherche) et des professeurs de l’école
– permettre l’accueil d’étudiant.e.s internationaux et d’enseignant.e.s issu.e.s d’établissements internationaux
– favoriser l’ouverture des projets artistiques et pédagogiques en permettant leur développement dans d’autres contextes
– structurer un réseau international
– assurer le rayonnement de l’école et de sa région à l’international
– accentuer la présence artistique internationale au sein de l’école
– développer l’apprentissage des langues vivantes

Les principes généraux 

L’action internationale s’inscrit le plus souvent dans le prolongement des enseignements, dans le cadre de séjours de mobilité inter-établissements : les professeur.e.s sont en effet les relais des échanges entre établissements ou structures qui se mettent en place. Ces échanges construisent un écosystème de lieux et de contextes favorable aux expériences artistiques et la formation hors-les-murs des étudiant.e.s, favorisant l’ouverture sur des points de vue multiples sur l’art, sur les sociétés, sur les territoires et les environnements dans différents pays du monde. Depuis 2015, des étudiant.e.s ont ainsi pu partir à Dakar, en Palestine, en Roumanie, au Pays-Bas et bientôt en Espagne et au Portugal dans le cadre de programmes Erasmus +.

Les étudiant.e.s de master 1 sont ainsi amené.e.s à préparer un séjour international dès le semestre 7 et à l’effectuer au semestre 8. Ce séjour se relie à leurs problématiques de travail et de recherche. Le mémoire de diplôme prend souvent cette expérience internationale comme point d’appui (entretiens avec des artistes, réflexion sur un contexte, réalisation de documentaires, de pièces artistiques). Qu’ils se réalisent dans des établissements d’enseignement du réseau ou dans d’autres contextes, ils témoignent d’une liberté d’action favorisée par l’école.

Les dispositifs d’échange (accueil et mobilité)

1 – Les séjours de mobilité inter-établissements (SEMI) :
L’école développe une politique de jumelage avec des établissements et des structures dans plusieurs pays, afin de créer les conditions d’un échange renouvelable entre les étudiant.e.s et les professeurs et d’engager des relations pédagogiques, artistiques, culturelles fondées sur le long terme. Chaque année, un.e ou plusieurs professeur.e.s peuvent, dans le cadre du programme Erasmus, engager une relation avec une école ou une université partenaire et ainsi construire les conditions d’une relation pédagogique et artistique durable. En retour, l’ENSA accueille des professeur.e.s et des étudiant.e.s d’autres écoles ou universités. Des cours ou des ateliers sont proposés aux étudiant.e.s dans ce cadre.

2 – Les séjours individuels de recherche (SIR)
En master 1, en dehors des échanges inter-établissements, une approche des milieux professionnels internationaux est également privilégiée pour construire des séjour à vocation de recherche et artistique forte pour les étudiant.e.s : l’accueil chez des artistes et structures artistiques est ainsi très développé. Les jurys du DNSEP ont pu souligner dans leurs rapports, l’impact réel des voyages à l’international de master 1 sur les travaux plastiques des étudiant.e.s.
L’Ensa Bourges assure pour ses étudiant.e.s de Master 1 un véritable « service à la carte » pour les mobilités internationales (ou nationales selon le cas), prenant en compte les projets des étudiant.e.s, leurs recherches à mener pour l’élaboration du mémoire et du diplôme mais aussi les perspectives professionnelles. Pour ce faire, elle s’appuie sur le réseau du corps enseignant, les personnalités invitées dans le cadre des activités de l’Ensa et enfin les partenariats développés.

Ces projets s’élaborent au semestre 7 et se réalisent au semestre 8, ils se préparent dans le cadre de la coordination de l’année 4 avec l’appui du bureau de la mobilité et des relations internationales. L’objectif est que l’intégralité d’une promotion (100%) puisse partir soit dans le cadre d’un séjour individuel de recherche (SIR) soit dans le cadre d’un séjour de mobilité inter-établissement (SEMI).
Les étudiant.e.s de M1 partent tous dans le cadre d’une convention (d’études ou de stages). Des projets en Islande, en Mongolie, en Nouvelle-Zélande, au Brésil, en République Tchèque ou encore au Canada ont ainsi pu se mettre en place.

3 – les programmes Erasmus + et Europe Creative

Depuis 2019, l’ENSA est engagée en tant que partenaire associé à des programmes. Ces projets permettent le déplacement de courte durée et par étapes d’étudiant.e.s dans des situations de workshops. Des rencontres entre les partenaires s’organisent en amont et durant les projets.

Dans le cadre du master : le programme Eastern Sugar (2019-2020) dans le cadre de la coordination de 4ème année et l’échange autour des pratiques sonores (partenariat avec l’Université de Marne-la Vallée, Paris-Est et deux établissements européens en Espagne et au Portugal).

Contact : Krystel Cosquéric, responsable du bureau international et du parcours étudiant

international@ensa-bourges.fr / krystel.cosqueric@ensa-bourges.fr

02 48 69 76 33

 

galerie

La Box, lieu identifié de diffusion et de production est l’un des principaux outils pédagogiques de l’école nationale supérieure d’art de Bourges. Tous les ans, elle produit environ cinq expositions d’artistes français.es ou étranger.ère.s et accueille quatre artistes en résidence.
L’ensemble de la programmation se construit selon plusieurs axes : projets de recherche, programmes de commissaires invité.e.s, expositions thématiques ou monographiques, projets en partenariat. Certaines expositions donnent lieu à une coproduction avec une ou plusieurs institutions nationales ou internationales.
Depuis 30 ans, La Box grâce aux deux ateliers-résidences dont elle dispose, accueille de jeunes artistes français.es ou étranger.ère.s qui bénéficient d’une bourse du Conseil régional du Centre-Val de Loire leur permettant de mener à bien leurs productions et recherches.
Il.elle.s interviennent au sein de l’Ensa auprès des étudiant.e.s lors de workshops. Selon la nature des projets réalisés durant la résidence des possibilités de diffusion ou d’édition peuvent être accompagnées.
L’ensemble de ces dispositifs vise aussi bien les enseignant.e.s et les étudiant.e.s de l’Ensa que le grand public, national, régional et berruyer. Pour les étudiant.e.s, les expositions sont l’occasion d’une rencontre vivante avec l’actualité artistique, d’une expérience concrète des œuvres et souvent de riches rencontres avec les artistes.
Pour l’Ensa, elles sont le moyen de s’identifier dans ce territoire spécifique, d’y faire connaître ses engagements artistiques et pédagogiques. Pour Bourges et la région Centre-Val de Loire, La Box offre la possibilité de confronter un large public à la création la plus actuelle.

La Box fait partie du réseau Arts en résidence et de l’association Devenir.art – réseau des arts visuels en Région Centre-Val de Loire.

équipements spécifiques

L’école dispose des équipements suivants :

  • Ateliers techniques : peinture, volume/sculpture, céramique, édition, photographie, pratiques numériques, cinéma/vidéo, son, bois, métal.
  • 1 amphithéâtre de 115 places
  • 1 plateau de tournage dit « La Chapelle »
  • 1 salle d’écoute, associée à 3 studios son et 1 studio radio
  • 1 galerie d’essai
  • 5 plateaux
  • 1 bibliothèque comprenant près de 19 000 ouvrages.
  • 1 cafétéria pour les étudiant.e.s

réseaux

L’Ensa de Bourges est membre de :

  • l’ANdÉA,
  •  la Conférence des écoles nationales d’art (CÉNA)
  • le réseau des écoles d’art Grand Ouest.
  • l’Association devenir.art et de l’AAAR qui regroupe des acteurs des arts visuels en Région Centre Val-de-Loire.

 

équipe administrative

Florence GENDRIER Directrice
Manuella NÉE Secrétaire générale
Xavier GIRARD Directeur des études
Alicia Deschamps Secrétariat pédagogique
Krystel COSQUERIC Coordinatrice du Bureau international et de la mobilité des étudiants
Sandra ÉMONET Responsable de la galerie La Box
Emmanuelle PAULIN Responsable des ressources humaines
Sylvie CHANY Coordinatrice des post-diplômes et des formations en partenariat
Hélène RAYMOND Responsable de la bibliothèque
Véronique FRÉJABUE Responsable communication

professeurs

Benjamin AMAN, dessin
Éric AUPOL, photographie
Neal BEGGS, pratique de l’anglais, installation
Érik BULLOT, cinéma, vidéo
Alexandre CASTANT, théorie et histoire de l’art
Éric CORNE, peinture
Magali DESBAZEILLE, performance
Arnaud DESHAYES, cinéma, vidéo
Vanessa FANUELE, dessin
Andreas Maria FOHR, cinéma, vidéo
Ferenc GRÓF, éditions
Frédéric HERBIN, théorie, historien de l’art
Stéphanie JAMET, théorie et histoire de l’art
Jérôme JOY, arts sonores
Tatiana LEVY, pratiques de l’écrit
Ingrid LUCHE, sculpture, volume
Cedric MIGROYAN, pratique de l’anglais
Ralf NUHN, installation, pratique de l’anglais
David RENAUD, sculpture, volume
Katya SHIRSHKOVA, arts sonores
Ida SOULARD, théorie et histoire de l’art
Laure TIXIER, sculpture, volume
Nicolas TOURRE, peinture
Jonathan ZWAENEPOEL (intervenant CRD)

effectif

175 étudiants

coordonnées

École nationale supérieure d’art de Bourges
7 – 9 rue Édouard-Branly, BP 297
18006 | Bourges cedex
tél. +33 (0)2 48 69 78 78
fax +33 (0)2 48 69 78 84
secretariat.pedagogique@ensa-bourges.fr / communication@ensa-bourges.fr
www.ensa-bourges.fr

Brest

École européenne supérieure d’art de Bretagne | site de Brest

présentation

L’école européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB) – Brest, Lorient, Quimper, Rennes rassemble près de 900 étudiants répartis sur 4 sites géographiques. Elle propose des formations à Bac + 3 et Bac + 5 (équivalence master) en art, design et communication.
Le site de Brest accueille chaque année environ 200 étudiant·e·s et délivrent les options Art et design.
L’organisation pédagogique à Brest se caractérise par un rythme soutenu des apprentissages en 1er cycle, et une organisation en plateformes pour le 2nd cycle.
– L’option Design a défini son territoire de recherche, « Design de la transition », et a construit un partenariat fort avec l’université, qui va trouver des développements après le diplôme (création d’un DU). Cette option explore les dimensions du territoire pénisnulaire de la ville en termes de paysage (littoral), d’architecture (architecture littorale, micro architecture), de ressources (matériaux, éco-matériaux), de technologies (transfert de technologie).
– L’option Art développe plus particulièrement des expérimentations dans l’espace public et dans le domaine de l’exposition, en s’appuyant notamment sur les opportunités offertes par le centre d’art Passerelle.

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École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Brest
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Atelier d'étudiants - École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Brest
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École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Brest

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design

classe préparatoire

programmes de recherche

revues

revues

Expositions, conférences, voyages d’études en France et à l’étranger.

activité post- ou périscolaire

Ateliers enfants et adolescents, ateliers adultes.

coopération internationale

Nombreux échanges Erasmus en Europe.

équipements spécifiques

Bois, métal, plastiques, thermoformage, découpeuse laser, photographie, lithographie, fours à céramique, magasins de prêt (outillage + matériel multimédia), peinture, maquettes, sérigraphie, médiathèque, vidéo, infographie, multimédia, impression numérique, son.

réseaux

ANdEA, Art Accord France, ÉLIA, Le Bois sacré, Collégium Grand Ouest.

équipe administrative

Claire Jacquet Directrice générale de l’EESAB
Frédérique Calvez Directrice du site de Brest
Frédérique Mazé Responsable administratif

Audrey Sesana Directrice des études et de la recherche
Orianne Morvan Secrétariat pédagogique
Caroline Costard Bibliothèque
Céline Madec/Gwenn Pataou Accueil
Macdara Smith Relations internationales
Gwenn Pataou comptabilité
Isabelle Laurent chargée de communication
Pauline Uguen Responsable entretien et maintenance
Mickaël Carlin informatique et réseaux

professeurs

Oscarine Bosquet
Lionel Boutter
Chloé Macary-Carney
Delphine Constant
Maryse Cuzon
Francesco Finizio
Marie-Claire Graillot
Joëlle Le Saux
Magali Lefebvre
Camille Lamy
Julien Masson
Jean-Baptiste Mognetti
Sylvie Moreau

Benoit-Marie Moriceau
Xavier Moulin
Morwena Novion
David Ryan
Macdara Smith
Sylvie Ungauer

Anaïs Touchot

coordonnées

18 rue du Château
29200 | Brest
tél. +33 (0)2 98 00 87 20
http://www.eesab.fr
contact.brest@eesab.fr

effectif

226 étudiants

Caen

École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Caen

présentation

L’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg est un établissement public de coopération culturelle placé sous la tutelle conjointe de Caen la mer, Communauté Urbaine, la Ville de Cherbourg-en-Cotentin, l’Etat et la Région Normandie. Elle est née en 2011 de la fusion de l’école supérieure d’arts & médias de Caen et de l’école supérieure des Beaux-arts de Cherbourg-Octeville.

A la fois établissement d’enseignement supérieur et équipement culturel, l’ésam Caen/Cherbourg affiche plusieurs offres de formation : les cursus de l’enseignement supérieur qui mènent à des diplômes à Bac+3 et Bac+5, une classe préparatoire publique au concours d’entrée dans les écoles d’art françaises, et les ateliers et stages grand public qui proposent une initiation aux pratiques artistiques.

Les différentes activités de l’ésam Caen/Cherbourg se déploient sur ses deux sites géographiques :

  • un bâtiment récent de 11500 m2 situé sur la presqu’île portuaire de Caen et spécialement conçu pour répondre aux besoins et spécificités d’une école d’art ;
  • des locaux de 2000 m2 entièrement réhabilités et implantés au coeur de l’ancien Hôpital maritime de Cherbourg, aujourd’hui rebaptisé Espace René Lebas.
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Bibliothèque site de Cherbourg, photo Julie Laisney - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
4/5
Aurélie Gloriant, projet pour l’atelier « Desire Path », 2011, photo Jean-Marc Dronet - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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Atelier site de Cherbourg, photo Julie Laisney

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design graphique
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention éditions
DNSEP Design & Transitions / Stratégies innovantes des territoires urbains (In Situ) Inventer les territoires de demain

troisièmes cycles

Doctorat RADIAN

Le programme doctoral de Recherches en Art, Design, Innovation, Architecture en Normandie (RADIAN), ouvert à la rentrée 2018-2019, est le fruit de la collaboration entre l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, l’école supérieure d’art et design Le Havre/Rouen, l’école nationale supérieure d’architecture de Normandie et l’école doctorale 558 « Histoire, mémoire, patrimoine, langage » (HMPL). Chacun des partenaires est membre de la Communauté d’universités et d’établissements (COMUE) Normandie-Université, qui porte l’accréditation du doctorat et délivre le diplôme.

Ce programme, qui combine étroitement recherche et création, s’adresse aux artistes, designers, architectes et auteurs de créations littéraires titulaires d’un diplôme de niveau MASTER II et engagés par leur pratique sur la scène de la création contemporaine. Il repose sur un modèle innovant qui envisage la recherche en art, en design graphique, en création littéraire et en architecture par la pratique et place l’oeuvre et le processus de création au coeur du travail du doctorant, en dialogue avec une recherche académique. Il ne s’adresse ni aux chercheurs qui souhaiteraient mener un travail exclusivement théorique ni à celles ou ceux qui l’envisageraient comme une résidence de création longue durée ou comme du simple mécénat. Dans ce cadre, la thèse consiste en (a) une oeuvre de création plastique, architecturale, littéraire ou de design graphique, accompagnée (b) d’un portfolio/journal de bord qui met en évidence le processus de création pendant les trois années de la thèse et (c) d’un document théorique (document d’une centaine de pages minimum, correspondant aux standards académiques d’une thèse en sciences humaines). Cet ensemble constitue l’objet de la soutenance de thèse. Après soutenance de leurs travaux, les doctorants obtiendront le titre de Docteur de la Communauté d’universités et d’établissements Normandie – Université.

classe préparatoire

La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg

A la rentrée 2012/2013, l’ésam Caen/Cherbourg a ouvert sur son site cherbourgeois une classe préparatoire publique aux concours d’entrée des écoles supérieures d’art, la première en Normandie. Cette classe préparatoire possède un objectif unique : conduire à la réussite du concours d’entrée des écoles supérieures d’art françaises. Les enseignements sont assurés par des plasticiens et des théoriciens de l’école. C’est un espace pédagogique qui accueille de façon intensive des élèves de 17 à 25 ans titulaires du baccalauréat. La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg permet à l’élève de confirmer son orientation, de comprendre les enjeux de formation d’une école d’art et d’accéder à l’enseignement supérieur à travers différentes formes d’expérimentation, de réflexion et de confrontation. Les élèves entrant dans ce cursus s’engagent à passer quatre concours pour optimiser leurs chances de réussite.

éditions

Catalogues, livres d’artistes, écrits d’artistes

éditions

– « XXe siècle etc. » : cycle de conférences d’histoire de l’art proposé en partenariat avec le FRAC Normandie Caen et l’Artothèque de Caen.
– Salon « Impressions multiples » : salon des éditeurs indépendants (multiples et imprimés d’artistes, essais graphiques et typographiques, éditions électroniques et sonores, micro-édition)
– Festival « Interstice – rencontre des inclassables » : festival consacré aux pratiques des plasticiens et musiciens internationaux qui interrogent les relations intermédias son/image/objet/espace.
– Festival Si cinéma – Festival international des cinémas en écoles d’art, organisé en partenariat avec le Café des images, le Centre Pompidou, la Ménagerie de verre et la Haute école des arts du Rhin
– Expositions des diplômé·es : travaux des DNSEP et des DNA.
– Spectacles et expositions temporaires proposés en partenariat avec les structures culturelles locales (Festival NDK, Festival Les Boréales, Centre chorégraphique national Caen/Basse-Normandie, Comédie de Caen, Théâtre de Caen, etc.).

activité post- ou périscolaire

L’ésam Caen/Cherbourg propose sur ses deux sites géographiques 75 ateliers hebdomadaires d’initiation à la pratique artistique pour les enfants, les adolescent·es et les adultes. Elle organise également des stages pendant et hors vacances scolaires ainsi que des animations arts plastiques en milieu scolaire.

coopération internationale

Depuis plus de 30 ans, l’ésam Caen/Cherbourg développe ses activités à l’international avec des projets ambitieux qui alimentent sa pédagogie et contribuent à son rayonnement.
La mobilité des étudiant·es est une priorité : elle a lieu tout au long du cursus par le biais de voyages d’études (visites d’expositions, biennales), de séjours d’études ou de stages à l’étranger.
L’école accueille également 15% d’étudiant·es internationaux·ales, sur programmes d’échanges ou par l’intermédiaire de la plateforme Campus Art. La mobilité du personnel (à des fins d’enseignement ou de formation) est également encouragée.
Le service des relations internationales coordonne par ailleurs divers projets : programmes de résidences, workshops, expositions en lien avec des partenaires étrangers.
Mobilité 
Voyages d’études
Projets internationaux 
Etudiant·es entrant·es

Réseaux et collaborations

L’ésam Caen/Cherbourg s’inscrit ainsi dans de nombreux dispositifs :

  • membre du réseau ELIA (European League of Institutes of the Arts)
  • labellisation Caen Nordic de la ville de Caen avec son projet « Territorial Creativity and Participative Urban Art in Riga. » fin 2021.
  • sélection en 2022 pour participer au projet EuroFabrique avec son projet « Action publique » mené avec l’artiste Julien Berthier et présenté le 10 février 2022 au Grand Palais éphémère de Paris.
  • dans le cadre d’un dispositif de bourse du Ministère de l’enseignement supérieur irakien et de l’ambassade de France en Iraq, accueil de l’artiste et enseignant-chercheur Ali Ameen Sami pour une résidence de recherche et de création de mars à août 2022.
  • participation au programme PAUSE du Collège de France pour l’accueil d’artistes ukrainiens en exil. Nous avons ainsi accueilli en résidence les artistes Anna Khodkova, Kristina Yarosh et Yana Yarosh entre mai et juillet 2022.

Partenaires

L’école compte une quarantaine de partenariats avec d’autres établissements d’enseignement supérieur artistique en Europe et dans le reste du monde, au travers du programme Erasmus+ ou d’ententes bilatérales. Liens directs sur notre site.

Allemagne
Kiel – Muthesius Kunsthochschule in Kiel
Offenbach am Main – Hochschule für Gestaltung Offenbach am Main
Mannheim – Hochschule Mannheim
Münster – Kunstakademie Münster
Münster – Fachhochschule Münster
Belgique
Mons – Ecole Supérieure des Arts
Bruxelles – ESA Saint-Luc
Bruxelles – Ecole de Recherche Graphique
Bulgarie
Veliko Turnovo – Université de Veliko Turnovo St Cyril & St Methodius
Canada
Chicoutimi – Université du Québec à Chicoutimi
Toronto – Sheridan College
Corée du Sud
Séoul – Hongik University
Estonie
Tallinn – Estonian Academy of Arts
Espagne
Tarrega – EASD Ondara
Las Palmas – EASD Gran Canaria
Madrid – Centro Universitario de Artes TAI
Estonie
Tallinn – Estonian Academy of Arts
Etats-Unis
Lowell – UMass Lowell
Baltimore – Maryland Institute College of Arts
Hongrie
Budapest – Metropolitan University of Applied Sciences
Budapest – The Hungarian University of Fine Arts
Inde
Bengalore – Karnataka Chitrakala Parishath
Italie
Bologne – Accademia di Belle Arti di Bologna
Brescia – Accademia di Belle Arti di Brescia Santagiulia
Lettonie
Riga – Art Academy of Latvia
Riga – Latvian Academy of Culture
Lituanie
Vilnius – Vilnius Academy of Art
Macédoine
Skopje – St Cyril and Methode University of Skopje
Mexique
Cuernavaca – Universidad Internacional
Norvège
Bergen – Bergen Academy of Art and Design
Pays-Bas
La Haye – Royal Academy of Art
Pologne
Varsovie – Academy of Fine Arts of Warszaw
République Tchèque
Prague – Academy of Arts, Architecture and Design
Roumanie
Cluj Napoca – University of Art and Design
Royaume-Uni
Belfast – University of Ulster, Belfast school of art
Plymouth – Plymouth College of Art
Russie
Ekaterinbourg – Ural State Academy of Architecture and Art
Slovaquie
Banska Bystrica – Academy of Arts in Banska Bystrica
Suisse
Sierre – EDHEA
Turquie
Istanbul – Mimar Sinan Fine Arts University

galerie

Grande galerie d’exposition de 200m2 située sur le site de Caen et accueillant les expositions des travaux des diplômé·es de l’école tout comme des expositions d’artistes extérieur·es programmées dans le cadre de partenariats culturels.

équipements spécifiques

Ateliers techniques (détails)
– Pôle volume : ateliers bois ; ateliers fer, dans lesquels sont travaillés la découpe et la soudure, le pliage, la forge, la fonderie ; atelier de résines et de matériaux plastiques.
– Pôle céramique : ateliers permettant d’explorer toutes les techniques du travail de la céramique (moulage, modelage, tournage, coulage, émaillage en faïence, raku, grès, porcelaine en cuisson réductrice ou oxydante).
– Pôle estampe : ateliers de gravure en taille douce, xylographie, aquatinte ; atelier de sérigraphie comprenant plusieurs tables de tirage ; atelier de lithographie et de photolithographie.
– Pôle édition : imprimerie offrant les techniques de typographie-bois, typographie-plomb, offset et numérique.
– Pôle photographie : laboratoires de développement film ; ateliers de tirage en photographie noir et blanc et couleur, dont un grand format ; studio de prise de vue ; atelier de photographie numérique.
– Pôle vidéo : cabines de montage vidéo ; plateau de tournage vidéo équipé d’un cyclo pour les incrustations.
– Pôle son : studio son équipé d’une cabine speak ; cabines de montage son.
– Pôle informatique et multimédias : salles d’informatique pour les cours, les ateliers numériques en typographie, mise en page, multimédias, animation et 3D virtuelle.

Bibliothèques (détails)
Les bibliothèques situées sur chacun des deux sites de l’ésam Caen/Cherbourg constituent un fonds de référence et de ressources pour les arts visuels et l’art contemporain du 20ème siècle jusqu’à nos jours, soit plus de 27 000 documents se présentant sous la forme d’imprimés (monographies, catalogues d’exposition, essais), de documents audiovisuels (CD-Audio, DVD, CD-Rom), de périodiques (revues d’art et de graphisme françaises et internationales).

Ateliers des étudiant·es : des ateliers d’une superficie comprise entre 100 et 200 m2 permettent à chaque étudiant·e de disposer tout au long de l’année d’un espace de travail adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser ses projets personnels. Des salles d’accrochage pédagogique leur permettent par ailleurs de présenter leurs travaux lors des évaluations ou des passages de diplômes dans des conditions professionnelles.

Auditorium de 250 places équipé d’un plateau de 12 x 11 m

réseaux

Le projet de l’ésam est consultable sur notre site.
Nos partenaires.

L’ésam Caen/Cherbourg fait partie de nombreux réseaux, dont l’Andéa (Association nationale des écoles supérieures d’art et de design), la Communauté d’Universités et d’Établissements (ComUE) Normandie-Université et, depuis la rentrée 2022, la CGE (Conférence des Grandes Écoles). Elle est ainsi la première école supérieure d’art et de design territoriale labellisée Grande École et seulement la troisième école supérieure d’art et de design publique. En Normandie, elle est le septième établissement d’enseignement supérieur à rejoindre ce réseau d’excellence.

L’ésam est également membre de la communauté d’universités et d’établissements (COMUE) Normandie Université et du Pôle Territorial de Coopération Presqu’île de Caen.

 

équipe administrative

Liste complète sur notre site.

Arnaud Stinès Directeur
Sébastien Boussier Administrateur général
Claire Migraine Etudes 
France Jacquel-Blanc Relations internationales
Brice Giacalone Recherche
Julie Laisney Relations extérieures
Aurélie Noury Bibliothèque

professeurs

Liste et biographies sur notre site.

Deepak Ananth
Léna Araguas
Camille Azaïs
Julie Bassinot
Juliet Bates
Abir Belaïd
Christophe Bouder
Laurent Buffet
Simonetta Cargioli
Muriel Couteau
David Dronet
Céline Duval
Sarah Fouquet
Nicolas Germain
Brice Giacalone
Lina Hentgen
Benjamin Hochart
Quentin Juhel
Adeline Keil
Alice Laguarda
Thomas Leblond
Myriam Mechita
Elise Millet
Isabelle Prim
Maxence Rifflet
Alexandre Rolla
Bérénice Serra
Apolonia Sokol
Phil Stephens
Pierre Tatu
Didier Tirard
Thierry Weyd
Emmanuel Zwenger

coordonnées

site de Caen [siège social] :
17 cours Caffarelli 14000 | Caen
site de Cherbourg :
61 rue de l’abbaye 50100 | Cherbourg-en-Cotentin
tél. +33 (0)2 14 37 25 00
fax +33 (0)2 14 37 25 01
info@esam-c2.fr
http://www.esam-c2.fr
Facebook
instagram
TikTok
Twitter
Linkedin
Youtube

effectif

300 étudiant·es

Cambrai

École supérieure d’art et de communication de Cambrai

présentation

L’École supérieure d’art et de communication (Ésac) de Cambrai est un établissement d’enseignement supérieur placé sous la tutelle pédagogique du ministère de la Culture.

Cet établissement public de coopération culturelle (EPCC) délivre un enseignement artistique spécialisé en design graphique, développe une activité de recherche et propose un panel d’actions culturelles ouvertes au plus grand nombre.

Les études mènent à l’obtention de deux diplômes en option « Communication » : le Diplôme national d’art (DNA, grade Licence) et le Diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP, grade Master), mention Dialogues.

L’histoire de l’école débute en 1780 dans les ateliers de deux artistes cambrésiens: Antoine-François Saint-Aubert et Benoît Marho. En 1832, elle est dotée d’un règlement de type « Académie des Beaux-Arts » et en 1894 des locaux lui sont dédiés rue Saint-Fiacre. En 1951, avec la réforme de l’enseignement artistique, sont mis en place le CAFAS et le Diplôme des Beaux-Arts. En 1970, l’école emménage dans les anciens bureaux d’une entreprise textile, rue du Paon. Le DNAT Arts graphiques y est créé. De 2001 à 2003, le DNSEP option Communication se construit avec l’ambition de parcourir un champ de création artistique plus vaste, en phase avec les avancées technologiques. Depuis 2003, l’Ésac propose un enseignement singulier qui ancre la pratique du design graphique dans le champ élargi de la création visuelle et artistique contemporaine.

Dans le contexte de l’offre régionale, l’Ésac se caractérise par la particularité de son option «Communication». L’option «Communication» n’est pas à comprendre comme une formation dont les objectifs seraient l’acquisition d’outils de communication au sens propre (vidéo, logiciels d’images et de mise en page, multimédia, etc.), mais comme une formation artistique transversale conduisant à des productions répondant ou non à des commandes. Cela lui permet d’investir les champs de la communication que sont le design graphique en même temps comme des pratiques artistiques qui interroge les champs de la communication et de l’information.

L’objectif de cette option est de former des créateurs qui, au delà de leur production, développent une réelle capacité d’analyse critique des dispositifs médiatiques, socio-économiques, et idéologiques et qu’à l’issue de sa formation, l’étudiant·e puisse qualifier sa pratique du design graphique relevant d’une pratique dite d’auteur.
À l’issue de cette formation, les étudiant·es peuvent prétendre à des emplois de graphistes en agence, en atelier, au sein de collectivités ou encore d’institutions à vocation culturelles et sociales. Iels peuvent également travailler en milieu culturel et artistique, et notamment au sein des services de médiation ou de communication.

L’École est établissement-composante de l’Université Polytechnique Hauts-de-France (UPHF), Établissement public expérimental (ÉPE) et membre fondateur de l’association Polaris — Réseau magnétique des écoles d’art publiques en Hauts-de-France. Également membre actif de l’Association nationale des écoles d’art (ANdÉA), elle invite toutes les personnes à participer aux colloques et ateliers de travail inter-écoles.

Enfin, elle développe la mobilité internationale selon une stratégie précise : emplacements géographiques proches et accessibles, partenariats investis et réciproques, structures d’échelle modeste et similaire.

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diplômes

L’école développe deux cursus, autonomes et complémentaires, menant à des diplômes homologués par le ministère de la Culture et par le ministère de l’Enseignement supérieur.

Diplôme National d’Art
(DNA, grade Licence/Bachelor), 3 ans
Cette formation de 1er cycle, initiale et généraliste, se décompose ainsi :
● L’initiation et le perfectionnement aux diverses pratiques et techniques qui couvrent le champ de la communication : design graphique, dessin, création numérique, photographie, édition, impression (gravure, sérigraphie, riso, 3D), vidéo, typographie… mais aussi performances et installations dans l’espace.
● L’enseignement du projet de design graphique, pratiqué par petits groupes (± 15 étudiant·es), selon un cahier des charges défini.
● Des réalisations ambitieuses en contexte réel, grâce aux nombreux partenariats menés par les enseignant·es avec des structures culturelles locales ou régionales.

Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique, mention Dialogues
(DNSEP, grade Master), 2 ans
Cette formation de 2nd cycle, complémentaire et spécialisée, se déploie ainsi :
● L’enseignement du projet de design graphique, pratiqué par petits groupes (± 12 étudiant·es), permet de faire éclore des trajectoires personnelles fortes : méthodologies, démarches et écritures graphiques sont issues d’une construction individuelle et singulière. Les projets sont développés dans des conditions réalistes, confrontant l’étudiant·e aux enjeux du design graphique : une commande, un contexte et un public.
● L’initiation à la recherche, à travers la rédaction d’un mémoire personnel en Master 1 et la participation au programme de recherche de l’école (l’archivage de la création numérique), mené en partenariat avec des institutions publiques, régionales et nationales.
●  Le développement d’un projet graphique personnel, en fin de cursus, dont le cahier des charges est entièrement défini par l’étudiant·e puis réalisé dans toutes ses dimensions grâce aux ateliers de l’école : prototypage, diffusion…

Approche pédagogique
Abordés sous l’angle expérimental, les diplômes sont ancrés dans une réalité professionnelle puisque l’équipe pédagogique est composée de designers, d’artistes et de théoricien·nes reconnu·es dans leur domaine, en prise avec des métiers qui évoluent en permanence. De plus, l’école accueille régulièrement des personnalités extérieures : cycles de conférences, expositions, ateliers intensifs (workshops), séminaires, master classes, ateliers de recherches et de création (ARC), rencontres professionnelles.

Workshops
En complément du programme pédagogique proposé par les enseignant·es, plusieurs sessions d’ateliers intensifs sont animées par des intervenant·es extérieur·es.

Semaine Outils
Chaque année, l’école organise une semaine transversale d’ateliers intensifs où se mélangent les étudiant·es, toutes années confondues. L’axe pédagogique général est l’expérimentation formelle et conceptuelle à partir d’une machine ou d’une technique : d’un « outil ». Enseignant·es et étudiant·es explorent, tâtonnent… et produisent des objets graphiques qui triturent les processus de fabrication. Les ateliers sont conçus et menés par l’équipe, ainsi que par les étudiant·es d’années diplômantes (3 & 5) qui souhaitent se frotter à la pédagogie.

Voyages d’étude et festivals
Paris et Bruxelles sont à 2h de Cambrai. Chaque année, l’équipe pédagogique organise un voyage de découverte des capitales, à travers les principaux musées, les galeries privées et les expositions temporaires qui font l’actualité des arts visuels contemporains. La Biennale internationale de design graphique de Chaumont fait également partie des destinations régulières.

Partenariats
Selon les ateliers et les années, les enseignant·es élaborent différents partenariats, avec des structures cambrésiennes ou plus lointaines : scientifiques (Le Labo, l’INA de Lille), artistiques (le festival Fig. de Liège, le théâtre de Cambrai, l’Opéra de Lille, le théâtre le Phénix de Valenciennes, le Centre régional de la photographie de Douchy-les-Mines), pédagogiques (l’UPHF, le service Ville d’art et d’histoire et le Musée des beaux-arts de Cambrai)… Ces collaborations apportent un souffle et une ambition concrète aux travaux étudiants, qui sont exposés dans chacun des lieux et confrontés aux publics.

programmes de recherche

Recherche

L’équipe défend une recherche par la création, qui place les étudiant·es au premier plan : fouille documentaire, analyse, synthèse, écritures libres, transformation des sources premières ou secondaires et mise en forme (graphique, sonore, spatiale…), prise de parole individuelle et projets collectifs actionnés lors d’événements publics.

Articulations avec la pédagogie
En 1er cycle, les Ateliers de recherche et de création (ARC) insufflent une ouverture vers la recherche en création à travers un lien théorie/pratique et donnent lieu à des restitutions publiques : graphisme et arts de la scène (installations et performances à l’Opéra de Lille) ; graphisme et art numérique (Ceci n’est pas un jeu : exposition au Musée des beaux-arts de Cambrai).

La pratique régulière de l’écriture (objet de recherche en DNA et mémoire en DNSEP) permet de renforcer le passage d’une pensée orale vers une pensée écrite. Elle encourage l’affirmation d’un point de vue personnel selon différents registres d’écriture (écrit critique, fiction, carnets de terrain ou encore entretiens).

En 2nd cycle, les programmes de recherche s’intègrent aux séminaires et ateliers pratiques d’année 4, selon une alternance annuelle (production de savoir/diffusion). Les recherches, poursuivies d’années en années, créent une chaîne de transmission entre les différentes promotions étudiantes.

Programme de recherche : Retour aux sources (RAS)— la création numérique reconsidérée
L’objectif du programme est double : d’une part mettre à jour les oeuvres simples ou les fragments de codes qui ont fait l’histoire du design interactif ou de l’art numérique, se saisir de ces briques algorithmiques qui les composent pour créer de nouvelles pièces ; et d’autre part, communiquer de manière dynamique et inventive sur la création « in progress », dans une dynamique de partage et de diffusion que porte l’open source, en travaillant avec des formats ouverts, évolutifs mais aussi consultables par le plus grand nombre et qui s’inscrivent dans une volonté de valorisation scientifique.

Une pluralité de démarches est ainsi engagée : penser les outils du numérique, travailler avec les supports existants ou considérés comme dépassés, montrer les circulations possibles entre l’analogique et le numérique et sensibiliser par là-même à l’histoire des médiums et des techniques.

→ Coordination conjointe du programme : Keyvane Alinaghi et Caroline Tron-Carroz
→ Publication : http://ras.esac-cambrai.net
→ Partenaires : Institut national de l’audiovisuel (INA, Lille), Centre européen du vidéo mapping, Maison Folie Moulin (Mini Lab, Lille), Université polytechnique des Hauts-de-France – UPHF, Musée des beaux-arts (Cambrai).

unités de recherche

Unité de recherche : Hyper.Local
Depuis 2016, les écoles supérieures de Cambrai, Dunkerque-Tourcoing et Valenciennes ont réuni leurs programmes de recherche développés en Art et en Design au sein d’une Unité de Recherche (UR) nommée « Hyper.Local ». Lieu de diffusion et de partage, celle-ci questionne et rend public les formats de restitution des ARCs et programmes de recherche, en impliquant les étudiant·es de 2nd cycle.

En octobre 2022, à l’occasion de la Triennale Art & Industrie Chaleur humaine portée par le FRAC Grand Large et le LAAC (Dunkerque), Hyper.Local s’est emparée de la question de l’énergie en proposant aux étudiant·es des workshops encadrés par des artistes invité·es. Du 16 septembre 2023 au 14 janvier 2024, l’exposition Énergie(s) présente au FRAC Grand Large les productions réalisées lors de ces rencontres multi-écoles.

unités de recherche

Action culturelle

Conçue à destination prioritaire des étudiant·es de l’école, la programmation culturelle de l’Ésac fait écho aux projets et aux invitations pédagogiques. Elle propose des cycles de conférences thématisés et des expositions, qui sont autant d’apports pédagogiques, documentaires et artistiques. Tous les événements s’ouvrent aux publics extérieurs, individuels ou groupes. L’école est une actrice culturelle à part entière de la ville, un lieu de ressources permanent sur le design graphique, où chacun·e est bienvenu·e.

Conférences
Certaines conférences font partie intégrante d’un cours, quand d’autres sont structurées en cycle autonome. Certaines proviennent d’initiatives enseignantes, quand d’autres sont provoquées par des étudiant·es. La majorité ont lieu in situ, quelques unes se déroulent en visioconférence, toutes sont pensées comme des moments de rencontre et d’échange avec des professionnel·les.

Expositions
La programmation propose plusieurs axes reliés par le design graphique et l’image, à travers des commissariats itinérants ou issus de l’école : Témoins (accrochage collectif de photographies documentant les terres agricoles du Cambrésis, avec Amélie Landry et six étudiant·es), Papier Puzzle (installations lumineuses en papier, avec Laure Philippe), panorama contemporain international, sélection issue de la collection conservée à l’école, En coulisses d’un projet (étapes préparatoires de commande : croquis, tests…), restitutions pédagogiques, interventions spontanées, et enfin : projets de diplômes/fin d’études !

Au-delà des multiples endroits de l’école investis (galerie, centre de documentation, vitrines…), certaines expositions se déploient dans l’espace public (Chapelle des Jésuites, centre-ville).

Médiation et ateliers de pratiques
Sur réservation, l’école propose des visites commentées de ses expositions, à destination de groupes et de publics variés. Ponctuellement, les étudiant·es organisent des ateliers de pratiques artistiques, en lien avec les expositions ou avec leurs recherches personnelles. Par exemple, en 2022/23 : Ping Pong (jeux sportifs détournés), initiation au design graphique, sérigraphie, outils numériques libres…

Ultra Local (de 18h à 20h)
Ce temps « après les cours » permet à chacun·e de se retrouver librement dans l’espace de l’école, de construire du collectif et de la convivialité. La programmation est ouverte aux suggestions de tous les membres : étudiant·es, personnel pédagogique, administratif et technique. Elle propose : des jeux, la présentation d’initiatives étudiantes, la restitution de projets pédagogiques, le partage d’expériences à l’international, des petites formes dansées et dessinées, un ciné-club…

Cordée de la réussite « Les métiers de l’image »
En 2023/2024, l’école rejoint le programme des Cordées de la réussite de la Région académique Hautsde- France. Ce partenariat en faveur de l’égalité des chances associe l’Ésac, qui devient tête de cordée, et 4 établissements scolaires du Cambrésis. L’objectif est d’accueillir tout au long de l’année scolaire une soixantaine de collégien·nes et lycéen·nes afin de leur faire découvrir l’enseignement supérieur des métiers de l’image par le biais d’actions au sein de l’école, de sorties culturelles ou d’ateliers et visites organisés par des étudiant·es.

++ voir l’actualité des événements

équipements spécifiques

Ateliers
L’Ésac bénéficie d’ateliers de production nombreux et très bien équipés : gravure, sérigraphie, fab lab (gravure laser et impression 3D), impression numérique grand format, découpe d’adhésifs, édition et reliure, riso, studio de prise de vue photo et vidéo, salle de cours informatique, salle de montage vidéo. L’école fournit certains consommables : encre, plaques de cuivre, produits chimiques… dans le cadre des cours et des ateliers inscrits à l’emploi du temps.

Récupérathèque
Cet espace coopératif, initié par les étudiant·es pour limiter le gaspillage dans l’école et dédié au réemploi, fournit des matériaux de récupération pour toutes et tous. En plus de revaloriser les déchets, la récupérathèque encourage la solidarité et crée du lien social. Elle permet de se rassembler autour d’un projet local au sein de l’école, tout en s’inscrivant dans une démarche collective à l’échelle nationale. Cette année, la récupérathèque est à la recherche de volontaires pour se joindre à l’aventure, développer le projet et adhérer à la Fédération des récupérathèques…

Prêt de matériel
Un système de prêt de matériel vidéo et photographique est mis en place : ordinateurs Apple, tablettes tactiles, vidéo DVCAM, micros, perches, pieds, mixette, dat, projecteurs vidéo, appareils photographiques argentiques et numériques… En raison du coût de ces équipements, une attestation d’assurance (responsabilité civile) est demandée pour pouvoir emprunter ce matériel. En cas de bris, perte ou vol, la réparation ou le remplacement est à la charge de l’étudiant·e.

Centre de documentation
Le fonds spécialisé contient de nombreux ouvrages en arts visuels et design graphique : livres (monographies, catalogues d’expositions, manuels), revues, vidéos, etc. Il est accessible à chacun·e pour la consultation et le prêt ; et ouvert au public extérieur pour consultation seule. Chaque semaine, une sélection d’ouvrages en lien avec des thématiques transversales aux enseignements, à la programmation culturelle de l’école ou à l’actualité du monde de l’art est mise en avant.

Depuis 2021, les acquisitions du centre font l’objet d’une concertation collective à travers un groupe composé d’enseignant·es, d’étudiant·es, du responsable et de la directrice. En amont, chaque personne de l’école est invitée à soumettre des propositions d’acquisitions motivées.

Le centre de documentation accueille également des expositions. En 2023/24, des tirages de l’artothèque du Centre régional de la photographie Hauts-de-France y seront présentés tout au long de l’année : Willy Ronnis, Marc Pataut, Françoise Muñez, Denis Brihat, Marie-José Burki, John Batho…

Par ailleurs, une newsletter hebdomadaire étoffe la notion de ressources en sélectionnant des contenus extérieurs à l’école : médias en ligne (conférences, webinaires, films, podcasts…), expositions et événements (locaux, nationaux et transfrontaliers) et appels à projets pertinents (choisis pour des critères de sérieux, de rémunération, de visibilité, etc.).

Galerie et vitrines d’exposition
L’école dispose de plusieurs espaces d’accrochage, qui accueillent des expositions temporaires (monographiques ou thématiques) et des restitutions de projets étudiants : galerie intérieure, mais aussi vitrines en prise directe avec l’espace public.

réseaux

ANdEA, Polaris.

équipe administrative

Depuis le 1er janvier 2011, l’École est régie sous la forme d’un EPCC, Établissement Public de Coopération Culturelle créé par la Ville et l’Agglomération de Cambrai, l’État et la Chambre de Commerce et d’Industrie. L’établissement est géré par un Conseil d’administration présidé par Sylvain Tranoy.

Direction
Sandra Chamaret

Administration générale
Marie Delroise,, Administratrice
Émilie Maguet-Romanowski, Responsable de la scolarité
Aline Mallet, Comptabilité et administration financière
Mickaël Tkindt-Naumann, Communication et centre de documentation

Équipe technique
Loïc Joly, Maintenance et conciergerie
Marie Rosier, Ateliers de production (impression numérique/traditionnelle)

professeurs

Théorie et langues vivantes
Stéphanie Mahieu, Actualités du design en anglais, référente relations internationales
Fabrice Sabatier, Théorie du design graphique
Caroline Tron-Carroz, Histoire de l’art, responsable de la recherche

Communication, design graphique
Keyvane Alinaghi, Code créatif et dispositifs numériques
Lucile Bataille, Pratiques graphiques
David Braillon, Édition et usages typographiques
Romain Descours, Vidéo
Gilles Dupuis, Graphisme et images d’actualités
Ida Ferrand, Gravure
Tomek Jarolim, Design d’interaction
Valentine Solignac, Photographie
Bruno Souêtre, Design graphique et mise en espace
Fred Vaësen, Installations, couleurs et sérigraphie
Melek Zertal, Illustration

Invitées 2023/24
Silvia Dore, Méthodologie de projet
Diane Ducamp, Médiation culturelle et patrimoine

coordonnées

130, Allée Saint-Roch
59400 Cambrai
Nord-Pas de Calais
France
T +33 (0)3 27 83 81 42
F +33 (0)3 27 83 81 43
bonjour@esac-cambrai.net
www.esac-cambrai.net

effectif

90 étudiant·es

Cergy

École nationale supérieure d’arts Paris-Cergy

présentation

Créée en 1975, l’ENSAPC est une école d’art, véritable laboratoire ouvert sur le champ de la création contemporaine.
Revendiquant une totale transversalité, l’ENSAPC est pensée comme un laboratoire des pratiques artistiques. Elle s’affirme comme une plateforme de production et de savoir. Pour nourrir une approche critique des enjeux contemporains, l’école se veut mobile, réactive, attentive aux nouveaux champs de connaissance permettant l’exploration de nouveaux territoires.
L’école fait évoluer son enseignement en continu, pour être au plus près de l’environnement professionnel auquel ses étudiants devront prendre part : l’ENSAPC couvre un très large spectre de disciplines et croise le domaine des arts visuels, de l’écriture, du spectacle vivant et du cinéma.
Pilotés par des artistes et des théoriciens exigeants, les projets pédagogiques sont construits en articulation étroite avec des structures publiques et privées françaises et internationales de haut niveau, dans le champ de la création.
Ayant pour vocation la formation de créateurs et de professionnels aguerris, l’école a formé un grand nombre d’artistes qui ont construit des trajectoires singulières dans les domaines des arts visuels, du cinéma, du design, de la littérature. Absalon, Violaine Lochu, Erwan Bouroullec, Latifa Echakhch, Loris Gréaud, Michel Hazanavicius, Jean-Charles Hue, Valérie Mrejen, Bouchra Khalili ou encore Jean-Michel Othoniel, ne sont que quelques exemples de diplômés de l’ENSAPC.

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

troisièmes cycles

Doctorat en Arts

La recherche en arts et par l’art place les artistes, les auteurs, les créateurs et leurs pratiques au coeur du processus méthodologique : la recherche en arts, étroitement associée à une expérience professionnelle de haut niveau, se déploie à l’intérieur de la pratique artistique. Cette recherche convoque les différentes étapes du processus de création (de la conception à la production et à la diffusion), qu’elle irrigue en retour. Elle repose sur une articulation entre théorie et pratique. Elle est traversée par un regard réflexif constant qui crée un aller-retour entre expérimentation et distance analytique. Inventant ses propres formes, les résultats de la recherche doivent révéler une pratique de la pensée et une pensée de la pratique. Dans le cadre de la COMUE Université Paris Seine, l’ENSAPC s’est associée à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Versailles, l’Ecole nationale supérieure de paysage de Versailles, l’Institut national du patrimoine et l’Université de Cergy-Pontoise pour mettre une formation doctorale par la pratique. Cette Graduate School Humanités, création et patrimoine, soutenue par le PIA3, propose six mentions de doctorats : arts, architecture, paysage, études patrimoniales, conservation-restauration du patrimoine et création littéraire. Les doctorats sont co-encadrés par un chercheur en sciences humaines et sociales et par un encadrant professionnel ou praticien de la discipline concernée.

post-diplôme

Art by translation

Art by Translation est un programme de recherche et d’exposition initié par l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy et l’École Supérieure d’Art et de Design ALM-Angers, dirigé par Maud Jacquin et Sébastien Pluot, directeurs fondateurs, et Jeff Guess, directeur pédagogique réalisateur. Il est soutenu par le ministère français de la Culture et collabore avec de nombreuses institutions académiques et artistiques internationales.

Organisé en sessions consacrées à des thèmes de recherche spécifiques, ce programme itinérant se déroule sur différents sites d’Europe et d’Amérique du Nord et développe des projets artistiques et deconservation, des événements discursifs et des publications en collaboration avec des musées, des écoles d’art et des universités. En tant que programme de troisième cycle, il implique chaque année quatre artistes et conservateurs sélectionnés.

Les participants 2018-2019 sont Lila Athanasiadou, Jasmin Blasco, Daniel Frota et Slow Reading Group (Bryana Fritz et Henry Andersen). La première session est consacrée aux processus et aux enjeux idéologiques de la traduction dans les arts.

vae

DNSEP option Art

unités de recherche

LaRA (Laboratoire de recherche en art)

S’inscrivant dans les débats nationaux et internationaux sur les pratiques de la recherche en arts, sur les modalités et les processus méthodologiques propres aux pratiques artistiques (notamment dans le cadre des discussions sur les recherches « practice-based » et « practice-led »), plusieurs principes guident la structuration de la recherche à l’ENSAPC :

  • la recherche en arts place les artistes et la pratique artistique au coeur du processus méthodologique : la recherche en arts n’est pas une recherche sur l’art, mais une recherche avec, et à l’intérieur de, la pratique artistique ;
  • la recherche en arts s’articule avec le projet artistique des artistes et étudiants : elle constitue un espace de réflexion et de production qui nourrit le travail individuel, autant que le travail individuel peut nourrir le processus de recherche ;
  • la recherche en arts se donne pour ambition d’inventer des formes de diffusion et de valorisation spécifiques, appelées par le projet de recherche lui-même.

Ces principes sont notamment à l’origine de la création d’une unité de recherche pluridisciplinaire, le LaRA – Laboratoire de recherche en arts, soutenue par la DGCA. Ils prennent également corps dans la mention « arts » du doctorat par la pratique proposée par l’ENSAPC dans le cadre de la Graduate School Humanités, création et patrimoine de l’Université Paris-Seine. Ce parcours doctoral est doublement encadré par un universitaire et par un professionnel qualifié et reconnu dans son champ d’appartenance.

programmes de recherche

303

Ligne de recherche proposée par François Bon.Exploration et expérimentations des modes de publication Print et Numériques,édition supports transmédia, vidéo écriture et podcasts. Diffusion web et propagation réseau. Appui sur les projets personnels des participants,indépendamment des supports ou média. Développement du projet, rédaction,édition, outils numériques de publication sur support print, web, podcast ou vidéo. Prise en compte de la voix et de l’image. Attention particulière aux projets collectifs (revues, performances, problématiques urbaines et actions dans l’espace public…

Comment penser par images

Artistes, écrivains et philosophes s’interrogent sur le rapport complexe qui existe entre image et pensée, espaces subversifs où apparaissent les intensifications du réel les plus raffinées et les plus profondes, de l’art préhistorique jusqu’à celui de nos jours, de l’art grec jusqu’aux films de Tacita Dean, en passant par les réminiscences de Giordano Bruno ou du cycle de pièces pour piano « Images » de Debussy, par « Svolgere la pelle » de Giuseppe Penone ou les spéculations de Michelangelo Antonioni, dans un mouvement en même temps de déconstruction et d’analyse mais aussi de création et de travail. En partenariat avec la Hochschulübergreifendes Zentrum Tanz (HZT) – Udk Berlin, la Faculté des beaux arts de Lisbonne, l’Accademia di belle arti di brera de Milan et l’École nationale supérieure de paysage de Versailles.

Cycle et recycle

Ce projet de recherche mené par Eric Maillet, lié à la culture numérique, prend pour point de départ l’oeuvre,dans sa définition classique. Et si une pratique artistique était définie par unoutil ? Cycle&Recycle se focalise sur l’outil numérique, par les gestes qu’il favorise, la logique interne qu’il impose et les problématiques qu’il induit. Ce projet est une tentativede replacer le récit au centre de la question artistique, et de distinguer ce qui fait « medium »et ce qui fait « outil ». Il s’agit donc de requestionner la place de la machine dans la production artistique, comme étant un outil extérieur au medium, et pour autant, fondamental dans la transformation du medium. Ainsi, ce projet propose de réfléchir à la manière dont « remettre l’outil à sa place ».
En partenariat avec l’École nationale supérieure de l’électronique et ses applications, l’Institut TransMedia (Seoul), La Cambre (Bruxelles) et l’Université Paris III Avec le soutien de l’Université Paris Seine

Japonologies

La recherche se structure et se développe notamment par l’ouverture en 2013, de 7 lignes de recherche couvrant un large spectre de thématiques accessibles à partir de la quatrième année. Sous le terme  » lignes de recherche » sont regroupés des programmes de travail thématiques qui mobilisent de façon institutionnelle des partenaires appartenant au domaine de la recherche. Conçues pour se développer sur une durée de deux ou trois années, les lignes de recherche ont fait l’objet, pour la majorité d’entre elles, d’une reconnaissance des pairs par le biais de financements spécifiques tels que ceux provenant des Labex (Laboratoires d’Excellence) ou de la commission de recherche du ministère de la culture. Les travaux réalisés par les étudiants et les chercheurs font l’objet d’une restitution sous des formes plurielles (colloques, éditions d’actes, expositions, productions…). Celles-ci associent également des étudiants diplômés et des doctorants rattachés aux partenaires scientifiques concernés. Piloté par Corinne Le Neün, le séminaire « Japonologies » accueille les chercheurs et les doctorants de l’Unité de recherche de l’Institut national des langues et civilisations orientales : Le Centre d’études Japonaises dirigé par le professeur Michael Lucken. Ce partenariat est défini dans le cadre d’une convention signée pour deux ans entre l’école et le CEJ.

La Vie tumultueuse des œuvres d’art contemporain

Proposé par Sophie Duplaix, conservatrice en chef des collections contemporaines au Musée national d’art moderne, en partenariat avec l’Ecole du Louvre, ce séminaire porte sur la spécificité de la gestion scientifique des oeuvres d’art contemporain, en particulier les installations complexes. La chaîne étudiée va de l’acquisition à l’accrochage et au démontage, en passant par les réserves, que l’on visitera, la documentation et la conservation des oeuvres. Il s’agit de se confronter à la gestion de la matérialité des oeuvres au sein de la vie muséale. Le séminaire prend appui sur des cas concrets issus des collections du Musée national d’art moderne, et donnera la parole à divers intervenants de cette institution, qui aborderont le sujet à travers leur pratique quotidienne.

Latitudes : à l’endroit des îles

Ce nouveau séminaire propose de questionner un état du monde en explorant ce qui est perçu comme un paysage de la marge. Le séminaire s’intéresse à des artistes qui travaillent sur les sociétés post-coloniales et les questions identitaires. Il s’agit aussi d’interroger tant la représentation des territoires insulaires que la présence de ses artistes dans les collections publiques. En partenariat avec l’École supérieure d’art de la Réunion.

Le petit tour. Studio cinéma hors les murs – philosophie & cinéma

Conçu comme un programme expérimental de recherches et de pratiques philosophiques et cinématographiques, Le petit tour a choisi de réfléchir et de travailler depuis un lieu symbolique et réel : la ville de Rome et sa périphérie, choisies comme territoire de recherche et d’enquête. En particulier, Le petit tour confronte les étudiants et les enseignants associés à la pratique du cinéma et de la pensée. Cette pratique d’abord affrontée in situ, ensuite approfondie par différents types d’analyses et de restitutions, leur donne l’occasion de se frotter à une réalité artistique, politique et économique autre. Avec Le Bal et l’EESI Poitiers / Angoulême.

Something is happening

Une enquête sur les liens entre danse et performance et une interrogation sur les rapports que des chrorégraphes, performeurs et danseurs entretiennent au passé, et tout particulièrement aux avant-gardes des années 1910-1970. Une enquête menée de manière théorique, en rencontrant et en interrogeant ces artistes, et expérimentale, par la pratique lors de workshops. Avec le Centre national de la danse, l’École nationale supérieure d’art de Bourge et le master Exerce du CCN de Montpellier.

Voilà la femme

Mené par Corinne Le Neun et Carole Boulbès, ce séminaire vise à lire ensemble et à étudier un corpus de textes et d’images choisis en vue de poser et d’analyser des problèmes théoriques, critiques et politiques. On s’interrogera sur la place des femmes dans l’art et la société, leurs rapports à l’autorité et aux institutions. La réflexion s’ouvrira plus largement autant au champ de la représentation (la figure de la sorcière, de la prostituée, de la vierge, etc.) que de celui de l’engagement artistique.

activités & événements

Cycle de conférences, colloques et journées d’études et de recherche, expositions à la galerie YGREC et hors les murs…
Nous vous invitons à consulter notre site internet où vous trouverez les expositions et événements à Ygrec, galerie de l’ENSAPC mais aussi dans les lieux partenaires à la réalisation de nos projets en France et au-delà de nos frontières : le Confort Moderne à Poitiers, la Cinémathèque de Tanger, Central Saint Martins, la Fondation Verbeke, Nam June Paik Art Center à Séoul, le Centre National d’Arts Plastiques, le Palais de Tokyo, le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, La Ferme du Buisson, Mac/Val, Le Château de la Roche-Guyon, l’Abaye de Maubuisson…

activité post- ou périscolaire

Cours publics de peinture et de dessin animés par des artistes anciens élèves de l’école.

coopération internationale

L’ENSAPC développe des partenariats avec des établissements d’enseignement supérieur renommés ainsi que des galeries, des studios d’artistes et des centres d’art à l’international. Ces collaborations, élaborées au plus près des projets et recherches menées à l’ENSAPC, permettent d’affirmer l’école comme lieu de partage et d’encourager l’ouverture et l’autonomie des étudiants.

galerie

Plate-forme de l’ENSAPC à Paris, YGREC est un terrain de rencontres et d’expérimentations, un espace de recherches et d’interactions entre le centre et sa périphérie où pédagogie, recherche et professionnalisation se croisent et se nourrissent.Adoptant les modes de réflexions propres à celles d’un centre d’art, YGREC s’affirme comme une troisième voie possible vouée à questionner et à réinventer la pratique de l’art et sa transmission en lien avec les autres domaines et d’autres pratiques.
Structure de production et de diffusion, YGREC accompagne la création émergente en favorisant la transversalité et la pluralité des formes. C’est aussi un espace de travail collaboratif qui s’adapte et se transforme au gré des projets : expositions, performances, séminaires, concerts, projections, rencontres, débats, etc.
YGREC est actuellement en cours d’implantation à Aubervilliers.

équipements spécifiques

Son, no média, vidéo, photographie, informatique, infographie (plateaux numériques) et édition, atelier bois/fer, sérigraphie, impression.
Atelier danse, cinéma.

réseaux

ANdEA, Tram Réseau art contemporain Paris / Ile-de-France, ELIA The European League of Institutes of the Arts, Art Accord.
L’école est membre de la COMUE UPGO (Communauté Universitaire et d’Etablissements – Université. Paris Grand Ouest).

équipe administrative

Jean-François Etancelin Secrétaire général
Antoine Idier Coordinateur des études et de la recherche
Jeanne Degoy Responsable Mécénat et Communication
Nina Voltz Responsable des relations internationales
Michèle Büsch Secrétariat pédagogique
Marie-Lise Dumesnil Secrétariat pédagogique
Lamiaa Sajid-Soliman Stages et professionalisation
Sylvie Sebbah Secrétariat de la Recherche
Nadine Le Rigoleur Centre de documentation
Guillaume Breton ENSAPC / Y G R E C
Alberic Chabanon Maintenance et logistique du bâtiment
Florence Arnoult Assistante de direction
David Taieb Comptabilité et budget
Pervin Akbulut Adjointe au secrétaire général, responsable RH et administrative
Vincent Gaillard Secrétariat pédagogique
Steeve Gandossi Accueil

professeurs

Boris Achour
Pierre Ardouvin
Renaud Auguste-Dormeuil
Yann Beauvais
Carole Benzaken
Sylvie Blocher
François Bon
Carole Boulbès
Jean-Michel Brinon
Jérôme Combier
Christophe Cuzin
Éric Dalbis
Geoffroy de Lagasnerie
Gallien Déjean
Vincent Gérard
Jeff Guess
Véronique Joumard
Luc Lang
Corinne Le Neün
Éric Maillet
Federico Nicolao
Judith Perron
Jeffrey Rian
Claire Roudenko-Bertin
Pierre Savatier
Claudia Triozzi
Jean-Luc Verna

coordonnées

2 rue des Italiens, Parvis de la Préfecture
95000 | Cergy-Pontoise
tél. +33 (0)1 30 30 54 44
fax +33 (0)1 30 38 38 09
accueil@ensapc.fr
http://www.ensapc.fr

effectif

230 étudiants

Chalon-sur-Saône

École Media Art du Grand Chalon

présentation

L’école media art du Grand Chalon est un établissement d’enseignement supérieur sous la tutelle pédagogique du ministère de la Culture. Située à Chalon-sur-Saône, l’e|m|a est l’une des 3 écoles supérieures d’art publiques de la région Bourgogne Franche-Comté. Deux classes préparatoires publiques l’École d’Art de Belfort G. Jacot et l’École des Beaux-Arts de Beaune Côte & Sud, complètent l’offre de formation régionale.

L’e|m|a est une école ouverte sur le monde et sur ses différents modes de représentation. Elle offre la possibilité aux étudiants d’explorer un large panel de mediums s’ouvrant même à la musique, à la danse et au théâtre (en étroite collaboration avec le Conservatoire du Grand Chalon). Elle bénéficie d’un fort taux d’accompagnement avec 22 enseignants et 4 assistants pédagogiques pour environ 80 étudiants.

Cet encadrement permet un suivi personnalisé des étudiants au service leur projet professionnel et artistique.

L’offre de formation de l’école se décline en trois axes de recherches :

  • MONDES VISUELS : pratiques contemporaines de l’image
  • NOUVEAUX TERRITOIRES INDUSTRIELS : esthétique, représentations et enjeux de la réindustrialisation
  • TRANSMETTRE L’ART : transmission et pédagogie artistiques

Passerelle entre les savoirs, c’est aussi un lieu de réflexion et d’action quant aux problématiques de la société. Ceci se traduit également par sa politique d’établissement volontariste dans le domaine de la transition.

En effet, l’e|m|a est la première école à avoir créé un poste à plein temps dédié à la coordination des dispositifs de transition sur l’ensemble des champs du développement durable. L’objectif est certes de réduire les impacts de l’école en tant qu’institution, mais tout autant d’infuser dans l’ensemble des pratiques de création et de production artistiques.

http://emafructidor.com/ema/

options

L’École Media Art du Grand Chalon délivre des diplômes d’enseignement supérieur artistique, option art.

diplômes

Les études mènent à l’obtention de deux diplômes :

  • 1er cycle – Formation en 3 ans conduisant à l’obtention d’un DNA – Diplôme national d’art, option art, grade Licence
  • 2e cycle – Formation en 2 ans (4e et 5e années) conduisant à l’obtention d’un Desma (Diplôme d’enseignement supérieur média et art) option art, mention image, son et geste
  • A l’issue du 2d cycle, une poursuite d’études est possible en post-diplôme de recherche et de création : Mondes visuels

post-diplôme

Post-diplôme de recherche et création en art et media

Post-diplôme en lien avec le programme de recherche « Mondes Visuels »
Informations

programmes de recherche

Mondes Visuels

Web : http://visualworlds.net

« Mondes Visuels » est un programme transdisciplinaire s’intéressant à la multiplicité des phénomènes visuels et à la variété de leurs modes de production et de perception, chez les êtres vivants, au sein des systèmes de vision artificielle et dans les interactions entre les uns et les autres. Il est animé par un nombre important d’intervenants dont la contribution prend à chaque fois la forme d’une conférence suivie d’un travail avec un groupe d’étudiants et par l’accueil de plusieurs artistes en post-diplôme, qui sont amené.e.s à prendre une part active à la conduite des activités de recherche. Une restitution plastique et théorique est prévue sur l’année 2023/2024.

Qu’est-ce que voir ? C’est ce qu’entend explorer ce programme de recherche. Spontanément, un ensemble de questions satellites surgissent : Qui voit ? Qui voit quoi ? Dans quel contexte, à quelle intensité, avec quelle fréquence ? De façon intentionelle ? Avec quelle intention ? Avec quel organe ? Quel algorithme ? Quelle certitude ? … Ce programme de recherche et de création entend explorer les expériences sensorielles que provoque la vision, les
récits que suscitent ces expériences ou qui les accompagnent, les mondes qu’elles créent, autant chez les vivants qu’au sein des systèmes de vision artificielle ou dans l’interaction entre les uns et les autres.
Face aux transformations silencieuses du monde et en premier lieu celles liées à l’essor de l’intelligence artificielle et
aux progrès des technologies, à l’évolution des rapports de force géopolitiques, à la catastrophe écologique imminente, « Mondes Visuels » propose un récit alternatif, qui n’est ni une injonction morale, ni l’expression d’une peur, mais une invitation à considérer l’humain dans une perspective plus large au travers des relations qu’il entretient avec son environnement humain et non-humain, et à la mesure d’un temps qui dépasse sa propre existence.
Transdisciplinaire, « Mondes Visuels » trouve ses références autant dans les arts visuels optiques (photographie, cinéma, vidéo), les arts médiatiques et technologiques, l’art contemporain et l’histoire de l’art que dans les sciences humaines, les sciences et techniques, la philosophie, la société en général, et élabore ses modes de travail, de présentation et de partage en tirant parti de cette diversité. Il est animé par un nombre important d’invités provenant d’une variété de champs de la connaissance et de la création.

activité post- ou périscolaire

Praxis : des ateliers de pratiques en amateur en arts plastiques ouverts à tous publics : enfants, adolescents et adultes.

coopération internationale

L’e|m|a encourage ses étudiants à effectuer des stages et des semestres d’études à l’étranger, en particulier au cours de la 4e année (première année du 2e cycle).

La mobilité des étudiants est encouragée en Europe via le programme (Erasmus+) et à travers le monde entier pour découvrir d’autres cultures et d’autres façons de faire et de penser pour nourrir leur expression et leurs pratiques artistiques.

Le programme d’ouverture internationale contribue à la dynamique de la formation et à la réussite du parcours de l’étudiant.

Elle se décline également par :

  • Une équipe pédagogique internationale.
  • Un programme d’invitations et d’interventions
  • Nombreux artistes, professionnels et universitaires étrangers sont conviés pour des conférences et des workshops.
  • Visites et voyages d’études

galerie

L’e|m|a dispose de trois salles d’exposition sur le site de la citadelle. Des partenariats sont régulièrement conclus avec d’autres acteurs du territoire pour permettre une visibilité des travaux des étudiants.

équipements spécifiques

Sise sur deux sites, l’e|m|a bénéficie de plusieurs espaces de travail, tel qu’une bibliothèque spécialisée, 3 salles d’exposition, une salle de conférence, une salle de projection et de nombreux ateliers :

  • Photographie : post-production, développement argentique, tirage…
  • Vidéo, son, salle de projection.
  • Dessin, peinture.
  • Céramique.
  • Fabrication bois-métal.
  • Fabrication 3D (découpe laser, CNC)
  • Conception graphique et édition
  • Gravure

réseaux

  • ANdEA,
  • PLATEFORME DES ECOLES D’ART PUBLIQUES DE BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE (Art, Design, Communication Visuelle),
  • Partenariat avec le Consortium, Dijon, les Presses du réel et le Pôle d’Enseignement Supérieur de musique (PESM) de Bourgogne.

équipe administrative

Anne-Céline Borey Documentaliste, responsable de la bibliothèque

Khadija Edraissi Coordonnatrice des dispositifs de transition

Christelle Gibertini Assistante administrative, coordonnatrice des pratiques en amateur

Rym Gourine Directrice adjointe

Loréna Gressard Coordonnatrice pédagogique

Pénélope Lange Responsable de la communication

Robert Llorca Directeur

professeurs

Folly Afahounko
Patricia Badot
Laura Bel
Davide Bertocchi
Sonia Cheval
Nicolas Exertier
Caty Fournier
Jesus Gomez
Alexis Guillier
Charlie Hamish Jeffery
Sara Lord
Jean-Luc Lucquin
Olivier Perriquet
Frédéric Pintus
Armèle Portelli
Annelise Ragno
Allison Reed
Evariste Richer
Christine Vadrot
Catherine Vageon
Jacques Vannet
Bruno Voidey
Victor Xiong

coordonnées

  • Citadelle (accueil enseignement supérieur) :

7, rue Leschenault de la Tour
71100 | Chalon-sur-Saône
tél. +33 (0)3 85 47 95 29
etudes@emafructidor.com

  • Fructidor (accueil général) :

34, rue Fructidor
71100 |Chalon-sur-Saône
tél. +33 (0)3 85 48 14 11
accueil@emafructidor.com

www.emafructidor.com

effectif

55 étudiants

Cherbourg

École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Cherbourg

présentation

L’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg est un établissement public de coopération culturelle placé sous la tutelle conjointe de Caen la mer, Communauté Urbaine, la Ville de Cherbourg-en-Cotentin, l’Etat et la Région Normandie. Elle est née en 2011 de la fusion de l’école supérieure d’arts & médias de Caen et de l’école supérieure des Beaux-arts de Cherbourg-Octeville.

A la fois établissement d’enseignement supérieur et équipement culturel, l’ésam Caen/Cherbourg affiche plusieurs offres de formation : les cursus de l’enseignement supérieur qui mènent à des diplômes à Bac+3 et Bac+5, une classe préparatoire publique au concours d’entrée dans les écoles d’art françaises et les ateliers et stages grand public qui proposent une initiation aux pratiques artistiques.

Les différentes activités de l’ésam Caen/Cherbourg se déploient sur ses deux sites géographiques :

  • un bâtiment récent de 11500 m2 situé sur la presqu’île portuaire de Caen et spécialement conçu pour répondre aux besoins et spécificités d’une école d’art ;
  • des locaux de 2000 m2 entièrement réhabilités et implantés au coeur de l’ancien Hôpital maritime de Cherbourg, aujourd’hui rebaptisé Espace René Lebas.
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Bibliothèque site de Cherbourg, photo Julie Laisney - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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Aurélie Gloriant, projet pour l’atelier « Desire Path », 2011, photo Jean-Marc Dronet - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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Atelier site de Cherbourg, photo Julie Laisney

options

Art
Design

diplômes

DNSEP  option Art mention Cherbourg, recherches collectives et pratiques personnelles

troisièmes cycles

Doctorat RADIAN

Le programme doctoral de Recherches en Art, Design, Innovation, Architecture en Normandie (RADIAN), ouvert à la rentrée 2018-2019, est le fruit de la collaboration entre l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, l’école supérieure d’art et design Le Havre/Rouen, l’école nationale supérieure d’architecture de Normandie et l’école doctorale 558 « Histoire, mémoire, patrimoine, langage » (HMPL). Chacun des partenaires est membre de la Communauté d’universités et d’établissements (COMUE) Normandie-Université, qui porte l’accréditation du doctorat et délivre le diplôme.

Ce programme, qui combine étroitement recherche et création, s’adresse aux artistes, designers, architectes et auteurs de créations littéraires titulaires d’un diplôme de niveau MASTER II et engagés par leur pratique sur la scène de la création contemporaine. Il repose sur un modèle innovant qui envisage la recherche en art, en design graphique, en création littéraire et en architecture par la pratique et place l’oeuvre et le processus de création au coeur du travail du doctorant, en dialogue avec une recherche académique. Il ne s’adresse ni aux chercheurs qui souhaiteraient mener un travail exclusivement théorique ni à celles ou ceux qui l’envisageraient comme une résidence de création longue durée ou comme du simple mécénat. Dans ce cadre, la thèse consiste en (a) une oeuvre de création plastique, architecturale, littéraire ou de design graphique, accompagnée (b) d’un portfolio/journal de bord qui met en évidence le processus de création pendant les trois années de la thèse et (c) d’un document théorique (document d’une centaine de pages minimum, correspondant aux standards académiques d’une thèse en sciences humaines). Cet ensemble constitue l’objet de la soutenance de thèse. Après soutenance de leurs travaux, les doctorants obtiendront le titre de Docteur de la Communauté d’universités et d’établissements Normandie – Université.

classe préparatoire

La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg

A la rentrée 2012/2013, l’ésam Caen/Cherbourg a ouvert sur son site cherbourgeois une classe préparatoire publique aux concours d’entrée des écoles supérieures d’art, la première en Normandie. Cette classe préparatoire possède un objectif unique : conduire à la réussite du concours d’entrée des écoles supérieures d’art françaises. Les enseignements sont assurés par des plasticiens et des théoriciens de l’école. C’est un espace pédagogique qui accueille de façon intensive des élèves de 17 à 25 ans titulaires du baccalauréat. La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg permet à l’élève de confirmer son orientation, de comprendre les enjeux de formation d’une école d’art et d’accéder à l’enseignement supérieur à travers différentes formes d’expérimentation, de réflexion et de confrontation. Les élèves entrant dans ce cursus s’engagent à passer quatre concours pour optimiser leurs chances de réussite.

éditions

Catalogues, livres d’artistes, écrits d’artistes

activités & événements

– « XXe siècle etc. » : cycle de conférences d’histoire de l’art proposé en partenariat avec le FRAC Normandie Caen et l’Artothèque de Caen.
– Salon « Impressions multiples » : salon des éditeurs indépendants (multiples et imprimés d’artistes, essais graphiques et typographiques, éditions électroniques et sonores, micro-édition)
– Festival « Interstice – rencontre des inclassables » : festival consacré aux pratiques des plasticiens et musiciens internationaux qui interrogent les relations intermédias son/image/objet/espace.
– Expositions des diplômés : travaux des DNSEP, des DNA et des Félicités.
– Spectacles et expositions temporaires proposés en partenariat avec les structures culturelles locales (Festival Nordik Impakt, Festival Les Boréales, Centre chorégraphique national Caen/Basse-Normandie,
Comédie de Caen, Théâtre de Caen, etc.).

activité post- ou périscolaire

L’ésam Caen/Cherbourg propose sur ses deux sites géographiques 75 ateliers hebdomadaires d’initiation à la pratique artistique pour les enfants, les adolescents et les adultes. Elle organise également des stages pendant et hors vacances scolaires ainsi que des animations arts plastiques en milieu scolaire.

coopération internationale

Depuis plus de 30 ans, l’ésam Caen/Cherbourg dispose d’une politique de coopération internationale dont l’objectif est de favoriser les partenariats et la mobilité des individus : workshops croisés, expositions, programmes de résidences, voyages d’études, échanges d’étudiants et de personnels…

L’école a signé un accord bilatéral avec les institutions suivantes :

Erasmus+ :
Fachhochschule Mannheim, Allemagne
Fachhochschule Münster, Allemagne
Hochschule für Gestaltung Offenbach am Main, Allemagne
Muthesius Kunsthochschule in Kiel, Allemagne
Plymouth College of Art, Angleterre
University of the Arts London – Wimbledon College of Art, Angleterre
Ecole de Recherche Graphique de Bruxelles, Belgique
St Cyril and St Methodius University of Veliko Turnovo, Bulgarie
Escola d’Art i Superior de Disseny Ondara Tarrega, Espagne
Budapest Metropolitan University of Applied Sciences, Hongrie
Hungarian University of Fine Arts, Hongrie
University of Ulster, Irlande du Nord
Accademia di Belle Arti di Bologna, Italie
Latvijas Makslas akademia, Lettonie
Vilnius Academy of Arts, Lituanie
Ss. Cyril and Methodius University in Skopje, Macédoine
Bergen Academy of Art and Design, Norvège
Akademia Sztuk Pieknych Warszaw, Pologne
Mimar Sinan Fine Arts University, Turquie

Hors Erasmus+ :
Université du Québec à Chicoutimi, Canada
Sheridan College Institute of Technology and Advanced learning, Canada
University of Massachusetts Lowell, Etats-Unis
Maryland Institute College of Art, Etats-Unis
Karnataka Chitrakala Parishath College of Fine Arts, Inde
Universidad Internacional, Mexique
Académie d’Etat d’Architecture et d’Arts de l’Oural, Russie
Ecole cantonale d’art du Valais, Suisse

galerie

Grande galerie d’exposition de 200m2 située sur le site de Caen et accueillant les expositions des travaux des diplômés de l’école tout comme des expositions d’artistes extérieurs programmées dans le cadre de partenariats culturels.

équipements spécifiques

Ateliers techniques :
– Pôle volume : ateliers bois ; ateliers fer, dans lesquels sont travaillés la découpe et la soudure, le pliage, la forge, la fonderie ; atelier de résines et de matériaux plastiques.
– Pôle céramique : ateliers permettant d’explorer toutes les techniques du travail de la céramique (moulage, modelage, tournage, coulage, émaillage en faïence, raku, grès, porcelaine en cuisson réductrice ou oxydante).
– Pôle estampe : ateliers de gravure en taille douce, xylographie, aquatinte ; atelier de sérigraphie comprenant plusieurs tables de tirage ; atelier de lithographie et de photolithographie.
– Pôle édition : imprimerie offrant les techniques de typographie-bois, typographie-plomb, offset et numérique.
– Pôle photographie : laboratoires de développement film ; ateliers de tirage en photographie noir et blanc et couleur, dont un grand format ; studio de prise de vue ; atelier de photographie numérique.
– Pôle vidéo : cabines de montage vidéo ; plateau de tournage vidéo équipé d’un cyclo pour les incrustations.
– Pôle son : studio son équipé d’une cabine speak ; cabines de montage son.
– Pôle informatique et multimédias : salles d’informatique pour les cours, les ateliers numériques en typographie, mise en page, multimédias, animation et 3D virtuelle.

Bibliothèques : Les bibliothèques situées sur chacun des deux sites de l’ésam Caen/Cherbourg constituent un fonds de référence et de ressources pour les arts visuels et l’art contemporain du 20ème siècle jusqu’à nos jours, soit plus de 27 000 documents se présentant sous la forme d’imprimés (monographies, catalogues d’exposition, essais), de documents audiovisuels (CD-Audio, DVD, CD-Rom), de périodiques (revues d’art et de graphisme françaises et internationales).

Ateliers des étudiants : des ateliers d’une superficie comprise entre 100 et 200 m2 permettent à chaque étudiant de disposer tout au long de l’année d’un espace de travail adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser ses projets personnels. Des salles d’accrochage pédagogique leur permettent par ailleurs de présenter leurs travaux lors des évaluations ou des passages de diplômes dans des conditions professionnelles.

Auditorium de 250 places équipé d’un plateau de 12 x 11 m

réseaux

ANdEA, Art Accord France, ELIA.

équipe administrative

Arnaud Stinès Directeur
Samuel Weddle Administrateur général
Brice Giacalone Etudes et de la recherche
France Jacquel-Blanc Relations internationales
Julie Laisney Relations extéieures
Pierre Aubert Bibliothèque

professeurs

Deepak Ananth
Juliet Bates
Abir Belaïd
Christophe Bouder
Laurent Buffet
Simonetta Cargioli
Paul Collins
Muriel Couteau
Alexis Debeuf
David Dronet
Céline Duval
David Evrard
Sarah Fouquet
Nicolas Germain
Juan-Manuel Gomez
Lina Hentgen
Benjamin Hochart
Adeline Keil
David K’Dual
Alice Laguarda
Myriam Mechita
Jean-Jacques Passera
Isabelle Prim
Maxence Rifflet
Tanya Rodgers
Alexandre Rolla
Françoise Schein
Phil Stephens
Pierre Tatu
Maxime Thieffine
Didier Tirard
Thierry Weyd
Emmanuel Zwenger

coordonnées

site de Caen [siège social] :
17 cours Caffarelli 14000 | Caen
site de Cherbourg :
61 rue de l’abbaye 50100 | Cherbourg-en-Cotentin
tél. +33 (0)2 14 37 25 00
fax +33 (0)2 14 37 25 01
info@esam-c2.fr
http://www.esam-c2.fr
Facebook

effectif

300 étudiants

Clermont-Ferrand

École Supérieure d’Art de Clermont Métropole

présentation

Unique en Auvergne, l’École supérieure d’art de Clermont Métropole (ÉSACM) dispense, au sein de son département « art », un enseignement exigeant et ouvert en arts visuels qui permet la formation d’artistes et de créateurices de haut niveau capables d’inventer, d’anticiper, d’agir et de penser. La formation repose sur une pédagogie centrée sur le projet des étudiant·es et prend appui sur une grande variété d’enseignements pratiques et théoriques inscrits dans une approche contemporaine de la création (dessin, peinture, impression, volume, installation, photographie, écriture, vidéo, cinéma, art numérique, art contemporain, histoire de l’art, philosophie…). Elle est délivrée par des professeur·es qui sont des acteurices du secteur artistique (artistes, théoricien·nes, critiques d’art, commissaires d’exposition, écrivain·es, philosophes…). De nombreux·ses intervenant·es et invité·es viennent compléter cette équipe à l’occasion de workshops, de conférences, d’ateliers ou de séminaire de recherche.

Implantée au coeur du quartier universitaire, au sein d’un bâtiment récent de 5000m2 conçu spécialement pour ses besoins, l’école offre aux étudiant·es un cadre propice aux apprentissages, aux expérimentations et au développement de leur pratique artistique. Ils bénéficient d’ateliers partagés, de matériels de qualité professionnelle dont un FabLab (imprimante 3D, graveur laser, brodeuse numérique…) et de nombreuses opportunités pour sortir de l’école et se nourrir d’expériences hors les murs (workshops, voyages en France ou à l’étranger, résidences internationales ouvertes aux étudiant·es de 2nd cycle, expositions dans des structures professionnelles, stages).

Agréée par le Ministère de la Culture et de la Communication, l’ÉSACM délivre deux diplômes d’État : le DNA (Diplôme National d’Art – de grade Licence) et le DNSEP de grade Master (Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique) délivrés respectivement à l’issue de la troisième et de la cinquième année. Le cursus est inscrit dans la réforme européenne de l’enseignement supérieur et s’organise à partir du système de crédits capitalisables et transférables (ECTS). Ceci lui assure une parfaite compatibilité avec l’ensemble du réseau de l’enseignement supérieur à l’échelle européenne. Le Master permet ainsi de poursuivre son cursus dans toutes les universités européennes ou dans les 3ème cycles des écoles d’art, et notamment de l’ÉSACM qui propose à des chercheureuses de développer leur travail de recherche sur trois années au sein de la « Coopérative de recherche ».

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École Supérieure d’Art de Clermont Métropole. Photo : Jürgen Nefzger
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École Supérieure d’Art de Clermont Métropole. Photo : Jürgen Nefzger
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École Supérieure d’Art de Clermont Métropole. Photo : Jürgen Nefzger
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Journée d'étude "Un film infini (le travail)", 2017 Ecole Supérieure d'Art de Clermont Métropole
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"Collages en France", photo Vincent Blesbois Ecole Supérieure d'Art de Clermont Métropole

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

troisièmes cycles

Le troisième cycle de l’ESACM

Le Troisième cycle prend place au sein de la Coopérative de recherche. Il accueille des jeunes artistes, diplômé·es de l’ESACM ou d’autres écoles, qui souhaitent poursuivre leur initiation à la recherche de Master dans une recherche approfondie.

classe préparatoire

Cours et stages préparatoires de l’Esacm

L’école propose des cours et des stages préparatoires aux examens d’entrée dans les écoles supérieures d’art e de design. Les élèves sont préparé·es à toutes les épreuves des examens d’entrée, ainsi qu’à la réalisation de leur dossier de travaux personnels. Les cours ont lieu un weekend complet par mois, de début octobre jusqu’à avril. Des stages préparatoires ponctuels sont aussi proposés au printemps (week-end intensif de préparation).

unités de recherche

La Coopérative de recherche de l’ESACM

La Coopérative de recherche offre un dispositif d’accueil de chercheureuses (artistes, théoricien·nes, et étudiant·es-chercheureuses), en résidence à l’ESACM. Elle est la plateforme à partir de laquelle s’organisent les activités de recherche à l’ESACM.
Plus d’informations sur https://www.cooperativederecherche.esacm.fr/

Unité de recherche de l’ESACM

La Coopérative de recherche est la plateforme à partir de laquelle s’organisent les activités de recherche à l’ÉSACM. Son idée fondatrice est la nécessaire et féconde articulation entre l’apport individuel dans chacun des territoires de recherche abordés : la mise en commun de réflexions, d’outils et de formes.

https://www.cooperativederecherche.esacm.fr/

programmes de recherche

Des Exils 

Le groupe de recherche est constitué de Michèle Martel, historienne de l’art et Jan Kopp, artiste, tous deux enseignant·e·s à l’ÉSACM, de Fabrice Gallis, Mélis Tezkan, Kostia Jopeck et Jérôme de Vienne, artistes et chercheur·e·s, et d’étudiant·e·s en master. Il trouve ses origines dans des journées d’études organisées en 2017 portant sur ce que les déplacements forcés ou volontaires font aux formes. Le groupe de travail crée des situations d’échange autour de textes arpentés, d’entretiens avec des interlocuteur·rice·s du monde de l’art, en organisant des lectures et performances dans l’école et en réitérant des gestes et actions produits par d’autres.

Figures de transition

Partant de l’intérêt renouvelé pour l’art contemporain d’Afrique, depuis Clermont-Ferrand et en lien avec Cotonou et Ouagadougou, « Figures de transition » questionne des expositions et des réverbérations historiques qui façonnent le regard sur l’art et ses figures. Le groupe est composé de Jacques Malgorn, artiste, J. Emil Sennewald, critique, philosophe et enseignant à l’ÉSACM, Camille Varenne et Enrico Floriddia, artistes. Il collabore étroitement avec Farah Clémentine Dramani Issifou, film curator, chercheuse et critique indépendante, et Dao Sada, scénographe, et invite régulièrement des protagonistes afro-européen-ne-s de l’art contemporain. Groupe de recherche constituée en 2018 à l’issue de « surexpositions », trois journées de rencontre organisées à l’ÉSACM sur le terrain afro-européen-ne-s, l’activité du groupe « Figures de transition » s’appuie actuellement sur la publication séquentielle « Epokä ».
Il est ouvert à de nouveaux·elles chercheur·e·s afin d’élargir, déplacer, critiquer ses intentions et objectifs.

Léviathan 

Créé en 2016 par Cédric Loire, historien de l’art enseignant à l’ÉSACM, et Sarah Ritter, artiste, le groupe « Léviathan » est également composé d’Antoine Barrot, Kostia Jopeck et Charlie Jeffery, artistes. Il a en outre intégré des étudiants en master de 2016 à 2018. Ses recherches se fondent sur des lectures partagées du roman d’Herman Melville, Moby-Dick, ou le cachalot (1851), confrontées à l’expérience de milieux contemporains – en particulier la ville de Detroit qui a fait l’objet de plusieurs séjours. Violence et capitalisme, formes de résistance qui s’y opposent ; possibilités de mises en récit du monde dans lequel nous vivons, sont autant de questions qui nous occupent. L’année 2020-2021 sera consacrée à la tenue de journées d’étude ainsi qu’à la finalisation d’une forme éditoriale réunissant et mettant en perspectives les recherches entreprises.

éditions

L’ÉSACM publie des ouvrages et DVD en lien avec les activités de la Coopérative de recherche (films, actes de colloque ou journées d’étude, restitution de projet de recherche, etc.), les expositions, et les projets d’éducation artistique.

éditions

L’ESACM propose régulièrement des expositions, des conférences et des journées d’études ouvertes au public.

Elle participe également à des expositions hors les murs : « Première » au centre d’art contemporain de Meymac ; ou participe à de nombreux projets avec les acteurs culturels du territoire.

Programme des événements sur www.esacm.fr

activité post- ou périscolaire

Parallèlement au cursus diplômant, l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole propose de septembre à mai des cours d’arts plastiques permettant à toute personne souhaitant s’initier ou de se perfectionner dans les domaines de la peinture et de la sculpture à partir de 14 ans. L’accès à cet enseignement ne permet la délivrance d’aucun diplôme.

coopération internationale

Les étudiant·es sont fortement encouragé·es à profiter des expériences à l’étranger qui servent de cadre à l’acquisition de compétences à l’international. Plusieurs cadres d’échanges sont possibles grâce aux multiples partenariats signés par l’école avec des établissements et/ou structures artistiques à l’étranger.

L’ÉSACM propose des résidences aux étudiant·es de 4ème et 5ème années pour leur permettre d’avoir une expérience en immersion de vie et de travail à l’étranger, ou dans un cadre de résidence international en France, pendant leur cursus. Les étudiant·es sont accompagné·es par un·e jeune artiste issu·e de l’école pendant la résidence. Un encadrement pédagogique est également prévu en début et en fin de séjour.

Les étudiant·es peuvent également réaliser des séjours pour un semestre d’études dans un établissement partenaire de notre réseau Erasmus (en 1er ou en 2nd cycle) ou hors Europe (en 2nd cycle). Ils ont aussi la possibilité de réaliser un stage dans une structure culturelle étrangère.

Les étudiant·es ont la possibilité de s’investir dans des projets de recherche. Des voyages d’études peuvent également être le cadre de temps de travail à l’étranger avec des encadrements pédagogiques adaptés à chaque contexte pédagogique.

Ces mobilités sont facilitées par l’école qui aide financièrement en prenant à minima en charge les frais de déplacement des étudiant·es pour les semestres d’études à l’étranger voire qui assure la totalité des frais de séjour et de production.

galerie

Le Grand atelier – galerie de l’école.

équipements spécifiques

Les étudiant·es travaillent au sein d’ateliers collectifs qui favorisent les échanges et le travail au quotidien dans l’école. Ils ont également à leur disposition des espaces pour expérimenter des mises en espace de leurs recherches et travaux, et des ateliers liés à des techniques ou des outils spécifiques : ateliers volume, menuiserie, maquette, arts imprimés (sérigraphie, estampe…), studio et labos photo (développement de film, tirage papier, impression numérique…), studio vidéo et création sonore, salle d’infographie…

L’école dispose également d’un Fablab – laboratoire de fabrication – dédié au développement de pratiques et de projets artistiques, ouvert aux étudiants de l’école comme au grand public. Lieu de partage, d’échanges et d’expérimentation, le FabLab est équipé d’une imprimante 3D, une découpe/graveuse laser, une kinect, un plotter de découpe, une brodeuse, du matériel électronique et robotique…

L’école fournit aux étudiant·es les principaux outils et consommables nécessaires aux initiations et travaux dans les principales disciplines artistiques, et leur permet d’emprunter caméras, appareils et chambres photographiques, enregistreurs… pour mener à bien leurs projets.

réseaux

L’ESACM fait partie de plusieurs réseaux allant de l’échelle territoriale à l’échelle internationale :

– Ancrage international : 23 établissements d’enseignement supérieur Europe et hors-Europe, 4 résidences d’artistes internationales (USA, Géorgie, Bénin, Pérou), Campus Art (réseau des écoles d’art animé par Campus France / Ministère des affaires étrangères), ELIA (European League of the Arts).

– Ancrage national et régional : ANdEA (réseau national des écoles supérieures d’art publiques françaises), ADERA (réseau des écoles supérieurs d’art publiques françaises d’Auvergne-Rhône-Alpes), AC/RA (Art contemporain en Auvergne-Rhône-Alpes).

– Ancrage territorial grâce à de nombreuses collaborations sur notre territoire avec l’UCA (membre du site Université Clermont Auvergne), l’association Les Ateliers, la galerie In Extenso, l’École Nationale Supérieure d’Architecture, le Fonds Régional d’Art Contemporain, le Festival international du court métrage, le centre d’art du Creux de l’Enfer, celui de Meymac ou encore la Tôlerie.

équipe administrative

Sandrine Rebeyrat Directrice
Frédérique Rutyna Secrétaire générale
Stéphane Bramant Responsable de la pédagogie
Aurélie Brühl Responsable des relations internationales et des admissions
Philippe Eydieu Responsable des projets extérieurs et des expositions
Pauline Besse Secrétariat pédagogique
Zoé Haller Chargée de mission vie professionnelle
Sylvie Mathe Bibliothécaire
Orlane Mastellone Ruellan Chargée de communication
Amélie Sounalet Coordinatrice des projets d’éducation artistique
Serge Ploue Responsable informatique
Carole Tilly Secretariat de direction

professeurs

Maxime Marion et Émilie Brout (pratiques numériques)
Régine Cirotteau (cinéma – vidéo)
Lina Jabbour (dessin – peinture)
Armand Jalut (peinture)
Clémence Agnès (philosophie)
Guillaume Heuguet (art contemporain – actualités de l’art)
Serge Lhermitte (photographie)
Cédric Loire (histoire et théorie des arts)
Michèle Martel (histoire de l’art)
Cécile Monteiro-Braz (impression – édition)
Gyan Panchal (sculpture – espace – installation)
Anthony Poiraudeau (écriture)
Alex Pou (cinéma – vidéo)
Marion Robin (peinture – couleur – espace)
J. Emil Sennewal (philosophie)
Rada Boukova (sculpture – espace – installation)
Camille Juthier (sculpture – espace – installation)
Marie Orts (danse – chorégraphie – pratiques performatives)
Vincent Weber (danse – chorégraphie – pratiques performatives)
Chris Cyrille (théorie des arts)
Alexis Degrenier (musique – son)

coordonnées

25 rue Kessler
63000 | Clermont-Ferrand
tél. +33 (0)4 73 17 36 10
fax +33 (0)4 73 17 36 11
esa@esacm.fr
www.esacm.fr

https://www.instagram.com/esacm_clermont/

effectif

170 étudiants

Dijon

École nationale supérieure d’art de Dijon

présentation

L’École nationale supérieure d’art de Dijon est un établissement public d’enseignement supérieur qui relève de la co-tutelle du Ministère de la Culture et du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Elle délivre deux diplômes nationaux (DNA et DNSEP) en Art et en Design d’espace.

Au cours de leur scolarité, les étudiant·e·s se forment aux techniques de production nécessaires à l’expression contemporaine, depuis les plus traditionnelles (photographie argentique, dessin, peinture, sculpture…), associant toute la palette des matériaux (terre, bois, métal…), jusqu’aux nouvelles technologies (informatique, infographie et multimédia…). Dans le même temps, des cours d’histoire et théorie des arts et du design et de langues étrangères sont au programme tout au long des études. Ils sont complétés par des workshops (semaines de création encadrées par des professionnels), des conférences, des ateliers de recherche et de création (ARC), des voyages d’étude, des stages, qui favorisent différentes approches de la création.

Après une année commune, les étudiant·e·s choisissent l’option Art ou l’option Design d’espace

L’option Art accompagne de futur·e·s artistes, qui devront au cours de cinq années de formation développer un projet de recherche plastique personnel. L’ouverture à de multiples expériences et les spécificités de l’école font de cette option un terreau fertile pour des pratiques artistiques en lien avec des problématiques de société, qu’elles soient sociales, économiques, politiques, etc. L’ENSA Dijon développe deux programmes de recherche ambitieux : « Art & Société » et « Peinture & Couleurs ».

En premier cycle, l’option Design d’espace offre une formation généraliste au projet de design, de la conception à la réalisation et à toutes les échelles. En second cycle, l’accent est mis sur les défis posés par le monde d’aujourd’hui : transition écologique (écodesign, biodiversité, attention au vivant), inclusivité (démocratie et participation, solidarité intergénérationnelle, égalité hommes / femmes)… Ces sujets sont portés par le programme de recherche « Mutations urbaines ».

Journées portes ouvertes : 9 et 10 février 2024

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options

/// OPTION ART

Le département Art soutient le parcours de jeunes plasticiens et plasticiennes, qui devront au cours de cinq années de formation développer un projet de recherche plastique personnel. Durant les deux premières années, les cours sont construits autour de pratiques fondamentales (dessin, installation, son, performance, image, vidéo, etc.). Les artistes enseignant à l’école dispensent une formation transversale qui vise le dépassement des catégories et des disciplines, afin que chaque étudiant puisse élaborer un projet original et autonome. L’objectif est de permettre aux étudiant·e·s de formuler une pensée plastique complexe et de la mettre en œuvre.

L’école est en ce sens un lieu ressource d’expérimentation et d’échange, où se transmettent des savoirs et des pratiques, et où les parcours étudiant·e·s se construisent en commun.

La richesse de l’inscription culturelle permet aux diplômé·e·s de l’école de multiplier les voies professionnelles. Les étudiant·e·s ont accès à un large choix d’ateliers techniques traditionnels (bois, terre, métal, résine, thermoformage, etc.), aux moyens technologiques les plus récents (infographie, 3D, vidéo, son, etc.) et à un accompagnement théorique cadrant leur connaissance contemporaine dans des perspectives historiques et pluridisciplinaires.

Tout au long du cursus, les étudiant·e·s sont invité·e·s à des expériences « hors les murs » leur permettant de se confronter à la réalité d’un accrochage collectif, à la présentation de projets transdisciplinaires, à l’écriture de textes critiques, à des visites de chantiers, à des rencontres avec des intervenant·e·s, des chercheur·e·s, ou des résident·e·s issu·e·s de la culture scientifique ou de tout autre univers. Cette ouverture à de multiples expériences fait de cette option un terreau fertile pour des pratiques artistiques diversifiées.

L’ENSA Dijon leur propose également une grande ouverture sur l’extérieur, en particulier sur l’international grâce à des programmes de résidence et des stages des États-Unis à la Chine en passant par le continent africain. Des artistes de renommée internationale sont également de plus en plus souvent invité·e·s par l’école pour offrir aux étudiant·e·s des témoignages uniques sur la diversité des milieux de l’art dans le monde.

 

/// OPTION DESIGN D’ESPACE

 

UNE FORMATION PLURIELLE ET OUVERTE SUR UN MONDE EN DEVENIR

  • Préparation au DNA (Année 2 & 3) : une formation généraliste au projet design, de la conception à la réalisation et à toutes les échelles.
  • Préparation au DNSEP (Année 4 & 5) : sur un sujet librement choisi par l’étudiant·e, avec un accent mis sur les défis posés par le monde d’aujourd’hui : transition écologique (écodesign, biodiversité, attention au vivant), inclusivité (démocratie et participation, solidarité intergénérationnelle, égalité hommes / femmes)…

 

UNE OPTION DESIGN DANS UNE ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D’ART

  • Une pédagogie qui encourage l’engagement personnel et l’entraide.
  • Les moyens matériels et humains d’une école nationale au service du projet de l’étudiant·e : petits effectifs d’étudiant·es, échanges internationaux, technologie audiovisuelle, enseignements en photographie, vidéo, performance, arts sonores…
  • Une poétique du projet nourrie par l’atmosphère créative d’une école d’art, une approche sensible de l’espace, le plaisir d’expérimenter.
  • Une formation professionnalisante : rencontres avec des professionnels, stages, cours de professionnalisation, projet en partenariat, concours.
  • « Mutations urbaines » (Muur) : un Atelier de Recherche et Création (ARC) et un programme de recherche : partenariats, workshops, conférences, colloques, publications…

 

UNE FORMATION ANCRÉE DANS LE MONDE RÉEL

  • Un encadrement assuré par des professionnels du design, de l’architecture, de la scénographie, du paysage.
  • Une attention aux enjeux actuels : écodesign, design social, projets participatifs, urbanisme tactique…
  • Des projets in situ en collaboration avec des acteurs de terrain : Voies Navigables de France, Dijon Métropole, Latitude 21, Opéra de Dijon, Théâtre de Bourgogne, associations, etc.
  • Des liens toujours plus étroits avec l’international : mobilités étudiant·es et enseignant·es, workshops croisés…
  • Des conférenciers, des intervenants, des workshops, des visites d’expositions en lien avec les thématiques abordées au cours de l’année.

 

ANNÉES 2 et 3 : UNE FORMATION GÉNÉRALISTE CONSACRÉE AU PROJET

  • Méthodologie du projet et représentation de l’espace (dessin à la main et logiciel 3D, maquette et expérimentations en volume à différentes échelles…).
  • Une expérimentation continue à travers des différentes technologies, matériaux, processus, théories, etc.
  • Développer un projet personnel sur une thématique : prendre parti, concevoir, représenter, fabriquer/réaliser son projet.
  • Sensibilisation aux matériaux, expérimentations et approfondissement.
  • Le design à toutes les échelles : de l’objet au grand paysage en passant par la microarchitecture, l’espace public, les espaces intérieurs, la ville, la scénographie (exposition, théâtre)…
  • Un enseignement en histoire et théorie du design : du XIXe s. aux enjeux contemporains (écologie et biodiversité, genre et inclusion, numérique et participatif…).
  • Immersion professionnelle : un stage d’une durée de 15 à 30 jours.

 

ANNÉES 4 & 5 : UNE PÉDAGOGIE CENTRÉE SUR LE PROJET DE L’ÉTUDIANT·E

  • Un accompagnement individualisé vers le DNSEP (mémoire de recherche et projet personnel).
  • 3 mois de mobilité internationale et/ou de stage professionnel en 4e année.
  • L’étudiant·e développe un projet sur une thématique ancrée dans le monde contemporain qu’il a choisie. Il s’agit majoritairement de sujets orientés vers les défis environnementaux, politiques et sociaux des villes au XXIe siècle.

diplômes

DNA option Art
DNA option Design mention design d’espace
DNSEP option Art
DNSEP option Design mention design d’espace

classe préparatoire

Un module préparatoire est géré par le Conservatoire à Rayonnement Régional.

unités de recherche

Créée en collaboration avec la Maison des Sciences de l’Homme de l’Université de Bourgogne (MSH Dijon), l’Unité de Recherche (UR) « Art & Société » organise l’ensemble des activités de recherche au sein de l’ENSA Dijon.

Avec les pôles Pédagogie et Relations internationales, elle fournit le soutien humain, matériel, financier, technique, institutionnel permettant de mettre en œuvre la recherche, et travaille à la diffusion, à la valorisation et à la reconnaissance de la recherche qui s’exerce en art et en design au sein de l’école.

Elle comprend dans ses membres l’ensemble des enseignants de l’école – artistes, designers, théoricien·ne·s –, engagé·e·s dans des activités de recherche, parallèlement à leurs missions d’enseignement ainsi qu’à leurs pratiques professionnelles, artistiques, de design et théoriques individuelles et indépendantes. La recherche réfléchit ainsi les médiums artistiques (design, dessin, peinture, performance, photographie, son, vidéo, volume, etc.) et les formes de savoir (histoire de l’art, philosophie, esthétique, théorie de la culture) pratiqués dans l’école.

La recherche en école d’art : invention, expérimentation, mise en commun

Si l’art et la science — qu’il s’agisse des sciences humaines et sociales, des sciences formelles (logique, mathématiques) et naturelles (physique, biologie, etc.) ou encore des sciences de l’ingénieur — diffèrent par leurs critères internes et leurs finalités propres, ils n’ont jamais été étrangers l’un à l’autre. La recherche leur est consubstantielle, et l’un comme l’autre constituent des activités relevant de logiques d’expérimentation et d’invention.

Au cours de leur histoire, l’art et la science (et la technologie) n’ont cessé d’être interpellés voire provoqués l’un par l’autre : de la géométrie, de la physique ou de la théorie des émotions aux épistémologies contemporaines issues des sciences de l’environnement (écologie), des technologies numériques et de leurs enjeux anthropologiques, comme celles des études de genre et des approches postcoloniales des théories de la culture et de la domination.

Parce que l’interrogation sur les formes de restitution de la recherche appartient au processus-même de la recherche, et tandis qu’aujourd’hui, dans le monde scientifique, de nouvelles formes de démarches et de restitution de la recherche sont en voie d’émergence (practice-based-research, etc.), l’Unité de Recherche « Art & Société », tout en s’appuyant sur les formes académiques consacrées de la mise en commun des résultats de la recherche (colloques, publications), initie, encourage et accompagne l’invention de nouvelles formes, souvent hybrides, spécifiques à la recherche en école d’art : expositions, dispositifs, œuvres collectives…

Structuration de la recherche

La recherche à l’ENSA Dijon s’organise à partir de 2 axes thématiques structurants, transversaux et transdisciplinaires. Ces axes, non exclusifs l’un de l’autre, permettent d’identifier le(s) domaine(s) dans le(s) quel(s) les membres de l’Unité de recherche situent leur activité de Recherche.

Axe 1 — Matériaux, médiums, intermédialités

Cet axe interroge les relations des médiums à leurs propres spécificités (procédures, méthodes, histoires) et leur propre identité, ainsi qu’aux types d’altérités qui les questionnent (hybridations des formes et traductibilité des langages ; relations formes « savantes » / formes « populaires » ; nouvelles technologies ; relations art / culture ; autonomie et hétéronomie de l’art ; question de l’exposition ; etc.).

Axe 2 — Crises, contextes, combats

Cet axe aborde la question de l’art et du design à la lumière de leurs relations avec le savoir et le pouvoir, en tant qu’ils interrogent les pratiques et les dispositifs de visibilité et d’invisibilité, éventuellement générateurs de violence. Dans cette perspective, les pratiques artistiques et de design croisent les formes de savoirs et les pratiques militantes (écologie, féminisme). D’où une insistance particulière sur la question de l’inscription, du lieu (espaces urbains, mondes ruraux, marges, migrations), et de leurs contraires (les non-lieux, le déracinement, etc.).

Au sein de ces deux axes peuvent s’organiser des événements ponctuels (publication, colloque, exposition, etc.) ou bien des programmes de recherche de plus grande ampleur.

programmes de recherche

3 Programmes de recherche

 

1 – Programme Mutations Urbaines

Responsables de l’axe de recherche : Laurent Matras, Hélène Robert, Leila Toussaint (ENSA Dijon) /ARC associé : ARC « MUUR – Atelier de Recherche sur les Mutations URbaines (resp. Laurent Matras, Hélène Robert, Leila Toussaint)

Le programme de recherche transdisciplinaire « Mutations urbaines » s’inscrit dans le prolongement des enseignements de Licence et de Master délivrés par l’équipe de l’option Design de l’ENSA Dijon (studios de projet, cours, ARCs, workshops). Il réunit designers, architectes, scénographes, paysagistes, artistes et théoriciens tous domaines confondus dans un espace commun de réflexion, d’imagination, de proposition et d’expérimentation urbaines fortement enracinées dans les réalités écologiques, sociales et politiques de la ville à l’ère de l’anthropocène.

La crise écologique qui frappe actuellement l’humanité — la pollution, l’épuisement des ressources naturelles, la destruction des écosystèmes, la disparition de la biodiversité, le réchauffement et le dérèglement climatiques, la multiplication des épisodes extrêmes comme les sécheresses ou les vagues de chaleur —, ainsi que ses conséquences économiques, sociales et politiques, nous obligent à repenser de manière radicale, non seulement nos modes de production et de consommation, mais aussi nos manières de vivre, et en particulier de vivre la ville, c’est-à-dire de produire et de consommer de l’espace et du temps. Elle questionne nos pratiques de l’espace et nos chorégraphies du quotidien.

Les villes, particulièrement vulnérables aux effets de la crise environnementale, sont pour une importante part responsables de celle-ci. Ce qui signifie qu’elles peuvent aussi être le lieu de solutions locales à ce problème global.

Le design, longtemps cantonné dans la sphère du marketing, constitue aujourd’hui un ensemble ouvert de réflexions, de pratiques et de dispositifs, au croisement de la recherche et de la création, travaillant, à même la perception sensible (« affordance »), sur les représentations et les usages de notre environnement, comme vecteurs de transformation des espaces urbains.

Penser et pratiquer la ville comme un écosystème à part entière, prendre soin (« care ») de la biodiversité végétale et animale qu’elle abrite, promouvoir une agriculture urbaine visant une autonomie alimentaire sans danger pour l’environnement, et plus globalement repenser les relations ville / nature, cela suppose ainsi une réflexion sur les activités et les temporalités socioéconomiques de la ville. À l’image des slow cities qui essaiment partout dans le monde, les villes doivent aussi incorporer les mobilités douces (vélo) et les moyens de déplacements non carbonés dont la croissance actuelle est révélatrice.

L’éco-design réfléchit aux impacts environnementaux des matériaux et des formes qu’il met en œuvre, prône le low tech, le do it yourself, l’auto-construction et le réemploi, en s’inspirant des pratiques vernaculaires. Cette relation au travail de la matière nourrit une relation à l’espace par le réinvestissement des zones laissées vacantes ou sans qualité par la modernisation ou la crise économique : friches industrielles et interstices urbains peuvent être les lieux d’un « urbanisme transitoire » où s’expérimentent des manières autres de vivre collectivement la ville, et une place de parking ou un frontage devenir par micro-intervention (acuponcture urbaine) des espaces d’ « urbanisme tactique » comme autant de gestes — légers et joyeux, temporaires et festifs — visant à reconquérir les rues.

Devant la tendance à la standardisation, à l’uniformisation fonctionnelle, à l’homogénéisation sociale et en fin de compte à la stérilisation d’espaces publics privatisés consacrés de plus en plus exclusivement au commerce et à la consommation sous vidéosurveillance, il s’agit d’imaginer des formes inventives d’habiter la ville qui soient susceptibles de la revitaliser.

Parallèlement, partout se font entendre de plus en plus fort les aspirations des citadins à une démocratie urbaine renouvelée — un « droit à la ville » —, dans laquelle les citoyens, sous une forme collaborative ou participative, se voient activement impliqués dans les projets mis en œuvre par les acteurs privés et/ou publics, portant sur leurs espaces de vie, qu’il s’agisse d’une rue, d’une place, d’un quartier, d’un lieu de vie, de travail, ou encore d’un endroit auquel aucune fonction n’est définie par avance, et qui se réinvente au gré des usages.

L’idée d’une ville désirable — où la notion de plaisir n’est plus annexée au consumérisme — parce qu’équitable (ouverte à tou·tes) exige en effet la prise en compte de la diversité et de l’imprévisibilité des usages et des usagers, quels que soient leur âge, leur genre ou leur origine sociale ou culturelle. Les nouvelles pratiques du design urbain se nourrissent ainsi des apports des théories critiques contemporaines (théories féministes et critique du genre, théories postcoloniales, écologie politique, théories du care). Le programme « Mutations urbaines » s’inscrit ainsi dans le sillage tracé par de nombreux collectifs pluridisciplinaires réunissant urbanistes, vidéastes, designers, écrivains, architectes, philosophes, scénographes, sociologues, paysagistes… (Bellastock, EXYZT, Le Bruit du frigo, Encore heureux…) avec lesquels il est régulièrement conduit à travailler.

Expérimentations in situ, workshops, colloques, publications — comprenant des traductions inédites d’auteurs anglosaxons aujourd’hui incontournables — composent l’ensemble des activités de recherche du programme.

Pour décentrer le regard et approfondir les explorations, le programme de recherche « Mutations urbaines » s’appuie sur le partenariat de l’ENSA Dijon avec l’École des arts et du design de l’université technologique d’Hubei de Wuhan (Chine), avec la mise en œuvre de workshops croisés.

2 – Programme de résidence de recherche-création en arts sonores

Responsables du programme de recherche : Lambert Dousson (ENSA Dijon) et Nicolas Thirion (ici l’onde, centre de création musicale)
ARC associé : ARC Arts du son

Fondé sur le partenariat de l’ENSA Dijon avec le Centre de Création Musicale Ici l’onde (icilonde.whynote.com, dir. Nicolas Thirion), ce programme de résidence de recherche-création en arts sonores prolonge le programme d’enseignements théoriques et pratiques délivré en Licence et Master, ainsi que l’Atelier de Recherche et Création (ARC) « Arts sonores ». En s’appuyant sur les moyens mis à disposition par les deux institutions partenaires, ce programme donne à un·e artiste (musicien·ne ou non) et/ou un·e designer/euse la possibilité de développer et d’exposer son travail de recherche-création dont le centre de gravité est le phénomène sonore, alliant pratiques artistiques et savoirs théoriques, en privilégiant trois perspectives étroitement articulées les unes aux autres :

1. L’interrogation sur les genres musicaux, leurs spécificité et historicités respectives, mais aussi et surtout leurs porosités et leurs déconstructions réciproques. La réflexivité engendrée par la confrontation entre les musiques contemporaines (fondées sur l’écriture), les musiques expérimentales (fondées sur la manipulation, électronique ou non, du son) et les musiques pop (qui ne se réduisent pas aux productions de l’industrie des hits mainstream), et l’enrichissement théorique des pop music studies, autorisent un regard critique sur les multiples généalogies des arts sonores (de John Cage à Pierre Schaeffer, du field recording à Fluxus, de l’Ambient à Alvin Lucier, de Max Neuhaus à La Monte Young, de Karlheinz Stockhausen à Eliane Radigue, de David Bowie à Aphex Twin, etc.) et renouvelle l’interrogation sur les relations entre écriture, performance et enregistrement, entre pratiques professionnelles et pratiques amateures, du high tech au low tech.

2. L’anthropologie de l’écoute : L’écoute comme attitude corporelle et comme et pratique sociale médiatisée par les (sous-)cultures et les technologies audiovisuelles. Comme nous l’indiquent les développements de plus en plus importants des sound studies, l’écoute constitue un moyen de connaissance sur les structures historiques et techniques des cultures dans leurs dimensions tout autant esthétiques que sociales et politique. Reconsidérant ce que Jonathan Sterne nomme « la litanie audiovisuelle » (Une histoire de la modernité sonore), ce sont les relations entre le sonore et le visuel (le son dans les arts plastiques) qui sont scrutées sous l’angle, non plus du regard, mais de l’oreille.

3. Critique du design sonore : La standardisation de la sensibilité par le capitalisme des industries discographiques et la captation de l’attention par le design sonore, impliqué tant dans les enjeux commerciaux que sécuritaires, engage une réflexion critique sur la manière dont les pratiques artistiques peuvent remettre en mouvement (en liberté) nos appareils de perception : comment réensauvager une écoute domestiquée par un design conçu comme décor de la marchandise ?

Se tenant pour partie au sein de l’école nationale supérieure d’art de Dijon, le programme de résidence de recherche-création en arts sonores, dont cette première année va permettre de définir les contours, comprend, où le volet de recherche-création à proprement parler s’articule à des interventions pédagogiques, et permet à l’artiste en résidence d’exposer son travail.

 

3 – Programme Peinture et couleur

Responsables de l’axe de recherche : Alain Bourgeois, Anne Brégeaut et Bruno Rousselot (ENSA Dijon) / ARC associé : Pratiques Contemporaines de la peinture (resp. Alain Bourgeois, Anne Brégeaut et Bruno Rousselot)

À l’origine école de dessin, l’ENSA Dijon développe en son sein un programme de recherche centré sur les pratiques actuelles de la peinture.

Ce programme s’inscrit dans le sillage des enseignements délivrés aux étudiant·e·s en Licence et Master (cours théoriques et ateliers, ARCs et workshops). Il s’appuie sur les espaces et les structures de l’école consacrés à la peinture et à la couleur : l’atelier de peinture et l’observatoire européen de la couleur (ECO), qui cartographie les relations entre théories scientifiques de la couleur et pratiques artistiques contemporaines.

Associant étroitement critique historique, réflexion théorique et pratique expérimentale, les activités du programme de recherche « Peinture et couleur » se veulent ouvertes et multiformes : Invitations d’artistes internationaux en présence d’une de leurs œuvres (Olivier Mosset, Pierre Mabille, Eva Nielsen, Philippe Mayaux et Yan-Pei Ming), Conférences et cours théoriques sur l’histoire et l’actualité de la peinture (Michèle Martel et Bernard Marcadé), Workshops avec des artistes invités (Amélie Bertrand, Christophe Cuzin ou Élodie Boutry…), expositions d’étudiants dans des lieux professionnels de l’art.

éditions

coopération internationale

/// MOBILITÉ INTERNATIONALE

L’ENSA Dijon favorise la mobilité à l’international, en encourageant ses étudiant·e·s à partir à l’étranger dans le cadre de leur cursus, et en accueillant chaque année des étudiant·e·s étranger·e·s.

Par ailleurs, de nombreux intervenants étrangers (artistes et professionnels) sont sollicités pour participer à la recherche à l’ENSA via les ARCs, les workshops, les conférences et journées d’étude, et grâce à l’Unité de Recherche Art & Société.

Des voyages d’étude et des workshops à l’étranger sont également programmés, ainsi que des programmes de résidences et d’insertion professionnelle que l’ENSA propose aux jeunes artistes nouvellement diplômés.

>>> ÉCOLES PARTENAIRES :  https://ensa-dijon.fr/international/ecoles-partenaires/

/// L’INSERTION PROFESSIONNELLE À L’ÉTRANGER

Avec l’obtention de leur DNSEP en poche, les jeunes artistes et designers nouvellement diplômé·e·s peuvent prétendre à des programmes de résidences et d’expositions à l’international créés par l’ENSA Dijon, dès les premiers mois de leur vie active – ceci dans le but de développer leurs réseaux professionnels et de les aider à commencer leur carrière dans les meilleures conditions.

 

L’INTERNATIONAL, AU CŒUR DE LA STRATÉGIE DE L’ÉCOLE

L’international à l’ENSA Dijon occupe toutes les strates de la vie de cette école : plus qu’un simple sujet en soi, c’est une façon d’être, de penser, et d’aborder le monde et nos métiers. Cette approche se retrouve aussi bien dans les enseignements généraux que dans les stages de 4e année, les workshops, les ateliers de recherche et de création, et plus particulièrement dans le programme de résidences et d’insertion professionnelle que l’ENSA propose depuis 2015 aux jeunes artistes nouvellement diplômés.

Du local à l’international

La création par l’ENSA Dijon d’un Pôle d’Action et de Recherche en Art Contemporain (PARAC) permet de développer la visibilité de l’école à l’international et de multiplier les situations professionnalisantes telles que l’organisation d’expositions d’artistes internationaux et de colloques internationaux (à l’image de la conférence de Richard Armstrong, directeur du musée et de la fondation Guggenheim de NewYork, sur les enjeux des Musées aujourd’hui – Museums Today –). La mise en réseau professionnel à un niveau international, est un atout essentiel à l’enseignement de l’art et du design que cette école n’a de cesse de développer.

 

OPTION ART PROGRAMME DIJON/SAO PAULO

Depuis 2018, les étudiant·e·s de 5e année de l’année en cours et DNSEP N-1, N-2, N-3 de l’ENSA Dijon ainsi que ceux de l’École de Communication et d’Art (ECA) de l’Université de Sao Paulo (USP) sont invité·e·s à postuler à ce programme, qui propose :

• 6 à 8 semaines de résidence à Sao Paulo et une exposition au Musée d’Art Contemporain (MAC) de l’USP pour le/la lauréat·e français·e ;

• 6 à 8 semaines de résidence à Dijon et une exposition dans un musée de Dijon pour le/la lauréat·e brésilien·ne.

L’École de Communication et d’Art (ECA) de l’Université de Sao Paulo (USP) et l’ENSA Dijon sélectionnent chacune leur candidat·e. Un jury interne à l’école, présidé par la directrice, sélectionne le/ la lauréat·e français·e.

Le/la jeune artiste choisi·e reçoit une bourse de l’ENSA de 3 000 € pour couvrir les billets d’avion, le logement et des frais d’alimentation sur place. Le/la jeune artiste choisi·e du côté brésilien est traité·e dans les mêmes conditions.

Pour être sélectionné·e·s, les candidat·e·s répondent à un appel à candidatures (février-mars) en envoyant un CV, une note d’intention précisant leurs motivations pour cette résidence, et un book présentant leurs travaux en anglais et en français.

 

OPTIONS ART ET DESIGN : CITÉ INTERNATIONALE DES ARTS (PARIS)

En 2020, l’ENSA Dijon a noué un partenariat avec la Cité Internationale des Arts pour proposer un programme de résidence d’un·e jeune artiste à la Cité Internationale des arts. Les jeunes artistes diplômé·e·s de l’ENSA Dijon du DNSEP année en cours et N-1, N-2, N-3 peuvent postuler à ce programme, qui propose au lauréat ou à la lauréate 2 mois de résidence – un atelier-logement – à la Cité Internationale des Arts.

équipements spécifiques

Le centre de prêt, la bibliothèque, l’atelier de fabrication, l’atelier d’infographie et de sérigraphie, l’atelier multiples, l’atelier couleur, l’atelier photographie, l’atelier vidéo, le studio son…
> Découvrir tous nos espaces

professeurs

Luc Adami, Studio son et vidéo

Frédéric Beauclair, Design d’espace

Diane Blondeau, Studio son

Alain Bourgeois, Couleurs, ECO, co-responsable Atelier peinture

Anne Brégeaut, Peinture, co-responsable Atelier peinture

Patricia Brignone, Histoire des arts

Carlos Castillo, Peinture

Anna Chevance, Design graphique

Lambert Dousson, Sciences humaines, coordonnateur de la recherche

Jeremy Edwards, Design urbain

Nathalie Elemento, Sculpture et volume

Sammy Engramer, Volume et installation

Marlène Grossmann, Histoire des arts

Germain Huby, Cinéma et vidéo

Lydie Jean-Dit-Pannel, Atelier vidéo

Laurent Karst, Design d’espace

Martine Le Gac, Histoire des arts

Philippe Mailhes, Sérigraphie-Infographie, co-responsable Atelier Image fixe

Didier Marcel, Sculpture et volume

Laurent Matras, Design d’espace

Linda McGuire, Anglais

Jean-Sébastien Poncet, Design d’espace

Hélène Robert, Scénographie et design d’espace

Bruno Rousselot, Peinture, co-responsable Atelier peinture

Pascale Séquer, Photographie, co-responsable Atelier Image fixe

Lionel Thenadey, Atelier vidéo

Pierre Tillet, Histoire, théorie et actualité de l’art

Leila Toussaint, Design urbain

Charlélie Vuillemin, Français langue étrangère

En cours de recrutement, Atelier de fabrication

équipe administrative

Direction

Amel Nafti, Directrice

Véronique Léchenault, Secrétaire de direction

 

Administration & finances

Laurence Jacquemart, Secrétaire générale

Angélique Bocq, Gestionnaire administratif et financier et régisseure de recette

Cédric Bougeard, Gestionnaire administratif et financier

Marie-Ange Desanlis, Secrétaire administrative et financière

Francine Vernardet, Gestionnaire budgétaire et financière

 

Communication & partenariats

Simon Freschard, Responsable communication et partenariats

 

Pédagogie, vie étudiante & international

En cours de recrutement, Directeur des études et de l’international

Pauline Dionne, Gestionnaire des relations internationales

Louise Hüe-Rifad, Gestionnaire pédagogique

Sylvie Picard, Régisseuse pédagogique

 

Bibliothèque

Vanessa Silvia, Responsable de la bibliothèque

Sophie François, Adjointe administrative à la bibliothèque

 

ÉQUIPE TECHNIQUE

Informatique

Éric Marillier, Technicien informatique

 

Centre de prêt

François Garraud, Responsable du centre de prêt

 

Technique & maintenance

Gilles Fontaine, Régisseur

Didier Chenevez, Technicien de maintenance

 

Accueil

Martine Coudeyre, Agent d’accueil

Nora Garcia, Adjointe technique à l’accueil de l’école et à la bibliothèque

coordonnées

ENSA Dijon Art & Design
École Nationale Supérieure d’Art
3 rue Michelet BP 22566
21025 | Dijon cedex
tél. +33 (0)3 80 30 21 27
fax +33 (0)3 80 58 90 65
contact[at]ensa-dijon.fr
www.ensa-dijon.fr

effectif

Chaque année l’ENSA Dijon accueille environ 200 étudiants

Dunkerque

École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing — site de Dunkerque

présentation

Carrefour incontournable d’une eurorégion qui compte plusieurs millions d’habitants, territoire frontalier de la Belgique et du Royaume-Uni, forte d’une densité comparable à celle de l’île de France, la région des Hauts-de-France atteste un dynamisme dans le domaine de la culture qui se caractérise par l’implication des collectivités en faveur de programmes croisant excellence culturelle, promotion des territoires et accessibilité au plus grand nombre.
Depuis un ample réseau artistique, l’offre culturelle en région conjugue spectacle vivant et arts plastiques, patrimoines et festivals, dans toutes les formes d’expressions ; cinéma, danse, arts plastiques, théâtre, musique, spectacle de rue, littérature.
L’Esä accueille environ 300 étudiants répartis sur les deux sites, favorisant une offre pédagogique diversifiée et originale au sein de son option art. Le projet pédagogique se déploie sur les deux sites, entre métropole et littoral. Il s’articule au développement artistique et culturel des territoires. Les grands projets urbains qui dynamisent les deux villes placent la question de la création artistique au premier plan et favorisent de nouvelles formes de rencontres entre l’art et les publics qui sont autant de pistes d’inscription professionnelle pour les étudiants.
L’essence transfrontalière des territoires est propice aux échanges: la proximité de grandes capitales culturelles européennes (Bruxelles, Gand, Liège, Lille, Londres, Rotterdam…) renforce le rayonnement et l’étendue de l’offre pédagogique. Le réseau académique, professionnel et institutionnel ainsi constitué permet de construire une véritable dynamique de projet et de cursus : appui et construction dans les champs du pédagogique, de l’insertion professionnelle, de la mobilité internationale et de la recherche.
À Dunkerque, la mention « Art, société, nature » met en relation le site avec l’ensemble des partenaires et projets territoriaux (Musées – LAAC, Musée des Beaux-Arts, FRAC Grand Large, Halle aux sucres, Salles de spectacle et d’exposition (Studio 43, Bateau-feu, 4 écluses), Université du Littoral Côte d’Opale, Conservatoire municipal, entreprises, communauté urbaine, maisons de quartier, projets cursifs, événements structurants, etc.) susceptibles d’orienter l’étudiant vers une recherche liée aux relations entre l’art et les territoires.

1/1

options

Art, Société, Nature

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art
Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI) 

post-diplôme

CE2A (Certificat d’Ecole en Enseignement de l’Art)
Il s’agit d’une formation d’une année universitaire permettant à des étudiants titulaires d’un diplôme de fin de 5e année en École d’Art, d’acquérir les compétences nécessaires à l’enseignement de l’art, en France ou à l’étranger. Ce certificat d’école donnera un savoir-faire de moniteur en arts plastiques, avec des compétences transversales et poly-disciplinaires.

classe préparatoire

Classe FLEA – Français-Langue étrangère / Art — Esä | Dunkerque-Tourcoing

Première classe de mise à niveau conçue à l’intention des étudiants non francophones désirant se présenter aux concours d’entrée aux Écoles Supérieures d’Art françaises, la classe FLEA (Français-langue étrangère/Art) a ouvert ses portes en septembre 2013. Le contexte des études en école supérieure d’art a considérablement changé depuis quelques années avec le passage au système européen LMD et le grand développement de la mobilité des étudiants. FLEA propose aux élèves une double formation, combinant un apprentissage intensif du français écrit et parlé, à raison de 16 heures hebdomadaires et une préparation à l’intégration aux cursus des écoles supérieures d’art, sous la forme d’ateliers de pratiques plastiques diversifiés et complets (dessin, volume, vidéo, photo, peinture, édition, informatique). Les cours sont dispensés sur les sites de Dunkerque et de Tourcoing.

vae

L’Esä offre la possibilité à chaque candidat d’être accompagné, depuis l’établissement de son dossier jusqu’à la préparation des épreuves du DNSEP option Art, par un enseignant en charge de la Validation des Acquis de l’Expérience.

unités de recherche

Hyper.local

L’ésac de Cambrai, l’ésa-Nord Dunkerque-Tourcoing et l’ésad Valenciennes formalisent les complémentarités de leurs programmes de recherche respectifs dans les champs de l’art, du design, et de la communication au sein d’une Unité de Recherche (UR) dénommée HYPER.LOCAL.

Elle a pour vocation d’interroger, de comprendre et d’expérimenter les pratiques qui impliquent des rapports d’échelle critiques et des créations situées : entre « local » et « global », « micro » et « macro », « moléculaire » et « molaire », « topique » et « cosmique ». Cette orientation générale privilégie plus particulièrement le point de vue « hyper local », non pas pour se replier sur le connu et l’authentique au nom d’une identité fermée, mais pour se replacer là où les enjeux esthétiques, économiques, sociaux et politiques mondiaux se rencontrent pour prendre un sens vécu, partagé et discuté, c’est-à-dire au niveau de la singularité plurielle des lieux.

Deux axes seront particulièrement développés dans le cadre de cette Unité de Recherche.
Le premier axe, intitulé « Images, codes, récits », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’écriture de l’espace issues des sciences et technologies contemporaines. Cet axe interroge plus précisément les transformations de la perception, de l’imagination et de la narration qui s’opèrent selon les nouvelles articulations entre le corps, la machine et l’espace produites par les technologies numériques.
Le deuxième axe intitulé « Art, design et société », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’interrogation de l’espace public par l’art et le design. Cet axe investit plus précisément les modes alternatifs de conception, de production et d’échange que l’art et le design créent pour répondre aux problématiques sociétales contemporaines (écologiques, économiques, sociales).

programmes de recherche

éditions

Édition de livres d’artistes et des activités de l’Esä.

éditions

Expositions (Galerie de l’école, hors les murs et espace public), conférences, rencontres, événements…

coopération internationale

L’École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing a fait des relations internationales un point fort de son développement. Les projets internationaux sont articulés avec les programmes de recherche de l’Esä :
– Une convention bilatérale avec Campus France
– Le partenariat avec l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger (AEFE)
– Partenariat avec la Haute école d’arts plastiques (HBK) de Brunswick en Allemagne
– Tianjin Academy of Fine Arts, Chine : un programme d »échanges bilatéraux d’étudiants et d’enseignants
– La Dalian Polytechnic University en Chine

galerie

Galerie de l’école

équipements spécifiques

Les équipements du site de Dunkerque comprennent :
– Des ateliers techniques encadrés par une équipe de techniciens spécialisés (ateliers modelage, sculpture, bois, métal, sérigraphie, gravure, imprimerie et typographie, dessin, peinture, photographie argentique et numérique, vidéo, informatique, son et multimédias) ;
– Des espaces de travail permettant aux étudiants de disposer d’un lieu adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser leurs projets personnels ;
– Un centre de documentation proposant un fonds de référence (ouvrages théoriques, monographies, catalogues, DVD, CD audio, fichiers numériques…) dans le domaine de l’art, de son histoire et de ses théories ;
– une salle de conférences où sont organisées des conférences, des rencontres avec des artistes
– une galerie d’exposition modulable, permettant aux étudiants d’être immergés dans un environnement culturel stimulant qui enrichit leurs recherches artistiques et leurs créations.

réseaux

équipe administrative

Président
Yves Duruflé

Directeur général
Thierry Heynen

Directrice du site de Dunkerque
directrice des études et de la communication
Anne Rivollet

Directeur du site de Tourcoing,
directeur des études et des relations internationales
Martial Chmiélina-Verschaeve

Directeur administratif et financier
Guillaume Corroënne

Coordinatrice de la recherche et de la professionnalisation
Nathalie Poisson-Cogez

Comptable
Lahoucine Essofi

Secrétaire de direction et de la présidence
Gestion des ressources Humaines
Halima Medjahedi-Bouabderrezaki

Administratrice pédagogique, référente Égalité de l’Esä
Pauline Florent

Chargée d’accueil, assistante administrative et référente Égalité de proximité / site de Dunkerque

Chargé d’accueil : Mickaël Billard

Agente adminisrative, référente Égalité de proximité / site de Tourcoing
Sonia Aghbache

 

 

professeurs

David Ayoun, vidéo et son
Phoebe Dingwall, peinture
Nicolas Cabos, édition
Audrey Charlet, vidéo
Cyril Crignon, esthétique, philosophie
Arnaud Delbeke, photographie
Melissa Ryke, anglais
Jean-Baptiste Carobolante, histoire de l’art, culture générale et théorie des images
Donovan Le Coadou, volume
Lætitia Legros, dessin
Jean-Claude Mouton, photographie
Julien Pastor, volume/installation
Nathalie Poisson-Cogez, histoire de l’art, chargée de la professionnalisation et de la recherche
Delphine Riche, méthodologie documentaire
Philippe Robert, édition

coordonnées

site de Dunkerque
5 bis, rue de l’esplanade
59140 | Dunkerque
tél. +33 (0)3 28 63 72 93
fax +33 (0)3 28 59 21 96
elodie.lefebvre@esa-n.info
www.esa-n.info

effectif

300 étudiants dont 100 sur le site dunkerquois

Épinal

École Supérieure d’Art de Lorraine | site Épinal

présentation

En janvier 2011, l’École Supérieure d’Art de Lorraine est née du regroupement de l’École de l’Image d’Épinal et de l’École Supérieure d’Art de Metz Métropole. En janvier 2014, l’école a intégré le centre de formation musique et danse. L’ÉSAL est un établissement multisite proposant en son sein des formations arts plastiques, musique et danse en ouverture à des pratiques et expériences pluridisciplinaires.

 

Constitué d’un Pôle arts plastiques (Metz – Épinal) et d’un Pôle musique et danse (Metz), l’ÉSAL rassemble près de 300 étudiants. Elle prépare aux diplômes nationaux ayant grade de Licence (DNA) et de Master (DNSEP), ainsi qu’aux diplômes d’État (de 2 à 3 ans) à travers 5 formations :

– Art, mention Dispositifs Multiples (Metz)

– Communication, mention Arts et Langages graphiques (Metz)

– Design d’expression, mention Image et Narration (Épinal)

– Musique (Metz)

– Danse – classique, jazz, contemporaine (Metz)

L’axe Metz — Épinal situe l’école au centre de l’Europe. À proximité de la Belgique, du Luxembourg, de l’Allemagne, de la Suisse, l’ÉSAL bénéficie d’une situation privilégiée.

L’échelle de l’école est un atout pour l’accompagnement de parcours singuliers pour les 300 étudiants de l’ÉSAL : les résultats des diplômes et l’attractivité de l’établissement témoignent de la qualité des formations. L’accompagnement s’approche du “sur mesure” et permet un fort taux de réussite aux diplômes et une attention particulière au parcours professionnel des étudiants.

http://www.esalorraine.fr < Épinal

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Ecole supérieure d'art de Lorraine site Epinal
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Ecole supérieure d'art de Lorraine site Epinal
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Restitution du workshop fantômes mené avec Marine Rivoal et Jérémie Fischer, crédits photographiques Frédérique Bertrand, 2019
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options

Design d’expression

 

diplômes

DNA  Design d’expression, mention image et narration

Sous l’intitulé Design d’expression, le site d’Épinal forme des auteurs et des créateurs engagés dans la fabrication d’images qui prennent sens dans une production contemporaine.

Les étudiants sont accompagnés par une équipe d’enseignants – qui ont par ailleurs une pratique personnelle de ce qu’ils transmettent. Ils sont amenés à faire des expérimentations du côté de l’image et de la narration sous des formes multiples, afin de devenir des auteurs à part entière. L’image est examinée dans ses fonctions narrative, illustrative, informative, documentaire, symbolique, métonymique et esthétique.

Au fil des trois années, les étudiants sont invités à chercher leur propre langue, à l’inventer et à la fortifier, les engageant à écrire de façon régulière, dans une démarche réflexive, analytique et sensible. Ils développent ainsi des qualités littéraires, une approche d’auteur mais aussi le regard distancié que permet l’écriture. Ces ateliers abordent la littérature et la poésie contemporaines mais aussi la photographie, le dessin, la peinture et l’image en mouvement.

L’étudiant est invité à accroître ses connaissances, à développer sa créativité et à améliorer son savoir-faire.

Au travers de cours théoriques, de workshops, d’ateliers de création et de commandes extérieures, les étudiants appréhendent les différentes étapes allant de la formalisation de l’image, à sa fabrication jusqu’à sa diffusion.

Le travail sur le texte vient toujours croiser un travail autour de l’image, dans une approche transversale. Cette transversalité est favorisée par la mise en lien de plusieurs disciplines et privilégie aussi la rencontre. C’est ainsi, par exemple, que les échanges avec le Pôle arts plastiques et le Pôle musique et danse de Metz apportent aux étudiants une ouverture, qui donne des perspectives nouvelles aux uns et aux autres.

Les étudiants, dès la deuxième année, ne sont plus dans l’exercice mais bien dans l’élaboration de projets qui leur demandent d’acquérir de la méthodologie.

L’image et la narration se construisent dans cet espace qui mêlent réflexion, références, techniques, tout en laissant la place aux hasards et surprises de l’expérimentation ; ainsi qu’ils s’agissent de dessin de peinture, de photographie, de vidéo, de son, d’animation, de design éditorial ou graphique et d’images numériques…

L’ouverture du laboratoire transmédia équipé d’un matériel de pointe est l’espace d’expérimentation et de création qui positionne l’école sur ces nouvelles technologies ; elles combinent différents médias pour inventer de nouveaux univers narratifs et interrogent les modes actuels de diffusion. C’est un univers en perpétuelle évolution qui reste à explorer, à parcourir, et surtout à imaginer. Les enseignants accompagnent les étudiants dans ce cheminement, les amènent à apprendre en leur proposant un cadre où la liberté et l’utopie ont toute la place d’exister.

L’image se situant de plus en plus dans l’ensemble des données médiatiques et technologiques contemporaines, il est fondamental que les enseignements proposés à l’école interrogent différents modes de création : le didactique (langages linéaires et interactifs), dans la communication institutionnelle et privée (éditions imprimées et images numériques)…

L’évolution du projet de l’école génère ainsi une véritable interactivité des pensées liées à ces questions. L’élaboration de nouveaux supports et l’émergence de nouveaux réseaux de mise à disposition des images offrent à la création visuelle de vastes domaines d’expérimentations.

 

éditions

édition de l’école :

Depuis 2017, l’ÉSAL s’emploie à imprimer une publication des diplômes de l’ÉSAL (plasticiens Metz/Épinal, musiciens et danseurs). Cette publication est un outil de diffusion du travail des artistes. Elle est distribuée officiellement aux diplômés et aux partenaires à la soirée de remise des diplômes, évènement qui rassemble et met à l’honneur les diplômés de l’école.

 

édition à visée pédagogique :

Aujourd’hui La Nef des Fous propose d’accompagner les étudiants dans leur projet de micro-édition, livres d’artistes, livres objets… Fabriqués en sérigraphie et aussi en risographie de la création à la diffusion, ces projets sont proposés au public à l’occasion de salons professionnels du livre en France et à l’étranger. Cela permet aux étudiants d’élaborer leur réseau, confronter leurs productions au milieu et s’introduire à la médiation notamment au Festival du Livre de Colmar, au Salon du Livre d’artiste à Thionville, au Salon du livre jeunesse à Contrexéville, au Salon du Livre et de la Presse Jeunesse de Montreuil,  au Salon de l’édition Numéro #0 sur le site BLIIIDA à Metz, au Festival Zinc Grenadine à Épinal et au-delà de la France, à la Foire du livre de Bruxelles.

 

Nées fin 2012, sous la forme d’une association à but non lucratif, les Éditions du Pourquoi pas ?  est animée pour son démarrage, par des forces vives de l’ÉSAL Épinal et de la Ligue de l’Enseignement des Vosges. Ils se sont engagés à titre personnel, chacun apportant ses compétences au service de l’œuvre collective avec un projet politique fort et une réelle ambition artistique. Depuis plusieurs années, des projets de création se développent en conjuguant le pouvoir créatif de la jeunesse en formation, le savoir-faire des enseignants de l’ÉSAL et le dynamisme associatif généré par la Fédération d’Éducation Populaire.

La Ligue de l’Enseignement des Vosges a fait émerger le manifeste : « Faire société », inspirant ainsi la collaboration avec l’ÉSAL. Les Éditions du Pourquoi pas ? ont permis de mettre en valeur la création de nombreuses productions artistiques et d’une collection d’albums insufflées par ce manifeste.

 

  • Monstruosa – Cases et débordements

Les ateliers Dessiner/designer, nouveaux récits, nouveaux possibles, transmédialité et design graphique travaillent ensemble à la réalisation d’un temps d’exploration de l ‘illustration et des pratiques transversales du dessin. Une semaine de workshops avec des restitutions publiques sous forme d’exposition, d’éditions ou de rencontres. Cette semaine s’inscrit dans le cadre du festival le Livre à Metz et noue de nombreux partenariats avec, entre autres, la galerie Octave Cowbell et la librairie Le carré des bulles.

formation continue

Projets annuels

L’ÉSAL adosse sa pédagogie à des expériences professionnelles et artistiques. Des partenariats qui débouchent sur des expériences singulières et fortes dans et hors les murs, en France et à l’étranger, lors d’événements qui s’inscrivent dans le temps mais également lors d’événements ponctuels.

 

Festival la Fête des Images

Réalisé dans le cadre de la Fête des Images 2020.  Cet événement est organisé par l’association Image’Est et la Communauté d’Agglomération de la ville d’Épinal. Il est ouvert aux artistes confirmés et émergents oeuvrant dans les champs de l’audiovisuel, du cinéma, des arts visuels, graphiques et numériques. Dans le cadre de l’atelier de vidéo en mouvement, les étudiants sont invités à présenter un projet pour le concours de vidéo mapping organisé par le festival.

 

Le Grand bain

A chaque rentrée spinalienne, les étudiants sont amenés à se rencontrer dans un lieu particulier, favorisant les échanges de pratiques et les découvertes sensibles immergés dans un environnement. Le Grand bain permet aux trois années confondues de développer un projet commun durant une semaine de festivités créatives autour d’une thématique ou d’une citation.

 

Grand air

Lors de ce voyage exploratoire, les étudiants de deuxième année partent dans un lieu immersif pour travailler sur différents ateliers d’écriture guidés par l’équipe enseignante et d’un intervenant. Ils sillonnent le paysage environnant afin de remplir un réservoir imaginaire d’images, de mots, de formes, de sons et d’odeurs en vue de concevoir eux même une édition entièrement conçue du texte, à l’image jusqu’à la reliure.

 

Exposition du Grand projet à la Lune en Parachute

A la fois exercice pédagogique et professionnalisant, les étudiants de troisième année proposent leurs œuvres individuelles dialoguant dans un ensemble collectif porté généralement autour d’une expression. Ponctuée de visite et performances, cette exposition annuelle est toujours bouillante et explosive montrant l’esprit pluridisciplinaire et expérimental des étudiants !

 

Soirée à La Souris Verte

La Souris Verte joue un rôle important et en complément des 3 autres lieux, en accueillant les équipes de création dans les domaines du théâtre, de la danse, du cirque, de la chanson française et des spectacles jeune public. L’offre proposée est ainsi conforme au cahier des charges traditionnel d’une Scène Nationale. Avec l’ÉSAL des projets se développent en visant à unir l’Art, la musique, la danse et le théâtre.

 

Les Petits Laboratoires de l’Image

La DAAC en lien avec l’IA-IPR arts plastiques, la DRAC et les écoles d’arts de Lorraine, a développé un dispositif en direction des classes de collège et de lycée intitulé « Les Petits Laboratoires de l’Image ». Il s’adresse aux étudiants des écoles d’art pratiquant la photographie et leur permet de mener un court projet en direction d’élèves de collèges ou de lycées. L’ÉSAL contribue à ce dispositif qui permet à une douzaine d’étudiants de réaliser cette expérience rémunérée.

revues

Atelier REVU : design éditorial Metz-Épinal 

REVU, 2020

L’atelier REVU se construit comme un laboratoire de recherche éditoriale mené à Épinal et à Metz, au sein duquel « expérimentation » est le maître mot. À partir d’un corpus d’œuvres et de textes proposés par les enseignants, les étudiants sont amenés à concevoir un objet éditorial qui s’engage à «revoir» ce corpus, à en proposer une relecture, un prolongement. L’atelier se séquence en plusieurs parties corrélées : étude et contextualisation du corpus, discussions autour des thématiques qui s’en dégagent ; productions de contenus ; conception d’une forme éditoriale ; prise en compte des contraintes techniques et économiques ; définition du public et de la diffusion de la publication…

activité post- ou périscolaire

Cours du soir pour Adultes

Atelier plastique / modelage céramique

Atelier céramique

Au travers d’un thème proposé en début d’année, l’atelier céramique initie le travail autour du volume. De sa mise en forme jusqu’à son exposition, nous vous accompagnerons dans votre projet sur les différentes possibilités techniques et esthétique qui s’offrent à vous pour le mener à bien. Initiés ou débutants, venez vous initier en petits groupes au modelage sur colombins, au pincé et à la plaque pendant les séances hebdomadaires.
Il est également possible d’expérimenter la fabrication de moules, et d’aborder le plâtre et l’estampage en pratique complémentaire. Partager vos envies, vos idées et venez vous faire plaisir !

Ateliers hebdomadaires : les mardis et mercredis de 18h00 à 20h00, hors vacances scolaires et jours fériés.

coopération internationale

Politique ERASMUS de l’École Supérieure d’Art de Lorraine

Depuis près de 30 ans, l’École Supérieure d’Art de Lorraine développe des projets à l’international et est titulaire d’une charte Erasmus depuis 2003. Une excellente connaissance des spécificités et atouts de nos établissements partenaires garantit des mobilités personnalisées en fonction d’objectifs d’acquisition de compétences. Notre situation géographique, frontalière avec 3 autres pays, le Luxembourg, la Belgique et l’Allemagne nous a conduit à privilégier à l’origine les projets transfrontaliers.

+ Lire la suite de la déclaration de politique ERASMUS

 

Mobilité Erasmus
Le programme pédagogique de l’ÉSAL propose un semestre de mobilité internationale au semestre 4 pour les étudiants d’Épinal.

La mobilité peut avoir lieu soit dans le cadre du programme Erasmus soit dans celui de partenariats bilatéraux pour les pays qui ne sont pas éligibles au programme européen.

 

Financement
Les étudiants perçoivent une allocation de mobilité Erasmus dont le montant dépend du nombre de mobilités accordées à l’école par l’agence Erasmus et du nombre de mobilités effectives ainsi que du pays d’accueil. Pour l’année 2021-2022 l’allocation mensuelle a été fixée à:

Pays du groupe 1 : 300 € par mois

Pays du groupe 2 : 250 € par mois

Pays du groupe 3 : 200€ par mois

Une aide complémentaire peut-être également attribuée. Les modalités, ainsi que la simulation du montant peuvent être consultées sur le site : https://www.grandest.fr/vos-aides-regionales/aide-a-mobilite-internationale-etudiants/

La Région Grand Est attribue également des bourses vers les pays non éligibles au programme Erasmus et pour des stages à l’étranger (sous réserve de modifications).

 

Coordonnées de la coordinatrice Erasmus

Eve Demange

+33 3 87 39 61 41

edemange@esalorraine.fr

galerie

L’appartement impérial… « Le Trésor »

workshop JM Bertoyas

L’ÉSAL occupe un appartement célèbre, transformé en salle de cours de plus de 200m2, situé au cœur d’Épinal, au pied d’une tour chinoise, et nommé « le Trésor ». Il fut acheté par Napoléon premier puis offert à son épouse, l’Impératrice Joséphine de Beauharnais, pour ses séjours dans la Cité des Images avant de se rendre aux cures de Plombières les bains.

  •  À deux pas du « Trésor », un ancien pavillon de chasse, lui-même accessible en empruntant les escaliers de la Tour chinoise, défie lui aussi le temps qui passe. Les cours s’y déplacent parfois au printemps au pied des ruines de l’ancienne forteresse d’Épinal.
  • Le Trésor est un lieu ouvert et transversal dans le cursus des étudiants. Il s’articule autour des spécificités de l’école telles que la vidéo, la narration et l’édition. Cet espace de 200 m2 permet aux étudiants de suivre des cours, d’exposer ou de présenter leurs travaux lors des bilans et des diplômes.
  • Il offre la possibilité de travailler avec des artistes dans le contexte de programmes pédagogiques ou de recherche mis en place par les enseignants et dont les étudiants sont les premiers bénéficiaires (ateliers, workshops, séminaires).

équipements spécifiques

– atelier édition, sérigraphie, risographie, façonnage

– atelier de gravure, taille douce, xylographie

– atelier volume, bois et céramique

– atelier multimédia, cinéma d’animation, vidéo

– salle traceur

– atelier tirage photographie argentique

– studio prise de vue

– FabLab : atelier de découpe laser et impression 3D

réseaux

– Cité de l’Image

– ANdEA, Association des écoles d’art du Grand Est

– Association Réseau des Écoles Supérieures d’Art du Grand Est

– Plan d’Est

équipe administrative

Nathalie Filser Directrice de l’EPCC

Étienne Théry Directeur du site Épinal

Célia Chenu-Klein Responsable administrative et scolarité

Carine Esther Responsable documentation, stage et communication

Chloé Guillemart Chargée de communication

Stéphane Sibille Responsable informatique

Jérôme Gravier Responsable logistique

 

professeurs

Abdelilah Chahboune

Alice Marquaille

Allison Wilson

Cyrielle Lévêque

Cyril Dominger

Daniel Mestanza

Frédérique Bertrand

Grégoire Dubuis

Joël Defranoux

Julia Billet

Mélanie Poinsignon

Nina Ferrer-Gleize

Philippe Poirot

Yvain von Stebut

coordonnées

ÉSAL, École Supérieure d’Art de Lorraine — Épinal

15, rue des Jardiniers

88000 Épinal

+33 (0)3 29 68 50 66

 

http://www.esalorraine.fr < Épinal

epinal@esalorraine.fr

 

Réseaux sociaux

LinkedIn EPCC ÉSAL

Issuu EPCC ÉSAL

Facebook — Pôle arts plastiques Épinal et Metz

Vimeo ÉSAL Épinal

Instagram ÉSAL Épinal

 

Newsletter : l’ÉSAL propose régulièrement des évènements ouverts au public : expositions, concerts, conférences, rencontres. Inscription sur le site internet.

effectif

90 étudiants en arts plastiques

13 enseignants

Fort-de-France

Campus Caraïbéen des Arts

présentation

Le Campus Caraïbéen des Arts est l’école supérieure d’enseignement artistique de la Martinique inscrite dans le réseau des 43 écoles territoriales d’enseignement supérieur artistique français.
Créée en décembre 2011, par la Région Martinique, elle constitue un établissement public rattaché à la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM). Elle est placée sous la tutelle pédagogique du Ministère de la Culture et de la Communication.
Actuellement, l’établissement propose aux étudiants un cursus diplômant ayant pour objectif d’assurer la formation de créateurs dans les champs des arts visuels et du design. Il participe à l’espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche dans le cadre du parcours LMD (licence, master,doctorat), assurant la conformité des enseignements aux standards européens.

L’école qui compte actuellement une centaine d’étudiants est habilitée à délivrer deux diplômes nationaux :
– le Diplôme National d’Art (DNA, niveau bac+3) :
– option art ;
– option design :
– mention design graphique
– mention design objet

– le Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP, bac+5 conférant grade de Master) :
option art ;
option art, mention design objet

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design graphique
DNA  option Design mention design objet
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention design d'objet

éditions

Livret d’accueil des l’étudiant.
Brochures relatives aux diplômes et formations dispensées
Catalogue « 1984-2014, Trente ans d’enseignement supérieur des arts visuels en Martinique »

Brochures de présentation des travaux d’étudiants, voyages d’études, diplômes.
Documents pédagogiques.

activités & événements

Expositions, présentation des travaux d’étudiants, conférences.
Accueil d’intervenants, workshops, artistes caribéens, européens et internationaux.

Journée Portes Ouvertes : samedi 26 mars 2019

Journées d’études : jeudi 11 et vendredi 12 avril 2019

coopération internationale

Échanges avec des écoles européennes dans le cadre des programmes Erasmus et accords de coopération d’échange étudiants (Caraïbe, Europe, Amérique Centrale, Amérique Latine).

Institut Buena Vista (Curaçao)
Edna Manley College of Visual and Performing Arts (Jamaïque)

galerie

Galerie « École », en partenariat avec l’artothèque.

équipements spécifiques

Ateliers (photographie, infographie, sérigraphie, gravure, modelage, moulage, matériaux de synthèse, vidéo, céramique, bois, métal) salle informatique, salle de montage vidéo, espace visioconférence, médiathèque, galerie « École », salle de conférence.

réseaux

ANdEA.
Collectivité Territoriale de Martinique (CTM)
Ministère de la Culture et de la Communication
Technopole Martinique
Centre de rencontre Fonds Saint -Jacques
Fondation Clément
Artocarpe (Guadeloupe)
Esad de Valenciennes
Ville de Fort-de-France
Université des Antilles et de la Guyane (UAG)
SERMAC
CMAC- ATRIUM
Centre de Formation de Professeurs
Chambre de Commerce et de l’Industrie de Martinique (CCIM)
Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Martinique (CMA)
Pôle d’excellence MSH (Maison des Sciences de l’Homme) de Paris Nord

équipe administrative

Audry LISERON-MONFILS Directeur-trice d’école supérieure d’art
Eddy Jean-Philippe Directeur des affaires financières
Brice Larcher Responsable communication
Sandrine Dijeont Responsable des ressources humaines
Marie-Claude Ursulet Adjointe à la Direction d’etablissement
Albert Monlouis Responsable technique
Janine Lagarde Assistante de Direction
Géraldine Constant Enseignante de culture générale et chargée des études
Océane Edmond Représentante des étudiants
Shaïda MADINSKA Représentante suppléante des étudiants

professeurs

Hélène Anglionin-Verdan
Martial Bazabas
Hervé Beuze
Jean-Philippe Breleur
Agnès Brézéphin
Jean-marc Bullet
Géraldine Constant
Sophie D’Ingianni
Florent Font
David Gumbs
Raphaëlle Hayot
Frédéric Lagnau
Paola Lavra
Marc Marie-Joseph
Alain Ozier
Bruno Pedurand
Michel Petris
José René-Corail
Henri Tauliaut
Catherine Thiollier
Sonia Tourville
Yannick Verres
Marie-Adèle Vert-Pré

coordonnées

Campus Caraïbéen des Arts
Rue des Artistes, quartier l’Ermitage
97200 | Fort-de-France – Martinique FWI (French West Indies)
tél. +33 (0)5 96 60 65 29
fax +33 (0)5 96 42 64 71
www.cca-martinique.com
contact.cca972@orange.fr

effectif

108 étudiants

Grenoble

École Supérieure d’Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble

présentation

L’École Supérieure d’Art et Design -Grenoble -Valence est une nouvelle école publique d’enseignement supérieur artistique issue du rapprochement de l’École supérieure d’art de Grenoble et de l’École régionale des beaux-arts de Valence.
L’ÉSAD -Grenoble -Valence organise régulièrement des colloques, conférences et présentations d’oeuvres de toutes natures (expositions, performances, concerts, projections,…). Ces manifestations, dont la vocation initiale est pédagogique, sont l’occasion d’inscrire l’école dans le réseau professionnel de l’art contemporain et de l’ouvrir aux publics des villes de Grenoble et Valence et de la région.

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École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble
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École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble
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Revue Form-To - École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

classe préparatoire

MAPS – Modules en Art Préparatoire pour le Supérieur, Esad Grenoble

Ce module s’adresse aux lycéens et étudiants désireux de s’inscrire aux concours d’entrée aux écoles d’art et en particulier à l’ÉSAD Grenoble-Valence. Au programme de ces 2 cours complémentaires :
– Expérimenter, jouer avec les« accidents », manipuler des matériaux ;
– Acquérir des connaissances techniques (volume, graphisme, peinture…) ;
– Apprendre à développer son propre univers créatif ;
– Découvrir des artistes et faire des recherches théoriques ;
– Présenter et valoriser son travail.

L’objectif de ce module est de solliciter la curiosité, la sensibilité de chacun en apportant un certain nombre de connaissances et en proposant de s’éveiller à la diversité du monde artistique (visites d’expositions, rencontres avec des acteurs du spectacle vivant, etc.).

Planning :
– Cours hebdomadaires : mercredi 16h-19h / jeudi 17h-20h, 3 heures par semaine (dont 1 cours de 2h par mois de fin septembre à fin mars).
– Stages : du 23 au 25 octobre 2017 et du 12 au 14 février 2018 (visites en matinées + ateliers les après-midis).

Enseignants : Jeff Saint-Pierre, Corinne Penin.

Lieu :
Ateliers tous publics de l’ÉSAD Grenoble
3, rue Federico Garcia Lorca – 38100 Grenoble
Tél : 04 76 62 10 99
E-mail : roselyne.cannillo@esad-gv.fr / grenoble@esad-gv.fr
www.esad-gv.fr

Téléchargez la plaquette des ateliers tous publics de l’ÉSAD Grenoble.

programmes de recherche

Art, théorie et pédagogie critique : tirer un enseignement de Craig Owens

Le projet traite de l’articulation entre théorie et pratique dans l’enseignement artistique, en questionnant la manière dont le savoir théorique nourrit et s’intègre à la pratique artistique, et réciproquement. Il prend pour point de départ la figure du critique d’art américain Craig Owens, en retraçant l’influence de son enseignement sur plusieurs artistes qui émergèrent au tournant des années 1980 et 1990. Issu en grande partie de la collaboration menée depuis 2014 avec le MAGASIN – Centre national d’art contemporain de Grenoble, ce programme s’inscrit de manière assez fine dans l’ensemble des recherches et pratiques qui fondent de longue date la pratique de l’ÉSAD autour de la question de la transmission.

Pratiques d’hospitalité

« Pratiques d’hospitalité » est une plateforme de recherche critique et d’imagination politique initiée par Simone Frangi et Katia Schneller et développée en coalition avec les étudiant.e.s de l’ÉSAD. Un site web est dédié à ses activités : https : //pratiquesdhospitalite.wordpress.com/.
Il s’agit d’un programme de séminaires, de workshops et de résidences d’artistes élaborés en partenariat avec l’université et des institutions nationales et internationales. Depuis 2015, PdH a notamment invité Nicolò Degiorgis, Núria Güell, Adelita Husni-Bey, Maria Iorio et Raphaël Cuomo, Övül Durmusoglu, Alex Martinis Roe, Pierre Michelon, Christian Nyampeta, Judith Raum, Beto Shwafaty, Aria Spinelli et mis en place des collaborations avec Université Grenoble Alpes, Centre d’Art Bastille, Cinémathèque de Grenoble, MAGASIN des horizons, Université des Idées – Fondation Pistoletto, Fondation Kadist, CAC Brétigny, MAC/VAL, Université Paris 8, CAP Saint-Fons.
Elle travaille sur l’hospitalité comme un espace politique et éthique de traduction. A partir d’une interpolation de pratiques artistiques, curatoriales et théoriques, elle questionne la validité de processus identitaires concernant la territorialité et la nationalité pour repenser, sous l’angle de la migration et de la transition identitaire les questions d’oppression de genre, classe et race.
Réarticulée à partir de son potentiel politique, la notion d’hospitalité interroge à nouveaux frais le paradoxe occidental de la démocratie et de ses dérives idéologiques pour imaginer une nouvelle modalité de production du commun.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

éditions

L’ÉSAD -Grenoble -Valence réalise régulièrement des éditions (livres d’artistes, catalogues, cédéroms…).

revues

revues

L’ÉSAD -Grenoble organise des workshops avec des artistes, critiques, écrivains, designers invités et des voyages d’études en France et à l’étranger. Elle programme régulièrement des colloques, conférences et présentations d’oeuvres de toutes natures (expositions, performances, concerts, projections,…) et collabore activement avec les structures culturelles de l’agglomération grenobloise et de la région pour l’organisation d’événements. Ces manifestations, dont la vocation initiale est pédagogique, sont l’occasion d’inscrire l’école dans le réseau professionnel de l’art contemporain et de l’ouvrir aux publics de la ville de Grenoble et de la région.
Par ailleurs, l’ÉSAD -Grenoble -Valence fait partie du réseau des quatre écoles supérieures d’art de la région Rhône-Alpes. À ce titre, elle favorise les projets pédagogiques inter-écoles et l’insertion professionnelle des étudiants diplômés.

activité post- ou périscolaire

Cours pour enfants, adolescents et adultes : initiation aux arts plastiques, dessin, peinture, sculpture, gravure, aquarelle, illustration, photographie, volume-installation, histoire de l’art.

coopération internationale

Dans le cadre de l’organisation des études, le semestre 8 est consacré à une mobilité internationale.
Chaque étudiant est invité à partir à l’étranger se confronter aux exigences du monde en effectuant, soit un séjour d’études, soit un stage dans une structure professionnelle.
L’ÉSAD -Grenoble -Valence participe au programme ERASMUS. De nombreux partenariats avec des établissements d’enseignement supérieur internationaux sont mis en oeuvre. Une aide financière est apportée aux étudiants par différentes bourses : Erasmus, Explo’ra sup de la Région Rhône-Alpes et OFAJ – Office Franco-Allemand pour la Jeunesse.
Quelques établissements parmi les partenaires de l’ÉSAD -Grenoble -Valence : University of the arts, Central St Martin, Londres ; Kingston University – Kingston upon Thames ; LUCA – School of Arts, Gand ; ERG/Ecole de recherche graphique, Bruxelles ; Ecole nationale supérieure des arts visuels de la Cambre, Bruxelles ; Muthesius Kunsthochschule, Kiel ; Stuttgart State Academy of Art and Design ; Weissensee Berlin ; HEAD – Haute École d’Art et de Design, Genève ; National University of Arts, Bucarest ; Facultad de Bellas Artes de Valencia (Université Polytechnique) ; Srishti School of art, Design and Technology, Bangalore ; Concordia University, Montréal ; PUC Campinas, Brésil.

galerie

L’ÉSAD -Grenoble dispose de deux lieux d’exposition : la Galerie de l’ÉSAD -Grenoble et la Galerie Xavier Jouvin (48 quai Xavier Jouvin, 38000 Grenoble) présentent régulièrement des projets multidisciplinaires d’étudiants et de jeunes artistes.

équipements spécifiques

L’ÉSAD -Grenoble dispose de tous les ateliers techniques adaptés : elle possède des dispositifs complets tant en ce qui concerne les techniques traditionnelles (dessin, peinture, photographie argentique, impression offset, plâtre, terre, bois, fer), que les techniques les plus récentes (technologies numériques appliquées à la photographie, à la vidéo, au son, au multimédia, PAO). L’ÉSAD -Grenoble dispose également d’un amphithéâtre équipé pour des conférences et projections et d’une bibliothèque spécialisée.

réseaux

ANdEA, ADÉRA, ELIA, ART ACCORD FRANCE.

équipe administrative

Direction

Jérôme Delormas Directeur général
Naïma Rouani Directrice du site de Grenoble

Services transversaux

Benjamin Bellier Responsable du système informatique
Naïana BUENO Coordinatrice des études
Célia Ferrato Chargée de communication
Raphaëlle Gondry Coordinatrice de la mobilité et des partenariats internationaux
Marina James-Appel Coordinatrice de la Recherche et des partenariats académiques
Julie Laffont : Chargée du suivi administratif et financier des projets pédagogiques et de recherche
Anissa Si Lakkal Responsable ressources humaines

Administration

Florence Cazzaro Accueil, secrétariat de direction
Atef Debit Accueil ateliers publics
Isabelle N’sanga-Kalonji Accueil ateliers publics
Raphaëlle Gondry Coordinatrice de la scolarité
Nathalie Thévenet Secrétariat pédagogique
Nadia Verhaeghe Secrétariat pédagogique

Technicien·ne·s ateliers pédagogiques

Yohann Hideux  : Audiovisuel et informatique
Virginie Salot : Audiovisuel et informatique
Alma Sauret : Atelier de mise en œuvre
Guillaume Peruchon : Atelier de mise en œuvre

Équipe entretien

Pierre Espuche
Isabelle N’sanga-Kalonji

Agent de maintenance

Medhi Fahri

professeurs

Camille Barjou : Histoire des arts, culture générale

Etienne De France : Sculpture, installations et pratiques multiples

Simone Frangi : Philosophie, culture générale

Eric Hurtado : Photographie, cinéma, poésie, action

Bernard Joisten : Cinéma, peinture

Frédéric Léglise : Peinture, volume et dessin

François Nouguiès : Vidéo

Antoinette Ohannessian : Sculpture et mise en espace des perceptions

Slimane Raïs : Volume, installation

Pascale Riou : Histoire des arts, culture générale

Katia Schneller : Histoire des arts, culture générale

Benjamin Seror : Volume, installation

Catherine Tauveron : Photographie, images et médias

Melis Tezkan : Son, performance et pratiques audiovisuelles

Béatrice Vigato : Culture générale anglo-saxonne

Stella Sujin : Peinture

Thierry Cascales : Arts plastiques, dessin, peinture

Sylvie Coudart : coordinatrice – peinture, dessin

Emmanuelle Gallice : coordinatrice – multitechniques, dessin, arts plastiques

Fabrice Nesta : Dessin, techniques mixtes

Corinne Penin : Arts plastiques, techniques mixtes, couleurs

Guillaume Peruchon : Coordinateur des ateliers publics – arts plastiques, sculpture

Jeff Saint-Pierre : Sculpture, modelage

 

coordonnées

Provisoirement : 5 rue de l’ancien Champ de Mars, Grenoble

25 rue Lesdiguières
38000 | Grenoble
tél. +33 (0)4 76 86 61 30
fax +33 (0)4 76 85 28 18
grenoble@esad-gv.fr
www.esad-gv.fr

effectif

122 étudiants

Le Havre

École supérieure d’art et design Le Havre Rouen | site Le Havre

présentation

L’École Supérieure d’Art et Design Le Havre-Rouen, réunissant les deux anciennes écoles d’art de Rouen et du Havre, est devenue, de fait, le grand établissement d’enseignement artistique du territoire haut-normand mais également un des plus grands établissements culturels de notre région. L’offre pédagogique de l’ESADHaR, campus du Havre, autour de deux grands axes : le design graphique et la Création littéraire (niveau Master, cohabilité avec l’Université du Havre).

DESIGN GRAPHIQUE ET INTERACTIVITÉ – CAMPUS DU HAVRE
Le département Design graphique et Interactivité a pour but de former de jeunes designers qui investiront les champs du design graphique, du multimédia et de l’art contemporain, et qui sauront s’intégrer au sein de l’espace public. Il s’agit tout autant de former un futur professionnel que de participer à la construction de sa personnalité. Le second cycle de ce département se compose de trois parcours qui sont autant de parcours spécifiques au sein du DNSEP Design graphique.

Trois parcours en 2ème cycle:
– Design et Editions
– Design Numérique
– Art, Médias, Environnement (AME)

Ce département forme les étudiants au métier de designer graphique maîtrisant différents domaines et que l’on peut regrouper en cinq grandes catégories :
– Le design d’éditions (livre, presse, publication numérique, hors-média)
– Le design des identités (identités visuelles, design institutionnel)
– Le design numérique (sites Internet, installations interactives, nouvelles technologies, animation)
– Le design d’information (communication visuelle, pédagogie, data design, signalétique)
– Le champ de la création pure destiné à l’exposition (qui se placera aux côtés des autres formes de la création contemporaine).
⇨ Le département Design graphique et Interactivité prépare au DNA et au DNSEP option Design, mention « Design graphique et Interactivité ».

CRÉATION LITTÉRAIRE – CAMPUS DU HAVRE
Le Master de Création littéraire du Havre a été créé en 2012 par l’ESADHaR et l’Université du Havre.Une dizaine d’enseignants et d’écrivains l’animent. Ce Master est la première formation de ce type créée en France et, si d’autres Masters de Création littéraire sont apparus depuis, il reste unique en raison de la cohabitation entre une école supérieure d’art et l’université (les sites étant de surcroît proches géographiquement). Les étudiants du Master de Création littéraire sont invités à intervenir dans de nombreux événements de façon créative, mais aussi pour aller à la rencontre de professionnels du livre et de l’écriture afin de dessiner de la manière la plus professionalisante possible les contours de leur avenir.
Le Master de Création littéraire forme aux métiers de :
– La création littéraire (écrivain, biographe, rewritter, artiste multimédia)
– L’enseignement et la recherche (à travers la poursuite d’un doctorat)- Les métiers de l’édition (qui nécessitent, selon les postes visés, une formation additionnelle plus technique)- Les métiers du journalisme (qui peuvent nécessiter un complément de formation)
– L’animation d’ateliers d’écritures
– Les métiers de la traduction peuvent être enrichis par une formation en création littéraire
– La communication sur différents supports (rédacteur web, chargé de mission, community manager)
– La publicité (concepteur-rédacteur, marketing).
⇨ Le département Création littéraire prépare au Master 1 et 2.

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ESADHaR campus du Havre
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options

Certificat de Didactique de l’enseignement artistique
Certificat de Médiation culturelle
D.U. Médiation de l’art contemporain
Design
Master Lettres et création littéraire

diplômes

D.U. Médiation de l’art contemporain 
DNA  option Design mention design graph. et interactivité
DNSEP  option Design mention design graph. et interactivité
Master Lettres et création littéraire 

troisièmes cycles

Doctorat en Recherche et Création

UN DOCTORAT DE RECHERCHE ET CREATION EN NORMANDIE

Les accords de Bologne, ratifiés en 1999, ont conduit à la mise en oeuvre du schéma LMD (licence-master-doctorat) pour l’enseignement supérieur européen. Dans ce cadre, les écoles supérieures d’art françaises ont connu des évolutions importantes qui ont permis la reconnaissance au grade de Licence ou de Master des diplômes qu’elles proposent (DNA et DNSEP).

Aujourd’hui l’enjeu pour les écoles supérieures d’art repose sur la mise en oeuvre d’un doctorat qui soit en phase avec leur identité et leur pédagogie.

Recherche et pédagogie en écoles supérieures d’art

La pédagogie des écoles supérieures d’art repose sur un double mouvement : d’une part la maîtrise de connaissances théoriques et culturelles dans les domaines de l’histoire et de l’actualité de l’art, de l’esthétique, de la sémiologie de l’art. D’autre part l’approche sensible et l’acquisition des savoirs techniques qui mènent à la création et à la production de formes plastiques. La recherche portée par les écoles supérieures d’art relève de cet aller-retour. Il s’agit d’une démarche de recherche-création, qui allie rigueur intellectuelle et pratique sensible. Elle a pour ambition d’engager une approche d’investigation en considérant que la pensée peut être produite par d’autres médias que l’analyse écrite seule et trouver son expression dans la création artistique en art, en design, en création littéraire, en architecture et dans les formes hybrides.
La thèse de doctorat-création qui s’inscrit dans un cursus artistique devra ainsi consister en une oeuvre nourrie d’un appareil critique et théorique. La création est au centre de la thèse et la forme constitue un enjeu essentiel de recherche.

Ce postulat est assez éloigné de l’orthodoxie d’une thèse universitaire. Aussi beaucoup d’écoles supérieures d’art ont préféré développer leur propre modèle sous la forme de diplômes d’écoles, redoutant la frilosité de l’université devant un modèle innovant qui envisage la recherche en art par la pratique et place l’oeuvre et le processus de création au coeur du travail de l’artiste-chercheur.

La France en retard

Pourtant, bien d’autres pays ont permis le développement de troisièmes cycles alliant recherche et création. La Grande-Bretagne, la Belgique, le Canada ont mis en oeuvre des PhD de recherche-création sur la base d’une double articulation du suivi des chercheurs entre les écoles d’art et les universités. Il en résulte que la France prend du retard dans l’élaboration d’un troisième cycle de recherche en art à même de recevoir une validation européenne au grade de Doctorat.

Le seul exemple en France d’un doctorat de création est le programme doctoral SACRe (sciences, arts, création, recherche). Il est le fruit de la coopération entre l’Ecole Normale Supérieure et les cinq grandes écoles parisiennes supérieures de création (Conservatoire National d’arts dramatiques, conservatoire national musique et danse, école nationale des Arts Décos, Beaux-Arts de Paris, Fémis), réunis au sein de Paris Sciences et Lettres Research University (PSL).

La Normandie aux avant-postes de la recherche-création

En Normandie, les deux écoles supérieures d’art, l’ésam (Caen/Cherbourg) et l’ESADHaR (Rouen-Le Havre), ont rejoint la ComUE Normandie-Université en tant que membres associés en décembre 2017. Le troisième établissement supérieur relevant de la tutelle pédagogique du ministère de la Culture, l’école nationale supérieure d’architecture de Normandie (Ensa), fait partie des membres fondateurs de Normandie-Université.

L’ésam et l’ESADHaR ont proposé à la ComUE de créer un Doctorat de Recherche et Création d’un nouveau genre. Celle-ci en a saisi l’opportunité : le 18 avril 2018, le Conseil des membres de l’école doctorale « Histoire, Mémoire, Patrimoine, Langage » (ED HMPL 558)(link is external) émettait un avis favorable à ce projet porté par les deux écoles supérieures d’art. Le 24 avril, le Conseil des écoles doctorales de la ComUE Normandie-Université confirmait cet avis. Le 25 juin 2018, le conseil académique de la ComUE entérinait officiellement l’ouverture de ce doctorat unique en son genre.
Au niveau national, ce Doctorat représente en effet une innovation considérable pour la région Normandie car il est le seul en France avec SACRe à conjuguer une démarche de recherche et création artistique, qui allie rigueur intellectuelle et approche sensible.

Création d’un Pôle Culture au sein de la ComUE

L’ésam, l’ESADHaR et l’ENSA travaillent à créer ensemble un Pôle Culture au sein de Normandie-Université. Ce Pôle Culture, véritable interface culture-enseignement supérieur, constituera la base sur laquelle reposera ce doctorat. Le partenariat entre les trois établissements de ce Pôle se concrétisera dès la rentrée de septembre-octobre 2018 avec la création de l’Unité de Recherche « RADIAN ».

RADIAN
Recherche – Art – Design -Innovation – Architecture – Normandie

RADIAN constituera, à terme, la quatorzième Unité de Recherche de l’école doctorale HMPL. Elle réunira les chercheurs de l’ésam, de l’ESADHaR et d’une partie des chercheurs de l’ENSA. Cette nouvelle Unité de Recherche qui accueillera les doctorants des trois écoles bénéficiera d’une revue de recherche annuelle intitulée RADIAL qui réunira les fruits de la recherche de cette Unité et des appels à contribution.

Trois doctorants par an seront recrutés, dès septembre 2018, pour une durée de trois ans, soit en vitesse de croisière neuf artistes doctorants inscrits dans ce troisième cycle.

classe préparatoire

Cours de Prépa de l’ESADHaR

Cours hebdomadaire de 4h, avec oraux blancs pour le concours et système de contrôle continu en vue du concours d’entrée.

vae

L’ESADHaR est un centre de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) pour des adultes professionnels qui souhaiteraient valider un DNA ou un DNSEP.
DNA option Art et option Design mention design graphique et interactivité
DNSEP option Art et option Design mention design graphique et interactivité

unités de recherche

ESADHaR Recherche

Plusieurs programmes de recherche se sont développés au sein de l’ESADHaR. Ceux-ci sont regroupés au sein d’une Unité de Recherche intitulée ESADHaR Recherche référencée au sein du Répertoire National des Structures de Recherche, du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, sous le n° 201121938C. La Direction de la Recherche est assurée par Manon Rivière, Directrice des Études, de la Recherche et de l’International de l’ESADHaR. Les co-directeurs de l’Unité ESADHaR Recherche sont deux Docteurs : Tania Vladova (campus de Rouen) et Maxence Alcalde (campus du Havre). Les étudiants de 2e cycle sont invités à participer à des projets de recherche venant enrichir chaque programme. Les programmes de recherche de ESADHaR Recherche se regroupent sous deux axes :

Axe 1 : « Art, nature et société »

  • Le cabinet des écarts singuliers axe sa recherche sur les rapports entre l’art, la nature et le patrimoine.
  • Delta total. L’enjeu de cette agence est une recherche aussi pratique que théorique à propos du parcours des formes et des dynamiques de production. Sébastien Montéro, animateur principal de ce groupe de recherche, a sollicité et obtenu un congé de recherche d’un an (2016/2017) afin de préparer son doctorat.

Axe 2 : « Champs du visible »

  • Edith – programme de recherche soutenu depuis 2014 par le Ministère se la Culture et de la Communication-, s’intéresse à des formes éditoriales reposant sur une économie limitée et à la microédition.
  • Edgar (Acronyme signifiant Exposer le Design Graphique, Actes & Recherches) est un programme de recherche lauréat de la bourse recherche ESADHaR 2017. Il a pour objet d’interroger la pratique de l’exposition du design graphique et de participer à un état des lieux de son actualité, en mettant en place des outils intellectuels et logistiques répondant à sa spécificité.
  • Le laboratoire du voir – programme de recherche lauréat de la bourse recherche ESADHaR 2017. Il aborde différents aspects de la relation au visuel, à travers une pratique plastique soutenue (Fondé en 2015, le Laboratoire du Voir est chargé du commissariat d’Art Sequana 2017).
  • IDeA (Interactivité, Design & Art) se focalise sur la problématique précise de la manipulation, de l’apprentissage, des outils numériques pour la création : graphisme programmé, généré, interactif, installations numériques, publication en ligne.
  • Le laboratoire de recherche en peinture (réseau peinture) se comprend comme un partenariat entre des ateliers de peinture de plusieurs écoles d’art en France et à l’étranger.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

programmes de recherche

Edgar : Exposer le Design Graphique, Actes & Recherches

« Une saison graphique » est une manifestation regroupant des expositions de graphistes dans plusieurs lieux de la ville du Have. Il a semblé opportun de créer un groupe de recherche mêlant plusieurs professeurs de l’ESADHaR et des partenaires fondateurs de la manifestation. Les objectifs sont nombreux : tout d’abord provoquer, aviver la création graphique contemporaine et accompagner les graphistes invités dans la conception de leur exposition. Mais aussi, interroger la pratique de l’exposition du design graphique, participer à un état des lieux de son actualité, mettre en place des outils intellectuels et logistiques répondant à sa spécificité et réfléchir à la position de la ville du Havre dans la création de ces dispositifs.

Édith – Edith recherche, Edith édite, Edith expose

Edith est un laboratoire de recherche initié par l’ESADHaR en collaboration avec le Cneai (Centre National de l’Édition et des Arts Imprimés) et l’Université de Haute-Alsace, Mulhouse. L’équipe est constituée de 13 chercheurs artistes, graphistes, historiens de l’art, historien du design graphique, bibliothécaire, commissaires d’exposition et sérigraphes. Une quinzaine d’anciens étudiants apportent également leur contribution au laboratoire Edith.
L’objet de la recherche a trait aux oeuvres d’art éditées. Edith développe un état des lieux des publications d’artistes et de graphistes des années 1980 à nos jours. Sur le plan géographique, le laboratoire Edith développe sa recherche en Europe ainsi que dans d’autres pays aux pratiques spécifiques et exemplaires en suivant plusieurs routes plutôt que des territoires. Étape par étape, Edith dessine un parcours, sur le modèle des routes commerciales du XVIIe siècle, en élaborant un véritable atlas, dans le but d’identifier les différentes formes éditoriales des publications d’auteurs.
Dès son origine, le laboratoire a associé étroitement la recherche théorique à la recherche artistique – une recherche autant sur l’art que par l’art – considérant qu’il s’agissait là d’une spécificité fondamentale d’un laboratoire initié en école d’art.

Idea – Interactivité, Design & Art

Le programme souhaite initier une collection d’ouvrages qui se focalise sur la problématique précise de la manipulation, de l’apprentissage, des outils numériques pour la création : graphisme programmé, généré, interactif, installations numériques, publication en ligne.

Le cabinet des écarts singuliers

Depuis la fin des années 1960, l’art contemporain a vu se développer des attitudes artistiques cherchant à s’éloigner des espaces de création et de monstration traditionnels. Travaillant hors-les-murs de l’atelier et de la galerie, les artistes ont voulu expérimenter le réel à travers des pratiques dites « contextuelles », « in situ ». C’est dans cette lignée qu’opère le laboratoire, cherchant à interroger le rôle de l‘in situ dans la création actuelle, à comprendre comment se développe cette pratique et quelles interactions s’opèrent entre le site, l’oeuvre d’art et les personnes liées à ces sites.
Le contexte havrais particulièrement riche en transformations urbaines, en traumatismes historiques, en spécificités géographiques (l’estuaire de la Seine) et économiques (développement ininterrompu de la zone portuaire au fil des siècles, migrations de populations) se prête idéalement à ces recherches.
Plusieurs axes de travail se dégagent au sein de ce laboratoire : la friche et les paysages industriels, l’Art/Nature/Patrimoine, l’art et sa médiation.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

éditions

Publications et catalogues liés aux expositions, manifestations et aux productions des ARCS et ateliers pédagogiques.
Actes de colloques et de conférences, livres d’artistes, catalogues, plaquettes, éditions d’artistes (estampes).

revues

revues

Avec ses différents lieux d’exposition et les grands événements qu’elle co-organise avec ses nombreux partenaires (Une Saison Graphique, les conférences « Écoute l’artiste »…), l’ESADHaR est un des grands acteurs culturels normands et s’inscrit dans un environnement riche d’institutions culturelles qui sont autant de lieux de stage possibles pour les étudiants : Frac, musées, centres d’art, galeries d’art, maisons des arts …

activité post- ou périscolaire

Sur les deux campus, l’école propose aussi des Ateliers des Beaux-arts pour favoriser le développement des pratiques artistiques amateurs (dessin, peinture, modelage pour adultes, adolescents et enfants). Elle propose aussi un atelier de préparation aux concours d’entrée des écoles d’art.

coopération internationale

– Participe au programme ERASMUS +
– Partenariats avec une quinzaine d’écoles en Europe.
– Partenariats avec des écoles hors Europe : Brésil, Corée du Sud, Israël.
– Bourses de l’OFAJ-Office franco-allemand pour la jeunesse et de la Région Normandie.
– 5 Voyages d’études en Europe votés chaque année : Londres, Venise, Palerme, Moscou, Porto, Berlin, Madrid, etc…

galerie

– Campus Rouen : Galerie Hus.
– Campus Le Havre : Galerie 65.
– Artothèque, rue Paul Doumer, au Havre.

équipements spécifiques

– Campus Rouen : Gravure, taille-douce, lithographie, sérigraphie, heliogravure, vidéo, photographie, infographie, multimédia, ateliers de volume – céramique, terres cuites, soudure, découpe au plasma.
– Campus Le Havre : Design creative lab, editing lab, fab lab, studio photo et vidéo, informatique/multimédia, bois, reliure, sérigraphie, gravure, atelier son, four à céramique et four à fusion.

réseaux

ANdEA, ELIA.

équipe administrative

Ulrika Byttner Directrice générale
Stéphanie Vallvé Directrice Administrative et financière
Tiphanie Dragaut-Lupescu Directrice des Études et de l’International
Alice Chardenet Chargée de projets – Ingénierie et partenariats
Diane Chevallier Chargée de communication et du développement des publics
Nelly Lejeune Secrétaire pédagogique
Cindy Pain Assistante de gestion financière
Marine Leplant Agent d’accueil et de liaison
François Desnoyers Responsable technique et logistique
Tristan Poiré Technicien informatique
Trystan Hamon Technicien impression
Emmanuelle Lepeltier Bibliothécaire


professeurs

Gilles Acezat
Bruno Affagard
Nicole Caligaris
Sonia Da Rocha
Laurence Drocourt
Helen Evans
Danièle Gutmann
Hansen Heiko
Colette Hyvrard
Jean-Noël Lafargue
Rozenn Lanchec
Anne-Laure Limongi
Yann Owens
Vanina Pinter
Carol Porcheron
Alain Rodriguez
Bachir Soussi Chiadmi
Stéphane Trois-Carrés

coordonnées

Campus du Havre
65, rue Demidoff
76600 | Le Havre
tél. +33 (0)2 35 53 30 31
esadhar@esadhar.fr
http://www.esadhar.fr
Facebook / Esadhar officiel
Blog / www.esadhar.blogspot.fr
Plothr / www.plothr.blogspot.fr
Artothèque / www.artotheque.esadhar.fr

effectif

175 étudiants

Le Mans

École supérieure d’art et de design TALM-Le Mans

présentation

L’École supérieure d’art et de design TALM (Tours-Angers-Le Mans) est un établissement sous tutelle du ministère de la Culture. Elle offre un vaste éventail de formations : en art, en conservation-restauration, en design avec des spécialisations espace, objet, sonore, mécatronique et computationnel, en sculpture, en techniques textiles. L’enseignement y est dispensé par un corps professoral – artistes, plasticiens, photographes, architectes, chercheurs, designers, théoriciens, conservateurs-restaurateurs, etc. – dont les qualités pédagogiques se doublent de talents et de compétences multiples.
Grâce à son vaste réseau partenarial dans les territoires régionaux, nationaux et internationaux, TALM permet à ses élèves de découvrir l’univers pluriel de l’art et du design contemporain, de la conservation-restauration, d’effectuer des stages dans le monde entier et de préparer avec efficacité leur insertion professionnelle.
L’établissement accorde une attention toute particulière à la recherche dans les disciplines de la création dont il sait maîtriser les enjeux et relever les défis. Singulière, attentive à la qualité de ses enseignements et soucieuse d’anticiper l’avenir de ses élèves, l’École supérieure d’art et de design TALM se pose comme l’un des acteurs essentiels de l’enseignement supérieur public artistique en France

L’offre de formation de TALM

L’organisation en trois sites de TALM est une chance qui permet aux élèves d’éprouver de multiples médiums, d’ouvrir des voies nouvelles, d’expérimenter des techniques. L’enseignement à TALM, qui articule expérimentation, théorie, pratique et recherche, est assuré par des professionnels de haut niveau, artistes ou théoriciens. Les élèves sont accompagnés vers la gestion autonome de leur engagement artistique afin de pouvoir construire un parcours singulier qui prend en compte l’aspiration artistique, les enjeux théoriques et les besoins techniques d’une création. Depuis 2011, TALM a intégré le système LMD (licence, master, doctorat) inscrivant ses formations dans le cadre de l’espace européen de l’enseignement supérieur. Le rayonnement des élèves à l’international, l’insertion professionnelle et la recherche dans les disciplines de la création irriguent le projet pédagogique de TALM.

 

Journées Portes ouvertes

>Vendredi 2 février et samedi 3 février 2024

Horaires et programme sur esad-talm.fr

 

Concours d’entrée en 1re année Art ou Design

> Épreuves théorique et pratiques : 6 et 7 avril 2024 en distanciel
> Entretien devant le jury : le 17 ou 18 avril 2024 à TALM-Angers

Sujets à télécharger sur esad-talm.fr à partir du 4 avril 2024

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(c) Esba TALM
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Programme de recherche Grande Image - École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans
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Programme de recherche Synthetic - École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans
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Programme de recherche Synthetic - École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans
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École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art, mention Art en géo-matériaux
DNSEP  option Design mention Design sonore
DNSEP  option Design mention Design computationnel & mécatronique
DNSEP  option Design mention Design & Territoires

classe préparatoire

Classe préparatoire de l’École d’arts du choletais

Convention avec l’École supérieure d’art et de design TALM

La classe préparatoire

34 heures de cours hebdomadaires sont dispensées de septembre à mai : cours d’anglais, dessin, histoire de l’art, art contemporain, volume, arts appliqués, estampe, création assistée par ordinateur, atelier de recherche, couleur, photo, rencontres avec des professionnels de la création et d’anciens étudiants de l’école. L’équipe pédagogique est composée de plasticiens ou critiques d’art. Des bilans trimestriels sont rendus aux étudiants sous forme d’un bulletin rempli par l’ensemble des professeurs et de la direction. Un oral blanc devant un jury composé de professeurs de l’école, de la direction, d’un artiste invité est organisé en mars.

L’étudiant est invité à expérimenter l’interdisciplinarité et à approfondir les domaines du design, du graphisme, de l’architecture, du cinéma et de la littérature, autant de pratiques qui nourriront ses futures productions personnelles.

https://www.cholet.fr/download/down/eac_livret_etudiant.pdf

programmes de recherche

Grande Image

Né de l’expérience de pratiques d’artistes contemporains, de la préoccupation de l’urbain, de l’art à l’échelle du paysage, d’une réflexion sur le contexte de l’art, d’une idée pédagogique au sein de l’école d’art et d’un contexte urbain favorable et de partenariats forts, Grande Image est un projet qui a fait se rejoindre en près de trois ans des questionnements et des partenaires engagés. Le développement de Grande Image a conduit à la formation d’un réseau de contacts et d’un groupe de travail qui est désormais constitué de manière formelle, en réunissant des participants tant du côté de la pratique artistique que de la réflexion théorique sur l’art, l’image et la ville.
Porté par l’école supérieure des beaux-arts, Grande Image a élargi son rayon d’action à d’autres partenaires en France et à l’étranger. Son développement tant sur le plan théorique que de la production d’expériences et de travaux artistiques a nécessité la mise en place d’un programme de recherche construit et coordonné. Ce programme complète et enrichit le territoire de travail développé au sein de l’école pour rejoindre une réflexion sur le statut de l’image dans l’art contemporain, sur les relations entre art et contexte urbain, entre art et technologies spécifiques, en particulier numériques, et approfondir le regard sur les productions contemporaines qui mettent en jeu l’ensemble de ces questions.

Synthetic

Le programme de recherche Synthetic vise à interroger l’impact du computationalisme sur les modes de productions et de travail dans nos sociétés technologiques, précisément dans le domaine de l’art, du design et de l’architecture. Cet impact est surtout compréhensible comme climat d’innovation radical, théorique et pratique, dans tous les domaines où le mode computationnel provoque une convergence des connaissances (symboliques, calculatoires, et expérimentales). Synthetic propose ainsi de réunir différents acteurs (académiques, scientifiques et industriels) et envisage la production dans le design et l’architecture sous l’angle de l’automation, de la vision par ordinateur, des matériaux avancés et des sciences cognitives.
Un des objectifs majeurs du programme est de dissoudre l’idéalisme qui gouverne trop souvent les recherches sur le numérique, ou ce qui accompagne la fascination banale de l’élément technologique transporté hors de son champ, et ne peut dès lors considérer les conséquences véritables dérivant d’un usage généralisé des calculateurs sur la formation des savoirs, sur les conditions de production et sur la création de valeur. C’est dans une perspective réaliste qui ne peut exclure la gageure d’un déterminisme technologique, que Synthetic tente à travers des expériences collectives comme des workshops, des colloques, des plateformes de création expérimentales ou la réalisation de prototypes, de percevoir les effets concrets de l’ordinateur sur les formes (objets, environnement et symboliques), sur le travail et son organisation, et sur les coûts de fabrication.
Synthetic a une constitution ouverte et collaborative, dans un contexte où culture, technique, travail et politique sont liés par l’ordinateur.

éditions

Actes des colloques, livres d’artiste, dépliants pour les expositions.

activités & événements

Voir l’actualité des expositions et événements en ligne

activité post- ou périscolaire

coopération internationale

TALM élargit chaque année son envergure internationale en développant de nombreux partenariats avec des écoles d’art et des institutions étrangères. L’établissement offre de multiples possibilités de séjours d’études à l’étranger. Les programmes d’échanges s’inscrivent dans le cursus normal de l’étudiant et sont proposés en priorité aux étudiants de quatrième année. Le séjour d’études dans une école étrangère oblige à confronter les premières ébauches d’un projet personnel à d’autres enseignants, d’autres milieux pédagogiques et culturels. Les trois sites de l’école signent des conventions bilatérales Erasmus pour la mobilité de leurs étudiants et de leurs professeurs et ont également des partenariats privilégiés avec des institutions hors Europe.
Établissements partenaires ERASMUS
Établissements partenaires hors Europe

galerie

La galerie de l’école dispose d’une salle d’exposition d’une surface d’environ 130m2 avec une hauteur sous plafond de 7 m. Les caractéristiques dimensionnelles de son architecture permettent à cette salle d’exposition d’être investie par des oeuvres de très grand format. 3 à 4 expositions annuelles y sont organisées. Elles rendent compte de l’actualité de la création artistique en art et design, entretenant en permanence une articulation avec les objectifs pédagogiques et de formation de l’établissement. Cette même salle est également utilisée lors des projections sonores ou concerts de musique expérimentale ainsi que lors des performances et des projections expérimentales interactives Grande image en immersion.

équipements spécifiques

Dessin, peinture, sculpture, gravure, typographie, moulage, bois, métal, céramique, fonte, photographie argentique et numérique, vidéo, son, infographie, bibliothèque, vidéothèque, Internet, radiophonique/numérique, robot 6 axes.

réseaux

ANdEA, Art Accord France, ELIA, Institut français, OFAJ Office franco-allemand pour la jeunesse.

_Partenaires universitaires
École nationale supérieure de création industrielle (ENSCI – Les Ateliers), Ecole nationale supérieure d’ingénieurs du Mans (ENSIM), École supérieure des géomètres et topographes (ESGT), Institut européen d’acoustique, Institut technologique européen des métiers de la musique (ITEMM), Laboratoire d’acoustique de l’Université du Maine (LAUM), Université du Maine, Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique(IRCAM),
_Partenaires artistiques et culturels
La Fonderie – Théâtre du Radeau, Les Quinconces – L’espal, scène conventionnée- théâtres du Mans, Centre d’art du Carré, CAUE Maine et Loire, CAUE de la Sarthe, FRAC Pays de la Loire, Île de Baure – Ménitré, La Maison de l’architecture – Centre
_Partenaires entreprises
ABB, Colart, ETC, 3D System France, Setram, PSA Peugeot-Citroën, Rairies-Montrieux

équipe administrative

Marie-Haude Caraës Directrice générale TALM
Christian Morin Directeur TALM-Le Mans, Directeur adjoint TALM
Aïcha El Hadj Responsable administrative
Diane Debuisser Responsable Pédagogique
Léa Garnier Chargée de l’accueil et des cours publics
Adham Bnibourk Chargée de communication
Marie-Yveline Larrea Bibliothèque
Benoît Charron Technicien informatique
Cyrille Charretier Responsable Technique

professeurs

Felix Agid
Rodolphe Alexis
Marta Bakowski
Anne Bariteaud
Jean Bonichon
Amaël Bougard
Fabien Bourdier
Laura Brunellière
Juan Sebastian Camelo Abadia
Marie-Laure Cazin
Olivier Chouteau
David-Michaël Clarke
Christophe Domino
Dettie Flynn
Mathilde Ganancia
Ludovic Germain
Baptiste Jopeck
Olivier Houix
Annie Hubert
Ianis Lallemand
Ronan Le Régent
David Liaudet
Miguel Mazeri
Rachel Rajalu
Noémie Sauve
Claire Trotignon
Natsuko Uchino

coordonnées

28 avenue Rostov-sur-le-Don
72000 | Le Mans
tél. +33 (0)2 72 16 48 78
contact-lemans@talm.fr
esad-talm.fr

effectif

230 étudiants

Le Port

École supérieure d’art de La Réunion

présentation

L’École Supérieure d’Art de La Réunion est un établissement d’enseignement supérieur artistique francophone, le seul dans la zone de l’océan Indien, sous tutelle pédagogique du Ministère de la Culture et accrédité par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Située au carrefour des cultures et civilisations, entre l’Afrique, l’Asie et l’Europe, l’École Supérieure d’Art de La Réunion est un creuset à l’image de l’île de La Réunion.

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options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

unités de recherche

Laboratoire APILAB (laboratoire Arts – Paysages – Insularités)

Depuis 2018, la recherche à l’ÉSA La Réunion est structurée par une unité de recherche dénommée APILab. C’est un laboratoire – une des représentations de l’île pour les chercheurs – qui tresse ensemble Arts, Paysages et Insularités, en relation avec les spécificités de l’île : sa géographie et sa géolocalisation, ses histoires géopolitique, économique et sociale et son imaginaire.
Les questionnements de APILab, artistiques, esthétiques et critiques se fondent dans le territoire de La Réunion, un monde créole aujourd’hui mondialisé dans un espace physique toujours clôs et toujours en mouvement car volcanique. Mais ils sont aussi ouverts. Le volcan, sa science et son imaginaire est un thème de nombreuses représentations qui relie de nombreuses îles entre elles, par exemple. Ils sont ouverts plus généralement, car les projets menés, en art et sur l’art, visent à explorer l’île de la relation et de la complexité avec ces notions-outils de « paysage(s) » et « insularité » dans leurs dimensions conceptuelles, scientifiques et artistiques.
APILab prolonge la plateforme de recherche expérimentale API (Arts, Paysages, Insularités), créée en 2013. La mention “Paysages” a été l’ élément structurant de la recherche à l’ÉSA La Réunion et déterminant dans son habilitation à délivrer le DNSEP dès 2004, année où émerge la première plateforme de recherche “Art & Science sur le paysage”.

Comprendre le paysage (Extrait de la présentation du séminaire tenu à L’ESA RÉUNION – 7 mai 2022) “Le paysage est une production de l’activité humaine, dans sa dimension esthétique et dans les modalités d’aménagement d’un territoire. Sa formation est due à des modes de vie et à une organisation de la société. La seule traversée d’un lieu peut en changer la forme. Le paysage, en tant que marqueur esthétique d’un pays, est généralement le fait d’une organisation collective sédentaire. Habiter un pays, c’est habiter un type de paysages. L’espace se teinte ainsi d’une dimension affective ; il mobilise des émotions, c’est-à-dire une esthétique que nous cherchons à lire davantage comme catégorie politique. Il n’y a pas d’esthétique innocente, il n y a pas de « paysage vierge ». Le paysage apparaît avec les manières d’habiter. Il peut être bouleversé, modifié par des catastrophes naturelles et décisions sociopolitiques et devenir ainsi méconnaissable, autre. Une forme d’inquiétude peut le traverser, car un familier (le pays formé par nos habitudes sédentaires) a été défiguré.” Les interactions et les interrelations entre le paysage et l’humain font l’objet de la recherche deAPILab à travers ses deux axes : « Mémoire, histoire et créolisations india-océanes » et « Pensées plastiques des insularités », axes caractérisés par leur perméabilité.

programmes de recherche

Mémoire, histoire et créolisations india-océanes

On n’habite jamais sans être habité

La Réunion est une montagne dans la mer dont les pitons constituent les points les plus saillants d’un territoire plus vaste, immergé et interconnecté. Son histoire est celle d’un espace d’interdépendance, d’hétérogénéité, de mouvance et de fabrication. L’axe de recherche « Mémoire, histoire et créolisations india-océanes » propose de sonder l’épaisseur du temps présent afin d’interroger « l’écosystème culturel » de l’île en portant un regard sur la construction des récits et ce qui en a été évacué pour révéler sa dimension cachée, l’espace souterrain et sous-marin, les interstices, les marges, etc. Par la recherche en art, il s’agit de questionner la créolisation comme processus de création et comme possibilité d’émergence, le rapport à l’histoire et au patrimoine, notamment à travers le document, l’archive, la littérature et le champ des études postcoloniales, mais aussi ouvrir d’autres perspectives en considérant la mémoire du corps (performance, danse, chant, fonnkèr, rituel). Le paysage est ici envisagé comme un médium, c’est-à-dire un processus et une interface où se créent des interactions et des codes culturels.

Pensées plastiques des insularités

Projet d’élaboration d’une « carte mentale » des représentations îliennes

« L’œuvre d’art est un objet plastique produit par une pensée plastique distincte de la pensée technique ou scientifique. » Pierre Francastel, Art et technique aux XIXème et XXème siècles, Éd.

Denoël/Gonthier, 1972, p.108

J’ai une image de l’île en tête, celle d’un labyrinthe jouant de sa situation géographique et de sa topographie, naturel et culturel, lié à son histoire et à sa construction sociale. Pour comprendre l’île, la représentation du corps humain insulaire territorialisé – spécifiquement celui du corps réunionnais, individuel et social – paré d’un vêtement occidental, sur une peau indienne ou asiatique qui recouvre une chair intérieure de l’Afrique noire (idée empruntée à G. Chopinet), nous immerge déjà dans une île de la complexité. Une île qui s’est faite par croisements de juxtapositions. Il s’agit de mener et partager des recherches en art et sur l’art qui travaillent la question de nos représentations des îles, en général, de notre territoire insulaire en particulier , celui-ci en interrelations avec un archipel India- océanique et sa métropole française et européenne. Une île produit-elle des formes qui sont spécifiques aux représentations de son insularité et de son îléité ? Espace clos – « en discontinuité terrestre -, l’île est d’emblée signifiante de la relation.

– En quoi les œuvres, leurs formes, font-elles part de cette relation ?

– Comment les représentations et expressions sensibles témoignent de ce « processus géographique d’interaction régionale « ? (In : Etude de l’insularité – p.11 – Persée.fr)

– Comment les représentations de l’insularité et de l’îléité influent sur les expressions et les génèrent ? Les œuvres en retour, nous informent-elles, sur nos manières d’habiter un territoire insulaire ?

Ce sont quelques questions déjà de la recherche qui nécessite observation des productions sensibles. Parce qu’au départ espace clos, l’île est devenue un lieu privilégié pour les chercheurs. Elle est un laboratoire. Cette représentation moderne semble susciter un regain d’intérêt dans de nombreux champs d’études dont l’art avec des artistes qui travaillent ensemble art, science et poésie.

éditions

Une revue annuelle : Magma présente les états de la recherche.

vae

DNA option Art
DNSEP option Art

activité post- ou périscolaire

Cours de pratiques amateurs.

coopération internationale

L’ESA Réunion entretient des partenariats dans le cadre du programme Erasmus+ avec les établissements suivants :·
– Escuela de Arte de Oviedo (Espagne)
– Escuela de Arte y Superior de Diseno de Alicante (Espagne)
– Universitat Politecnica de Valencia (Espagne)·
– Facultad de Bellas Artes, Université de Castilla-La Mancha, Cuenca (Espagne)·
– Ecole Supérieure des Arts Saint-Luc, Liège(Belgique)·
– Ecole Supérieure des Arts de l’Image Le75, Bruxelles (Belgique)·
– Hochschule für bildende Künste Hamburg (Allemagne)·
– Universität Kassel (Allemagne)·
– Staatliche Akademieder bildenden Künste Karlsruhe (Allemagne)·
– Academia Albertina delle belle arti diTorino (Italie)·
– Akademie derbildenden Künste, Vienne (Autriche)·
– Cardiff Metropolitan University (Grande Bretagne)·
– Nottingham Trent University (Grande Bretagne)·
– Norwich Universityof the Arts (Grande Bretagne)·
– Kunsthøgskoleni Oslo, Académie nationale des Arts, Oslo (Norvège)·
– Listaháskóli Íslands, Académie d’art d’Islande, Reykjavík (Islande)·
– Ecole des Beaux-Arts d’Athènes/ Ανωτάτη Σχολή Καλών Τεχνών (Grèce)
– Université de Lisbonne, Faculdade de Belas-Artes (Portugal)

Hors Europe, l’ESA Réunion a signé des conventions avec les établissements suivants :·
– Escuela de artes del estado de Jalisco (Mexico)·
– Université Fédérale de Rio de Janeiro (Brésil)·
– Université du Québec à Montréal (Canada)·
– Durban Institue of Technology (Afrique du Sud)
– ISARC Maputo (Mozambique)·
– University of the Witwatersrand de Johannesburg (Afrique du Sud) (convention en attente d’un renouvellement)

L’ESA Réunion travaille actuellement sur des partenariats avec les établissements suivants :·
– Potti Sreeramulu Telugu University, Hyderabad (Inde)·
– Mahatma Gandhi Institute Mauritius (Maurice)

équipements spécifiques

Infographie 2D et 3D, gravure, lithographie, photographie, vidéo, céramique porcelaine, peintures et matériaux (fer, bois, composite…).

réseaux

Partenariats sur le territoire :

Cités des Arts, Musée Léon Dierx, Artothèque, Frac Réunion, Lerka, La Kour, Musée Stella Matutina, Musée MADOI, Terra Incognita, Documents d’artistes La Réunion, La Box, Association Praxitèle, Tropical Drawing, Réunion Métiss, La Friche, La Raffinerie, Université de La Réunion.

Partenariats au niveau national :

ANdÉA, TALM, ENS Paris Cergy, ENS Louis Lumière, Université de Mayotte.

Partenariats au niveau international :

École Supérieure d’Art de Maputo (Mozambique), Université de Moroni (Comores), Université de Durban (Afrique du Sud), Mahatma Gandhi Institute (Maurice), École d’art des Seychelles, Fondation H (Madagascar), Alliance Française de Chennaï, Pondichéry et New Delhi (Inde).

équipe administrative

Thierry Gangate Président
Julien Cadoret Direction
Isabelle Ponamalé Secrétariat général
Frédéric Mary Direction des études
Harry Chereau Comptabilité
Philippe Lebon Responsable Systèmes d’Information
Béatrice Orrico Vie scolaire
Sophie Euphrosine Secrétariat de Direction
Caroline Dickinson Relations Internationales
Marina Menavava Bibliothèque
Jean-Pierre Filain Ateliers et bâtiments
Yannick Chane-Fui Ateliers et bâtiments
Sophie Michel Ateliers et bâtiments
Alexis Poncharville Acceuil et surveillance
Désiré Gilboire Acceuil et surveillance

professeurs

Maud Marique Écriture / Édition
Mounir Allaoui Images / Mouvements
Cédric Mong-Hy Culture générale
Stéphanie Hoareau Dessin
Sasha Nine Espace objet
Leïla Quillac Esthétique et théorie des arts
Colette Pounia Histoire des arts
Diana Madeleine Histoire de l’art contemporain
Esther Hoareau Intermédias
Reed Esslinger Anglais
Nicolas Gérodou Littérature / Art et paysage dans l’Océan Indien
Simon Teroy Modèle vivant
Christophe Dennemont Peinture
Jean-Marc Lacaze Pratiques performatives
Thierry Rivière Volume
Migline Paroumanou Céramique
Pascal Arlandon Estampe
Kelly Nikoly Infographie
Reynald Alaguiry Photographie
Tony Houziaux Son
Patrice Dijoux Vidéo

coordonnées

102 avenue du 20 décembre 1848, BP 246
97826 | Le Port
Île de la Réunion
tél. +33 (0)2 62 43 08 01
fax +33 (0)2 62 43 08 02

sophie.euphrosine@esa.re
direction@esa.re
http://www.esareunion.com

effectif

110 étudiants

Limoges

École nationale supérieure d’art et de design de Limoges

présentation

L’École nationale supérieure d’art et de design de Limoges est l’une des dix écoles nationales supérieures d’art placées sous la tutelle directe du ministère de la Culture. Elle délivre deux diplômes en option Art et en option Design d’objet : le DNA (bac + 3 valant grade licence), et le DNSEP (bac + 5 valant grade master).

Elle propose également deux mentions : céramique et bijou contemporain.
Dotée d’un matériel technologique de pointe et d’une équipe pédagogique pluridisciplinaire, elle articule art et technique, savoir-faire, recherche et mise en œuvre. Elle s’est dotée depuis 2015 d’un laboratoire de recherche et elle est partenaire de l’Université dans la formation du master Création Contemporaine et Industries Culturelles (CCIC) et pour les thèses du 3ème cycle.
Elle invite chaque année une cinquantaine d’artistes, théoriciens, chercheurs, praticiens à l’occasion de conférences et de workshops. Ce maillage de connaissances et d’approches est porté à l’international dans le cadre d’échanges avec la Chine, la Finlande, le Portugal, l’Allemagne, ou encore le Japon.

Sur 7500 m2, les 200 étudiant·es reçoivent un enseignement dispensé par des artistes, designers, philosophes, historiens ou critiques d’art, et par des professionnels qui transmettent leur savoir et leur savoir-faire dans une politique d’échanges et de critiques. Les multiples expériences que mène l’étudiant dans les ateliers où il expérimente des matériaux en privilégiant une démarche éco-responsable (terre, bois, textile, teinture, cuir, etc.), des techniques (photo, vidéo, 3D, etc.), des langages (dessin, peinture, volume, multimédia, bijou, etc.), sont mises en perspective par les cours d’histoire de l’art et du design, des journées et des voyages d’étude et des ateliers de recherche et de création (ARC).

Dans une approche pluridisciplinaire, l’étudiant·e est amené·e à définir et étoffer son expression en apportant sa contribution à la société. Soucieuse de l’avenir de ses alumni, l’école travaille à leur insertion dans le secteur professionnel en proposant des rapprochements réguliers avec l’écosystème de l’économie culturelle régionale et nationale.

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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier porcelaine - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue intérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier volume - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier bijou - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier volume - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier textile
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Ensad Limoges - workshop Dessin spacial et re-peintures
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Ensad Limoges - workshop I-matériel
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Ensad Limoges - workshop Mais si on danse
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Ensad Limoges - workshop Upcycling
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Ensad Limoges - workshop Désirer Dessiner Décider
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Ensad Limoges - workshop Le jardin émetteur
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Ensad Limoges - workshop Le jardin émetteur
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Ensad Limoges - Vue intérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue intérieure - Crédit photo : Oppic 2022

options

Art
Design

diplômes

– DNA option Art
– DNA option Design
– DNA option Art mention céramique
– DNA option Art mention bijou contemporain
– DNA option Design mention bijou contemporain
– DNA option Design mention céramique

– DNSEP option Art
– DNSEP option Design
– DNSEP option Art mention céramique
– DNSEP option Art mention bijou contemporain
– DNSEP option Design mention bijou contemporain
– DNSEP option Design mention céramique

 

 

éditions

Éditions numériques :
– Arts et techniques 1 Du savoir à l’usage, séquences et organisation de la production entre arts et techniques,
Ed. Naima, 2016
– Arts et techniques 2 Du savoir à l’usage, séquences et organisation de la production entre arts et techniques,
Ed. Naima 2016
– Pendant et après Foucault…Ed. Naima, 2016
– Céramique et espace urbain. De la définition de l’espace urbain aux modalités d’intervention du médium céramique, Ed. Naima, 2016
– Industrie(s) culturelle(s), travail et création, quelques figures pour penser leur actualité, Ed. Naima, 2016
– Psychanalyse et industries culturelles, Ed. Naima, 2016
– La céramique comme expérience, vol. 2, Journées d’étude les arts du feu à l’heure actuelle, Ed. Naima, 2017

Editions papier :
– Situations, dérives, détournements. Statuts et usages de la littérature et des arts chez Guy Debord, Perspectives inactuelles #1, Ed. Art Book Magazine, 2017
– Fragments pour Isidore Isou. Entre esthétique , théorie de la connaissance, théologie et politique, Perspectives inactuelles #2, Ed. Art Book Magazine, 2017
– Intérieur / extérieur, design d’objets pour la marque Blossomup, 2016 (expositions 2016/2017)
– Light metal(s) design d’objets de l’ENSA Limoges pour la marque CTIM, 2017
– Une terre sans art suivi de Sortir des plis, Pierre Bergounioux, Ed. William Blake and Co, 2018
– Prix Jeune Talent Végétal design et gastronomie 2018. ENSA Limoges / Fondation d’entreprise Le Delas, 2019
– HOP’ Ensa Limoges année 3 design, 2019
– La céramique comme expérience, éditions Naima, 2019
– HOP’2 L’expérience du sensible, Ensa Limoges avec GHU Paris psychiatrie et neurosciences, le Lab-ah laboratoire de l’accueil et de l’hospitalité, 2020
– Jungle design : le design à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Limoges, éd. Naima /Ensa Limoges, 2022
– 18 DNSEP juin 2022, catalogue des diplômé.es DNSEP 2021/2022, ENSA Limoges, 2022
– 21 DNSEP juin 2023, catalogue des diplômé.es DNSEP 2022/2023, ENSAD Limoges, 2023

activité post- ou périscolaire

Cours publics pour enfants, adolescents et adultes.
Participation au programme de la Fondation Culture et Diversité Égalité des chances en école d’art et de design ;
Participation au dispositif Les Cordées de la réussite, Rectorat, Politique de la Ville ;
Participation au dispositif Chemins de Traverse.

coopération internationale

Une pédagogie ouverte vers l’Europe et le monde dans le cadre du programme Erasmus+ mais également grâce à des voyages pédagogiques, favorise la mobilité des étudiant·es et des enseignant·es.
Allemagne, Colombie, Espagne, Finlande, Norvège, Japon, Portugal, Italie, Suède, Bulgarie, Pologne… sont autant de destinations ouvrant sur la découverte de savoirs et de pratiques venant compléter les enseignements dispensés par l’École.

Le programme Erasmus+ permet à un·e étudiant·e de bénéficier d’une bourse d’étude pour une mobilité reconnue par son établissement d’origine. La Région Nouvelle-Aquitaine soutient également les étudiant·es pour des mobilités étude et stage en Europe et hors Europe en attribuant des aides financières.


													

équipements spécifiques

Ateliers et espaces d’expérimentation.
Les ateliers représentent l’interface indispensable des écoles d’art aux projets pédagogiques. Leur usage est donc le plus souvent réservé aux étudiant·es dans le cadre de la réalisation de travaux en lien avec les projets pédagogiques, mais aussi aux artistes en résidence et invité·es par l’école – parfois aux stagiaires ainsi qu’aux personnes inscrites dans les cours publics. Ces espaces sont sous la responsabilité des responsables d’atelier qui en assurent la bonne gestion en termes d’horaires (affichés à l’entrée) et de maintenance du matériel.

Les ateliers : Atelier bijou · Atelier céramique · Atelier volume · Atelier édition/sérigraphie, lithographie, gravure, typographie · Atelier matériaux souples/textile/teinture · Atelier photographie – vidéo/son · Atelier infographie.

Les espaces d’expérimentation : Laboratoire CCE (Céramique Comme Expérience) · Apocope Phygital Cuir · Espace jardin.

réseaux

ANdEA, ELIA, Erasmus, Pôle européen de la céramique, Réseau Astre en Nouvelle-Aquitaine.
LE GRAND HUIT – Réseau des écoles supérieures d’art publiques de la Nouvelle-Aquitaine.

équipe administrative

Françoise Seince : Direction
Isabelle Caperan : Secrétaire générale
Delphine De Boisséson : Directrice des études et de la recherche
Viviane Raffier : Secrétariat pédagogique
Josiane Pradoux : Communication et programme ERASMUS
Catherine Catinus : Bibliothèque
Karine Archer : Résidences d’artistes
Josette Soury-Zat : Webmestre

professeurs

Nathanaël Abeille · Jonathan Bass · Patrice Blouin · Monika Brugger · Fabrice Caravaca · Vincent Carlier · Yves Chaudouët · François Coadou · Indiana Collet Barquero · Clorinde Coranotto · Fabrice Cotinat · Flavie Cournil · Jessie Derogy · Alain Doret · Corentin Ferbus · Nicolas Gautron · Delphine Gigoux-Martin · Clara Guislain · Jessica Lajard · Ludovic Mallegol · Emmanuel Martin Bourdanove · Pierre-Emmanuel Meunier · Michel Paysant · Ken Peat · Olivier Sidet · Terhi Tolvanen · Camille Vacher · Cécile Vignau · Anne Xiradakis

coordonnées

Campus Vanteaux
19 avenue Martin Luther-King, BP 73824
87038 | Limoges cedex 01
tél. +33 (0)5 55 43 14 00
fax +33 (0)5 55 43 14 01
contact@ensad-limoges.fr
www.ensad-limoges.fr

effectif

200 étudiants

Lorient

École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Lorient

présentation

L’école européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB) – Brest, Lorient, Quimper, Rennes rassemble près de 850 étudiants répartis sur 4 sites géographiques. Elle propose des formations à Bac + 3 et Bac + 5 (équivalence master) en art, design et communication.

Le projet du site de Lorient se construit autour de la notion de récit. Le récit contemporain est caractérisé par l’hybridation des genres, des moyens et des supports. Des genres car il emprunte aussi bien à l’histoire, au roman, à la philosophie, à l’essai, à la poésie, à la psychanalyse, aux sciences humaines, à l’enquête documentaire, au reportage. Des moyens car il utilise textes, images, sons, actions, chorégraphies, objets, environnements pour créer ce qu’il convient désormais d’appeler des expériences narratives. Hybridation des supports enfin, car le même récit se déploie sur différents écrans, sur l’architecture, sur le papier ou encore dans les airs.
L’option Art va accueillir des démarches plus personnelles, construites sur les questionnements individuels du créateur (qui, souvent, en rejoignant des questionnements collectifs, trouvent un public). En cohérence avec le projet pédagogique, l’option art accentue les pratiques contemporaines du dessin, les arts graphiques, la photographie et la vidéo dans un rapport constant aux espaces et aux lieux du récit. La pédagogie y est moins liée à la contrainte externe et vise à développer une autonomie durable dans la production de formes artistiques.
L’option Communication accueillera davantage les créateurs qui se situent comme des intermédiaires, qui mettent leur écriture personnelle au service de projets tiers. Elle est mise en œuvre à Lorient avec un appui particulier sur le design graphique et la création d’images fixes, actives, interactives. En tant qu’auteur, l’artiste s’expose. En tant qu’acteur-trice, il/elle s’investit dans les multiples champs de notre société : l’éducatif, le culturel, le social, l’événementiel, l’institutionnel… Les enseignants stimulent la capacité des étudiants à s’approprier un exercice contraignant (techniques, sujets, formats, commanditaires…), à y répondre en dépassant la commande initiale par une approche personnelle et pertinente.

A Lorient, le DNSEP option art se caractérise par 2 mentions :
– la mention « arts visuels pour le journalisme » est liée à un champ professionnel précis, comme l’indique son intitulé. Il s’agit de concevoir, expérimenter et réaliser les nouvelles formes de journalisme visuel, sonore, à l’heure de la fusion des médias sur les supports numériques.
– la mention « arts et récits » laisse le projet de l’étudiant prendre sa place dans l’ensemble des récits du monde, en lien avec le projet pédagogique du site.

A Lorient en 2021, un nouveau DNA est créé : le DNA option art mention animation-volume. Il s’adresse à toute personne désirant pratiquer les techniques de l’animation-volume. L’accent est mis sur la fabrication des personnages, marionnettes ; les techniques d’animation (ou stop-motion) à proprement parler ; la connaissance du milieu professionnel.

1/3
Atelier de recherche La vida loca, vidéo, son, installation, en partenariat avec le Théâtre de Lorient.
2/3
Workshop, option communication, EESAB Lorient.
3/3
Workshop wall painting avec Frédéric Malette, EESAB Lorient.

options

Art
Communication

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Communication
DNSEP  option Art mention arts visuels pour le journalisme
DNSEP  option Art mention récit
DNA  option Art mention animation-volume

vae

DNA option Art
DNA option Communication
DNA option Design
DNSEP option Art
DNSEP option Communication
DNSEP option Design

unités de recherche

Demain l’océan

L’EESAB, représentée par ses 4 sites sur l’ensemble du territoire breton, est en parfaite cohérence avec l’identité du territoire sur lequel elle se déploie. La Bretagne est une région fortement maritime, disposant d’un littoral de près de 2700 km de côtes. Ce territoire est un terrain de jeu propice pour mener des projets de recherche qui articulent démarche artistique et maritimité. « Demain l’Océan » poursuit les recherches précédemment engagées depuis la création de l’établissement autour de la notion de « Territoires extrêmes » (Géographies variables, A l’Ouest toutes…) en développant davantage les interrelations avec l’espace maritime.
www.eesab.fr/demain-l-ocean

programmes de recherche

L’expérience du récit

Le récit contemporain est caractérisé par l’hybridation des genres, des moyens et des supports. Des genres car il emprunte aussi bien à l’histoire, au roman, à la philosophie, à l’essai, à la poésie, à la psychanalyse, aux sciences humaines, à l’enquête documentaire, au reportage. Des moyens car il utilise textes, images, sons, actions, chorégraphies, objets, environnements pour créer ce qu’il convient désormais d’appeler des expériences narratives. Hybridation des supports enfin, car le même récit se déploie sur différents écrans, sur l’architecture, sur le papier ou encore dans les airs.
» Par-delà le langage, il existe de puissants espaces de sens, d’insoupçonnés espaces de visualité, de tonalité, de gestes, de mimique et de mouvement. Ils n’ont nul besoin d’amélioration ou de justification après-coup par la parole. C’est que le logo n’est justement pas que la prédication, la verbalisation et le langage. Son environnement est significativement plus vaste. Il importe de le cultiver.  »
Gottfried Boehm, « Par-delà le langage ? Remarques sur la logique des images », Trivium [En ligne], 1 | 2008, mis en ligne le 08 avril 2008, consulté le 01 août 2016. URL : http://trivium.revues.org/252
Depuis 2012, l’EESAB propose un séminaire intitulé « L’Expérience du récit ». Artistes, théoriciens, critiques d’art, commissaires d’exposition viennent y présenter leurs pratiques, perceptions, expérimentations autour de la notion de récit, qui fonde le projet d’établissement. Chaque épisode des journées d’études est suivi de la publication d’un ouvrage de différents contributeurs (artistes, théoriciens, enseignants ou étudiants en école d’art), ayant participé ou non aux journées d’études.

éditions

Catalogues d’exposition, actes de colloques ou séminaires.

revues

activités & événements

VOYAGES ET DÉPLACEMENTS
L’école organise régulièrement des déplacements ou voyages d’études pour les étudiants (Biennale de Venise par exemple). Tous les ans, au 1er semestre, un déplacement à Paris est proposé aux étudiants de 1re année, avec un programme de visites (musées, centres d’art, galeries,…)

SÉMINAIRES ET JOURNEES D’ETUDES
L’équipe pédagogique du site de Lorient propose des séminaires ou journées d’études, avec l’intervention d’invités extérieurs (artistes, enseignants, chercheurs de toutes disciplines) :
× Soit à l’occasion de projets communs menés avec d’autres sites de l’EESAB.
× Soit en lien avec le projet d’établissement du site de Lorient. Ainsi, tous les ans depuis 2012, les journées d’études « L’expérience du récit » sont l’occasion d’inviter théoriciens et plasticiens à partager leurs expérimentations ou analyses autour de cette notion de récit, fondatrices du projet pédagogique. Ces journées donnent lieu à une publication annuelle éponyme.

EXPOSITIONS
Dans les murs
La galerie de l’école accueille en moyenne 3 expositions par an. Artistes, collectifs ou galeristes proposent, en lien avec les enseignants, une sélection d’œuvres et se déplacent pour rencontrer les étudiants, animer une conférence ou un workshop en lien avec l’exposition. Cette programmation inclut les expositions liées aux biennales organisées dans l’agglomération de Lorient, les Rencontres photographiques et les Itinéraires graphiques co-fondés par l’école.
Hors les murs
L’école favorise les partenariats afin de permettre aux étudiants d’exposer le plus possible hors-les-murs : galerie du Faouëdic de la Ville de Lorient, médiathèques du Morbihan, galerie Pictura de Cesson-Sévigné (35), lieux de visite et de découverte de la Sellor.

activité post- ou périscolaire

une dizaine de cours et stages pour enfants et jeunes.
une trentaine de cours ou stages pour adultes (dessin/couleur, modèle vivant, volume/sculpture, peinture, photo, atelier de recherche, gravure, histoire des arts.)

coopération internationale

À travers le réseau Erasmus+, conventions d’échanges signées avec de nombreux pays européens.
Autres partenariats internationaux : Université d’Antioquia, Medellin, Colombie ; Province de Nha Trang, Vietnam.

galerie

Galerie de l’école

équipements spécifiques

Auditorium, bibliothèque.
Atelier bois, céramique, métal, modelage, moulage, terre, peinture, photographie prise de vue, photographie laboratoire, gravure, lithographie, sérigraphie, typographie, son, vidéographie, infographie, PAO, image 3D, presse numérique, plateaux de tournage de film d’animation-volume / stopmotion

réseaux

ANdEA, ELIA, Art contemporain en Bretagne.
Le site de Lorient développe des partenariats avec l’Université de Bretagne-Sud (56), l’atelier d’Estienne, centre d’art contemporain (56), le Domaine de Kerguehennec, centre d’art (56), la galerie « Le Lieu » à Lorient (galerie dédiée à la photographie), Hydrophone – scène de Musiques actuelles au Pays de Lorient, le Théâtre de Lorient, T.R.I.O…s, Théâtre du Blavet (56), le musée de la Compagnie des Indes (Ville de Lorient), le réseau des médiathèques de Lorient, la direction de la culture de la Ville de Lorient et la Galerie du Faouëdic, les archives municipales de Lorient, des associations et institutions engagées dans la vie culturelle locale, le conseil départemental du Morbihan (médiathèque départementale, archives départementales, etc).

équipe administrative

Danièle Yvergniaux Directrice générale de l’EESAB
Roland Decaudin Directeur du site de Lorient
Delphine Balligand Expositions et communication
Sandra Leray Secrétariat pédagogique
Claire Travers Bibliothèque
Mireille Pot Secrétariat de direction et comptabilité
Anne-Marie Métayer Accueil et secrétariat des cours publics
Agathe Lazko Responsable administrative
Maël Croquelois Responsable informatique et prêt de matériel
Alexis Beaudet Assistant technique en bâtiment, spécialité bois
Olivier Gouronc Atelier bois, atelier métal et maintenance
François Fravallo Entretien
Frédérique Dupont-Vanneder Accueil, gardiennage

professeurs

Nicolas Barrié
marie Belorgey
David Bideau
Marie Bouts
Daniel Challe
Astrid de la Chapelle
Armelle Corre
Jocelyn Cottencin
Christophe Desforges
Valérie Gallard
Cédric Guillermo
Hannah Huet
Laura La Cagnina
Odile Landry
Yannick Liron
Véfa Lucas
Julie Morel
Georges Peignard
Guy Prévost
Nathalie Prévost-Nikitine
Roman Seban

coordonnées

1 avenue de Kergroise
56100 | Lorient
tél. +33 (0)2 97 35 31 70
http://www.eesab.fr
contact.lorient@eesab.fr

effectif

160 étudiants

Lyon

École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon

présentation

L’Ensba Lyon est installée sur le site des Subsistances depuis 2007. En prise sur les formes et les enjeux actuels de la création, elle vise à faire émerger des talents singuliers et à produire les conditions d’une professionnalisation de haut niveau dans les champs de l’art, du design et de la création. L’École propose les options majeures qui structurent le champ des enseignements artistiques en France, avec plusieurs cursus en art et design.
Au-delà du deuxième cycle, l’école propose un post-diplôme international d’une année à destination de jeunes artistes et un troisième cycle de trois ans à destination de jeunes chercheurs et artistes-chercheurs, structuré autour de deux unités de recherche : ACTH, consacrée à l’articulation entre Art Contemporain et Temps de l’Histoire, et une unité numérique, dédiée aux enjeux esthétiques contemporains soulevés par les cultures numériques.
L’école développe un programme d’expositions dans le cadre du Réfectoire, galerie de l’Ensba Lyon, et une politique éditoriale orientée du côté de la recherche.

1/7
École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
2/7
Rez-de-chaussée
3/7
4/7
5/7
6/7
DatAData - École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
7/7
Marie-Luce Ruffieux, Proto-Histoire de l'Assistant. Avec Fabrice Mabime. Performance, Post-diplôme 2012-2013 - École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design d'espace
DNA  option Design mention design graphique
DNA  option Design mention design textile
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design d'espace

troisièmes cycles

3e cycle de l’Ensba Lyon

Le 3e cycle est structuré en trois Unités de recherche (UR) actuellement en activité :

Le 3e cycle se déroule sur 3 ans avec possibilité d’extension sur 1 ou 2 années, et est validé par l’obtention d’un diplôme recherche de 3e cycle délivré par l’Ensba Lyon. Les formes et les conditions de soutenance du diplôme sont spécifiques à chaque UR et à chaque projet : celle-ci peut prendre la forme d’une exposition, publication, édition, diffusion, événement, et est accompagnée d’un mémoire de recherche.
Chaque UR fonctionne avec un effectif de 5 artistes-chercheurs bénéficiaires d’une allocation annuelle de recherche. Chacun est administrativement inscrit en tant qu’étudiant à l’Ensba Lyon. Il peut être étudiant de 3ème cycle inscrit dans un autre établissement d’enseignement supérieur partenaire. A ceux-ci peuvent s’ajouter des artistes, plasticiens, théoriciens ou professionnels qui participent pour tout ou partie au programme en tant que « chercheurs associés ».
Un séminaire transversal commun aux 3 Unités de Recherche auxquelles est associé le Post-diplôme, constitue une part importante de la structuration de la recherche au sein du 3e cycle.

post-diplôme

Post-diplôme Art

Faisant partie des dispositifs d’accompagnement des artistes portés par l’Ensba Lyon depuis de nombreuses années, le Post-diplôme art consiste en une année de formation de haut niveau pour cinq artistes, de toute nationalité, aux parcours singuliers dans le domaine des arts visuels.

Le Post-diplôme art de l’Ensba Lyon offre à cinq artistes :

– Une bourse de 4800 € attribuée à chaque participant·e.

– Une résidence disponible dans un appartement collectif sur le site des Subsistances.

– L’accès à toutes les ressources de l’Ensba Lyon.

– Un accompagnement sur mesure.

Chaque session dure l’équivalent d’une année universitaire: d’octobre à juillet.

À Lyon, les participant·es bénéficient, pour réaliser leurs projets, de l’ensemble des ressources pédagogiques de l’école : enseignements, intervenant·es, bibliothèque/documentation, pôles techniques : édition, photo, images-mouvement, volume, ainsi que le labo nrv (numérique réalités virtualités).

Des contacts et relations privilégiés avec les différentes structures culturelles du territoire sont apportés.

Depuis sa création en 1999, le Post-diplôme art de l’Ensba Lyon soutient les artistes dans le champ professionnel de l’art contemporain. Vingt-deux promotions se sont succédé au sein de la résidence ; parmi eux, on peut citer Katinka Bock, Julien Creuzet, Latifa Echakhch, Benjamin Seror ou Thomas Teurlai…

D’abord piloté par Jean-Pierre Rehm (délégué général du FID Marseille) et Marie José Burki (artiste), puis par François Piron (commissaire d’exposition au Palais de Tokyo à Paris, critique d’art et éditeur), c’est désormais à Oulimata Gueye, commissaire d’exposition et critique d’art, qu’Estelle Pagès, directrice de l’Ensba Lyon, a souhaité en confier la direction à partir de la rentrée 2021-2022.

Statut
Le Post-diplôme de l’Ensba Lyon est un programme indépendant du système universitaire : ce n’est pas une formation diplômante. Une attestation de participation et d’assiduité est délivrée aux participant·es qui bénéficient du statut étudiant·es chercheurs·es. A ce titre, les 5 participant·es doivent s’acquitter de frais de scolarité à hauteur de 450 euros au moment de la confirmation de leur inscription.

Post-diplôme Recherche et Création Artistique

Un post-diplôme Recherche et Création Artistique d’une durée d’un an a été créé conjointement par l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Lyon (Ensba Lyon), le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (CNSMD) et l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT) en 2018.
En 2019-2020 la CinéFabrique (École Nationale Supérieure du Cinéma et Multimédia) rejoint le programme.

Pour qui ?

Ce programme s’adresse à des étudiants de l’Ensba Lyon, du CNSMD, de l’ENSATT et de la CinéFabrique, diplômés de leur établissement ou futurs diplômés (grade Master ou Licence selon le parcours).Prenant acte de la porosité croissante des champs de la création, ce programme est destiné à favoriser le croisement des disciplines artistiques enseignées dans les trois écoles : art et design, musique et danse, théâtre et arts de la scène, cinéma.

classe préparatoire

La classe préparatoire de l’Ensba Lyon

L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon dispense, en complément des cursus d’enseignement supérieur en art et design(s), les enseignements de la classe dite «préparatoire», une formation de base générale pour l’admission aux établissements d’enseignement artistique supérieur. Cette classe est intégrée au réseau national des classes préparatoires publiques au sein de l’association APPEA (Association des responsables des classes préparatoires publiques aux écoles d’art).
Théorique et pratique, l’enseignement comprend environ 35 heures de cours hebdomadaires, dispensés de septembre à mai.
Créée en 2006, la classe préparatoire de l’Ensba Lyon accueille 60 élèves. Ce développement répond à une nécessité de service public et une volonté d’engagement contre les discriminations sociales dans un contexte qui voit se généraliser le passage par la classe préparatoire en amont du concours d’entrée aux écoles supérieures d’art et se multiplier une offre privée à des tarifs ne permettant pas de garantir l’égalité des chances.Les élèves bénéficieront de 1200 m² de surface de travail en plein centre-ville, dans le quartier historique de Saint-Jean à Lyon classé Patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO.
+ d’informations

vae

DNA Art
DNA Design d’espace
DNA Design graphique
DNA Design Textile
DNSEP Art
DNSEP Design – mention espace

unités de recherche

ACTH Art contemporain et temps de l’histoire

Depuis janvier 2004, l’Ensba a mis en place un programme de recherche conduit par l’artiste Bernhard Rüdiger qui a pour titre « Art Contemporain et Temps de l’Histoire ».

Origine de la recherche – historique

L’Unité de recherche est née d’une étroite collaboration avec le Centre d’Histoire et Théorie des Arts de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris (CEHTA / EHESS) et le théoricien et historien de l’art Giovanni Careri.
Une première étape de la recherche autour de la question éthique d’une « image juste » du réel a été publiée sous leur direction chez Archibooks à Paris en 2008 : Face au réel : Éthique de la forme dans l’art contemporain. Ce livre rend compte des travaux conduits avec Pietro Montani, André Gunthert, Thomas Schütte, Luciano Fabro, Allan Sekula, Ernst van Alphen et Mieke Bal, en collaboration avec des jeunes chercheurs artistes issus de l’Ensba Lyon et des doctorants de l’EHESS.
L’unité de recherche a organisé en octobre 2008 le colloque Luciano Fabro : l’autonomie de l’artiste – espace nouveau ou dernier retranchement ? et a publié en mars 2010 le livre Luciano Fabro, Habiter l’autonomie / Inhabiting Autonomy, édité par l’Ensba Lyon sous la direction de Bernhard Rüdiger avec les contributions de Bruno Corà, Doris von Drathen, Luciano Fabro, Véronique Goudinoux, Giulio Paolini, Morad Montazami, Émilie Parendeau, Philippe Louis Rousseau, Margit Rowell, Benjamin Seror, Sarah Tritz.

Art contemporain et temps de l’histoire

Le colloque L’histoire mise en forme par le travail de l’art, qui s’est tenu à l’Ensba Lyon en 2009 a défini les axes de réflexion de la nouvelle unité de recherche qui a été constituée autour de la problématique des temporalités de l’histoire, il se propose d’étudier les relations entre certaines productions de l’art actuel et les « régimes d’historicité » qu’il mobilise. En novembre 2011, l’unité de recherche a réalisé une première expérience de mise en forme de ses réflexions avec l’exposition expérimentale Le temps suspendu. Avec des oeuvres des artistes de l’unité, ainsi que « Diorama » de Candice Breitz, « Lunch Break » de Sharon Lockhart, « Wavelength » de Michael Snow et une reproduction de la planche sur le 11 septembre de l’Atlas de Gerhard Richter, et un certain nombre de données, ou de liens, à l’aide de divers documents, visuels et textuels, organisés sous la forme de « tables de matière » ou plutôt de planches d’atlas comme celles qui ont été élaborées par Aby Warburg.Dans le cadre de cette unité de recherche, l’Ensba Lyon a par ailleurs accueilli les séminaires de Georges Didi-Huberman, Alfredo Pirri, Michael Fried, Luc Delahaye, Frédéric Moser et Philippe Schwinger, François Hartog et Ralph Ubl.

L’unité de recherche ACTH a organisé en juin 2011, en collaboration avec l’atelier Les usages publics du passé (EHESS), dirigé par l’historienne Sabina Loriga et la philosophe Isabelle Ullern, le colloque « La question du trauma dans l’interprétation du passé », avec la contribution des Fonds Ricoeur, à la Faculté Libre de Théologie Protestante de Paris.Les séminaires à l’EHESS de 2011 à 2014 ont été consacrés à l’élaboration théorique et au développement du dispositif de Atlas pour développer trois axes de recherche autour de la notion de « temps suspendu ». Une réflexion sur l’histoire et les stratégies artistiques autour du réalisme traumatique, l’opposition organique-machinique et la notion de temps hors de l’histoire, ou temps de l’histoire naturelle. C’est à partir de ces axes de travail que l’unité de recherche a organisé en décembre 2014 un colloque à l’Institut National d’Histoire de l’art à Paris, Le temps suspendu Art contemporain et temps « hors de l’histoire ». Cette rencontre a réuni artistes et théoriciens autour du rapport entre art contemporain et régimes de temporalité historique. Les invités ont contribué à questionner les formes d’art qui, par leurs propres moyens, élaborent la remise en question d’une conception progressive et linéaire du temps historique, aussi bien que du principe de causalité historiciste auquel se sont attachés les grands tournants de l’épistémologie de l’histoire au XXe siècle. Sont intervenus Fabien Giraud et Raphaël Siboni, artistes, Heiner Goebbels, compositeur et metteur en scène, Markus Klammer, Université de Bâle, Michael Snow, artiste, Ralph Ubl, Université de Bâle, directeur de Eikones Bildkritik, Marie Voignier, artiste, professeur et coordinatrice du pôle images-mouvement à l’Ensba Lyon, ainsi que les membres de l’Unité de recherche Luca Acquarelli, Bénédicte Duvernay, Jennifer Lauro Mariani, Thomas Léon, Angela Mengoni, Bernhard Rüdiger.
Le colloque s’est déroulé autour de la présentation d’oeuvres : « Schnittstelle » de Harun Farocki (1995), « La Mesure Minérale » de Fabien Giraud et Raphaël Siboni (2012), « A Journey That Wasn’t » de Pierre Huyghe (2005), « La Région Centrale » de Michael Snow (1971).

La collaboration entre l’Ensba et l’EHESS sous la direction de Bernhard Rüdiger et Giovanni Careri, s’est conclue avec l’édition publiée au mois de novembre 2016 Le temps suspendu, aux Presses Universitaires de Lyon (PUL). Ce livre accueille, organisées selon des tables en forme d’Atlas, outil visuel qui permet de dégager une discussion d’ordre théorique, les contributions de Luca Acquarelli, Yann Annicchiarico, Simon Bergala, Giovanni Careri, Bénédicte Duvernay, Jennifer Lauro-Mariani, Thomas Léon, Angela Mengoni, Morad Montazami, Philippe Louis Rousseau, Bernhard Rüdiger, Eric Louis Santner, Annabela Tournon et Ralph Ubl.
Après 2016 l’unité de recherche a entamé une nouvelle phase de travail fondé sur l’exposition de maquettes et la pratique de conversation. Les expositions Le temps découpé en son lieu qui se sont tenues au Palais de Tokyo à Paris dans le cadre de Vision et au Réfectoire des Nonnes au mois de décembre 2016 ont donné lieu à la publication du livre Découper le temps en son lieu sous forme de conversation orale retranscrite, publié en anglais et français fin 2019.

Post-Performance Future

De la relecture historique de la performance à son re-enactement puis sa dématérialisation
Ce programme de recherche se donne pour objectif de poser les jalons d’une nouvelle pensée, pratique, « inchoactive ». Il s’agit d’envisager ce que la « performativité » et sa critique fabriquent, ses formes et ses tensions. L’objet de la performance ? La performance en tant qu’objet. Qu’en est-il au premier quart du XXIe siècle ? « Le mythe de la co-présence, de l’être ensemble », résiste-t-il à la puissance de l’écran, au confort de la fascination passive ? Quel héritage de cette modernité à l’âge du capteur sensoriel, comment briser le 4e mur lorsque nous constatons que nous sommes l’écran nous-mêmes ? »
La critique n’a fait qu’interpréter la performance, il s’agit de la transformer, et de penser son devenir dans la « performativité » des choses comme l’exprime Jennifer Lacey.
À partir d’un constat sur l’émergence de pratiques issues des expériences du XXe siècle, d’un art du corps, de l’éphémère et de la « co-présence », à partir d’expositions clefs et de discussions avec des artistes tels Dora Garcia, Julien Bismuth, Jean-Pascal Flavien, Paul McCarthy, il s’agit, par le biais de figures et textes fondateurs, de mettre en perspective et prospective cette problématique.
Pour paraphraser Borgès, « Que vaudrait la théorie si elle ne servait aussi à inventer la pratique ? » Pris au sens d’un projet inachevé, celui de la modernité, la post-performance questionne l’âge du « post médium » en ce début de XXIe siècle, entre succession chronologique, postérité ou filiation historique, réemploi (de formes abstraites de leurs contenus) et rupture (comme changement de paradigme ou d’époque).
Apparue à la croisée de la philosophie analytique anglo-saxonne du langage et des champs de l’art et du spectacle, liée à des pratiques de langage, à des actions et à une rupture par rapport à un certain mode de représentation opérée au milieu des années 1950, la notion de performance est polysémique. Il s’agit de questionner ce nom, ce qu’il recouvre, et l’évolution de pratiques liées à son usage. Comment cet art de la performance évolue-t-il et comment évoluera-t-il dans les prochaines années, notamment avec les technologies numériques ? En quoi sommes- nous passés de sa dématérialisation à son « re- enactment » ? Que se joue-t-il ici ? Nous sommes amenés également à aborder les problématiques liées à la trace de la performance, comme l’archivage (oral et vivant), le document, le film, l’objet scénique ou encore la photographie numérique.
Par ailleurs, la question du public comme forme, de l’audience à la fois destinataire et partie prenante (public captif) permettra de questionner une société du spectacle à l’heure du « spectateur émancipé ».

À partir de 8 axes de réflexion, le séminaire de recherche alterne les cours théoriques et les exercices pratiques :
– Body Politic : les nouveaux genres de la performance.
– Objets scéniques : statuts des objets performatifs.
– Le public comme forme : audiomat et soap opéra : nouveaux scripts ?
– Documenter/recréer : le même mais un autre.
– On stage/on line: Hic sed Nunc ? – Anarchives : spéculer sur le reste.
– Cineperformance.
– Espace public, question du commun.

Une équipe de professeurs de l’Ensba Lyon

Marie de Brugerolle
Historienne de l’art, Marie de Brugerolle est commissaire internationale d’expositions et auteure. Depuis 1994, elle travaille au développement de l’histoire de la performance, des années 1960 jusqu’à sa dématérialisation ou absorption dans la société du spectacle au XXIe siècle : « post performance » qu’elle développe dans le cadre du programme de recherche : Post Performance Future qu’elle dirige.
Marie Canet
Docteure en Arts, mention esthétique. Elle est commissaire indépendante et programmatrice. Elle a collaboré notamment avec des institutions telles que le Centre Georges Pompidou, la South London Gallery et la Tate Modern de Londres . Elle est aussi critique et théoricienne du film.

UR numérique Art et Design

L’Unité de Recherche numérique Art et Design Ensba Lyon / ESAD Saint-Étienne accueille des étudiant.es-chercheurs en art et design dont les travaux sont en lien avec la question du numérique.

À l’Ensba Lyon, l’accent est mis sur les recherches en art. Reposant sur la mise en oeuvre de projets issus de ses participants, l’UR accueille des sujets de recherche d’une grande diversité dès l’instant où ils mettent en oeuvre un travail de fond sur une problématique en rapport avec le numérique.
L’UR ne s’interdit aucune hypothèse de travail et invite à aller « ailleurs qu’à l’endroit où » l’actualité numériques semble diriger les problématiques.
L’aspect technique, souvent important en numérique, n’est ni écarté, ni objet de focalisation. Prenant en compte des considérations formelles mais aussi symboliques et culturelles propres à la société numérique, les productions issues de l’UR numérique sont dans un rapport réflexif à la machine considérée comme outils, médium, support d’étude, etc. Un séminaire, programmé bimensuellement, et des rencontres hebdomadaires constituent le calendrier régulier de l’UR numérique. Les étudiant.es-chercheurs ont la possibilité de travailler quotidiennement au labo NRV. Des événements – expositions, conférences, workshops, formations techniques, voyages, etc. – sont organisés au long de l’année.

programmes de recherche

éditions

Éditions Ensba Lyon
Éditions Multiples

revues

revues

Cycle de conférences tous les mercredis.
Colloques et Journées d’études Recherche
Expositions au Réfectoire.
Expositions hors les murs : Jeune création internationale, en collaboration avec le macLYON et l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne, dans le cadre de la Biennale de Lyon.

activité post- ou périscolaire

coopération internationale

Avec près d’une cinquantaine d’établissements universitaires partenaires, l’Ensba Lyon a multiplié les partenariats institutionnels confortant l’établissement dans sa reconnaissance et son rayonnement internationaux, permettant ainsi à l’étudiant de parfaire sa formation dans le cadre d’un séjour d’étude semestriel ou annuel à l’étranger ou dans le cadre d’un stage prolongé auprès d’un des nombreux artistes et professionnels participant du réseau artistique de l’Ensba Lyon.
L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon encourage, dans le cadre de son cursus, les mobilités études et stages à l’étranger. Pour ce faire, elle s’inscrit dans différents programmes tant de la Communauté Européenne (Programme Erasmus+), de la Région Auvergne Rhône-Alpes que de différents organismes tels que l’Office Franco-Allemand pour la jeunesse (OFAJ) ou encore le programme d’échanges étudiants BCI (PÉÉ).

galerie

L’Ensba Lyon possède plusieurs espaces d’expositions :

Le Réfectoire des nonnes est la galerie d’exposition principale.
Lieu d’exposition, d’expérimentation, d’apprentissage et de transmission, le Réfectoire affirme sa situation particulière au sein d’une école d’art, en abordant, tant dans son fonctionnement que dans ses événements, certains aspects des modalités de travail et des enjeux à l’oeuvre dans une école d’art. Le Réfectoire est un lieu d’exercice à la fois artistique et curatorial.

L’espace rencontre s’adresse avant tout au public de l’école. Les étudiants (2e cycle Art) investissent régulièrement l’espace mural de grande dimension appelé « le Mur ».

La galerie d’essai est destinée à l’exposition de travaux d’étudiants.

équipements spécifiques

Éditions, numérique (labo NRV, équipement informatique et réseau, ateliers son, image vidéo…), photographie (laboratoire noir et blanc et couleur, argentique et numérique, plateaux de prise de vue, impression image…), volume (découpe laser, sculpture, bois, métal, fonderie, résine…), Common’s Lab.

réseaux

ANdEA, ADÉRA, AC//RA, APPÉA, Adèle-association des lieux de diffusion de l’art contemporain sur Lyon et sa région.

équipe administrative

Morgan Labar Directeur

Nathalie Pierron Directrice adjointe – études et recherche

Sébastien Bouvet Responsable Ressources humaines

Sophie Bellé Responsable du service communication – Relations extérieures, communication, suivi des alumni

Valérie Grondon Responsable du service études et de la scolarité 

Anabelle Pijot Chargée des mobilités étudiantes & des stages – service études et de la scolarité 

professeurs

ANDRADE TUDELA Armando – BALLANDRAS Fabienne – BARTO Eva  – BASTARD Pauline –  BÉGUÉRY Fanny  – BERRY Paul  – BIZZARRI Thomas – BOUTOUX Thomas – BYRNE Derek  – CATHALA Laurence – CARRETERO Julien  – CAUBET Jennifer – CHARROIN Amélie  – CHEVALIER Emmanuel  –  CÔME Tony – DE BRUGEROLLE – DEAU Françoise  – DELMAS Pierre – DES MOUTIS David  – DICQUEMARE Sonja – DURAND Philippe – FERRAT Emilie – FOUCHE Florian – FRESPECH Nicolas  – FROMENTY Carole – GAYRAUD Agnès – GRAND Gilles  – GUEYE Oulimata – JANOT Guillaume – KOSIAK Géraldine  – LARTIGAUD David-Olivier  – LERTXUNDI  DE PRADO Laida – LUCAS Laurent – MURPHY Kirsten – NOTTELLET Olivier  – OBERTHALER Nick – OLLAGNON Gaspard – PAGEARD Camille  – PAULHAN Camille – POULAIN Pascal  – RICHERT Camille – ROMAGNY Vincent  – ROMARIE Nicolas – RÜDIGER Bernhard  – STRATMANN Veit  –  VAN DE STEEG Niek – WELINSKI Patricia  – ZABAT Olivier

coordonnées

8 bis quai Saint-Vincent
69001 Lyon
tél. +33 (0)4 72 00 11 71
infos@ensba-lyon.fr
http://www.ensba-lyon.fr

effectif

350 étudiants

Marseille

Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM

présentation

Enseigner la création par la création

L’école des Beaux-Arts de Marseille est un établissement d’enseignement supérieur relevant du ministère de la Culture et soutenu par la Ville de Marseille. L’École délivre des diplômes donnant grades de licence et de Master 2.

Créée par les artistes marseillais en 1752, elle est installée depuis 1969 sur le campus de Luminy dans un ensemble architectural labellisé « Architecture contemporaine remarquable ».
Elle forme des artistes, des designer·euse·s et des créateur·trice·s dans le champ des arts plastiques et visuels.

Membre du réseau L’école(s) du Sud, qui rassemble les écoles supérieures d’art et de design de la Région, l’École a rejoint la conférence régionale des grandes écoles de PACA (CRGE-PACA), fin 2018, et a intégré le programme Égalité des Chances en École d’art et de design, initié par la Fondation Culture & Diversité.

Afin de proposer des formes et des contenus d’enseignement s’adaptant à l’évolution de la création, et forte de ses 5O écoles partenaires dans le monde et de son programme de professionnalisation, l’École s’est dotée de nouveaux outils : une plateforme numérique de haute technologie et des espaces dédiés à la fabrication (impressions, éditions, atelier de fabrication 3D), tout en renforçant ses bases techniques (Bois, métal, sérigraphie, gravure, terre, verre, moulage, peinture, maquette, design, cinéma, photographie, son..) afin d’ offrir à ses étudiant·e·s toute la palette des outils de la création contemporaine.

Depuis mars 2020, Les Beaux-Arts de Marseille et le Conservatoire Pierre Barbizet  sont deux établissements membres de l’Institut national supérieur d’enseignement artistique Marseille Méditerranée (INSEAMM).

Sa classe préparatoire publique aux concours d’entrée des établissements supérieurs d’enseignements artistiques, est membre de l’APPEA (association nationale des prépas publiques aux écoles supérieures d’art).
L’Institut de formation artistique Marseille-Méditerranée regroupe les ateliers publics et les stages de vacances (pratique amateur·e), et le Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI).

Quelques artistes, designer·euse·s issu·e·s de l’École : Mathieu K. Abonnenc (artiste plasticien), Marc Aurel (designer), Richard Baquié (artiste plasticien), Gilles Barbier (artiste plasticien), Cécile Beau (artiste, sculptrice, vidéaste), Louidgi Beltrame (photographe, vidéaste), Amélie Bertrand (artiste plasticienne), Michel Blazy (artiste plasticien), Fouad Bouchoucha (artiste plasticien), César (artiste, sculpteur), Sylvain Couzinet-Jacques (photographe), Olivier Dahan (cinéaste), Amélie Derlon (vidéaste), Samuel Gratacap (photographe), Valérie Jouve (photographe), Anita Molinero (artiste plasticienne), Mountaincutters (artistes plasticiens), Yazid Oulab (artiste plasticien), Marine Peyre (designeuse), Flavie Pinatel (réalisatrice, cheffe opératrice, plasticienne), Gérard Traquandi (artiste plasticien), Flore Saunois (artiste plasticienne), Delphine Wibaux (artiste plasticienne), Mountaincutters (artistes plasticiens), Auguste Carli (Prix de Rome) sculpteur, Adolphe Monticelli (peintre)

Programme Pisourd
Désignés en 2005 « site pilote » par le ministère de la Culture, les Beaux-Arts de Marseille mettent en application des modalités particulières d’accompagnement et d’accueil d’étudiant·e·s sourd·e·s et malentendant·e·s.

SAVE THE DATES

ADMISSIONS 2024-2025

Frais de concours : 37€ uniquement pour les candidat·e·s non boursier·ère·s

 

Concours d’entrée année 1 : 

Le concours est entièrement organisé à distance

  • Du 17 janvier au 03 avril 2024 inclus :  inscription, formulation et confirmation des vœux selon les modalités ParcourSup
  •  Entre le 16 et le 28 avril 2024 : épreuves écrites et dossier artistique
  • Du 14 au 16 mai 2024 : entretien de sélection (en distanciel)

 

Admission en cours de cursus (hors Parcoursup) : 

  • 1er mars 2024 : date limite d’inscription et dépôt du dossier administratif
  • Entre le 2 ou 3 avril 2024 : Entretien en distanciel

 

Admission en classe préparatoire (hors Parcoursup) : 

  • Du 17 janvier au 12 avril 2024 (inclus) : dates d’inscription
  • 17 mai 2024 : présélection
  • Lundi 27 ou mardi 28 ou mercredi 29 ou jeudi 30 mai 2024 : entretien en présentiel pour les candidat·e·s présélectionné·e·s

 

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JPO 2024

Samedi 03 février 2024 : Journée Portes Ouvertes de l’école des Beaux-Arts de Marseille (programme à venir)

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1/3
Programme SonArt © Rolf Julius, « music for the eyes », Photo Frac Limousin - École supérieure d'art et de design de Marseille-Méditerranée
2/3
© Maria ZITAKI Vide Blanc - École supérieure d'art et de design de Marseille-Méditerranée
3/3
Classe préparatoire © cecile Braneyre /ESADMM - École supérieure d'art et de design de Marseille-Méditerranée

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design
Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI) 

équipements spécifiques

Programme Pisourd
Désignés en 2005 « site pilote » par le ministère de la Culture, les Beaux-Arts de Marseille mettent en application des modalités particulières d’accompagnement et d’accueil d’étudiant·e·s sourd·e·s et malentendant·e·s.

Le programme comprend des actions pédagogiques rassemblées dans PiLAB CRÉATION, et des dispositifs spécifiques permettant l’accès des étudiant·e·s sourd·e·s aux études d’art et de design. L’objectif général est de construire des pistes de réflexions artistiques, linguistiques et sociales, conditions véritables d’une mixité culturelle sourde et entendante.

L’École met en place un accueil téléphonique (standard : 04 91 82 83 10) pour les personnes sourdes et malentendantes.
Plus d’informations sur ce dispositif

Coordinatrice du programme Pisourd
Franca Trovato

Documentaliste pédagogique
Christine Mahdessian

PARTENARIATS
MUSÉE D’ART CONTEMPORAIN DU VAL-DE-MARNE

classe préparatoire

La Classe Préparatoire des Beaux-Arts de Marseille

Classe préparatoire publique aux concours d’entrée des établissements supérieurs d’enseignement artistique.

L’école des Beaux-Arts de Marseille a ouvert à la rentrée 2013 une classe préparatoire aux concours d’entrée des écoles supérieures d’art. Cette formation se démarque par la qualité de ses partenariats et la transdisciplinarité des enseignements. Elle permet aux étudiant·e·s souhaitant avoir une initiation artistique préalable, de pouvoir acquérir des compétences tant pratiques que techniques. Elle permet aussi aux jeunes intégrant cette formation, de choisir l’orientation la plus appropriée à leurs aptitudes et à leur souhait professionnel. L’École est membre de l’APPEA qui regroupe toutes les classes préparatoires publiques aux écoles supérieures d’art, en France. Plus d’informations sur la page des Beaux-Arts de Marseille de l’APPEA

La classe préparatoire d’une durée d’un an, à plein temps, est ouverte aux étudiant·e·s titulaires d’un baccalauréat, et âgé·e·s de 17 à 23 ans (sauf dérogation). Elle accueille une vingtaine d’étudiant·e·s et dispense 35 heures de cours hebdomadaires de septembre à mai. La sélection s’effectue par un entretien avec un jury, et par la présentation d’un dossier artistique personnel.

L’enseignement, en 35 heures hebdomadaires de septembre à mai, couvre un large spectre de domaines artistiques : histoire de l’art, photographie, art numérique, vidéo, son, pratique des mots et des arts, pratiques transdisciplinaires (dessin, volume, outils informatiques), notions d’esthétique, anglais, mais aussi visites d’expositions et rencontres. Ce programme permet l’acquisition de compétences pratiques et techniques, mais aussi de méthodologies de travail. Il nourrit le sens critique et la mise en perspective culturelle, au regard de l’histoire des arts et plus globalement des idées.

La qualité et la diversité des enseignements prodigués ainsi que le suivi individualisé des étudiant·e·s permet un pourcentage de réussite remarquable assurant la poursuite des études dans des écoles supérieures d’art et de design. Attentif·ve·s à l’épanouissement artistique personnel, les enseignant·e·s accompagnent chaque étudiant·e dans ses projets de concours et l’orientent vers les cursus les plus appropriés à son profil. Trois bilans donnent l’occasion de confronter l’étudiant·e aux conditions de concours.

formation continue

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

Le CFPI est un diplôme d’établissement délivré par les Beaux-Arts de Marseille à l’issue d’un cursus d’une année.

Cette formation théorique et pratique, permet d’élaborer des projets artistiques partagés avec des enfants, des adolescent·e·s ou des adultes dans des contextes variés : milieu scolaire, hospitalier, carcéral, entreprises, Ateliers des Beaux-Arts de Marseille, commandes participatives, etc.

Cette formation est assurée par des artistes enseignant·e·s ayant une pratique confirmée de plasticien·ne·s intervenant·e·s avec des groupes d’enfants, d’adolescent·e·s et d’adultes, y compris dans des milieux spécifiques (hospitalier, carcéral, handicap, champ social, etc.).

Des rencontres avec des partenaires associatifs et institutionnels, des milieux culturels, sociaux et médico-psychologiques, jalonnent le parcours de la formation en construisant des repères indispensables aux bonnes pratiques du·de la plasticien·ne intervenant·e.

Un stage de 35 heures dans une structure au choix du·de la stagiaire complète les nombreux temps d’observation et de mise en situation.

Pour qui ?

Le CFPI est ouvert aux artistes plasticien·ne·s et designeur·euse·s, jeunes diplômé·e·s ou confirmé·e·s, titulaires d’un DNA (Diplôme National d’Art – ou précédemment DNAP ou DNAT) ou d’un DNSEP (Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique).

Dérogation possible pour les non titulaires des diplômes requis sur évaluation d’une pratique artistique professionnelle inscrite dans la durée.

Organisation de la formation
300 heures de formation

9 semaines/10 mois

comprenant un stage de 35 heures

 

Les semaines de formation pour la session 2022 sont les suivantes :

·         17 au 21 janvier 2022

·         21 au 25 février 2022

·         21 au 25 mars 2022

·         04 au 08 avril 2022

·         02 au 06 mai 2022

·         06 au 10 juin 2022

·         19 au 23 septembre 2022

·         10 au 14 octobre 2022

 

Contenus de la formation

La formation est articulée autour de 4 modules liés à des compétences et connaissances spécifiques.

Module Penser
Des cours théoriques permettent aux artistes d’acquérir des outils pour proposer des projets d’interventions adaptés aux publics de tous les horizons. Les enseignements portent sur la conception d’un projet artistique participatif, ses modalités d’intervention jusqu’à la formulation et la présentation du projet. Ce parcours est nourri de réflexions sur l’art et la société et de témoignages d’artistes intervenant auprès de publics variés.

Module Cartographier
Des rencontres, échanges et visites avec un ensemble de commanditaires d’interventions offrent un panorama du territoire de l’artiste intervenant·e. En définissant tout d’abord le périmètre réglementaire, l’artiste rencontre ensuite des structures culturelles, socioculturelles, médico-sociales, sociales tant du secteur public que du privé afin d’identifier un réseau de partenaires potentiels et les enjeux de leurs actions.

Module Expérimenter
Fondé sur l’observation et l’expérience sur le terrain, ce module propose diverses mises en situation encadrées au sein des Ateliers publics des Beaux-Arts de Marseille comme de structures partenaires. La variété des structures permet aux stagiaires de confronter leurs projets à des publics très différents. Ce module comprend également un stage de 35 heures avec une structure choisie par le·la stagiaire.

Module Valoriser
Les artistes en formation sont accompagné·e·s dans la constitution de leurs projets artistiques participatifs qui feront l’objet d’une exposition collective en fin de formation, offrant une rencontre avec les publics et les professionnel·le·s.

Une édition sur les pratiques artistiques et les projets participatifs des stagiaires clôt le parcours de formation. Elle constitue un support de communication et un outil de valorisation diffusable auprès de commanditaires potentiels

Évaluation et obtention du certificat
Pour obtenir le certificat, le·la stagiaire est évalué·e de la manière suivante :

Contrôle continu,
Évaluation des mises en situation,
Évaluation du rapport de stage et du document de synthèse,
Élaboration d’un projet artistique participatif présenté devant un jury.
Le CFPI est un diplôme d’établissement qui ne donne pas grade universitaire.

 

Pour tout renseignement
cfpi@inseamm.fr

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

programmes de recherche

Espaces sans qualités – Design, espaces urbains & technologies numériques

Les technologies numériques, dont le développement a amplifié et accéléré les mutations urbaines entamées à la fin du XIXe siècle, infiltrent aujourd’hui les espaces urbains, en modifient le paysage aussi bien que leurs usages et modes de gouvernance. Les données qui transitent par les réseaux de communication GSM, les réseaux WiFi, les infrastructures de transport et d’information des usagers, les dispositifs de surveillance ou les équipements RFID s’agrègent au milieu urbain et produisent et distribuent en permanence des espaces dont la nature se modifie sous le régime de l’hybridation entre espace physique (espace matériel, espace bâti) et « espace numérique », où la connectivité permanente, les systèmes de géolocalisation, l’informatique ubiquitaire et mobile modifient en profondeur les modes d’être urbains à l’échelle individuelle et collective.
La question qui préoccupe le design au sein de cette problématique est de savoir comment qualifier ces mises en tension permanentes qui caractérisent cette ville contemporaine (global / local, privé / public, anonymat / surveillance, individu / collectif, intérieur / extérieur, espaces bâtis / espaces des flux,…), comment s’orienter dans un environnement aux frontières poreuses, dans des lieux complexes, multiples et fragmentés, comment matérialiser l’effectivité d’une interrelation entre les corps, les lieux et les réseaux de communication numérique, bref comment donner forme et sens à ce que nous proposons d’appeler, en écho à la figure de L’Homme sans qualités de Robert Musil, des « espaces sans qualités ».
www.espacessansqualites.net
Depuis janvier 2013, l’école des Beaux-Arts de Marseille accueille dans ses murs son premier chercheur, Adelin Schweitzer, dans le cadre du programme de recherche Espaces sans qualités / Design, espaces urbains et technologies numériques.

La parole ancrée

À l’ère de la mondialisation des flux immatériels du capital, l’art peut réinventer de nouvelles formes de matérialisation de ces échanges et circulations du sens. Il peut ainsi introduire des zones de rupture, de friction et d’opacité et faire apparaître les difficultés inhérentes à la pratique de la traduction et du partage du commun.
La Parole ancrée a pris comme point de départ la Langue des Signes qui est une incorporation littérale de la parole et soulève d’emblée des difficultés de traduction. Ce projet de recherche s’intéresse aux passages d’une langue à l’autre, d’un support à l’autre, aux formes de pensée ou d’écriture ancrées dans le temps et l’espace particuliers de celui qui parle et de celui qui écoute.
Dans la continuité des forums 2014 Espaces partagés, espaces de traduction et de l’ARC PiLAB Création avec Pascale Houbin (2011-12), Imogen Stidworthy (2012-13) et Valérie Mréjen (2013-14), La Parole Ancrée propose cette année une réflexion autour des relations entre langage, corps, technique et matérialité. Ces questions seront abordées, d’une part, dans un nouveau cycle de forums, intitulé Le Geste et la parole : art, outil, corps, au cours duquel artistes et théoriciens s’interrogeront sur les manières dont l’outil peut fonctionner comme une extension du corps et une image de pensée. D’autre part, dans un ARC sur les Écritures matérielles, où nous explorerons
différentes façons d’enregistrer et de transcrire des forces et mouvements intangibles – du dessin à la cartographie, du design graphique aux enregistrements audio-visuels.
COORDINATION DE LA RECHERCHE : Vanessa Brito et Anna Dezeuze

Le Bureau des positions

Le Bureau des positions, c’est :

  • une plateforme de recherche et d’expérimentation où l’on met à l’épreuve ses positions comme on teste des hypothèses. On s’engage à y faire l’expérience de prendre position et de tenir une position, autant sur le plan physique (occuper un espace, maintenir une posture ou un projet sur la durée) que sur le plan de l’engagement artistique et politique. À quels moments ces deux plans peuvent-ils se recouper ? Comment une position se construit-elle ? À travers quelles dis-positions méthodologiques, quelles opérations de traduction et de trans-position, quelles conceptions de la restitution et de l’ex-position ?
  • un temps et un lieu pour se poser, pour faire une pause, ou, comme le suggère Robert Barry dans son Marcuse-Piece de 1970-71 : A place to which we can come and for a while be ‘free to think about what we are going to do’.
  • un espace d’échanges transdisciplinaires : une cartographie en mouvement qui met en question les frontières instituées par le frottement permanent à d’autres champs, d’autres pratiques, d’autres positions.
  • une forme de communauté à inventer ensemble : le Bureau des positions cherche à construire des situations dans lesquelles enseignants et étudiants se retrouvent tous en position de chercheurs. Ces expérimentations et échanges transdisciplinaires tentent de réinventer de nouvelles formes de collaboration et de travail collectif.

PROGRAMME 2017-2018La position du chercheurRencontres indisciplinées : arts et sciences sociales
Ouvert à tous les étudiants 8-9-10 novembre 2017 Centre de la Vieille Charité (salle Le Miroir), MuCEM (auditorium).
Le positionnement éthique ou politique d’un chercheur se construit à travers ses méthodes de travail. En sciences humaines et sociales, ces méthodes sont autant de manières de faire au sein du discours. Elles mobilisent un ensemble de gestes et d’opérations qui concernent aussi la recherche artistique. C’est sur ces gestes partagés que nous souhaitons amener le dialogue entre recherches scientifiques et pratiques artistiques. Nous partons de la part commune de matérialité du travail de recherche – la confrontation avec les matériaux, les archives et les témoignages – pour susciter un dialogue autour des gestes de la collecte, des méthodes d’enquête, des formes d’écriture et d’exposition. Admettre que celles-ci ne traduisent pas seulement des résultats, mais constituent en soi des chantiers théoriques et artistiques, c’est ouvrir un espace d’échanges entre arts et sciences sociales. Notre démarche consiste davantage à décloisonner les discours qu’à interroger la spécificité de nos recherches respectives. L’enjeu est de penser la recherche en dehors des frontières disciplinaires afin de constituer un laboratoire de réflexivité et d’innovation offrant aux uns et aux autres la possibilité de déplacer son regard sur ses objets et ses pratiques.

Partitions – Passations – Partages

« Une partition n’est pas une oeuvre mais sa définition. Elle invente des systèmes de notation, des formes de dictionnaire. La partition est la partie invariable d’une oeuvre. Elle ouvre sur les variations de son interprétation. Une oeuvre à partition a besoin de l’intervention et des compétences des autres, elle n’existe que dans sa transmission, c’est une trace laissée en avant. Une partition est une oeuvre qui se déclare dépendante de sa réalisation par d’autres, un objet en 2 dimensions qui se déclare dépendant de la 3e, un système de signes qui change de médium lors de son interprétation, une écriture qui change de lieu lors de sa lecture. Les oeuvres à partition ont la passion du réel mais comme les héros de l’amour courtois elles l’étreignent de loin. Une partition se reproduit à l’infini avant d’être finie, elle est pré-pubère et néoténique », écrit Fabrice Reymond, intervenant associé à ce projet en 2016 et 2017.
Le projet partition/passation interroge la notion de partition, d’écriture et de transcription d’une oeuvre à un acteur extérieur (ou pas). Nous analyserons les différents statuts de ces partitions selon les disciplines et les projets, qu’il s’agisse d’art (avec bien sur l’art conceptuel et ses descendants) ou de design avec le retour massif du « do it yourself » ou encore d’architecture de papier et aujourd’hui le phénomène des fablab et autres communautés open source. Cette question de la partition se déplace et ré-interroge aujourd’hui (comme hier) autant la question du statut de l’auteur que celui de l’oeuvre.
La partition peut être dans certains cas l’oeuvre elle-même, elle peut être un ensemble de directives afin de réaliser ou jouer une oeuvre. Elle peut aussi être l’amorce d’une oeuvre à prolonger et à enrichir en « open source », etc. La partition sera donc envisagée dans ce projet de façon très large, « flirtant » parfois avec le mode d’emploi ou la règle du jeu. Elle comprendra évidemment les oeuvres conceptuelles, mais aussi tel comédien qui rejoue les séminaires de Deleuze ou Lacan ou encore cette tablette Babylonienne qui contient les plans de l’arche de Noé !
Ce projet est mené par Christophe Berdaguer, et Jean-Baptiste Sauvage, professeurs aux Beaux-Arts de Marseille, avec la complicité et la participation de Fabrice Reymond.

POLIS-sensorielle – La ville sensible, ou la question de l’interface entre corps humain et corps urbain

POLIS sensorielle est un programme de recherche qui étudie la place de l’humain dans l’urbain, et s’intéresse, plus précisément et de manière prospective, à la question de l’interfaçage entre le corps et la ville. L’objectif est d’étudier et de favoriser l’émergence de dispositifs technologiques, d’objets et d’aménagements dans l’espace public, pouvant contribuer à la fluidité, la convivialité et un meilleur « vivre ensemble » dans l’espace urbain. Ces outils émergents doivent pouvoir être maîtrisés par l’homme et lui permettre de façonner le monde au gré de son intention, de son imagination et de sa créativité. Pour ce faire, le programme s’appuie sur des échanges et des collaborations multidisciplinaires, en croisant les différents points de vue des principaux acteurs, impliqués dans l’élaboration des villes de demain.
En 2050, 75% de la population mondiale vivra en ville. L’enjeu des grandes mégalopoles qui abriteront la majeure partie des individus, résidera dans leur capacité à associer harmonieusement l’ensemble des dimensions sensorielles, numériques, informationnelles, énergétiques, sociales, environnementales et politiques.
Qu’ils soient scientifiques, ingénieurs, designers, artistes ou architectes, il y a là, pour les créateurs de tous horizons, un défi considérable à relever : celui d’anticiper les besoins et les usages du futur, et d’assurer une transition douce et raisonnée, vers des villes plus intelligentes et respectueuses des personnes.
Cette mission cruciale, consiste entre autres choses à prévoir et à imaginer dès maintenant, les besoins et les usages des citadins de demain, et à proposer des interfaces innovantes, assurant une interconnexion et une interactivité optimale, entre les habitants, et entre la ville et ses habitants. Car c’est bien cette relation à l’espace urbain, cette création du lieu par sa pratique qui relie concrètement l’usager à la ville.
Pour analyser toute la complexité de ce lien, à la fois physique, sensoriel, affectif, imaginaire, esthétique et symbolique, le programme POLIS sensorielle bénéficie de la vision et des compétences de professionnels de l’espace public, d’artistes, et d’enseignants chercheurs issus des sciences humaines, des sciences exactes et des sciences de la conception.

COORDINATEURS DU PROJET
Fabrice Pincin, enseignant aux Beaux-Arts de Marseille
France Cadet, enseignante à l’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

Sonart – Pour un corpus numérisé & indexé des expérimentations et productions artistiques sonores

Un nouveau « catalogue d’exposition » : proposition de plate-forme numérique pour l’indexation et la diffusion des œuvres d’arts plastiques sonores.
Alors que le domaine des arts sonores est en pleine expansion, son inventaire et son approche historique n’en sont qu’à leurs débuts, tout autant que sa théorisation. Sonart propose d’y ajouter une importante contribution, en constituant une base documentaire qui portera sur les pratiques artistiques et expérimentales depuis le début du XXe siècle jusqu’aux œuvres les plus actuelles. Cette base sera créée à partir de systèmes et d’outils spécifiques d’indexation.
La place des Beaux-Arts de Marseille dans ce partenariat est de produire plusieurs expositions, à partir des œuvres liées au domaine de recherche et réfléchir à leurs étendues, en puisant dans les collections publiques françaises. (FRAC, FNAC et autres). En orientant à chaque fois l’exposition selon une thématique, un genre, une question spécifique… Il s’agit à travers la mise en exposition, de venir compléter la recherche en s’appuyant depuis la réalité des œuvres retenues. Ce projet de recherche est le fruit d’une collaboration universitaire/écoles d’art, croisant les expertises et les champs de connaissance.
Partenariats avec : LESA : Laboratoire d’étude en sciences des arts. Aix-Marseille Université, LSIS : Laboratoire des sciences de l’information et des systèmes. Aix-Marseille Université, BAUHAUS UNIVERSITÄT : Experimentelles Radio Bauhaus Universität Weimar Fakultät.

éditions

L’école des Beaux-Arts de Marseille édite des publications en rapport avec certains projets pédagogiques et artistiques, aux activités d’expression et de recherche menées dans l’école. Les diplômes de fin d’étude (DNSEP art et design) font chaque année l’objet d’un catalogue. L’École édite également l’ensemble de ses livrets pédagogiques.
Elle dispose dans ses murs d’un pôle édition (bases techniques Édition/pré-presse/archives, Sérigraphie, Lithographie/offset/gravure, Infographie) qui permet aux étudiant·e·s de se former, d’expérimenter et de réaliser de multiples ouvrages aux natures très diversifiées, depuis la création de livres d’artistes jusqu’aux mémoires d’études.

Ces dernières années, l’école des Beaux-Arts de Marseille a édité des revues de dessins notamment « Muet » (1 et 2) ou encore « Table de treize » sous la direction de Frédérique Loutz. Ces livres ont été présenté au #MAD du Salon de Montrouge.

 

activité post- ou périscolaire

Bienvenue aux Ateliers publics des Beaux-Arts de Marseille
Les Ateliers publics en arts plastiques des Beaux-Arts de Marseille proposent une double approche : des séances de pratique (cours de modèles vivant·e·s, fondamentaux de la peinture, vidéo, photographie, image numérique, volume, etc.) ; histoire de l’art et ouverture artistique et culturelle.

Ils permettent ainsi à chacune et à chacun, quel que soit son âge et son niveau, d’inscrire sa démarche créative dans l’art d’aujourd’hui dans toute sa diversité.

L’inscription aux Ateliers publics donne un accès gratuit à la bibliothèque des Beaux-Arts et aux conférences organisées par les Beaux-arts à Luminy ou dans des lieux partenaires comme le Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur ou le Mucem.

Ces ateliers de pratique amateure pour les enfants, les adolescent·e·s, les adultes et des publics spécifiques sont organisés en journée ou en soirée dans différents quartiers de Marseille.

ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE
Coordinateur des ateliers publics :
Pierre Architta
Enseignant·e·s :
Pierre-Louis Albert
Pierre Architta
Luisa Ardila Camacho
Agathe Bastide
Bernard Briançon
Pierre Chanoine
Jérémie Delhome
Delphine Mogarra
Nicolas Nicolini
Karine Santi Weil
Les Ateliers publics sont membres du réseau de l’ANÉAT — Association Nationale des Écoles d’Art Territoriales de pratiques amateurs. Créée en 2015, elle donne au plan national un cadre aux échanges entre les écoles. Elle est l’interlocutrice des associations professionnelles, des collectivités et de l’État. Elle regroupe collectivités territoriales et établissements publics qui délèguent leur représentation aux responsables de leurs écoles. L’ANÉAT s’organise à partir de groupes de travail, de chantiers. Plus d’informations sur l’ANÉAT

Consulter le programme : Programme des Ateliers publics 2021/2022 – Session 1

coopération internationale

Échanges internationaux

L’école des Beaux-Arts de Marseille s’attache à développer une politique internationale ambitieuse. Celle-ci s’appuie bien sûr sur le réseau d’échanges d’étudiant·e·s et d’enseignant·e·s de premier ordre de l’établissement dans le cadre du programme Erasmus +. La qualité générale de mise en œuvre, l’impact et la diffusion du projet européen de l’École a reçu le Label Bonne pratique de la Commission européenne. Les partenariats de l’École s’ouvrent au monde, à l’image des relations initiées de longue date avec l’École des Beaux-Arts d’Abidjan ou avec l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan. Les Beaux-Arts de Marseille jouent aussi un rôle proactif dans le réseau Miramar, un réseau méditerranéen d’acteurs académiques, artistiques et culturels qui vise à soutenir le développement professionnel des jeunes artistes et travailleur⸱euse⸱s de l’art, et à créer des opportunités d’échanges culturels basés sur la solidarité, la réciprocité et l’hospitalité.

Les étudiant·e·s d’année 2 en option art et d’année 4 sont incité·e·s à faire un séjour d’études dans l’une des 50 universités ou écoles d’art et de design partenaires des Beaux-Arts de Marseille dans le monde. Des aides financières spécifiques (bourse de l’école, bourse Erasmus+, Aide de la Région Sud…) sont proposées. La durée des séjours d’études est de 3 mois minimum à 1 semestre maximum. Les étudiant·e·s peuvent également opter pour un stage dans une structure de leur choix à l’étranger. La durée est de 2 mois minimum et de 1 semestre maximum. L’étudiant·e est accompagné·e individuellement avant, pendant et après son expérience de mobilité par le service des relations internationales de l’École.

Responsable de la stratégie internationale/Head of International Strategy  
Anaïs Déléage | 04 91 82 83 48 | anais.deleage@beauxartsdemarseille.fr

galerie

LES GALERIES DE LUMINY
Sur le site de l’établissement, deux espaces d’expositions expérimentaux sont à disposition d’artistes invité·e·s, des projets des étudiant·e·s et des professeur·e·s, ou encore de rendus publics des travaux à la fin des workshops.

équipements spécifiques

Ateliers et ressources techniques
La pédagogie des Beaux-Arts de Marseille est fondée sur l’engagement personnel et l’autonomie de l’étudiant·e. Elle s’articule, dès le premier cycle, sur l’accompagnement du projet artistique individuel. Les étudiant·e·s sont donc encouragé·e·s, dès leur première année, à mobiliser les nombreuses ressources techniques, technologiques, humaines et artistiques à leur disposition dans l’école.

La large accessibilité de l’École – le soir, et le week-end – constitue un atout pour les étudiant·e·s comme pour les professeur·e·s qui peuvent ainsi organiser des activités complémentaires aux enseignements (concerts, conférences, « nocturnes »).

Parmi les ressources de l’École, figurent les ateliers techniques, la régie technique, la bibliothèque, les espaces d’exposition et la plateforme numérique LoAD.

 

Découvrir le wiki des Beaux-Arts de Marseille

Un Wiki, c’est un site participatif où chacun·e peut éditer des pages pour contribuer avec différents contenus et ressources.
Il permet de documenter de nombreux savoir-faire des ateliers et bases techniques de l’École (bois, terre, métal, photo, édition, vidéo, son, numérique…).

Il permet aussi aux étudiant·e·s de documenter leurs projets, d’archiver des idées, formules, codes et autres recettes et de les partager. Cette plateforme offre ainsi un cadre de documentation et d’échange de diverses ressources.

réseaux

Acteur·trice·s artistiques (et design)
L’École des Beaux-Arts est membre du PAC/Provence Art Contemporain, réseau des galeries et des lieux d’art contemporain de Marseille.

Ceci est une liste non exhaustive, l’École étant amenée à développer et consolider de nouveaux partenariats tout au long de l’année :

Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou : cycles de conférences : pédagogie et professionnalisation
FRAC PACA, FRAC Languedoc-Roussillon : pédagogie et professionnalisation
Triangle France Astérides (Friche Belle de Mai) : pédagogie et professionnalisation
Documents d’artistes (Friche Belle de Mai) : professionnalisation
FRAEME (Friche Belle de Mai) : pédagogie et professionnalisation
(ex) Galerie Gourvennec-Ogor : prix ESADMM : professionnalisation
Art-Cade, galerie des grands bains douche de la Plaine : pédagogie et professionnalisation
Association Arts Médiation Évènements Organisation Méditerranée : professionnalisation
Art-o-rama : professionnalisation
Marseille : festival des « Arts éphémères » : professionnalisation
La Photographie Marseille / Prix Maison Blanche : professionnalisation
VIA : professionnalisation
Le Musée d’art contemporain de Marseille : professionnalisation
Marseille Objectif Danse : pédagogie et professionnalisation
Radio Grenouille : pédagogie et professionnalisation
Les Ateliers Sud Side, Cité des arts de la rue : pédagogie et professionnalisation
Chaîne internationale de télévision câblée « Souvenirs from earth » : pédagogie
Théâtre la Criée : pédagogie et professionnalisation
Mac/Val : pédagogie et professionnalisation
L’Institut Français : pédagogie
Musée départemental Arles antique : pédagogie et professionnalisation
Cité de l’architecture et du patrimoine : pédagogie
Festival Jazz des Cinq continents : professionnalisation
Place Publique (semaine de la Pop Philosophie) : professionnalisation
La Compagnie : pédagogie et professionnalisation
Ballet national de Marseille : pédagogie et professionnalisation
CIRVA : pédagogie et professionnalisation
FID marseille : pédagogie et professionnalisation
Espace de l’Art Concret : pédagogie
Festival Actoral : pédagogie
(ex) Galerie Arnaud Deschin : pédagogie et professionnalisation
Montevideo : pédagogie et professionnalisation
Passage de l’Art : professionnalisation
Centre d’arts plastiques Fernand Léger  : professionnalisation
Rétine Argentique  : professionnalisation
Où – lieu d’exposition pour l’art actuel : professionnalisation
MuCEM  : pédagogie et professionnalisation
Musée d’Histoire de Marseille  : pédagogie et professionnalisation
Château de Servières : professionnalisation
HLM, galerie de Marseilleexpos : pédagogie et professionnalisation
Centre Design Méditerranée  : pédagogie et professionnalisation
La Galerie Itinérante (Arles) : professionnalisation
Centre photographique Marseille : pédagogie
Musée Cantini : pédagogie et professionnalisation
CIPM : Pédagogie
Fondation Camargo : pédagogie
Zoème : pédagogie et professionnalisation
Mamac : pédagogie et professionnalisation
Festival Parallèle : pédagogie et professionnalisation
CRAC Occitanie : pédagogie
Klapp : pédagogie et professionnalisation
GMEM : pédagogie et professionnalisation
Destré : professionnalisation
Voiture 14 : professionnalisation
Sissi club : professionnalisation
Oxymore : professionnalisation
Fondation Lambert : professionnalisation
Association Collective : pédagogie et professionnalisation
Voyons Voir : professionnalisation
Tchikebe : pédagogie et professionnalisation
Les Têtes de l’art : pédagogie et professionnalisation
Documents d’artistes : pédagogie et professionnalisation
Dos Mares : pédagogie et professionnalisation
Zinc : professionnalisation
Seconde Nature : professionnalisation
FID : pédagogie et professionnalisation
Villa Noailles : pédagogie et professionnalisation
Galerie de la SCEP : pédagogie et professionnalisation
Mécènes du Sud : pédagogie et professionnalisation
Marianne Cat : professionnalisation
Jérôme Dumetz designer : professionnalisation
SMCP design Office : professionnalisation
Arthur Hoffner design : professionnalisation
Aggutes, vente aux enchères : professionnalisation

Partenaires scientifiques / universitaires
Les Beaux-Arts de Marseille sont membres du réseau des écoles supérieures d’art de PACA et Monaco. À ce titre, l’École entretient des liens privilégiés avec les 7 autres écoles du réseau :

École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
École nationale supérieure de la photographie d’Arles
École supérieure d’art d’Avignon
Pavillon Bosio, École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
École nationale supérieure d’art de Nice Villa Arson
École supérieure d’art et de design Toulon Provence Méditerranée
École supérieure des Beaux-Arts de Nîmes

D’autres partenariats qui concernent souvent des projets pédagogiques et de recherche, mettent l’école en lien avec notamment :

École supérieure d’art de l’agglomération d’Annecy
École nationale supérieure d’art de Bourges
École supérieure d’art du Nord-Pas de Calais/Dunkerque-Tourcoing
École nationale supérieure d’arts de Paris Cergy
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Équipe de recherche Projects
École d’ingénieurs d’Aix-Marseille université, Polytech Marseille
Le LESA (Laboratoire d’Études en Sciences des Arts), Aix-Marseille université
Le LSIS (Laboratoire des Sciences de l’Information et des Systèmes), domaine universitaire de Saint-Jérôme
CIRM (Centre international de Rencontres Mathématiques), Campus de Luminy
Le département Communication « Hypermédia de l’IAE Savoie » Mont Blanc
École des Hautes Études en Sciences Sociales, centre de la Vieille Charité, Marseille
École de commerce KEDGE Marseille
School of Architecture, faculty of engineering, Aristotle University of Thessaloniki
Maltepe University, faculty of architecture and design, Istanbul
IUAV di Venezia, (Italie)
Bezalel Academy of Arts and Design, (Israël)
École centrale Marseille
École des Mines de Saint- Étienne (Gardanne)
Ecole d’Acteur de Cannes
Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon
Ecole de céramique de Provence
Faculté Saint-Charles

 

Entreprises & monde économique
Partenaires économiques :

Pôle de compétitivité : Cap Digital, Primi, Pôle Mer Méditerranée
Chambre de commerce et d’industrie de Marseille-Provence (Pôle innovation et industrie)
CASTORAMA
Habitat Marseille Provence
Cabinet Ficorec
PÉBÉO
Avenir-Telecom
Groupe Genoyer
La poste
UPE 13
Savonnerie du Fer à Cheval
Maison Trabuc
Reynier
Fonderie de Roquevaire
Tuilerie Monier
Texaa
Les carrières de Provence
Bouygues Immobilier
Eiffage
Quartus Immobilier
Maison Régionale de l’eau
Hôpital Saint-Joseph
Le Cloître

 

équipe administrative

Président
Jean-Marc Coppola

Directeur général de l’INSEAMM 
Pierre Oudart

Directrice des Beaux-Arts de Marseille 
Inge Linder-Gaillard

Éditions et relations extérieures – Direction de service
Valérie Langlais

Coordination des enseignements et de la vie étudiante 
Sylvie Ori

Bibliothèque et éditions – Responsable 
Christine Mahdessian

Responsable de la professionnalisation et des stages 
Céline Christolomme

Coordinateur des activités de recherche et programmateur artistique 
Maxime Guitton

Responsable de la stratégie internationale 
Anaïs Déléage

 

professeurs

PROFESSEUR·E·S

Pratiques artistiques

Max Armengaud
Marion Balac
Dominik Barbier
Christophe Berdaguer
Bernard Briançon
Françoise Buadas
Patrice Carré
Pierre-Laurent Cassière
Sylvain Deleneuville
Frédérick Du Chayla
Jérôme Duval
Sylvie Fajfrowska
Frédéric Frédout
Lia Giraud
Charlie Hamish Jeffery
Chourouk Hriech
Luc Jeand’heur
Ronan Kerdreux
Piotr Klemensiewicz
Saverio Lucariello
Julien Maire
Agnès Martel
François Mezzapelle
Eric Pasquiou
Frédéric Pradeau
Nicolas Pilard
Alain Rivière
Karine Rougier
Jean-Claude Ruggirello
Jean-Baptiste Sauvage
Axel Christian Schindlbeck
Katharina Schmidt

Philosophie, histoire et théorie de l’art et du design, langues vivantes

Vanessa Brito
Philippe Delahautemaison
Anna Dezeuze
Frédérique Entrialgo
Nicolas Feodoroff
Alexandra Gadoni
Lise Guéhenneux
Christopher Jones
Nina Leger
Cécile Marie-Castanet
Denis Prisset
Dennis Tredy
Audrey Ziane

coordonnées

184 avenue de Luminy
CS 70912
13288 | Marseille cedex 9

tél. +33 (0)4 91 82 83 10
fax +33 (0)4 91 82 83 11

contact@beauxartsdemarseille.fr
Site internet
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effectif

Cursus art et design : 430 étudiants dont 20% d’étudiants étrangers
Classe préparatoire : 20 élèves
Ateliers publics : 600 élèves
Par le biais du programme Pisourd, l’école reçoit également les étudiant(e)s sourd(e)s ou malentendant(e)s.

Metz

École Supérieure d’Art de Lorraine | site Metz

présentation

En janvier 2011, l’École Supérieure d’Art de Lorraine (ÉSAL) est née du regroupement de l’École de l’Image d’Épinal et de l’École supérieure d’art de Metz Métropole. En janvier 2014, l’école a intégré le centre de formation musique et danse. L’ÉSAL est un établissement multisite proposant en son sein des formations arts plastiques, musique et danse en ouverture à des pratiques et expériences pluridisciplinaires.

Constitué d’un Pôle arts plastiques (Metz – Épinal) et d’un Pôle musique et danse (Metz), l’ÉSAL rassemble près de 300 étudiants. Elle prépare aux diplômes nationaux ayant grade de Licence (DNA) et de Master (DNSEP), ainsi qu’aux diplômes d’État (de 2 à 3 ans) à travers 5 formations :
– Art, mention Dispositifs Multiples (Metz)
– Communication, mention Arts et Langages graphiques (Metz)
– Design d’expression, mention Image et Narration (Épinal)
– Musique (Metz)
– Danse – classique, jazz, contemporaine (Metz)

L’axe Metz — Épinal situe l’école au centre de l’Europe. À proximité de la Belgique, du Luxembourg, de l’Allemagne, de la Suisse, l’ÉSAL bénéficie d’une situation privilégiée.

L’échelle de l’école est un atout pour l’accompagnement de parcours singuliers pour les 300 étudiants de l’ÉSAL : les résultats des diplômes et l’attractivité de l’établissement témoignent de la qualité des formations. L’accompagnement s’approche du “sur mesure” et permet un fort taux de réussite aux diplômes et une attention particulière au parcours professionnel des étudiants.

L’écriture —  accompagnement à la création —  est particulièrement encouragée à l’ÉSAL. En arts plastiques les étudiants sont accompagnés de la 1re à la 3e année dans l’objectif de la rédaction du texte DNA, qui reflète avec distance la sensibilité artistique des étudiants. En 4e et 5e année, l’écriture s’accompagne de recherches et d’expérimentations dans le cadre de la rédaction et la confection du mémoire, socle théorique et critique de la pratique artistique et œuvre constitutive du diplôme.

L’ÉSAL Metz /Épinal cultive son réseau de « Partenaires Particuliers » : des institutions artistiques et culturelles qui dynamisent les opportunités ouvertes aux étudiants. Entre autres: la Cité musicale-Metz, le Centre Pompidou-Metz, le Casino Luxembourg — forum d’art contemporain et le Casino Display; le Fond régional d’art contemporain Lorraine à Metz, le MUDAM, musée d’art contemporain à Luxembourg, la Synagogue de Delme, centre d’art contemporain, le Festival du Livre à Metz, etc.

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/

À télécharger : Brochure de l’ÉSAL

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École Supérieure d'Art de Lorraine-Site de Metz
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Installation des DNSEP Communication, photo Romain Gamba
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Installation des diplômes, photo Romain Gamba
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Installation des diplômes, photo Romain Gamba
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Installation des diplômes, photo Romain Gamba

options

Art, mention dispositifs multiples / DNA + DNSEP

En art, les projets engagent une réflexion puis des productions qui expérimentent différents modes de mise en espaces, d’images et de langages. La formation est centrée sur la pratique du dessin, de la vidéo – image en mouvement, de la photographie, du son, du volume, de la gravure et de la scénographie.

Installation des DNSEP Art, Metz. Crédits : Pancake! photo

Communication, mention arts et langages graphiques / DNA + DNSEP

Du conte au journal intime, du fanzine au webdoc, de la photo de famille au documentaire, du slogan à l’affiche, du sticker au roman graphique, le récit et ses mises en forme sont au cœur de l’option. Sont proposés : design graphique, typographie, design éditorial et numérique, etc.

Installation des DNSEP Communication de Léa Signorini, 2022, Metz. Crédits : Pancake! photo

diplômes

DNA option Art – mention dispositifs multiples
DNA option Communication – mention arts et langages graphiques
DNSEP option Art – mention dispositifs multiples
DNSEP option Communication – mention arts et langages graphiques

 

Installation des DNA Art, 2023, Metz. Crédits : Pancake! photo

programmes de recherche

Recherche, écriture et mémoire à l’ÉSAL

Le mémoire à l’ÉSAL : écrire

« C’est depuis la pratique et vers la pratique que les recherches menées dans le cadre du mémoire prennent forme et prennent sens. Le mémoire doit s’inventer, pour permettre à chacun de trouver sa voie(x), de développer ses réalisations, de se positionner dans son propre travail et dans le champ de l’art » — Célia Charvet, coordinatrice du mémoire

La recherche à l’ÉSAL s’est développée à partir d’un point séminal : le mémoire. Contemporain de la constitution de l’ÉSAL en 2011, le mémoire fait l’objet d’un positionnement identitaire et d’un accompagnement spécifique. Dans le second cycle, chaque étudiant est accompagné par un « référent création » et un « référent mémoire », professeur théoricien qui encadre les mémoires et intervient tout au long des cinq années afin de familiariser les étudiants à l’écriture. Le mémoire travaille la singularité de l’univers de l’étudiant et en dévoile les spécificités, les enjeux, les résonances, les filiations. L’expérimentation est au cœur de cette pratique d’écriture(s) dans laquelle l’intuition, la recherche d’une méthode appropriée, l’articulation étroite entre forme et réflexion, voire la mise au jour d’une forme de la réflexion, participent de l’élaboration d’un langage proprement artistique.

En 2023—2024, l’ÉSAL a mis le mémoire à l’honneur avec l’exposition Mémoire déplié(e) : l’écriture à l’œuvre. Rétrospective sur dix ans de mémoire de DNSEP / Master Art et Communication à l’ÉSAL. Conçue comme un livre ouvert construit à l’échelle de l’espace, cette exposition conçue pour être partagée et voyager, propose une immersion rétrospective dans les mémoires des dix dernières années à l’ÉSAL— site de Metz.

Institut Page : texte — espace — édition

Coordination d’Elamine Maecha.

L’Institut Page se construit comme un laboratoire de recherches textuelles, graphiques et éditoriales. Il se déploie sous différentes formes : un programme de recherche, deux séminaires, deux ateliers de recherche et de création — ARC, des ateliers et des workshops (cf Livret de l’étudiant — précis de cours A4, A5).

Institut Page s’intéresse à la production de contenus issus des discussions et des conférences organisées à l’école ; à la conception de formes graphiques textuelles et éditoriales à partir de différents corpus de l’ensemble des ateliers ; à la prise en compte des contraintes techniques et économiques ; à la définition des publics et de la publication. L’institut rend compte de ses activités par des éditions imprimées ou en ligne.

En 2023-2024, Institut Page s’intéressera entre autres à la Biennale Exemplaires — formes et pratiques de l’édition qui se déroulera en 2026 à Metz; à l’éditorialisation et à la publication d’un mémoire d’un Alumni ; à la création d’une plateforme numérique ; et l’organisation d’une journée d’études.

Compte Instagram de l’Institut Page : @institutpage
Plateforme numérique Institut Page : institut-page.com

Pluridisciplinarité et transversalité

« Permaculture des arts & utopie » : une pépinière de la pluridisciplinarité entre arts plastiques, musique et danse

Une proposition mensuelle de Stéphane Ghislain Roussel.

Le programme pluridisciplinaire explore en 2023-2024, la sphère des corps. De la catharsis aux expériences les plus oniriques, le corps est au cœur du vivant. « Retourner aux corps » dans le sillage artistique c’est se pencher sur des champs allant de la performance dans la filiation du Happening et du Body Art, aux corps sonores et à la danse, mais c’est aussi, avec un peu de recul face à l’épidémie du Covid (toujours active), s’attacher à la sphère de l’intime à travers le soin de soi et le care. Expression des identités et violence de l’invisibilisation, présence en puissance sensorielle, le corps est le vecteur d’un art total et sociétal. Dépassant un anthropocentrisme qui conditionne encore et toujours l’art occidental, retourner aux corps, c’est également, aujourd’hui plus que jamais, s’attacher à des dialogues entre humains sensibles et sensibilités non humaines. Et pourquoi pas, ressentir le corps comme un jardin ?

Les Rencontres du soir : arts plastiques, histoire de l’art, anthropologie, sociologie, philosophie

Une programmation collégiale des enseignants qui propose cinq « Rencontres du soir » dans l’année afin de partager le travail d’artistes et de chercheurs en lien avec des enjeux et l’actualité de l’art contemporain. Elles sont ouvertes en soirée également aux Alumni et au public extérieur.

ARC Electrique & ateliers GAIA : des projets d’étudiants pour les étudiants — arts plastiques — architecture — ingénierie

L’ARC Électrique développe des projets entre art et design, en collaboration avec un partenaire extérieur. Il mène un travail de recherche à travers la réinvention d’un lieu, réfléchit à la relation des usagers à l’espace et au temps, étudie et invente des manières d’écouter, de circuler, de s’arrêter. Il explore les manières d’habiter et de construire des environnements sensibles.

En 2022—2023, l’ARC Électrique a collaboré avec les ateliers les ateliers Gouvernance Architecture Ingénierie Administration (GAIA). constitués de l’École Nationale Supérieure d’Architecture (ENSA) de Nancy, de l’École Européenne d’ingénieurs en Génie des Matériaux (EEIGM) de Nancy et de l’École Nationale Supérieure en Génie des Systèmes et de l’innovation (ENSGSI) de Nancy.

En 2023—2024, l’ARC a poursuivi sa collaboration avec les ateliers GAIA et a travaillé sur des projets de territoire : le Bassin de Pompey en est un exemple.

éditions

Dernières publications

Les publication de l’ÉSAL (disponibles en vente)

SCRIPTER | ACTIVER | ÉDITER, édition en partenariat avec 49 Nord 6 Est — Frac Lorraine, juin 2024, 100 exemplaires. 

EXHAURE, édition dans le cadre de l’atelier ZAD – Zones à dessin – de l’ÉSAL et en partenariat avec Le Préau, espace d’art de l’INSPÉ de Lorraine (Université de Lorraine) à Maxéville, avril 2024, 115 pages.

LA LIGNE ÉCLAIRE, édition dans le cadre du séminaire homonyme de l’ÉSAL, avril 2024, 250 exemplaires, 42 pages.

TEXT—TENSION : agrandissement d’un concept littéraire, édition dans le cadre de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, Metz, 2023.

Sampling of knowledge, édition réalisée dans le cadre de l’exposition « How do you feed your second life » au MUDAM-Luxembourg, Metz, 2023.

Pétrichor, édition dans le cadre de l’atelier ZAD – Zones à dessin de l’ÉSAL, Metz, 2023.

D’une voix toute entière et rien d’autre chose, édition réalisée dans le cadre du « comité mémoire » au sein de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Claire Arnaiz, artiste et diplômé de l’ÉSAL,  Metz, 2022.

Particules, édition dans le cadre de l’atelier ZAD – Zones à dessin de l’ÉSAL, Metz, 2022.

Diplômes 2022 de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, ÉSAL, 2022.

Dependant Participation, édition dans le cadre du Projet Vitrine de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Vittorio Santoro, artiste, Metz, 2022.

Album Sébum, édition dans le cadre du workshop Tumultes – cases et débordements de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Lucie Durbiano, auteur de bande dessinée et illustratrice, Metz, 2022.

Cahier de débordement, édition dans le cadre du workshop Tumultes – cases et débordements de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Loren Capelli, autrice et illustratrice, Metz : ÉSAL, 2022.

Reader, édition dans le cadre du workshop Tumultes – cases et débordements de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Gwendal Coulon, artiste et musicien, Metz, 2022.

Messine, édition de recherche dans le cadre de l’Atelier Design graphique et Typographie de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, n° 1 à 6, Metz, 2021.

Diplômes 2021 de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, ÉSAL, 2021.

D’os, édition réalisée pour la Biennale Exemplaires dans le cadre de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, Metz, 2021.

Catabase, édition réalisée dans le cadre du « comité mémoire » au sein de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Antonin Caniparoli, artiste et diplômé de l’ÉSAL,  Metz, 2021.

BLX, édition dans le cadre de l’Atelier Zone À dessins de l’École Supérieure d’Art de Lorraine en partenariat avec la Ville de Metz, Metz, 2021.

Publication des diplômes, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Publication des diplômes, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Messine, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Messine, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Catabase, édition, 2021, Crédits : Romain Gamba

revues

REVU

REVU est une édition créée au sein d’un atelier REVU,  laboratoire de recherche éditoriale mené à Epinal et à Metz, au sein duquel «expérimentation» est le maître mot. À partir d’un corpus d’œuvres et de textes proposés par les enseignants, les étudiants sont amenés à concevoir un objet éditorial qui s’engage à le «revoir», à en proposer une relecture, un prolongement.
#2017, #2018, #2019, #2020, éditions de l’atelier REVU (design éditorial Metz/Epinal)

REVU, édition, 2021, Crédits : Romain Gamba

REVU, édition, 2021, Crédits : Romain Gamba

Le Salon

Revue de recherche Image/dispositifs/espaces (IDE).

Le Salon est une revue de recherche de l’ÉSAL (École Supérieure d’Art de Lorraine) créé en 2006. Sous la direction de Sally Bonn et d’Alain (Georges) Leduc, elle s’est donnée pour tâche d’interroger de multiples manières ce qui concerne aussi bien l’image que l’espace à travers la notion de dispositif. La revue comprend les travaux et parcours croisés d’artistes, de praticiens et de théoriciens intervenant chaque année au cours de deux journées de séminaire autour d’une thématique propre à cette notion de dispositif. Chaque numéro de la revue contient en plus des séminaires organisés par le centre de recherche I.D.E. :
— des interventions organisées hors d’I.D.E.
— un cahier de travaux d’étudiants réalisés lors d’une session du séminaire
— un cahier création : dessin, photographie, exposition, poésie
— les biographies des participants

Liste des Salons :

— Le Salon 8 – Du Travail, encore !, 2015, éd. ÉSAL, Metz, 189 p.
— Le Salon 7 – Du Travail !, 2014, éd. ÉSAL, Metz
— Le Salon 6 – La vitesse, 2013, éd. ÉSAL, Metz, 205 p.
— Le Salon 5— Question d’échelle, 2012, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon 4— Dispositifs textuels, 2011, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon 3 – Du musée de l’exposition, 2010, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon 2 – Territoire(s) du paysage, 2010, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon – Dispositifs, Architecture et Scénographie, 2008, éd.ÉSAL, Metz.

revues

Activités et évènements

L’ÉSAL propose régulièrement des évènements ouverts au public : expositions, concerts, conférences, rencontres, résidences, concerts, performances, éditions, journées d’études, et projections publiques.

L’école encourage le partage des recherches et des réalisations des étudiants, qui se déroulent grâce aux partenariats noués par l’école. Certains projets ponctuent l’année universitaire et sont une réelle ressource pour les étudiants en termes de professionnalisation.

Inscription à la newsletter de l’école : www.esalorraine.fr

Les Rencontres du soir : arts plastiques, histoire de l’art, anthropologie, sociologie, philosophie.

Une programmation collégiale des enseignants qui propose cinq « Rencontres du soir » dans l’année afin de partager le travail d’artistes et de chercheurs en lien avec des enjeux et l’actualité de l’art contemporain. Elles sont ouvertes en soirée également aux Alumni et au public extérieur.

« Permaculture des arts & utopie : une pépinière de la pluridisciplinarité » – arts plastiques Metz/Épinal – musique – danse

Une proposition mensuelle de Stéphane Ghislain Roussel.
Le programme pluridisciplinaire explore en 2023–2024, la sphère des corps. De la catharsis aux expériences les plus oniriques, le corps est au coeur du vivant. « Retourner aux corps » dans le sillage artistique c’est se pencher sur des champs allant de la performance dans la filiation du Happening et du Body Art, aux corps sonores et à la danse, mais c’est aussi, avec un peu de recul face à l’épidémie du Covid (toujours active), s’attacher à la sphère de l’intime à travers le soin de soi et le care. Expression des identités et violence de l’invisibilisation, présence en puissance sensorielle, le corps est le vecteur d’un art total et sociétal. Dépassant un anthropocentrisme qui conditionne encore et toujours l’art occidental, retourner aux corps, c’est également, aujourd’hui plus que jamais, s’attacher à des dialogues entre humains sensibles et sensibilités non humaines. Et pourquoi pas, ressentir le corps comme un jardin ?

Ateliers images imprimées des écoles d’art du Grand Est

Ls ateliers images imprimées des établissements supérieurs d’art du Grand Est : l’ÉSAL (École supérieure d’art de Lorraine), l’ENSAD (École nationale supérieure d’art de Nancy), l’ESAD (École Supérieure d’Art et de Design) de Reims, la HEAR (Haute école des arts du Rhin), se rencontrent autour des formes multiples du dessin. Il peut s’agir de projets tels que rencontres, workshops, débats, expositions dans des lieux de différentes natures ou d’éditions qui engagent la participation d’étudiants.

Tumultes, cases et débordements: 3 workshops, 2 expositions et 1 édition autour des pratiques du dessin et de l’illustration

Depuis 2019, l’ÉSAL propose une semaine spéciale et intensive dédiée aux pratiques du dessin, de la narration et de leurs espaces de diffusions. Des workshops, des expositions, des rencontres et des éditions font de cet évènement un espace incontournable de découverte et de partage. L’ÉSAL travaille en collaboration avec le festival Le livre à Metz
et la galerie associative messine Octave Cowbell.

Résidence et création dans le paysage: parcours art en territoire 

Résidence au CIAP de Vassivières, mai 2023, photo: François Génot.

À la suite du projet de la Heidenkirche (2017-2022), un partenariat a été développé avec le Centre international d’art et du paysage – île de Vassivière en Nouvelle-Aquitaine, Limousin. Les étudiants bénéficient d’une semaine de résidence, afin de créer un parcours artistique dans le bois de sculptures de l’île. C’est un temps de création singulier, un moment fort de vie collective. Une exposition estivale publique et soutenue par le CIAPV, permet la visibilité des œuvres.

Carte de visite, l’exposition annuelle des jeunes artistes diplômés

Chaque année, les jeunes artistes fraichement diplômés de l’Ecole Supérieure d’Art de Lorraine de Metz donnent rendez-vous au public, afin d’y présenter leur exposition. Dans une déambulation pensée par eux, ils choisissent une seule de leurs œuvres. L’évènement, de la communication visuelle et a la scénographie, est entièrement organise par les artistes. Le vernissage de l’exposition est également le moment de l’annonce des lauréats du Prix Point d’Or et du « coup de cœur Bliiida » (cf. ci-dessous).

Dispositif « Faire son chemin en partenariat avec le FRAC Lorraine et le « Coup de Cœur Bliiida »

Le dispositif « Faire son chemin » récompense depuis juin 2024, et ce annuellement, un ou une diplômé·e du DNSEP / Master – option Art ou Communication de l’ÉSAL, qui bénéficie d’un accompagnement et d’une diffusion dans la région Grand Est portée par le Frac Lorraine, dans le cadre d’une exposition hors les murs. Le Coup de cœur Bliiida complète le dispositif, par une résidence de 2 mois (selon le projet artistique) pour l’un ou l’une des diplômé·es dans le tiers lieu d’inspiration, d’innovation et d’intelligence collective, basé à Metz.

Partenaires particuliers

Chaque année l’ÉSAL organise une rencontre entre les étudiants et les Partenaires Particuliers de l’école, afin d’informer les étudiants sur les structures et leurs programmations. Cette rencontre s’effectue en deux temps : une après-midi centrée sur les institutions telles que le Centre Pompidou — Metz, le MUDAM, le Casino, le Signe, centre de graphisme national, etc. Le lendemain, une visite guidée se déroule dans les lieux culturels de la Ville de Metz, organisée par le réseau LORA, afin de familiariser les nouveaux arrivants avec le paysage et les acteurs du terrain.

Évènements à envergure nationale

Elle coopère et favorise la participation des étudiants aux biennales (workshops et expositions) telles que la biennale Exemplaires— formes et pratiques de l’édition à Rennes, la biennale de design graphique à Chaumont ou encore la biennale de la photographie à Mulhouse. Elle participe également aux Ateliers Ouverts et collabore avec le FRAC Lorraine autour des expositions et des artistes invités. Enfin, l’école encourage et soutien les journées d’études, colloques et séminaires organisés dans ses murs.

[Re]Bonjour : rencontres d’étudiant·es et de diplômé·es, de l’amphi au podcast

Rebonjour est un rendez-vous au sein de l’ÉSAL, afin de célébrer le dialogue intergénérationnel, la transmission des savoirs et la richesse de l’expérience artistique. Plus qu’une simple rencontre, c’est un pont entre les différentes générations d’artistes qui ont foulé les couloirs de l’établissement. Une initiative de Morgane Ahrach, diplômée 2018.

ESALABLIIIDA, un partenariat avec le tiers-lieu d’inspiration, d’innovation & d’intelligence collective messin

Les étudiants ont accès aux équipements et aux compétences spécifiques en termes de fabrication numérique et sont initiés à l’utilisation des équipements, dès la 1re année.

Salons professionnels et d’orientation

Les salons sont l’opportunité pour les étudiants d’expérimenter la communication, la médiation, de rencontrer des professionnels, d’assister à des conférences spécialisées et de constituer un réseau.

 

activité post- ou périscolaire

Ateliers de pratique artistique – adultes

Destiné au public adulte, l’École Supérieure d’Art de Lorraine propose 10 Ateliers du soir, dispensés dans le cadre du temps libre de l’année universitaire, du lundi au jeudi de 18h30 à 20h30. De tous niveaux, ils sont encadrés par une équipe d’enseignants artistes, diplômé·es de l’ÉSAL dans un esprit de convivialité.

Les ateliers proposés (description détaillée plus bas):

— Dessin animalier — nouveau !
— Dessin d’observation
— Dessin et narration
— Écriture, poésie et gestes performés [atelier théorique] — nouveau !
— Histoire de l’art, un motif de discussions  [atelier théorique] — nouveau !
— Images imprimées
— Peinture à l’eau
— Peinture à l’huile, débutant et confirmé
— Photographie — nouveau !

Stage de pratique artistique – Jeunes de 16 à 20 ans

En 2024, l’ÉSAL propose un  stage du lundi 26 février au vendredi 1er mars : une semaine d’ateliers qui parcourt par exemple le dessin, le volume, la vidéo, la peinture et la culture graphique et visuelle. Une semaine pour faire, expérimenter et penser la création artistique sous un angle différent. Ce stage est à destination des jeunes de 16 à 20 ans – qui souhaitent s’immerger dans la pratique artistique ou s’engager dans des études supérieures en école d’art.

Plus d’informations: http://www.esalorraine.fr/metz/ateliers/

 

Photo : Alicia Gardes, 2023.

Photo : Alicia Gardes, 2023.

 

coopération internationale

Politique ERASMUS de l’École Supérieure d’Art de Lorraine

Depuis près de 30 ans, l’École Supérieure d’Art de Lorraine développe des projets à l’international et est titulaire d’une charte Erasmus depuis 2003. Une excellente connaissance des spécificités et atouts de nos établissements partenaires garantit des mobilités personnalisées en fonction d’objectifs d’acquisition de compétences. Notre situation géographique, frontalière avec 3 autres pays, le Luxembourg, la Belgique et l’Allemagne nous a conduit à privilégier à l’origine les projets transfrontaliers.

À télécharger : + Lire la suite de la déclaration de politique ERASMUS

Mobilité Erasmus

Le programme pédagogique de l’ESAL propose un semestre de mobilité internationale au semestre 8 (pour les étudiants de Metz) et au semestre 4 (pour les étudiants d’Epinal).

La mobilité peut avoir lieu soit dans le cadre du programme Erasmus soit dans celui de partenariats bilatéraux pour les pays qui ne sont pas éligibles au programme européen.

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/metz/erasmus/

 

Financement

Les étudiants perçoivent une allocation de mobilité Erasmus dont le montant dépend du nombre de mobilités accordées à l’école par l’agence Erasmus et du nombre de mobilités effectives ainsi que du pays d’accueil.

Pour l’année 2022-2023 l’allocation mensuelle a été fixée à:

Pays du groupe 1 : 455 € par mois
Pays du groupe 2 : 400 € par mois
Pays du groupe 3 : 345 € par mois

Une aide complémentaire peut-être également attribuée. Les modalités, ainsi que la simulation du montant peuvent être consultées sur le site : https://www.grandest.fr/vos-aides-regionales/aide-a-mobilite-internationale-etudiants/

La Région Grand Est attribue également des bourses vers les pays non éligibles au programme Erasmus et pour des stages à l’étranger (sous réserve de modifications).

Des conventions sont en cours pour élargir davantage notre réseau de partenaires. L’ÉSAL participe à :

  • Art Accord France, plateforme de mutualisation et d’échanges pour les responsables des relations internationales des écoles d’art permet de partager des informations, des outils et des expériences, de mettre à disposition des contacts, des partenaires potentiels.
  • ELIA, European League of Institutes of the Arts, donnant à chacun de ses membres une visibilité internationale et une ouverture sur un réseau d’excellence européen.
  • Campus Art afin de recruter par équivalence des étudiants du monde entier.

Pour ce qui sont des autres partenaires, la coopération transfrontalière est particulièrement intéressante du point de vue de la situation géographique de l’école, afin de développer des ateliers intensifs avec des partenaires transfrontaliers.

Contact

Billal Mebarki
+33 3 87 39 61 45
bmebarki@esalorraine.fr

galerie

La Galerie de l’Esplanade est un espace de 400 m², dont la gigantesque baie vitrée donne sur le Jardin à la Française de l’Esplanade. Vitrine ouverte sur la ville, la galerie de l’Esplanade permet aux étudiants de tester dispositifs d’accrochage et de monstration, en particulier lors de la soutenance des diplômes.

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/metz/materiel-et-ateliers/

Préparation de l’exposition des diplômés du DNA, octobre 2020, crédits : Romain Gamba

équipements spécifiques

Se déployant sur un espace de 3 000 m2, l’ÉSAL à Metz se structure à partir d’ateliers, de laboratoires, de ressources multimédia et de spatialisation, etc. Outre l’amphithéâtre et la salle de projection cinéma, l’école dispose de PAN et d’EDIT*ON.

Trois nouveaux espaces pédagogiques dédiés à la photographie, à l’édition et à l’image mouvement.

PAN Photo, Pôle Argentique et Numérique

L’ÉSAL propose l’enseignement de la photographie argentique et numérique depuis de nombreuses années. Avec l’espace PAN Photo, les étudiants bénéficient d’une approche complète du développement et du tirage photographique – de la prise de vue jusqu’à sa réalisation finale. Transversal et ouvert aux options Art et Communication, PAN Photo se veut diagonal et multifonctionnel. La nouvelle activité de tirage argentique couleur constitue une innovation parmi les Écoles d’Art du Grand Est.

EDIT*ON, espace de création éditoriale

L’édition est constitutive de l’identité de l’école, notamment à travers une pédagogie stimulée par l’écriture. L’enseignement éditorial a pour objet l’acquisition de connaissances pratiques en matière de culture visuelle et de création design. L’école encourage l’engagement créatif des étudiants dans toutes les pratiques, attentifs à l’édition, à l’image imprimée, à la typographie et à la création graphique en général. EDIT*ON rassemble plusieurs fonctionnalités en 1 espace : un Fablab, un espace tirage, un espace découpe et un espace reliure.

DUPLEX, espace pédagogique dédié à la vidéo et au son

L’espace DUPLEX se veut un espace modulable dédié aux pratiques des images en mouvement dans une diversité d’approches.
Destiné à être un espace de création audiovisuelle, d’expérimentations, de production, d’exposition et de diffusion à la croisée des pratiques artistiques : studio prise de vue et de son, régie d’enregistrement, manipulation et diffusion en direct, espace de Vjing, performances audio-visuelles et scéniques en direct, installation et mise en espace des images en mouvement (de l’écran à l’espace immersif), espace black-box pour l’exposition des images en mouvement, etc.

En 2023/2024, l’ÉSAL se dote d’un ascenseur pour faciliter l’ accessibilité aux ateliers pour les personnes à mobilité réduite.

L’ÉSAL et le tiers lieu Bliiida

L’ÉSAL et Bliiida, tiers lieu d’inspiration, d’innovation & d’intelligence collective, s’associent afin de permettre aux étudiants d’accéder à des équipements et à des compétences spécifiques en termes de fabrication numérique. En complément d’un atelier bois de proximité, le partenariat – qui s’inscrit dans le long terme – articule formation et professionnalisation. Les enseignements — accompagnants la production des travaux des étudiants — sont enrichis par l’accès à des équipements techniques et performants, par des formations sur les machines et outils pilotées par ordinateur, et par le suivi des techniciens du FabLab MIDO. Le tiers lieu soutien également un diplômé par an, avec le « Le Coup de cœur Bliiida ».

Les autres ateliers

– atelier hypermédia
– atelier de design graphique, éditorial et typographique
– atelier dessin
– atelier modelage
– atelier LabVIES
– atelier de recherche sonore
– atelier de gravure et image imprimée
– atelier bois de proximité (cf partenariat avec Bliiida)
– studio de captation vidéo (fond vert)

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/metz/materiel-et-ateliers/

réseaux

  • ANdEA : Association Nationale des Écoles supérieures d’Art
  • ANESCAS : Association Nationale d’Établissements Supérieurs de la Création Artistique dans le domaine des arts de la Scène
  • Association Réseau des Écoles Supérieures d’Art du Grand Est
  • AGEM (association des grandes écoles de Metz),
  • Art Accord France,
  • CGEL : Conférence des Grandes Écoles de Lorraine,
  • Charte Erasmus,
  • ELIA,
  • Metz Campus,
  • Isseetech (Institut supérieur européen de l’entreprise et de ses techniques),
  • Plan d’Est,
  • PLES : Pôle Lorrain d’Enseignement Supérieur,
  • Pôle Images
  • PR2A : Pôle de Recherche en Art et Architecture,

équipe administrative

Nathalie Filser,
Directrice Générale – EPCC et Pôle arts plastiques, Metz

Administration

Gilles Balligand,
Administrateur – EPCC et Pôle arts plastiques, Metz

Sabrina Gerber,
Gestionnaire ressources humaines et paie – EPCC et Pôle arts plastiques, Metz

Cassandra Kirchhoff,
Gestionnaire ressources humaines et paie – EPCC et Pôle arts plastiques, Metz

Billal Mebarki,
Gestionnaire budgétaire et financier, régie – EPCC et Pôle arts plastiques,  Metz

Valérie Massonnet,
Assistante administrative finances  — EPCC et Pôle arts plastiques, Metz

Pôle pédagogique

Carole Simon,
Directrice des études – EPCC et Pôle arts plastiques, Metz

Marion Sztor,
Responsable de la scolarité — Pôle arts plastiques, Metz

Thibaud Schneider,
Chargé de la médiathèque – Pôle arts plastiques, Metz

Communication

Juliette Férard,
Responsable de la communication –  EPCC et Pôle arts plastiques, Metz

Ateliers, matériel, bâtiment

Gaëtan Leclerc,
Responsable des ateliers bois/métal — Pôle arts plastiques, Metz

Patrick Ricordeau,
Informatique – réseau pédagogique, parc matériel, montage expo multimédia – Pôle arts plastiques, Metz

Daniel Collot,
Responsable patrimoine et logistique  — Pôle arts plastiques, Metz

Nathalie Dillenschneider,
Logistique, entretien

professeurs

Biographies des enseignant·es : lien

 

Les étudiants sont accompagnés par 25 enseignants – artistes et designers (*docteurs)  et 2 assistants :

Aurélie Amiot, image imprimée

Émilie Aurat, design graphique et typographie

Éléonore Bak*, son

Célia Charvet*, écriture, arts de l’exposition et suivi de mémoire

Léo Coquet*, écriture, design graphique et suivi de mémoire

Jean-Denis Filliozat, design d’espace et d’interface

Matthieu Gauthier, peinture

François Génot, dessin et narration

Agnès Geoffray, photographie et plasticité de l’écriture

Christophe Georgel*, histoire de l’art et suivi de mémoire

Franck Girard, dessin

Christian Globensky*, initiation et interface

Hélène Guillaume, vidéo live et images en mouvement

Antonin Jousse*, images numériques et génératives

Jérôme Knebusch, Design graphique & Typographie

Marie Lécrivain, culture visuelle

Elamine Maecha, Institut Page et design éditorial

Constance Nouvel, photographie

Estefanía Peñafiel Loaiza, photographie et plasticité de l’écriture

Émilie Pompelle, transmédia et « Document d’artistes »

Jean-Christophe Roelens, volume technique et matériaux

Yvain Von Stebut*, Radio-théorie

Frédéric Thomas, transmédia, animation & FabLab

Pierre Villemin, vidéo

Allison Wilson, anglais

Assistants :

Julian Grollinger, photographie argentique et numérique

Robert Jung, édition

coordonnées

ÉSAL, École Supérieure d’Art de Lorraine — Metz/Épinal
1, rue de la Citadelle
57000 Metz
+33 (0)3 87 39 61 30
metz@esalorraine.fr

Site Internet : www.esalorraine.fr 

Newsletter ÉSAL arts plastiques • Metz – Épinal : évènements culturels et artistiques de l’école ouverts au public (expositions, concerts, conférences, rencontres). Inscription sur le site internet.

Réseaux sociaux

Facebook : @École Supérieure d’Art de Lorraine • Pôle arts plastiques
Instagram : @esalorraine_metz
Linkedin : @École supérieure d’art de Lorraine
Issuu :  @esal.edition 
Vimeo : @ÉSAL
Youtube : @esalorraine

effectif

215 étudiants en arts plastiques Metz/Épinal

134 à Metz
81 à Epinal

39 artistes-enseignants et 4 assistants en arts plastiques Metz / Epinal

25 enseignants-artistes et 2 assistants à Metz
12 enseignants-artistes et 2 assistants à Épinal

Monaco

Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la Ville de Monaco (ESAP)

présentation

Le projet du Pavillon Bosio est étroitement lié au contexte et à l’histoire de Monaco. L’école est héritière des associations historiques initiées par les Ballets russes au début du XXe siècle et du dialogue qui a toujours eu cours à Monaco entre les arts visuels et les arts de la scène. Cette orientation se traduit par une sorte de double cursus : d’une part les étudiant·e·s sont encouragé·e·s à développer leur pratique personnelle d’artiste quelque soit sa forme et c’est sur la base de ce travail que sont fondés les échanges avec les professeurs et jurys pendant les bilans, les galeries d’essai et les diplômes. D’autre part, iels participent à de nombreux projets collectifs et reçoivent des enseignements spécialisés en scénographie. A partir du Master, iels peuvent choisir l’un des quatre ateliers de recherche et création « scénographie d’exposition », « scénographie de la danse », « scénographie du théâtre » et « scénographie de la mode », les étudiant·e·s ayant la possibilité de passer de l’un à l’autre entre la 4e et la 5e année.

Cet environnement permet à la plupart des projets développés par les étudiant·e·s du Pavillon Bosio de prendre forme grandeur nature dans le cadre des partenariats noués par l’école avec de nombreuses institutions, théâtres, musées et centres d’art. À Monaco c’est notamment le cas avec les Ballets de Monte Carlo, le Nouveau Musée National de Monaco (NMNM), l’Espace Léo Ferré, le Théâtre Princesse Grace, le Théâtre des Variétés, la Société des Bains de Mer, la Galerie du quai, le Musée Océanographique, les Rencontres Philosophiques… Au delà de Monaco, de nombreux projets sont développés en France et à l’étranger en association avec des Théâtres comme le TNN de Nice, le théâtre de l’Aria à Olmi-Cappella, le Cube Studio théâtre de Hérisson, des musées ou centres d’art comme le Musée de Sérignan, Le 109 à Nice ou avec d’autres écoles d’art comme La Manufacture — Haute École des Arts de la Scène à Lausanne, l’ENSAV — La Cambre à Bruxelles, le Curatorial Studies Institute de Bratislava, le réseau L’École(s) du Sud, ou les écoles supérieures du réseau ECART (European Ceramic Art and Research Team).

1/18
Workshop ARC céramique (c) Esap Monaco
2/18
Imprévus, Partenariat Ballets de Monte-Carlo - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
3/18
Imprévus, Partenariat Ballets de Monte-Carlo (c) Esap Monaco
4/18
Imprévus, Partenariat Ballets de Monte-Carlo - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
5/18
Colloque Mise en scène du réel - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
6/18
Performance des étudiants, Le Bal des Chimères (c) Esap Monaco
7/18
Atelier peinture grand format (c) Esap Monaco
8/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
9/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
10/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
11/18
Exposition des travaux d'étudiants de 3e année - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
12/18
Exposition des travaux d'étudiants de 3ème année (c) Esap Monaco
13/18
Exposition The project MPA - Joana Vasconscelos (c) Esap Monaco
14/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
15/18
(c) Digital lab
16/18
Studio dispositif de l'image et performance
17/18
Studio Scénographie — Espèces d'espaces
18/18
Garden Club #2 Les réformées du droit réservé

options

Le Pavillon Bosio occupe depuis une vingtaine d’années une place particulière parmi les écoles d’art avec un enseignement spécialisé en art et scénographie. Ce positionnement, unique en son genre, accompagne une tendance de fond, celle qui replace les artistes au coeur d’une multiplicité d’aventures collectives et dans une variété de rôles : scénographes, commissaires, metteur·euse·s en scène, réalisateur·rice·s, décorateur·rice·s…

La pratique personnelle : le travail plastique des étudiant·e·s est discuté régulièrement avec les professeur·e·s et jurys à l’occasion des galeries d’essai, des bilans et du diplôme de DNSEP en fin de 5e année qui prend la forme d’une exposition personnelle ouverte au public.

Les ateliers de recherche et de création : chaque année, quatre Ateliers de recherche et de création (ARC) sont proposés aux étudiant·e·s en Master qui sont libres de passer de l’un à l’autre entre la 4e et la 5e année. Les ARC se composent de workshops au Pavillon et dans les écoles partenaires (voyages organisés et financés par le Pavillon Bosio) et d’un temps fort avec la réalisation d’un événement professionnel aboutissant à des représentations publiques. Ils sont encadrés par les professeur.e.s du Pavillon Bosio et des écoles partenaires ainsi que par différent·e·s théoricien·e·s et professionnel·e·s recruté·e·s pour chaque projet.

Les quatre ARC sont les suivants :

  • Scénographie d’exposition
  • Scénographie de la danse
  • Scénographie du théâtre
  • Scénographie de la mode

diplômes

DNA option Art & Scénographie
DNSEP option Art & Scénographie

post-diplôme

Décors programme professionnalisant

Depuis la rentrée 2022, le post-diplôme prend la forme d’un programme de professionnalisation intitulé Décors. Il s’adresse à des diplômé·e·s d’écoles d’art titulaires d’un DNSEP et a pour ambition d’accompagner chaque année un groupe de jeunes professionnel·le·s dans leurs premières expériences en scénographie. Il s’appuie sur des commandes adressées par des entités culturelles partenaires du Pavillon Bosio.

Résidence
Sous réserve de validation par le comité d’attribution des ateliers, les participant·e·s peuvent se voir attribuer un atelier collectif au sein des ateliers administrés par la Direction des Affaires Culturelles sur le Quai Antoine 1er pour une durée de six mois (prolongation non automatique au-delà de six mois, soumise à approbation du comité ad hoc). Cet atelier doit permettre aux participant·e·s de travailler collectivement à la mise en œuvre des commandes mais ielles sont également encouragé·e·s à y présenter leur travail personnel à l’occasion de rendez-vous ponctuels organisés avec les professeur·e·s et intervenant·e·s du Pavillon Bosio et des professionnel·le·s de l’art monégasques.

Accès à l’offre pédagogique et aux installations du Pavillon Bosio
Par ailleurs, les participant·e·s au programme Décors ont accès aux activités du Pavillon Bosio ainsi qu’à ses équipements. Leur inscription au programme leur permet en outre de postuler à des stages conventionnés. Les participant·e·s au programme sont inscrit·e·s en 6e année au Pavillon Bosio. Ce statut leur permet de postuler à des stages conventionnés.

6e année
Nouveau dispositif permettant aux étudiant·e·s diplômé·e·s du Pavillon Bosio de se réinscrire pour un an (uniquement dans l’année qui suit l’obtention du DNSEP) de manière à profiter d’un statut étudiant pour une année supplémentaire, cette sixième année permet notamment la délivrance de conventions de stage. Elle donne accès à toutes les conférences organisées par le Pavillon.

programmes de recherche

Le Pavillon Bosio produit chaque année de nombreux contenus inédits autour de la scénographie, son domaine de spécialité.

Ateliers de recherche et de création
Les ARC jouent un rôle important dans les activités de recherche au sein du Pavillon Bosio. Chacun des quatre ARC se construit autour d’une phase d’investigation théorique, accompagnée par des intervenants chercheurs ou professionnels. Certains de ces projets donnent lieu à des captations ou à des publications (par exemple à l’occasion des dix ans du projet Imprévus avec les Ballets ou à l’issue du cycle ECART autour de la céramique à résonance rituelle). Presque tous les projets sont liés à des voyages de recherche (par exemple sur les traces de Carlo Scarpa en Italie du Nord ou à Bruxelles pour une journée d’étude sur la mise en scène théâtrale avec des étudiants de la Cambre).

Conférences, séminaires et studios
De nombreux intervenant·e·s sont convié·e·s chaque année au Pavillon Bosio, parfois en collaboration avec des institutions partenaires comme le Nouveau Musée National de Monaco ou les Rencontres philosophiques. Artistes, scénographes, historiens, philosophes viennent exposer leurs travaux et produire des formes nouvelles avec les étudiant·e·s. Les conférences constituent un fonds accessible et utile aux projets de recherche archivés à la bibliothèque.

  • L’entour
    L’entour est un cycle de conférences organisé en partenariat avec les Beaux-Arts de Paris et l’École d’architecture Paris-Malaquais autour de l’histoire et de la technique de la scénographie d’exposition. Une douzaine de conférencier·ère·s internationales·aux sont convié·e·s chaque année. Les conférences se tiennent alternativement à Paris ou à Monaco et sont diffusées en direct en vidéo.
  • Séminaires autour des pratiques curatoriales et de la mise en scène
    Introduits pour la première fois dans la grille pédagogique du Pavillon Bosio, ces deux séminaires s’adressent à des étudiant·e·s en Master.

Le colloque
Événement bisannuel ouvert au public, le colloque organisé par le Pavillon Bosio est un moment privilégié pour entendre la parole d’artistes, de chercheurs, d’historiens, de critiques d’art, de commissaires d’exposition, de scénographes, de chorégraphes et de personnalités issues de la danse et du théâtre. Ce colloque permet de faire un état de la recherche en art et en scénographie. Le prochain colloque se tiendra en décembre 2024 et sera entièrement consacré à des projets de scénographie conçus par des artistes. La liste des intervenants est pensée de manière à traiter à la fois des exemples historiques par la voix d’historiens et de chercheurs et des expériences de première main avec la participation d’artistes et de commissaires.

revues

Une collection de livres sur la scénographie, une revue

Une nouvelle publication annuelle a été lancée par le Pavillon Bosio en 2023. Le colloque sert toujours de point de départ à cet ouvrage mais il est augmenté d’images et de textes complémentaires et diffusé dans les librairies spécialisées. Pour la première fois, le Pavillon Bosio s’associe à une maison d’édition (Manuella) et à son distributeur (Les Belles Lettres). Le premier numéro s’appuie sur les conférences du colloque 2021 — « D’après maquettes » — complétées par des invitations faites à quatre artistes sous forme de cahiers d’images (parution novembre 2023). Le deuxième numéro est entièrement dédié à la scénographie de la mode (parution printemps 2025). La revue Pavillon, qui avait été éditée entre 2008 et 2022, compte aujourd’hui douze numéros et plus d’une centaine de contributions. Elle forme un corpus théorique unique dans le champ de la scénographie.

Jusqu’en 2022, les actes du colloque étaient publiés dans la revue Pavillon.

Le dernier numéro paru en décembre 2022 (nº 13) restitue les interventions du colloque 2021 intitulé « Et si les machines s’étaient endormies… »

— Pavillon n°1 (2008) : L’Imaginaire de la scène au cinéma
— Pavillon n°2 (2009) : Scénographie d’auteur
— Pavillon n°3 (2011) : Les Arts plastiques et la scène
— Pavillon n°4 (2013) : Mises en scène du réel
— Pavillon n°5 (2014) : L’Objet scénique
— Pavillon n°6 (2015) : L’Expérience de l’exposition : réception et temporalité
— Pavillon n°7 (2015) : Les Utopies du musée : pour une mémoire dynamique
— Pavillon n°8 (2016) : Dispositifs et (re)présentations
— Pavillon n°9 (2018) : La Place des corps
— Pavillon n°11 (2020) : Still Alive : l’animal vivant dans la création artistique
— Pavillon n°12 (2021) : Le Jardin comme exposition, l’exposition comme jardin
— Pavillon n°13 (2022) : Et si les machines s’étaient endormies

revues

— Expositions : exposition annuelle des étudiant·e·s de 3e année, exposition annuelle des diplômé·e·s de 5e année.
— Représentations publiques : les Imprévus — 4e et 5e années (spectacles jeunes scénographes, jeunes chorégraphes : Atelier des Ballets de Monte-Carlo) ; Théâtre et Nature — 4e et 5e années, au Cube, studio-théâtre de Hérisson ;  Scéno des mots — 3e année (forme expérimentale : Espace Léo Ferré, Monaco)
— Participations aux forums et festivals : Monaco Dance forum, Printemps des Arts, Rencontres philosophiques de Monaco…
— Colloque bisannuel de scénographie.
— Cycle de conférences.
— Stages.
— Déplacements culturels (Biennale de Venise, Biennale de Lyon, Festival Actoral Marseille, Festival d’Avignon etc.).

activité post- ou périscolaire

Ateliers publics enfants, adultes et adolescents : dessin, peinture, céramique, édition/reliure, infographie 2D 3D.
Stages pratiques amateurs durant les vacances scolaires : peinture, céramique, photographie.
Mini-stages pratiques amateurs le mercredi matin, sur quatre matinées consécutives, pendant la période scolaire.

coopération internationale

Partenariats : HEAD – Genève, ENSAV La Cambre – Bruxelles, Toneelacademie Maastricht, ENSA Villa Arson – Nice, EKWC – Oisterwijk, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais, La Manufacture, Haute école des arts de la scène – Lausanne, Théâtre national de La Criée à Marseille, MAMAC – Nice, Compagnie des Ballets de Monte-Carlo, Monaco Dance Forum, Nouveau Musée National de Monaco (NMNM), Musée Océanographique, Jardin Exotique, Archives audiovisuelles, Rencontres philosophiques de Monaco.

galerie

Salle du Garden (à l’ESAP – Pavillon Bosio), Monaco
Salle du Quai Antoine 1er (selon projet spécifique), Monaco

équipements spécifiques

Atelier de construction, Atelier de scénographie, Atelier édition/reliure, Studio photo et prise de vues, Atelier céramique, Atelier bois-métal, Digital Lab, Studio son/acoustique, Salle infographie, Salle vidéo, Centre de documentation spécialisée, Bâtiment annexe.

réseaux

L’École Supérieure d’Arts Plastiques de la Ville de Monaco fait partie du Réseau des écoles supérieures d’art du Sud, L’École(s) du Sud, comprenant : l’École Supérieure d’Art – Aix-en-Provence, l’École Supérieure d’Art – Toulon Provence Méditerranée, l’École Supérieure d’Art – Avignon, l’École supérieure des Beaux-arts – Nîmes, l’École Nationale Supérieure d’Art, Villa Arson – Nice, l’École Supérieure d’Art & de Design Marseille-Méditerranée, l’École Nationale Supérieure de la Photographie – Arles.
Elle fait également partie des réseaux suivants : ELIA (European League of Institutes of the Arts), BEAR (Bibliothèques d’Écoles d’Art en Réseau), Botox(s) (réseau d’art contemporain Alpes & Riviera), ICOM (Conseil International des Musées).

équipe administrative

Thierry Leviez Directeur
Béatrice Augier Adjointe au directeur
Sandrine Perrin Responsable des études et de la recherche
Stéphanie Gandolfo Coordination administrative, événementielle et logistique                                   
Nathalie Schoepff Comptabilité
Christelle Dubois Ateliers publics et stages pratiques amateurs   
Valérie Virgile Bibliothèque et réseau alumni 
Jean-Sylvain Marchessou Ateliers céramique et volume, accompagnement technique des étudiant·e·s
Gaël Rosticher Atelier numériques
Ewan McNab Régie du bâtiment

professeurs

Laurent P. Berger, scénographie de spectacle et d’exposition
Ondine Bréaud-Holland, esthétique, philosophie
Renaud Layrac, scénographie, expositions et dessin de projet                                                     
Mathieu Lorry Dupuy,  scénographie, scénologie, espace et lumière                                           
Damien MacDonald,  anglais et littérature
Maxime Matray, communication visuelle, design graphique
Mathilde Roman, histoire de l’art contemporain et des expositions
Maïder Fortuné, vidéo, techniques et dispositifs   
Mathieu Schmitt, volume, installations et dispositifs
Damien Sorrentino, acoustique, installation et dispositifs
Laure Fissore, dessin / peinture
Jeffrey Haines, volume / céramique
Michaël Lorenzi, multimédia / 2D, 3D + suivi du parc informatique
Florent Mattei, multimédia / photographie + coordination archivage images ESAP
Sophie Sédiri, objet / édition, fabrication
Micha Vanony, multimédia / vidéo / acoustique + coordination site Internet, archivage vidéo

coordonnées

1, Avenue des Pins
98000 | Monaco
tél. + 377 93 30 18 39

contact@pavillonbosio.com
www.pavillonbosio.com

effectif

76 étudiants

Montpellier

MO.CO. ESBA – École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Contemporain

présentation

Depuis 2017, l’Ecole Supérieure des Beaux-arts Montpellier Contemporain (MO.CO. Esba) a intégré l’établissement public de coopération culturelle Montpellier Contemporain (MO.CO). Le MOCO comprend ainsi au sein d’une même structure le MO.CO. ESBA et deux lieux d’exposition et de production : le MO.CO. Panacée (laboratoire de la création contemporaine) et le  MO.CO., espace dédié à des expositions d’envergure internationale.

Cet écosystème permet de mettre en place un modèle pédagogique original, adapté à son territoire tout en prenant en compte un contexte international compétitif et en mutation. Le MO.CO. entend maîtriser la filière professionnelle du monde de l’art, depuis la formation jusqu’à la recherche, en passant par la production, l’exposition, la médiation et la diffusion, constituant ainsi une institution apte à assumer les enjeux de l’avenir. Le Conseil pédagogique a revu le cursus afin d’intégrer pleinement les étudiants à la vie de l’institution et les faire participer aux activités des deux espaces d’exposition, depuis les rencontres, workshops et visites d’ateliers organisées avec artistes, curators et critiques, jusqu’aux stages effectués au sein des services des expositions, de la médiation, de la régie ou de la communication, en passant par l’intégration dans ce cursus du riche programme de conférences, tables rondes et projections mis en place à La Panacée. Au-delà de cette dynamique artistique développée par le MO.CO., les multiples partenariats avec les autres institutions culturelles, écoles d’art et universités de la métropole forment également le « milieu » au sein duquel les étudiants exercent leur capacité critique et effectuent leur apprentissage des savoirs et des techniques.

Par ailleurs, le centre d’art La Panacée est le seul en France à compter en son sein une résidence universitaire. 27 étudiants du MO.CO. Esba y sont actuellement hébergés, leur permettant ainsi de s’immerger dans la vie du lieu, notamment par le biais de projets artistiques élaborés avec le service des publics.

L’immersion dans ce contexte artistique se place au coeur du projet pédagogique de l’école : participatif, basé sur la confrontation des points de vue et développant ses projets à l’échelle d’un territoire, tout en développant activement son réseau international. La pédagogie par la rencontre avec les oeuvres et les artistes, la formation intellectuelle par l’échange avec théoriciens et historiens les plus divers, constitue ainsi l’axe majeur du projet de l’ESBA.
Enfin, les dispositifs de soutien aux diplômés en partenariat avec des acteurs du monde de l’art et au-delà constituent l’un des axes forts souhaités par le MOCO ESBA et représentent des opportunités pour les jeunes artistes dès leur sortie de l’école (Saison 6 – programme de résidences internationales, résidence transatlantique avec la Fonderie Darling à Montréal, résidence avec le domaine viticole Château Capion, etc…), permettant déjà aux jeunes artistes issus de l’école de bénéficier d’un véritable soutien professionnalisant.

1/1

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

éditions

revues

revues

coopération internationale

Dans un monde ouvert caractérisé par la circulation rapide des idées, des personnes et des oeuvres, l’expérience internationale est plus que jamais indispensable pour former les créateurs de demain. Elle permet la confrontation des cultures, des savoirs, des expériences, des productions et favorise l’ouverture culturelle, linguistique, intellectuelle et professionnelle des étudiants. L’ESBAMA a noué des accords à l’international, principalement dans le cadre du Programme Erasmus, et selon d’autres modalités.

1 – ERASMUS
Membre du programme Erasmus+ 2014 – 2020, l’ESBAMA est habilitée a proposer des mobilités entrantes et sortantes dans le cadre des partenariats établis, tant pour les étudiants que pour le personnel de l’Esbama et des établissements concernés. L’établissement a adopté la charte Erasmus pour l’enseignement supérieure (cf. document à télécharger).

Accords bilatéraux signés avec l’Esbama

2 – Autres accords
Des accords ont été conclus par ailleurs en dehors du programme Erasmus:

galerie

Galerie d’exposition de 220 m2

équipements spécifiques

Sérigraphie, gravure, volume, PAO, vidéo, cinéma d’animation, photographie…

réseaux

ANdEA

équipe administrative

Numa Hambursin Directeur général du MO.CO
Yann Mazéas Directeur
Marjolaine Calipel Responsable des études
Elisabeth Vergnettes Assistante de gestion administrative, pédagogie et scolarité
Corinne Nuccio Comptabilité
Céline Pires Assistante accueil/scolarité
Isabelle Quaglia Bibliothécaire
Thierry Guignard Responsable Technique MO.CO. Esba / Responsable Informatique MO.CO.
André Devezeaud Technicien : Volume, Bois et Fer
Thomas Ducrocq Technicien : PAO, micro-édition
Montse Prats Technicienne : Vidéo, Son
Daniel Rizo Technicien : Volume, Bois et Fer
José Sales Technicien : Photo, Sérigraphie-Gravure
Karine Secrétant Technicienne : Volume, Bois et Fer

professeurs

Gilles Balmet
Caroline Boucher
Laetitia Delafontaine
Joëlle Gay
Corine Girieud
Yohann Gozard
Sylvain Grout
Miles Hall
Pierre Joseph
Alain Lapierre
Nadia Lichtig
Julie Martin
Michel Martin
Caroline Muheim
Gregory Niel
Patrick Perry
Michaël Viala
Federico Vitali
Carmelo Zagari

coordonnées

MO.CO. ESBA
Ecole Supérieure des Beaux-Arts
130 rue Yehudi-Menuhin
34000 Montpellier

tél. +33 (0)4 99 58 28 20
Contact : esba@moco.art

http://www.mocoesba.art

effectif

165 étudiants

Mulhouse

Haute école des arts du Rhin | site Mulhouse

présentation

La Haute école des arts du Rhin est l’école d’un fleuve, l’école d’un territoire, l’école d’une époque en ébullition. Elle accueille 750 étudiant·es dans des formations d’enseignement supérieur artistique, préparant à des diplômes Licence Master Doctorat en Art, Design, Communication et Musique, ceci dans 20 spécialités. La HEAR se déploie sur plusieurs sites, dans deux villes – héritant de l’histoire de l’école des Arts décoratifs et du Conservatoire de Musique à Strasbourg, et de celle de l’école des Beaux-Arts à Mulhouse.
La HEAR présente tout au long de l’année des événements ou expositions liés à la pédagogie – hors les murs, en Alsace, en France ou à l’étranger ou en ses locaux, notamment à La Chaufferie (galerie de l’école). Concerts des ensembles de la HEAR-Musique, workshops, conférences, colloques, festivals … l’agenda est nourri de multiples propositions, souvent hybrides, dans une dynamique d’échanges continus avec son biotope culturel. La HEAR se veut une école poreuse, ouverte et augmentée de ses multiples partenariats. La HEAR est également Centre de Formation des Plasticiens Intervenants.

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNA  option Design mention design textile
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design
DNSEP  option Design mention design textile

formation continue

Programme annuel de formations de la HEAR

Des formations pour les artistes et professionnels de la création

Plasticiens, curateurs, architectes, designers, musiciens, performeurs, chorégraphes, metteurs en scène ou compositeurs : les formations courtes – de 3 à 5 jours – proposées par la Haute école des arts du Rhin (HEAR), à Mulhouse et Strasbourg, vous permettent de confronter votre travail à d’autres pratiques et d’autres territoires.
Les formations professionnelles de la HEAR s’articulent entre pratique et théorie dans le champ élargi de la création contemporaine : de l’édition en art à l’univers open source en passant par la mobilité internationale, la pratique du dessin, la création sonore ou le motion design.

Ces formations font intervenir une soixantaine d’artistes, philosophes, juristes, architectes, sociologues et personnalités du milieu de la création contemporaine. Elles donnent l’opportunité aux artistes de poursuivre leur processus de formation tout au long de leur parcours professionnel.

Programme complet disponible sur : http://www.hear.fr/formation-continue/programme-annuel/

programmes de recherche

Espaces sonores

Espaces sonores réunit les équipes dédiées aux arts sonores des trois sites de la HEAR accompagnées de l’équipe Art – La Fabrique. Il étudie notamment les rapports entre son et espace dans leurs dimensions artistique, culturelle et sociale.

éditions

Catalogues des expositions, livres d’artistes, catalogue annuel des diplômes, actes des colloques, conférences (collection Confer), estampes et affiches.

éditions

Conférences, workshops, voyages d’études, séminaires, journées professionnelles.
Expositions et installations in situ en lien direct avec la pédagogie mise en oeuvre dans l’école et son statut de recherche expérimentale qui se développe autour des arts plastiques (danse, musique, cinéma, théâtre, son, écriture).
Stages, expériences dans les milieux professionnels de création et de production.
Programmation d’une soirée trimestrielle de performances, lors des semaines de workshops « Tranches de Quai ».

activité post- ou périscolaire

Ateliers de pratiques artistiques adultes : cours du soir en dessin, peinture, gravure/lithographie, art contemporain, infographie, photographie.

coopération internationale

Séjours d’études à l’étranger
La HEAR a des accords avec quelque 100 écoles étrangères. Les échanges sont ouverts aux étudiants en Année 4.

Stages à l’étranger
S’ils doivent avoir prioritairement lieu lors de l’Année 4, les stages sont également possibles tout au long du cursus pendant l’été.

galerie

Un grand hall et deux salles d’expositions expérimentales.

équipements spécifiques

Ateliers traditionnels et multimédia : gravure, lithographie, sérigraphie, peinture, photographie, scénographie, volume, informatique et infographie, SONIC art & design sonore / pôle de recherche consacré aux pratiques sonores, montage audiovisuel.
Centre de documentation, vidéothèque.

réseaux

Alsace Tech, ANdEA, Anescas, Association européenne des conservatoires, académies de musique et Musikhochschulen, Cumulus, Elia, Versant Est réseau art contemporain Alsace

équipe administrative

Stéphane Sauzedde Directeur
Marc Ruhlmann Administrateur général
Noémi Baumler-Peyre Coordinatrice générale du site d’arts plastiques de Mulhouse
Rosalie Behra Responsable Scolarité Mulhouse
Josy Coutret Responsable Communication et développement
Virginie Ferraz Responsable Finances et commande publique
Claire Griot Bibliothécaire

professeurs

Thierry Ballmer
Louidgi Beltrame
Servin Bergeret
Édouard Boyer
Pierre Doze
Frédéric Dupuis
Jean-Nicolas Ertzscheid
Yvan Etienne
Ivan Fayard
Thomas Gluckin
Anne Immelé
Zoé Inch
Christelle Le Déan
Bertrand Lemonnier
Nathalia Moutinho
Fred Rieffel
Mirjam Spoolder
Chen Ni Yu

coordonnées

3 quai des Pêcheurs
68200 | Mulhouse
tél. +33 (0)3 69 76 61 00
mulhouse@hear.fr
www.hear.fr
facebook.com/hear.fr
https://www.instagram.com/hear.fr/

effectif

156 étudiants

Nancy

École nationale supérieure d’art et de design de Nancy

présentation

Fondée au XVIIIe siècle par le Ducs de Lorraine, l’école d’art de dessin fut d’abord une académie, augmentée à la fin du XIXe siècle de formations en arts appliqués tournées vers les industries d’art locales. La démarche de l’École nationale supérieure d’art et de design de Nancy (ENSAD Nancy) est aujourd’hui celle d’un établissement au service des publics. Ouverte et singulière, elle ménage un équilibre subtil entre théorie et pratique mais aussi entre recherche et professionnalisation. Une attention toute particulière y est portée aux enjeux d’égalité des chances et d’égalité entre les femmes et les hommes.
Parmi les sept écoles nationales installées en région, l’ENSAD Nancy est la seule de son statut à offrir des formations dans les domaines de l’art, du design et de la communication visuelle allant du premier cycle au troisième cycle en passant par un post-master.
L’ENSAD Nancy, située sur le campus Artem, un des douze campus d’excellence français. Elle dispose

  • d’ateliers de production performants : dessin, peinture, bois, métal, arts du feu - céramique, volume, modelage, sculpture, impressions (gravure, lithographie, sérigraphie, typographie, publication assistée par ordinateur, édition numérique), photographie argentique et numérique, conception assistée par ordinateur 3D, vidéo (studios de tournage et de son, banc de montage), multimédia, jeux vidéo ;
  • d’une galerie d’exposition de 250 m² intitulé NaMiMa (acronyme de Nano/Micro/Macro) ;
  • de nombreux services partagés : médiathèque, maison des langues, amphithéâtres, maison de l’étudiant.e, pôle de restauration multiservices ; offrant aux étudiants des conditions d’apprentissage et de travail exceptionnelles.L’ENSAD Nancy est une des trois composantes de l’Alliance Artem (ARt – TEchnologie – Management) aux côtés de Mines Nancy et d’ICN Business School. Cette alliance, créée en 1999, a permis de faire émerger une approche innovante de la pédagogie qui s’appuie sur des programmes transdisciplinaires reposant sur les compétences respectives et complémentaires des trois écoles. Elle favorise chez les étudiant.e.s une grande agilité adaptée à la complexité, à la transversalité des pratiques, à la nécessité de réactivité de notre société et à ses enjeux permettant de faire émerger de nouvelles compétences.

Option art : L’art, un commun à l’épreuve du monde. Le monde contemporain est paradoxalement globalisé et fragmenté, uniformisé et diffracté. Sa complexité grandissante nous échappe et une pensée unique tend à s’imposer malgré le potentiel émancipateur des réseaux sociaux. La pratique artistique est un défi permanent aux injonctions du management productiviste et de l’individualisme consumériste. L’art reste plus que jamais nécessaire et doit résister à toute tentative de domestication.

L’option art de l’ENSAD Nancy se définit comme un environnement ouvert et coopératif d’apprentissages, d’expérimentations, d’échanges, de créations et de recherches, sans a priori thématique, problématique ou stylistique. Un environnement qui garantit une attention égale à toutes les tentatives et à tous les essais.
Un environnement de travail ouvert à la prise de risque, aux réussites comme aux ratages. Un environnement de ressources techniques, culturelles et cognitives partagées et enrichies, questionnées et augmentées collectivement et continuellement. Le processus pédagogique de l’option art est le mouvement même de ce développement coopératif continu entre étudiant.e.s et enseignant.e.s. Il s’agit d’encourager les artistes en formation à mettre en commun leurs ressources, leurs idées et leurs dynamiques créatives.

L’environnement proposé par l’option art s’appuie sur une organisation pédagogique qui favorise les projets de groupes et les collaboration diverses à l’intérieur et à l’extérieur du champs de l’art. L’accent est mis sur la conception et la réalisation de projets concrets avec les partenaires présents dans la grande région, ainsi qu’avec l’alliance Artem et l’École offshore à Shanghai.

Chaque nouvelle génération se forme dans une distance savante avec la culture du passé, dans un dialogue avec la culture de son temps et dans un affrontement avec les questions d’actualité. Chaque nouvelle génération d’artistes émerge de l’intensité des interactions et du dialogue entre ses membres. Les dispositifs pédagogiques mis en place par l’option art visent l’interaction davantage que la transmission. Il s’agit, tout au long du cursus, dans les ateliers comme dans les cours ou les workshops, dans les expositions et les projets extérieurs, de favoriser et d’encourager les situations de travail, de suivi et d’évaluation qui engagent davantage le collectif et les collaborations, et qui installent des attitudes de solidarité et de coopération plus que de concurrence et de compétition.
L’option communication veut initier à l’urgence et à la nécessité de transmettre et de développer un art de l’information. L’étudiant.e y étudie sans limites, les écosystèmes conceptuels et techniques des arts visuels dans ses significations les plus contemporaines : les arts graphiques, le numérique, le cinéma d’information, la bande dessinée, le jeu vidéo, le display, la photographie… L’étudiant.e inscrit sa pensée en image, par sa compréhension du monde, ses flux, ses normes, ses formes, entre production et reproduction, écran et papier. Il .elle construit et active sa stature professionnelle par l’analyse critique de formes visuelles historiques et présentes, des plus ordinaires aux plus hautes, ainsi que par la fabrication d’objets graphiques nouveaux, la direction artistique de projets et la diffusion de sa recherche en direct.

communication.ensad-nancy.eu/

L’option design forme des créateur-trices, des concepteur. trices d’objets, d’espaces domestiques, urbains et paysagés, de services et de scénographies.
Elle tisse un lien privilégié dès le 1er cycle avec les écoles partenaires de l’Alliance Artem en intégrant dans son programme des propositions pédagogiques transversales, ce qui permet au futur designer
de concevoir et de diriger des projets au sein d’équipes pluridisciplinaires. Le design y est enseigné comme un régime d’activités lié aux environnements, aux « milieux » dans lesquels se déploie la totalité du vivant et où se développent les socialités. La formation cultive et privilégie la relation entre les échelles, du matériau (en amont de l’objet) au territoire. L’orientation pédagogique et les travaux de recherches
de l’option sont développés au sein de sa ligne de recherche intitulée : « Design des nouveaux milieux – Design des relations ». Celle-ci porte sur la relation entre individu(s) et milieu(x) et interroge la capacité du design à contribuer à la transformation de nos modes de vie pour parvenir à une vie, une société, un monde meilleur.

design.ensa-nancy.net

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options

Art
Communication
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Communication
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Communication
DNSEP  option Design

troisièmes cycles

Atelier national de recherche typographique

L’ANRT est un lieu d’excellence où se développe une expertise particulière dans les champs du dessin de caractères typographiques et du design éditorial.
Il.elle a vocation à accompagner les projets de recherche personnels soumis chaque année par les candidat.e.s. Ces projets peuvent concerner aussi bien le dessin de caractères que le design éditorial. C’est aujourd’hui un 3e cycle de l’ENSAD Nancy qui accueille chaque année des jeunes chercheurs.e.s titulaires d’un diplôme supérieur (niveau master 2 ou équivalent), encadré.e.s par des spécialistes de premier plan dans le champ du dessin de caractères typographiques et du design éditorial.

post-diplôme

École offshore post-diplôme de recherche « création et mondialisation »

L’école offshore est un programme de recherche initié et développé par l’école nationale supérieure d’art de Nancy dans le cadre d’ARTEM.
Située dans l’une des villes les plus dynamiques de la planète, Shanghai, mégapole de 20 millions d’habitants, particulièrement représentative des mécanismes de la mondialisation, et implémentée dans un environnement cosmopolite extrêmement attractif pour les créateurs du monde entier, l’école offshore a pour ambition de développer un programme de référence concernant les enjeux de la création dans le contexte de la mondialisation.
Le programme de recherche « création et mondialisation » est ouvert aux étudiants post-master et aux artistes enseignants-chercheurs de l’ensemble des écoles d’art françaises. Les modalités de participation et de séjour à Shanghai sont définies en fonction des projets de chacun et selon le financement des écoles associées.
Les étudiants des écoles associées peuvent également participer à ce programme dans le cadre de leur semestre « mobilité »
Ce programme est transdisciplinaire et s’adresse aux diplômés en art comme aux diplômés d’autres disciplines. Il donne à chacun la possibilité de développer un projet personnel mettant en jeu la question de la création dans un contexte interculturel.
http://ecole-offshore.org

classe préparatoire

Classe Préparatoire aux Etudes Supérieures / Classe d’Approfondissement en Arts Plastiques (CAAP) Ensad Nancy

Classe préparatoire aux études supérieures / Arts

Lycée Frédéric Chopin (Public)
Esplanade Jacques Baudot
CS 54238 54042 Nancy cedex France
– secrétariat post-bac : Marie-Ange Bois
Tel : 03.83.40.85.24
courriel : post-bac@lycee-chopin.net

Contenu et organisation des enseignements pour la formation
Le programme de cette formation est fondé sur une approche pluridisciplinaire, permettant de conforter une culture artistique et générale, de développer les méthodologies du projet dans les démarches artistiques, avec un ancrage sur la diversité des pratiques artistiques.
La maîtrise de l’anglais est confortée en proximité avec les enseignements dispensés, afin de faciliter une ouverture internationale et la poursuite d’études à l’étranger.
Le projet pédagogique permet aux étudiants d’élaborer et réaliser un dossier personnel qui sera présenté aux entretiens d’admissions dans les écoles (premiers entretiens dès le mois de mars).
Au premier semestre, l’enseignement s’organise de manière hebdomadaire :
* 13 h de pratique artistique (création plastique bidimensionnelle, création plastique tridimensionnelle, création numérique, démarche de projet en art),
* 8 h de culture artistique (mise en perspective histoire de l’art et création artistique contemporaine, analyse et théorisation de la démarche artistique, approche des structures culturelles et démarches des artistes),
* 6 h de culture générale (anglais, philosophie et éléments d’esthétique, éléments de culture scientifique, lettres).
Le second semestre reprend ce découpage avec une orientation plus marquée vers la préparation des concours (réalisation des dossiers, préparation aux épreuves pratiques et entretiens d’admission selon les écoles concernées…).
Un module annualisé de pratique artistique avec des artistes vient compléter cette formation.
Les élèves sont accompagnés en parallèle pour développer leur projet artistique, et réaliser leur dossier.
Cette démarche vise à développer l’autonomie de l’étudiant qui bénéficie d’entretiens individualisés réguliers.
Attendus Nationaux
Disposer de compétences et de connaissances culturelles, littéraires et artistiques.
Disposer de compétences plasticiennes.
Disposer de compétences en matière de communication orale et écrite afin de pouvoir présenter et argumenter une démarche et une pratique artistiques.
Avoir développé au cours de sa scolarité ou dans le cadre personnel une capacité à la conduite d’un projet (notamment artistique et culturel) et au travail en autonomie.
Attendus Locaux
L’établissement n’a pas saisi d’attendus locaux

vae

programmes de recherche

Valuations

En 2014, l’option communication Nouveau département de l’Ecole nationale supérieure d’art de Nancy en partenariat avec le CNEAI= a commencé à développer une ligne de recherche dont l’intitulé Valuations concerne les notions de valeur et d’évaluation qui sont au coeur de nombreux processus sociaux, évidemment économiques et financiers, mais aussi symboliques qu’il s’agit de penser afin de les mettre à jour, afin aussi d’en proposer éventuellement d’autres modalités. Ce dispositif de recherche se propose de s’intéresser aux mécanismes de légitimation de la valeur et de contribuer à l’élaboration d’une théorie critique des mécanismes à l’origine de la dynamique associant évaluation (observation/mesure de valeur) et valorisation (production de valeur), sous des formes textuelles (théoriques et littéraires) comme artistiques. Cette ligne de recherche traverse les pratiques théoriques, artistiques et poétiques.
Elle réunit des créateurs (écrivains, artistes, graphistes), des philosophes, des économistes, des chercheurs en sciences humaines et sociales ou en sciences exactes et expérimentales et s’ouvre à une large gamme de domaines, en particulier l’éducation, les médias, les pratiques esthétiques quotidiennes…

Convention / Rencontres Vendredi 27 et samedi 28 mars 2015 Valuations, les mécanismes de légitimation de la valeur
Cneai – Île des impressionnistes à Chatou

éditions

Actes de colloques, catalogues d’exposition, affiches multiples et portfolios. L’École développe un programme d’édition et de coédition. Ainsi régulièrement sont publiés des catalogues d’exposition, des ouvrages d’art et de recherche.

Atelier national de recherche typographique – Archives 1985 – 2006. Édité à l’occasion du 30e anniversaire de l’ouverture de l’atelier (2015)
Strange design. Du design d’objet au design des comportements.(version anglaise)
Sous la direction de Jehanne Dautrey et Emmanuele Quinz. (2015)
Milieux et créativités (2016)
Construit à partir d’une série de séminaires ayant eu lieu à l’École nationale supérieure d’art et de design de Nancy entre 2011 et 2015 dans le cadre des activités de la plateforme de recherche Artem, cet ouvrage se donne pour objectif d’analyser l’émergence de nouvelles pratiques dans lesquelles des artistes, des designers, des graphistes, des architectes et des chercheurs oeuvrent au contact direct des différents milieux économiques et sociaux.
Design et pensée du care (2018) Pour un design des micro-luttes et des singularités. Sous la direction de Jehanne Dautrey, cet ouvrage est né de différentes collaborations engagées par l’ENSAD dans le cadre de sa recherche sur le « design des milieux ». Il s’interroge sur les relations entre design et pensée du care.
Sorcièrenuanonyme (2019). Le diséminaire « Sorcièrenuanonyme » s’est tenu du 6 au 8 avril 2018. Il a permis d’engager une refléxion sur la valeur de la parole et de l’anonymat.

activités & événements

Programme d’exposition : 5 à 6 expositions par an dans la Galerie NaMiMa et 5 à 6 expositions par an chez nos partenaires, Espace My Monkey, Centre culturel André Malraux, scène nationale, Musée des beaux-arts, Muséum Aquarium…

coopération internationale

galerie

Galerie S001 – Centre d’art Campus Artem
La  galerie de l’école qui se déploie sur plus de 260 m2 privilégie le travail dans une logique
de laboratoire avec de jeunes curateur.trice.s, de jeunes artistes français et internationaux et des étudiant.e.s dont certain.e.s sont issus des ateliers de l’Alliance Artem. Elle présente trois à quatre expositions par an dont l’une résulte d’un appel à projets international lancé en direction d’artistes ou collectifs engagés dans le champ de la recherche et s’intéressant aux formes émergentes.

équipements spécifiques

– Dessin.
– Peinture grand format.
– Volume, modelage et sculpture (terre, plâtre, résine, bois, métal, et plastique).
– Céramique
– CAO 3D (atelier doté de stations PC et Mac sous AutoCAD,3D Studio et Lightwave, couplées à des machines de prototypage et des imprimantes 3D).
– Impression : gravure, lithographie, sérigraphie, typographie,
– Publication assistée par ordinateur (PAO),
– Impressions numériques,
– Photographie : studio de prise de vue, argentique (laboratoire de traitement des films noir et blanc), et atelier numérique (stations de traitement, traceur).
– Vidéo : studio de tournage et bancs de montage,
– Studio son,
– Multimédia, interactivité, jeux vidéos…

réseaux

équipe administrative

Christelle Kirchstetter Directrice générale
Marine Aussedat, Sécrétaire générale
Loïc Horrelou Directeur des études
Dominique Laudien Directrice du développement, de la valorisation et de l’insertion professionnelle 
Caroline Barjon Relations internationales
Estelle Marchand-Ageron Responsable de la communication
Sophie Petitjean Médiathèque
Marie-Pierre Udron Secrétariat pédagogique
Marie Prêcheur Responsable de la scolarité

professeurs

Olivier Ageron
Jérôme Aich
Julia Andréone
Patrick Beaucé
Jean-Philippe Bretin
Alexandre Brugnoni
Jehanne Dautrey
Camille Debrabant
Alban Delacour
Julie Deutsch
Paul Devautour
Luc Doerflinger
Vanessa Dziuba
Jean-Jacques Dumont
Claire Fayolle
Philippe Fernandez
Peter Fletcher
Catherine Geel
Vincent Guimas
Catherine Guiral
Christophe Jacquet
Andrea Keen
Christophe Lemaitre
Samir Mougas
Leonor Nuridsany
Camila Oliveira Fairclough
Colin Ponthot
Tânia Raposo
Béatrice Selleron
Pierre Vanni
Benoît Verjat
Frédéric Wecker
Brigitte Zieger

coordonnées

1 place Charles Cartier-Bresson
boîte postale 13 129
54013 NANCY Cedex
tél. +33 (0)3 83 41 61 61
ecole.art@ensa-nancy.fr
www.ensad-nancy.eu

effectif

290 étudiants

Nantes et Saint-Nazaire

Beaux-arts Nantes Saint-Nazaire

présentation

L’école des beaux-arts Nantes Saint-Nazaire, une des plus anciennes de France, est une école à rayonnement national et international qui accueille, chaque année, plus de 400 étudiants se destinant aux métiers de l’art et de la création visuelle. Parmi ses anciens étudiants se trouvent de nombreux artistes de renom : Claude Cahun, Jacques Villeglé, Philippe Cognée, Pierrick Sorin, Fabrice Hyber, Lili Reynaud-Dewar, Hoël Duret, Justin Weiler…

Dans son projet d’établissement, l’école a fait le choix d’une stratégie originale, basée sur l’observation des cités innovantes à l’échelle internationale, qui parie sur un modèle d’enseignement renouvelé, et s’ancre dans un système de valeurs qui place l’art, la culture et le territoire au centre du développement de la métropole nantaise.
Le cursus se déroule autour des projets artistiques personnels de l’étudiant, d’un enseignement intense de culture générale et d’une connaissance des contextes artistiques. L’accent a été particulièrement mis sur la mobilité des étudiants et l’accueil des étudiants étrangers. Aux dispositifs de mobilité existants tels Erasmus, sont venus s’ajouter des programmes internationaux qui permettent aux étudiants de mener un projet plastique et théorique dans un pays étranger sur tous les continents, Europe, Amériques, Asie, Afrique… notamment à Marfa, Texas et à Dakar, Sénégal.

Depuis 2017, l’école a quitté le centre-ville pour rejoindre un nouveau bâtiment sur l’Île de Nantes. Ancienne halle industrielle réhabilitée par l’architecte Franklin Azzi, ce sont plus de 8500 m2 qui composent désormais les espaces mutualisés de la nouvelle école. 4 300 m² d’ateliers sont consacrés à la recherche et à l’expérimentation dans tous le domaines des arts visuels : pôles construction, image et print. Plus de 400 étudiants (dont 30 % d’étrangers), 2 000 élèves de tous âges et leurs équipes pédagogiques occupent les espaces dédiés à l’enseignement supérieur, aux cours publics et à l’éducation artistique.

Ouvert à tous·tes, le pôle public de plus de 900 m² est constitué notamment d’une galerie d’art et d’une collection d’art contemporain, d’un amphithéâtre et d’une bibliothèque spécialisée en art.

En 2018, l’école municipale d’art de Saint-Nazaire a rejoint l’EPCC de Nantes et déménage en 2022 pour un nouveau bâtiment de plus de 3000m2, à côté du Théâtre de Saint-Nazaire pour y développer un cursus DNA lié aux questions de paysages et de territoire, en lien avec les œuvres dans l’espace public et naturel.

Composante de Nantes Université avec l’ensa, Centrale Nantes, l’inserm, l’IRT Jules Verne, le CHU depuis janvier 2022, les Beaux-Arts de Nantes font aussi partie des grands établissements d’enseignement supérieur artistique regroupés de l’île de Nantes : l’école nationale supérieure d’architecture de Nantes (ensa Nantes), le pôle universitaire interdisciplinaire dédié aux cultures numériques, les Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire, l’école de design Nantes Atlantique et Audencia Sciences Com, le Pôle des arts graphiques.

Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire, architecture Franklin Azzi, photo Luc Boegly

Ce projet urbain répond aux grands enjeux de l’École des beaux-arts :
• encourager la création de pôles de recherche ;
• faciliter la mise en place de passerelles entre les acteurs du quartier ;
• renforcer l’attractivité pour offrir un environnement exceptionnel aux étudiants français et étrangers ;
• questionner et répondre aux enjeux du développement durable et sociétal.

Beaux-Arts Nantes diffuse sur 2 chaînes vidéo : vimeo et sur youtube

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Beaux-Arts, Île de Nantes. Photo We are contents
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Amphithéâtre beaux-Arts Nantes, photo Luc Boegly
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Bibliothèque des beaux-arts de Nantes
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Beaux-Arts – site Saint-Nazaire, architecture Titan
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Beaux-Arts – site Saint-Nazaire, architecture Titan
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diplômes

–site de Nantes
DNA Art
DNSEP Art

–site de Saint-Nazaire
Classe préparatoire nationale et internationale
DNA option Art, mention Territoires, paysages, espaces publics

Formations passerelles :
Master Civilisations, cultures et sociétés avec Nantes Université

 

coopération internationale

L’international est au cœur de l’École des beaux-arts Nantes Saint-Nazaire, qui accueille des étudiant·es de diverses nationalités et encourage ses étudiant·es à partir à l’étranger tout au long de leur cursus. En 2021, l’École compte 29 % d’étudiant·es internationaux·les.

Par ailleurs, de nombreux intervenant·es étranger·es (artistes et professionnel·les) sont sollicités pour animer des classes et des workshops tout au long de l’année.

Depuis 2015, l’école propose des programmes de formation adaptés aux étudiant·es internationaux·les sous le nom de Beaux-Arts International.

Ces programmes prévoient un accueil personnalisé (démarches de visa, logement, banque etc), un apprentissage de la langue française renforcé ainsi qu’une mise à niveau en art ou en design. Les cours sont dispensés par une équipe pédagogique riche d’artistes internationaux·les et de professionnel·les ayant une forte sensibilité interculturelle.
Ainsi, les étudiant·es poursuivent leurs études à l’école des beaux-arts Nantes Saint-Nazaire ou  intègrent d’autres écoles d’art ou de design.

 

Relations internationales

L’école a une politique de relations internationales riches, particulièrement en Europe grâce au dispositif Erasmus+ et aux accords bilatéraux signés avec des écoles et universités d’art d’excellence. Ce cadre offre des possibilités de mobilités d’un semestre à un an pour les étudiants des beaux-arts de Nantes.

Campus internationaux

Les campus internationaux sont des plateformes de débat, de recherche et de production qui engagent étudiants, artistes, et chercheurs dans des échanges multiformes. Ils offrent la possibilité aux étudiants de master sélectionnés sur projet de passer un séjour d’une durée d’un mois sur l’un de nos trois campus internationaux.

Plongés dans un contexte dynamique de recherche et de production, local et international, élaboré par les enseignants de l’école avec leurs partenaires internationaux, les étudiants rencontrent d’autres réalités, d’autres façons de faire, de penser, et de produire, qui les obligent à sortir de leur zone de confort, à inventer de nouvelles formes et pratiques. Confrontés à des approches venant de l’histoire de l’art, de la philosophie et de la théorie critique, des études postcoloniales et décoloniales, des pédagogies activistes et radicales, des études culturelles, des études urbaines, des questions de genre, de la théorie des images ou encore de l’histoire du cinéma, ils participent à des projets institutionnels (biennales, expositions) et d’artistes (production, performances), des workshops, conférences, et visites.

Fieldwork Marfa
En 2019, l’école fonde Fieldwork Marfa Consortium, un réseau de 9 écoles d’art engagées dans des projets pédagogiques et de recherche conjoints à Marfa, au Texas.
Ce consortium réunit trois établissements nord-américains : CalArts, California Institute of the Arts, USA ; University of Houston, Texas, USA et Concordia University, Montréal, Canada;
deux établissement européens Glasgow School of Art, Royaume-Uni et HEAD – Genève, Suisse;
quatre français Beaux-Arts de Paris, Atelier de Sèvres, Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire et Université de Nantes.
www.fieldworkmarfa.org

post-diplôme

classe préparatoire

– site de Saint-Nazaire

La Classe Préparatoire Internationale à Saint-Nazaire s’adresse aux lycéens diplômés de l’enseignement secondaire (baccalauréat français ou équivalent international).

Année associant matières artistiques et mise à niveau en langue française.

Cette formation sur mesure s’adapte aux besoins des étudiants nationaux et internationaux bacheliers, diplômés de l’enseignement secondaire (lycées) ou équivalent qui souhaitent préparer les concours d’entrées en première année des écoles supérieures d’art et de design en France et en Europe.

unités de recherche

Laboratoire de recherche Ateliers de troubles épistémologiques (CRENAU /UMR 1563 CNRS/MCC/ensa Nantes)

Dans le cadre des Ateliers de troubles épistémologiques, la revue Trouble dans les collections a été fondée par le projet de recherche éponyme, soutenu par la Fondation Maison des sciences de l’homme (2019-22) qui réunissait Lotte Arndt, Emmanuelle Chérel, Marian Nur Goni et El Hadji Malick Ndiaye, et était rattaché au CRENAU (Centre de Recherche Nantais Architectures Urbanités lié au laboratoire AAU). C’est dans ce cadre que s’inscrivent les quatre numéros parus entre 2020-2023. A partir de fin 2022, le comité éditorial s’est élargi avec Julien Bondaz et Honoré Tchatchouang et continue d’œuvrer à la démultiplication des contributeurs et contributrices.

Trouble dans les collections favorise une hétérogénéité des approches et contenus, en résonance avec son questionnement sur les classifications coloniales et leur mise en crise. Les numéros thématiques initiés paraissent à des intervalles semestriels. La rubrique « Au fil de l’eau » permet de publier des articles en prise avec l’actualité.

https://troublesdanslescollections.fr/

 

activité post- ou périscolaire

Cours de pratiques artistiques pour primaires, collégiens, lycéens et adultes.

– site de Nantes

– site de Saint-Nazaire

 

Education artistique et culturelle
Développement d’outils de médiation
• le mimu, mini-musée destiné aux bébés
• le Nomade, mobilier mobile de médiation

Développement d’événements
Place au dessin : événement participatif amateur de pratiques artistiques autour du dessin
Vacances aux Beaux-Arts : ateliers de pratiques artistiques pour enfants pendant les vacances

éditions

PUBLICATIONS

Objet d’expérimentations artistiques et graphiques, monographie, catalogue d’expositions, fanzine, livre de photographies, le monde de l’art entretient un lien privilégié avec le monde éditorial.

Les Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire ont développé une politique éditoriale envisageant l’outil imprimé comme un lieu expérimental artistique, de partages d’expériences et de diffusion.

Coédités avec les Beaux-Arts de Paris  ou encore la HEAD –Genève, les éditions collaboratives s’inventent autour des projets inter-écoles ou universitaires, comme l’exposition Félicità à Paris ou l’ouvrage sur le 10e anniversaire du programme international de recherche en art Fieldwork Marfa.

galerie

UNE PLATEFORME OUVERTE

Open School est une plateforme qui accueille tous les publics : artistes, amateurs, professionnels, parents et enfants, animateurs, enseignants, touristes… Sa programmation se manifeste dans différents lieux de l’école : l’accueil, la galerie, la collection artdelivery, la bibliothèque, le parvis, l’amphithéâtre et le lobby et sur son site internet.

L’école, en plus de sa mission d’enseignement supérieur, offre un panel de propositions artistiques : ateliers de pratiques, animation, conférences, expositions, documentation et partage de ses ressources.Une galerie d’exposition, Open School Galerie

Une artothèque, artdelivery, collection des Beaux-Arts de Nantes

Un café boutique laverie, Askip

équipements spécifiques

Pôle construction : bois, métal et terre céramique et matériaux composites
Pôle estampes et impressions : gravure, offset, lithographie, sérigraphie, prépresse offset sérigraphie.
Pôle images : multimédia, photographie, vidéo, son.

Plateau Scènes dédié aux pratiques performatives
Plateau Cyclo dédié aux tournages vidéo (fond vert)

réseaux

ANdEA – Association nationale des écoles supérieures d’art et de design
ELIA – European League Institutes of the Arts
ADRA – Association de Développement et de Recherche sur les Artothèques
Nantes Université

équipe administrative

Directions
Rozenn Le Merrer, directrice générale
Karine Bellosta, directrice Administration et Finances
Leïla Zerrouki, directrice du site de Saint-Nazaire

Finances – RH
Caroline Le Tynevez, responsable Finances
Véronique Maury, responsable des Relations humaines

Direction du service des études et de l’international
Pierre-Yves Arcile, directeur des études et de l’international

Pôle artistique et culturel et Communication
Alice Albert, responsable de la Bibliothèque, de la Galerie et des Partenariats
Mai Tran, responsable de la Communication et de la Collection

 

professeurs

Fabrice Azzolin
Luc Barbier
Théodora Barat
Viktor Belmoustakov
Philippe-André Bena
Pascal Bouchet
Emmanuelle Chérel
Damien Cadio
Marion Daniel
Jacques Denigot
Frédéric Emprou
Véronique Giroud
Marc Guérini
Claire-Jeanne Jézéquel
Olivier Joncour
Tangui Jossic
Georges-Albert Kisfaludi
Claire Maugeais
Béatrice Meline
Alexandre Meyrat Le Coz
Xavier Navatte
Georgia Nelson
Ian Nicholson
Anaïs Rolez
Cécile Paris
Éric Perraud
Daniel Perrier
Bruno Persat
Véronique Terrier-Hermann
Dominique Tisserandet
Xavier Vert
Euridice Zaituna Kala

coordonnées

NANTES
2 allée Frida-Kahlo
CS 56340
F-44263 Nantes cedex 02
contact@beauxartsnantes.fr

SAINT-NAZAIRE
4 rue des Frères Péreire
F-44600 Saint-Nazaire
saintnazaire@beauxartsnantes.fr

www.beauxartsnantes.fr

effectif

Effectifs (hors étudiant·es internationaux) : 463 étudiants au total (màj 5/9/2023)

Nantes 348 étudiant·es
L1 : 15
L2 : 130
L3: 92
M1: 57
M2 : 54

Saint-Nazaire 115 étudiant·es 
Classe préparatoire : 36
L1 : 63
L2 : 16

options

Nice

École nationale supérieure d’art de Nice – Villa Arson

présentation

Née de la volonté du ministère Malraux et ouverte en 1972, la Villa Arson est dès l’origine conçue comme un établissement artistique d’un type singulier réunissant une école nationale supérieure d’art, un centre d’art, une résidence d’artistes et une bibliothèque.
Aujourd’hui, la Villa Arson est un
établissement public du ministère de la Culture poursuivant une vocation d’enseignement supérieur, de recherche et de soutien à la création, tout en ayant la volonté de faire découvrir les pratiques artistiques les plus actuelles à un public diversifié.
► Ses missions sont à la fois distinctes et complémentaires :
la formation artistique avec l’accueil d’environ 230 étudiants dans un unique département Art, sur un cursus de trois à cinq années, permettant l’obtention des DNA et DNSEP, diplômes respectivement reconnus au grade de licence et master.
– la production d’oeuvres et d’expositions, avec la réalisation in situ de projets dans le cadre de la
programmation d’expositions et autres manifestations artistiques ;
– l’accueil en
résidence d’artistes, de critiques, chercheurs et d’étudiants dans le cadre d’échanges avec diverses institutions internationales ;
– la mise en place de projets d’
éducation artistique et culturelle et d’actions de médiation par le service des publics ;
– l’
information et la documentation sur l’art contemporain, grâce à sa bibliothèque d’études et de recherche.

► La particularité de cette école – parmi les sept écoles nationales installées en région –  est d’offrir à ses étudiants la possibilité de poursuivre leur cursus dans l’immédiate proximité d’un centre d’art contemporain et de bénéficier directement de la présence des artistes en résidence.  Chaque année, de nombreux acteurs de la création contemporaine sont régulièrement invités à rencontrer les étudiants et à travailler avec eux.

Villa Arson, atelier métal

Villa Arson, atelier métal

► Les ateliers proposés sont autant orientés vers les techniques dites traditionnelles que vers les nouvelles technologies et les pratiques artistiques les plus contemporaines.
L’école est organisée en ateliers techniques de recherche, d’enseignement et de production qui constituent cinq pôles :
Atelier peinture / Atelier dessin / Pôle volume (sculpture, installation, bois, métal, modelage, céramique, textiles et matériaux souples) / Pôle édition (sérigraphie, lithographie, gravure…) / Photographie (argentique et numérique) / Pôle numérique (vidéo, son, infographie, pratiques numériques) / Pôle d’enseignements théoriques et de langue (esthétique, histoire de l’art, histoire des idées, formes cinématographiques, langue anglaise)
À côté de ces ateliers techniques et des cours théoriques en amphithéâtres, les étudiants disposent de vastes ateliers où ils organisent leurs travaux et recherches personnelles.

► L’école est dotée d’un pôle de recherche, de production et d’enseignement basé sur les technologies numériques. Cet équipement offre aux étudiants la possibilité d’expérimenter toutes les manipulations liées à la production et la diffusion de l’image et du son, aussi bien que d’approfondir des recherches dans de multiples domaines (vidéographie, infographie, photographie numérique, son, édition, etc.).
L’établissement abrite également une « galerie d’essais » où les étudiants expérimentent en grandeur nature les conditions d’exposition de leurs travaux.

À l’occasion de son inscription dans l’espace européen de l’enseignement supérieur, la Villa Arson a redéfini la place de la recherche dans son cursus pédagogique. Elle est en mesure de proposer à ses étudiants différents axes de travail résultant de partenariats avec des acteurs de la recherche universitaire et des écoles d’art françaises et étrangères traduisant la singularité de la recherche en art. Pour exemples des atelier de recherche et de création réalisés dernièrement ou en cours :  ECART / réseau européen « art et céramique », LittOral, explorant les relations entre parole, scène et corps et IMPROVISATION/INDETERMINATION autour de l’improvisation et de la performance.

► En 2019-20, la Villa Arson est devenue à part entière membre composante d’UCA, Université Côte d’Azur. Cet adossement à UCA, outre la reconnaissance universitaire des diplômes, apporte de nouvelles perspectives aux étudiants en termes de cursus croisés, de programmes de recherche (à l’exemple de Improvisation/ Indétermination) et d’ouverture vers une riche vie étudiante. Cela a également permis la création de premiers contrats d’études doctorales.
Côté pédagogie,
l’optionalité est désormais proposée aux étudiants dès la première année afin de leur permettre de composer leur propre parcours d’études, d’initiations et d’expérimentations techniques.

Les étudiants peuvent par ailleurs avoir des expériences de médiation culturelle et de montage d’exposition dans le cadre de la programmation du centre d’art et de stages ou d’emplois qu’ils peuvent y effectuer.

Enfin, le site et l’architecture et la qualité des espaces de travail (ateliers techniques et espaces dédiés aux étudiants pour leurs travaux personnels) donnent un caractère exceptionnel à cet établissement et participent d’un cadre propice aux études et aux échanges.

 

…………
CONCOURS D’ENTREE 2021

► EXAMEN D’ENTRÉE EN PREMIÈRE ANNÉE
mardi 18 mai, mercredi 19 mai, jeudi 20 mai, vendredi 21 mai
Sur convocation nominative pour l’une de ces dates.
Inscriptions en ligne ICI, ouvertes du 18 décembre 2020 au 5 mars 2021

ADMISSION PAR ÉQUIVALENCE EN COURS DE CURSUS
Commission d’admission le mercredi 6 avril, jeudi 7 avril et vendredi 8 avril 2021
Sur convocation nominative pour l’une de ces dates.
Inscriptions en ligne ICI, ouvertes du 18 décembre 2020 au 5 mars 2021

L’examen se déroulera pour partie en distanciel (pour les écrits) et en présentiel (pour l’oral), en fonction de l’évolution du contexte sanitaire.
Information à confirmer d’ici mars 2021.

Pour tout renseignement
contacter le Secrétariat pédagogique : ensa@villa-arson.org / Tel. 00 33 (0)4 92 07 73 70.

Examen d’entrée mode d’emploi
Téléchargez le fascicule 2021

La Villa Arson – Ecole nationale supérieure d’art est référencée sur Parcoursup parmi les établissements d’enseignement supérieur artistique.
Cependant les inscriptions à l’examen d’entrée se font (encore cette année) exclusivement via le site internet www.villa-arson.org du 
18 décembre au 5 mars 2021.

La Villa Arson fait partie du réseau Campusart qui permet aux étudiant.e.s internationaux.ales de soumettre leur candidature pour une admission en équivalence via la plateforme créée par Campus France. Les candidatures en ligne peuvent être saisies jusqu’au 28 février 2021.
Pour plus d’informations : www. campusart.org et campusart.org/annuaire des formations
Contact : campusart@campusfrance.org

 

…………….
RENDEZ-VOUS / PORTES OUVERTES 2021
Des vidéos pour découvrir la Villa Arson
Des Rdv / Questions-Réponses jusqu’à mi-mars 2021

La Villa Arson invite le public et les futurs candidat·e·s à l’examen d’entrée à découvrir l’école nationale supérieure d’art au travers d’une série de vidéos présentant le cursus, les diplômes, la pédagogie et les spécificités de l’établissement.
Ces vidéos seront tout prochainement visibles sur www.villa-arson.org et sur facebook @villaarsonnice

D’autre part, en raison des mesures de prévention sanitaire toujours en vigueur, aucune visite réelle du site et des ateliers sous forme de Portes ouvertes ne peut hélas être programmée jusqu’à nouvel ordre.
Néanmoins,
afin répondre à toutes vos questions et d’échanger avec des étudiants, des rendez-vous Questions-Réponses « Rentrer à la Villa Arson » vous sont donnés régulièrement jusqu’à mi-mars, certains mercredis à 14h et jeudis à 18h. Ces Rdv se déroulent à distance sur JTSI, sur inscription préalable svp.

► Dates des Rendez-vous /Questions-Réponses
 À 14h les mercredis 20 janvier, 27 janvier, 3 février, 10 février, 17 février, 3 mars, 10 mars
À 18h les jeudis, 28 janvier, 11 février, 4 mars
Sur réservation préalable : formulaire d’inscription
Le lien sur JITSI vous sera envoyé la veille du Rdv.
N’hésitez surtout pas à faire part de vos centres d’intérêts et questions via le formulaire d’inscription.
Durée : 1h30 environ.

 

 

 

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Villa Arson, vue des terrasses avec Felice Varini, Point de vue, 1984. Coll. Cnap
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Villa Arson, atelier sérigraphie
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Villa Arson Atelier sculpture - métal
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6/16
7/16
Villa Arson, atelier dessin
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9/16
10/16
Villa Arson, atelier céramique
11/16
Villa Arson, galerie d'essais
12/16
Villa Arson, atelier sérigraphie
13/16
Villa Arson, atelier bois
14/16
(c) Villa Arson, atelier métal
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Villa Arson, exposition de Slavs and Tatars, 2020, Pray Way. Photo F. Fernandez
16/16
Sol CALERO Souvenirs 2020

options

DNA  option Art

diplômes

DNA  option Art

troisièmes cycles

3e cycle de la Villa Arson, résidence de recherche

La Villa Arson organise un programme d’étude et de recherche qui fédère autour d’une expérience de travail en commun les entités constitutives de l’établissement : école nationale supérieure d’art (et ses ateliers), centre national d’art contemporain, résidence d’artistes et bibliothèque d’étude et de recherche. Ce programme permet d’accueillir les artistes sélectionné(e)s dans un environnement propice au développement de leur recherche artistique. Cette pratique artistique bénéficie du contexte collaboratif organisé par la Villa Arson avec ses partenaires académiques, en particulier au sein de Université Côte d’Azur, et un réseau international d’art contemporain.
A l’issue d’un appel à candidature pour un programme de recherche, la Villa Arson sélectionne cinq artistes qui sont accueillis en 3eme cycle.
D’une durée de trois ans, ce programme de recherche destiné à de jeunes artistes qui ont obtenu le diplôme d’une école d’art (ou équivalent) depuis au moins deux ans, a pour objectif de permettre à ces artistes de développer leurs recherches et de produire dans le contexte singulier de la Villa Arson.
Il permet d’envisager toutes les pratiques artistiques (arts plastiques, design, musique, danse, cinéma, littérature, etc.) dans la mesure où elles sont intéressées par l’interaction avec les arts visuels.
L’équipe de pilotage du programme réunit la direction et un groupe de professeurs de l’établissement, représentatif des différentes directions artistiques et de recherche de la Villa Arson.
Ces artistes bénéficient de conditions de travail spécifiques et d’un programme de rencontres ad hoc avec différentes personnalités invitées : artistes, commissaires, critiques, théoriciens de l’art et scientifiques.

Infos

unités de recherche

Bricologie

Unité de recherche BRICOLOGIE
Lancée en 2013, subventionnée par les crédits recherche du ministère de la Culture et de la Communication, l’Unité de Recherche Bricologie est un programme de recherche ambitieux autour des relations entre l’art et la technique dans la culture contemporaine. Elle est structurée comme une fédération de projets menés par plusieurs enseignants. Elle implique aussi bien des étudiant-e-s que des chercheurs extérieurs, l’équipe pédagogique et le centre d’art de la Villa Arson, et plusieurs partenariats avec des institutions scientifiques ou artistiques, en France et à l’étranger. Après un premier cycle de 4 ans, l’Unité de recherche Bricologie commence, en 2016|17, une nouvelle série quadriennale de projets.
Les temps forts du programme ont été
– en 2013, un échange avec l’école d’art et de design de Braunschweig (sous la conduite de Burkard Blümlein), deux expositions, l’une en Allemagne (janvier 2014) et l’autre à Nice (février 2015) ; par ailleurs, plusieurs séminaires et workshops ont été entrepris avec les étudiant-e-s.
– en 2015, une exposition au centre d’art de la Villa Arson : Bricologie. La souris et le perroquet (commissariat assuré par Thomas Golsenne, Sarah Tritz et Burkard Blümlein)
– en 2016, une publication scientifique, Essais de bricologie, dans la revue Techniques & Culture, sous la direction de Thomas Golsenne et Patricia Ribault, et le Festival Bricologique, ce sont succédées conférences et journées d’étude, projections de films et rencontres avec des artistes, des bricoleurs et des animateurs de fablabs.

ECART, european Ceramic Art & Research Team

ECART, european Ceramic Art & Research Team
Depuis 2009, le réseau ECART, European Ceramic Art & Research Team, réunit cinq écoles supérieures d’art européennes, spécialisées en art ou en design, autour d’une collaboration pédagogique axée sur la céramique et favorisant les échanges et la mobilité des étudiant·e·s et des professeur·e·s.

KLUB 16, Groupe d’expérimentation visuelle

KLUB 16, Groupe d’expérimentation visuelle
KLUB 16 est un atelier de recherche et de production destiné aux étudiants de 2e cycle. C’est un groupe d’expérimentation visuelle.

Situation post

SITUATION POST Atelier de recherches plastiques et théoriques
Sophie Orlando et Katrin Ströbel
situations post est un atelier de recherches plastiques et théoriques qui investigue la manière dont les changements géopolitiques, économiques et sociaux de 2007 induisent un renouvellement et un ajustement des stratégies d’artiste.
L’objectif général de l’atelier est de discuter de la situation spécifique des artistes pris dans une pensée des contextes (économie de travail, réseaux, publics, modes de production, stratégies, outils, ressources) selon plusieurs axes: culturels, socio-économiques, postcoloniaux et genrés.
L’atelier prend la forme d’une recherche, analyse, transformation des formes de productions artistiques processuelles, issues notamment de la performance et des pratiques collaboratives, et s’attache à définir une réflexion sur les formes de relation à l’espace (espace du texte et de sa notation, espace de production / espace d’exposition, espace de l’archive et du document).
À cette fin, situations post investigue l’écart supposé entre les formats théoriques souvent textuels et les formats plastiques en proposant de travailler d’autres modalités de recherche passant par les mécanisme de traduction et de transformation des savoirs (engageant le transfert de médium sur d’autre, les systèmes de notation notamment).
Il se formalise lors de workshops interdisciplinaires itinérants, de séminaires, des programmes d’échanges, et de séjours de recherche.

éditions

Editions, catalogues d’exposition, éditions d’artistes, publication annuelle des diplômés.

Librairie en ligne : bookshop.villa-arson.org

revues

activités & événements

Expositions du centre d’art. Voir programme
Résidences d’artistes + d’infos
Programme de workshop et conférences, voyages d’études
Programmation cinéma expérimental (Éclat)
Manifestations et événements (organisés par le service des publics ou l’association des étudiants (EVA)
Expositions d’étudiants hors les murs
Prix de la jeune création

activité post- ou périscolaire

Voyages d’études
Stages

Stages et emplois (en vacations horaires) sur les montages des expositions et les activités de médiation culturelles organisées par le service des publics.

coopération internationale

Si la dimension internationale est une constante à la Villa Arson de par l’accueil de professeurs étrangers, de l’invitation de conférenciers et d’artistes étrangers en résidence ou dans le cadre des expositions,de rencontres internationales, pour autant l’établissement poursuit sa politique volontariste en vue de son positionnement international et décline ses activités selon deux orientations complémentaires : la promotion de la mobilité internationale des professeurs, des étudiants et des personnels administratifs ; la consolidation de ses coopérations et de ses partenariats sur des programmes de un à deux ans, sous forme d’ateliers internationaux, expérimentant ainsi avec ses partenaires de nouvelles collaborations.
Chaque année, plus de la moitié de la promotion d’étudiants de 4e année effectue une mobilité internationale, études ou stages, ces derniers étant encouragés par l’établissement. Plus d’un tiers des professeurs est engagé dans un projet international.
Outre ses mobilités individuelles dans les cinquante écoles partenaires dont une quinzaine hors Europe, les professeurs proposent aux étudiants des ateliers internationaux.
Six ateliers internationaux sont en cours, l’atelier européen de Recherche en céramique regroupant six écoles européennes, l’atelier international Pratiques sonores avec le Canada et le Mexique, l’atelier européen Cultures numériques avec la Belgique, l’atelier de recherche Situations post avec des partenaires européens et du pourtour méditerranéen ; l’école OFFSHORE à Shanghaï et le laboratoire international de recherche Drawing Open avec des partenaires néo-zélandais et américains

galerie

Villa Arson, exposition de Slavs and Tatars, 2020, Pray Way. Photo F. Fernandez

Villa Arson, exposition de Slavs and Tatars, 2020, Pray Way. Photo F. Fernandez

La Villa Arson comporte un Centre national d’art contemporain (1500 m2),
une Galerie d’essais de l’école et une Galerie provisoire

équipements spécifiques

Pôle édition-photographie (gravure, sérigraphie, lithographie, édition, photo).
Pôle sculpture-installation (volume, bois, métal, céramique, moulage, textile et matériaux souples).
Pôle peinture-dessin
Pôle numérique (arts numériques, vidéo, son, webauthoring, infographie).
Galerie d’essais (évaluation en situation réelle d’accrochage).

réseaux

ANdEA, L’Ecole(s) du Sud – Réseau des écoles de provnce Alpes Côte d’Azur et de Monaco, Arsonist-Association des amis de La Villa Arson, DCA-Association de développement des centres d’art, Botox[s]-réseau artistique Nice Côte d’Azur.
Programmes EFTLV (Erasmus), OFAJ, CREPUQ, DAAD, Actions Chine-France, Bourses de mobilité Région PACA.

La Villa Arson fait partie de la Comue UCA- Université Côte d’Azur depuis 2016.

équipe administrative

Sylvain Lizon, Directeur
Alain Avena, Secrétaire général
Vittoria Parisi, directeur des études et de la recherche
Nathalie Balmer, Secrétaire pédagogique
Alexia Albouy, Secrétaire pédagogique
Christophe Robert, bibliothèque
Eric Mangion, Directeur du centre d’art
Christelle Alin, Service des publics
Michel Maunier, Communication & partenariat

 

professeurs

Kaloust Andalian, cinéma
Joan Ayrton, dessin
Frédéric Bauchet, atelier céramique
Claire Bernstein,  anglais
Burkard Blümlein, sculpture
Julien Bouillon, pôle numérique
Pascal Broccolichi, pratiques sonores
Caroline Challan-Belval, gravure
Céline Chazalviel, chargée d’enseignement édition
Frédéric Clavère, peinture
Julien Dubuisson, sculpture-installation
Jean-Baptiste Ganne, photographie
N.N., esthétique
Vanina Géré, histoire des arts
Stéphane Magnin, sculpture-installation
Arnaud Maguet, édition infographie
Pia Maria Martin, vidéo
Jérôme Mauche, histoire des idées
Sophie Orlando, histoire de l’art
Jean-Louis Paquelin, chargé d’enseignement disciplines numériques
Pascal Pinaud, peinture-installation
Laurent Prexl, peinture-performance
Anne Séchet, sérigraphie
Susanna Shannon, édition
Katrin Stroebel, dessin
Gauthier Tassart, vidéo-infographie
Christian Vialard, cultures numériques
N.N., photographie

assistants pédagogiques
Stéphane Accarie, photographie
Thierry Chiapparelli, atelier métal
Audrey Lachapelle, atelier céramique
Christophe Merlet, atelier bois

régie technique
Eric Grandbarbe, atelier matériaux souples
Aurélien Merebbah, pôle numérique, amphithéâtres
Simon Nicolas, studio son

coordonnées

20 avenue Stephen Liégeard
06105 Nice cedex 2
tél. +33 (0)4 92 07 73 73

Pour toute question générale: direction@villa-arson.org
Pour contacter l’école :  ensa-nice@villa-arson.org
Communication & presse : communication@villa-arson.org

www.villa-arson.org

Infos pratiques

effectif

250 étudiants
28 professeurs
7 assistants pédagogiques et régisseurs

activités & événements

 

Rdv Portes ouvertes

Rdv Portes ouvertes

RENDEZ-VOUS / PORTES OUVERTES 2021
Des vidéos pour découvrir la Villa Arson
Des Rdv / Questions-Réponses jusqu’à mi-mars 2021

La Villa Arson invite le public et les futurs candidat·e·s à l’examen d’entrée à découvrir l’école nationale supérieure d’art au travers d’une série de vidéos présentant le cursus, les diplômes, la pédagogie et les spécificités de l’établissement.
Ces vidéos seront tout prochainement visibles à partir de cette page et sur facebook @villaarsonnice

D’autre part, en raison des mesures de prévention sanitaire toujours en vigueur, aucune visite réelle du site et des ateliers sous forme de Portes ouvertes ne peut hélas être programmée jusqu’à nouvel ordre.

Néanmoins, afin répondre à toutes vos questions et d’échanger avec des étudiants, des rendez-vous Questions-Réponses « Rentrer à la Villa Arson » vous sont donnés régulièrement jusqu’à mi-mars, certains mercredis à 14h et jeudis à 18h.
Ces Rdv se déroulent à distance sur JTSI, sur inscription préalable svp.

Dates des Rendez-vous /Questions-Réponses
► À 14h les mercredis
20 janvier
27 janvier
3 février
10 février
17 février
3 mars
10 mars

► À 18h les jeudis
28 janvier
11 février
4 mars

► Sur réservation préalable : formulaire d’inscription
Le lien sur JITSI vous sera envoyé la veille du Rdv.
N’hésitez surtout pas à faire part de vos centres d’intérêts et questions via le formulaire d’inscription.
Durée : 1h30 environ.

Nîmes

École supérieure des beaux-arts de Nîmes

présentation

L’ésban — École supérieure des beaux-arts de Nîmes est un établissement d’enseignement supérieur qui forme aux métiers de la création.
L’ésban est un lieu d’étude et d’expérimentation où chaque étudiant·e peut développer sa propre pratique dans un contexte stimulant et varié. Il·elle est accompagné·e par l’équipe d’artistes-enseignant