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Aix-en-Provence École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini Amiens École supérieure d’art et de design d’Amiens Angers École supérieure d’art et de design TALM-Angers Angoulême École européenne supérieure de l’image Angoulême-Poitiers | Site Angoulême Annecy École supérieure d’art Annecy Alpes Arles École nationale supérieure de la photographie Avignon École supérieure d’art d’Avignon Bayonne - Biarritz École supérieure d’art Pays Basque Besançon Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon Bordeaux École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux Bourges École nationale supérieure d’art de Bourges Brest École européenne supérieure d’art de Bretagne | site de Brest Caen École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Caen Cambrai École supérieure d’art et de communication de Cambrai Cergy École nationale supérieure d’arts Paris-Cergy Chalon-sur-Saône École Media Art du Grand Chalon Cherbourg École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Cherbourg Clermont-Ferrand École Supérieure d’Art de Clermont Métropole Dijon École nationale supérieure d’art de Dijon Dunkerque École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing — site de Dunkerque Épinal École Supérieure d’Art de Lorraine | site Épinal Fort-de-France Campus Caraïbéen des Arts Grenoble École Supérieure d’Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble Le Havre École supérieure d’art et design Le Havre Rouen | site Le Havre Le Mans École supérieure d’art et de design TALM-Le Mans Le Port École supérieure d’art de La Réunion Limoges École nationale supérieure d’art et de design de Limoges Lorient École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Lorient Lyon École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon Marseille Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM Metz École Supérieure d’Art de Lorraine | site Metz Monaco Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la Ville de Monaco (ESAP) Montpellier MO.CO. ESBA – École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Contemporain Mulhouse Haute école des arts du Rhin | site Mulhouse Nancy École nationale supérieure d’art et de design de Nancy Nantes et Saint-Nazaire Beaux-arts Nantes Saint-Nazaire Nice École nationale supérieure d’art de Nice – Villa Arson Nîmes École supérieure des beaux-arts de Nîmes Orléans École supérieure d’art et de design d’Orléans Paris École des Arts Décoratifs Paris ENSCI – Les Ateliers Paris Beaux-Arts de Paris Pau École supérieure d’art et de design des Pyrénées – site de Pau Poitiers École européenne supérieure de l’image Angoulême-Poitiers | Site Poitiers Quimper École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Quimper Reims École supérieure d’Art et de Design de Reims Rennes École européenne supérieure d’art de Bretagne | site de Rennes Rouen École supérieure d’art et design Le Havre Rouen | site Rouen Saint-Étienne École supérieure d’art et design de Saint-Étienne Strasbourg Haute école des arts du Rhin | site Strasbourg Tarbes École supérieure d’art et de design des Pyrénées – site de Tarbes Toulon École supérieure d’art et de design Toulon Provence Méditerranée Toulouse institut supérieur des arts et du design de Toulouse Tourcoing École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing — site de Tourcoing Tourcoing Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains Tours École supérieure d’art et de design TALM-Tours Valence École Supérieure d’Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Valence Valenciennes École supérieure d’art et de design de Valenciennes Nantes et Saint-Nazaire Beaux-arts Nantes Saint-Nazaire

Aix-en-Provence

École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini

présentation

L’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini est un établissement public de coopération culturelle, ayant pour mission l’enseignement supérieur artistique et la recherche en art. L’école prépare ses étudiants au Diplôme national d’art (DNA, valant grade de Licence) et au Diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP, valant grade de Master). Elle accompagne aussi un parcours doctoral de recherche en création, en cotutelle avec Aix-Marseille université et le CNRS. De plus, l’école mène des activités de diffusion, de promotion et d’expertise dans le domaine de la création contemporaine en organisant des expositions, cycles de conférences et colloques.
Engagée auprès des habitants de la ville et ses alentours, l’école assure également le fonctionnement des cours de pratiques amateurs pour un public de 400 personnes (enfants, adolescents et adultes) répartis sur 20 ateliers (modelage, peinture, modèle vivant, histoire et actualité de la musique expérimentale, bande dessinée, expression plastique, sérigraphie, photographie, etc.).
Elle valorise le travail de ses étudiants et de ses diplômés à travers des programmes de résidences et de rencontres avec des professionnels de l’art. Elle met en place des actions artistiques visant à garantir l’égal accès de tous à la culture en participant à des événements dans la ville et la région.

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Photo : Christian Merlhiot

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

troisièmes cycles

Doctorat de création

L’ESAAix a documenté à la demande de son rapporteur Jean-Raymond Fanlo, le projet de création d’une nouvelle mention de doctorat « Pratique et Étude de la Création Artistique et Littéraire » adoptée par le conseil scientifique de l’AMU (Aix Marseille Université). Les modes d’accompagnements sur les questions méthodologiques de ce nouveau parcours de thèse ainsi que les questions de codirections sont en cours. Y participe également l’ENSP d’Arles.

Locus sonus

Depuis 2004, l’ESAAix a mis en place Locus Sonus, un laboratoire de recherche de type post-diplôme, spécialisé en art sonore dont l’objectif principal est d’explorer la relation entre le son, l’espace et les usages notamment liés aux technologies émergentes.

Le laboratoire accueille toute l’année des artistes, chercheurs, scientifiques, développeurs ou designers engagés dans ses programmes. Il est le lieu d’encadrement de parcours innovants de doctorats de création
en co-validation avec Aix-Marseille Université, permettant aujourd’hui à des artistes diplômés des écoles d’art de continuer leurs études au niveau BAC +8 vers l’obtention d’un doctorat (le doctorat « pratique et théorie de la création artistique et littéraire », École Doctorale ED 354, Aix-Marseille Université – www.amu.fr).

Locus Sonus fait partie d’une structure de recherche interdisciplinaire plus vaste intitulée PRISM : Perception, Réalisation, Image, Son, Musique.

http://locusonus.org/
http://www.prism.cnrs.fr/

vae

VAE pour le DNA et le DNSEP
+ d’informations

unités de recherche

E-Topie

E-Topie est un programme de réflexion, d’échange, d’expérimentation et de création, une plate-forme qui s’est progressivement structurée depuis 2010 et que nous souhaitons opérationnelle à partir de la rentrée 2013/2014. C’est également un espace de collaboration avec différents partenaires aux activités complémentaires qui permettent à cette plate-forme de se déployer dans et hors l’école sous différentes formes. E-topie se décline en 5 programmes principaux : FRONTIÈRES du 21e siècle, MENTION A/RT, OBS’IN, LOCUS SONUS, DOCTORAT DE CRÉATION.

Locus Sonus – audio in art

Depuis 2004, l’ESAAix a mis en place un laboratoire de recherche de type post-diplôme, spécialisé en art sonore dont l’objectif principal est d’explorer la relation entre le son, l’espace et les usages notamment liés aux technologies émergentes.

Le laboratoire accueille toute l’année des artistes, chercheurs, scientifiques, développeurs ou designers engagés dans ses programmes. Il est le lieu d’encadrement de parcours innovants de doctorats de création
en co-validation avec Aix-Marseille Université, permettant aujourd’hui à des artistes diplômés des écoles d’art de continuer leurs études au niveau BAC +8 vers l’obtention d’un doctorat (le doctorat « pratique et théorie de la création artistique et littéraire », École Doctorale ED 354, Aix-Marseille Université – www.amu.fr).

Locus Sonus fait partie d’une structure de recherche interdisciplinaire plus vaste intitulée PRISM : Perception, Réalisation, Image, Son, Musique.

+ d’info sur le site de locus sonus
+ d’info sur le site de l’ESAAix

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

programmes de recherche

Frontières du 21e siècle

Frontières du 21e siècle est un programme de recherche transdisciplinaire et exploratoire lancé par Cédric Parizot à l’IMéRA en septembre 2011. Associant l’ESAAix depuis son lancement, il regroupe chercheurs en sciences sociales, chercheurs en sciences dures, artistes et professionnels (douaniers, industriels…) pour repenser les mutations des dispositifs de contrôle aux frontières des États ainsi que leur impact sur les espaces et les populations. Opérant un véritable décloisonnement entre ces différentes disciplines, il constitue un outil majeur de structuration de la plate-forme de recherche et de création e-topie arts/sciences/technologies, permettant de modéliser la question de la recherche à l’ESAAix dans un rapprochement pluridisciplinaire. Le croisement des approches permet d’expérimenter des modèles protéiformes de la recherche arts/sciences/technologies et d’inventer les formes nouvelles de production autour des questions d’édition et d’exposition.

Mention A-RT

La mention A-RT qui est attachée au DNSEP option art sera proposée aux étudiants de 2e cycle dès la rentrée 2013/14. Elle rendra explicite un parcours au sein de l’option art qui caractérise depuis de nombreuses années une part de nos enseignements. Ce parcours nécessite la structuration de cette plate-forme à laquelle il participe comme espace de formation et d’expérimentation. Sans exclure pour autant les autres ateliers de l’école. La transversalité étant au coeur de nos pratiques pédagogiques.

Obs/IN

Fondateur de l’Obs/IN, Observatoire des pratiques de création de l’image numérique, avec l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie et l’IUT Imagerie Numérique (AMU-Arles), l’apport spécifique de l’école est lié à la relation nouée art science et technologie que l’école développe depuis de nombreuses années et précisément à partir de l’atelier permanent Art Temps Réel mis en place en 2010.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

éditions

Édition de livres d’artistes, catalogues

activités & événements

Conférences, restitutions de résidences et de worshops, projections
Les semaines thématiques : Deux semaines thématiques de culture générale sont organisées chaque année. Il s’agit d’une série d’interventions destinées à soulever le débat, croiser des points de vue, permettre un moment d’information et d’échanges autour d’une question. Ces semaines sont en général conçues en liaison avec des activités pédagogiques initiées dans l’école, comme un contre point, un moment d’élargissement d’une réflexion, un moment de rencontre aussi.

activité post- ou périscolaire

L’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini propose des ateliers de pratiques artistiques aux amateurs de tout âge. Les cours sont construits avec la rigueur d’un enseignement de formation supérieure, dispensés par des artistes professionnels et s’adressent à des passionnés. L’enseignement repose d’abord sur le plaisir de l’art et de la création et veille également à créer un lien avec la vie culturelle et artistique de la ville afin de susciter et satisfaire la curiosité de chacun. Les élèves des ateliers publics disposent d’un accès à la médiathèque de l’école et peuvent y emprunter les ouvrages et autres ressources documentaires.

coopération internationale

La politique internationale de l’école vise à enrichir et développer le projet d’établissement, caractérisé par une approche critique et participative de la pédagogie, son échelle et son implantation dans le territoire, par deux axes de recherche qui identifient son projet dans le champ de l’art. Dans cette optique, l’école a défini trois approches stratégiques de mobilité internationale :
– Le premier axe vise le développement d’un sentiment d’appartenance active à une communauté artistique internationale. D’une part, comme c’est le cas pour de nombreux établissements d’enseignement artistique, il s’agit de mettre en œuvre des dynamiques portant notamment sur l’autonomisation, la responsabilisation de l’étudiant et une approche critique ou participative de la pédagogie en art. Les enjeux environnementaux, politiques et sociétaux qui occupent une place centrale dans les projets développés à Aix-en-Provence nourrissent donc un travail de prospection international qui permet d’établir un dialogue fructueux avec l’ambition d’établissements similaires. D’autre part, deux faisceaux de recherche développés à l’école, l’un par le laboratoire Locus Sonus et l’autre à travers le programme Décor, Dispositif, Déplacements nourrissent des projets en lien avec des partenaires internationaux, permettant ainsi à l’étudiant d’inscrire sa recherche dans un écosystème artistique étendu.
– Le deuxième axe s’attache à l’amélioration de la mobilité et de l’accueil des étudiants internationaux. Chaque année, un étudiant sur cinq intègre l’école dans le cadre de programmes d’échange via la plateforme Campus art ou par voie de concours. En parallèle, plusieurs artistes chercheurs étrangers, sélectionnés lors d’un appel à projet, sont accueillis en résidence par Locus Sonus pour développer un projet en résonance avec les axes du laboratoire. Un artiste en situation d’exil économique et politique, enfin, est accueilli à l’école dans le cadre du programme Artist protection fund. Une forte interaction est alors rendue possible tout au long de l’année entre étudiants, résidents, chercheurs, enseignants et membres de l’équipe.
– Le troisième axe de mobilité internationale est basé sur l’appréhension par l’étudiant, mais aussi par l’enseignant ou le personnel, d’autres systèmes de références au contact de cultures artistiques et de modèles économiques différents. À ce titre, l’école accompagne les projets de mobilité internationale dans le cadre de séjours d’études, de stages et de formations professionnelles. Cette expérience, encouragée au premier semestre de la quatrième année du cursus, vient soutenir et confirmer une expérience d’ouverture sur le monde et de professionnalisation du parcours artistique.

équipements spécifiques

L’école bénéficie de plusieurs ateliers de pratique et de technique dirigés par des enseignants : dessin, numérique, peinture, édition, mécatronique, performance, photographie, son, vidéo, volume, bois et métal

réseaux

Réseaux d’établissements supérieurs : ANdÉA, École(s) du Sud

équipe administrative

Christian Merlhiot, directeur
Céline Marx, responsable des enseignements et de la professionnalisation
Elza Espenel, assistante pédagogique et chargé de la vie étudiante
David Bouchet, responsable des relations internationales et recherche
David Brasseur, responsable technique
Juliette Beorchia, responsable de la médiathèque
Sophie Kerléaux, responsable de la communication

professeurs

Cécile Ampelas
Jean-Marc Andrieu
Romain Bigé
France Cadet
Hémery Jacques
François Lejault
Catherine Melin
Jurgen Nefzger
Paul-Emmanuel Odin
François Parra
Abraham Poincheval
Josué Rauscher
Graeme Reid
Barbara Satre
Jérémie Setton
Peter Sinclair
Guillaume Stagnaro
Douglas Edric Stanley
Camille Videcoq

coordonnées

Rue Émile Tavan
13100, Aix-en-Provence
tél. +33 (0)4 65 40 05 00
contact@ecole-art-aix.fr
www.esaaix.fr
brochure.ecole-art-aix.fr
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effectif

  • 145 étudiants
  • 19 enseignants
  • 12 assistants d’enseignement

Amiens

École supérieure d’art et de design d’Amiens

présentation

L’Esad d’Amiens propose deux filières d’enseignements artistiques orientés vers l’image :
– le design : design graphique, design numérique, dessin de caractères
– l’image animée : animation 3D pour le cinéma et le jeu vidéo.

L’objectif de l’Ésad d’Amiens est de conduire chaque étudiant à acquérir les connaissances et les savoir-faire fondamentaux tout en approfondissant constamment sa propre démarche artistique. Cette progression s’obtient par une ouverture culturelle avérée, de nombreuses expérimentations plastiques et le développement d’une capacité critique. C’est par ce cheminement que l’étudiant fait émerger progressivement sa position dans le champ de la création pour, ensuite, l’inscrire dans une perspective professionnelle. Cette pédagogie est propre au réseau des écoles d’art publiques du Ministère de la Culture. L’Ésad d’Amiens y ajoute la particularité de préparer ses futurs diplômés à exercer dans des secteurs dynamiques autour de l’image auxquels ils sauront s’intégrer et qu’ils contribueront à faire évoluer.

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Esad Amiens
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Portes ouvertes 2019, Salle de 2e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 2e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 2e année
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(c) Esad Amiens, Atelier de sérigraphie
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Salle de Volume © Samuel Dhote
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Portes ouvertes 2019, Salle de Volume
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Portes ouvertes 2019, Salle de 3e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 3e année
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Portes ouvertes 2019, Salle de 4e année
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Portes ouvertes 2019, Galerie
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École supérieure d’art et de design d'Amiens © Michel Sabbagh
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Département Waide Somme © Samuel Dhote
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Département Waide Somme © Samuel Dhote
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Département Waide Somme © Samuel Dhote
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Département Waide Somme © Samuel Dhote

options

Art (image animée)
Design (design graphique)
Design (design graphique en double cursus avec le Master User eXperience Design)

diplômes

DNA  option Art mention images animées
DNA  option Design mention design graphique
DNSEP  option Art mention images animées
DNSEP  option Design mention design graphique
DNSEP  option Design mention design numérique
Master User eXperience Design de l'Université de Technologie de Compiègne (double cursus DNSEP option Design mention design numérique)

post-diplôme

EsadType

Le post-diplôme EsadType est destiné à former de futurs dessinateurs de caractères latins et non latins. D’une durée de 16 mois, son recrutement est international. Ses enseignements sont en anglais pour les cours théoriques, et en français ou en anglais pour le suivi de projet. Ce cursus conduit à la production d’un grand projet. Il bénéficie de journées d’études consacrées à l’histoire et à la création typographique. La soutenance en fin de parcours du post-diplôme a lieu devant un jury international.

formation continue

Animation 3D, Esad d’Amiens

À destination des professionnels et des demandeurs d’emploi, l’offre de formation concerne les domaines de l’animation 3D, de la création numérique et du design graphique. Les stagiaires intègrent une formation thématique ou bénéficient d’un parcours personnalisé. Sous certaines conditions, les stagiaires peuvent bénéficier d’aides du Pôle Emploi, de la Région Hauts-de-France, et de l’AFDAS.
Les formations thématiques sont présentées sur les sites web de l’Ésad d’Amiens et de Waide Somme. Les personnes souhaitant effectuer un parcours personnalisé s’adressent directement au service de la scolarité.
Renseignements : Guillaume Darras
waide-somme@amiens-metropole.com
www.waide-somme.fr

unités de recherche

de-Sign-e

L’Unité De-Sign-e de l’Ésad d’Amiens développe deux axes de recherche orientés sur l’écriture, le signe, la typographie et le langage d’une part, et deux axes d’adossement à la recherche qui traitent de problématiques liées au design numérique pour l’un et aux relations entre art et technologie pour l’autre.

programmes de recherche

Design numérique

L’axe de recherche en design numérique est né de la rencontre avec des chercheurs du Costech, unité de recherche pluridisciplinaire du département Technologies et sciences de l’Homme de l’Université de Technologie de Compiègne (UTC). Le partenariat s’est constitué avec l’équipe CRED qui s’interroge sur « les dimensions techniquement constituées et techniquement constituantes de l’expérience humaine ». Le CRED mène des recherches cognitives basées sur le concept d’Enaction lui-même inspiré du philosophe Martin Heidegger et de la phénoménologie de Maurice Merleau-Ponty. L’approche constitutive d’un individu dans son environnement, notamment technologique, est étudiée par le CRED dans le cadre de programmes de recherche sur la suppléance perceptive au service des handicaps (exemple : un individu privé de la vue peut s’informer grâce à des dispositifs technologiques sonores ou vibrants). L’objectif de la coopération avec le cours de 4e année en design numérique de l’Ésad est de confronter les propositions (dispositifs scientifiques) des chercheurs avec des scénarios d’usage (design de services numériques) imaginés par les étudiants, ceci afin de nourrir les hypothèses des travaux de recherche. Pour l’Ésad, l’objectif est de permettre aux étudiants d’accéder à un savoir scientifique et à des protocoles d’expérimentation à partir desquels ils peuvent produire des scénarios novateurs. L’enjeu est de soutenir le développement de l’enseignement au design numérique : développer une dimension collaborative interdisciplinaire, comprendre les processus qui vont de la recherche à l’innovation, inviter les élèves à effectuer une veille sociale et technologique…).

Gestual Script

L’équipe de recherche Gestual Script mène, depuis 2008, des recherches pluridisciplinaires issues d’un premier projet portant sur la notion de conception d’une écriture pour la langue des signes (Gestual Script), lequel s’est poursuivi par projet de transcription graphique de la langue des signes à l’usage de la communauté scientifique (Typannot). L’équipe a été également partenaire d’une recherche concernant un environnement d’apprentissage scriptural (Descript, coordonné par l’UTC). Les perspectives ouvertes par ce projet maintenant terminé ont conduit à définir un nouveau projet de recherche destiné à la sauvegarde du geste scriptural (InScript).

L’originalité de ces travaux est qu’ils associent un champ de recherche émergent en design graphique et typographique à des disciplines scientifiques reconnues : la linguistique et la psychologie cognitive. L’objectif, pour l’Ésad, est de fonder une position scientifique singulière au service du développement de sa propre discipline, laquelle est abordée ici à partir de sa capacité à développer une gestualité productrice et créatrice de traces susceptibles de constituer un corpus de glyphes. Les enjeux sont multiples : développer les savoirs disciplinaires en graphisme et la pédagogique du design, définir une recherche transdisciplinaire à partir d’une équipe pluridisciplinaire, qualifier les enseignants et jeunes chercheurs, irriguer les cycles de formation des étudiants dont le post-diplôme, être en mesure de s’adosser à une école doctorale.

Marionnette Numérique (adossement à la recherche)

La recherche sur la Marionnette Numérique porte sur un dispositif permettant la projection d’images animées sur une marionnette manipulée sur scène et dont le corps, recouvert d’un tissu neutre, sert d’écran. Un tel procédé, une animation projetée sur un objet lui même en mouvement, n’existait pas auparavant. L’objectif est d’associer la technique de vidéo mapping et celle de la capture de mouvement, l’enjeu artistique étant de proposer une nouvelle forme créative et d’en expérimenter le potentiel narratif. L’enjeu institutionnel est de fonder une dimension réflexive sur notre pratique disciplinaire afin d’ouvrir des perspectives de recherche et de collaboration avec l’université, et ceci d’autant plus que nos enseignements ont besoin de se distinguer d’une offre de formation par ailleurs majoritairement portée par le secteur privé et très orientée vers la profession.

Typographie, histoire et création

L’axe de recherche Typographie, histoire et création, ouvert en 2013, propose de fonder une approche historique de la typographie pour en constituer les savoirs et afin de les délivrer à des enseignants chercheurs comme à des populations d’étudiants se formant au dessin de caractères. L’objectif est de développer des recherches et études sur les dessinateurs de caractères anciens et contemporains et d’en diffuser les résultats notamment dans le cadre d’un centre de ressources et d’archives à constituer. Les enjeux sont communs à ceux de l’équipe Gestual Script avec, en sus, le souhait de faire émerger la typographie en tant que discipline au niveau national et que ceci soit reconnu au niveau l’international.

éditions

éditions propres, coéditions en design graphique et en typographie

revues

revues

Expositions
Workshops
Journées d’études, séminaires, colloques, conférences
Mnemosyne

coopération internationale

L’école bénéficie du programme Erasmus+ et des bourses régionales (Mermoz) pour les étudiants qui souhaitent réaliser une mobilité d’études ou de stage à l’étranger.

Les partenariats Erasmus+ de l’Ésad d’Amiens :
Belgium, Anvers Royal Academy of Fine Arts d’Anvers
Belgium, Bruxelles Bruxelles ESA Saint-Luc Bruxelles
Belgium, Bruxelles École de recherche graphique
Germany, Karlsruhe Karlsruhe University of Arts and Design
Germany, Cologne TH Köln/University of Applied Sciences
Germany, Mayence Fachhochschule Mainz University of Applied Science
Germany, Weimar Bauhaus Universität Weimar
Ireland, Limerick Limerick Institute of Technology (LIT)
Italy, Urbino ISIA di Urbino
Italy, Venezia Università Iuav di Venezia
Lithuania, Vilnius Vilnius Academy of Art
Poland, Łódź Strzeminski Academy of Art Łódź
Portugal, Barcelos Escola Superior de design
Slovénie, Ljubljana University of Ljubljana
Tchéquie, Prague, UMPRUM Academy of Arts Architecture & Design

Les partenariats internationaux de l’Ésad d’Amiens :
South Corea, Gyeonggi-do PaTI, Paju Typography Institute

galerie

L’Ésad d’Amiens dispose d’une galerie et y expose régulièrement des travaux de graphistes ou d’artistes, ainsi que des projets d’étudiants.

équipements spécifiques

Centre de ressources documentaires
Fonds d’ouvrages spécialisés, collections de spécimen de caractères, fonds d’archives de graphistes.

Équipements spécifiques
Équipement informatique, dont 1 poste de travail pour chaque étudiant en animation 3D
Matériel photographique, vidéo et audio
Composants micro-électroniques pour le prototypage numérique
Imprimante 3D
Imprimantes dans les salles de cours

Ateliers équipés
Atelier volume
Atelier de sérigraphie
Atelier d’impression numérique, dont deux imprimantes Riso, 1 traceur adhésif
Atelier reliure
Laboratoire de photographie argentique
Atelier de typographie au plomb

Partenariat avec La Machinerie, fab lab amiénois, pour la fabrication et le prototypage de projets.

réseaux

ANdEA

équipe administrative

Barbara Dennys Directrice
Alisa Nowak Coordinatrice département design | relations internationales
Cécile Welker Coordinatrice département image animée
Catherine Cresson Rondon Responsable du service de la scolarité
François Lenin Adjoint au service de la scolarité
Myriam Terchani Responsable du personnel
Sylvie Debure Responsable administrative et financière
Laurence Julien Agente financière
Peggy Letuppe Responsable du centre de documentation
Guillaume Darras Responsable informatique
Arnaud Fudala Informaticien
Anthony Roinet Responsable technique
Arnaud Vilbert Responsable de l’atelier volume

professeurs

Donald Abad
Mathieu Allard
Vinçent Blary
Pierre Boutiller
François Caspar
Olivier Charpentier
Jean-Claude Chianale
Léonore Conte
Olivier Cornet
Françoise Courbis
Arnaud de la Bâtie
Patrick Doan
Rémi Dumas Primbault
Olivier Fraisier
Virginie Gervaise
Dominique Giroudeau
Julien Grigny
Frédéric Guérin
Clément Hector
Laurent Herbet
Paul Heynen
Stéphanie Katz
Sarah Kremer
Eva Kubinyi
Yvain Lecryt
Alexis Leleu
Nicolas Lenys
Jean-Baptiste Levée
Christophe Loy
Daniel Ly
Éric Madeleine
Sara Martinetti
Sébastien Morlighem
Cécile Noesser
Patrick Paleta
Hally Pancer
Isabelle Prieur
Anna Radecka
Simon Renaud
Romain Renault
Nick Roberts
Christian Rondet
David Rosenfeld
Clément Saudemont
Mike Tarrate
Olivier Thiébaut
Cécile Walker
Mark Webster
Benoit Wimart

coordonnées

40 rue des Teinturiers
80080 | Amiens
tél. +33 (0)3 22 66 49 90
esad@amiens-metropole.com
www.esad-amiens.fr

effectif

200 étudiants

Angers

École supérieure d’art et de design TALM-Angers

présentation

L’École supérieure d’art et de design TALM, produit de la réunion de trois écoles Tours, Angers et Le Mans, est un établissement sous tutelle du ministère de la Culture. Elle offre un vaste éventail de formations : en art, en conservation-restauration, en design avec des spécialisations espace, objet, sonore, mécatronique et computationnel, en sculpture, en techniques textiles. L’enseignement y est dispensé par un corps professoral – artistes, plasticiens, photographes, architectes, chercheurs, designers, théoriciens, conservateurs-restaurateurs, etc. – dont les qualités pédagogiques se doublent de talents et de compétences multiples.
Grâce à son vaste réseau partenarial dans les territoires régionaux, nationaux et internationaux, TALM permet à ses élèves de découvrir l’univers pluriel de l’art et du design contemporain, de la conservation-restauration, d’effectuer des stages dans le monde entier et de préparer avec efficacité leur insertion professionnelle.
L’établissement accorde une attention toute particulière à la recherche dans les disciplines de la création dont il sait maîtriser les enjeux et relever les défis. Singulière, attentive à la qualité de ses enseignements et soucieuse d’anticiper l’avenir de ses élèves, l’École supérieure d’art et de design TALM se pose comme l’un des acteurs essentiels de l’enseignement supérieur public artistique en France.

L’offre de formation de TALM

L’organisation en trois sites de TALM est une chance qui permet aux élèves d’éprouver de multiples médiums, d’ouvrir des voies nouvelles, d’expérimenter des techniques. L’enseignement à TALM, qui articule expérimentation, théorie, pratique et recherche, est assuré par des professionnels de haut niveau, artistes ou théoriciens.  Les élèves sont accompagnés vers la gestion autonome de leur engagement artistique afin de pouvoir construire un parcours singulier qui prend en compte l’aspiration artistique, les enjeux théoriques et les besoins techniques d’une création. Depuis 2011, TALM a intégré le système LMD (licence, master, doctorat) inscrivant ses formations dans le cadre de l’espace européen de l’enseignement supérieur. Le rayonnement des élèves à l’international, l’insertion professionnelle et la recherche dans les disciplines de la création irriguent le projet pédagogique de TALM.

 

Journées Portes ouvertes

>Vendredi 2 février et samedi 3 février 2024

Horaires et programme sur esad-talm.fr

 

Concours d’entrée en 1re année Art ou Design

> Épreuves théorique et pratiques : 6 et 7 avril 2024 en distanciel
> Entretien devant le jury : le 17 ou 18 avril 2024 à TALM-Angers

Sujets à télécharger sur esad-talm.fr à partir du 4 avril 2024

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Art mention Techniques textiles
DNA  option Design
DNSEP  option Art mention ÉCRAN _ Écritures cinématographiques et récits animés
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention EXTRA _ Expérimentations textiles et recherche en art
DNSEP  option Art mention PATTERN _ Pratiques artistiques et technologies réactives numériques
DNSEP  option Design

post-diplôme

Art by translation

Art by Translation est un programme de recherche et d’exposition initié par l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy et l’École Supérieure d’Art et de Design ALM-Angers, dirigé par Maud Jacquin et Sébastien Pluot, directeurs fondateurs, et Jeff Guess, directeur pédagogique réalisateur. Il est soutenu par le ministère français de la Culture et collabore avec de nombreuses institutions académiques et artistiques internationales.

Organisé en sessions consacrées à des thèmes de recherche spécifiques, ce programme itinérant se déroule sur différents sites d’Europe et d’Amérique du Nord et développe des projets artistiques et deconservation, des événements discursifs et des publications en collaboration avec des musées, des écoles d’art et des universités. En tant que programme de troisième cycle, il implique chaque année quatre artistes et conservateurs sélectionnés.

Les participants 2018-2019 sont Lila Athanasiadou, Jasmin Blasco, Daniel Frota et Slow Reading Group (Bryana Fritz et Henry Andersen). La première session est consacrée aux processus et aux enjeux idéologiques de la traduction dans les arts.

classe préparatoire

Classe préparatoire de l’École d’arts du choletais

Convention avec l’École supérieure d’art et de design TALM

La classe préparatoire

34 heures de cours hebdomadaires sont dispensées de septembre à mai : cours d’anglais, dessin, histoire de l’art, art contemporain, volume, arts appliqués, estampe, création assistée par ordinateur, atelier de recherche, couleur, photo, rencontres avec des professionnels de la création et d’anciens étudiants de l’école. L’équipe pédagogique est composée de plasticiens ou critiques d’art. Des bilans trimestriels sont rendus aux étudiants sous forme d’un bulletin rempli par l’ensemble des professeurs et de la direction. Un oral blanc devant un jury composé de professeurs de l’école, de la direction, d’un artiste invité est organisé en mars.

L’étudiant est invité à expérimenter l’interdisciplinarité et à approfondir les domaines du design, du graphisme, de l’architecture, du cinéma et de la littérature, autant de pratiques qui nourriront ses futures productions personnelles.

https://www.cholet.fr/download/down/eac_livret_etudiant.pdf

unités de recherche

La plateforme de recherche de l’Esad TALM – site d’Angers

Sept programmes de recherche sont à ce jour identifiés, ils constituent une plateforme de recherche collaborative dont la structure repose à la fois, sur une Unité de recherche des programmes autonomes, et une coordination fonctionnelle. Deux types de programmes se développent au sein de la plate forme : Ceux s’inscrivant dans un temps longs et structurant, à la fois pour la recherche, le 3ème cycle et les formations initiales, et ceux dont la durée s’installe sur une période courte, entre 18 et 24 mois.
L’Unité de recherche regroupe les programmes longs. Son fonctionnement est assuré par un coordinateur de recherche dont les missions répondent à plusieurs inflexions : l’accompagnement administratif et la veille à appels à projet, la valorisation, l’articulation avec le 3ème cycle et son développement à l’international. A la fois physique et fonctionnelle, cette plate forme est adaptée à la recherche dans une école d’art parce que le transfert d’une pratique artistique est différent de celle d’un savoir, la forme et la temporalité de ces programmes peuvent se décliner différemment suivant les besoins et suivant les options d’où ils émergent. Pour l’essentiel les travaux émanant des programmes et de l’Unité de recherche s’adressent aux différents milieux professionnels de la création dont celui de l’art qui est central. Les modes de diffusion que sont l’exposition, la monstration, la démonstration, la projection, etc… sont formellement la conséquence de l’objet de recherche qui sous tend les conditions d’existence sociale de la pratique artistique et de ses enjeux à partager.

Le Conseil scientifique
Le développement de la recherche est accompagné par un Conseil scientifique qui est une instance consultative de l’établissement. Il est composé des enseignants porteurs d’un programme de recherche, de personnalités qualifiées, du coordinateur et des directeurs de site. Sa mission d’expertise et de conseil porte sur les formations initiales, les post diplômes, le 3e cycle et leur développement respectif, la recherche et son développement stratégique. Ses avis sont portés devant la Conseil Pédagogique et de la Vie Etudiante (CPVE) et débattus. Ils peuvent être validés par le Conseil de Direction avant d’être mis en délibéré lors d’un Conseil d’Administration si nécessité fait loi.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

programmes de recherche

En traduction

Directeurs de recherche : Sébastien Pluot
Professeurs associés
TALM : Fabien Vallos, Jacqui Riva & Goeffrey Lowe.
Barnard College, University of Columbia : Peter Tracey Connor, Brian O’Keffee
Ce programme de recherche a pour ambition de développer un approfondissement des connaissances théoriques sur les phénomènes et procédures de traduction dans les arts qui engagent un champ de problématiques liés aux théories linguistiques, la technique, la psychanalyse, les théories esthétiques (les relations entre les arts et le rapport à l’oeuvre, son interprétation, sa compréhension). La recherche prend en compte les phénomènes de traductions dans toutes leurs dimensions : inter-linguistiques (d’une langue à l’autre) comme intra linguistiques (la métaphore, la métonymie, l’allégorie) et intersémiotiques (d’un médium vers un autre). La recherche historique et théorique est envisagée dans une articulation permanente entre des pratiques curatoriales, de productions d’oeuvres et de publications. Ce programme a produit une série de projets d’expositions, de conférences et de colloques : Living Archives, Louie Louie et Art by Telephone Recalled.
En traduction est devenu un programme de recherche international qui se développe à partir d’un partenariat entre l’esba TALM site d’Angers, le San Francisco Art Institute, le Cneai de Chatou et le département « Barnard Translation Center » du Barnard College, Columbia University, New York. De nombreux autres participants au projet interviennent lors des séminaires, des expositions ou publications : Mel Bochner, Artiste ; Pierre Bal Blanc, Commissaire et critique ; Corinne Diserens, Historienne de l’art et commissaire d’exposition ; Silvia Kolbowski, Artiste ; Nicolas Knight, artiste ; Ben Kinmont, artiste, Marcella Lista, historienne de l’art ; Pierre Leguillon, artiste ; Fabrice Reymond, artiste ; Julia Robinson, historienne de l’art, professeur à NYU ; Coline Sunier & Charles Mazé, graphistes ; Avital Ronell, professeur de Littérature comparée à New York University et l’European Graduate School, Suisse ; Yann Sérandour, artiste ; Raphael Zarka, artiste.
En Traduction se décline autour de trois volets :
-Art by Telephone
www.artbytelephone.com
-Living Archives
living-archives.com
-Une traduction d’une langue en une autre

Low, fictions et stratégies du peu en design et en architecture

Enseignants référents : Catherine Geel, David Enon, Pascal Riffaud et Denis Brillet (Block)
Partenaires : Sandberg Instituut, Amsterdam, Gili Eco Trust, S.A.R.A (Société d’aménagement de la région d’Angers.
La recherche propose au terme de deux années des premières réponses théoriques et plastiques à un ensemble de termes correspondant à des stratégies du peu (pauvreté, absence, vide, carence, manque, dénuement, austérité, simplicité, épuisement, faible, diffus, fragile), à ses fictions (catégorie de la croyance moderne versus outil de critique postmoderne) et leurs relations aux écritures plastiques du design, de l’architecture et de l’art. Deux études de cas (tissus urbain et territoire auto-administré) permettent d’envisager différents aspects des techniques aujourd’hui employées, tant sur le plan des pratiques d’expertises de territoire, des productions plastiques (dans l’environnement et domestiques) et d’intégration des systèmes (énergétiques, écologiques, culturels et administratifs) que sur les significations de ces gestes au sein d’une industrie culturelle sans cesse en demande.
L’édition : Low, fictions et stratégies du peu
vol.1. rassemblera les textes d’études, les interventions de conférenciers et les travaux d’étudiants (état de l’art), les actes du Festival « Design Poverty Fiction » organisé à Hornu (Centre d’art – Belgique – mars 2013) par l’option Design (Arc BNC) EPCC Talm-Angers, le Dirty Art Department (Sandberg Instituut) et le département Design Objet (Arts Déco-Paris), ainsi que le travail d’analyse et d’exposition « Prospectives architecturales » mené au sein du département Design d’Angers (novembre 2012-octobre 2013). Elle se présente comme un état de l’art et des éléments utilisés pour la recherche.

Réseau CINEMA

Directeurs de recherche : Judith Abensour
Enseignant associé : Thomas Bauer

En collaboration avec les écoles supérieures d’art de Toulon, d’Aix-en-Provence, d’Angers, de Marseille et de Valence-Grenoble.

Réseau cinéma en écoles supérieures d’art : avec l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017, 2017-2018 en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.

Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ? Le programme de recherche « Cinéma » pose la question de la place du cinéma dans une école d’art et travaille à partir de toutes les contradictions et de tous les paradoxes que le cinéma porte en lui depuis son origine et qui sont toujours aussi pertinents dans notre contexte actuel de production des images. En effet, le cinéma, entendu dans ce sens, semble alors porter à son point extrême de tension, un certain nombre des enjeux de l’art d’aujourd’hui : l’articulation entre art et non-art, les relations entre le visible et le lisible, le rapport à la technique et à la reproduction, la tension entre document et mise en scène du réel. Tous ces éléments nous font penser que le cinéma n’est plus seulement à considérer comme l’espace où se fabriquent et se diffusent des films, mais bien plus généralement comme un des régimes de l’art contemporain quel que soit le médium ou la pratique revendiqués.
Faux-raccord
« Faux raccord » entend être un dispositif qui pose les principaux jalons théoriques d’une équipe cinéma dans une école d’art et qui parallèlement développe une méthodologie pratique. « Faux raccord » propose de faire du cinéma un moteur de décloisonnement des disciplines. Nous entendons créer un espace collectif de réflexion réunissant artistes, écrivains et théoriciens pour échanger sur leur rapport au cinéma dans des pratiques autres que des pratiques strictement filmiques. « Faux raccord » produit des formes hétérogènes qui donnent lieu à une circulation de pensées et à divers formats de transmission et de diffusion : des éditions chez Le Gac Press (West de Marcelline Delbecq, Passages de l’histoire de Dork Zabunyan, Sommeil léger de Dominique Petitgand, Stairway to d’autres supports de Jean-Charles Massera. Livrets à venir de Pierre Creton et de Raymond Bellour). En lien avec les éditions, un colloque et une exposition sont en préparation pour l’automne 2014.
Dans le cadre de cette recherche, plusieurs partenariats ont été mis en place : une convention de recherche en 2013 avec l’université Paris 7 l’université Paris 7- Denis Diderot (CERILAC) et l’université de Paris 13 – Villetaneuse (CENEL) pour le projet « Les contemporains. Littérature, arts visuels et théorie. ». Il a donné lieu à une journée d’études au printemps 2013, intitulée « Sur quelques événements politiques récents. ». Un partenariat avec l’ESAD – Grenoble Valence pour le Projet « Entr’écoles » : Des formes de la transmission à la transmission comme forme – Un film de Grenoble par Kassel (2013-2014). Un partenariat avec le festival Premiers plans d’Angers qui donne lieu à l’organisation de programmations de films. Nous assistons chaque année au séminaire automnal du BAL organisé à l’EHESS-Paris et souhaitons renforcer à l’avenir le lien avec cette institution. Le programme, soutenu par l’Institut Français, a une portée internationale. Le film Parades a été réalisé à l’issue d’un partenariat avec Beit Berl College en Israël. Un projet « Crossing documents » est en cours en partenariat avec l’Académie Internationale des Arts en Palestine à Ramallah.

programmes de recherche

Journées Portes ouvertes

> Vendredi 2 février et samedi 3 février 2024

Concours d’entrée 1e année Art et Design

> Épreuves théorique et pratiques : 6 et 7 avril 2024 en distanciel
> Entretien devant le jury : le 17 ou 18 avril 2024 à TALM-Angers

activité post- ou périscolaire

Cours publics
Des cours et ateliers sont conçus pour répondre aux attentes du public amateur.
Ils ont lieu le soir ou la journée et durent de deux à trois heures. Des voyages sont occasionnellement organisés pour des visites d’expositions, des rencontres d’artistes.
– Ateliers d’éveil aux arts plastiques (6 -14 ans)
– Cours de dessin préparatoires (15-20 ans)
– Dessin et peinture (15-20 ans) – Multimédia (15-20 ans)
– Dessin, croquis (18 ans et +)
– Dessin et peinture (18 ans et +)
– Peinture (18 ans et +)
– Histoire de l’art (18 ans et +)
– Modelage, volume, sculpture (18 ans et +)
– Gravure (18 ans et +)
+ d’informations

Intensifs
Ces ateliers sont proposés sous la forme de sessions courtes – de cinq à treize séances d’une durée de deux heures. Elles ont pour objectif de faire découvrir un médium inédit dans les ateliers de pratiques amateurs : photographie, fonderie, film d’animation ou encore tapisserie. Les intensifs sont encadrés par des intervenant professionnels. Ces ateliers sont accessibles à partir de 15 ans.
– Photographie (technique)
– Photographie (artistique)
– Film d’animation
– Fonderie
– Textile miniature
+ d’informations

Stages
Les stages pour adultes et pour enfants sont encadrés par des intervenants professionnels. Les stages pour adolescents sont des stages monitorés. Ils sont encadrés par des élèves de quatrième ou de cinquième années de l’École supérieure d’art et de design TALM-Angers.
+ d’informations

coopération internationale

TALM élargit chaque année son envergure internationale en développant de nombreux partenariats avec des écoles d’art et des institutions étrangères.
L’établissement offre de multiples possibilités de séjours d’études à l’étranger. Les programmes d’échanges s’inscrivent dans le cursus normal de l’étudiant et sont proposés en priorité aux étudiants de quatrième année. Le séjour d’études dans une école étrangère oblige à confronter les premières ébauches d’un projet personnel à d’autres enseignants, d’autres milieux pédagogiques et culturels. Les trois sites de l’école signent des conventions bilatérales Erasmus pour la mobilité de leurs étudiants et de leurs professeurs et ont également des partenariats privilégiés avec des institutions hors Europe.
Établissements partenaires ERASMUS

galerie

2 salles d’exposition intégrées.

équipements spécifiques

Ateliers sérigraphie, lithographie, gravure, fab-lab, céramique, édition/impression, cinéma-vidéo, photographie, informatique, fonderie, métallerie, menuiserie-ébénisterie, textile…

réseaux

ANdÉA, Art Accord France, ELIA (European League of Institutes of the Arts), Institut français, OFAJ (Office franco-allemand pour la jeunesse), Campus Art, ENCoRE (European Network for Conservation-Restoration Education), Le Bois Sacré.
+ d’info sur les partenaires

équipe administrative

Marie-Haude Caraës Directrice générale TALM
Anne-Hélène Frostin Directrice TALM-Angers, directrice adjointe TALM
Corinne Arrivé Assistante de direction
Sylvain Coneau Informatique
Fanny Dumez Chargée d’accueil et des cours publics
Béatrice Dupré Coordinatrice de l’action financière
Carole Fiani Assistante pédagogique
Éva Foisneau Chargée de communication
Soizic Lebrun Responsable pédagogique
Céline Ménager Documentation
Nicolas Quemener Responsable équipe technique

professeurs

Enseignant·es cursus : Thomas Bauer, Arnaud Bernus, Antoinette Bois de Chesne, Sophie Breuil, Denis Brillet, Bernard Calet, Anne Couzon Cesca, Mathieu Delalle, Agathe Dumont, David Enon, Salomé Gendron, Géraldine Gourbe, Gildas Guihaire, François Guindon, Sandrine Jousseaume, Regine Kolle, Myriam Lefkowitz, Clovis Maillet, Grégory Markovic, Laurent Millet, Strbac Mladen, Nicolas Moulin, Angeline Ostinelli, Jérôme Pasquet, Sandrine Pincemaillle, Sébastien Pluot, Charles Poulain, Etienne Poulle, Julien Quentel, Jacqui Riva, Vanessa Theodoropoulou, Fabien Vallos, Jean-Benoît Vétillard

Enseignant·es des cours publics : Claire Alary, Matthieu Boucheron, Marika Bürhmann, Andy Guérif, Janig Merien, Gildas Paré, Mladen Strbac, Émilie Thibaudeau, Élodie Verdier

coordonnées

Hôtel d’Ollone – 72, rue Bressigny
49100 | Angers
tél. +33 (0)2 72 79 86 90
contact-angers@talm.fr
esad-talm.fr

effectif

  • 290 élèves en cursus
  • 650 élèves aux cours publics

Angoulême

École européenne supérieure de l’image Angoulême-Poitiers | Site Angoulême

présentation

L’École européenne supérieure de l’image – ÉESI Angoulême-Poitiers est née de la réunion des écoles d’art d’Angoulême et de Poitiers.
En plus d’un parcours en création artistique contemporaine proposé sur les deux sites de l’école, les champs de spécialité cultivés à l’ÉESI sont les littératures graphiques et la bande dessinée à Angoulême, et la création numérique étendue aux jeux, aux nouveaux médias et à tous dispositifs d’interaction, à Poitiers. L’ÉESI est le seul établissement à proposer un master bande dessinée et un doctorat de création en bande dessinée, en partenariat avec l’université de Poitiers.
Composée de professeur·es, artistes, auteur·trices et technicien·nes spécialisé·es reconnu·es dans le champ professionnel, l’équipe pédagogique de l’ÉESI travaille à l’émergence de la jeune scène artistique de demain. Elle prodigue un enseignement exigeant, diversifié et ouvert mêlant théorie et pratique artistique, en lien avec de nombreux partenaires régionaux, nationaux et internationaux qui favorisent l’insertion de chaque étudiante et étudiant dans le monde de la création artistique contemporaine.
Des projet architecturaux sont actuellement en cours sur les deux sites : l’école disposera en 2024 de bâtiments répondant aux besoins évolutifs de l’établissement, pour faire émerger l’individualité des élèves, dans la proximité, la friction, entre les disciplines et médiums, offrant de multiples lieux de pratiques et d’expositions.
Photo : WorkshopLaurentTixador-©2017FloreTricotelle

1/1

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Art mention bande dessinée (site d’Angoulême)
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention bande dessinée (site d’Angoulême)

 

troisièmes cycles

Doctorat d’expression artistique et littéraire spécialité bande dessinée, en partenariat avec l’université de Poitiers

vae

L’association Le Grand Huit qui regroupe les cinq écoles supérieures d’art et deux classes préparatoires publiques de Nouvelle Aquitaine sous tutelle du ministère de la Culture, propose la VAE – Validation des acquis de l’expérience pour l’obtention du DNA (grade licence) et du DNSEP (grade master).

coopération internationale

Particulièrement soucieuse d’ouvrir les jeunes artistes à d’autres espaces (culture, histoire, pratique, concept, économie), l’École européenne supérieure de l’image Angoulême – Poitiers, mène une politique active d’internationalisation, pensée à deux échelles : l’internationalisation à l’étranger et l’internationalisation à domicile. En art, comme en tout autre domaine, les jeunes diplômé·es doivent obtenir de leur formation la capacité d’interlocution (maîtrise linguistique) et d’interaction (adaptation au contexte) avec le monde contemporain.
Partir à l’étranger : mobilité en 4ème année, stages, ERASMUS+
Venir étudier à l’ÉESI
Établissements partenaires
Projets internationaux

équipements spécifiques

Description complète de nos équipements spécifiques dans le rapport d’activité
Ateliers volume, menuiserie, photo, plateau de prise de vue, studio de montage vidéo et son, atelier numérique, presses, sérigraphie, photo, vidéo, son, édition, programmation, peinture, volume, stop-motion, 2D, 3D, postproduction…
Bibliothèque

 

équipements spécifiques

 

 

 

équipe administrative

accueil Angoulême Gaëlle Peron
tél. 05.45.92.66.02 g.puimaly@eesi.eu

accueil Poitiers Charlotte Guibert 07 45 19 45 35  c.guibert@eesi.eu

direction générale Marc Monjou
direction.generale@eesi.eu
assistante de direction Sophie Burel
s.burel@eesi.eu
secrétaire générale – adjointe à la direction Catherine Beaudeau
c.beaudeau@eesi.eu
directrice des études Sandrine Rebeyrat
s.rebeyrat@eesi.eu

coordinatrices pédagogiques
Adeline Lapeyre, site d’Angoulême
a.lapeyre@eesi.eu
Barbara Benedetti, site de Poitiers
b.benedetti@eesi.eu

responsable des relations internationales
Charlotte Martin
c.martin@eesi.eu

responsables bibliothèques
Anne Balanant, site d’Angoulême
a.balanant@eesi.eu
Romain Gasmi, site de Poitiers
r.gasmi@eesi.eu

responsable communication
Hélène Meunier
h.meunier@eesi.eu
designer graphique
Céline Chip
c.chip@eesi.eu

assistante communication

Belaura Alialabi

b.alialabi@eesi.eu

Service informatique
Sébastien Gonzalez, site d’Angoulême
s.gonzalez@eesi.eu
Jérôme Grellier, site de Poitiers
j.grellier@eesi.eu

Gestion des sites
Aurélien Stricher, site d’Angoulême
a.stricher@eesi.eu
Vincent Delavault, site de Poitiers
v.delavault@eesi.eu

Comptabilité
Marie Mahérault, site d’Angoulême
Charlotte Guibert, site de Poitiers

Ressources humaines
Fabienne Berger

Atelier technique
Stéphane Desforges, technique et maintenance, site d’Angoulême
Patrick Simonnet, agent de maintenance, site de Poitiers
Jacqueline Guéraud, agent d’entretien, Poitiers
Rudy Champagne, gardien, site de Poitiers
Samir Dahmani, gardien, site d’Angoulême

professeurs

Elsa Abderhamani, bande dessinée, second semestre
Louise Aleksiejew, dessin
Alexandre Balcaen, histoire de la bande dessinée
Laurent Bourlaud, bande dessinée
Margot Criseo, bande dessinée, premier semestre
Frédéric Curien, espaces sonores et musicaux
Athanassios Evanghelou, histoire et théorie des médias, second semestre
Claire Fouquet, images animées
Malgorzata Grygielewicz, théorie de l’art, philosophie
Dominique Hérody, bande dessinée, dessin de narration
Oriane Lassus, bande dessinée
Frédéric Lefever, photographie
Guy Limone, peinture
Désirée Lorenz, lecture et écriture critique
Géraldine Longueville, études culturelles
Laurent Makowec, vidéo, cinéma
Audrey Ohlmann, édition
Régis Pinault, volume
Benoît Preteseille, bande dessinée, littératures graphiques
Élodie Royer, actualités de l’art contemporain
Julie Staebler, bande dessinée, littératures graphiques
Emmanuel Van der Meulen, peinture
Caroline-Jane Williams, anglais
Stephen Wright, pratique de la théorie.

coordonnées

134 rue de Bordeaux
16000 | Angoulême
tél. +33 (0)5 45 92 66 02
fax +33 (0)5 45 94 92 28
contact@eesi.eu
www.eesi.eu
Site dédié aux journées portes ouvertes et concours : jpo.eesi.eu
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vimeo

effectif

Effectif des étudiant·es 2022-2023
Nombre d’étudiant·es : 275
Site d’Angoulême : 167
Site de Poitiers : 108

Annecy

École supérieure d’art Annecy Alpes

présentation

L’école supérieure d’art Annecy Alpes (ESAAA) fait partie du réseau national des écoles supérieures d’art sous tutelle pédagogique du Ministère de la Culture. Partant d’un postulat global d’une attentionalité, d’une émancipation par une approche réflexive, l’ESAAA propose un programme pédagogique conçu et construit collectivement par un groupe d’enseignant∙e∙x∙s en relation avec une équipe active pour les accompagner dans la mise en œuvre des idées, des processus et des projets.

Deux voies sont proposées à l’issue d’une année propédeutique :

  • le cursus ART vers un Master Monstre
  • le cursus DESIGN vers un Master Terrain

Ainsi se créent d’octobre à juin, et au-delà, des situations, des performances, des objets, des formes multi-médias ou encore des éditions.

L’enseignement artistique et de terrain se prolonge et se déploie en lien avec ESAAA unité de recherche qui rassemble un DSRA et les laboratoires de l’École, et agence leurs activités. Il est ouvert à des artistes qui trouvent dans l’école un accompagnement propice au développement d’un projet de recherche-création.

C’est en synergie que programme pédagogique et programme de recherche viennent constituer une aura singulière qui est celle de l’ESAAA.

L’ESAAA, c’est aussi :
− une structure éditoriale, ESAAA éditions pour mettre en partage ce qui est produit (dans la pédagogie, dans la recherche, avec les personnes qui proposent des « positions ») ;
− un fablab Art et Design, l’ESAAA lab, également ouvert aux makers du territoire ;
− une résidence d’artistes et chercheur∙ses, ESAAA résidences à La Puya et ses extensions pour accueillir des artistes en exil ;
− une classe préparatoire aux écoles d’art et design, ESAAA prépa (en cours de redéfinition) ;
− des ateliers, ESAAA pratiques amateurs, pour enfants, adolescent∙es, adultes.

Toutes ces dimensions ont vocation à s’inter-connecter, à entrer en friction, et à être mises à l’épreuve de terrains tant locaux qu’européens ou internationaux, comme autant de mondes à rencontrer pour que les mutations et transformations nécessaires puissent avoir lieu. Pour que la multiplicité des regards et des expériences puissent opérer et venir enrichir les études des artistes en devenir.

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ESAAA - site des Marquisats crédits : Léonard Contrameste

options

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design d'espace
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design d'espace

troisièmes cycles

DSRA Diplôme supérieur de recherche en art de l’ESAAA

Le DSRA est un diplôme de troisième cycle (Bac+8) reconnu et financé par le Ministère de la Culture. Il conduit de jeunes artistes, designers, architectes et autres créateur∙trices ainsi que des théoricien∙nes à un diplôme d’école préparé en 3 ans, après un master ou un DNSEP.

classe préparatoire

ESAAA prépa

Vers une nouvelle classe prépa 2024-2025

L’ESAAA est accessible sur concours immédiatement après le Bac et la première année d’étude est un temps de découverte des possibles, d’exploration des territoires artistiques et d’orientation entre les départements Art et Design. Cependant, parce que tout le monde ne réussit pas du premier coup l’examen d’entrée, ou parce que certain∙es doivent d’abord préciser leur orientation, développer leur pratique et leurs compétences, ou encore parce qu’iels souhaitent s’entraîner pour entrer en première année dans une école ailleurs qu’à Annecy, la classe préparatoire de l’ESAAA accueille après le Bac, ou son équivalent, celles et ceux qui souhaitent s’engager dans une formation artistique et qui ont besoin d’une passerelle.

La classe prépa de l’ESAAA est cette année en pause et en redéfinition, pour un retour prévu en septembre 2024.

unités de recherche

L’Unité de recherche de l’ESAAA

Depuis 2005, l’ESAAA a développé une activité de recherche regroupant l’activité de plusieurs de ces enseignant·es, étudiant·es, et jeunes artistes issus de l’école. Ce travail, soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre des appels à projet Recherche, a permis la mise en place d’une ligne de recherche (le LAC, 2005-2008) extrêmement productive et qui a commencé à typer l’activité de l’ESAAA. Puis, fort de cette première expérience et de l’arrivée à l’école de personnalités engagées dans des démarches de recherche, l’école a mis en place à la rentrée 2009 une unité de recherche pérenne dotée d’un espace de travail, d’un soutien administratif et d’un budget propre, afin d’accompagner au mieux le travail d’une équipe référente qui travaille selon différents programmes de recherche.

Cette équipe référente est par ailleurs augmentée de « chercheur·ses associé·es » (théoricien·nes, artistes et autres praticien·nes), en nombre variable en fonction des projets, ainsi que de jeunes artistes et étudiant·es chercheurs·ses qui préparent à l’ESAAA un troisième cycle, le DSRA (Diplôme Supérieur de Recherche en Art).

Profitant de cet écosystème, encadré par des enseignant·es-chercheurs·ses qui, pour la plupart, dirigent des programmes de recherche ou sont responsables d’un ou plusieurs projets de Diplôme Supérieur de Recherche en Art, les étudiant·es de DNSEP à l’ESAAA sont associé·es au travail que développe l’ESAAA – pour définir, mettre en œuvre et diffuser une recherche spécifique, en phase avec l’environnement spécifique qu’est une école supérieure d’art et de design.

Ses actions :

  • Nourrir l’enseignement en 1er cycle du travail des enseignant·es, théoricien·nes et praticien·nes, qui sont aussi des chercheur·ses actif·ves, apportant dans leurs enseignements le contenu et la dynamique prospective de leurs recherches
  • Mettre en place une réelle initiation à la recherche en 2e cycle, proposant aux étudiant·es de Master en Art et en Design une méthodologie, des habitudes de travail, une maîtrise de la démarche de projet et une capacité à mener leur activité selon le régime de la recherche, en particulier en s’appuyant sur une réflexion systématique relative aux formes du mémoire
    de DNSEP
  • Soutenir et valoriser l’activité du premier 3e cycle spécifique dans une école d’art française : le DSRA – le Diplôme Supérieur de Recherche en Art qui, depuis 2009, propose à des artistes, designers, architectes et autres praticien·nes, mais aussi à des philosophes, des historien·es de l’art et autres théoricien·nes, de mener un projet de recherche pendant une durée de trois ans minimum
  • Contribuer à capitaliser l’expérience des programmes de recherche pluriannuels développés au fil du temps (sur l’expérimentation, le format, les marges de la scène artistique de
    Los Angeles, la pensée sauvage, la basse définition, le cinéma de Daniel Pollet, la question des ambiances…) avec des équipes constituées ad hoc, en fonction de la définition et des enjeux précis du programme en question
  • Explorer de nouvelles pistes de recherche possédant une dimension structurante pour l’activité de recherche de l’ESAAA et l’accueil des projets de DSRA

programmes de recherche

Effondrement des Alpes – Inventer un nouveau patrimoine 2018-2022

L’EdA (pour «Effondrement des Alpes») est un programme de recherche transversal qui s’est inscrit au cœur de l’ESAAA de 2018 à 2022, mobilisant des étudiant·es, des artistes et chercheurs·ses inscrit·es en DSRA, des enseignant·es, artistes, designers, théoricien·nes, et autres praticien·nes de la recherche en art à l’ESAAA.

Le point de départ de cette recherche (le réchauffement climatique qui dans les Alpes provoque la fonte du permafrost, ciment de glace qui maintient la cohésion des falaises d’altitude, et qui, depuis quelques années, provoque de spectaculaires effondrements rocheux) a permis de lancer une aventure collective multipliant les approches : art, ethnologie, architecture, géomorphologie, cinéma, design, géographie, alpinisme, collapsologie, droit, économie…

L’EdA s’est ainsi déployé sur trois années, fonctionnant projet après projet, inventé au fur et à mesure de l’avancée du programme, et construit pour et avec des partenaires inscrits dans différents territoires.

 

L’humilité des possibles – 2023-2026

« L’humilité des possibles » est un projet collectif de recherche en art porté par l’Unité de Recherche de l’ESAAA qui a l’ambition d’explorer et expérimenter les conditions esthétiques situées de la transformation écologique, entendue non pas seulement dans le sens du développement durable mais plus largement dans le sens d’une transformation anthropologique consistant à redevenir terrien pour mieux changer de cosmos, autrement dit changer de conception du monde et de place de l’humain en son sein.

Dans le prolongement du projet « Effondrement des Alpes » (Interreg France-Suisse 2018-2022) et de son volet de production artistique « Les Ambassadrices » (soutenu par la Fondation Carasso), « L’humilité des possibles » vise un triple objectif : théorique, communautaire et artistique. Riche de son expérience de réflexion et de création menée au carrefour de l’art et des sciences face aux conséquences du réchauffement climatique sur le territoire alpin, l’ESAAA propose en effet d’approfondir cette recherche en réfléchissant aux modalités de l’expérience sensible capables de transformer le rapport des individus à l’environnement. Ces modalités nous apparaissent aujourd’hui comme une propédeutique esthétique nécessaire pour réactiver l’imaginaire du possible.

L’idée centrale de ce projet est en effet que les mondes possibles qui seraient en mesure de défier le probable de la catastrophe ne sont ni des utopies clés en main élaborées par des idéologies hors sol, ni des plans techniques dessinés par une ingénierie incapable de quitter le territoire de ses certitudes : le possible doit être désormais situé et terrien – telle est son humilité – mais d’une manière qui fait justement de ce lien le ressort d’un imaginaire puissant capable de déplacer les points de vue, de pluraliser les perspectives, de décentrer les identités et de composer des communautés hybrides et fortes.

Mobilisant notamment les ressources de l’esthétique environnementale, de l’anthropologie, des théories féministes, de l’art et de la littérature contemporaine, ce projet accompagnera, concrètement, la transformation de la communauté de l’école dans sa mutation architecturale et urbanistique durant une période de travaux où des locaux nouveaux seront investis, stimulant ainsi les étudiant·es, les enseignant·es et les chercheurs·ses dans la définition d’une pédagogie expérimentale tournée vers la transition écologique.

éditions

ESAAA éditions

Depuis 2013, l’ESAAA diffuse des positions artistiques et théoriques nécessaires à notre époque à travers sa structure éditoriale ad hoc : ESAAA éditions. Sont ainsi produits chaque année des ouvrages issus de l’activité de recherche de l’école, des travaux d’artistes et designers chercheur·ses inscrit·es en DSRA, ou encore des projets portés par l’école.
ESAAA éditions est distribué par les Presses du Réel.

 

activités & événements

Bénéficiant d’un réseau de partenaires précieux aux niveaux local, régional, national et international, l’ESAAA propose plusieurs activités :

  • Conférences avec des artistes, designers et autres professionnel·les du monde de l’art
  • Expositions
  • Séminaires de recherche
  • Rencontres avec des intervenant·es extérieur·es
  • Workshops
  • Voyages d’étude
  • Mobilités internationales d’étude et de stage
  • Résidences de création et restitutions…

Les expositions de travaux d’étudiant·es et d’artistes invité·es ont lieu dans divers espaces d’exposition de l’Agglomération d’Annecy et du Département de la Haute-Savoie mais aussi plus loin, selon les projets artistiques et de recherche du moment (par exemple : BOZAR Bruxelles, le Centre de la Photographie Genève, le MAC Lyon, Le Magasin – Centre national d’art contemporain…).

Pour en savoir plus : esaaa.fr/esaaa/agenda/

activité post- ou périscolaire

ESAAA pratiques amateurs

L’ESAAA p.a., l’école des pratiques amateurs de l’ESAAA est ouverte à toutes et tous : enfants, adolescent·es et adultes, débutant·es ou praticien·es confirmé·es. Celle-ci propose plusieurs activités relevant autant des pratiques historiques des Beaux-Arts que des formes les plus contemporaines de la création : une trentaine d’ateliers à l’année, workshops et stages artistiques, mais aussi des expositions, des visites de lieux culturels d’autres événements.

L’école des pratiques amateurs de l’ESAAA est membre associé de l’ANÉAT – Association Nationale des Écoles d’Art Territoriales de pratiques amateurs et fait partie du réseau des pratiques amateurs sur le territoire annécien appelé PAM’ – les arts visuels en pratique.

coopération internationale

L’ESAAA est titulaire de la charte Erasmus+ et bénéficie du dispositif de la Bourse Région Mobilité Internationale Étudiants de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Mettant à profit sa situation géographique privilégiée – au carrefour entre la France, la Suisse et l’Italie, l’ESAAA mène de nombreux projets internationaux et intègre les expériences à l’international dans sa vision de la pédagogie et de la recherche.

Par ailleurs, les étudiant∙es de l’ESAAA prennent part à des voyages à l’international dans le cadre de leur cursus (workshops, travaux situés, voyages d’observation, etc.). Entre autres, ils et elles ont la possibilité d’effectuer un stage à l’international ou de passer plusieurs mois dans une école partenaire lors d’une mobilité internationale d’études.

galerie

Le bâtiment de l’ESAAA situé sur le site de Marquisats propose plusieurs espaces de monstration :

  • la salle blanche
  • la salle noire
  • la salle volume
  • les salles d’accrochage 1, 2 et 3…

équipements spécifiques

  • ateliers techniques et leurs magasins d’outils : ESAAA lab (impression 3D, machines à coudre, etc.), l’atelier éditions, les ateliers volumes, bois, métal, sérigraphie, céramique…
  • ateliers de production vidéo-son, photo et de travail multimédia
  • salle informatique
  • bibliothèque
  • BOZAR : lieu de réemploi de matériaux en partenariat avec Bazar sans Frontières, qui intègre un magasin de matériaux et un espace réservé aux étudiant∙es de l’ESAAA.

 

réseaux

ANdEA, Le Grand Large (anciennement ADÉRA), AC//RA, Altitudes, BEAR, ANEAT, PAM’ – les arts visuels en pratique.

équipe administrative

Isabelle Carlier Directrice
Laurie Chappis-Peron Responsable des études
Kristell Blache-Comte Responsable de la recherche
Danièle Arditi Administratrice / responsable des ressources

Sandrine Alberca Accueil, secrétariat ESAAA p.a., administration
Kévin Anthoine-Milhomme Fab Manager
Kardelen Ayhan Secrétariat pédagogique
Hélène Donzier Administration
Liz Escalle-Dyachenko & Julie Nugues Bibliothèque
Camille Garnier Éditions
Andra Mardare Communication, international

professeurs

Sheila Atala
Arlène Berceliot Courtin
Jean-Marc Chapoulie
Matthieu Clainchard
Alexandre Costanzo
Clôde Coulpier
Estelle Deschamp
Guillaume Dorvillé
Laurent Faulon
Vir-Andrés Hera
Anne Kawala (congé d’un an)
Sandra Lorenzi
Emmanuel Louisgrand
Gilles Perdu
Julien Ribeiro
aniara rodado
Mathilde Sauzet Mattei (disponibilité)
Didier Tallagrand
Maxime Thieffine
Nicolas Tixier
Claire Viallat-Patonnier
David Zerbib

coordonnées

52 bis rue des Marquisats
74000 | Annecy
tél. +33 (0)4 50 33 65 50
contact@esaaa.fr
www.esaaa.fr

effectif

Environ 200 étudiant·es

Arles

École nationale supérieure de la photographie

présentation

Dédiée à la formation, à la recherche, et à l’expérimentation à la fois artistique, scientifique et technique des créateurs et des créatrices des images contemporaines, l’École nationale supérieure de la photographie (ENSP) est également un espace de rencontres et de partage entre étudiant·e·s, enseignant·e·s, artistes, chercheur·cheuse·s et citoyen·ne·s.

Établissement d’enseignement supérieur sous la tutelle du Ministère de la Culture, l’ENSP est située à Arles au sud de la France, ville emblématique de la culture photographique. En 2020, l’École d’Arles a déménagé dans un bâtiment de 5000 m2 tout en transparence, signé par l’architecte français Marc Barani et qui permet de poursuivre ses activités d’enseignement, tout en proposant des espaces ouverts au public : une salle d’expositions de 450 m2, un auditorium de 185 places, une bibliothèque avec plus de 30 000 exemplaires et un Fablab, laboratoire de fabrication et de création numérique d’objets et d’images de toute sorte.

Fière de sans cesse développer de nouvelles réflexions interdisciplinaires et d’encourager la pluralité des pratiques artistiques autour de la photographie et des images, plusieurs sphères de formations et d’activités se croisent à l’École d’Arles: de la Formation initiale, diplômante, à la Formation professionnelle continue et certifiante, sans oublier la recherche avec le Doctorat en partenariat avec l’Université d’Aix-Marseille, les activités proposées aux amateurs avec les Cours de photographie pour tous, ou encore, la jeune création internationale au travers du programme de résidence et de mentorat de recherche et de création qui lui est consacré.

En 2019, un nouveau bâtiment de 5000m2, pensé toute en transparence et en ouverture vers le public, dessiné par l’architecte Marc Barani, a été inauguré et pleinement occupé par les étudiant·e·s et les équipes à l’aube de l’année 2020.

Le premier étage, en rez-de-boulevard, est ouvert au public, avec son auditorium de 185 places et ses 450 m2 de salle d’exposition.

L’étage intermédiaire, plus intime, s’organise autour d’un patio gradiné, et héberge des espaces où se côtoient les étudiant.e.s et le public extérieur, avec trois salles de monstration des travaux des étudiant.e.s , la bibliothèque et ses 30 000 volumes ainsi que les espaces dédiés à la Formation continue, et au Fablab.

Enfin, l’étage inférieur, en rez-de-jardin, abrite l’essentiel des espaces pédagogiques avec les laboratoires de photographie couleur comme noir et blanc, argentique comme numérique, des salles d’infographie, de vidéo et de son, ainsi que trois studios de prise de vue. L’école est l’un des derniers établissements – peut-être le dernier – à poursuivre la pratique des procédés anciens aux côtés des pratiques photographiques et audiovisuelles les plus contemporaines.

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diplômes

Le diplôme de l’École nationale supérieure de la photographie, conférant le grade de Master, offre en trois années d’études de solides connaissances théoriques et une formation technique approfondie de l’image et de ses enjeux contemporains. Jeunes artistes, chercheurs et chercheuses sont alors prêts à débuter leur activité dans les métiers de l’image fixe ou en mouvement, tels que photographe-auteur, vidéaste, retoucheur, technicien d’art, mais aussi à évoluer dans les domaines de l’exposition ou de l’édition.
Le master est accessible à Bac+2, sur Concours d’entrée.
La limite d’âge pour se présenter au concours est fixée à 30 ans. Après avoir passé avec succès les épreuves du concours, l’étudiant ou l’étudiante n’est formellement inscrit·e dans l’école qu’après avoir réglé le montant annuel des frais d’inscription de la première année (frais fixés par un arrêté du Ministère de la Culture, à titre indicatif : 438 euros pour l’année 2020/2021).

À leur sortie de l’école, les diplômé·e·s sont accompagné·e·s par l’ENSP pendant les trois premières années de leur vie professionnelle, notamment grâce à l’accès aux équipements de l’école. Depuis janvier 2021, une plateforme virtuelle dédiée offre également une visibilité sur leur travail et leur actualité : alumni.ensp-arles.fr/

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-master

troisièmes cycles

Doctorat de création

Depuis 2013, l’ENSP propose le doctorat « Pratique et théorie de la création artistique et littéraire », offert conjointement par l’École d’Arles et Aix-Marseille Université. Ce projet pluridisciplinaire a pour objectif de permettre aux doctorant·e·s de développer un projet de recherche en photographie et d’associer une réflexion théorique et épistémologique à leur pratique artistique.

Le doctorat se déroule à l’École d’Arles et à AMU pendant 3 ans.
Pendant la durée de la thèse, les doctorant·e·s en spécialité photographie sont co-encadré·e·s par un.e co-directeur·trice artistique et par un·e directeur·trice académique professeur·e de rang A, titulaire d’une Habilitation à diriger des recherches (HDR) rattaché·e à l’une des huit unités de recherche de l’ED 354.

Les candidat·e·s doivent être titulaires d’un diplôme de Master 2 (ou conférant le grade de Master 2) depuis plus de deux ans et pouvoir attester dans leur parcours d’une initiation à la recherche.

Pendant la durée de la thèse, le ou la doctorant·e est autonome dans la conduite de sa recherche, mais est en contact régulier avec ses co-directeur·trice·s. Il ou elle s’implique dans ses activités de recherche et bénéficient de tous les équipements et les ressources proposés au sein de l’ENSP. L’encadrement doctoral comprend plusieurs séminaires doctoraux par an dont les invité·e·s sont choisi·e·s par les doctorant·e·s et l’équipe pédagogique selon les recherches et les intérêts en cours. Les doctorant·e·s ont eu l’occasion de présenter leurs travaux à des personnalité·e·s aux expériences et compétences variées telles que Arnaud Claass, Arno Gisinger, Véra Léon, Nathalie Voarino, Alexis Guiller, Mélanie Pavy.

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-doctorat

post-diplôme

Le mentorat

L’École nationale supérieure de la photographie, avec 40 ans d’expérience dans le domaine de l’éducation à l’image, au cœur d’Arles, ville emblématique de la photographie en France, ouvre pour la première fois un programme international de mentorat. Il s’adresse à tout.e photographe artiste ayant une pratique professionnelle, consolidée sur plusieurs années, qui souhaite bénéficier d’un accompagnement approfondi dans sa démarche artistique.
Partant d’un questionnement sur votre parcours professionnel et votre pratique artistique, vous serez guidé.e pour donner une nouvelle orientation à vos projets de création, porter un regard critique, conduire leur mise en œuvre, et renforcer vos compétences techniques et vos connaissances du milieu de l’art et de la photographie. Ce travail d’accompagnement individuel et collectif est porté dans son ensemble par Gilles Saussier, artiste photographe et enseignant à l’ENSP, avec la complicité de différents intervenant.e.s invité.e.s tout au long du programme.

Pendant toute la durée du mentorat, vous bénéficiez d’un accès à l’ensemble des équipements et activités de l’école : laboratoires numérique, argentique, infographie, audiovisuel, studio, Fablab, bibliothèque avec plus de 30 000 références, conférences, rencontres, etc.

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-mentorat

vae

L’École nationale supérieure de la photographie s’est engagée dans cette voie d’acquisition de diplôme depuis 2007 en instituant son propre centre d’examen et de validation pour l’obtention du diplôme de l’ENSP, conférant le grade de Master.
+ d’information

formation continue

Formation professionnelle continue aux métiers de l’image à l’ENSP d’Arles

Depuis presque 40 ans, l’École nationale supérieure de la photographie (ENSP), établissement Public sous tutelle du Ministère de la Culture et de la Communication, dispense un enseignement de haut niveau pour former des photographes auteurs, des vidéastes et d’une manière plus générale des professionnels de l’image.

L’ENSP a ouvert un pôle de formation continue en 2007 afin de proposer des sessions de formation aux professionnels des métiers de l’image, aux artistes ainsi qu’aux passionnés de photographie.

La programmation pédagogique se base sur un apprentissage précis et complet des pratiques de la photographie contemporaine, combinant rigueur technique et réflexion théorique, conformément à ce qui, depuis son origine, caractérise l’ENSP.

L’ENSP propose en présentiel comme en distanciel :
› des formations courtes
› des formations longues, dont 3 certifications et un cycle thématique non certifiant
› une VAE
› un mentorat
› des formations sur-mesure pour les entreprises

L’équipe de la formation continue de l’ENSP est à votre écoute pour construire conjointement votre parcours de formation et de professionnalisation.

› Toute l’offre est à découvrir sur le site dédié : ensp-formation.fr

coopération internationale

Découvrir comment partir à l’étranger ou venir étudier à l’ENSP depuis l’étranger, mais aussi la liste des écoles partenaires de l’ENSP : www.ensp-arles.fr/les-formations/le-master/linternational

revues

activité post- ou périscolaire

Les cours pour tout·e·s
L’ENSP propose, dans le cadre des Cours de photographie pour tout·e·s, un samedi par mois de novembre à avril, un enseignement adapté à la découverte et/ou à la pratique maîtrisée de la photographie, comprenant des apprentissages techniques et pratiques, ainsi que des apports historiques et théoriques. Une restitution du travail de l’année, des trois niveaux de formation, sera programmée en clôture du stage.
Les Cours de photographie pour tous sont ouverts aux photographes amateurs ou confirmés ainsi qu’aux passionnés de l’image souhaitant découvrir d’autres facettes de la création photographique. Une pratique régulière de la photographie est cependant nécessaire.

› En savoir plus : Les cours pour tout·e·s

galerie

La salle d’exposition de l’ENSP s’étend sur une surface de 450 m2 et accueille tout au long de l’année des travaux d’étudiants, des workshops, des expositions et des performances.

› En savoir plus : www.ensp-arles.fr/evenements

réseaux

› ANdEA
› ELIA
› L’École(s) du Sud
› Arles contemporain

équipe administrative

Marta Gili, Directrice
Delphine Paul, Directrice des études et de la recherche
Céline Bigi, Secrétaire générale

Véronique Louviot, Secrétaire pédagogique
Gwendoline Allain, Responsable du développement international et de la professionnalisation
Laurence Canaux, Assistante chargée de la recherche, du 3e cycle et des relations internationales
Yannick Vernet, Responsable du Fablab et des projets numériques
Marie Viguié, Responsable de la Bibliothèque
Juan Castro, Responsable de la formation professionnelle continue
Lucile Guyomarc’h, Chargée de communication
Juliette Vignon, Responsable des expositions et des éditions
Sarah Le Brocq, Coordinatrice des projets d’action culturelle

professeurs

Caroline BERNARD
Nicolas GIRAUD
Tadashi ONO
Paul POUVREAU
Gilles SAUSSIER
Muriel TOULEMONDE
Fabien VALLOS

Laboratoire noir et blanc et Studio
Patrick MASSARY, responsable
Alexis BACOT, assistant

Laboratoire couleur
Christian L’HUILLIER, responsable
Axelle GEORGES, assistante

Laboratoire numérique
Lionel GENRE, responsable
Marie CONSTANT, assistante

Laboratoire audiovisuel
Franck HIRSCH, responsable

coordonnées

30 avenue Victor Hugo
BP 10149
13631 Arles Cedex
Du lundi au vendredi,
de 9h à 12h et de 14h à 17h30
T + 33 (0)4 90 99 33 33
communication @ensp-arles.fr
www.ensp-arles.fr

effectif

› 75 étudiant·e·s en master
› 5 doctorant·e·s
› 10 à 15 personnes formé·e·s dans le cadre de la VAE
› plus de 200 professionnel·le·s de l’image accueilli·e·s dans le cadre de la formation continue

Avignon

École supérieure d’art d’Avignon

présentation

L’École Supérieure d’Art d’Avignon est un établissement d’enseignement supérieur artistique dont la mission de formation se présente de manière originale au regard des autres écoles d’art en France : elle combine l’enseignement de la création avec celui de la préservation des biens culturels en préparant les étudiants à l’obtention de diplômes nationaux avec, d’un côté, une spécialisation en Création (mention Création) et, de l’autre, une spécialisation en Conservation-Restauration (mention Conservation-Restauration).

Conservation-Restauration
La mention Conservation-Restauration aborde des problématiques telles que diversité et combinaison de matériaux, regard critique sur ses pratiques (ex : pourquoi et comment restaurer une oeuvre éphémère ? l’acte de restauration doit-il être visible ?). Les réflexions s’appuient sur des objets ethnographiques ainsi que des œuvres d’art contemporaines. L’école offre actuellement l’un des quatre cursus nationaux de conservation-restauration habilités par la Direction des Musées de France et dont la reconnaissance est internationale.

Création
La mention Création conduit les étudiants à maîtriser les étapes de la conduite de projet (conception, expérimentation, réalisation, évaluation, réception) ainsi qu’à être en capacité de répondre à des appels à projet ou des commandes publiques. Il les prépare à exercer une profession artistique ou des activités connexes au champ de la création nécessitant des compétences administratives et/ou techniques : régisseur dans des institutions culturelles, enseignant en arts plastiques, concepteur-créateur, commissaire d’exposition, chef de projet artistique…

Visite virtuelle de l’école : esaavignon.eu/visite-virtuelle-de-lecole-superieure-dart-davignon/

 

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options

Art

diplômes

DNA option Art mention création 
DNA  option Art mention conservation restauration
DNSEP option Art mention création 
DNSEP  option Art mention conservation restauration

vae

DNA Art mention conservation restauration
DNSEP Art mention conservation restauration

programmes de recherche

activité post- ou périscolaire

Les Ateliers Libres (pratiques amateurs pour jeunes et adultes)

À l’instar de sa formation de licence et de master, l’École supérieure d’art d’Avignon offre une formation artistique non diplômante à destination d’un large public amateur de tout âge et tout parcours. Créés afin d’encourager l’expression d’une singularité individuelle, les Ateliers Libres de l’ESAA sont menés par des artistes dotés d’une trajectoire professionnelle dans l’enseignement.

esaavignon.eu/ateliers-libres/

coopération internationale

L’école participe à de nombreux projets pédagogiques nationaux et internationaux et à des programmes d’échanges bilatéraux. Elle reçoit le soutien du programme Erasmus de l’Union européenne, du Ministère de la culture (DGCA) et de la Région PACA (bourses Prame).

 

Partenariats nationaux

  • Partenariats engagés sur Avignon et la région proche : Festival d’Avignon, Université d’Avignon, Collection Lambert en Avignon, Institut supérieur des techniques du spectacle, Maison Jean Vilar, FRAC PACA, Musée d’Art Contemporain de Marseille, MUCEM…
  • Partenariats engagés avec les acteurs culturels nationaux : Palais de Tokyo, Musée du Quai Branly, Centre Interdisciplinaire de Conservation et de Restauration du Patrimoine.

 

Partenariats internationaux

  • Partenariats avec l’Académie des beaux-arts de Sarajevo, Bosnie, avec l’Académie des beaux-arts de Canton, Chine et le ’75’, Bruxelles, Belgique, Shenyang University of fine art and design Chine

équipements spécifiques

  • Ateliers techniques spécialisés (pôle multimédia, laboratoire argentique, menuiserie, soudure, moulage …) et ateliers de conservation-restauration.
  • Bibliothèque, salle de conférences et de spectacles.
  • Les conventions établies avec les institutions partenaires (Université, CICRP, ISTS), ouvrent aux étudiants l’accès aux laboratoires et aux équipements professionnels.

réseaux

ANdÉA, L’Âge d’or- réseau des écoles d’art du sud de la France

équipe administrative

Directeur Morgan Labar
Administrateur Raphaëlle Mancini
Assistante coordinatrice Émilie Chabert
Responsable pédagogique Cécile Cavagna
Accueil et secrétariat pédagogique Laetitia Herbette
Bibliothécaire Delphine Pauletto
Comptable Émilie Cosme
Chargé des systèmes d’information et de la maintenance Pascal Genty
Régisseur Pédagogique Philippe Montchaud
Régisseur de maintenance des sites Jean-Louis Praet

professeurs

Marie Boyer
Salma El Ghezal
Stéphanie Elarbi
Dominique Favet
Nicolas Gruppo
Hervé Giocanti
Emilie Hubert
Cyril Jarton
Jean Laube
Alain Léonesi
Marc Maire
Hamid Maghraoui
Mylène Malberti
Carlos Marcano
Bernard Müller
Jill Myhill
Sylvie Nayral
Benoit Sanair
Gaël Anasse
Sylvette Ardoino
Thomas Bohl
Claire Thiriet
Aymeric Vergnon
Ana Arango
Maria Guilbert

coordonnées

École Supérieure d’Art d’Avignon
500, chemin de Baigne-Pieds
84000 AVIGNON

Téléphone : 04 90 27 04 23
Mail : scolarite@esaavignon.fr
Site Internet : www.esaavignon.fr
Page Facebook : www.facebook.com/esa.avignon

effectif

125 étudiants (cycle 2020-2021)

Bayonne - Biarritz

École supérieure d’art Pays Basque

présentation

Implantée sur deux sites – Biarritz et Bayonne, l’École supérieure d’art Pays Basque est un établissement public qui propose des formations reconnues dans le réseau européen de l’enseignement artistique supérieur :

  • Diplôme National d’Art (option Art), 1er cycle niveau licence qui permet l’inscription des étudiants dans un cursus de LMD (Licence – Master- Doctorat) ;
  • classe prépa ART aux écoles supérieures d’art.
  • classe prépa DESIGN aux formations supérieures en design.

De forme inédite, l’équipe pédagogique du DNA est composée d’artistes enseignants et d’artistes invités. Nourris de leurs propres pratiques dans le champ de l’art contemporain, les artistes enseignants s’investissent pleinement dans l’accompagnement des étudiants sur l’ensemble de leurs parcours. Pour chaque classe, interviennent également des artistes invités de façon régulière sur l’ensemble d’un semestre, ce qui permet d’impulser la dimension projet dès la première année. Parallèlement, divers intervenants extérieurs couvrant d’autres champs de l’art (théoriques et techniques, liés par exemple aux domaines du graphisme, du spectacle, de la production…etc.) viennent compléter et ouvrir ce programme.

Le projet pédagogique de l’ESAPB est pensé pour que, d’une part, les étudiants possèdent les fondamentaux théoriques et techniques nécessaires en art, mais également pour qu’ils puissent trouver, inventer et développer leur méthodologie de travail, leur singularité, et être préparés pour entrer dans le champ de la création contemporaine.

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options

Art

diplômes

DNA  option Art mention industries culturelles

classe préparatoire

Classe Prépa ART de l’ESAPB

La classe prépa Art offre un enseignement complet et généraliste qui permet à ses étudiants d’accéder aux écoles supérieures d’art. En découvrant les différents médiums de la pratique artistique contemporaine, l’étudiant acquiert les compétences fondamentales dans les disciplines théoriques et pratiques. Ces acquis stimulent ses aptitudes à l’expérimentation, à l’analyse et à la création.

La prépa Art de l’École supérieure d’art Pays Basque se distingue par la richesse de son programme pédagogique. L’articulation entre l’enseignement des matières fondamentales et l’attention particulière à la question de l’image et des outils numériques est portée par une équipe pédagogique composée de professionnels en lien avec les problématiques de leur temps.
Ouvertes aux élèves âgés de 17 à 25 ans, la prépa Art compte une quarantaine d’étudiants répartis en deux classes. Ces effectifs à échelle humaine permettent un suivi personnalisé de l’étudiant, adapté à la formation artistique.
Cette classe préparatoire profite au sein du même établissement de la proximité avec le premier cycle d’études supérieures en art. Elle bénéficie, entre autres, de la mutualisation des moyens matériels et humains, ainsi que de l’accès à la programmation de conférences et d’événements de l’enseignement supérieur.

Pour une présentation détaillée de la classe Prépa ART

Classe Prépa DESIGN de l’ESAPB

La classe prépa Design offre un enseignement complet et généraliste qui permet aux étudiants de préciser leur orientation vers différentes formations de l’enseignement supérieur en design : les écoles supérieures d’art qui proposent une ou des options Design, les Diplômes Nationaux des Métiers d’Art et du Design (DN MADE), les écoles d’architectures et du paysage. En découvrant les différents champs du design, l’étudiant acquiert les compétences fondamentales dans les disciplines théoriques et pratiques. Ces acquis stimulent ses aptitudes à la recherche, à l’analyse, et à la création.

De la MANAA à la PRÉPA DESIGN
De par la création des DN MADE, la réforme des arts appliqués conduite par l’Éducation Nationale a mis fin à l’existence des classes de mise à niveau en arts appliqués (MANAA), dont celle de l’ESAPB dès l’années scolaire 2019/20. Cependant, forte de son expérience de huit ans de la classe MANAA et de l’expertise de son équipe pédagogique, l’École supérieure d’art Pays Basque a décidé de créer dès septembre 2019, une classe préparatoire en design, permettant aux bacheliers de choisir en toute conscience, leur orientation au sein des différentes formations de l’enseignement supérieur du design.

Pour une présentation détaillée de la classe Prépa DESIGN

classe préparatoire

Nombreux partenariats aux niveaux régional, national et international :

  • Plateau Image de Biarritz (BTS audiovisuel du Lycée René Cassin, BTS Photo du Lycée André Malraux) ;
  • Médiathèque de Biarritz
  • Cinéma Le Royal
  • Cinéma l’Atalante
  • Frac Aquitaine
  • Institut de recherche et d’innovation (IRI)
  • Villa Médicis
  • Conservatoire Régional Maurice Ravel
  • Salle de spectacles l’Atabal
  • Festival Le temps d’aimer la danse
  • Festival International de Programmes Audiovisuels (FIPA)
  • Musée basque et de l’histoire de Bayonne
  • Résidence de création Nekatoenea (Abbadia)
  • Galerie Station V et la Villa Madeleine

activité post- ou périscolaire

Les principaux objectifs des ateliers de pratiques amateurs de l’école sont l’éducation artistique, la transmission des connaissances fondamentales en arts plastiques et visuels, l’acquisition de données théoriques et techniques permettant de construire un projet personnel. L’enseignement conjugue culture historique et ouverture sur le monde. Ces ateliers s’adressent au jeune public comme aux adultes, ceci dans plusieurs disciplines. Les séances concourent tant au développement d’une intelligence plastique qu’au développement des capacités créatives. Elles favorisent la compréhension des formes d’art diverses et sensibilisent aux questions de l’art en train de se faire.
La pédagogie est adaptée aux différents stades du développement sensible et intellectuel des élèves, elle fait appel au plaisir et à la sensibilité. Parallèlement à sa mission d’enseignement, l’école entend contribuer au développement harmonieux et équilibré des personnes dans le cadre de la vie sociale contemporaine.

coopération internationale

Faculté des Beaux-arts de l’Université du Pays Basque et École Supérieure d’Art et de Design Ondara.

galerie

La Galerie du 2e étage
ESAPB – Cité des Arts, 3 av. Jean Darrigrand, Bayonne
240 m2 d’espaces d’exposition à visée pédagogique

équipements spécifiques

Audiovisuel, multimédia et média-multiples, volume, espace, scénographie, studio de prise de vue, studio son, studio 3D, scanner 3D, caméra DVCPro HD, un ordinateur portable par étudiant…

réseaux

  • ANdEA
    Association nationale des écoles supérieures d’art
  • Le Grand Huit
    Réseau des écoles supérieures d’art publiques de la Nouvelle Aquitaine
  • APPEA
    Association Nationale des Prépas Publiques aux Écoles Supérieures d’Art
  • BEAR
    Bibliothèques d’écoles d’art en réseau

équipe administrative

ADMINISTRATION

Delphine Etchepare – Directrice
Frédéric Duprat – Directeur adjoint

Joel Belouet – Responsable de la communication et de la documentation
Lucile Gouffon – Responsable des relations internationales et partenariats
Caroline Indey
– Secrétariat pédagogique – Assistante de direction
Claire Meekel Gestionnaire administrative et financière
Amaya Vanhems – Responsable administrative et financière

TECHNIQUE

Matthieu Conrié – Agent technique chargé du prêt de matériel audiovisuel et multimedia
Frédéric Gayel
– Responsable de l’équipe informatique et audiovisuel
Samuel Gerbou – Responsable de l’équipe technique
Axel Laburthe – Agent technique informatique
Margaux Liensenborghs – Agent technique audiovisuel et multimedia
Eric Quatre Vieux – Responsable des bâtiments

professeurs

Peio Aguirre – Expert artistique en partenariats transfrontaliers et internationaux
Uxue Arbelbide
– Numérique
Maddi Barber
– Vidéo
Charlotte El Moussaed – Photo
Marc Fontenelle – Volume / espace
Bernard Hausséguy – Inter-médias & dispositifs d’images
Omar Ibrahim – Anglais
Vincent Labaume – Théorie & pratique
Thomas Lannette – Numérique
Maxime Morel – Histoire de l’art & actualité de l’art contemporain – Écritures
Clara Pacquet – Sciences Humaines – Chargée de mission préfiguration DNSEP
Olivier Passieux
– Peinture
Charlotte Prévot – Histoire de l’art & actualité de l’art contemporain
Chantal Raguet – Dessin, couleur, images & installation
Romain Sein – Numérique
Mathilde Supe – Vidéo
Mickaël Vivier – Numérique

coordonnées

3 av. Jean Darrigrand
64100 | Bayonne
tél. +33 (0)5 59 47 80 02
contact@esa-paysbasque.fr
Site internet : http://esa-paysbasque.fr
Page Facebook : https://www.facebook.com/ESAPB.PaysBasque/
Chaîne Youtube : https://www.youtube.com/c/ESAPaysBasque

effectif

Diplôme National d’Art (1er cycle dans l’option ART) : 63 étudiants
Prépa ART : 44 étudiants
Prépa DESIGN : 22 étudiants

Besançon

Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon

présentation

Trois axes de développement caractérisent l’ISBA :
1. La recherche qui pour être spécifique à nos pratiques artistiques et graphiques n’en est pas moins nécessairement adossée à des laboratoires universitaires avec lesquels nous avons pu constituer trois PRS – Pôle de Recherche Structurant tant ils engagent l’ensemble de la pédagogie menée à l’école : l’imprimer, le contrat social, et le corps de l’artiste.
2. La coopération internationale : plus qu’une activité, l’international représente pour l’ISBA une véritable dimension de son développement. Pour ce faire, plusieurs outils s’offrent à nous : les échanges étudiants Erasmus mais aussi hors Europe, des professeurs et intervenants étrangers dans l’équipe enseignante, une résidence internationale d’artistes, des voyages d’études et un enseignement intensif d’anglais.
3. La fabrique culturelle qui permet de placer les élèves au plus vite dans une situation professionnelle d’artiste et d’auteur en produisant et montrant leurs travaux. Dans le même esprit, la venue d’intervenants et d’expositions sont organisées chaque année. Citons parmi les dernières : Jean Dupuy, Thomas Hirschhorn, Perr Hutner, Phil Niblock, Kendel Geers, Peter Knapp, Harmen Liemburg.
Enfin, deux dimensions caractérisent également notre établissement :
– Une pratique constante de l’évaluation
– Le suivi de l’insertion professionnelle

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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon
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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon
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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon
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Conférence de Kendell Geers (c) Isba Besançon

options

Art
Communication

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Communication
DNSEP  option Art
DNSEP  option Communication

classe préparatoire

Ecole des beaux-arts de Belfort, partenaire de l’Isba

Intégration des élèves sous forme de contrôle continu et jury en fin d’année

vae

DNA option Art
DNA option Communication
DNSEP option Art
DNSEP option Communication
Contact : Nathalie Gentilhomme
mail : nathalie.gentilhomme@isba.besancon.fr /  tel : 0381878132

unités de recherche

Fronts & frontières

Une unité de recherche ancrée territorialement
La détermination du champ d’investigation de la recherche déployée à l’ISBA a tout d’abord obéi à son ancrage historique, culturel et géographique. En effet, l’école s’est développée depuis le XVIIIe siècle dans ce fameux « arc jurassien » que les historiens français et helvètes qualifient souvent comme la terre natale en Europe de l’anarchosyndicalisme.Besançon, qui a vu naître Proudhon et Fourier, s’est très tôt affirmée en effet comme la capitale de cette terre de coopératives ouvrières qui, des premières fruitières de Comté à la première caisse du Crédit agricole, de la Fraternelle de Saint-Claude à la Saline royale d’Arc-et-Senans, s’est forgée une réputation de frondeuse aux réflexions politiques ne dédaignant pas l’utopie.
C’est donc dans un même mouvement que l’on peut évoquer ici le Courbet de la Commune et les rêves oecuméniques aussi théologiques qu’architecturaux de Le Corbusier à Ronchamp ou de son célèbre adjoint Josep-Lluís Sert qui conçut avant même la Fondation Maeght les bâtiments que nous habitons et qui, architecte du pavillon espagnole de 1937 accueillant Guernica, fut ensuite contraint de fuir le franquisme pour les États-Unis, ou bien encore les convulsions autogestionnaires de « Lip »,moment essentiel dans l’histoire du mouvement ouvrier français, et la création du SMIC inspiré, admet-on couramment aujourd’hui, par les efforts pionniers d’une municipalité bisontine. Si l’on joint à cette histoire aussi mouvementée que spécifique, la situation éminemment transfrontalière de la ville universitaire comtoise, l’on ne saurait s’étonner du choix de l’appellation de notre unité qui sonne comme un programme fédérateur : Fronts & Frontières (titre d’un ouvrage bien connu du géographe politique et diplomate, Michel Foucher). Celle-ci s’attache en effet à comprendre en son sein les propositions plastiques et graphiques qui interrogent (à commencer par elles-mêmes comme disciplines) les frontières de tous ordres et leur processus de légitimation.
Qu’il s’agisse des déterminations de genre ou de pratiques culturelles, telle l’auto-représentation par exemple,des pratiques de travail et leur inscriptions sociales et ethnologiques, ou encore de la vision du corps vivant de l’artiste, Fronts & Frontières propose au plus grand nombre les réflexions croisées de créateurs et de chercheurs académiques qui traitent de ces sujets,permettant de remettre en cause bien des préjugés. Et ce, sans craindre l’affrontement ou la prise de position intempestive. Aussi impliquée dans la question de la diffusion publique des oeuvres que dans les questions de la sexualité ou du travail en lutte, Fronts & Frontières tente également de mettre en relation dans un système de références organisées et une structuration en réseau, des acteurs internationaux qui de l’école d’art de Chittagong au Bangladesh à l’AFSA d’Athènes, de l’ERG de Bruxelles à l’UCAM de Montréal, trouvent en ses sujets une occasion à penser, à créer, à montrer et à diffuser, voire à se mobiliser et à se battre.
Dans un monde que nous pensons de plus en plus crispé sur des interrogations identitaires, notre unité génère des complicités et des solidarités internationales sans lesquelles aucune communauté scientifique véritable ne serait pensable et trouve chaque jour davantage de jeunes chercheurs/créateurs qui souhaitent nous rejoindre aspirant à une création plastique et graphique poreuse aux problématiques sociales,économiques et géopolitiques. Moins « engagée » que « située » pour reprendre la distinction sartrienne bien connue, cette unité de recherche « en situation », une fois encore, trouve en son territoire même quelque légitimité.
C’est en effet, non loin de l’ISBA que le village de Champagney a, pour reprendre les mots d’Aimé Césaire, « sauver l’honneur des Lumières » en inscrivant, le seul dans le royaume, la fin de l’esclavage comme première de ses « doléances ». Située entre la « mort blanche » du château de Joux où périt abandonné de tous Toussaint Louverture et ce village héroïque visité par les plus grands noms de la « Négritude », l’ISBA s’est ainsi pensée comme légitime et, qui sait peut-être, en quelque sorte obligée de faire de Fronts & Frontières, l’unité programmatique de sa recherche/création.

programmes de recherche

Contrat Social

Référence rousseauiste non fortuite, le pôle de recherche Contrat Social pose la question de l’engagement de l’artiste, de l’artiste-citoyen. Il trouve son ancrage dans l’histoire économique, sociale et culturelle de la ville de Besançon. L’utopie sociale, fruit de la pensée de Charles Fourier et de Pierre-Joseph Proudhon, bisontins de naissance, est en effet le terreau dans lequel cette histoire n’a cessé de puiser, marquant en particulier sa mémoire ouvrière. Des grèves à l’usine Rhodiacéta de 1967 à l’Affaire Lip en 1973 et les tentatives d’autogestion de l’entreprise qui en suivirent, l’émancipation culturelle et l’auto-représentation sont alors de véritables enjeux dont le groupe Medvedkine est, en outre, issu. Cette histoire qui a connu un retentissement international pousse à interroger aujourd’hui la place de l’artiste dans la société, sa réception et ses positions ou attitudes face au monde actuel, son rapport au travail et les nouvelles formes qui peuvent en découler. Plusieurs programmes de recherche ont déjà été menés ou sont en cours « Puisqu’on vous dit que c’est possible »(2012-2015), « L’auto-représentation comme acte politique » (depuis2016) ou encore « Résidents » et ce en dialogue avec différents partenaires, le laboratoire CIMEOS de l’université de Bourgogne, celui d’Art&Flux de l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, l’Ecole Supérieure d’Art Visuel de La Cambre à Bruxelles (Belgique), l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan et la Cinémathèque de Tanger-(Maroc), l’Académie des Beaux-Arts de Zagreb et la Saline Royale d’Arc-et-Senans entre autres.

Equipe de recherche ISBA :
Stéphanie Jamet, docteure en histoire de l’art, enseignante-théoricienne (ISBA), Centre André Chastel de l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV)
Gilles Picouet, artiste-enseignant (ISBA)
Géraldine Pastor Lloret, artiste-enseignant (ISBA)
Philippe Terrier-Hermann, artiste-enseignant (ISBA), professeur Master photographie ENSAV La Cambre (Belgique)

Quelques repères

  • Dès 2012 ont été organisés tous les ans en collaboration Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne des colloques à la Saline royale d’Arc-et-Senans avec la participation de Matthieu Laurette (ancien membre co-fondateur de Contrat Social) : Ian Baxter&, Michel Verjux ou encore Seth Siegelaub.
  • 2013-2015 Programme de recherche Puisqu’on vous dit que c’est possible avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication et la collaboration de Université -Sorbonne Paris 1 – Panthéon-Sorbonne, laboratoire d’Histoire contemporaine sur l’histoire du mouvement ouvrier en Histoire contemporaine, Université de Bourgogne – Laboratoire CIMEOS, ENSAV de La Cambre à Bruxelles (Belgique) et Ecole Nationale des Beaux-Arts de Tétouan (Maroc).
  • 2016 Début du programme de recherche « L’auto-représentation comme acte politique » Constitution d’une archive marocaine / Simplon Express – Revenir à Zagreb / Résidents avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication et en collaboration avec l’Université d’Aix Marseille – Institut d’ethnologie méditerranéenne européenne et comparative et l’atelier de l’Observatoire à Casablanca (Maroc), Université Paris 8 et la Faculté des Beaux-Arts de Zagreb(Croatie).

Le corps de l’artiste

Le champ d’expérimentation Performance & Art Action s’est constitué depuis 2009 en un pôle de recherche, intitulé Le Corps de l’artiste. Ce dispositif est intégré au sein d’un réseau institutionnel international -dont les principaux partenaires sont la Faculté des Beaux-Arts de l’Université Polytechnique de Valencia, la Faculté des Beaux-Arts d’Athènes – et s’inscrit dans la dynamique de travail d’un groupe de chercheurs et d’artistes de plusieurs pays. La présence physique de l’artiste, son engagement corporel dans sa création mais également les conditions – mentales, émotionnelles, physiques- qui permettent l’échange et le rapport à l’autre, sont l’objet de nos questionnements qui portent pour l’essentiel sur les domaines de la performance, de l’art action, des interactions avec les zones poétiques et des nouveaux dispositifs. Par l’étude et la mise en oeuvre de propositions exploratoires et expérimentales, il s’agit au sein du pôle Le corps de l’artiste de construire des lignes de recherche innovantes, dans une nouvelle épistémologie qui fonde la recherche contemporaine dans les arts, mais aussi dans les sciences et la pédagogie en école d’art. Outre le programme de recherche « Art, corps, performance – créations et résistances par temps de crise » débuté en 2016 qui interroge les états du corps dans un contexte de lutte, une nouvelle approche sur les enseignements alternatifs «Handle with Care – De la pédagogie critique comme pratique collective » est initiée où un espace d’investigation transversal aux disciplines permettra de révéler la porosité constante opérée au sein de l’ISBA entre art et communication visuelle

Quelques repères

  • 2015 – Programme de recherche Le corps de l’artiste. Préfiguration – Avril 2015 : Symposium International organisé à l’Ecole d’Art d’Athènes Colloque international : Artist as organiser ASFA & ISBA.
  • 2016 – Lancement du programme de recherche Art Action performance furtive avec le soutien du laboratoire Hexagram UCAM de Montréal, UKB de Berne (en sus de Valencia et Athènes)

Equipe de recherche ISBA :
Michel Collet, théoricien, performeur, enseignant en sciences humaines/art(ISBA), associé laboratoire Sciences de l’art Marc Bloch Strasbourg, chercheur associé au réseau de recherche Hexagram UQAM Montréal.
Laurent Devèze, philosophe, Directeur (ISBA)
Valentine Verhaeghe, artiste-performeuse, chargée d’enseignements (ISBA) et Lyon 2, doctorante esthétique UFR Franche-Comté

Teaching to transgress

Over the past ten years, tendencies towards polarisation and discrimination in wider society have had a perceptible influence on attitudes and behaviours within education, not to mention forceful impacts on learning and teaching in our classrooms. In attempts to meet these contemporary threats to diversity, questions about pedagogical inclusivity have risen to the forefront among European communities. As three major art schools engaged in higher education (erg Brussels, ISBA Besancon and Valand Academy, University of Gothenburg), we identify the pressing need to respond to these political and social issues, and with urgency propose to address this historical challenge through a collective focus on questions of inclusive learning and teaching. Intersectionality asserts that oppressions (based in racism, sexism, homophobia, classism, etc.) are interconnected and cannot be examined separately from one another. Critical intersectional feminist pedagogies have, by now, been proven to provide valuable conceptual and practical tools with which to focus on inclusivity.
This is particularly true in the field of art, where teaching is known to be open to devising and applying new critical frameworks, tools of analysis and creative practices.
« Teaching To Transgress Toolbox » [1] is a two-year research and study programme, which focuses on critical pedagogy, using artistic tools based on peer-learning and innovative research practices. This programme enables strongly interconnected research and teaching and is developed transnationally by the three schools, each of which contributes a strong track record of engagement and complementary expertise. Partners have already embarked on specific research and teaching agendas which tackle discrimination in their local context. These include (but are not limited to) : « Teaching to Transgress Working Group » at erg ; « Plateform Shoes » at ISBA ; and « Let’s Mobilize : What is Feminist Pedagogy ?« , the KUNO seminar « Inclusive Actions-Art Schools Imagining Desegregation ? », « PARSE Conference Exclusion » and « Decolonising Film Education » at Valand Academy.
After several highly beneficial exchanges between the partner institutions (shared participation in workshops, lectures and exams), the moment has come to formalise and connect previous research and action. This two-year joint research and study programme would have the attendant aim of serving as a springboard from which to develop a future, much-needed, transnational Erasmus+ Joint Masters Degree on critical pedagogies in the arts.
The « Teaching to Transgress Toolbox » is addressed to artists, researchers, students and teachers. The explicit aim is fostering inclusive pedagogies, and questioning the so-called neutrality and equality in systems of schooling, production and consumption in the arts. The programme invites people from various backgrounds, fields, abilities, gender identification, sexual orientation, ethnicity and religion to collectively explore how intersectional and de-colonial approaches can activate and spread embodied and theoretical knowledges.
The programme consists of four common moments : four one-week workshops hosted at partner institutions, personal/group projects, and a series of public events with external partners. In its first phase, the program offers a historical approach to critical, feminist and de-colonial practices. This entails a close study of the infrastructure and organisation of each institution : How do we work ? With whom ? Where ? And under which conditions ?
This will enable insights into the variety of educational systems and respective agencies within local, political and cultural contexts, and will investigate politics of knowledge practices. Having introduced this groundwork, the next three phases will focus on creating and sharing pedagogical/artistic tools e.g. ; experimental teaching assignments, policy proposals and innovative good practice guidelines.Part of the programme is dedicated to :

  • developing an open access archive and dissemination platform to share findings with a wider public. The platform’s editorial objects are to include papers,studies, manifestos, interviews, video podcasts, radio broadcasts, and digital objects that will circulate in a range of educational, artistic contexts, both inside and outside higher education ;
  • print publication that will be distributed internationally and
  • a one-month exhibition of historical reference material in dialogue with contemporary responses. This newly formed knowledge, crucial in light of the lack of material on the topic, will be distributed to art schools and disseminated over European borders, informing curricula and providing critical tools for day-to-day learning/teaching practice in higher education. Forming connections with other schools and universities will be taken into account in each phase.

[1] The title is inspired by bell hooks’ book « Teaching to Transgress:Education as the Practice of Freedom »

Team
+ Isabelle Massu, artiste-enseignante (ISBA)
+ Emilie Mc Dermott, artiste-enseignante (ISBA)
+ Caroline Dath, Graphiste-enseignante (ERG)
+ Sarah Magnan, graphiste (ERG)
+ Xavier Gorgol, Artiste (ERG)
+ Eva Weinmayr, artiste-enseignante (VALAND)

éditions

Contrat Social

  • Revue D’Ailleurs, numéro spécial Puisqu’on vous dit que c’est possible, ISBA printemps 2015.
  • Livret d’exposition Puisqu’on vous dit que c’est possible, Saline royale d’Arc-et-Senans, 18 octobre 2014- 4 janvier 2015.
  • Résidents, réunion de textes sur quatre années de recherche, ISBA, février 2018.
  • Simplon Express -Revenir à Zagreb, programme de recherche, édition bilingue français-anglais, ISBA, avril 2018.

Le Corps de l’artiste

  • L’art au risque du corps, revue D’Ailleurs de la Recherche à l’ISBA, Besançon, 2014.
  • Gestes en éclat, UFC-Presses du réel, 2016.
  • Mobile Album International, Performance Body, Fiction, réalisé par Montagne Froide, partenariat avec l’ISBA et Les presses du réel (Dijon).

activités & événements

Colloques

Puisqu’on vous dit que c’est possible
http://www.isba-besancon.fr/spip.php?article252

Le Corps de l’artiste
Interventions publiques et Colloques

Dès 2012 ont été organisés des cycles de conférences auxquelles ont participé : John Giorno, Franz Erhard Walther, Kendell Geers, Jeffrey Perkins, Valerian Maly (…).
Excentricités – table ronde annuelle avec les étudiants en performance (8e édition)
Geste en éclats, DU Art Danse Performance avec l’UFC et le Centre chorégraphique national de Belfort, Université de Franche-Comté.
Expositions

Excentricité 8 éditions annuelles (soixantaine de performers professionnels et étudiants invités chaque année) avec entre autres Kendell Geers, Julien Blaine, Demosthenes Agrafiotis, Michel Giroud (…)
Farbika Voxa édition annuelle depuis 2012, Evénement Montagne Froide et Centre d’art multimédia Gantner, partenariat recherche-action avec le programme Corps de l’artiste, Unité de Recherche Fronts et Frontières ISBA.
Blago Bung, événement Cold Mountain et Fondation Emily Harvey, New York, 10e édition à New York, partenariat de recherche avec Research Korpernika et ISBA.

activité post- ou périscolaire

Cours pour auditeurs libres, cours du soir pour adultes et cours du mercredi pour adolescents.

coopération internationale

galerie

Espace 24, galerie de l’école.

équipements spécifiques

Ateliers dessin, peinture, vidéo, son, infographie, multimédia, Internet, photographie, sérigraphie, typographie plomb, bois, céramique, métal, gravure.
Auditorium/salle de conférence.

réseaux

Partenariat avec d’autres établissements Culturels
Frac Franche-Comté
Saline royale d’Arc-et-Senans
Musée de Dole
Musées de Montbéliard
Bibliothèque d’études de Besançon
Centre d’art La Kunsthalle, Mulhouse
Cinémathèque de Tanger (Maroc)
Institut français de Zagreb (Croatie)

Partenariat avec des établissements d’Enseignement Supérieur
Laboratoire d’esthétique du geste de l’Université de Franche-Comté qui regroupe le Centre chorégraphique national de Franche-Comté à Belfort, le Centre dramatique national et le Conservatoire.
Le Laboratoire CIMEOS (EA4177) (Communications, Médiations, Organisations, Savoirs), Université Bourgogne, Dijon.
Ecole Nationale Supérieure de la photographie d’Arles (Christian Gattinoni)
Université Panthéon-Sorbonne-Paris I (France)
Laboratoire CRIT. Université de Franche-Comté, Centre de Recherches Interdisciplinaires et Transculturelles (C.R.I.T.) (EA3224)
Université du Québec à Montréal en lien avec l’Institut de recherche/création en arts et technologies médiatiques (Hexagram), le laboratoire animé par André-Eric Létourneau, professeur
Université de Valencia UPV, Faculté des Beaux Arts, département, sculpture performance. (Espagne)
Université d’Aix-Marseille – Institut d’ethnologie méditerranéenne et comparative (France)
Equipe de recherche en histoire de l’art contemporaine (ERCO) Laboratoire de recherche en Histoire de l’art – Centre André Chastel, Université Paris-Sorbonne Paris IV (France)
Ecole nationale supérieure d’Art de Dijon (France)
EMA Fructidor (Chalon-sur-Saône)
Partenariat dans le cadre de la Plateforme de regroupement des écoles d’art de la région Bourgogne Franche-Comté.
ERG, École de recherche graphique,Bruxelles (Belgique)
ASFA,Ecole des beaux-arts & Université d’art d’Athènes (Grèce)
Ecole Nationale d’Art Visuel de la Cambre à Bruxelles(Belgique)
Institut Supérieur National des Beaux-Arts de Tétouan (Maroc)
Académie des Beaux-Arts de Zagreb (Croatie)

Autres Partenariats
Thalie Art Foundation Bruxelles (Belgique)
Atelier de l’Observatoire à Casablanca (Maroc)
Beton Seven, Centre d’Art (Grèce)
Emily Harvey Foundation de New York (Etats-Unis)
Centre d’art Multimédia/Gantner
Radio Campus Besançon

équipe administrative

Nicolas Surlapierre Directeur par intérim
Nathalie Gentilhomme Directrice adjointe
Marie Lambert Responsable des études | relations internationales
Séverine Vuillemin Bibliothèque
Christelle Botton Secrétariat pédagogique
Julien Cadoret Chargé de l’Action Culturelle

professeurs

Danièle Balit
Nicolas Bardey
Jean-Luc Bari
Didier Barthod-Malat
Thomas Bizzarri
Manon Bruet
Christophe Gaudard
Clément Gérardin
Catherine Guesde
Claire Kueny
Nina Kennel
Anaïs Maillot
Isabelle Massu
Emilie Mc Dermott
Didier Mutel
Rainer Oldendorf
Géraldine Pastor-Lloret
Gilles Picouet
Martha Salimbeni
Hugo Schuwer-Boss
Philippe Terrier-Hermann
Christophe Vaubourg
Valentine Verhaeghe
Marie Weisensel
Rémy Yadan

coordonnées

12 rue Denis Papin
25000 | Besançon
tél. +33 (0)3 81 87 81 30
fax +33 (0)3 81 88 60 94
christelle.botton@isba.besancon.fr
www.isba-besancon.fr

effectif

224 étudiants

Bordeaux

École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux

présentation

L’ebabx – école supérieure des beauxarts de Bordeaux est un établissement d’enseignement supérieur artistique public spécialisé en Art et en Design, placé sous la tutelle du Ministère de la Culture, du Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation. L’école propose un enseignement artistique complet en formation initiale (avec des études structurées en option Art et Design) entre théorie et pratique et en formation continue (VAE, webinaires de formation) et des Cours Publics à plus de 250 amateurs.
Établissement Public de Coopération Culturelle, l’ebabx contribue activement au développement de l’art et du design sur son territoire, au sein d’une diversité de réseaux professionnels et de partenariats locaux, nationaux et internationaux, en collaborant tout au long de l’année avec des artistes et des designers, des centres d’art, des galeries, des musées, des associations, des festivals, des théâtres, des lieux alternatifs, etc. L’école adhère à l’Association Nationale des Écoles supérieures d’Art et de Design (ANdÉA) qui réunit 44 écoles supérieures d’art de design réparties en métropole et Outre-Mer et du Grand Huit réseau des classes préparatoires et écoles supérieures d’art et de design publiques de la Nouvelle-Aquitaine.

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Performance live Composition musicale de musiques thérapeutiques du web Isis Lherm, 2020, ebabx, (c) Catherine Gilloire
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options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design

unités de recherche

Edition

L’UNITÉ DE RECHERCHE « ÉDITION » va se déployer par le lancement d’une Web-Radio, appuyée sur les ressources logistiques et le flux de Mollat-Vox. Et par l’accompagnement de l’édition des cours d’Emmanuel Hocquard par P.O.L. en une « saison EH », comprenant une série d’expositions, de performances et de programmes radio tout au long de l’année 2017-18. L’Unité de Recherche « Edition » met l’accent sur l’acte de publier, en défendant l’idée que publier n’est pas simplement produire des formes éditoriales. Il s’agit surtout de créer un public, voire contre-public. L’édition à l’EBABX est liée à la situation particulière de l’école, marquée d’une part par le fait que les écritures éditoriales y sont intégrées à un projet pédagogique en art et en design, et d’autre part, par la manière dont les Parcours, les Plateformes et les séminaires lient les questions du livre, du son et du cinéma aux modes de production et de réflexion des étudiants. À partir de cette situation, l’EBABX envisage, de manière interdisciplinaire, la diversité des pratiques qui, investies par les « auteurs » que sont les designers graphiques, les écrivains, les musiciens, les cinéastes, les artistes, peuvent prendre valeur de prises de position, tout en donnant lieu, bien sûr, à des objets d’édition et de diffusion.
L’importance de l’édition pour les étudiant.e.s en art, n’a pas seulement à voir avec les qualités formelles et objectives d’une publication, mais également avec les possibilités qu’ouvre l’acte de publier en tant que tel. Les enjeux des pratiques d’édition, de création, de mise en forme, de diffusion, de lecture, s’envisagent au-delà de questions de rôles, de savoir-faire ou de compétences. Ce qui est en jeu est d’être attentif aux modes de fonctionnement, aux échanges et aux agencements dont dépendent les objets éditoriaux, pas seulement à leurs sens ou aux intentions de leurs producteurs. De plus, si la partie enseignement à l’édition trouve ses marques dans une alliance entre le design et l’art, elle se fonde aussi sur la formation et l’apprentissage technique à la réalisation, livrant à chacun des étudiants inscrits dans son option des solutions autonomes et singulièrement identifiées. Pour les réalisations, l’école dispose d’un atelier d’impression numérique, d’une imprimerie offset et de sérigraphie, d’un studio son, d’un studio photo et d’un studio vidéo. Des partenariats institutionnels et privés ouvrent l’Unité Edition sur des outils, des lieux de diffusion publique, des réseaux professionnels pour des expérimentations de création multiples.

Programme au sein des Plateformes Art et Design, cycle 2

CYCLE 2 – ANNÉES 4 ET 5 – M 1 ET M2 LA PÉDAGOGIE EST INVERSÉE, CENTRÉE AUTOUR DES PROJETS SINGULIERS DES ARTISTES ÉTUDIANT·E·S

Le second cycle d’une durée de 2 ans est essentiellement consacré à la préparation du DNSEP Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique, Bac + 5, grade Master.
3 temps animent les deux années de Master en option Art ou Design :

• La mobilité d’étude ou de stage
• Le mémoire de recherche
• Et la monstration du projet plastique pour le diplôme

Les 2 Plateformes option Art ou option Design accueillent différents dispositifs structurés sur 4 semestres : des ateliers orientés production et diffusion, l’initiation à la recherche (groupes de travail, séminaires/publications/recherche documentaire/mémoires), des cours de langues étrangères, des sessions d’accrochages et de travail avec les enseignants, des professionnels invités et des structures partenaires, et des rendez-vous réguliers individuels.

L’expérience internationale fait partie du programme de la 4e année : les étudiant·e·s sont encouragé·e·s à partir en mobilité pendant leur cursus, pour une période d’étude ou un stage professionnel. Les séjours d’étude sont réalisés dans les écoles partenaires, le stage à l’étranger permet à l’étudiant·e de confronter son projet artistique et professionnel à un nouveau contexte géographique, social et culturel.

Des situations d’accrochages et de diffusion publiques exposent l’étudiant·e à une variété de situations individuelles et collectives dans et hors école.

Des modules d’acquisition d’outils pré-professionnels (connaissances juridiques, ingénierie de projet) ainsi que le stage apportent des connaissances de l’environnement professionnel.

La soutenance du mémoire et du diplôme devant un jury de professionnels en fin de cycle 2 permettent à l’étudiant·e de développer une position critique et d’inscrire ses projets dans le champ des pratiques artistiques contemporaines.

programmes de recherche

Programme au sein des Plateformes Art et Design, cycle 2

CYCLE 2 – ANNÉES 4 ET 5 – M 1 ET M2 LA PÉDAGOGIE EST INVERSÉE, CENTRÉE AUTOUR DES PROJETS SINGULIERS DES ARTISTES ÉTUDIANT·E·S

Le second cycle d’une durée de 2 ans est essentiellement consacré à la préparation du DNSEP Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique, Bac + 5, grade Master.
3 temps animent les deux années de Master en option Art ou Design :

• La mobilité d’étude ou de stage
• Le mémoire de recherche
• Et la monstration du projet plastique pour le diplôme

Les 2 Plateformes option Art ou option Design accueillent différents dispositifs structurés sur 4 semestres : des ateliers orientés production et diffusion, l’initiation à la recherche (groupes de travail, séminaires/publications/recherche documentaire/mémoires), des cours de langues étrangères, des sessions d’accrochages et de travail avec les enseignants, des professionnels invités et des structures partenaires, et des rendez-vous réguliers individuels.

L’expérience internationale fait partie du programme de la 4e année : les étudiant·e·s sont encouragé·e·s à partir en mobilité pendant leur cursus, pour une période d’étude ou un stage professionnel. Les séjours d’étude sont réalisés dans les écoles partenaires, le stage à l’étranger permet à l’étudiant·e de confronter son projet artistique et professionnel à un nouveau contexte géographique, social et culturel.

Des situations d’accrochages et de diffusion publiques exposent l’étudiant·e à une variété de situations individuelles et collectives dans et hors école.

Des modules d’acquisition d’outils pré-professionnels (connaissances juridiques, ingénierie de projet) ainsi que le stage apportent des connaissances de l’environnement professionnel.

La soutenance du mémoire et du diplôme devant un jury de professionnels en fin de cycle 2 permettent à l’étudiant·e de développer une position critique et d’inscrire ses projets dans le champ des pratiques artistiques contemporaines.

éditions

Consultez la page Publications sur ebabx.fr

revues

revues

Expositions, conférences, rencontres avec des artistes intervenants, séminaires de recherche, workshops, grand atelier (productions collectives avec des jeunes artistes), colloques, éditions.
Actualités sur ebabx.fr

activité post- ou périscolaire

rubrique COURS PUBLICS sur ebabx.fr

coopération internationale

L’ebabx encourage les étudiants à partir en mobilité à l’international pendant leur cursus, pour une mobilité d’étude ou un stage professionnel. L’année 4 est spécifiquement dédiée à cette expérience internationale, qui peut se dérouler aux semestres 7 ou 8. Ces expériences internationales font partie intégrante du Master et sont validées par des ECTS.

L’ebabx s’intéresse également au développement d’expériences croisées avec les écoles partenaires. Des projets pédagogiques, articulés autour de problématiques communes et traitant notamment des pratiques de l’exposition, de l’édition, de la diffusion, de l’action publique et de la professionnalisation des étudiants, permettent de créer des contextes d’échange et de mobilité construits conjointement. Ces projets peuvent donner lieu à des workshops en France et à l’étranger.

galerie

La Galerie ebabx

Lieu d’exposition et de monstration offrant à l’ebabx une vitrine ouverte sur la rue.

Son activité se partage entre des manifestations à l’adresse du public, et des expériences de présentation menées dans le cadre du cursus. Grâce à sa programmation annuelle de six expositions, concerts ou projections, La Galerie ebabx s’inscrit dans le cadre des autres institutions culturelles de Bordeaux et sa Métropole (capc musée d’art contemporain de Bordeaux, Frac Nouvelle-Aquitaine MECA et les Musées de Bordeaux).

Par ailleurs, toute l’année est ponctuée, de travaux finalisés, essais de design, performances ou réalisations des divers Parcours ou Plateformes, qui rendent compte de la diversité des champs et des effets de l’enseignement artistique : artistes invités, artistes-enseignants, diplômés et élèves des cours publics.

Galerie ebabx
1 rue des étables, 33800 Bordeaux

équipements spécifiques

Des ateliers productions techniques dotés d’équipements performants et regroupés au sein de trois pôles permettent aux étudiants de s’initier, de se perfectionner et d’expérimenter, aux côtés de techniciens chefs d’atelier et d’assistants spécialisés :

• Le pôle édition Impression et façonnage : imprimerie (stations de traitement, traceur), offset, sérigraphie, etc.

• Le pôle image et son Studio vidéo (salle de montage, bancs de montage), studio son (studio d’enregistrement, espace instrumental, salon d’écoute), multimédia, studio photographie (studio prise de vue, laboratoire de traitement de films argentiques noir et blanc), pratiques numériques et nouveaux médias, etc.

• Le pôle volume et matériaux Bois, métal, résine, plastique, terre, céramique, couture, machines de prototypages, découpe laser, imprimante 3D, maquette, électronique, etc. Vidéos des Ateliers techniques sur ebabx.fr

réseaux

équipe administrative

Audry Liseron-Monfils Directeur
Hervé Alexandre Secrétaire général
Annette Nève Directrice des études
Ann-Gaëlle Coomber Coordonnatrice pédagogique
Axelle Blin-Deguet Secrétaire des études
Rachel Helvadjian Responsable relations internationales et projets
Soizic Legrand Assistante relations internationales
Marguerite Joanne Directrice des finances
Nathalie Mestrallet Responsable Administration / Finances
Isabelle Durci Responsable RH
Hélène Squarcioni Responsable Communication
Jean-Marie Blanc Bibliothécaire
Lise Cluzeau Assistante de direction / Coordinatrice Cours Publics
Laurent Ostinet Responsable bâtiment
Sylvain Kalbfleisch Responsable magasin
Sylviane Cavaignac Accueil / standard
Equipe technique Bruno Gaillardon, Alix Caumont, Arnaud Larrère
Equipe entretien Béatrice Séry, Nathalie Olivier
Equipe des techniciens responsables d’atelier Florian Aimard Desplanques Technicien Photographie / Tanguy Bonnet Technicien imprimerie et sérigraphie / Farid Bourenane Technicien matériaux / Leslie-Carole Desseignet Technicienne métal / Arnaud Maudru Technicien vidéo / Antoine Demacon Technicien Son / Adrien Edeline Technicien Vidéo et Son / Patrick Mouret Technicien imprimerie numérique / Emmanuel Sorel Technicien menuiserie / Xavier Vairai Technicien numérique et maquettes

professeurs

AKTYPI Madeleine
BANGS Galen
BAUER Angelika
BOURGEOIS  Myrtille
BOUSSIRON  Xavier
CHEN Patricia
COLOMES Anne
EON Franck
GAUTIER Charles
GILLOIRE Catherine
GONZALEZ Lola
HERRMANN Gauthier
HOUNDEGLA Franck
KLEIN Fernando
LAHACHE Florent
LAHONTAA Thierry
LECHENNE Didier
LEGRAND Soizic
LEGROS Marie
LIESENBORGHS Peter
MARTIROSYAN Nora
MEBKHOUT Malak
MILHE Nicolas
MONIEZ Cyriaque
RENIE Pierre
ROBINSON Charles
RODRIGUEZ-ROBLES Isabel
SALERNO Paola
DE SINGLY Camille
VONIER Sébastien
ZEBO Jean-Charles

BALLANGE Jean-Christophe
COLLET Sébastien
LAVIALLE Myriam

coordonnées

7 rue des Beaux-Arts
CS 72010
33088 Bordeaux Cedex
tél. +33 (0)5 56 33 49 10
fax +33 (0)5 56 31 46 23
www.ebabx.fr
ebabx@ebabx.fr
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Soundcloud La voix des beaux-Arts

effectif

250 étudiants pour l’enseignement supérieur et 250 élèves pour les Cours Publics

Bourges

École nationale supérieure d’art de Bourges

présentation

Sous la tutelle du ministère de la Culture, l’École nationale supérieure d’art (ENSA) de Bourges propose une formation généraliste en art et délivre deux diplômes d’État : le Diplôme National d’Art (DNA) option art qui confère le grade de licence, le Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP) option art, le grade de master et le DNSEP option art. Elle donne accès aussi à deux parcours singuliers : Programmer, pratiques curatoriales de l’image en mouvement et Fictions sonores (Voix, images, sons).

Installée dans un ancien édifice du XVIIe siècle , dans le cœur historique de la ville de Bourges, l’école bénéficie de sa proximité avec les établissements culturels et patrimoniaux, offrant ainsi à ses étudiants un cadre favorable à l’apprentissage et au développement de leur pratique artistique. Les ateliers collectifs des étudiants, répartis sur 5 plateaux, permettent un développement de toutes les pratiques, y compris des pratiques de volume à grande échelle ou les tournages de films dans un studio professionnel (La Chapelle).

L’école offre un enseignement pluridisciplinaire en histoire de l’art, dessin, peinture, photographie, sculpture volumecinéma/vidéoarts sonoresédition/gravurepratiques de l’écrit, céramique, performance, multimédia.

1/5
Stanca Soare, DNSEP 2019
2/5
Vasyl Odrekhivskyy, DNSEP 2012, Ensa Bourges
3/5
Lola Antunes Sandhinhia, DNAP 2012, Ensa Bourges
4/5
Baptiste Brévart, DNSEP 2012, Ensa Bourges
5/5
Shu Yang, DNSEP 2019

diplômes

DNA option Art
DNSEP option Art

classe préparatoire

L’Ensa Bourges est partenaire de deux classes préparatoires au concours d’entrée :

CPES-CAAP – Classe dapprofondissement en arts plastiques
Lycée Alain-Fournier – Bourges

La Classe préparatoire aux études supérieures – Classe d’approfondissement en arts plastiques s’adresse à tous les bacheliers (Bac généraux – STD2A – STI2A – Bac Pro. – BMA) ayant soit suivi un enseignement artistique (Arts plastiques, Arts appliqués, Histoire des arts, Théâtre, Musique, Cinéma Audio-visuel, Danse) de Spécialité ou en Option, ou bénéficiant d’une pratique et d’une culture artistique personnelles.

Cette formation en un an prépare les étudiants aux concours d’entrée dans une école supérieure d’art (art, art-design, art-communication, architecture, arts de la scène, illustration, graphisme, animation, cinéma, etc.), ainsi qu’aux cursus universitaires en Histoire de l’art (L2) ou en Arts plastiques (accès par validation de parcours).

Objectifs de la formation :

Autour de l’enseignement des arts plastiques et de la culture artistique, la formation s’appuie sur une approche pluridisciplinaire et interdisciplinaire pour privilégier les compétences liées à la notion de projet artistique : toutes les disciplines inscrites dans le cursus concourent à la cohésion et à l’approfondissement de la culture et de la pratique de l’étudiant, articulées autour de domaines artistiques variés (arts plastiques, arts graphiques, histoire de l’art, arts de la scène, son, etc.). La formation lui permet d’élaborer un dossier personnel qui sera présenté aux concours et aux entretiens d’admission dans les écoles d’art, d’art et design, d’art et communication, d’architecture ou de formation à l’image.

Une attention particulière est portée à la maîtrise de l’anglais dans une perspective d’ouverture internationale et de poursuite d’études à l’étranger.

Pour en savoir + :
https://lycee-alain-fournier.fr/wp-content/uploads/2021/02/Pre%CC%81sentation-CPES-CAAP-20211.pdf


École municipale des Beaux-Arts de Châteauroux

L’apprentissage donné par les enseignants dans les différents cours fait appel à la réflexion, la recherche et la créativité. L’objectif de la formation est de donner à l’étudiant les bases nécessaires à l’affirmation de sa personnalité au travers de ses réalisations et d’en assumer la mise en forme. La finalité de la classe préparatoire est d’aider l’élève à s’engager dans un processus créatif et une dynamique de travail, en mettant à profit les enseignements reçus pour constituer un dossier de travaux personnels.

La grande richesse de l’école est d’être une structure ouverte à la création contemporaine. Les expositions dans la galerie, les workshops, l’accueil d’artistes en résidence offrent un contexte créatif exceptionnel, un cadre de vie qui met l’élève en prise directe avec les œuvres et les artistes. Les rencontres et les échanges sont au cœur de la pédagogie et donnent l’opportunité d’une véritable rencontre avec le milieu artistique.

L’effectif limité d’élèves permet aux sept professeurs qui les encadrent d’avoir une écoute et une attention particulière pour chacun, favorisant de fait de bonnes conditions de travail.

Cette année préparatoire permet à l’étudiant de faire le point sur son orientation et d’éprouver sa motivation pour les études artistiques.

Pour en savoir + :
https://www.chateauroux-metropole.fr/les-beaux-arts/la-classe-preparatoire-520.html

 

formation continue

Centre d’études au partenariat et à l’intervention artistiques
(Centre de Formation des Plasticiens Intervenants)

La formation

L’objectif de cette formation est d’apporter à des plasticiens et plasticiennes engagé.e.s dans la vie professionnelle une formation complémentaire à leur pratique artistique fondée sur l’acquisition de compétences didactiques et de capacités réflexives appliquées à leur création contemporaine.
Elle est une préparation à intervenir sur la base d’une expérience pratique singulière, auprès de publics diversifiés en milieu scolaire, péri-scolaire, médico-social, hospitalier, carcéral, associatif, service culturel, etc.

Le CÉPIA de Bourges propose l’acquisition de connaissances théoriques et de compétences pratiques basées sur l’alternance : Connaissance-Expérience-Analyse.

La formation offre aux artistes des incursions dans des territoires inhabituels à l’art où l’intervention artistique – comme modalité – positionne la rencontre entre un.e artiste et des personnes se trouvant dans un cadre spécifique… qu’elles soient malades, privées de liberté, unies autour d’une même situation, d’un même questionnement.

L’intervention artistique institue un échange autour d’un partage entre la pratique artistique de l’un et le vécu de l’autre. Si cette rencontre préparée s’avère fructueuse, la personne s’en nourrit et bénéficie du réconfort qu’elle en tire.

La formation prépare à une bonne connaissance de ces milieux d’interventions spécifiques grâce au solide réseau de partenaires professionnels de l’école. Elle guide, accompagne, prévient et analyse les moments de mise en pratique du projet du ou de la stagiaire. Elle construit avec lui, avec elle, le moment de conclusion et de restitution de son expérience.
La formation est certifiante et atteste des compétences acquises, de la connaissance des modalités de l’intervention.

Nourri.e.s des expériences de terrain et des nombreuses interventions de professionnels (artistes, responsables et représentants d’institutions, universitaires), les artistes pourront ainsi appréhender un lieu, un contexte donné qui définira la nature de l’intervention artistique, car celle-ci suppose toujours une rencontre spécifique qui se rejoue à chaque fois.

Le public :
Ce programme est ouvert aux diplômé.e.s d’école d’art et de design ou des universités, titulaires à minima du niveau licence ainsi qu’aux personnes justifiant d’une pratique et d’un parcours professionnels en arts.

Organisation du programme et objectifs :

Connaissance-Expérience-Analyse

Organisés en alternance, les séminaires et rencontres, les temps d’expérimentation (workshops et stages) et les entretiens analytiques permettent aux artistes de transposer des problématiques de leurs recherches artistiques en des projets d’intervention à destination de publics issus de milieux autres que ceux de l’art. Les objectifs étant de ne pas dénaturer les propos du travail artistique et de s’inscrire en cohérence avec les capacités des publics et les projets d’institutions. Le but est de conduire de manière équilibrée un transfert de la pratique artistique à une proposition de production artistique collaborative et commune et en partenariat.

Volume horaire : 300 heures réparties sur 9 semaines de 35h + un stage de 15h + travail personnel.

Dates : d’octobre à juillet.

Tarif : 500 €

Contenus pédagogiques et Partenariats : ICI

Évaluation et obtention du certificat sont soumises :

Au contrôle continu :
– suivi de l’ensemble du programme
– élaboration de projets d’interventions artistiques
– réalisation du projet d’intervention (stages)
– rédaction d’un rapport réflexif entre les enjeux de la pratique artistique et ceux de l’intervention artistique

À la soutenance orale :
– présentation argumentée de son rapport devant un jury

A l’issue de l’obtention du certificat, l’artiste est intégré.e au réseau des Alumni de l’Ensa Bourges.

Inscription-contact :
Sylvie Chany, coordinatrice des formations en partenariat
sylvie.chany@ensa-bourges.fr 02 48 69 79 91

éditions

Catalogues monographiques et collectifs :

  • Olivier Nottellet (deux volumes : expositions 1999 – 2017 ; dessins 2010 – 2016), Antonia Birnbaum, Vincent Brocvielle, Luis Perez Oramas, Yann Ricordel, Éditions Villa Saint Clair, Sète, 2017
  • Alexandre Castant, Les Arts sonores – Son & Art contemporain, Transonic/École nationale supérieure d’art, Charleroi et Bourges, 2017, 96 pages.
  • Pierre Coulibeuf, Fiction, Silvana Editoriale, 2018
  • Miguel Bonneville, Dissecaçao de um Cisne, Lisbonne, 2018
  • Les Cahier du DSRA, Document et art contemporain, n° 6 et 7-8, DSRA, ÉESI & Ensa-Bourges, 2019
  • Alexandre Castant et Iwona Tokarska-Castant, Visions de Mandiargues – Modernité, avant-garde, expériences, Essai, 2020
  • Yves Sabourin, Vivace & Troppo, le verre à l’état libre, Ensa Bourges, Bourges, 2020
  • Première, Meymac (une édition tous les ans)
  • Alex Bodea, The man with a hole in his tie, 100 visual notes on Berlin, The Fact Finder, Verlag, Berlin, 2020
  • Julie Crenn, Bertrand Godot, Frédéric Herbin et Gaëlle Rageot-Deshayes, Cueco, LIENART éditions, Paris, 2020
  • Les catalogues d’exposition de la galerie La Box depuis 1990.
    https://ensa-bourges.fr/images/Liste_editions_box_dec._2017.pdf

 

coopération internationale

Le Bureau de la mobilité et de l’action internationale, entité du service de la pédagogie et des formations, pilote l’ensemble de l’action internationale.

Les objectifs

– garantir la mobilité des étudiant.e.s, des jeunes artistes (post-diplôme et recherche) et des professeurs de l’école
– permettre l’accueil d’étudiant.e.s internationaux et d’enseignant.e.s issu.e.s d’établissements internationaux
– favoriser l’ouverture des projets artistiques et pédagogiques en permettant leur développement dans d’autres contextes
– structurer un réseau international
– assurer le rayonnement de l’école et de sa région à l’international
– accentuer la présence artistique internationale au sein de l’école
– développer l’apprentissage des langues vivantes

Les principes généraux 

L’action internationale s’inscrit le plus souvent dans le prolongement des enseignements, dans le cadre de séjours de mobilité inter-établissements : les professeur.e.s sont en effet les relais des échanges entre établissements ou structures qui se mettent en place. Ces échanges construisent un écosystème de lieux et de contextes favorable aux expériences artistiques et la formation hors-les-murs des étudiant.e.s, favorisant l’ouverture sur des points de vue multiples sur l’art, sur les sociétés, sur les territoires et les environnements dans différents pays du monde. Depuis 2015, des étudiant.e.s ont ainsi pu partir à Dakar, en Palestine, en Roumanie, au Pays-Bas et bientôt en Espagne et au Portugal dans le cadre de programmes Erasmus +.

Les étudiant.e.s de master 1 sont ainsi amené.e.s à préparer un séjour international dès le semestre 7 et à l’effectuer au semestre 8. Ce séjour se relie à leurs problématiques de travail et de recherche. Le mémoire de diplôme prend souvent cette expérience internationale comme point d’appui (entretiens avec des artistes, réflexion sur un contexte, réalisation de documentaires, de pièces artistiques). Qu’ils se réalisent dans des établissements d’enseignement du réseau ou dans d’autres contextes, ils témoignent d’une liberté d’action favorisée par l’école.

Les dispositifs d’échange (accueil et mobilité)

1 – Les séjours de mobilité inter-établissements (SEMI) :
L’école développe une politique de jumelage avec des établissements et des structures dans plusieurs pays, afin de créer les conditions d’un échange renouvelable entre les étudiant.e.s et les professeurs et d’engager des relations pédagogiques, artistiques, culturelles fondées sur le long terme. Chaque année, un.e ou plusieurs professeur.e.s peuvent, dans le cadre du programme Erasmus, engager une relation avec une école ou une université partenaire et ainsi construire les conditions d’une relation pédagogique et artistique durable. En retour, l’ENSA accueille des professeur.e.s et des étudiant.e.s d’autres écoles ou universités. Des cours ou des ateliers sont proposés aux étudiant.e.s dans ce cadre.

2 – Les séjours individuels de recherche (SIR)
En master 1, en dehors des échanges inter-établissements, une approche des milieux professionnels internationaux est également privilégiée pour construire des séjour à vocation de recherche et artistique forte pour les étudiant.e.s : l’accueil chez des artistes et structures artistiques est ainsi très développé. Les jurys du DNSEP ont pu souligner dans leurs rapports, l’impact réel des voyages à l’international de master 1 sur les travaux plastiques des étudiant.e.s.
L’Ensa Bourges assure pour ses étudiant.e.s de Master 1 un véritable « service à la carte » pour les mobilités internationales (ou nationales selon le cas), prenant en compte les projets des étudiant.e.s, leurs recherches à mener pour l’élaboration du mémoire et du diplôme mais aussi les perspectives professionnelles. Pour ce faire, elle s’appuie sur le réseau du corps enseignant, les personnalités invitées dans le cadre des activités de l’Ensa et enfin les partenariats développés.

Ces projets s’élaborent au semestre 7 et se réalisent au semestre 8, ils se préparent dans le cadre de la coordination de l’année 4 avec l’appui du bureau de la mobilité et des relations internationales. L’objectif est que l’intégralité d’une promotion (100%) puisse partir soit dans le cadre d’un séjour individuel de recherche (SIR) soit dans le cadre d’un séjour de mobilité inter-établissement (SEMI).
Les étudiant.e.s de M1 partent tous dans le cadre d’une convention (d’études ou de stages). Des projets en Islande, en Mongolie, en Nouvelle-Zélande, au Brésil, en République Tchèque ou encore au Canada ont ainsi pu se mettre en place.

3 – les programmes Erasmus + et Europe Creative

Depuis 2019, l’ENSA est engagée en tant que partenaire associé à des programmes. Ces projets permettent le déplacement de courte durée et par étapes d’étudiant.e.s dans des situations de workshops. Des rencontres entre les partenaires s’organisent en amont et durant les projets.

Dans le cadre du master : le programme Eastern Sugar (2019-2020) dans le cadre de la coordination de 4ème année et l’échange autour des pratiques sonores (partenariat avec l’Université de Marne-la Vallée, Paris-Est et deux établissements européens en Espagne et au Portugal).

Contact : Krystel Cosquéric, responsable du bureau international et du parcours étudiant

international@ensa-bourges.fr / krystel.cosqueric@ensa-bourges.fr

02 48 69 76 33

 

galerie

La Box, lieu identifié de diffusion et de production est l’un des principaux outils pédagogiques de l’école nationale supérieure d’art de Bourges. Tous les ans, elle produit environ cinq expositions d’artistes français.es ou étranger.ère.s et accueille quatre artistes en résidence.
L’ensemble de la programmation se construit selon plusieurs axes : projets de recherche, programmes de commissaires invité.e.s, expositions thématiques ou monographiques, projets en partenariat. Certaines expositions donnent lieu à une coproduction avec une ou plusieurs institutions nationales ou internationales.
Depuis 30 ans, La Box grâce aux deux ateliers-résidences dont elle dispose, accueille de jeunes artistes français.es ou étranger.ère.s qui bénéficient d’une bourse du Conseil régional du Centre-Val de Loire leur permettant de mener à bien leurs productions et recherches.
Il.elle.s interviennent au sein de l’Ensa auprès des étudiant.e.s lors de workshops. Selon la nature des projets réalisés durant la résidence des possibilités de diffusion ou d’édition peuvent être accompagnées.
L’ensemble de ces dispositifs vise aussi bien les enseignant.e.s et les étudiant.e.s de l’Ensa que le grand public, national, régional et berruyer. Pour les étudiant.e.s, les expositions sont l’occasion d’une rencontre vivante avec l’actualité artistique, d’une expérience concrète des œuvres et souvent de riches rencontres avec les artistes.
Pour l’Ensa, elles sont le moyen de s’identifier dans ce territoire spécifique, d’y faire connaître ses engagements artistiques et pédagogiques. Pour Bourges et la région Centre-Val de Loire, La Box offre la possibilité de confronter un large public à la création la plus actuelle.

La Box fait partie du réseau Arts en résidence et de l’association Devenir.art – réseau des arts visuels en Région Centre-Val de Loire.

équipements spécifiques

L’école dispose des équipements suivants :

  • Ateliers techniques : peinture, volume/sculpture, céramique, édition, photographie, cinéma/vidéo, son, bois, métal.
  • 1 amphithéâtre de 115 places
  • 1 plateau de tournage dit « La Chapelle »
  • 1 salle d’écoute, associée à 3 studios son et 1 studio radio
  • 1 galerie d’essai
  • 5 plateaux
  • 1 bibliothèque comprenant près de 19 000 ouvrages.
  • 1 cafétéria pour les étudiant.e.s

réseaux

L’Ensa de Bourges est membre de :

  • l’ANdÉA,
  •  la Conférence des écoles nationales d’art (CÉNA)
  • le réseau des écoles d’art Grand Ouest.
  • l’Association devenir.art et de l’AAAR qui regroupe des acteurs des arts visuels en Région Centre Val-de-Loire.

 

équipe administrative

Jeanne GAILHOUSTET Directrice
Manuella NÉE Secrétaire générale
Chloé NICOLAS Directrice des études et de la recherche
Alicia Deschamps Secrétariat pédagogique
Krystel COSQUERIC Coordinatrice du Bureau international et de la mobilité des étudiants
Sandra ÉMONET Responsable de la galerie La Box
Emmanuelle PAULIN Responsable des ressources humaines
Sylvie CHANY Coordinatrice des post-diplômes et des formations en partenariat
Hélène RAYMOND Responsable de la bibliothèque
Véronique FRÉJABUE Responsable communication

professeurs

Benjamin AMAN, dessin
Éric AUPOL, photographie
Neal BEGGS, pratique de l’anglais, installation
Érik BULLOT, cinéma, vidéo
Alexandre CASTANT, théorie et histoire de l’art
Éric CORNE, peinture
Magali DESBAZEILLE, performance
Arnaud DESHAYES, cinéma, vidéo
Vanessa FANUELE, dessin
Andreas Maria FOHR, cinéma, vidéo
Ferenc GRÓF, éditions
Frédéric HERBIN, théorie, historien de l’art
Nicolas HÉRUBEL, sculpture, volume
Stéphanie JAMET, théorie et histoire de l’art
Jérôme JOY, arts sonores
Tatiana LEVY, pratiques de l’écrit
Ingrid LUCHE, sculpture, volume
Cédric MIGROYAN, pratique de l’anglais
Ralf NUHN, installation, pratique de l’anglais
David RENAUD, sculpture, volume
Katya SHIRSHKOVA, arts sonores
Ida SOULARD, théorie et histoire de l’art
Laure TIXIER, sculpture, volume
Nicolas TOURRE, peinture
Jonathan ZWAENEPOEL (intervenant CRD)

effectif

165 étudiants

coordonnées

École nationale supérieure d’art de Bourges
7 – 9 rue Édouard-Branly, BP 297
18006 | Bourges cedex
tél. +33 (0)2 48 69 78 78
fax +33 (0)2 48 69 78 84
secretariat.pedagogique@ensa-bourges.fr / communication@ensa-bourges.fr
www.ensa-bourges.fr

Brest

École européenne supérieure d’art de Bretagne | site de Brest

présentation

L’école européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB) – Brest, Lorient, Quimper, Rennes rassemble près de 900 étudiants répartis sur 4 sites géographiques. Elle propose des formations à Bac + 3 et Bac + 5 (équivalence master) en art, design et communication.
Le site de Brest accueille chaque année environ 200 étudiant·e·s et délivrent les options Art et design.
L’organisation pédagogique à Brest se caractérise par un rythme soutenu des apprentissages en 1er cycle, et une organisation en plateformes pour le 2nd cycle.
– L’option Design a défini son territoire de recherche, « Design de la transition », et a construit un partenariat fort avec l’université, qui va trouver des développements après le diplôme (création d’un DU). Cette option explore les dimensions du territoire pénisnulaire de la ville en termes de paysage (littoral), d’architecture (architecture littorale, micro architecture), de ressources (matériaux, éco-matériaux), de technologies (transfert de technologie).
– L’option Art développe plus particulièrement des expérimentations dans l’espace public et dans le domaine de l’exposition, en s’appuyant notamment sur les opportunités offertes par le centre d’art Passerelle.

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École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Brest
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Atelier d'étudiants - École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Brest
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École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Brest

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design

classe préparatoire

programmes de recherche

revues

revues

Expositions, conférences, voyages d’études en France et à l’étranger.

activité post- ou périscolaire

Ateliers enfants et adolescents, ateliers adultes.

coopération internationale

Nombreux échanges Erasmus en Europe.

équipements spécifiques

Bois, métal, plastiques, thermoformage, découpeuse laser, photographie, lithographie, fours à céramique, magasins de prêt (outillage + matériel multimédia), peinture, maquettes, sérigraphie, médiathèque, vidéo, infographie, multimédia, impression numérique, son.

réseaux

ANdEA, Art Accord France, ÉLIA, Le Bois sacré, Collégium Grand Ouest.

équipe administrative

Danièle Yvergniaux Directrice générale de l’EESAB
Frédérique Calvez Directrice du site de Brest
Frédérique Mazé Responsable administratif

Angélique Lecaille Directrice des études et de la recherche
Orianne Morvan Secrétariat pédagogique
Caroline Costard Bibliothèque
Céline Madec/Gwenn Pataou Accueil
Macdara Smith Relations internationales
Gwenn Pataoucomptabilité
Isabelle Laurent chargée de communication
Pauline Uguen Responsable entretien et maintenance
François Elie informatique et réseaux

professeurs

Oscarine Bosquet
Lionel Boutter
Chloé Macary-Carney
Delphine Constant
Maryse Cuzon
Francesco Finizio
Marie-Claire Graillot
Joëlle Le Saux
Magali Lefebvre
Camille Lamy
Julien Masson
Jean-Baptiste Mognetti
Sylvie Moreau

Benoit-Marie Moriceau
Xavier Moulin
Morwena Novion
David Ryan
Macdara Smith
Sylvie Ungauer

Anaïs Touchot

coordonnées

18 rue du Château
29200 | Brest
tél. +33 (0)2 98 00 87 20
http://www.eesab.fr
contact.brest@eesab.fr

effectif

226 étudiants

Caen

École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Caen

présentation

L’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg est un établissement public de coopération culturelle placé sous la tutelle conjointe de Caen la mer, Communauté Urbaine, la Ville de Cherbourg-en-Cotentin, l’Etat et la Région Normandie. Elle est née en 2011 de la fusion de l’école supérieure d’arts & médias de Caen et de l’école supérieure des Beaux-arts de Cherbourg-Octeville.

A la fois établissement d’enseignement supérieur et équipement culturel, l’ésam Caen/Cherbourg affiche plusieurs offres de formation : les cursus de l’enseignement supérieur qui mènent à des diplômes à Bac+3 et Bac+5, une classe préparatoire publique au concours d’entrée dans les écoles d’art françaises, et les ateliers et stages grand public qui proposent une initiation aux pratiques artistiques.

Les différentes activités de l’ésam Caen/Cherbourg se déploient sur ses deux sites géographiques :

  • un bâtiment récent de 11500 m2 situé sur la presqu’île portuaire de Caen et spécialement conçu pour répondre aux besoins et spécificités d’une école d’art ;
  • des locaux de 2000 m2 entièrement réhabilités et implantés au coeur de l’ancien Hôpital maritime de Cherbourg, aujourd’hui rebaptisé Espace René Lebas.
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Bibliothèque site de Cherbourg, photo Julie Laisney - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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Aurélie Gloriant, projet pour l’atelier « Desire Path », 2011, photo Jean-Marc Dronet - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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Atelier site de Cherbourg, photo Julie Laisney

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design graphique
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention éditions
DNSEP Design & Transitions / Stratégies innovantes des territoires urbains (In Situ) Inventer les territoires de demain

troisièmes cycles

Doctorat RADIAN

Le programme doctoral de Recherches en Art, Design, Innovation, Architecture en Normandie (RADIAN), ouvert à la rentrée 2018-2019, est le fruit de la collaboration entre l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, l’école supérieure d’art et design Le Havre/Rouen, l’école nationale supérieure d’architecture de Normandie et l’école doctorale 558 « Histoire, mémoire, patrimoine, langage » (HMPL). Chacun des partenaires est membre de la Communauté d’universités et d’établissements (COMUE) Normandie-Université, qui porte l’accréditation du doctorat et délivre le diplôme.

Ce programme, qui combine étroitement recherche et création, s’adresse aux artistes, designers, architectes et auteurs de créations littéraires titulaires d’un diplôme de niveau MASTER II et engagés par leur pratique sur la scène de la création contemporaine. Il repose sur un modèle innovant qui envisage la recherche en art, en design graphique, en création littéraire et en architecture par la pratique et place l’oeuvre et le processus de création au coeur du travail du doctorant, en dialogue avec une recherche académique. Il ne s’adresse ni aux chercheurs qui souhaiteraient mener un travail exclusivement théorique ni à celles ou ceux qui l’envisageraient comme une résidence de création longue durée ou comme du simple mécénat. Dans ce cadre, la thèse consiste en (a) une oeuvre de création plastique, architecturale, littéraire ou de design graphique, accompagnée (b) d’un portfolio/journal de bord qui met en évidence le processus de création pendant les trois années de la thèse et (c) d’un document théorique (document d’une centaine de pages minimum, correspondant aux standards académiques d’une thèse en sciences humaines). Cet ensemble constitue l’objet de la soutenance de thèse. Après soutenance de leurs travaux, les doctorants obtiendront le titre de Docteur de la Communauté d’universités et d’établissements Normandie – Université.

classe préparatoire

La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg

A la rentrée 2012/2013, l’ésam Caen/Cherbourg a ouvert sur son site cherbourgeois une classe préparatoire publique aux concours d’entrée des écoles supérieures d’art, la première en Normandie. Cette classe préparatoire possède un objectif unique : conduire à la réussite du concours d’entrée des écoles supérieures d’art françaises. Les enseignements sont assurés par des plasticiens et des théoriciens de l’école. C’est un espace pédagogique qui accueille de façon intensive des élèves de 17 à 25 ans titulaires du baccalauréat. La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg permet à l’élève de confirmer son orientation, de comprendre les enjeux de formation d’une école d’art et d’accéder à l’enseignement supérieur à travers différentes formes d’expérimentation, de réflexion et de confrontation. Les élèves entrant dans ce cursus s’engagent à passer quatre concours pour optimiser leurs chances de réussite.

éditions

Catalogues, livres d’artistes, écrits d’artistes

éditions

– « XXe siècle etc. » : cycle de conférences d’histoire de l’art proposé en partenariat avec le FRAC Normandie Caen et l’Artothèque de Caen.
– Salon « Impressions multiples » : salon des éditeurs indépendants (multiples et imprimés d’artistes, essais graphiques et typographiques, éditions électroniques et sonores, micro-édition)
– Festival « Interstice – rencontre des inclassables » : festival consacré aux pratiques des plasticiens et musiciens internationaux qui interrogent les relations intermédias son/image/objet/espace.
– Festival Si cinéma – Festival international des cinémas en écoles d’art, organisé en partenariat avec le Café des images, le Centre Pompidou, la Ménagerie de verre et la Haute école des arts du Rhin
– Expositions des diplômé·es : travaux des DNSEP et des DNA.
– Spectacles et expositions temporaires proposés en partenariat avec les structures culturelles locales (Festival NDK, Festival Les Boréales, Centre chorégraphique national Caen/Basse-Normandie, Comédie de Caen, Théâtre de Caen, etc.).

activité post- ou périscolaire

L’ésam Caen/Cherbourg propose sur ses deux sites géographiques 75 ateliers hebdomadaires d’initiation à la pratique artistique pour les enfants, les adolescent·es et les adultes. Elle organise également des stages pendant et hors vacances scolaires ainsi que des animations arts plastiques en milieu scolaire.

coopération internationale

Depuis plus de 30 ans, l’ésam Caen/Cherbourg développe ses activités à l’international avec des projets ambitieux qui alimentent sa pédagogie et contribuent à son rayonnement.
La mobilité des étudiant·es est une priorité : elle a lieu tout au long du cursus par le biais de voyages d’études (visites d’expositions, biennales), de séjours d’études ou de stages à l’étranger.
L’école accueille également 15% d’étudiant·es internationaux·ales, sur programmes d’échanges ou par l’intermédiaire de la plateforme Campus Art. La mobilité du personnel (à des fins d’enseignement ou de formation) est également encouragée.
Le service des relations internationales coordonne par ailleurs divers projets : programmes de résidences, workshops, expositions en lien avec des partenaires étrangers.
Mobilité 
Voyages d’études
Projets internationaux 
Etudiant·es entrant·es

Réseaux et collaborations

L’ésam Caen/Cherbourg s’inscrit ainsi dans de nombreux dispositifs :

  • membre du réseau ELIA (European League of Institutes of the Arts)
  • labellisation Caen Nordic de la ville de Caen avec son projet « Territorial Creativity and Participative Urban Art in Riga. » fin 2021.
  • sélection en 2022 pour participer au projet EuroFabrique avec son projet « Action publique » mené avec l’artiste Julien Berthier et présenté le 10 février 2022 au Grand Palais éphémère de Paris.
  • dans le cadre d’un dispositif de bourse du Ministère de l’enseignement supérieur irakien et de l’ambassade de France en Iraq, accueil de l’artiste et enseignant-chercheur Ali Ameen Sami pour une résidence de recherche et de création de mars à août 2022.
  • participation au programme PAUSE du Collège de France pour l’accueil d’artistes ukrainiens en exil. Nous avons ainsi accueilli en résidence les artistes Anna Khodkova, Kristina Yarosh et Yana Yarosh entre mai et juillet 2022.

Partenaires

L’école compte une quarantaine de partenariats avec d’autres établissements d’enseignement supérieur artistique en Europe et dans le reste du monde, au travers du programme Erasmus+ ou d’ententes bilatérales. Liens directs sur notre site.

Allemagne
Kiel – Muthesius Kunsthochschule in Kiel
Offenbach am Main – Hochschule für Gestaltung Offenbach am Main
Mannheim – Hochschule Mannheim
Münster – Kunstakademie Münster
Münster – Fachhochschule Münster
Belgique
Mons – Ecole Supérieure des Arts
Bruxelles – ESA Saint-Luc
Bruxelles – Ecole de Recherche Graphique
Bulgarie
Veliko Turnovo – Université de Veliko Turnovo St Cyril & St Methodius
Canada
Chicoutimi – Université du Québec à Chicoutimi
Toronto – Sheridan College
Corée du Sud
Séoul – Hongik University
Estonie
Tallinn – Estonian Academy of Arts
Espagne
Tarrega – EASD Ondara
Las Palmas – EASD Gran Canaria
Madrid – Centro Universitario de Artes TAI
Estonie
Tallinn – Estonian Academy of Arts
Etats-Unis
Lowell – UMass Lowell
Baltimore – Maryland Institute College of Arts
Hongrie
Budapest – Metropolitan University of Applied Sciences
Budapest – The Hungarian University of Fine Arts
Inde
Bengalore – Karnataka Chitrakala Parishath
Italie
Bologne – Accademia di Belle Arti di Bologna
Brescia – Accademia di Belle Arti di Brescia Santagiulia
Lettonie
Riga – Art Academy of Latvia
Riga – Latvian Academy of Culture
Lituanie
Vilnius – Vilnius Academy of Art
Macédoine
Skopje – St Cyril and Methode University of Skopje
Mexique
Cuernavaca – Universidad Internacional
Norvège
Bergen – Bergen Academy of Art and Design
Pays-Bas
La Haye – Royal Academy of Art
Pologne
Varsovie – Academy of Fine Arts of Warszaw
République Tchèque
Prague – Academy of Arts, Architecture and Design
Roumanie
Cluj Napoca – University of Art and Design
Royaume-Uni
Belfast – University of Ulster, Belfast school of art
Plymouth – Plymouth College of Art
Russie
Ekaterinbourg – Ural State Academy of Architecture and Art
Slovaquie
Banska Bystrica – Academy of Arts in Banska Bystrica
Suisse
Sierre – EDHEA
Turquie
Istanbul – Mimar Sinan Fine Arts University

galerie

Grande galerie d’exposition de 200m2 située sur le site de Caen et accueillant les expositions des travaux des diplômé·es de l’école tout comme des expositions d’artistes extérieur·es programmées dans le cadre de partenariats culturels.

équipements spécifiques

Ateliers techniques (détails)
– Pôle volume : ateliers bois ; ateliers fer, dans lesquels sont travaillés la découpe et la soudure, le pliage, la forge, la fonderie ; atelier de résines et de matériaux plastiques.
– Pôle céramique : ateliers permettant d’explorer toutes les techniques du travail de la céramique (moulage, modelage, tournage, coulage, émaillage en faïence, raku, grès, porcelaine en cuisson réductrice ou oxydante).
– Pôle estampe : ateliers de gravure en taille douce, xylographie, aquatinte ; atelier de sérigraphie comprenant plusieurs tables de tirage ; atelier de lithographie et de photolithographie.
– Pôle édition : imprimerie offrant les techniques de typographie-bois, typographie-plomb, offset et numérique.
– Pôle photographie : laboratoires de développement film ; ateliers de tirage en photographie noir et blanc et couleur, dont un grand format ; studio de prise de vue ; atelier de photographie numérique.
– Pôle vidéo : cabines de montage vidéo ; plateau de tournage vidéo équipé d’un cyclo pour les incrustations.
– Pôle son : studio son équipé d’une cabine speak ; cabines de montage son.
– Pôle informatique et multimédias : salles d’informatique pour les cours, les ateliers numériques en typographie, mise en page, multimédias, animation et 3D virtuelle.

Bibliothèques (détails)
Les bibliothèques situées sur chacun des deux sites de l’ésam Caen/Cherbourg constituent un fonds de référence et de ressources pour les arts visuels et l’art contemporain du 20ème siècle jusqu’à nos jours, soit plus de 27 000 documents se présentant sous la forme d’imprimés (monographies, catalogues d’exposition, essais), de documents audiovisuels (CD-Audio, DVD, CD-Rom), de périodiques (revues d’art et de graphisme françaises et internationales).

Ateliers des étudiant·es : des ateliers d’une superficie comprise entre 100 et 200 m2 permettent à chaque étudiant·e de disposer tout au long de l’année d’un espace de travail adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser ses projets personnels. Des salles d’accrochage pédagogique leur permettent par ailleurs de présenter leurs travaux lors des évaluations ou des passages de diplômes dans des conditions professionnelles.

Auditorium de 250 places équipé d’un plateau de 12 x 11 m

réseaux

Le projet de l’ésam est consultable sur notre site.
Nos partenaires.

L’ésam Caen/Cherbourg fait partie de nombreux réseaux, dont l’Andéa (Association nationale des écoles supérieures d’art et de design), la Communauté d’Universités et d’Établissements (ComUE) Normandie-Université et, depuis la rentrée 2022, la CGE (Conférence des Grandes Écoles). Elle est ainsi la première école supérieure d’art et de design territoriale labellisée Grande École et seulement la troisième école supérieure d’art et de design publique. En Normandie, elle est le septième établissement d’enseignement supérieur à rejoindre ce réseau d’excellence.

L’ésam est également membre de la communauté d’universités et d’établissements (COMUE) Normandie Université et du Pôle Territorial de Coopération Presqu’île de Caen.

 

équipe administrative

Liste complète sur notre site.

Arnaud Stinès Directeur
Samuel Weddle Administrateur général
Claire Migraine Etudes 
France Jacquel-Blanc Relations internationales
Brice Giacalone Recherche
Julie Laisney Relations extérieures
Aurélie Noury Bibliothèque

professeurs

Liste et biographies sur notre site.

Deepak Ananth
Léna Araguas
Camille Azaïs
Julie Bassinot
Juliet Bates
Abir Belaïd
Christophe Bouder
Laurent Buffet
Simonetta Cargioli
Muriel Couteau
David Dronet
Céline Duval
Sarah Fouquet
Nicolas Germain
Brice Giacalone
Juan-Manuel Gomez
Lina Hentgen
Benjamin Hochart
Quentin Juhel
Adeline Keil
Alice Laguarda
Thomas Leblond
Myriam Mechita
Elise Millet
Isabelle Prim
Maxence Rifflet
Alexandre Rolla
Bérénice Serra
Apolonia Sokol
Phil Stephens
Pierre Tatu
Didier Tirard
Thierry Weyd
Emmanuel Zwenger

coordonnées

site de Caen [siège social] :
17 cours Caffarelli 14000 | Caen
site de Cherbourg :
61 rue de l’abbaye 50100 | Cherbourg-en-Cotentin
tél. +33 (0)2 14 37 25 00
fax +33 (0)2 14 37 25 01
info@esam-c2.fr
http://www.esam-c2.fr
Facebook
instagram
TikTok
Twitter
Linkedin
Youtube

effectif

300 étudiant·es

Cambrai

École supérieure d’art et de communication de Cambrai

présentation

L’École supérieure d’art et de communication (Ésac) de Cambrai est un établissement d’enseignement supérieur placé sous la tutelle pédagogique du ministère de la Culture.

Cet établissement public de coopération culturelle (EPCC) délivre un enseignement artistique spécialisé en design graphique, développe une activité de recherche et propose un panel d’actions culturelles ouvertes au plus grand nombre.

Les études mènent à l’obtention de deux diplômes en option « Communication » : le Diplôme national d’art (DNA, grade Licence) et le Diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP, grade Master), mention Dialogues.

L’histoire de l’école débute en 1780 dans les ateliers de deux artistes cambrésiens: Antoine-François Saint-Aubert et Benoît Marho. En 1832, elle est dotée d’un règlement de type « Académie des Beaux-Arts » et en 1894 des locaux lui sont dédiés rue Saint-Fiacre. En 1951, avec la réforme de l’enseignement artistique, sont mis en place le CAFAS et le Diplôme des Beaux-Arts. En 1970, l’école emménage dans les anciens bureaux d’une entreprise textile, rue du Paon. Le DNAT Arts graphiques y est créé. De 2001 à 2003, le DNSEP option Communication se construit avec l’ambition de parcourir un champ de création artistique plus vaste, en phase avec les avancées technologiques. Depuis 2003, l’Ésac propose un enseignement singulier qui ancre la pratique du design graphique dans le champ élargi de la création visuelle et artistique contemporaine.

Dans le contexte de l’offre régionale, l’Ésac se caractérise par la particularité de son option «Communication». L’option «Communication» n’est pas à comprendre comme une formation dont les objectifs seraient l’acquisition d’outils de communication au sens propre (vidéo, logiciels d’images et de mise en page, multimédia, etc.), mais comme une formation artistique transversale conduisant à des productions répondant ou non à des commandes. Cela lui permet d’investir les champs de la communication que sont le design graphique en même temps comme des pratiques artistiques qui interroge les champs de la communication et de l’information.

L’objectif de cette option est de former des créateurs qui, au delà de leur production, développent une réelle capacité d’analyse critique des dispositifs médiatiques, socio-économiques, et idéologiques et qu’à l’issue de sa formation, l’étudiant·e puisse qualifier sa pratique du design graphique relevant d’une pratique dite d’auteur.
À l’issue de cette formation, les étudiant·es peuvent prétendre à des emplois de graphistes en agence, en atelier, au sein de collectivités ou encore d’institutions à vocation culturelles et sociales. Iels peuvent également travailler en milieu culturel et artistique, et notamment au sein des services de médiation ou de communication.

L’École est établissement-composante de l’Université Polytechnique Hauts-de-France (UPHF), Établissement public expérimental (ÉPE) et membre fondateur de l’association Polaris — Réseau magnétique des écoles d’art publiques en Hauts-de-France. Également membre actif de l’Association nationale des écoles d’art (ANdÉA), elle invite toutes les personnes à participer aux colloques et ateliers de travail inter-écoles.

Enfin, elle développe la mobilité internationale selon une stratégie précise : emplacements géographiques proches et accessibles, partenariats investis et réciproques, structures d’échelle modeste et similaire.

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diplômes

L’école développe deux cursus, autonomes et complémentaires, menant à des diplômes homologués par le ministère de la Culture et par le ministère de l’Enseignement supérieur.

Diplôme National d’Art
(DNA, grade Licence/Bachelor), 3 ans
Cette formation de 1er cycle, initiale et généraliste, se décompose ainsi :
● L’initiation et le perfectionnement aux diverses pratiques et techniques qui couvrent le champ de la communication : design graphique, dessin, création numérique, photographie, édition, impression (gravure, sérigraphie, riso, 3D), vidéo, typographie… mais aussi performances et installations dans l’espace.
● L’enseignement du projet de design graphique, pratiqué par petits groupes (± 15 étudiant·es), selon un cahier des charges défini.
● Des réalisations ambitieuses en contexte réel, grâce aux nombreux partenariats menés par les enseignant·es avec des structures culturelles locales ou régionales.

Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique, mention Dialogues
(DNSEP, grade Master), 2 ans
Cette formation de 2nd cycle, complémentaire et spécialisée, se déploie ainsi :
● L’enseignement du projet de design graphique, pratiqué par petits groupes (± 12 étudiant·es), permet de faire éclore des trajectoires personnelles fortes : méthodologies, démarches et écritures graphiques sont issues d’une construction individuelle et singulière. Les projets sont développés dans des conditions réalistes, confrontant l’étudiant·e aux enjeux du design graphique : une commande, un contexte et un public.
● L’initiation à la recherche, à travers la rédaction d’un mémoire personnel en Master 1 et la participation au programme de recherche de l’école (l’archivage de la création numérique), mené en partenariat avec des institutions publiques, régionales et nationales.
●  Le développement d’un projet graphique personnel, en fin de cursus, dont le cahier des charges est entièrement défini par l’étudiant·e puis réalisé dans toutes ses dimensions grâce aux ateliers de l’école : prototypage, diffusion…

Approche pédagogique
Abordés sous l’angle expérimental, les diplômes sont ancrés dans une réalité professionnelle puisque l’équipe pédagogique est composée de designers, d’artistes et de théoricien·nes reconnu·es dans leur domaine, en prise avec des métiers qui évoluent en permanence. De plus, l’école accueille régulièrement des personnalités extérieures : cycles de conférences, expositions, ateliers intensifs (workshops), séminaires, master classes, ateliers de recherches et de création (ARC), rencontres professionnelles.

Workshops
En complément du programme pédagogique proposé par les enseignant·es, plusieurs sessions d’ateliers intensifs sont animées par des intervenant·es extérieur·es.

Semaine Outils
Chaque année, l’école organise une semaine transversale d’ateliers intensifs où se mélangent les étudiant·es, toutes années confondues. L’axe pédagogique général est l’expérimentation formelle et conceptuelle à partir d’une machine ou d’une technique : d’un « outil ». Enseignant·es et étudiant·es explorent, tâtonnent… et produisent des objets graphiques qui triturent les processus de fabrication. Les ateliers sont conçus et menés par l’équipe, ainsi que par les étudiant·es d’années diplômantes (3 & 5) qui souhaitent se frotter à la pédagogie.

Voyages d’étude et festivals
Paris et Bruxelles sont à 2h de Cambrai. Chaque année, l’équipe pédagogique organise un voyage de découverte des capitales, à travers les principaux musées, les galeries privées et les expositions temporaires qui font l’actualité des arts visuels contemporains. La Biennale internationale de design graphique de Chaumont fait également partie des destinations régulières.

Partenariats
Selon les ateliers et les années, les enseignant·es élaborent différents partenariats, avec des structures cambrésiennes ou plus lointaines : scientifiques (Le Labo, l’INA de Lille), artistiques (le festival Fig. de Liège, le théâtre de Cambrai, l’Opéra de Lille, le théâtre le Phénix de Valenciennes, le Centre régional de la photographie de Douchy-les-Mines), pédagogiques (l’UPHF, le service Ville d’art et d’histoire et le Musée des beaux-arts de Cambrai)… Ces collaborations apportent un souffle et une ambition concrète aux travaux étudiants, qui sont exposés dans chacun des lieux et confrontés aux publics.

programmes de recherche

Recherche

L’équipe défend une recherche par la création, qui place les étudiant·es au premier plan : fouille documentaire, analyse, synthèse, écritures libres, transformation des sources premières ou secondaires et mise en forme (graphique, sonore, spatiale…), prise de parole individuelle et projets collectifs actionnés lors d’événements publics.

Articulations avec la pédagogie
En 1er cycle, les Ateliers de recherche et de création (ARC) insufflent une ouverture vers la recherche en création à travers un lien théorie/pratique et donnent lieu à des restitutions publiques : graphisme et arts de la scène (installations et performances à l’Opéra de Lille) ; graphisme et art numérique (Ceci n’est pas un jeu : exposition au Musée des beaux-arts de Cambrai).

La pratique régulière de l’écriture (objet de recherche en DNA et mémoire en DNSEP) permet de renforcer le passage d’une pensée orale vers une pensée écrite. Elle encourage l’affirmation d’un point de vue personnel selon différents registres d’écriture (écrit critique, fiction, carnets de terrain ou encore entretiens).

En 2nd cycle, les programmes de recherche s’intègrent aux séminaires et ateliers pratiques d’année 4, selon une alternance annuelle (production de savoir/diffusion). Les recherches, poursuivies d’années en années, créent une chaîne de transmission entre les différentes promotions étudiantes.

Programme de recherche : Retour aux sources (RAS)— la création numérique reconsidérée
L’objectif du programme est double : d’une part mettre à jour les oeuvres simples ou les fragments de codes qui ont fait l’histoire du design interactif ou de l’art numérique, se saisir de ces briques algorithmiques qui les composent pour créer de nouvelles pièces ; et d’autre part, communiquer de manière dynamique et inventive sur la création « in progress », dans une dynamique de partage et de diffusion que porte l’open source, en travaillant avec des formats ouverts, évolutifs mais aussi consultables par le plus grand nombre et qui s’inscrivent dans une volonté de valorisation scientifique.

Une pluralité de démarches est ainsi engagée : penser les outils du numérique, travailler avec les supports existants ou considérés comme dépassés, montrer les circulations possibles entre l’analogique et le numérique et sensibiliser par là-même à l’histoire des médiums et des techniques.

→ Coordination conjointe du programme : Keyvane Alinaghi et Caroline Tron-Carroz
→ Publication : http://ras.esac-cambrai.net
→ Partenaires : Institut national de l’audiovisuel (INA, Lille), Centre européen du vidéo mapping, Maison Folie Moulin (Mini Lab, Lille), Université polytechnique des Hauts-de-France – UPHF, Musée des beaux-arts (Cambrai).

unités de recherche

Unité de recherche : Hyper.Local
Depuis 2016, les écoles supérieures de Cambrai, Dunkerque-Tourcoing et Valenciennes ont réuni leurs programmes de recherche développés en Art et en Design au sein d’une Unité de Recherche (UR) nommée « Hyper.Local ». Lieu de diffusion et de partage, celle-ci questionne et rend public les formats de restitution des ARCs et programmes de recherche, en impliquant les étudiant·es de 2nd cycle.

En octobre 2022, à l’occasion de la Triennale Art & Industrie Chaleur humaine portée par le FRAC Grand Large et le LAAC (Dunkerque), Hyper.Local s’est emparée de la question de l’énergie en proposant aux étudiant·es des workshops encadrés par des artistes invité·es. Du 16 septembre 2023 au 14 janvier 2024, l’exposition Énergie(s) présente au FRAC Grand Large les productions réalisées lors de ces rencontres multi-écoles.

unités de recherche

Action culturelle

Conçue à destination prioritaire des étudiant·es de l’école, la programmation culturelle de l’Ésac fait écho aux projets et aux invitations pédagogiques. Elle propose des cycles de conférences thématisés et des expositions, qui sont autant d’apports pédagogiques, documentaires et artistiques. Tous les événements s’ouvrent aux publics extérieurs, individuels ou groupes. L’école est une actrice culturelle à part entière de la ville, un lieu de ressources permanent sur le design graphique, où chacun·e est bienvenu·e.

Conférences
Certaines conférences font partie intégrante d’un cours, quand d’autres sont structurées en cycle autonome. Certaines proviennent d’initiatives enseignantes, quand d’autres sont provoquées par des étudiant·es. La majorité ont lieu in situ, quelques unes se déroulent en visioconférence, toutes sont pensées comme des moments de rencontre et d’échange avec des professionnel·les.

Expositions
La programmation propose plusieurs axes reliés par le design graphique et l’image, à travers des commissariats itinérants ou issus de l’école : Témoins (accrochage collectif de photographies documentant les terres agricoles du Cambrésis, avec Amélie Landry et six étudiant·es), Papier Puzzle (installations lumineuses en papier, avec Laure Philippe), panorama contemporain international, sélection issue de la collection conservée à l’école, En coulisses d’un projet (étapes préparatoires de commande : croquis, tests…), restitutions pédagogiques, interventions spontanées, et enfin : projets de diplômes/fin d’études !

Au-delà des multiples endroits de l’école investis (galerie, centre de documentation, vitrines…), certaines expositions se déploient dans l’espace public (Chapelle des Jésuites, centre-ville).

Médiation et ateliers de pratiques
Sur réservation, l’école propose des visites commentées de ses expositions, à destination de groupes et de publics variés. Ponctuellement, les étudiant·es organisent des ateliers de pratiques artistiques, en lien avec les expositions ou avec leurs recherches personnelles. Par exemple, en 2022/23 : Ping Pong (jeux sportifs détournés), initiation au design graphique, sérigraphie, outils numériques libres…

Ultra Local (de 18h à 20h)
Ce temps « après les cours » permet à chacun·e de se retrouver librement dans l’espace de l’école, de construire du collectif et de la convivialité. La programmation est ouverte aux suggestions de tous les membres : étudiant·es, personnel pédagogique, administratif et technique. Elle propose : des jeux, la présentation d’initiatives étudiantes, la restitution de projets pédagogiques, le partage d’expériences à l’international, des petites formes dansées et dessinées, un ciné-club…

Cordée de la réussite « Les métiers de l’image »
En 2023/2024, l’école rejoint le programme des Cordées de la réussite de la Région académique Hautsde- France. Ce partenariat en faveur de l’égalité des chances associe l’Ésac, qui devient tête de cordée, et 4 établissements scolaires du Cambrésis. L’objectif est d’accueillir tout au long de l’année scolaire une soixantaine de collégien·nes et lycéen·nes afin de leur faire découvrir l’enseignement supérieur des métiers de l’image par le biais d’actions au sein de l’école, de sorties culturelles ou d’ateliers et visites organisés par des étudiant·es.

++ voir l’actualité des événements

équipements spécifiques

Ateliers
L’Ésac bénéficie d’ateliers de production nombreux et très bien équipés : gravure, sérigraphie, fab lab (gravure laser et impression 3D), impression numérique grand format, découpe d’adhésifs, édition et reliure, riso, studio de prise de vue photo et vidéo, salle de cours informatique, salle de montage vidéo. L’école fournit certains consommables : encre, plaques de cuivre, produits chimiques… dans le cadre des cours et des ateliers inscrits à l’emploi du temps.

Récupérathèque
Cet espace coopératif, initié par les étudiant·es pour limiter le gaspillage dans l’école et dédié au réemploi, fournit des matériaux de récupération pour toutes et tous. En plus de revaloriser les déchets, la récupérathèque encourage la solidarité et crée du lien social. Elle permet de se rassembler autour d’un projet local au sein de l’école, tout en s’inscrivant dans une démarche collective à l’échelle nationale. Cette année, la récupérathèque est à la recherche de volontaires pour se joindre à l’aventure, développer le projet et adhérer à la Fédération des récupérathèques…

Prêt de matériel
Un système de prêt de matériel vidéo et photographique est mis en place : ordinateurs Apple, tablettes tactiles, vidéo DVCAM, micros, perches, pieds, mixette, dat, projecteurs vidéo, appareils photographiques argentiques et numériques… En raison du coût de ces équipements, une attestation d’assurance (responsabilité civile) est demandée pour pouvoir emprunter ce matériel. En cas de bris, perte ou vol, la réparation ou le remplacement est à la charge de l’étudiant·e.

Centre de documentation
Le fonds spécialisé contient de nombreux ouvrages en arts visuels et design graphique : livres (monographies, catalogues d’expositions, manuels), revues, vidéos, etc. Il est accessible à chacun·e pour la consultation et le prêt ; et ouvert au public extérieur pour consultation seule. Chaque semaine, une sélection d’ouvrages en lien avec des thématiques transversales aux enseignements, à la programmation culturelle de l’école ou à l’actualité du monde de l’art est mise en avant.

Depuis 2021, les acquisitions du centre font l’objet d’une concertation collective à travers un groupe composé d’enseignant·es, d’étudiant·es, du responsable et de la directrice. En amont, chaque personne de l’école est invitée à soumettre des propositions d’acquisitions motivées.

Le centre de documentation accueille également des expositions. En 2023/24, des tirages de l’artothèque du Centre régional de la photographie Hauts-de-France y seront présentés tout au long de l’année : Willy Ronnis, Marc Pataut, Françoise Muñez, Denis Brihat, Marie-José Burki, John Batho…

Par ailleurs, une newsletter hebdomadaire étoffe la notion de ressources en sélectionnant des contenus extérieurs à l’école : médias en ligne (conférences, webinaires, films, podcasts…), expositions et événements (locaux, nationaux et transfrontaliers) et appels à projets pertinents (choisis pour des critères de sérieux, de rémunération, de visibilité, etc.).

Galerie et vitrines d’exposition
L’école dispose de plusieurs espaces d’accrochage, qui accueillent des expositions temporaires (monographiques ou thématiques) et des restitutions de projets étudiants : galerie intérieure, mais aussi vitrines en prise directe avec l’espace public.

réseaux

ANdEA, Polaris.

équipe administrative

Depuis le 1er janvier 2011, l’École est régie sous la forme d’un EPCC, Établissement Public de Coopération Culturelle créé par la Ville et l’Agglomération de Cambrai, l’État et la Chambre de Commerce et d’Industrie. L’établissement est géré par un Conseil d’administration présidé par Sylvain Tranoy.

Direction
Sandra Chamaret

Administration générale
Marie Delroise,, Administratrice
Émilie Maguet-Romanowski, Responsable de la scolarité
Aline Mallet, Comptabilité et administration financière
Mickaël Tkindt-Naumann, Communication et centre de documentation

Équipe technique
Loïc Joly, Maintenance et conciergerie
Marie Rosier, Ateliers de production (impression numérique/traditionnelle)

professeurs

Théorie et langues vivantes
Stéphanie Mahieu, Actualités du design en anglais, référente relations internationales
Fabrice Sabatier, Théorie du design graphique
Caroline Tron-Carroz, Histoire de l’art, responsable de la recherche

Communication, design graphique
Keyvane Alinaghi, Code créatif et dispositifs numériques
Lucile Bataille, Pratiques graphiques
David Braillon, Édition et usages typographiques
Romain Descours, Vidéo
Gilles Dupuis, Graphisme et images d’actualités
Ida Ferrand, Gravure
Tomek Jarolim, Design d’interaction
Valentine Solignac, Photographie
Bruno Souêtre, Design graphique et mise en espace
Fred Vaësen, Installations, couleurs et sérigraphie
Melek Zertal, Illustration

Invitées 2023/24
Silvia Dore, Méthodologie de projet
Diane Ducamp, Médiation culturelle et patrimoine

coordonnées

130, Allée Saint-Roch
59400 Cambrai
Nord-Pas de Calais
France
T +33 (0)3 27 83 81 42
F +33 (0)3 27 83 81 43
bonjour@esac-cambrai.net
www.esac-cambrai.net

effectif

90 étudiant·es

Cergy

École nationale supérieure d’arts Paris-Cergy

présentation

Créée en 1975, l’ENSAPC est une école d’art, véritable laboratoire ouvert sur le champ de la création contemporaine.
Revendiquant une totale transversalité, l’ENSAPC est pensée comme un laboratoire des pratiques artistiques. Elle s’affirme comme une plateforme de production et de savoir. Pour nourrir une approche critique des enjeux contemporains, l’école se veut mobile, réactive, attentive aux nouveaux champs de connaissance permettant l’exploration de nouveaux territoires.
L’école fait évoluer son enseignement en continu, pour être au plus près de l’environnement professionnel auquel ses étudiants devront prendre part : l’ENSAPC couvre un très large spectre de disciplines et croise le domaine des arts visuels, de l’écriture, du spectacle vivant et du cinéma.
Pilotés par des artistes et des théoriciens exigeants, les projets pédagogiques sont construits en articulation étroite avec des structures publiques et privées françaises et internationales de haut niveau, dans le champ de la création.
Ayant pour vocation la formation de créateurs et de professionnels aguerris, l’école a formé un grand nombre d’artistes qui ont construit des trajectoires singulières dans les domaines des arts visuels, du cinéma, du design, de la littérature. Absalon, Violaine Lochu, Erwan Bouroullec, Latifa Echakhch, Loris Gréaud, Michel Hazanavicius, Jean-Charles Hue, Valérie Mrejen, Bouchra Khalili ou encore Jean-Michel Othoniel, ne sont que quelques exemples de diplômés de l’ENSAPC.

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

troisièmes cycles

Doctorat en Arts

La recherche en arts et par l’art place les artistes, les auteurs, les créateurs et leurs pratiques au coeur du processus méthodologique : la recherche en arts, étroitement associée à une expérience professionnelle de haut niveau, se déploie à l’intérieur de la pratique artistique. Cette recherche convoque les différentes étapes du processus de création (de la conception à la production et à la diffusion), qu’elle irrigue en retour. Elle repose sur une articulation entre théorie et pratique. Elle est traversée par un regard réflexif constant qui crée un aller-retour entre expérimentation et distance analytique. Inventant ses propres formes, les résultats de la recherche doivent révéler une pratique de la pensée et une pensée de la pratique. Dans le cadre de la COMUE Université Paris Seine, l’ENSAPC s’est associée à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Versailles, l’Ecole nationale supérieure de paysage de Versailles, l’Institut national du patrimoine et l’Université de Cergy-Pontoise pour mettre une formation doctorale par la pratique. Cette Graduate School Humanités, création et patrimoine, soutenue par le PIA3, propose six mentions de doctorats : arts, architecture, paysage, études patrimoniales, conservation-restauration du patrimoine et création littéraire. Les doctorats sont co-encadrés par un chercheur en sciences humaines et sociales et par un encadrant professionnel ou praticien de la discipline concernée.

post-diplôme

Art by translation

Art by Translation est un programme de recherche et d’exposition initié par l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy et l’École Supérieure d’Art et de Design ALM-Angers, dirigé par Maud Jacquin et Sébastien Pluot, directeurs fondateurs, et Jeff Guess, directeur pédagogique réalisateur. Il est soutenu par le ministère français de la Culture et collabore avec de nombreuses institutions académiques et artistiques internationales.

Organisé en sessions consacrées à des thèmes de recherche spécifiques, ce programme itinérant se déroule sur différents sites d’Europe et d’Amérique du Nord et développe des projets artistiques et deconservation, des événements discursifs et des publications en collaboration avec des musées, des écoles d’art et des universités. En tant que programme de troisième cycle, il implique chaque année quatre artistes et conservateurs sélectionnés.

Les participants 2018-2019 sont Lila Athanasiadou, Jasmin Blasco, Daniel Frota et Slow Reading Group (Bryana Fritz et Henry Andersen). La première session est consacrée aux processus et aux enjeux idéologiques de la traduction dans les arts.

vae

DNSEP option Art

unités de recherche

LaRA (Laboratoire de recherche en art)

S’inscrivant dans les débats nationaux et internationaux sur les pratiques de la recherche en arts, sur les modalités et les processus méthodologiques propres aux pratiques artistiques (notamment dans le cadre des discussions sur les recherches « practice-based » et « practice-led »), plusieurs principes guident la structuration de la recherche à l’ENSAPC :

  • la recherche en arts place les artistes et la pratique artistique au coeur du processus méthodologique : la recherche en arts n’est pas une recherche sur l’art, mais une recherche avec, et à l’intérieur de, la pratique artistique ;
  • la recherche en arts s’articule avec le projet artistique des artistes et étudiants : elle constitue un espace de réflexion et de production qui nourrit le travail individuel, autant que le travail individuel peut nourrir le processus de recherche ;
  • la recherche en arts se donne pour ambition d’inventer des formes de diffusion et de valorisation spécifiques, appelées par le projet de recherche lui-même.

Ces principes sont notamment à l’origine de la création d’une unité de recherche pluridisciplinaire, le LaRA – Laboratoire de recherche en arts, soutenue par la DGCA. Ils prennent également corps dans la mention « arts » du doctorat par la pratique proposée par l’ENSAPC dans le cadre de la Graduate School Humanités, création et patrimoine de l’Université Paris-Seine. Ce parcours doctoral est doublement encadré par un universitaire et par un professionnel qualifié et reconnu dans son champ d’appartenance.

programmes de recherche

303

Ligne de recherche proposée par François Bon.Exploration et expérimentations des modes de publication Print et Numériques,édition supports transmédia, vidéo écriture et podcasts. Diffusion web et propagation réseau. Appui sur les projets personnels des participants,indépendamment des supports ou média. Développement du projet, rédaction,édition, outils numériques de publication sur support print, web, podcast ou vidéo. Prise en compte de la voix et de l’image. Attention particulière aux projets collectifs (revues, performances, problématiques urbaines et actions dans l’espace public…

Comment penser par images

Artistes, écrivains et philosophes s’interrogent sur le rapport complexe qui existe entre image et pensée, espaces subversifs où apparaissent les intensifications du réel les plus raffinées et les plus profondes, de l’art préhistorique jusqu’à celui de nos jours, de l’art grec jusqu’aux films de Tacita Dean, en passant par les réminiscences de Giordano Bruno ou du cycle de pièces pour piano « Images » de Debussy, par « Svolgere la pelle » de Giuseppe Penone ou les spéculations de Michelangelo Antonioni, dans un mouvement en même temps de déconstruction et d’analyse mais aussi de création et de travail. En partenariat avec la Hochschulübergreifendes Zentrum Tanz (HZT) – Udk Berlin, la Faculté des beaux arts de Lisbonne, l’Accademia di belle arti di brera de Milan et l’École nationale supérieure de paysage de Versailles.

Cycle et recycle

Ce projet de recherche mené par Eric Maillet, lié à la culture numérique, prend pour point de départ l’oeuvre,dans sa définition classique. Et si une pratique artistique était définie par unoutil ? Cycle&Recycle se focalise sur l’outil numérique, par les gestes qu’il favorise, la logique interne qu’il impose et les problématiques qu’il induit. Ce projet est une tentativede replacer le récit au centre de la question artistique, et de distinguer ce qui fait « medium »et ce qui fait « outil ». Il s’agit donc de requestionner la place de la machine dans la production artistique, comme étant un outil extérieur au medium, et pour autant, fondamental dans la transformation du medium. Ainsi, ce projet propose de réfléchir à la manière dont « remettre l’outil à sa place ».
En partenariat avec l’École nationale supérieure de l’électronique et ses applications, l’Institut TransMedia (Seoul), La Cambre (Bruxelles) et l’Université Paris III Avec le soutien de l’Université Paris Seine

Japonologies

La recherche se structure et se développe notamment par l’ouverture en 2013, de 7 lignes de recherche couvrant un large spectre de thématiques accessibles à partir de la quatrième année. Sous le terme  » lignes de recherche » sont regroupés des programmes de travail thématiques qui mobilisent de façon institutionnelle des partenaires appartenant au domaine de la recherche. Conçues pour se développer sur une durée de deux ou trois années, les lignes de recherche ont fait l’objet, pour la majorité d’entre elles, d’une reconnaissance des pairs par le biais de financements spécifiques tels que ceux provenant des Labex (Laboratoires d’Excellence) ou de la commission de recherche du ministère de la culture. Les travaux réalisés par les étudiants et les chercheurs font l’objet d’une restitution sous des formes plurielles (colloques, éditions d’actes, expositions, productions…). Celles-ci associent également des étudiants diplômés et des doctorants rattachés aux partenaires scientifiques concernés. Piloté par Corinne Le Neün, le séminaire « Japonologies » accueille les chercheurs et les doctorants de l’Unité de recherche de l’Institut national des langues et civilisations orientales : Le Centre d’études Japonaises dirigé par le professeur Michael Lucken. Ce partenariat est défini dans le cadre d’une convention signée pour deux ans entre l’école et le CEJ.

La Vie tumultueuse des œuvres d’art contemporain

Proposé par Sophie Duplaix, conservatrice en chef des collections contemporaines au Musée national d’art moderne, en partenariat avec l’Ecole du Louvre, ce séminaire porte sur la spécificité de la gestion scientifique des oeuvres d’art contemporain, en particulier les installations complexes. La chaîne étudiée va de l’acquisition à l’accrochage et au démontage, en passant par les réserves, que l’on visitera, la documentation et la conservation des oeuvres. Il s’agit de se confronter à la gestion de la matérialité des oeuvres au sein de la vie muséale. Le séminaire prend appui sur des cas concrets issus des collections du Musée national d’art moderne, et donnera la parole à divers intervenants de cette institution, qui aborderont le sujet à travers leur pratique quotidienne.

Latitudes : à l’endroit des îles

Ce nouveau séminaire propose de questionner un état du monde en explorant ce qui est perçu comme un paysage de la marge. Le séminaire s’intéresse à des artistes qui travaillent sur les sociétés post-coloniales et les questions identitaires. Il s’agit aussi d’interroger tant la représentation des territoires insulaires que la présence de ses artistes dans les collections publiques. En partenariat avec l’École supérieure d’art de la Réunion.

Le petit tour. Studio cinéma hors les murs – philosophie & cinéma

Conçu comme un programme expérimental de recherches et de pratiques philosophiques et cinématographiques, Le petit tour a choisi de réfléchir et de travailler depuis un lieu symbolique et réel : la ville de Rome et sa périphérie, choisies comme territoire de recherche et d’enquête. En particulier, Le petit tour confronte les étudiants et les enseignants associés à la pratique du cinéma et de la pensée. Cette pratique d’abord affrontée in situ, ensuite approfondie par différents types d’analyses et de restitutions, leur donne l’occasion de se frotter à une réalité artistique, politique et économique autre. Avec Le Bal et l’EESI Poitiers / Angoulême.

Something is happening

Une enquête sur les liens entre danse et performance et une interrogation sur les rapports que des chrorégraphes, performeurs et danseurs entretiennent au passé, et tout particulièrement aux avant-gardes des années 1910-1970. Une enquête menée de manière théorique, en rencontrant et en interrogeant ces artistes, et expérimentale, par la pratique lors de workshops. Avec le Centre national de la danse, l’École nationale supérieure d’art de Bourge et le master Exerce du CCN de Montpellier.

Voilà la femme

Mené par Corinne Le Neun et Carole Boulbès, ce séminaire vise à lire ensemble et à étudier un corpus de textes et d’images choisis en vue de poser et d’analyser des problèmes théoriques, critiques et politiques. On s’interrogera sur la place des femmes dans l’art et la société, leurs rapports à l’autorité et aux institutions. La réflexion s’ouvrira plus largement autant au champ de la représentation (la figure de la sorcière, de la prostituée, de la vierge, etc.) que de celui de l’engagement artistique.

activités & événements

Cycle de conférences, colloques et journées d’études et de recherche, expositions à la galerie YGREC et hors les murs…
Nous vous invitons à consulter notre site internet où vous trouverez les expositions et événements à Ygrec, galerie de l’ENSAPC mais aussi dans les lieux partenaires à la réalisation de nos projets en France et au-delà de nos frontières : le Confort Moderne à Poitiers, la Cinémathèque de Tanger, Central Saint Martins, la Fondation Verbeke, Nam June Paik Art Center à Séoul, le Centre National d’Arts Plastiques, le Palais de Tokyo, le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, La Ferme du Buisson, Mac/Val, Le Château de la Roche-Guyon, l’Abaye de Maubuisson…

activité post- ou périscolaire

Cours publics de peinture et de dessin animés par des artistes anciens élèves de l’école.

coopération internationale

L’ENSAPC développe des partenariats avec des établissements d’enseignement supérieur renommés ainsi que des galeries, des studios d’artistes et des centres d’art à l’international. Ces collaborations, élaborées au plus près des projets et recherches menées à l’ENSAPC, permettent d’affirmer l’école comme lieu de partage et d’encourager l’ouverture et l’autonomie des étudiants.

galerie

Plate-forme de l’ENSAPC à Paris, YGREC est un terrain de rencontres et d’expérimentations, un espace de recherches et d’interactions entre le centre et sa périphérie où pédagogie, recherche et professionnalisation se croisent et se nourrissent.Adoptant les modes de réflexions propres à celles d’un centre d’art, YGREC s’affirme comme une troisième voie possible vouée à questionner et à réinventer la pratique de l’art et sa transmission en lien avec les autres domaines et d’autres pratiques.
Structure de production et de diffusion, YGREC accompagne la création émergente en favorisant la transversalité et la pluralité des formes. C’est aussi un espace de travail collaboratif qui s’adapte et se transforme au gré des projets : expositions, performances, séminaires, concerts, projections, rencontres, débats, etc.
YGREC est actuellement en cours d’implantation à Aubervilliers.

équipements spécifiques

Son, no média, vidéo, photographie, informatique, infographie (plateaux numériques) et édition, atelier bois/fer, sérigraphie, impression.
Atelier danse, cinéma.

réseaux

ANdEA, Tram Réseau art contemporain Paris / Ile-de-France, ELIA The European League of Institutes of the Arts, Art Accord.
L’école est membre de la COMUE UPGO (Communauté Universitaire et d’Etablissements – Université. Paris Grand Ouest).

équipe administrative

Jean-François Etancelin Secrétaire général
Antoine Idier Coordinateur des études et de la recherche
Jeanne Degoy Responsable Mécénat et Communication
Nina Voltz Responsable des relations internationales
Michèle Büsch Secrétariat pédagogique
Marie-Lise Dumesnil Secrétariat pédagogique
Lamiaa Sajid-Soliman Stages et professionalisation
Sylvie Sebbah Secrétariat de la Recherche
Nadine Le Rigoleur Centre de documentation
Guillaume Breton ENSAPC / Y G R E C
Alberic Chabanon Maintenance et logistique du bâtiment
Florence Arnoult Assistante de direction
David Taieb Comptabilité et budget
Pervin Akbulut Adjointe au secrétaire général, responsable RH et administrative
Vincent Gaillard Secrétariat pédagogique
Steeve Gandossi Accueil

professeurs

Boris Achour
Pierre Ardouvin
Renaud Auguste-Dormeuil
Yann Beauvais
Carole Benzaken
Sylvie Blocher
François Bon
Carole Boulbès
Jean-Michel Brinon
Jérôme Combier
Christophe Cuzin
Éric Dalbis
Geoffroy de Lagasnerie
Gallien Déjean
Vincent Gérard
Jeff Guess
Véronique Joumard
Luc Lang
Corinne Le Neün
Éric Maillet
Federico Nicolao
Judith Perron
Jeffrey Rian
Claire Roudenko-Bertin
Pierre Savatier
Claudia Triozzi
Jean-Luc Verna

coordonnées

2 rue des Italiens, Parvis de la Préfecture
95000 | Cergy-Pontoise
tél. +33 (0)1 30 30 54 44
fax +33 (0)1 30 38 38 09
accueil@ensapc.fr
http://www.ensapc.fr

effectif

230 étudiants

Chalon-sur-Saône

École Media Art du Grand Chalon

présentation

L’école media art du Grand Chalon est un établissement d’enseignement supérieur sous la tutelle pédagogique du ministère de la Culture. Située à Chalon-sur-Saône, l’e|m|a est l’une des 3 écoles supérieures d’art publiques de la région Bourgogne Franche-Comté. Deux classes préparatoires publiques l’École d’Art de Belfort G. Jacot et l’École des Beaux-Arts de Beaune Côte & Sud, complètent l’offre de formation régionale.

L’e|m|a est une école ouverte sur le monde et sur ses différents modes de représentation. Elle offre la possibilité aux étudiants d’explorer un large panel de mediums s’ouvrant même à la musique, à la danse et au théâtre (en étroite collaboration avec le Conservatoire du Grand Chalon). Elle bénéficie d’un fort taux d’accompagnement avec 22 enseignants et 4 assistants pédagogiques pour environ 80 étudiants.

Cet encadrement permet un suivi personnalisé des étudiants au service leur projet professionnel et artistique.

L’offre de formation de l’école se décline en trois axes de recherches :

  • MONDES VISUELS : pratiques contemporaines de l’image
  • NOUVEAUX TERRITOIRES INDUSTRIELS : esthétique, représentations et enjeux de la réindustrialisation
  • TRANSMETTRE L’ART : transmission et pédagogie artistiques

Passerelle entre les savoirs, c’est aussi un lieu de réflexion et d’action quant aux problématiques de la société. Ceci se traduit également par sa politique d’établissement volontariste dans le domaine de la transition.

En effet, l’e|m|a est la première école à avoir créé un poste à plein temps dédié à la coordination des dispositifs de transition sur l’ensemble des champs du développement durable. L’objectif est certes de réduire les impacts de l’école en tant qu’institution, mais tout autant d’infuser dans l’ensemble des pratiques de création et de production artistiques.

http://emafructidor.com/ema/

options

L’École Media Art du Grand Chalon délivre des diplômes d’enseignement supérieur artistique, option art.

diplômes

Les études mènent à l’obtention de deux diplômes :

  • 1er cycle – Formation en 3 ans conduisant à l’obtention d’un DNA – Diplôme national d’art, option art, grade Licence
  • 2e cycle – Formation en 2 ans (4e et 5e années) conduisant à l’obtention d’un Desma (Diplôme d’enseignement supérieur média et art) option art, mention image, son et geste
  • A l’issue du 2d cycle, une poursuite d’études est possible en post-diplôme de recherche et de création : Mondes visuels

post-diplôme

Post-diplôme de recherche et création en art et media

Post-diplôme en lien avec le programme de recherche « Mondes Visuels »
Informations

programmes de recherche

Mondes Visuels

Web : http://visualworlds.net

« Mondes Visuels » est un programme transdisciplinaire s’intéressant à la multiplicité des phénomènes visuels et à la variété de leurs modes de production et de perception, chez les êtres vivants, au sein des systèmes de vision artificielle et dans les interactions entre les uns et les autres. Il est animé par un nombre important d’intervenants dont la contribution prend à chaque fois la forme d’une conférence suivie d’un travail avec un groupe d’étudiants et par l’accueil de plusieurs artistes en post-diplôme, qui sont amené.e.s à prendre une part active à la conduite des activités de recherche. Une restitution plastique et théorique est prévue sur l’année 2023/2024.

Qu’est-ce que voir ? C’est ce qu’entend explorer ce programme de recherche. Spontanément, un ensemble de questions satellites surgissent : Qui voit ? Qui voit quoi ? Dans quel contexte, à quelle intensité, avec quelle fréquence ? De façon intentionelle ? Avec quelle intention ? Avec quel organe ? Quel algorithme ? Quelle certitude ? … Ce programme de recherche et de création entend explorer les expériences sensorielles que provoque la vision, les
récits que suscitent ces expériences ou qui les accompagnent, les mondes qu’elles créent, autant chez les vivants qu’au sein des systèmes de vision artificielle ou dans l’interaction entre les uns et les autres.
Face aux transformations silencieuses du monde et en premier lieu celles liées à l’essor de l’intelligence artificielle et
aux progrès des technologies, à l’évolution des rapports de force géopolitiques, à la catastrophe écologique imminente, « Mondes Visuels » propose un récit alternatif, qui n’est ni une injonction morale, ni l’expression d’une peur, mais une invitation à considérer l’humain dans une perspective plus large au travers des relations qu’il entretient avec son environnement humain et non-humain, et à la mesure d’un temps qui dépasse sa propre existence.
Transdisciplinaire, « Mondes Visuels » trouve ses références autant dans les arts visuels optiques (photographie, cinéma, vidéo), les arts médiatiques et technologiques, l’art contemporain et l’histoire de l’art que dans les sciences humaines, les sciences et techniques, la philosophie, la société en général, et élabore ses modes de travail, de présentation et de partage en tirant parti de cette diversité. Il est animé par un nombre important d’invités provenant d’une variété de champs de la connaissance et de la création.

activité post- ou périscolaire

Praxis : des ateliers de pratiques en amateur en arts plastiques ouverts à tous publics : enfants, adolescents et adultes.

coopération internationale

L’e|m|a encourage ses étudiants à effectuer des stages et des semestres d’études à l’étranger, en particulier au cours de la 4e année (première année du 2e cycle).

La mobilité des étudiants est encouragée en Europe via le programme (Erasmus+) et à travers le monde entier pour découvrir d’autres cultures et d’autres façons de faire et de penser pour nourrir leur expression et leurs pratiques artistiques.

Le programme d’ouverture internationale contribue à la dynamique de la formation et à la réussite du parcours de l’étudiant.

Elle se décline également par :

  • Une équipe pédagogique internationale.
  • Un programme d’invitations et d’interventions
  • Nombreux artistes, professionnels et universitaires étrangers sont conviés pour des conférences et des workshops.
  • Visites et voyages d’études

galerie

L’e|m|a dispose de trois salles d’exposition sur le site de la citadelle. Des partenariats sont régulièrement conclus avec d’autres acteurs du territoire pour permettre une visibilité des travaux des étudiants.

équipements spécifiques

Sise sur deux sites, l’e|m|a bénéficie de plusieurs espaces de travail, tel qu’une bibliothèque spécialisée, 3 salles d’exposition, une salle de conférence, une salle de projection et de nombreux ateliers :

  • Photographie : post-production, développement argentique, tirage…
  • Vidéo, son, salle de projection.
  • Dessin, peinture.
  • Céramique.
  • Fabrication bois-métal.
  • Fabrication 3D (découpe laser, CNC)
  • Conception graphique et édition
  • Gravure

réseaux

  • ANdEA,
  • PLATEFORME DES ECOLES D’ART PUBLIQUES DE BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE (Art, Design, Communication Visuelle),
  • Partenariat avec le Consortium, Dijon, les Presses du réel et le Pôle d’Enseignement Supérieur de musique (PESM) de Bourgogne.

équipe administrative

Anne-Céline Borey Documentaliste, responsable de la bibliothèque

Khadija Edraissi Coordonnatrice des dispositifs de transition

Christelle Gibertini Assistante administrative, coordonnatrice des pratiques en amateur

Rym Gourine Directrice adjointe

Loréna Gressard Coordonnatrice pédagogique

Pénélope Lange Responsable de la communication

Robert Llorca Directeur

professeurs

Folly Afahounko
Patricia Badot
Laura Bel
Davide Bertocchi
Sonia Cheval
Nicolas Exertier
Caty Fournier
Jesus Gomez
Alexis Guillier
Charlie Hamish Jeffery
Sara Lord
Jean-Luc Lucquin
Olivier Perriquet
Frédéric Pintus
Armèle Portelli
Annelise Ragno
Allison Reed
Evariste Richer
Christine Vadrot
Catherine Vageon
Jacques Vannet
Bruno Voidey
Victor Xiong

coordonnées

  • Citadelle (accueil enseignement supérieur) :

7, rue Leschenault de la Tour
71100 | Chalon-sur-Saône
tél. +33 (0)3 85 47 95 29
etudes@emafructidor.com

  • Fructidor (accueil général) :

34, rue Fructidor
71100 |Chalon-sur-Saône
tél. +33 (0)3 85 48 14 11
accueil@emafructidor.com

www.emafructidor.com

effectif

55 étudiants

Cherbourg

École supérieure d’arts & médias de Caen-Cherbourg | Site Cherbourg

présentation

L’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg est un établissement public de coopération culturelle placé sous la tutelle conjointe de Caen la mer, Communauté Urbaine, la Ville de Cherbourg-en-Cotentin, l’Etat et la Région Normandie. Elle est née en 2011 de la fusion de l’école supérieure d’arts & médias de Caen et de l’école supérieure des Beaux-arts de Cherbourg-Octeville.

A la fois établissement d’enseignement supérieur et équipement culturel, l’ésam Caen/Cherbourg affiche plusieurs offres de formation : les cursus de l’enseignement supérieur qui mènent à des diplômes à Bac+3 et Bac+5, une classe préparatoire publique au concours d’entrée dans les écoles d’art françaises et les ateliers et stages grand public qui proposent une initiation aux pratiques artistiques.

Les différentes activités de l’ésam Caen/Cherbourg se déploient sur ses deux sites géographiques :

  • un bâtiment récent de 11500 m2 situé sur la presqu’île portuaire de Caen et spécialement conçu pour répondre aux besoins et spécificités d’une école d’art ;
  • des locaux de 2000 m2 entièrement réhabilités et implantés au coeur de l’ancien Hôpital maritime de Cherbourg, aujourd’hui rebaptisé Espace René Lebas.
1/5
Bibliothèque site de Cherbourg, photo Julie Laisney - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
2/5
DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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DNSEP 2012, photo Michèle Gottstein - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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Aurélie Gloriant, projet pour l’atelier « Desire Path », 2011, photo Jean-Marc Dronet - École supérieure d'arts & médias de Caen-Cherbourg
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Atelier site de Cherbourg, photo Julie Laisney

options

Art
Design

diplômes

DNSEP  option Art mention Cherbourg, recherches collectives et pratiques personnelles

troisièmes cycles

Doctorat RADIAN

Le programme doctoral de Recherches en Art, Design, Innovation, Architecture en Normandie (RADIAN), ouvert à la rentrée 2018-2019, est le fruit de la collaboration entre l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, l’école supérieure d’art et design Le Havre/Rouen, l’école nationale supérieure d’architecture de Normandie et l’école doctorale 558 « Histoire, mémoire, patrimoine, langage » (HMPL). Chacun des partenaires est membre de la Communauté d’universités et d’établissements (COMUE) Normandie-Université, qui porte l’accréditation du doctorat et délivre le diplôme.

Ce programme, qui combine étroitement recherche et création, s’adresse aux artistes, designers, architectes et auteurs de créations littéraires titulaires d’un diplôme de niveau MASTER II et engagés par leur pratique sur la scène de la création contemporaine. Il repose sur un modèle innovant qui envisage la recherche en art, en design graphique, en création littéraire et en architecture par la pratique et place l’oeuvre et le processus de création au coeur du travail du doctorant, en dialogue avec une recherche académique. Il ne s’adresse ni aux chercheurs qui souhaiteraient mener un travail exclusivement théorique ni à celles ou ceux qui l’envisageraient comme une résidence de création longue durée ou comme du simple mécénat. Dans ce cadre, la thèse consiste en (a) une oeuvre de création plastique, architecturale, littéraire ou de design graphique, accompagnée (b) d’un portfolio/journal de bord qui met en évidence le processus de création pendant les trois années de la thèse et (c) d’un document théorique (document d’une centaine de pages minimum, correspondant aux standards académiques d’une thèse en sciences humaines). Cet ensemble constitue l’objet de la soutenance de thèse. Après soutenance de leurs travaux, les doctorants obtiendront le titre de Docteur de la Communauté d’universités et d’établissements Normandie – Université.

classe préparatoire

La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg

A la rentrée 2012/2013, l’ésam Caen/Cherbourg a ouvert sur son site cherbourgeois une classe préparatoire publique aux concours d’entrée des écoles supérieures d’art, la première en Normandie. Cette classe préparatoire possède un objectif unique : conduire à la réussite du concours d’entrée des écoles supérieures d’art françaises. Les enseignements sont assurés par des plasticiens et des théoriciens de l’école. C’est un espace pédagogique qui accueille de façon intensive des élèves de 17 à 25 ans titulaires du baccalauréat. La classe préparatoire de l’ésam Caen/Cherbourg permet à l’élève de confirmer son orientation, de comprendre les enjeux de formation d’une école d’art et d’accéder à l’enseignement supérieur à travers différentes formes d’expérimentation, de réflexion et de confrontation. Les élèves entrant dans ce cursus s’engagent à passer quatre concours pour optimiser leurs chances de réussite.

éditions

Catalogues, livres d’artistes, écrits d’artistes

activités & événements

– « XXe siècle etc. » : cycle de conférences d’histoire de l’art proposé en partenariat avec le FRAC Normandie Caen et l’Artothèque de Caen.
– Salon « Impressions multiples » : salon des éditeurs indépendants (multiples et imprimés d’artistes, essais graphiques et typographiques, éditions électroniques et sonores, micro-édition)
– Festival « Interstice – rencontre des inclassables » : festival consacré aux pratiques des plasticiens et musiciens internationaux qui interrogent les relations intermédias son/image/objet/espace.
– Expositions des diplômés : travaux des DNSEP, des DNA et des Félicités.
– Spectacles et expositions temporaires proposés en partenariat avec les structures culturelles locales (Festival Nordik Impakt, Festival Les Boréales, Centre chorégraphique national Caen/Basse-Normandie,
Comédie de Caen, Théâtre de Caen, etc.).

activité post- ou périscolaire

L’ésam Caen/Cherbourg propose sur ses deux sites géographiques 75 ateliers hebdomadaires d’initiation à la pratique artistique pour les enfants, les adolescents et les adultes. Elle organise également des stages pendant et hors vacances scolaires ainsi que des animations arts plastiques en milieu scolaire.

coopération internationale

Depuis plus de 30 ans, l’ésam Caen/Cherbourg dispose d’une politique de coopération internationale dont l’objectif est de favoriser les partenariats et la mobilité des individus : workshops croisés, expositions, programmes de résidences, voyages d’études, échanges d’étudiants et de personnels…

L’école a signé un accord bilatéral avec les institutions suivantes :

Erasmus+ :
Fachhochschule Mannheim, Allemagne
Fachhochschule Münster, Allemagne
Hochschule für Gestaltung Offenbach am Main, Allemagne
Muthesius Kunsthochschule in Kiel, Allemagne
Plymouth College of Art, Angleterre
University of the Arts London – Wimbledon College of Art, Angleterre
Ecole de Recherche Graphique de Bruxelles, Belgique
St Cyril and St Methodius University of Veliko Turnovo, Bulgarie
Escola d’Art i Superior de Disseny Ondara Tarrega, Espagne
Budapest Metropolitan University of Applied Sciences, Hongrie
Hungarian University of Fine Arts, Hongrie
University of Ulster, Irlande du Nord
Accademia di Belle Arti di Bologna, Italie
Latvijas Makslas akademia, Lettonie
Vilnius Academy of Arts, Lituanie
Ss. Cyril and Methodius University in Skopje, Macédoine
Bergen Academy of Art and Design, Norvège
Akademia Sztuk Pieknych Warszaw, Pologne
Mimar Sinan Fine Arts University, Turquie

Hors Erasmus+ :
Université du Québec à Chicoutimi, Canada
Sheridan College Institute of Technology and Advanced learning, Canada
University of Massachusetts Lowell, Etats-Unis
Maryland Institute College of Art, Etats-Unis
Karnataka Chitrakala Parishath College of Fine Arts, Inde
Universidad Internacional, Mexique
Académie d’Etat d’Architecture et d’Arts de l’Oural, Russie
Ecole cantonale d’art du Valais, Suisse

galerie

Grande galerie d’exposition de 200m2 située sur le site de Caen et accueillant les expositions des travaux des diplômés de l’école tout comme des expositions d’artistes extérieurs programmées dans le cadre de partenariats culturels.

équipements spécifiques

Ateliers techniques :
– Pôle volume : ateliers bois ; ateliers fer, dans lesquels sont travaillés la découpe et la soudure, le pliage, la forge, la fonderie ; atelier de résines et de matériaux plastiques.
– Pôle céramique : ateliers permettant d’explorer toutes les techniques du travail de la céramique (moulage, modelage, tournage, coulage, émaillage en faïence, raku, grès, porcelaine en cuisson réductrice ou oxydante).
– Pôle estampe : ateliers de gravure en taille douce, xylographie, aquatinte ; atelier de sérigraphie comprenant plusieurs tables de tirage ; atelier de lithographie et de photolithographie.
– Pôle édition : imprimerie offrant les techniques de typographie-bois, typographie-plomb, offset et numérique.
– Pôle photographie : laboratoires de développement film ; ateliers de tirage en photographie noir et blanc et couleur, dont un grand format ; studio de prise de vue ; atelier de photographie numérique.
– Pôle vidéo : cabines de montage vidéo ; plateau de tournage vidéo équipé d’un cyclo pour les incrustations.
– Pôle son : studio son équipé d’une cabine speak ; cabines de montage son.
– Pôle informatique et multimédias : salles d’informatique pour les cours, les ateliers numériques en typographie, mise en page, multimédias, animation et 3D virtuelle.

Bibliothèques : Les bibliothèques situées sur chacun des deux sites de l’ésam Caen/Cherbourg constituent un fonds de référence et de ressources pour les arts visuels et l’art contemporain du 20ème siècle jusqu’à nos jours, soit plus de 27 000 documents se présentant sous la forme d’imprimés (monographies, catalogues d’exposition, essais), de documents audiovisuels (CD-Audio, DVD, CD-Rom), de périodiques (revues d’art et de graphisme françaises et internationales).

Ateliers des étudiants : des ateliers d’une superficie comprise entre 100 et 200 m2 permettent à chaque étudiant de disposer tout au long de l’année d’un espace de travail adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser ses projets personnels. Des salles d’accrochage pédagogique leur permettent par ailleurs de présenter leurs travaux lors des évaluations ou des passages de diplômes dans des conditions professionnelles.

Auditorium de 250 places équipé d’un plateau de 12 x 11 m

réseaux

ANdEA, Art Accord France, ELIA.

équipe administrative

Arnaud Stinès Directeur
Samuel Weddle Administrateur général
Brice Giacalone Etudes et de la recherche
France Jacquel-Blanc Relations internationales
Julie Laisney Relations extéieures
Pierre Aubert Bibliothèque

professeurs

Deepak Ananth
Juliet Bates
Abir Belaïd
Christophe Bouder
Laurent Buffet
Simonetta Cargioli
Paul Collins
Muriel Couteau
Alexis Debeuf
David Dronet
Céline Duval
David Evrard
Sarah Fouquet
Nicolas Germain
Juan-Manuel Gomez
Lina Hentgen
Benjamin Hochart
Adeline Keil
David K’Dual
Alice Laguarda
Myriam Mechita
Jean-Jacques Passera
Isabelle Prim
Maxence Rifflet
Tanya Rodgers
Alexandre Rolla
Françoise Schein
Phil Stephens
Pierre Tatu
Maxime Thieffine
Didier Tirard
Thierry Weyd
Emmanuel Zwenger

coordonnées

site de Caen [siège social] :
17 cours Caffarelli 14000 | Caen
site de Cherbourg :
61 rue de l’abbaye 50100 | Cherbourg-en-Cotentin
tél. +33 (0)2 14 37 25 00
fax +33 (0)2 14 37 25 01
info@esam-c2.fr
http://www.esam-c2.fr
Facebook

effectif

300 étudiants

Clermont-Ferrand

École Supérieure d’Art de Clermont Métropole

présentation

Unique en Auvergne, l’École supérieure d’art de Clermont Métropole (ÉSACM) dispense, au sein de son département « art », un enseignement exigeant et ouvert en arts visuels qui permet la formation d’artistes et de créateurs de haut niveau capables d’inventer, d’anticiper, d’agir et de penser. La formation repose sur une pédagogie centrée sur le projet des étudiants et prend appui sur une grande variété d’enseignements pratiques et théoriques inscrits dans une approche contemporaine de la création (dessin, peinture, impression, volume, installation, photographie, écriture, vidéo, cinéma, art numérique, art contemporain, histoire de l’art, philosophie…). Elle est délivrée par des professeurs qui sont eux-mêmes acteurs du secteur artistique (artistes, théoriciens, critiques d’art, commissaires d’exposition, écrivain, philosophes…). De nombreux intervenants et invités viennent compléter cette équipe à l’occasion de workshops, de conférences, d’ateliers ou de séminaire de recherche.

Implantée au coeur du quartier universitaire, au sein d’un bâtiment récent de 5000m2 conçu spécialement pour ses besoins, l’école offre aux étudiants un cadre propice aux apprentissages, aux expérimentations et au développement de leur pratique artistique. Ils bénéficient d’ateliers partagés, de matériels de qualité professionnelle dont un FabLab (imprimante 3D, graveur laser, brodeuse numérique…) et de nombreuses opportunités pour sortir de l’école et se nourrir d’expériences hors les murs (workshops, voyages en France ou à l’étranger, résidences internationales ouvertes aux étudiants de 2nd cycle, expositions dans des structures professionnelles, stages).

Agréée par le Ministère de la Culture et de la Communication, l’ÉSACM délivre deux diplômes d’État : le DNA (Diplôme National d’Art – de grade Licence) et le DNSEP de grade Master (Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique) délivrés respectivement à l’issue de la troisième et de la cinquième année. Le cursus est inscrit dans la réforme européenne de l’enseignement supérieur et s’organise à partir du système de crédits capitalisables et transférables (ECTS). Ceci lui assure une parfaite compatibilité avec l’ensemble du réseau de l’enseignement supérieur à l’échelle européenne. Le Master permet ainsi de poursuivre son cursus dans toutes les universités européennes ou dans les 3ème cycles des écoles d’art, et notamment de l’ÉSACM qui propose à des chercheurs de développer leur travail de recherche sur trois années au sein de la « Coopérative de recherche ».

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École Supérieure d’Art de Clermont Métropole. Photo : Jürgen Nefzger
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École Supérieure d’Art de Clermont Métropole. Photo : Jürgen Nefzger
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École Supérieure d’Art de Clermont Métropole. Photo : Jürgen Nefzger
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École Supérieure d’Art de Clermont Métropole.
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Journée d'étude "Un film infini (le travail)", 2017 Ecole Supérieure d'Art de Clermont Métropole
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"Départs", exposition des diplômés 2015 Ecole Supérieure d'Art de Clermont Métropole
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"Fin de partie", exposition des diplômés 2016 Ecole Supérieure d'Art de Clermont Métropole
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"Collages en France", photo Vincent Blesbois Ecole Supérieure d'Art de Clermont Métropole

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

troisièmes cycles

Le troisième cycle de l’ESACM

Mis en oeuvre à partir de la rentrée 2014, le Troisième cycle prend place au sein de la Coopérative de recherche. Il accueille des jeunes artistes, diplômés de l’ESACM ou d’autres écoles, qui souhaitent poursuivre leur initiation à la recherche de Master dans une recherche approfondie. Présents pour une année comme les résidents-chercheurs, les étudiants-chercheurs, s’ils le souhaitent et sur projet motivé, ont la possibilité de poursuivre et approfondir leur recherche durant deux années supplémentaires. Au terme de ces trois années est délivré le Diplôme Supérieur de Recherche en Art (DSRA).

classe préparatoire

Cours et stages préparatoires de l’Esacm

L’école propose des cours et des stages préparatoires aux examens d’entrée dans les écoles supérieures d’art. Ils s’adressent plus particulièrement aux lycéens de 16 à 21 ans qui n’ont pas de cours d’arts plastiques dans leur cursus. Les élèves sont préparés à toutes les épreuves des examens d’entrée, ainsi qu’à la réalisation de leur dossier de travaux personnels. Les cours ont lieu le samedi de 14 à 17h, de début octobre jusqu’à fin avril. Les stages préparatoires ont lieu en avril (week-end intensif de préparation).

unités de recherche

La Coopérative de recherche de l’ESACM

La Coopérative de recherche offre un dispositif d’accueil de chercheurs (artistes, théoriciens, et étudiants-chercheurs), en résidence à l’ESACM. Elle est la plateforme à partir de laquelle s’organisent les activités de recherche à l’ESACM. Préfigurant la constitution d’une unité de recherche, elle réunit les enseignants-chercheurs et les étudiants de master associés aux programmes de recherche, les résidents-chercheurs présents pour un an au sein de l’ESACM, et les étudiants-chercheurs du Troisième cycle.
Plus d’informations sur www.esacm.fr

Unité de recherche de l’ESACM

La Coopérative de recherche est la plateforme à partir de laquelle s’organisent les activités de recherche à l’ÉSACM. Son idée fondatrice est la nécessaire et féconde articulation entre l’apport individuel dans chacun des territoires de recherche abordés : la mise en commun de réflexions, d’outils et de formes.
La Coopérative de recherche réunit les enseignant.e.s-chercheur⋅e⋅s, les étudiant.e.s de master, les chercheur⋅e⋅s-associé⋅e⋅s aux programmes de recherche, et les chercheur⋅e⋅s présent⋅e⋅s entre un et 3 ans au sein de l’ÉSACM, selon qu’ils soient engagé⋅e⋅s ou pas dans un troisième cycle (DSRA).

programmes de recherche

Des Exils 

Le groupe de recherche est constitué de Michèle Martel, historienne de l’art et Jan Kopp, artiste, tous deux enseignant·e·s à l’ÉSACM, de Fabrice Gallis, Mélis Tezkan, Kostia Jopeck et Jérôme de Vienne, artistes et chercheur·e·s, et d’étudiant·e·s en master. Il trouve ses origines dans des journées d’études organisées en 2017 portant sur ce que les déplacements forcés ou volontaires font aux formes. Le groupe de travail crée des situations d’échange autour de textes arpentés, d’entretiens avec des interlocuteur·rice·s du monde de l’art, en organisant des lectures et performances dans l’école et en réitérant des gestes et actions produits par d’autres.

Figures de transition

Partant de l’intérêt renouvelé pour l’art contemporain d’Afrique, depuis Clermont-Ferrand et en lien avec Cotonou et Ouagadougou, « Figures de transition » questionne des expositions et des réverbérations historiques qui façonnent le regard sur l’art et ses figures. Le groupe est composé de Jacques Malgorn, artiste, J. Emil Sennewald, critique, philosophe et enseignant à l’ÉSACM, Camille Varenne et Enrico Floriddia, artistes. Il collabore étroitement avec Farah Clémentine Dramani Issifou, film curator, chercheuse et critique indépendante, et Dao Sada, scénographe, et invite régulièrement des protagonistes afro-européen-ne-s de l’art contemporain. Groupe de recherche constituée en 2018 à l’issue de « surexpositions », trois journées de rencontre organisées à l’ÉSACM sur le terrain afro-européen-ne-s, l’activité du groupe « Figures de transition » s’appuie actuellement sur la publication séquentielle « Epokä ».
Il est ouvert à de nouveaux·elles chercheur·e·s afin d’élargir, déplacer, critiquer ses intentions et objectifs.

Léviathan 

Créé en 2016 par Cédric Loire, historien de l’art enseignant à l’ÉSACM, et Sarah Ritter, artiste, le groupe « Léviathan » est également composé d’Antoine Barrot, Kostia Jopeck et Charlie Jeffery, artistes. Il a en outre intégré des étudiants en master de 2016 à 2018. Ses recherches se fondent sur des lectures partagées du roman d’Herman Melville, Moby-Dick, ou le cachalot (1851), confrontées à l’expérience de milieux contemporains – en particulier la ville de Detroit qui a fait l’objet de plusieurs séjours. Violence et capitalisme, formes de résistance qui s’y opposent ; possibilités de mises en récit du monde dans lequel nous vivons, sont autant de questions qui nous occupent. L’année 2020-2021 sera consacrée à la tenue de journées d’étude ainsi qu’à la finalisation d’une forme éditoriale réunissant et mettant en perspectives les recherches entreprises.

éditions

L’ÉSACM publie des ouvrages et DVD en lien avec les activités des programmes de recherche (films, actes de colloque ou journées d’étude, restitution de projet de recherche, etc.), les expositions, et les projets d’éducation artistique.

éditions

L’ESACM propose régulièrement des expositions, des conférences et des journées d’études ouvertes au public.

Elle participe également à des expositions hors les murs : « Première » au centre d’art contemporain de Meymac ; ou participe à de nombreux projets avec les acteurs culturels du territoire.

Programme des événements sur www.esacm.fr

activité post- ou périscolaire

Parallèlement au cursus diplômant, l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole propose d’octobre à juin des cours d’arts plastiques permettant à toute personne majeure de s’initier ou de se perfectionner dans les domaines de la peinture et de la sculpture à partir de 14 ans. L’accès à cet enseignement ne permet la délivrance d’aucun diplôme.

coopération internationale

Les étudiants sont fortement encouragés à profiter des expériences à l’étranger qui servent de cadre à l’acquisition de compétences à l’international. Plusieurs cadres d’échanges sont possibles grâce aux multiples partenariats signés par l’école avec des établissements et/ou structures artistiques à l’étranger.

L’ESACM propose des résidences aux étudiants de 4ème et 5ème années pour leur permettre d’avoir une expérience en immersion de vie et de travail à l’étranger, ou dans un cadre de résidence international en France, pendant leur cursus. Les étudiant·es sont accompagné·es par un·e jeune artiste issu·e de l’école pendant la résidence. Un encadrement pédagogique est également prévu en début et en fin de séjour.

Les étudiant·es peuvent également réaliser des séjours pour un semestre d’études dans un établissement partenaire de notre réseau Erasmus (en 1er ou en 2nd cycle) ou hors Europe (en 2nd cycle). Ils ont aussi la possibilité de réaliser un stage dans une structure culturelle étrangère.

Les étudiant·es ont la possibilité de s’investir dans des projets de recherche. Des voyages d’études peuvent également être le cadre de temps de travail à l’étranger avec des encadrements pédagogiques adaptés à chaque contexte pédagogique.

Ces mobilités sont facilitées par l’école qui aide financièrement en prenant à minima en charge les frais de déplacement des étudiant·es pour les semestres d’études à l’étranger voire qui assure la totalité des frais de séjour et de production.

galerie

Le Grand atelier – galerie de l’école.

équipements spécifiques

Les étudiant·es travaillent au sein d’ateliers collectifs qui favorisent les échanges et le travail au quotidien dans l’école. Ils ont également à leur disposition des espaces pour expérimenter des mises en espace de leurs recherches et travaux, et des ateliers liés à des techniques ou des outils spécifiques : ateliers volume, menuiserie, maquette, arts imprimés (sérigraphie, estampe…), studio et labos photo (développement de film, tirage papier, impression numérique…), studio vidéo et création sonore, salle d’infographie…

L’école dispose également d’un Fablab – laboratoire de fabrication – dédié au développement de pratiques et de projets artistiques, ouvert aux étudiants de l’école comme au grand public. Lieu de partage, d’échanges et d’expérimentation, le FabLab est équipé d’une imprimante 3D, une découpe/graveuse laser, une kinect, un plotter de découpe, une brodeuse, du matériel électronique et robotique…

L’école fournit aux étudiant·es les principaux outils et consommables nécessaires aux initiations et travaux dans les principales disciplines artistiques, et leur permet d’emprunter caméras, appareils et chambres photographiques, enregistreurs… pour mener à bien leurs projets.

réseaux

L’ESACM fait partie de plusieurs réseaux allant de l’échelle territoriale à l’échelle internationale :

– Ancrage international : 23 établissements d’enseignement supérieur Europe et hors-Europe, 4 résidences d’artistes internationales (USA, Géorgie, Bénin, Pérou), Campus Art (réseau des écoles d’art animé par Campus France / Ministère des affaires étrangères), ELIA (European League of the Arts).

– Ancrage national et régional : ANdEA (réseau national des écoles supérieures d’art publiques françaises), ADERA (réseau des écoles supérieurs d’art publiques françaises d’Auvergne-Rhône-Alpes), AC/RA (Art contemporain en Auvergne-Rhône-Alpes).

– Ancrage territorial grâce à de nombreuses collaborations sur notre territoire avec l’UCA (membre du site Université Clermont Auvergne), l’association Les Ateliers, la galerie In Extenso, l’École Nationale Supérieure d’Architecture, le Fonds Régional d’Art Contemporain, le Festival international du court métrage, le centre d’art du Creux de l’Enfer, celui de Meymac ou encore la Tôlerie.

équipe administrative

Emmanuel Hermange Directeur
Frédérique Rutyna Secrétaire générale
Stéphane Bramant Responsable de la pédagogie
Aurélie Brühl Responsable des relations internationales et des admissions
Philippe Eydieu Responsable des projets extérieurs et des expositions
Pauline Besse Secrétariat pédagogique
Zoé Haller Secretariat de direction
Sylvie Mathe Bibliothécaire
Orlane Mastellone Ruellan Chargée de communication
Amélie Sounalet Coordinatrice des projets d’éducation artistique
Serge Ploue Responsable informatique
Carole Tilly Secretariat de direction

professeurs

Maxime Marion et Émilie Brout (pratiques numériques)
Régine Cirotteau (cinéma – vidéo)
Lina Jabbour (dessin – peinture)
Armand Jalut (peinture)
Clémence Agnès (philosophie)
Guillaume Heuguet (art contemporain – actualités de l’art)
Serge Lhermitte (photographie)
Cédric Loire (histoire et théorie des arts)
Michèle Martel (histoire de l’art)
Cécile Monteiro-Braz (impression – édition)
Gyan Panchal (sculpture – espace – installation)
Anthony Poiraudeau (écriture)
Alex Pou (cinéma – vidéo)
Marion Robin (peinture – couleur – espace)
J. Emil Sennewal (philosophie)
Rada Boukova (sculpture – espace – installation)
Camille Juthier (sculpture – espace – installation)
Marie Orts (danse – chorégraphie – pratiques performatives)
Vincent Weber (danse – chorégraphie – pratiques performatives)
Chris Cyrille (théorie des arts)
Alexis Degrenier (musique – son)

coordonnées

25 rue Kessler
63000 | Clermont-Ferrand
tél. +33 (0)4 73 17 36 10
fax +33 (0)4 73 17 36 11
esa@esacm.fr
www.esacm.fr

https://www.instagram.com/esacm_clermont/

effectif

170 étudiants

Dijon

École nationale supérieure d’art de Dijon

présentation

L’École nationale supérieure d’art de Dijon est un établissement public d’enseignement supérieur qui relève de la co-tutelle du Ministère de la Culture et du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Elle délivre deux diplômes nationaux (DNA et DNSEP) en Art et en Design d’espace.

Au cours de leur scolarité, les étudiant·e·s se forment aux techniques de production nécessaires à l’expression contemporaine, depuis les plus traditionnelles (photographie argentique, dessin, peinture, sculpture…), associant toute la palette des matériaux (terre, bois, métal…), jusqu’aux nouvelles technologies (informatique, infographie et multimédia…). Dans le même temps, des cours d’histoire et théorie des arts et du design et de langues étrangères sont au programme tout au long des études. Ils sont complétés par des workshops (semaines de création encadrées par des professionnels), des conférences, des ateliers de recherche et de création (ARC), des voyages d’étude, des stages, qui favorisent différentes approches de la création.

Après une année commune, les étudiant·e·s choisissent l’option Art ou l’option Design d’espace

L’option Art accompagne de futur·e·s artistes, qui devront au cours de cinq années de formation développer un projet de recherche plastique personnel. L’ouverture à de multiples expériences et les spécificités de l’école font de cette option un terreau fertile pour des pratiques artistiques en lien avec des problématiques de société, qu’elles soient sociales, économiques, politiques, etc. L’ENSA Dijon développe deux programmes de recherche ambitieux : « Art & Société » et « Peinture & Couleurs ».

En premier cycle, l’option Design d’espace offre une formation généraliste au projet de design, de la conception à la réalisation et à toutes les échelles. En second cycle, l’accent est mis sur les défis posés par le monde d’aujourd’hui : transition écologique (écodesign, biodiversité, attention au vivant), inclusivité (démocratie et participation, solidarité intergénérationnelle, égalité hommes / femmes)… Ces sujets sont portés par le programme de recherche « Mutations urbaines ».

Journées portes ouvertes : 9 et 10 février 2024

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options

/// OPTION ART

Le département Art soutient le parcours de jeunes plasticiens et plasticiennes, qui devront au cours de cinq années de formation développer un projet de recherche plastique personnel. Durant les deux premières années, les cours sont construits autour de pratiques fondamentales (dessin, installation, son, performance, image, vidéo, etc.). Les artistes enseignant à l’école dispensent une formation transversale qui vise le dépassement des catégories et des disciplines, afin que chaque étudiant puisse élaborer un projet original et autonome. L’objectif est de permettre aux étudiant·e·s de formuler une pensée plastique complexe et de la mettre en œuvre.

L’école est en ce sens un lieu ressource d’expérimentation et d’échange, où se transmettent des savoirs et des pratiques, et où les parcours étudiant·e·s se construisent en commun.

La richesse de l’inscription culturelle permet aux diplômé·e·s de l’école de multiplier les voies professionnelles. Les étudiant·e·s ont accès à un large choix d’ateliers techniques traditionnels (bois, terre, métal, résine, thermoformage, etc.), aux moyens technologiques les plus récents (infographie, 3D, vidéo, son, etc.) et à un accompagnement théorique cadrant leur connaissance contemporaine dans des perspectives historiques et pluridisciplinaires.

Tout au long du cursus, les étudiant·e·s sont invité·e·s à des expériences « hors les murs » leur permettant de se confronter à la réalité d’un accrochage collectif, à la présentation de projets transdisciplinaires, à l’écriture de textes critiques, à des visites de chantiers, à des rencontres avec des intervenant·e·s, des chercheur·e·s, ou des résident·e·s issu·e·s de la culture scientifique ou de tout autre univers. Cette ouverture à de multiples expériences fait de cette option un terreau fertile pour des pratiques artistiques diversifiées.

L’ENSA Dijon leur propose également une grande ouverture sur l’extérieur, en particulier sur l’international grâce à des programmes de résidence et des stages des États-Unis à la Chine en passant par le continent africain. Des artistes de renommée internationale sont également de plus en plus souvent invité·e·s par l’école pour offrir aux étudiant·e·s des témoignages uniques sur la diversité des milieux de l’art dans le monde.

 

/// OPTION DESIGN D’ESPACE

 

UNE FORMATION PLURIELLE ET OUVERTE SUR UN MONDE EN DEVENIR

  • Préparation au DNA (Année 2 & 3) : une formation généraliste au projet design, de la conception à la réalisation et à toutes les échelles.
  • Préparation au DNSEP (Année 4 & 5) : sur un sujet librement choisi par l’étudiant·e, avec un accent mis sur les défis posés par le monde d’aujourd’hui : transition écologique (écodesign, biodiversité, attention au vivant), inclusivité (démocratie et participation, solidarité intergénérationnelle, égalité hommes / femmes)…

 

UNE OPTION DESIGN DANS UNE ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D’ART

  • Une pédagogie qui encourage l’engagement personnel et l’entraide.
  • Les moyens matériels et humains d’une école nationale au service du projet de l’étudiant·e : petits effectifs d’étudiant·es, échanges internationaux, technologie audiovisuelle, enseignements en photographie, vidéo, performance, arts sonores…
  • Une poétique du projet nourrie par l’atmosphère créative d’une école d’art, une approche sensible de l’espace, le plaisir d’expérimenter.
  • Une formation professionnalisante : rencontres avec des professionnels, stages, cours de professionnalisation, projet en partenariat, concours.
  • « Mutations urbaines » (Muur) : un Atelier de Recherche et Création (ARC) et un programme de recherche : partenariats, workshops, conférences, colloques, publications…

 

UNE FORMATION ANCRÉE DANS LE MONDE RÉEL

  • Un encadrement assuré par des professionnels du design, de l’architecture, de la scénographie, du paysage.
  • Une attention aux enjeux actuels : écodesign, design social, projets participatifs, urbanisme tactique…
  • Des projets in situ en collaboration avec des acteurs de terrain : Voies Navigables de France, Dijon Métropole, Latitude 21, Opéra de Dijon, Théâtre de Bourgogne, associations, etc.
  • Des liens toujours plus étroits avec l’international : mobilités étudiant·es et enseignant·es, workshops croisés…
  • Des conférenciers, des intervenants, des workshops, des visites d’expositions en lien avec les thématiques abordées au cours de l’année.

 

ANNÉES 2 et 3 : UNE FORMATION GÉNÉRALISTE CONSACRÉE AU PROJET

  • Méthodologie du projet et représentation de l’espace (dessin à la main et logiciel 3D, maquette et expérimentations en volume à différentes échelles…).
  • Une expérimentation continue à travers des différentes technologies, matériaux, processus, théories, etc.
  • Développer un projet personnel sur une thématique : prendre parti, concevoir, représenter, fabriquer/réaliser son projet.
  • Sensibilisation aux matériaux, expérimentations et approfondissement.
  • Le design à toutes les échelles : de l’objet au grand paysage en passant par la microarchitecture, l’espace public, les espaces intérieurs, la ville, la scénographie (exposition, théâtre)…
  • Un enseignement en histoire et théorie du design : du XIXe s. aux enjeux contemporains (écologie et biodiversité, genre et inclusion, numérique et participatif…).
  • Immersion professionnelle : un stage d’une durée de 15 à 30 jours.

 

ANNÉES 4 & 5 : UNE PÉDAGOGIE CENTRÉE SUR LE PROJET DE L’ÉTUDIANT·E

  • Un accompagnement individualisé vers le DNSEP (mémoire de recherche et projet personnel).
  • 3 mois de mobilité internationale et/ou de stage professionnel en 4e année.
  • L’étudiant·e développe un projet sur une thématique ancrée dans le monde contemporain qu’il a choisie. Il s’agit majoritairement de sujets orientés vers les défis environnementaux, politiques et sociaux des villes au XXIe siècle.

diplômes

DNA option Art
DNA option Design mention design d’espace
DNSEP option Art
DNSEP option Design mention design d’espace

classe préparatoire

Un module préparatoire est géré par le Conservatoire à Rayonnement Régional.

unités de recherche

Créée en collaboration avec la Maison des Sciences de l’Homme de l’Université de Bourgogne (MSH Dijon), l’Unité de Recherche (UR) « Art & Société » organise l’ensemble des activités de recherche au sein de l’ENSA Dijon.

Avec les pôles Pédagogie et Relations internationales, elle fournit le soutien humain, matériel, financier, technique, institutionnel permettant de mettre en œuvre la recherche, et travaille à la diffusion, à la valorisation et à la reconnaissance de la recherche qui s’exerce en art et en design au sein de l’école.

Elle comprend dans ses membres l’ensemble des enseignants de l’école – artistes, designers, théoricien·ne·s –, engagé·e·s dans des activités de recherche, parallèlement à leurs missions d’enseignement ainsi qu’à leurs pratiques professionnelles, artistiques, de design et théoriques individuelles et indépendantes. La recherche réfléchit ainsi les médiums artistiques (design, dessin, peinture, performance, photographie, son, vidéo, volume, etc.) et les formes de savoir (histoire de l’art, philosophie, esthétique, théorie de la culture) pratiqués dans l’école.

La recherche en école d’art : invention, expérimentation, mise en commun

Si l’art et la science — qu’il s’agisse des sciences humaines et sociales, des sciences formelles (logique, mathématiques) et naturelles (physique, biologie, etc.) ou encore des sciences de l’ingénieur — diffèrent par leurs critères internes et leurs finalités propres, ils n’ont jamais été étrangers l’un à l’autre. La recherche leur est consubstantielle, et l’un comme l’autre constituent des activités relevant de logiques d’expérimentation et d’invention.

Au cours de leur histoire, l’art et la science (et la technologie) n’ont cessé d’être interpellés voire provoqués l’un par l’autre : de la géométrie, de la physique ou de la théorie des émotions aux épistémologies contemporaines issues des sciences de l’environnement (écologie), des technologies numériques et de leurs enjeux anthropologiques, comme celles des études de genre et des approches postcoloniales des théories de la culture et de la domination.

Parce que l’interrogation sur les formes de restitution de la recherche appartient au processus-même de la recherche, et tandis qu’aujourd’hui, dans le monde scientifique, de nouvelles formes de démarches et de restitution de la recherche sont en voie d’émergence (practice-based-research, etc.), l’Unité de Recherche « Art & Société », tout en s’appuyant sur les formes académiques consacrées de la mise en commun des résultats de la recherche (colloques, publications), initie, encourage et accompagne l’invention de nouvelles formes, souvent hybrides, spécifiques à la recherche en école d’art : expositions, dispositifs, œuvres collectives…

Structuration de la recherche

La recherche à l’ENSA Dijon s’organise à partir de 2 axes thématiques structurants, transversaux et transdisciplinaires. Ces axes, non exclusifs l’un de l’autre, permettent d’identifier le(s) domaine(s) dans le(s) quel(s) les membres de l’Unité de recherche situent leur activité de Recherche.

Axe 1 — Matériaux, médiums, intermédialités

Cet axe interroge les relations des médiums à leurs propres spécificités (procédures, méthodes, histoires) et leur propre identité, ainsi qu’aux types d’altérités qui les questionnent (hybridations des formes et traductibilité des langages ; relations formes « savantes » / formes « populaires » ; nouvelles technologies ; relations art / culture ; autonomie et hétéronomie de l’art ; question de l’exposition ; etc.).

Axe 2 — Crises, contextes, combats

Cet axe aborde la question de l’art et du design à la lumière de leurs relations avec le savoir et le pouvoir, en tant qu’ils interrogent les pratiques et les dispositifs de visibilité et d’invisibilité, éventuellement générateurs de violence. Dans cette perspective, les pratiques artistiques et de design croisent les formes de savoirs et les pratiques militantes (écologie, féminisme). D’où une insistance particulière sur la question de l’inscription, du lieu (espaces urbains, mondes ruraux, marges, migrations), et de leurs contraires (les non-lieux, le déracinement, etc.).

Au sein de ces deux axes peuvent s’organiser des événements ponctuels (publication, colloque, exposition, etc.) ou bien des programmes de recherche de plus grande ampleur.

programmes de recherche

3 Programmes de recherche

 

1 – Programme Mutations Urbaines

Responsables de l’axe de recherche : Laurent Matras, Hélène Robert, Leila Toussaint (ENSA Dijon) /ARC associé : ARC « MUUR – Atelier de Recherche sur les Mutations URbaines (resp. Laurent Matras, Hélène Robert, Leila Toussaint)

Le programme de recherche transdisciplinaire « Mutations urbaines » s’inscrit dans le prolongement des enseignements de Licence et de Master délivrés par l’équipe de l’option Design de l’ENSA Dijon (studios de projet, cours, ARCs, workshops). Il réunit designers, architectes, scénographes, paysagistes, artistes et théoriciens tous domaines confondus dans un espace commun de réflexion, d’imagination, de proposition et d’expérimentation urbaines fortement enracinées dans les réalités écologiques, sociales et politiques de la ville à l’ère de l’anthropocène.

La crise écologique qui frappe actuellement l’humanité — la pollution, l’épuisement des ressources naturelles, la destruction des écosystèmes, la disparition de la biodiversité, le réchauffement et le dérèglement climatiques, la multiplication des épisodes extrêmes comme les sécheresses ou les vagues de chaleur —, ainsi que ses conséquences économiques, sociales et politiques, nous obligent à repenser de manière radicale, non seulement nos modes de production et de consommation, mais aussi nos manières de vivre, et en particulier de vivre la ville, c’est-à-dire de produire et de consommer de l’espace et du temps. Elle questionne nos pratiques de l’espace et nos chorégraphies du quotidien.

Les villes, particulièrement vulnérables aux effets de la crise environnementale, sont pour une importante part responsables de celle-ci. Ce qui signifie qu’elles peuvent aussi être le lieu de solutions locales à ce problème global.

Le design, longtemps cantonné dans la sphère du marketing, constitue aujourd’hui un ensemble ouvert de réflexions, de pratiques et de dispositifs, au croisement de la recherche et de la création, travaillant, à même la perception sensible (« affordance »), sur les représentations et les usages de notre environnement, comme vecteurs de transformation des espaces urbains.

Penser et pratiquer la ville comme un écosystème à part entière, prendre soin (« care ») de la biodiversité végétale et animale qu’elle abrite, promouvoir une agriculture urbaine visant une autonomie alimentaire sans danger pour l’environnement, et plus globalement repenser les relations ville / nature, cela suppose ainsi une réflexion sur les activités et les temporalités socioéconomiques de la ville. À l’image des slow cities qui essaiment partout dans le monde, les villes doivent aussi incorporer les mobilités douces (vélo) et les moyens de déplacements non carbonés dont la croissance actuelle est révélatrice.

L’éco-design réfléchit aux impacts environnementaux des matériaux et des formes qu’il met en œuvre, prône le low tech, le do it yourself, l’auto-construction et le réemploi, en s’inspirant des pratiques vernaculaires. Cette relation au travail de la matière nourrit une relation à l’espace par le réinvestissement des zones laissées vacantes ou sans qualité par la modernisation ou la crise économique : friches industrielles et interstices urbains peuvent être les lieux d’un « urbanisme transitoire » où s’expérimentent des manières autres de vivre collectivement la ville, et une place de parking ou un frontage devenir par micro-intervention (acuponcture urbaine) des espaces d’ « urbanisme tactique » comme autant de gestes — légers et joyeux, temporaires et festifs — visant à reconquérir les rues.

Devant la tendance à la standardisation, à l’uniformisation fonctionnelle, à l’homogénéisation sociale et en fin de compte à la stérilisation d’espaces publics privatisés consacrés de plus en plus exclusivement au commerce et à la consommation sous vidéosurveillance, il s’agit d’imaginer des formes inventives d’habiter la ville qui soient susceptibles de la revitaliser.

Parallèlement, partout se font entendre de plus en plus fort les aspirations des citadins à une démocratie urbaine renouvelée — un « droit à la ville » —, dans laquelle les citoyens, sous une forme collaborative ou participative, se voient activement impliqués dans les projets mis en œuvre par les acteurs privés et/ou publics, portant sur leurs espaces de vie, qu’il s’agisse d’une rue, d’une place, d’un quartier, d’un lieu de vie, de travail, ou encore d’un endroit auquel aucune fonction n’est définie par avance, et qui se réinvente au gré des usages.

L’idée d’une ville désirable — où la notion de plaisir n’est plus annexée au consumérisme — parce qu’équitable (ouverte à tou·tes) exige en effet la prise en compte de la diversité et de l’imprévisibilité des usages et des usagers, quels que soient leur âge, leur genre ou leur origine sociale ou culturelle. Les nouvelles pratiques du design urbain se nourrissent ainsi des apports des théories critiques contemporaines (théories féministes et critique du genre, théories postcoloniales, écologie politique, théories du care). Le programme « Mutations urbaines » s’inscrit ainsi dans le sillage tracé par de nombreux collectifs pluridisciplinaires réunissant urbanistes, vidéastes, designers, écrivains, architectes, philosophes, scénographes, sociologues, paysagistes… (Bellastock, EXYZT, Le Bruit du frigo, Encore heureux…) avec lesquels il est régulièrement conduit à travailler.

Expérimentations in situ, workshops, colloques, publications — comprenant des traductions inédites d’auteurs anglosaxons aujourd’hui incontournables — composent l’ensemble des activités de recherche du programme.

Pour décentrer le regard et approfondir les explorations, le programme de recherche « Mutations urbaines » s’appuie sur le partenariat de l’ENSA Dijon avec l’École des arts et du design de l’université technologique d’Hubei de Wuhan (Chine), avec la mise en œuvre de workshops croisés.

2 – Programme de résidence de recherche-création en arts sonores

Responsables du programme de recherche : Lambert Dousson (ENSA Dijon) et Nicolas Thirion (ici l’onde, centre de création musicale)
ARC associé : ARC Arts du son

Fondé sur le partenariat de l’ENSA Dijon avec le Centre de Création Musicale Ici l’onde (icilonde.whynote.com, dir. Nicolas Thirion), ce programme de résidence de recherche-création en arts sonores prolonge le programme d’enseignements théoriques et pratiques délivré en Licence et Master, ainsi que l’Atelier de Recherche et Création (ARC) « Arts sonores ». En s’appuyant sur les moyens mis à disposition par les deux institutions partenaires, ce programme donne à un·e artiste (musicien·ne ou non) et/ou un·e designer/euse la possibilité de développer et d’exposer son travail de recherche-création dont le centre de gravité est le phénomène sonore, alliant pratiques artistiques et savoirs théoriques, en privilégiant trois perspectives étroitement articulées les unes aux autres :

1. L’interrogation sur les genres musicaux, leurs spécificité et historicités respectives, mais aussi et surtout leurs porosités et leurs déconstructions réciproques. La réflexivité engendrée par la confrontation entre les musiques contemporaines (fondées sur l’écriture), les musiques expérimentales (fondées sur la manipulation, électronique ou non, du son) et les musiques pop (qui ne se réduisent pas aux productions de l’industrie des hits mainstream), et l’enrichissement théorique des pop music studies, autorisent un regard critique sur les multiples généalogies des arts sonores (de John Cage à Pierre Schaeffer, du field recording à Fluxus, de l’Ambient à Alvin Lucier, de Max Neuhaus à La Monte Young, de Karlheinz Stockhausen à Eliane Radigue, de David Bowie à Aphex Twin, etc.) et renouvelle l’interrogation sur les relations entre écriture, performance et enregistrement, entre pratiques professionnelles et pratiques amateures, du high tech au low tech.

2. L’anthropologie de l’écoute : L’écoute comme attitude corporelle et comme et pratique sociale médiatisée par les (sous-)cultures et les technologies audiovisuelles. Comme nous l’indiquent les développements de plus en plus importants des sound studies, l’écoute constitue un moyen de connaissance sur les structures historiques et techniques des cultures dans leurs dimensions tout autant esthétiques que sociales et politique. Reconsidérant ce que Jonathan Sterne nomme « la litanie audiovisuelle » (Une histoire de la modernité sonore), ce sont les relations entre le sonore et le visuel (le son dans les arts plastiques) qui sont scrutées sous l’angle, non plus du regard, mais de l’oreille.

3. Critique du design sonore : La standardisation de la sensibilité par le capitalisme des industries discographiques et la captation de l’attention par le design sonore, impliqué tant dans les enjeux commerciaux que sécuritaires, engage une réflexion critique sur la manière dont les pratiques artistiques peuvent remettre en mouvement (en liberté) nos appareils de perception : comment réensauvager une écoute domestiquée par un design conçu comme décor de la marchandise ?

Se tenant pour partie au sein de l’école nationale supérieure d’art de Dijon, le programme de résidence de recherche-création en arts sonores, dont cette première année va permettre de définir les contours, comprend, où le volet de recherche-création à proprement parler s’articule à des interventions pédagogiques, et permet à l’artiste en résidence d’exposer son travail.

 

3 – Programme Peinture et couleur

Responsables de l’axe de recherche : Alain Bourgeois, Anne Brégeaut et Bruno Rousselot (ENSA Dijon) / ARC associé : Pratiques Contemporaines de la peinture (resp. Alain Bourgeois, Anne Brégeaut et Bruno Rousselot)

À l’origine école de dessin, l’ENSA Dijon développe en son sein un programme de recherche centré sur les pratiques actuelles de la peinture.

Ce programme s’inscrit dans le sillage des enseignements délivrés aux étudiant·e·s en Licence et Master (cours théoriques et ateliers, ARCs et workshops). Il s’appuie sur les espaces et les structures de l’école consacrés à la peinture et à la couleur : l’atelier de peinture et l’observatoire européen de la couleur (ECO), qui cartographie les relations entre théories scientifiques de la couleur et pratiques artistiques contemporaines.

Associant étroitement critique historique, réflexion théorique et pratique expérimentale, les activités du programme de recherche « Peinture et couleur » se veulent ouvertes et multiformes : Invitations d’artistes internationaux en présence d’une de leurs œuvres (Olivier Mosset, Pierre Mabille, Eva Nielsen, Philippe Mayaux et Yan-Pei Ming), Conférences et cours théoriques sur l’histoire et l’actualité de la peinture (Michèle Martel et Bernard Marcadé), Workshops avec des artistes invités (Amélie Bertrand, Christophe Cuzin ou Élodie Boutry…), expositions d’étudiants dans des lieux professionnels de l’art.

éditions

coopération internationale

/// MOBILITÉ INTERNATIONALE

L’ENSA Dijon favorise la mobilité à l’international, en encourageant ses étudiant·e·s à partir à l’étranger dans le cadre de leur cursus, et en accueillant chaque année des étudiant·e·s étranger·e·s.

Par ailleurs, de nombreux intervenants étrangers (artistes et professionnels) sont sollicités pour participer à la recherche à l’ENSA via les ARCs, les workshops, les conférences et journées d’étude, et grâce à l’Unité de Recherche Art & Société.

Des voyages d’étude et des workshops à l’étranger sont également programmés, ainsi que des programmes de résidences et d’insertion professionnelle que l’ENSA propose aux jeunes artistes nouvellement diplômés.

>>> ÉCOLES PARTENAIRES :  https://ensa-dijon.fr/international/ecoles-partenaires/

/// L’INSERTION PROFESSIONNELLE À L’ÉTRANGER

Avec l’obtention de leur DNSEP en poche, les jeunes artistes et designers nouvellement diplômé·e·s peuvent prétendre à des programmes de résidences et d’expositions à l’international créés par l’ENSA Dijon, dès les premiers mois de leur vie active – ceci dans le but de développer leurs réseaux professionnels et de les aider à commencer leur carrière dans les meilleures conditions.

 

L’INTERNATIONAL, AU CŒUR DE LA STRATÉGIE DE L’ÉCOLE

L’international à l’ENSA Dijon occupe toutes les strates de la vie de cette école : plus qu’un simple sujet en soi, c’est une façon d’être, de penser, et d’aborder le monde et nos métiers. Cette approche se retrouve aussi bien dans les enseignements généraux que dans les stages de 4e année, les workshops, les ateliers de recherche et de création, et plus particulièrement dans le programme de résidences et d’insertion professionnelle que l’ENSA propose depuis 2015 aux jeunes artistes nouvellement diplômés.

Du local à l’international

La création par l’ENSA Dijon d’un Pôle d’Action et de Recherche en Art Contemporain (PARAC) permet de développer la visibilité de l’école à l’international et de multiplier les situations professionnalisantes telles que l’organisation d’expositions d’artistes internationaux et de colloques internationaux (à l’image de la conférence de Richard Armstrong, directeur du musée et de la fondation Guggenheim de NewYork, sur les enjeux des Musées aujourd’hui – Museums Today –). La mise en réseau professionnel à un niveau international, est un atout essentiel à l’enseignement de l’art et du design que cette école n’a de cesse de développer.

 

OPTION ART PROGRAMME DIJON/SAO PAULO

Depuis 2018, les étudiant·e·s de 5e année de l’année en cours et DNSEP N-1, N-2, N-3 de l’ENSA Dijon ainsi que ceux de l’École de Communication et d’Art (ECA) de l’Université de Sao Paulo (USP) sont invité·e·s à postuler à ce programme, qui propose :

• 6 à 8 semaines de résidence à Sao Paulo et une exposition au Musée d’Art Contemporain (MAC) de l’USP pour le/la lauréat·e français·e ;

• 6 à 8 semaines de résidence à Dijon et une exposition dans un musée de Dijon pour le/la lauréat·e brésilien·ne.

L’École de Communication et d’Art (ECA) de l’Université de Sao Paulo (USP) et l’ENSA Dijon sélectionnent chacune leur candidat·e. Un jury interne à l’école, présidé par la directrice, sélectionne le/ la lauréat·e français·e.

Le/la jeune artiste choisi·e reçoit une bourse de l’ENSA de 3 000 € pour couvrir les billets d’avion, le logement et des frais d’alimentation sur place. Le/la jeune artiste choisi·e du côté brésilien est traité·e dans les mêmes conditions.

Pour être sélectionné·e·s, les candidat·e·s répondent à un appel à candidatures (février-mars) en envoyant un CV, une note d’intention précisant leurs motivations pour cette résidence, et un book présentant leurs travaux en anglais et en français.

 

OPTIONS ART ET DESIGN : CITÉ INTERNATIONALE DES ARTS (PARIS)

En 2020, l’ENSA Dijon a noué un partenariat avec la Cité Internationale des Arts pour proposer un programme de résidence d’un·e jeune artiste à la Cité Internationale des arts. Les jeunes artistes diplômé·e·s de l’ENSA Dijon du DNSEP année en cours et N-1, N-2, N-3 peuvent postuler à ce programme, qui propose au lauréat ou à la lauréate 2 mois de résidence – un atelier-logement – à la Cité Internationale des Arts.

équipements spécifiques

Le centre de prêt, la bibliothèque, l’atelier de fabrication, l’atelier d’infographie et de sérigraphie, l’atelier multiples, l’atelier couleur, l’atelier photographie, l’atelier vidéo, le studio son…
> Découvrir tous nos espaces

professeurs

Luc Adami, Studio son et vidéo

Frédéric Beauclair, Design d’espace

Diane Blondeau, Studio son

Alain Bourgeois, Couleurs, ECO, co-responsable Atelier peinture

Anne Brégeaut, Peinture, co-responsable Atelier peinture

Patricia Brignone, Histoire des arts

Carlos Castillo, Peinture

Anna Chevance, Design graphique

Lambert Dousson, Sciences humaines, coordonnateur de la recherche

Jeremy Edwards, Design urbain

Nathalie Elemento, Sculpture et volume

Sammy Engramer, Volume et installation

Marlène Grossmann, Histoire des arts

Germain Huby, Cinéma et vidéo

Lydie Jean-Dit-Pannel, Atelier vidéo

Laurent Karst, Design d’espace

Martine Le Gac, Histoire des arts

Philippe Mailhes, Sérigraphie-Infographie, co-responsable Atelier Image fixe

Didier Marcel, Sculpture et volume

Laurent Matras, Design d’espace

Linda McGuire, Anglais

Jean-Sébastien Poncet, Design d’espace

Hélène Robert, Scénographie et design d’espace

Bruno Rousselot, Peinture, co-responsable Atelier peinture

Pascale Séquer, Photographie, co-responsable Atelier Image fixe

Lionel Thenadey, Atelier vidéo

Pierre Tillet, Histoire, théorie et actualité de l’art

Leila Toussaint, Design urbain

Charlélie Vuillemin, Français langue étrangère

En cours de recrutement, Atelier de fabrication

équipe administrative

Direction

Amel Nafti, Directrice

Véronique Léchenault, Secrétaire de direction

 

Administration & finances

Laurence Jacquemart, Secrétaire générale

Angélique Bocq, Gestionnaire administratif et financier et régisseure de recette

Cédric Bougeard, Gestionnaire administratif et financier

Marie-Ange Desanlis, Secrétaire administrative et financière

Francine Vernardet, Gestionnaire budgétaire et financière

 

Communication & partenariats

Simon Freschard, Responsable communication et partenariats

 

Pédagogie, vie étudiante & international

En cours de recrutement, Directeur des études et de l’international

Pauline Dionne, Gestionnaire des relations internationales

Louise Hüe-Rifad, Gestionnaire pédagogique

Sylvie Picard, Régisseuse pédagogique

 

Bibliothèque

Vanessa Silvia, Responsable de la bibliothèque

Sophie François, Adjointe administrative à la bibliothèque

 

ÉQUIPE TECHNIQUE

Informatique

Éric Marillier, Technicien informatique

 

Centre de prêt

François Garraud, Responsable du centre de prêt

 

Technique & maintenance

Gilles Fontaine, Régisseur

Didier Chenevez, Technicien de maintenance

 

Accueil

Martine Coudeyre, Agent d’accueil

Nora Garcia, Adjointe technique à l’accueil de l’école et à la bibliothèque

coordonnées

ENSA Dijon Art & Design
École Nationale Supérieure d’Art
3 rue Michelet BP 22566
21025 | Dijon cedex
tél. +33 (0)3 80 30 21 27
fax +33 (0)3 80 58 90 65
contact[at]ensa-dijon.fr
www.ensa-dijon.fr

effectif

Chaque année l’ENSA Dijon accueille environ 200 étudiants

Dunkerque

École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing — site de Dunkerque

présentation

Carrefour incontournable d’une eurorégion qui compte plusieurs millions d’habitants, territoire frontalier de la Belgique et du Royaume-Uni, forte d’une densité comparable à celle de l’île de France, la région des Hauts-de-France atteste un dynamisme dans le domaine de la culture qui se caractérise par l’implication des collectivités en faveur de programmes croisant excellence culturelle, promotion des territoires et accessibilité au plus grand nombre.
Depuis un ample réseau artistique, l’offre culturelle en région conjugue spectacle vivant et arts plastiques, patrimoines et festivals, dans toutes les formes d’expressions ; cinéma, danse, arts plastiques, théâtre, musique, spectacle de rue, littérature.
L’Esä accueille environ 300 étudiants répartis sur les deux sites, favorisant une offre pédagogique diversifiée et originale au sein de son option art. Le projet pédagogique se déploie sur les deux sites, entre métropole et littoral. Il s’articule au développement artistique et culturel des territoires. Les grands projets urbains qui dynamisent les deux villes placent la question de la création artistique au premier plan et favorisent de nouvelles formes de rencontres entre l’art et les publics qui sont autant de pistes d’inscription professionnelle pour les étudiants.
L’essence transfrontalière des territoires est propice aux échanges: la proximité de grandes capitales culturelles européennes (Bruxelles, Gand, Liège, Lille, Londres, Rotterdam…) renforce le rayonnement et l’étendue de l’offre pédagogique. Le réseau académique, professionnel et institutionnel ainsi constitué permet de construire une véritable dynamique de projet et de cursus : appui et construction dans les champs du pédagogique, de l’insertion professionnelle, de la mobilité internationale et de la recherche.
À Dunkerque, la mention « Art, société, nature » met en relation le site avec l’ensemble des partenaires et projets territoriaux (Musées – LAAC, Musée des Beaux-Arts, FRAC Grand Large, Halle aux sucres, Salles de spectacle et d’exposition (Studio 43, Bateau-feu, 4 écluses), Université du Littoral Côte d’Opale, Conservatoire municipal, entreprises, communauté urbaine, maisons de quartier, projets cursifs, événements structurants, etc.) susceptibles d’orienter l’étudiant vers une recherche liée aux relations entre l’art et les territoires.

1/1

options

Art, Société, Nature

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art
Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI) 

post-diplôme

CE2A (Certificat d’Ecole en Enseignement de l’Art)
Il s’agit d’une formation d’une année universitaire permettant à des étudiants titulaires d’un diplôme de fin de 5e année en École d’Art, d’acquérir les compétences nécessaires à l’enseignement de l’art, en France ou à l’étranger. Ce certificat d’école donnera un savoir-faire de moniteur en arts plastiques, avec des compétences transversales et poly-disciplinaires.

classe préparatoire

Classe FLEA – Français-Langue étrangère / Art — Esä | Dunkerque-Tourcoing

Première classe de mise à niveau conçue à l’intention des étudiants non francophones désirant se présenter aux concours d’entrée aux Écoles Supérieures d’Art françaises, la classe FLEA (Français-langue étrangère/Art) a ouvert ses portes en septembre 2013. Le contexte des études en école supérieure d’art a considérablement changé depuis quelques années avec le passage au système européen LMD et le grand développement de la mobilité des étudiants. FLEA propose aux élèves une double formation, combinant un apprentissage intensif du français écrit et parlé, à raison de 16 heures hebdomadaires et une préparation à l’intégration aux cursus des écoles supérieures d’art, sous la forme d’ateliers de pratiques plastiques diversifiés et complets (dessin, volume, vidéo, photo, peinture, édition, informatique). Les cours sont dispensés sur les sites de Dunkerque et de Tourcoing.

vae

L’Esä offre la possibilité à chaque candidat d’être accompagné, depuis l’établissement de son dossier jusqu’à la préparation des épreuves du DNSEP option Art, par un enseignant en charge de la Validation des Acquis de l’Expérience.

unités de recherche

Hyper.local

L’ésac de Cambrai, l’ésa-Nord Dunkerque-Tourcoing et l’ésad Valenciennes formalisent les complémentarités de leurs programmes de recherche respectifs dans les champs de l’art, du design, et de la communication au sein d’une Unité de Recherche (UR) dénommée HYPER.LOCAL.

Elle a pour vocation d’interroger, de comprendre et d’expérimenter les pratiques qui impliquent des rapports d’échelle critiques et des créations situées : entre « local » et « global », « micro » et « macro », « moléculaire » et « molaire », « topique » et « cosmique ». Cette orientation générale privilégie plus particulièrement le point de vue « hyper local », non pas pour se replier sur le connu et l’authentique au nom d’une identité fermée, mais pour se replacer là où les enjeux esthétiques, économiques, sociaux et politiques mondiaux se rencontrent pour prendre un sens vécu, partagé et discuté, c’est-à-dire au niveau de la singularité plurielle des lieux.

Deux axes seront particulièrement développés dans le cadre de cette Unité de Recherche.
Le premier axe, intitulé « Images, codes, récits », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’écriture de l’espace issues des sciences et technologies contemporaines. Cet axe interroge plus précisément les transformations de la perception, de l’imagination et de la narration qui s’opèrent selon les nouvelles articulations entre le corps, la machine et l’espace produites par les technologies numériques.
Le deuxième axe intitulé « Art, design et société », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’interrogation de l’espace public par l’art et le design. Cet axe investit plus précisément les modes alternatifs de conception, de production et d’échange que l’art et le design créent pour répondre aux problématiques sociétales contemporaines (écologiques, économiques, sociales).

programmes de recherche

éditions

Édition de livres d’artistes et des activités de l’Esä.

éditions

Expositions (Galerie de l’école, hors les murs et espace public), conférences, rencontres, événements…

coopération internationale

L’École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing a fait des relations internationales un point fort de son développement. Les projets internationaux sont articulés avec les programmes de recherche de l’Esä :
– Une convention bilatérale avec Campus France
– Le partenariat avec l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger (AEFE)
– Partenariat avec la Haute école d’arts plastiques (HBK) de Brunswick en Allemagne
– Tianjin Academy of Fine Arts, Chine : un programme d »échanges bilatéraux d’étudiants et d’enseignants
– La Dalian Polytechnic University en Chine

galerie

Galerie de l’école

équipements spécifiques

Les équipements du site de Dunkerque comprennent :
– Des ateliers techniques encadrés par une équipe de techniciens spécialisés (ateliers modelage, sculpture, bois, métal, sérigraphie, gravure, imprimerie et typographie, dessin, peinture, photographie argentique et numérique, vidéo, informatique, son et multimédias) ;
– Des espaces de travail permettant aux étudiants de disposer d’un lieu adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser leurs projets personnels ;
– Un centre de documentation proposant un fonds de référence (ouvrages théoriques, monographies, catalogues, DVD, CD audio, fichiers numériques…) dans le domaine de l’art, de son histoire et de ses théories ;
– une salle de conférences où sont organisées des conférences, des rencontres avec des artistes
– une galerie d’exposition modulable, permettant aux étudiants d’être immergés dans un environnement culturel stimulant qui enrichit leurs recherches artistiques et leurs créations.

réseaux

équipe administrative

Président
Yves Duruflé

Directeur général
Thierry Heynen

Directrice du site de Dunkerque
directrice des études et de la communication
Anne Rivollet

Directeur du site de Tourcoing,
directeur des études et des relations internationales
Martial Chmiélina-Verschaeve

Directeur administratif et financier
Guillaume Corroënne

Coordinatrice de la recherche et de la professionnalisation
Nathalie Poisson-Cogez

Comptable
Lahoucine Essofi

Secrétaire de direction et de la présidence
Gestion des ressources Humaines
Halima Medjahedi-Bouabderrezaki

Administratrice pédagogique, référente Égalité de l’Esä
Pauline Florent

Chargée d’accueil, assistante administrative et référente Égalité de proximité / site de Dunkerque

Chargé d’accueil : Mickaël Billard

Agente adminisrative, référente Égalité de proximité / site de Tourcoing
Sonia Aghbache

 

 

professeurs

David Ayoun, vidéo et son
Phoebe Dingwall, peinture
Nicolas Cabos, édition
Audrey Charlet, vidéo
Cyril Crignon, esthétique, philosophie
Arnaud Delbeke, photographie
Melissa Ryke, anglais
Jean-Baptiste Carobolante, histoire de l’art, culture générale et théorie des images
Donovan Le Coadou, volume
Lætitia Legros, dessin
Jean-Claude Mouton, photographie
Julien Pastor, volume/installation
Nathalie Poisson-Cogez, histoire de l’art, chargée de la professionnalisation et de la recherche
Delphine Riche, méthodologie documentaire
Philippe Robert, édition

coordonnées

site de Dunkerque
5 bis, rue de l’esplanade
59140 | Dunkerque
tél. +33 (0)3 28 63 72 93
fax +33 (0)3 28 59 21 96
elodie.lefebvre@esa-n.info
www.esa-n.info

effectif

300 étudiants dont 100 sur le site dunkerquois

Épinal

École Supérieure d’Art de Lorraine | site Épinal

présentation

En janvier 2011, l’École Supérieure d’Art de Lorraine est née du regroupement de l’École de l’Image d’Épinal et de l’École Supérieure d’Art de Metz Métropole. En janvier 2014, l’école a intégré le centre de formation musique et danse. L’ÉSAL est un établissement multisite proposant en son sein des formations arts plastiques, musique et danse en ouverture à des pratiques et expériences pluridisciplinaires.

 

Constitué d’un Pôle arts plastiques (Metz – Épinal) et d’un Pôle musique et danse (Metz), l’ÉSAL rassemble près de 300 étudiants. Elle prépare aux diplômes nationaux ayant grade de Licence (DNA) et de Master (DNSEP), ainsi qu’aux diplômes d’État (de 2 à 3 ans) à travers 5 formations :

– Art, mention Dispositifs Multiples (Metz)

– Communication, mention Arts et Langages graphiques (Metz)

– Design d’expression, mention Image et Narration (Épinal)

– Musique (Metz)

– Danse – classique, jazz, contemporaine (Metz)

L’axe Metz — Épinal situe l’école au centre de l’Europe. À proximité de la Belgique, du Luxembourg, de l’Allemagne, de la Suisse, l’ÉSAL bénéficie d’une situation privilégiée.

L’échelle de l’école est un atout pour l’accompagnement de parcours singuliers pour les 300 étudiants de l’ÉSAL : les résultats des diplômes et l’attractivité de l’établissement témoignent de la qualité des formations. L’accompagnement s’approche du “sur mesure” et permet un fort taux de réussite aux diplômes et une attention particulière au parcours professionnel des étudiants.

http://www.esalorraine.fr < Épinal

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Ecole supérieure d'art de Lorraine site Epinal
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Ecole supérieure d'art de Lorraine site Epinal
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Restitution du workshop fantômes mené avec Marine Rivoal et Jérémie Fischer, crédits photographiques Frédérique Bertrand, 2019
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options

Design d’expression

 

diplômes

DNA  Design d’expression, mention image et narration

Sous l’intitulé Design d’expression, le site d’Épinal forme des auteurs et des créateurs engagés dans la fabrication d’images qui prennent sens dans une production contemporaine.

Les étudiants sont accompagnés par une équipe d’enseignants – qui ont par ailleurs une pratique personnelle de ce qu’ils transmettent. Ils sont amenés à faire des expérimentations du côté de l’image et de la narration sous des formes multiples, afin de devenir des auteurs à part entière. L’image est examinée dans ses fonctions narrative, illustrative, informative, documentaire, symbolique, métonymique et esthétique.

Au fil des trois années, les étudiants sont invités à chercher leur propre langue, à l’inventer et à la fortifier, les engageant à écrire de façon régulière, dans une démarche réflexive, analytique et sensible. Ils développent ainsi des qualités littéraires, une approche d’auteur mais aussi le regard distancié que permet l’écriture. Ces ateliers abordent la littérature et la poésie contemporaines mais aussi la photographie, le dessin, la peinture et l’image en mouvement.

L’étudiant est invité à accroître ses connaissances, à développer sa créativité et à améliorer son savoir-faire.

Au travers de cours théoriques, de workshops, d’ateliers de création et de commandes extérieures, les étudiants appréhendent les différentes étapes allant de la formalisation de l’image, à sa fabrication jusqu’à sa diffusion.

Le travail sur le texte vient toujours croiser un travail autour de l’image, dans une approche transversale. Cette transversalité est favorisée par la mise en lien de plusieurs disciplines et privilégie aussi la rencontre. C’est ainsi, par exemple, que les échanges avec le Pôle arts plastiques et le Pôle musique et danse de Metz apportent aux étudiants une ouverture, qui donne des perspectives nouvelles aux uns et aux autres.

Les étudiants, dès la deuxième année, ne sont plus dans l’exercice mais bien dans l’élaboration de projets qui leur demandent d’acquérir de la méthodologie.

L’image et la narration se construisent dans cet espace qui mêlent réflexion, références, techniques, tout en laissant la place aux hasards et surprises de l’expérimentation ; ainsi qu’ils s’agissent de dessin de peinture, de photographie, de vidéo, de son, d’animation, de design éditorial ou graphique et d’images numériques…

L’ouverture du laboratoire transmédia équipé d’un matériel de pointe est l’espace d’expérimentation et de création qui positionne l’école sur ces nouvelles technologies ; elles combinent différents médias pour inventer de nouveaux univers narratifs et interrogent les modes actuels de diffusion. C’est un univers en perpétuelle évolution qui reste à explorer, à parcourir, et surtout à imaginer. Les enseignants accompagnent les étudiants dans ce cheminement, les amènent à apprendre en leur proposant un cadre où la liberté et l’utopie ont toute la place d’exister.

L’image se situant de plus en plus dans l’ensemble des données médiatiques et technologiques contemporaines, il est fondamental que les enseignements proposés à l’école interrogent différents modes de création : le didactique (langages linéaires et interactifs), dans la communication institutionnelle et privée (éditions imprimées et images numériques)…

L’évolution du projet de l’école génère ainsi une véritable interactivité des pensées liées à ces questions. L’élaboration de nouveaux supports et l’émergence de nouveaux réseaux de mise à disposition des images offrent à la création visuelle de vastes domaines d’expérimentations.

 

éditions

édition de l’école :

Depuis 2017, l’ÉSAL s’emploie à imprimer une publication des diplômes de l’ÉSAL (plasticiens Metz/Épinal, musiciens et danseurs). Cette publication est un outil de diffusion du travail des artistes. Elle est distribuée officiellement aux diplômés et aux partenaires à la soirée de remise des diplômes, évènement qui rassemble et met à l’honneur les diplômés de l’école.

 

édition à visée pédagogique :

Aujourd’hui La Nef des Fous propose d’accompagner les étudiants dans leur projet de micro-édition, livres d’artistes, livres objets… Fabriqués en sérigraphie et aussi en risographie de la création à la diffusion, ces projets sont proposés au public à l’occasion de salons professionnels du livre en France et à l’étranger. Cela permet aux étudiants d’élaborer leur réseau, confronter leurs productions au milieu et s’introduire à la médiation notamment au Festival du Livre de Colmar, au Salon du Livre d’artiste à Thionville, au Salon du livre jeunesse à Contrexéville, au Salon du Livre et de la Presse Jeunesse de Montreuil,  au Salon de l’édition Numéro #0 sur le site BLIIIDA à Metz, au Festival Zinc Grenadine à Épinal et au-delà de la France, à la Foire du livre de Bruxelles.

 

Nées fin 2012, sous la forme d’une association à but non lucratif, les Éditions du Pourquoi pas ?  est animée pour son démarrage, par des forces vives de l’ÉSAL Épinal et de la Ligue de l’Enseignement des Vosges. Ils se sont engagés à titre personnel, chacun apportant ses compétences au service de l’œuvre collective avec un projet politique fort et une réelle ambition artistique. Depuis plusieurs années, des projets de création se développent en conjuguant le pouvoir créatif de la jeunesse en formation, le savoir-faire des enseignants de l’ÉSAL et le dynamisme associatif généré par la Fédération d’Éducation Populaire.

La Ligue de l’Enseignement des Vosges a fait émerger le manifeste : « Faire société », inspirant ainsi la collaboration avec l’ÉSAL. Les Éditions du Pourquoi pas ? ont permis de mettre en valeur la création de nombreuses productions artistiques et d’une collection d’albums insufflées par ce manifeste.

 

  • Monstruosa – Cases et débordements

Les ateliers Dessiner/designer, nouveaux récits, nouveaux possibles, transmédialité et design graphique travaillent ensemble à la réalisation d’un temps d’exploration de l ‘illustration et des pratiques transversales du dessin. Une semaine de workshops avec des restitutions publiques sous forme d’exposition, d’éditions ou de rencontres. Cette semaine s’inscrit dans le cadre du festival le Livre à Metz et noue de nombreux partenariats avec, entre autres, la galerie Octave Cowbell et la librairie Le carré des bulles.

formation continue

Projets annuels

L’ÉSAL adosse sa pédagogie à des expériences professionnelles et artistiques. Des partenariats qui débouchent sur des expériences singulières et fortes dans et hors les murs, en France et à l’étranger, lors d’événements qui s’inscrivent dans le temps mais également lors d’événements ponctuels.

 

Festival la Fête des Images

Réalisé dans le cadre de la Fête des Images 2020.  Cet événement est organisé par l’association Image’Est et la Communauté d’Agglomération de la ville d’Épinal. Il est ouvert aux artistes confirmés et émergents oeuvrant dans les champs de l’audiovisuel, du cinéma, des arts visuels, graphiques et numériques. Dans le cadre de l’atelier de vidéo en mouvement, les étudiants sont invités à présenter un projet pour le concours de vidéo mapping organisé par le festival.

 

Le Grand bain

A chaque rentrée spinalienne, les étudiants sont amenés à se rencontrer dans un lieu particulier, favorisant les échanges de pratiques et les découvertes sensibles immergés dans un environnement. Le Grand bain permet aux trois années confondues de développer un projet commun durant une semaine de festivités créatives autour d’une thématique ou d’une citation.

 

Grand air

Lors de ce voyage exploratoire, les étudiants de deuxième année partent dans un lieu immersif pour travailler sur différents ateliers d’écriture guidés par l’équipe enseignante et d’un intervenant. Ils sillonnent le paysage environnant afin de remplir un réservoir imaginaire d’images, de mots, de formes, de sons et d’odeurs en vue de concevoir eux même une édition entièrement conçue du texte, à l’image jusqu’à la reliure.

 

Exposition du Grand projet à la Lune en Parachute

A la fois exercice pédagogique et professionnalisant, les étudiants de troisième année proposent leurs œuvres individuelles dialoguant dans un ensemble collectif porté généralement autour d’une expression. Ponctuée de visite et performances, cette exposition annuelle est toujours bouillante et explosive montrant l’esprit pluridisciplinaire et expérimental des étudiants !

 

Soirée à La Souris Verte

La Souris Verte joue un rôle important et en complément des 3 autres lieux, en accueillant les équipes de création dans les domaines du théâtre, de la danse, du cirque, de la chanson française et des spectacles jeune public. L’offre proposée est ainsi conforme au cahier des charges traditionnel d’une Scène Nationale. Avec l’ÉSAL des projets se développent en visant à unir l’Art, la musique, la danse et le théâtre.

 

Les Petits Laboratoires de l’Image

La DAAC en lien avec l’IA-IPR arts plastiques, la DRAC et les écoles d’arts de Lorraine, a développé un dispositif en direction des classes de collège et de lycée intitulé « Les Petits Laboratoires de l’Image ». Il s’adresse aux étudiants des écoles d’art pratiquant la photographie et leur permet de mener un court projet en direction d’élèves de collèges ou de lycées. L’ÉSAL contribue à ce dispositif qui permet à une douzaine d’étudiants de réaliser cette expérience rémunérée.

revues

Atelier REVU : design éditorial Metz-Épinal 

REVU, 2020

L’atelier REVU se construit comme un laboratoire de recherche éditoriale mené à Épinal et à Metz, au sein duquel « expérimentation » est le maître mot. À partir d’un corpus d’œuvres et de textes proposés par les enseignants, les étudiants sont amenés à concevoir un objet éditorial qui s’engage à «revoir» ce corpus, à en proposer une relecture, un prolongement. L’atelier se séquence en plusieurs parties corrélées : étude et contextualisation du corpus, discussions autour des thématiques qui s’en dégagent ; productions de contenus ; conception d’une forme éditoriale ; prise en compte des contraintes techniques et économiques ; définition du public et de la diffusion de la publication…

activité post- ou périscolaire

Cours du soir pour Adultes

Atelier plastique / modelage céramique

Atelier céramique

Au travers d’un thème proposé en début d’année, l’atelier céramique initie le travail autour du volume. De sa mise en forme jusqu’à son exposition, nous vous accompagnerons dans votre projet sur les différentes possibilités techniques et esthétique qui s’offrent à vous pour le mener à bien. Initiés ou débutants, venez vous initier en petits groupes au modelage sur colombins, au pincé et à la plaque pendant les séances hebdomadaires.
Il est également possible d’expérimenter la fabrication de moules, et d’aborder le plâtre et l’estampage en pratique complémentaire. Partager vos envies, vos idées et venez vous faire plaisir !

Ateliers hebdomadaires : les mardis et mercredis de 18h00 à 20h00, hors vacances scolaires et jours fériés.

coopération internationale

Politique ERASMUS de l’École Supérieure d’Art de Lorraine

Depuis près de 30 ans, l’École Supérieure d’Art de Lorraine développe des projets à l’international et est titulaire d’une charte Erasmus depuis 2003. Une excellente connaissance des spécificités et atouts de nos établissements partenaires garantit des mobilités personnalisées en fonction d’objectifs d’acquisition de compétences. Notre situation géographique, frontalière avec 3 autres pays, le Luxembourg, la Belgique et l’Allemagne nous a conduit à privilégier à l’origine les projets transfrontaliers.

+ Lire la suite de la déclaration de politique ERASMUS

 

Mobilité Erasmus
Le programme pédagogique de l’ÉSAL propose un semestre de mobilité internationale au semestre 4 pour les étudiants d’Épinal.

La mobilité peut avoir lieu soit dans le cadre du programme Erasmus soit dans celui de partenariats bilatéraux pour les pays qui ne sont pas éligibles au programme européen.

 

Financement
Les étudiants perçoivent une allocation de mobilité Erasmus dont le montant dépend du nombre de mobilités accordées à l’école par l’agence Erasmus et du nombre de mobilités effectives ainsi que du pays d’accueil. Pour l’année 2021-2022 l’allocation mensuelle a été fixée à:

Pays du groupe 1 : 300 € par mois

Pays du groupe 2 : 250 € par mois

Pays du groupe 3 : 200€ par mois

Une aide complémentaire peut-être également attribuée. Les modalités, ainsi que la simulation du montant peuvent être consultées sur le site : https://www.grandest.fr/vos-aides-regionales/aide-a-mobilite-internationale-etudiants/

La Région Grand Est attribue également des bourses vers les pays non éligibles au programme Erasmus et pour des stages à l’étranger (sous réserve de modifications).

 

Coordonnées de la coordinatrice Erasmus

Eve Demange

+33 3 87 39 61 41

edemange@esalorraine.fr

galerie

L’appartement impérial… « Le Trésor »

workshop JM Bertoyas

L’ÉSAL occupe un appartement célèbre, transformé en salle de cours de plus de 200m2, situé au cœur d’Épinal, au pied d’une tour chinoise, et nommé « le Trésor ». Il fut acheté par Napoléon premier puis offert à son épouse, l’Impératrice Joséphine de Beauharnais, pour ses séjours dans la Cité des Images avant de se rendre aux cures de Plombières les bains.

  •  À deux pas du « Trésor », un ancien pavillon de chasse, lui-même accessible en empruntant les escaliers de la Tour chinoise, défie lui aussi le temps qui passe. Les cours s’y déplacent parfois au printemps au pied des ruines de l’ancienne forteresse d’Épinal.
  • Le Trésor est un lieu ouvert et transversal dans le cursus des étudiants. Il s’articule autour des spécificités de l’école telles que la vidéo, la narration et l’édition. Cet espace de 200 m2 permet aux étudiants de suivre des cours, d’exposer ou de présenter leurs travaux lors des bilans et des diplômes.
  • Il offre la possibilité de travailler avec des artistes dans le contexte de programmes pédagogiques ou de recherche mis en place par les enseignants et dont les étudiants sont les premiers bénéficiaires (ateliers, workshops, séminaires).

équipements spécifiques

– atelier édition, sérigraphie, risographie, façonnage

– atelier de gravure, taille douce, xylographie

– atelier volume, bois et céramique

– atelier multimédia, cinéma d’animation, vidéo

– salle traceur

– atelier tirage photographie argentique

– studio prise de vue

– FabLab : atelier de découpe laser et impression 3D

réseaux

– Cité de l’Image

– ANdEA, Association des écoles d’art du Grand Est

– Association Réseau des Écoles Supérieures d’Art du Grand Est

– Plan d’Est

équipe administrative

Nathalie Filser Directrice de l’EPCC

Étienne Théry Directeur du site Épinal

Célia Chenu-Klein Responsable administrative et scolarité

Carine Esther Responsable documentation, stage et communication

Chloé Guillemart Chargée de communication

Stéphane Sibille Responsable informatique

Jérôme Gravier Responsable logistique

 

professeurs

Abdelilah Chahboune

Alice Marquaille

Allison Wilson

Cyrielle Lévêque

Cyril Dominger

Daniel Mestanza

Frédérique Bertrand

Grégoire Dubuis

Joël Defranoux

Julia Billet

Mélanie Poinsignon

Nina Ferrer-Gleize

Philippe Poirot

Yvain von Stebut

coordonnées

ÉSAL, École Supérieure d’Art de Lorraine — Épinal

15, rue des Jardiniers

88000 Épinal

+33 (0)3 29 68 50 66

 

http://www.esalorraine.fr < Épinal

epinal@esalorraine.fr

 

Réseaux sociaux

LinkedIn EPCC ÉSAL

Issuu EPCC ÉSAL

Facebook — Pôle arts plastiques Épinal et Metz

Vimeo ÉSAL Épinal

Instagram ÉSAL Épinal

 

Newsletter : l’ÉSAL propose régulièrement des évènements ouverts au public : expositions, concerts, conférences, rencontres. Inscription sur le site internet.

effectif

90 étudiants en arts plastiques

13 enseignants

Fort-de-France

Campus Caraïbéen des Arts

présentation

Le Campus Caraïbéen des Arts est l’école supérieure d’enseignement artistique de la Martinique inscrite dans le réseau des 43 écoles territoriales d’enseignement supérieur artistique français.
Créée en décembre 2011, par la Région Martinique, elle constitue un établissement public rattaché à la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM). Elle est placée sous la tutelle pédagogique du Ministère de la Culture et de la Communication.
Actuellement, l’établissement propose aux étudiants un cursus diplômant ayant pour objectif d’assurer la formation de créateurs dans les champs des arts visuels et du design. Il participe à l’espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche dans le cadre du parcours LMD (licence, master,doctorat), assurant la conformité des enseignements aux standards européens.

L’école qui compte actuellement une centaine d’étudiants est habilitée à délivrer deux diplômes nationaux :
– le Diplôme National d’Art (DNA, niveau bac+3) :
– option art ;
– option design :
– mention design graphique
– mention design objet

– le Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP, bac+5 conférant grade de Master) :
option art ;
option art, mention design objet

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design graphique
DNA  option Design mention design objet
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention design d'objet

éditions

Livret d’accueil des l’étudiant.
Brochures relatives aux diplômes et formations dispensées
Catalogue « 1984-2014, Trente ans d’enseignement supérieur des arts visuels en Martinique »

Brochures de présentation des travaux d’étudiants, voyages d’études, diplômes.
Documents pédagogiques.

activités & événements

Expositions, présentation des travaux d’étudiants, conférences.
Accueil d’intervenants, workshops, artistes caribéens, européens et internationaux.

Journée Portes Ouvertes : samedi 26 mars 2019

Journées d’études : jeudi 11 et vendredi 12 avril 2019

coopération internationale

Échanges avec des écoles européennes dans le cadre des programmes Erasmus et accords de coopération d’échange étudiants (Caraïbe, Europe, Amérique Centrale, Amérique Latine).

Institut Buena Vista (Curaçao)
Edna Manley College of Visual and Performing Arts (Jamaïque)

galerie

Galerie « École », en partenariat avec l’artothèque.

équipements spécifiques

Ateliers (photographie, infographie, sérigraphie, gravure, modelage, moulage, matériaux de synthèse, vidéo, céramique, bois, métal) salle informatique, salle de montage vidéo, espace visioconférence, médiathèque, galerie « École », salle de conférence.

réseaux

ANdEA.
Collectivité Territoriale de Martinique (CTM)
Ministère de la Culture et de la Communication
Technopole Martinique
Centre de rencontre Fonds Saint -Jacques
Fondation Clément
Artocarpe (Guadeloupe)
Esad de Valenciennes
Ville de Fort-de-France
Université des Antilles et de la Guyane (UAG)
SERMAC
CMAC- ATRIUM
Centre de Formation de Professeurs
Chambre de Commerce et de l’Industrie de Martinique (CCIM)
Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Martinique (CMA)
Pôle d’excellence MSH (Maison des Sciences de l’Homme) de Paris Nord

équipe administrative

Audry LISERON-MONFILS Directeur-trice d’école supérieure d’art
Eddy Jean-Philippe Directeur des affaires financières
Brice Larcher Responsable communication
Sandrine Dijeont Responsable des ressources humaines
Marie-Claude Ursulet Adjointe à la Direction d’etablissement
Albert Monlouis Responsable technique
Janine Lagarde Assistante de Direction
Géraldine Constant Enseignante de culture générale et chargée des études
Océane Edmond Représentante des étudiants
Shaïda MADINSKA Représentante suppléante des étudiants

professeurs

Hélène Anglionin-Verdan
Martial Bazabas
Hervé Beuze
Jean-Philippe Breleur
Agnès Brézéphin
Jean-marc Bullet
Géraldine Constant
Sophie D’Ingianni
Florent Font
David Gumbs
Raphaëlle Hayot
Frédéric Lagnau
Paola Lavra
Marc Marie-Joseph
Alain Ozier
Bruno Pedurand
Michel Petris
José René-Corail
Henri Tauliaut
Catherine Thiollier
Sonia Tourville
Yannick Verres
Marie-Adèle Vert-Pré

coordonnées

Campus Caraïbéen des Arts
Rue des Artistes, quartier l’Ermitage
97200 | Fort-de-France – Martinique FWI (French West Indies)
tél. +33 (0)5 96 60 65 29
fax +33 (0)5 96 42 64 71
www.cca-martinique.com
contact.cca972@orange.fr

effectif

108 étudiants

Grenoble

École Supérieure d’Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble

présentation

L’École Supérieure d’Art et Design -Grenoble -Valence est une nouvelle école publique d’enseignement supérieur artistique issue du rapprochement de l’École supérieure d’art de Grenoble et de l’École régionale des beaux-arts de Valence.
L’ÉSAD -Grenoble -Valence organise régulièrement des colloques, conférences et présentations d’oeuvres de toutes natures (expositions, performances, concerts, projections,…). Ces manifestations, dont la vocation initiale est pédagogique, sont l’occasion d’inscrire l’école dans le réseau professionnel de l’art contemporain et de l’ouvrir aux publics des villes de Grenoble et Valence et de la région.

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École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble
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École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble
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Revue Form-To - École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Grenoble

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

classe préparatoire

MAPS – Modules en Art Préparatoire pour le Supérieur, Esad Grenoble

Ce module s’adresse aux lycéens et étudiants désireux de s’inscrire aux concours d’entrée aux écoles d’art et en particulier à l’ÉSAD Grenoble-Valence. Au programme de ces 2 cours complémentaires :
– Expérimenter, jouer avec les« accidents », manipuler des matériaux ;
– Acquérir des connaissances techniques (volume, graphisme, peinture…) ;
– Apprendre à développer son propre univers créatif ;
– Découvrir des artistes et faire des recherches théoriques ;
– Présenter et valoriser son travail.

L’objectif de ce module est de solliciter la curiosité, la sensibilité de chacun en apportant un certain nombre de connaissances et en proposant de s’éveiller à la diversité du monde artistique (visites d’expositions, rencontres avec des acteurs du spectacle vivant, etc.).

Planning :
– Cours hebdomadaires : mercredi 16h-19h / jeudi 17h-20h, 3 heures par semaine (dont 1 cours de 2h par mois de fin septembre à fin mars).
– Stages : du 23 au 25 octobre 2017 et du 12 au 14 février 2018 (visites en matinées + ateliers les après-midis).

Enseignants : Jeff Saint-Pierre, Corinne Penin.

Lieu :
Ateliers tous publics de l’ÉSAD Grenoble
3, rue Federico Garcia Lorca – 38100 Grenoble
Tél : 04 76 62 10 99
E-mail : roselyne.cannillo@esad-gv.fr / grenoble@esad-gv.fr
www.esad-gv.fr

Téléchargez la plaquette des ateliers tous publics de l’ÉSAD Grenoble.

programmes de recherche

Art, théorie et pédagogie critique : tirer un enseignement de Craig Owens

Le projet traite de l’articulation entre théorie et pratique dans l’enseignement artistique, en questionnant la manière dont le savoir théorique nourrit et s’intègre à la pratique artistique, et réciproquement. Il prend pour point de départ la figure du critique d’art américain Craig Owens, en retraçant l’influence de son enseignement sur plusieurs artistes qui émergèrent au tournant des années 1980 et 1990. Issu en grande partie de la collaboration menée depuis 2014 avec le MAGASIN – Centre national d’art contemporain de Grenoble, ce programme s’inscrit de manière assez fine dans l’ensemble des recherches et pratiques qui fondent de longue date la pratique de l’ÉSAD autour de la question de la transmission.

Pratiques d’hospitalité

« Pratiques d’hospitalité » est une plateforme de recherche critique et d’imagination politique initiée par Simone Frangi et Katia Schneller et développée en coalition avec les étudiant.e.s de l’ÉSAD. Un site web est dédié à ses activités : https : //pratiquesdhospitalite.wordpress.com/.
Il s’agit d’un programme de séminaires, de workshops et de résidences d’artistes élaborés en partenariat avec l’université et des institutions nationales et internationales. Depuis 2015, PdH a notamment invité Nicolò Degiorgis, Núria Güell, Adelita Husni-Bey, Maria Iorio et Raphaël Cuomo, Övül Durmusoglu, Alex Martinis Roe, Pierre Michelon, Christian Nyampeta, Judith Raum, Beto Shwafaty, Aria Spinelli et mis en place des collaborations avec Université Grenoble Alpes, Centre d’Art Bastille, Cinémathèque de Grenoble, MAGASIN des horizons, Université des Idées – Fondation Pistoletto, Fondation Kadist, CAC Brétigny, MAC/VAL, Université Paris 8, CAP Saint-Fons.
Elle travaille sur l’hospitalité comme un espace politique et éthique de traduction. A partir d’une interpolation de pratiques artistiques, curatoriales et théoriques, elle questionne la validité de processus identitaires concernant la territorialité et la nationalité pour repenser, sous l’angle de la migration et de la transition identitaire les questions d’oppression de genre, classe et race.
Réarticulée à partir de son potentiel politique, la notion d’hospitalité interroge à nouveaux frais le paradoxe occidental de la démocratie et de ses dérives idéologiques pour imaginer une nouvelle modalité de production du commun.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

éditions

L’ÉSAD -Grenoble -Valence réalise régulièrement des éditions (livres d’artistes, catalogues, cédéroms…).

revues

revues

L’ÉSAD -Grenoble organise des workshops avec des artistes, critiques, écrivains, designers invités et des voyages d’études en France et à l’étranger. Elle programme régulièrement des colloques, conférences et présentations d’oeuvres de toutes natures (expositions, performances, concerts, projections,…) et collabore activement avec les structures culturelles de l’agglomération grenobloise et de la région pour l’organisation d’événements. Ces manifestations, dont la vocation initiale est pédagogique, sont l’occasion d’inscrire l’école dans le réseau professionnel de l’art contemporain et de l’ouvrir aux publics de la ville de Grenoble et de la région.
Par ailleurs, l’ÉSAD -Grenoble -Valence fait partie du réseau des quatre écoles supérieures d’art de la région Rhône-Alpes. À ce titre, elle favorise les projets pédagogiques inter-écoles et l’insertion professionnelle des étudiants diplômés.

activité post- ou périscolaire

Cours pour enfants, adolescents et adultes : initiation aux arts plastiques, dessin, peinture, sculpture, gravure, aquarelle, illustration, photographie, volume-installation, histoire de l’art.

coopération internationale

Dans le cadre de l’organisation des études, le semestre 8 est consacré à une mobilité internationale.
Chaque étudiant est invité à partir à l’étranger se confronter aux exigences du monde en effectuant, soit un séjour d’études, soit un stage dans une structure professionnelle.
L’ÉSAD -Grenoble -Valence participe au programme ERASMUS. De nombreux partenariats avec des établissements d’enseignement supérieur internationaux sont mis en oeuvre. Une aide financière est apportée aux étudiants par différentes bourses : Erasmus, Explo’ra sup de la Région Rhône-Alpes et OFAJ – Office Franco-Allemand pour la Jeunesse.
Quelques établissements parmi les partenaires de l’ÉSAD -Grenoble -Valence : University of the arts, Central St Martin, Londres ; Kingston University – Kingston upon Thames ; LUCA – School of Arts, Gand ; ERG/Ecole de recherche graphique, Bruxelles ; Ecole nationale supérieure des arts visuels de la Cambre, Bruxelles ; Muthesius Kunsthochschule, Kiel ; Stuttgart State Academy of Art and Design ; Weissensee Berlin ; HEAD – Haute École d’Art et de Design, Genève ; National University of Arts, Bucarest ; Facultad de Bellas Artes de Valencia (Université Polytechnique) ; Srishti School of art, Design and Technology, Bangalore ; Concordia University, Montréal ; PUC Campinas, Brésil.

galerie

L’ÉSAD -Grenoble dispose de deux lieux d’exposition : la Galerie de l’ÉSAD -Grenoble et la Galerie Xavier Jouvin (48 quai Xavier Jouvin, 38000 Grenoble) présentent régulièrement des projets multidisciplinaires d’étudiants et de jeunes artistes.

équipements spécifiques

L’ÉSAD -Grenoble dispose de tous les ateliers techniques adaptés : elle possède des dispositifs complets tant en ce qui concerne les techniques traditionnelles (dessin, peinture, photographie argentique, impression offset, plâtre, terre, bois, fer), que les techniques les plus récentes (technologies numériques appliquées à la photographie, à la vidéo, au son, au multimédia, PAO). L’ÉSAD -Grenoble dispose également d’un amphithéâtre équipé pour des conférences et projections et d’une bibliothèque spécialisée.

réseaux

ANdEA, ADÉRA, ELIA, ART ACCORD FRANCE.

équipe administrative

Amel Nafti Directrice générale
Inge Linder-Gaillard Directrice du site de Grenoble
Carine Lewis Assistante chargée de la mobilité internationale et de la recherche
Célia Ferrato Chargée de communication
Aurélie Quinodoz Bibliothèque
Nathalie Thévenet Secrétariat pédagogique
Anissa Si Lakkal Secrétariat / accueil
Roselyne Cannillo Secrétariat administratif des ateliers tous publics

professeurs

Joël Bartoloméo
Marc Borjon
Patricia Brignone
Ludovic Burel
Michèle Crozet
Daniel Donadel
Simone Frangi
Éric Hurtado
Bernard Joisten
Frédéric Léglise
François Nouguiès
Antoinette Ohannessian
Béatrice Pereira Gueye
Slimane Raïs
Katia Schneller
Catherine Tauveron

coordonnées

Provisoirement : 5 rue de l’ancien Champ de Mars, Grenoble

25 rue Lesdiguières
38000 | Grenoble
tél. +33 (0)4 76 86 61 30
fax +33 (0)4 76 85 28 18
grenoble@esad-gv.fr
www.esad-gv.fr

effectif

122 étudiants

Le Havre

École supérieure d’art et design Le Havre Rouen | site Le Havre

présentation

L’École Supérieure d’Art et Design Le Havre-Rouen, réunissant les deux anciennes écoles d’art de Rouen et du Havre, est devenue, de fait, le grand établissement d’enseignement artistique du territoire haut-normand mais également un des plus grands établissements culturels de notre région. L’offre pédagogique de l’ESADHaR, campus du Havre, autour de deux grands axes : le design graphique et la Création littéraire (niveau Master, cohabilité avec l’Université du Havre).

DESIGN GRAPHIQUE ET INTERACTIVITÉ – CAMPUS DU HAVRE
Le département Design graphique et Interactivité a pour but de former de jeunes designers qui investiront les champs du design graphique, du multimédia et de l’art contemporain, et qui sauront s’intégrer au sein de l’espace public. Il s’agit tout autant de former un futur professionnel que de participer à la construction de sa personnalité. Le second cycle de ce département se compose de trois parcours qui sont autant de parcours spécifiques au sein du DNSEP Design graphique.

Trois parcours en 2ème cycle:
– Design et Editions
– Design Numérique
– Art, Médias, Environnement (AME)

Ce département forme les étudiants au métier de designer graphique maîtrisant différents domaines et que l’on peut regrouper en cinq grandes catégories :
– Le design d’éditions (livre, presse, publication numérique, hors-média)
– Le design des identités (identités visuelles, design institutionnel)
– Le design numérique (sites Internet, installations interactives, nouvelles technologies, animation)
– Le design d’information (communication visuelle, pédagogie, data design, signalétique)
– Le champ de la création pure destiné à l’exposition (qui se placera aux côtés des autres formes de la création contemporaine).
⇨ Le département Design graphique et Interactivité prépare au DNA et au DNSEP option Design, mention « Design graphique et Interactivité ».

CRÉATION LITTÉRAIRE – CAMPUS DU HAVRE
Le Master de Création littéraire du Havre a été créé en 2012 par l’ESADHaR et l’Université du Havre.Une dizaine d’enseignants et d’écrivains l’animent. Ce Master est la première formation de ce type créée en France et, si d’autres Masters de Création littéraire sont apparus depuis, il reste unique en raison de la cohabitation entre une école supérieure d’art et l’université (les sites étant de surcroît proches géographiquement). Les étudiants du Master de Création littéraire sont invités à intervenir dans de nombreux événements de façon créative, mais aussi pour aller à la rencontre de professionnels du livre et de l’écriture afin de dessiner de la manière la plus professionalisante possible les contours de leur avenir.
Le Master de Création littéraire forme aux métiers de :
– La création littéraire (écrivain, biographe, rewritter, artiste multimédia)
– L’enseignement et la recherche (à travers la poursuite d’un doctorat)- Les métiers de l’édition (qui nécessitent, selon les postes visés, une formation additionnelle plus technique)- Les métiers du journalisme (qui peuvent nécessiter un complément de formation)
– L’animation d’ateliers d’écritures
– Les métiers de la traduction peuvent être enrichis par une formation en création littéraire
– La communication sur différents supports (rédacteur web, chargé de mission, community manager)
– La publicité (concepteur-rédacteur, marketing).
⇨ Le département Création littéraire prépare au Master 1 et 2.

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ESADHaR campus du Havre
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options

Certificat de Didactique de l’enseignement artistique
Certificat de Médiation culturelle
D.U. Médiation de l’art contemporain
Design
Master Lettres et création littéraire

diplômes

D.U. Médiation de l’art contemporain 
DNA  option Design mention design graph. et interactivité
DNSEP  option Design mention design graph. et interactivité
Master Lettres et création littéraire 

troisièmes cycles

Doctorat en Recherche et Création

UN DOCTORAT DE RECHERCHE ET CREATION EN NORMANDIE

Les accords de Bologne, ratifiés en 1999, ont conduit à la mise en oeuvre du schéma LMD (licence-master-doctorat) pour l’enseignement supérieur européen. Dans ce cadre, les écoles supérieures d’art françaises ont connu des évolutions importantes qui ont permis la reconnaissance au grade de Licence ou de Master des diplômes qu’elles proposent (DNA et DNSEP).

Aujourd’hui l’enjeu pour les écoles supérieures d’art repose sur la mise en oeuvre d’un doctorat qui soit en phase avec leur identité et leur pédagogie.

Recherche et pédagogie en écoles supérieures d’art

La pédagogie des écoles supérieures d’art repose sur un double mouvement : d’une part la maîtrise de connaissances théoriques et culturelles dans les domaines de l’histoire et de l’actualité de l’art, de l’esthétique, de la sémiologie de l’art. D’autre part l’approche sensible et l’acquisition des savoirs techniques qui mènent à la création et à la production de formes plastiques. La recherche portée par les écoles supérieures d’art relève de cet aller-retour. Il s’agit d’une démarche de recherche-création, qui allie rigueur intellectuelle et pratique sensible. Elle a pour ambition d’engager une approche d’investigation en considérant que la pensée peut être produite par d’autres médias que l’analyse écrite seule et trouver son expression dans la création artistique en art, en design, en création littéraire, en architecture et dans les formes hybrides.
La thèse de doctorat-création qui s’inscrit dans un cursus artistique devra ainsi consister en une oeuvre nourrie d’un appareil critique et théorique. La création est au centre de la thèse et la forme constitue un enjeu essentiel de recherche.

Ce postulat est assez éloigné de l’orthodoxie d’une thèse universitaire. Aussi beaucoup d’écoles supérieures d’art ont préféré développer leur propre modèle sous la forme de diplômes d’écoles, redoutant la frilosité de l’université devant un modèle innovant qui envisage la recherche en art par la pratique et place l’oeuvre et le processus de création au coeur du travail de l’artiste-chercheur.

La France en retard

Pourtant, bien d’autres pays ont permis le développement de troisièmes cycles alliant recherche et création. La Grande-Bretagne, la Belgique, le Canada ont mis en oeuvre des PhD de recherche-création sur la base d’une double articulation du suivi des chercheurs entre les écoles d’art et les universités. Il en résulte que la France prend du retard dans l’élaboration d’un troisième cycle de recherche en art à même de recevoir une validation européenne au grade de Doctorat.

Le seul exemple en France d’un doctorat de création est le programme doctoral SACRe (sciences, arts, création, recherche). Il est le fruit de la coopération entre l’Ecole Normale Supérieure et les cinq grandes écoles parisiennes supérieures de création (Conservatoire National d’arts dramatiques, conservatoire national musique et danse, école nationale des Arts Décos, Beaux-Arts de Paris, Fémis), réunis au sein de Paris Sciences et Lettres Research University (PSL).

La Normandie aux avant-postes de la recherche-création

En Normandie, les deux écoles supérieures d’art, l’ésam (Caen/Cherbourg) et l’ESADHaR (Rouen-Le Havre), ont rejoint la ComUE Normandie-Université en tant que membres associés en décembre 2017. Le troisième établissement supérieur relevant de la tutelle pédagogique du ministère de la Culture, l’école nationale supérieure d’architecture de Normandie (Ensa), fait partie des membres fondateurs de Normandie-Université.

L’ésam et l’ESADHaR ont proposé à la ComUE de créer un Doctorat de Recherche et Création d’un nouveau genre. Celle-ci en a saisi l’opportunité : le 18 avril 2018, le Conseil des membres de l’école doctorale « Histoire, Mémoire, Patrimoine, Langage » (ED HMPL 558)(link is external) émettait un avis favorable à ce projet porté par les deux écoles supérieures d’art. Le 24 avril, le Conseil des écoles doctorales de la ComUE Normandie-Université confirmait cet avis. Le 25 juin 2018, le conseil académique de la ComUE entérinait officiellement l’ouverture de ce doctorat unique en son genre.
Au niveau national, ce Doctorat représente en effet une innovation considérable pour la région Normandie car il est le seul en France avec SACRe à conjuguer une démarche de recherche et création artistique, qui allie rigueur intellectuelle et approche sensible.

Création d’un Pôle Culture au sein de la ComUE

L’ésam, l’ESADHaR et l’ENSA travaillent à créer ensemble un Pôle Culture au sein de Normandie-Université. Ce Pôle Culture, véritable interface culture-enseignement supérieur, constituera la base sur laquelle reposera ce doctorat. Le partenariat entre les trois établissements de ce Pôle se concrétisera dès la rentrée de septembre-octobre 2018 avec la création de l’Unité de Recherche « RADIAN ».

RADIAN
Recherche – Art – Design -Innovation – Architecture – Normandie

RADIAN constituera, à terme, la quatorzième Unité de Recherche de l’école doctorale HMPL. Elle réunira les chercheurs de l’ésam, de l’ESADHaR et d’une partie des chercheurs de l’ENSA. Cette nouvelle Unité de Recherche qui accueillera les doctorants des trois écoles bénéficiera d’une revue de recherche annuelle intitulée RADIAL qui réunira les fruits de la recherche de cette Unité et des appels à contribution.

Trois doctorants par an seront recrutés, dès septembre 2018, pour une durée de trois ans, soit en vitesse de croisière neuf artistes doctorants inscrits dans ce troisième cycle.

classe préparatoire

Cours de Prépa de l’ESADHaR

Cours hebdomadaire de 4h, avec oraux blancs pour le concours et système de contrôle continu en vue du concours d’entrée.

vae

L’ESADHaR est un centre de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) pour des adultes professionnels qui souhaiteraient valider un DNA ou un DNSEP.
DNA option Art et option Design mention design graphique et interactivité
DNSEP option Art et option Design mention design graphique et interactivité

unités de recherche

ESADHaR Recherche

Plusieurs programmes de recherche se sont développés au sein de l’ESADHaR. Ceux-ci sont regroupés au sein d’une Unité de Recherche intitulée ESADHaR Recherche référencée au sein du Répertoire National des Structures de Recherche, du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, sous le n° 201121938C. La Direction de la Recherche est assurée par Manon Rivière, Directrice des Études, de la Recherche et de l’International de l’ESADHaR. Les co-directeurs de l’Unité ESADHaR Recherche sont deux Docteurs : Tania Vladova (campus de Rouen) et Maxence Alcalde (campus du Havre). Les étudiants de 2e cycle sont invités à participer à des projets de recherche venant enrichir chaque programme. Les programmes de recherche de ESADHaR Recherche se regroupent sous deux axes :

Axe 1 : « Art, nature et société »

  • Le cabinet des écarts singuliers axe sa recherche sur les rapports entre l’art, la nature et le patrimoine.
  • Delta total. L’enjeu de cette agence est une recherche aussi pratique que théorique à propos du parcours des formes et des dynamiques de production. Sébastien Montéro, animateur principal de ce groupe de recherche, a sollicité et obtenu un congé de recherche d’un an (2016/2017) afin de préparer son doctorat.

Axe 2 : « Champs du visible »

  • Edith – programme de recherche soutenu depuis 2014 par le Ministère se la Culture et de la Communication-, s’intéresse à des formes éditoriales reposant sur une économie limitée et à la microédition.
  • Edgar (Acronyme signifiant Exposer le Design Graphique, Actes & Recherches) est un programme de recherche lauréat de la bourse recherche ESADHaR 2017. Il a pour objet d’interroger la pratique de l’exposition du design graphique et de participer à un état des lieux de son actualité, en mettant en place des outils intellectuels et logistiques répondant à sa spécificité.
  • Le laboratoire du voir – programme de recherche lauréat de la bourse recherche ESADHaR 2017. Il aborde différents aspects de la relation au visuel, à travers une pratique plastique soutenue (Fondé en 2015, le Laboratoire du Voir est chargé du commissariat d’Art Sequana 2017).
  • IDeA (Interactivité, Design & Art) se focalise sur la problématique précise de la manipulation, de l’apprentissage, des outils numériques pour la création : graphisme programmé, généré, interactif, installations numériques, publication en ligne.
  • Le laboratoire de recherche en peinture (réseau peinture) se comprend comme un partenariat entre des ateliers de peinture de plusieurs écoles d’art en France et à l’étranger.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

programmes de recherche

Edgar : Exposer le Design Graphique, Actes & Recherches

« Une saison graphique » est une manifestation regroupant des expositions de graphistes dans plusieurs lieux de la ville du Have. Il a semblé opportun de créer un groupe de recherche mêlant plusieurs professeurs de l’ESADHaR et des partenaires fondateurs de la manifestation. Les objectifs sont nombreux : tout d’abord provoquer, aviver la création graphique contemporaine et accompagner les graphistes invités dans la conception de leur exposition. Mais aussi, interroger la pratique de l’exposition du design graphique, participer à un état des lieux de son actualité, mettre en place des outils intellectuels et logistiques répondant à sa spécificité et réfléchir à la position de la ville du Havre dans la création de ces dispositifs.

Édith – Edith recherche, Edith édite, Edith expose

Edith est un laboratoire de recherche initié par l’ESADHaR en collaboration avec le Cneai (Centre National de l’Édition et des Arts Imprimés) et l’Université de Haute-Alsace, Mulhouse. L’équipe est constituée de 13 chercheurs artistes, graphistes, historiens de l’art, historien du design graphique, bibliothécaire, commissaires d’exposition et sérigraphes. Une quinzaine d’anciens étudiants apportent également leur contribution au laboratoire Edith.
L’objet de la recherche a trait aux oeuvres d’art éditées. Edith développe un état des lieux des publications d’artistes et de graphistes des années 1980 à nos jours. Sur le plan géographique, le laboratoire Edith développe sa recherche en Europe ainsi que dans d’autres pays aux pratiques spécifiques et exemplaires en suivant plusieurs routes plutôt que des territoires. Étape par étape, Edith dessine un parcours, sur le modèle des routes commerciales du XVIIe siècle, en élaborant un véritable atlas, dans le but d’identifier les différentes formes éditoriales des publications d’auteurs.
Dès son origine, le laboratoire a associé étroitement la recherche théorique à la recherche artistique – une recherche autant sur l’art que par l’art – considérant qu’il s’agissait là d’une spécificité fondamentale d’un laboratoire initié en école d’art.

Idea – Interactivité, Design & Art

Le programme souhaite initier une collection d’ouvrages qui se focalise sur la problématique précise de la manipulation, de l’apprentissage, des outils numériques pour la création : graphisme programmé, généré, interactif, installations numériques, publication en ligne.

Le cabinet des écarts singuliers

Depuis la fin des années 1960, l’art contemporain a vu se développer des attitudes artistiques cherchant à s’éloigner des espaces de création et de monstration traditionnels. Travaillant hors-les-murs de l’atelier et de la galerie, les artistes ont voulu expérimenter le réel à travers des pratiques dites « contextuelles », « in situ ». C’est dans cette lignée qu’opère le laboratoire, cherchant à interroger le rôle de l‘in situ dans la création actuelle, à comprendre comment se développe cette pratique et quelles interactions s’opèrent entre le site, l’oeuvre d’art et les personnes liées à ces sites.
Le contexte havrais particulièrement riche en transformations urbaines, en traumatismes historiques, en spécificités géographiques (l’estuaire de la Seine) et économiques (développement ininterrompu de la zone portuaire au fil des siècles, migrations de populations) se prête idéalement à ces recherches.
Plusieurs axes de travail se dégagent au sein de ce laboratoire : la friche et les paysages industriels, l’Art/Nature/Patrimoine, l’art et sa médiation.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

éditions

Publications et catalogues liés aux expositions, manifestations et aux productions des ARCS et ateliers pédagogiques.
Actes de colloques et de conférences, livres d’artistes, catalogues, plaquettes, éditions d’artistes (estampes).

revues

revues

Avec ses différents lieux d’exposition et les grands événements qu’elle co-organise avec ses nombreux partenaires (Une Saison Graphique, les conférences « Écoute l’artiste »…), l’ESADHaR est un des grands acteurs culturels normands et s’inscrit dans un environnement riche d’institutions culturelles qui sont autant de lieux de stage possibles pour les étudiants : Frac, musées, centres d’art, galeries d’art, maisons des arts …

activité post- ou périscolaire

Sur les deux campus, l’école propose aussi des Ateliers des Beaux-arts pour favoriser le développement des pratiques artistiques amateurs (dessin, peinture, modelage pour adultes, adolescents et enfants). Elle propose aussi un atelier de préparation aux concours d’entrée des écoles d’art.

coopération internationale

– Participe au programme ERASMUS +
– Partenariats avec une quinzaine d’écoles en Europe.
– Partenariats avec des écoles hors Europe : Brésil, Corée du Sud, Israël.
– Bourses de l’OFAJ-Office franco-allemand pour la jeunesse et de la Région Normandie.
– 5 Voyages d’études en Europe votés chaque année : Londres, Venise, Palerme, Moscou, Porto, Berlin, Madrid, etc…

galerie

– Campus Rouen : Galerie Hus.
– Campus Le Havre : Galerie 65.
– Artothèque, rue Paul Doumer, au Havre.

équipements spécifiques

– Campus Rouen : Gravure, taille-douce, lithographie, sérigraphie, heliogravure, vidéo, photographie, infographie, multimédia, ateliers de volume – céramique, terres cuites, soudure, découpe au plasma.
– Campus Le Havre : Design creative lab, editing lab, fab lab, studio photo et vidéo, informatique/multimédia, bois, reliure, sérigraphie, gravure, atelier son, four à céramique et four à fusion.

réseaux

ANdEA, ELIA.

équipe administrative

Ulrika Byttner Directrice générale
Stéphanie Vallvé Directrice Administrative et financière
Tiphanie Dragaut-Lupescu Directrice des Études et de l’International
Diane Chevallier Chargée de communication et du développement des publics
Nelly Lejeune Secrétaire pédagogique
Cindy Pain Assistante de gestion financière
Marine Leplant Agent d’accueil et de liaison
François Desnoyers Responsable technique et logistique
Tristan Poiré Technicien informatique
Hélène Pitassi Technicienne bois et reliure
Trystan Hamon Technicien impression
Bruno Gavard Assistant technique outils numériques
Emmanuelle Lepeltier Bibliothécaire
Bruno Dubos Agent d’entretien et de surveillance
Hélène Souillard Responsable de l’Artothèque

professeurs

Gilles Acezat
Bruno Affagard
Nicole Caligaris
Sonia Da Rocha
Laurence Drocourt
Helen Evans
Danièle Gutmann
Hansen Heiko
Colette Hyvrard
Jean-Noël Lafargue
Rozenn Lanchec
Anne-Laure Limongi
Yann Owens
Vanina Pinter
Carol Porcheron
Alain Rodriguez
Bachir Soussi Chiadmi
Stéphane Trois-Carrés

coordonnées

Campus du Havre
65, rue Demidoff
76600 | Le Havre
tél. +33 (0)2 35 53 30 31
esadhar@esadhar.fr
http://www.esadhar.fr
Facebook / Esadhar officiel
Blog / www.esadhar.blogspot.fr
Plothr / www.plothr.blogspot.fr
Artothèque / www.artotheque.esadhar.fr

effectif

175 étudiants

Le Mans

École supérieure d’art et de design TALM-Le Mans

présentation

L’École supérieure d’art et de design TALM (Tours-Angers-Le Mans) est un établissement sous tutelle du ministère de la Culture. Elle offre un vaste éventail de formations : en art, en conservation-restauration, en design avec des spécialisations espace, objet, sonore, mécatronique et computationnel, en sculpture, en techniques textiles. L’enseignement y est dispensé par un corps professoral – artistes, plasticiens, photographes, architectes, chercheurs, designers, théoriciens, conservateurs-restaurateurs, etc. – dont les qualités pédagogiques se doublent de talents et de compétences multiples.
Grâce à son vaste réseau partenarial dans les territoires régionaux, nationaux et internationaux, TALM permet à ses élèves de découvrir l’univers pluriel de l’art et du design contemporain, de la conservation-restauration, d’effectuer des stages dans le monde entier et de préparer avec efficacité leur insertion professionnelle.
L’établissement accorde une attention toute particulière à la recherche dans les disciplines de la création dont il sait maîtriser les enjeux et relever les défis. Singulière, attentive à la qualité de ses enseignements et soucieuse d’anticiper l’avenir de ses élèves, l’École supérieure d’art et de design TALM se pose comme l’un des acteurs essentiels de l’enseignement supérieur public artistique en France

L’offre de formation de TALM

L’organisation en trois sites de TALM est une chance qui permet aux élèves d’éprouver de multiples médiums, d’ouvrir des voies nouvelles, d’expérimenter des techniques. L’enseignement à TALM, qui articule expérimentation, théorie, pratique et recherche, est assuré par des professionnels de haut niveau, artistes ou théoriciens. Les élèves sont accompagnés vers la gestion autonome de leur engagement artistique afin de pouvoir construire un parcours singulier qui prend en compte l’aspiration artistique, les enjeux théoriques et les besoins techniques d’une création. Depuis 2011, TALM a intégré le système LMD (licence, master, doctorat) inscrivant ses formations dans le cadre de l’espace européen de l’enseignement supérieur. Le rayonnement des élèves à l’international, l’insertion professionnelle et la recherche dans les disciplines de la création irriguent le projet pédagogique de TALM.

 

Journées Portes ouvertes

>Vendredi 2 février et samedi 3 février 2024

Horaires et programme sur esad-talm.fr

 

Concours d’entrée en 1re année Art ou Design

> Épreuves théorique et pratiques : 6 et 7 avril 2024 en distanciel
> Entretien devant le jury : le 17 ou 18 avril 2024 à TALM-Angers

Sujets à télécharger sur esad-talm.fr à partir du 4 avril 2024

1/5
(c) Esba TALM
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Programme de recherche Grande Image - École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans
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Programme de recherche Synthetic - École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans
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Programme de recherche Synthetic - École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans
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École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans | site Le Mans

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art, mention Art en géo-matériaux
DNSEP  option Design mention Design sonore
DNSEP  option Design mention Design computationnel & mécatronique
DNSEP  option Design mention Design & Territoires

classe préparatoire

Classe préparatoire de l’École d’arts du choletais

Convention avec l’École supérieure d’art et de design TALM

La classe préparatoire

34 heures de cours hebdomadaires sont dispensées de septembre à mai : cours d’anglais, dessin, histoire de l’art, art contemporain, volume, arts appliqués, estampe, création assistée par ordinateur, atelier de recherche, couleur, photo, rencontres avec des professionnels de la création et d’anciens étudiants de l’école. L’équipe pédagogique est composée de plasticiens ou critiques d’art. Des bilans trimestriels sont rendus aux étudiants sous forme d’un bulletin rempli par l’ensemble des professeurs et de la direction. Un oral blanc devant un jury composé de professeurs de l’école, de la direction, d’un artiste invité est organisé en mars.

L’étudiant est invité à expérimenter l’interdisciplinarité et à approfondir les domaines du design, du graphisme, de l’architecture, du cinéma et de la littérature, autant de pratiques qui nourriront ses futures productions personnelles.

https://www.cholet.fr/download/down/eac_livret_etudiant.pdf

programmes de recherche

Grande Image

Né de l’expérience de pratiques d’artistes contemporains, de la préoccupation de l’urbain, de l’art à l’échelle du paysage, d’une réflexion sur le contexte de l’art, d’une idée pédagogique au sein de l’école d’art et d’un contexte urbain favorable et de partenariats forts, Grande Image est un projet qui a fait se rejoindre en près de trois ans des questionnements et des partenaires engagés. Le développement de Grande Image a conduit à la formation d’un réseau de contacts et d’un groupe de travail qui est désormais constitué de manière formelle, en réunissant des participants tant du côté de la pratique artistique que de la réflexion théorique sur l’art, l’image et la ville.
Porté par l’école supérieure des beaux-arts, Grande Image a élargi son rayon d’action à d’autres partenaires en France et à l’étranger. Son développement tant sur le plan théorique que de la production d’expériences et de travaux artistiques a nécessité la mise en place d’un programme de recherche construit et coordonné. Ce programme complète et enrichit le territoire de travail développé au sein de l’école pour rejoindre une réflexion sur le statut de l’image dans l’art contemporain, sur les relations entre art et contexte urbain, entre art et technologies spécifiques, en particulier numériques, et approfondir le regard sur les productions contemporaines qui mettent en jeu l’ensemble de ces questions.

Synthetic

Le programme de recherche Synthetic vise à interroger l’impact du computationalisme sur les modes de productions et de travail dans nos sociétés technologiques, précisément dans le domaine de l’art, du design et de l’architecture. Cet impact est surtout compréhensible comme climat d’innovation radical, théorique et pratique, dans tous les domaines où le mode computationnel provoque une convergence des connaissances (symboliques, calculatoires, et expérimentales). Synthetic propose ainsi de réunir différents acteurs (académiques, scientifiques et industriels) et envisage la production dans le design et l’architecture sous l’angle de l’automation, de la vision par ordinateur, des matériaux avancés et des sciences cognitives.
Un des objectifs majeurs du programme est de dissoudre l’idéalisme qui gouverne trop souvent les recherches sur le numérique, ou ce qui accompagne la fascination banale de l’élément technologique transporté hors de son champ, et ne peut dès lors considérer les conséquences véritables dérivant d’un usage généralisé des calculateurs sur la formation des savoirs, sur les conditions de production et sur la création de valeur. C’est dans une perspective réaliste qui ne peut exclure la gageure d’un déterminisme technologique, que Synthetic tente à travers des expériences collectives comme des workshops, des colloques, des plateformes de création expérimentales ou la réalisation de prototypes, de percevoir les effets concrets de l’ordinateur sur les formes (objets, environnement et symboliques), sur le travail et son organisation, et sur les coûts de fabrication.
Synthetic a une constitution ouverte et collaborative, dans un contexte où culture, technique, travail et politique sont liés par l’ordinateur.

éditions

Actes des colloques, livres d’artiste, dépliants pour les expositions.

activités & événements

Voir l’actualité des expositions et événements en ligne

activité post- ou périscolaire

coopération internationale

TALM élargit chaque année son envergure internationale en développant de nombreux partenariats avec des écoles d’art et des institutions étrangères. L’établissement offre de multiples possibilités de séjours d’études à l’étranger. Les programmes d’échanges s’inscrivent dans le cursus normal de l’étudiant et sont proposés en priorité aux étudiants de quatrième année. Le séjour d’études dans une école étrangère oblige à confronter les premières ébauches d’un projet personnel à d’autres enseignants, d’autres milieux pédagogiques et culturels. Les trois sites de l’école signent des conventions bilatérales Erasmus pour la mobilité de leurs étudiants et de leurs professeurs et ont également des partenariats privilégiés avec des institutions hors Europe.
Établissements partenaires ERASMUS
Établissements partenaires hors Europe

galerie

La galerie de l’école dispose d’une salle d’exposition d’une surface d’environ 130m2 avec une hauteur sous plafond de 7 m. Les caractéristiques dimensionnelles de son architecture permettent à cette salle d’exposition d’être investie par des oeuvres de très grand format. 3 à 4 expositions annuelles y sont organisées. Elles rendent compte de l’actualité de la création artistique en art et design, entretenant en permanence une articulation avec les objectifs pédagogiques et de formation de l’établissement. Cette même salle est également utilisée lors des projections sonores ou concerts de musique expérimentale ainsi que lors des performances et des projections expérimentales interactives Grande image en immersion.

équipements spécifiques

Dessin, peinture, sculpture, gravure, typographie, moulage, bois, métal, céramique, fonte, photographie argentique et numérique, vidéo, son, infographie, bibliothèque, vidéothèque, Internet, radiophonique/numérique, robot 6 axes.

réseaux

ANdEA, Art Accord France, ELIA, Institut français, OFAJ Office franco-allemand pour la jeunesse.

_Partenaires universitaires
École nationale supérieure de création industrielle (ENSCI – Les Ateliers), Ecole nationale supérieure d’ingénieurs du Mans (ENSIM), École supérieure des géomètres et topographes (ESGT), Institut européen d’acoustique, Institut technologique européen des métiers de la musique (ITEMM), Laboratoire d’acoustique de l’Université du Maine (LAUM), Université du Maine, Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique(IRCAM),
_Partenaires artistiques et culturels
La Fonderie – Théâtre du Radeau, Les Quinconces – L’espal, scène conventionnée- théâtres du Mans, Centre d’art du Carré, CAUE Maine et Loire, CAUE de la Sarthe, FRAC Pays de la Loire, Île de Baure – Ménitré, La Maison de l’architecture – Centre
_Partenaires entreprises
ABB, Colart, ETC, 3D System France, Setram, PSA Peugeot-Citroën, Rairies-Montrieux

équipe administrative

Marie-Haude Caraës Directrice générale TALM
Christian Morin Directeur TALM-Le Mans, Directeur adjoint TALM
Aïcha El Hadj Responsable administrative
Diane Debuisser Responsable Pédagogique
Léa Garnier Chargée de l’accueil et des cours publics
Adham Bnibourk Chargée de communication
Marie-Yveline Larrea Bibliothèque
Benoît Charron Technicien informatique
Cyrille Charretier Responsable Technique

professeurs

Felix Agid
Rodolphe Alexis
Marta Bakowski
Anne Bariteaud
Jean Bonichon
Amaël Bougard
Fabien Bourdier
Laura Brunellière
Juan Sebastian Camelo Abadia
Marie-Laure Cazin
Olivier Chouteau
David-Michaël Clarke
Christophe Domino
Dettie Flynn
Mathilde Ganancia
Ludovic Germain
Baptiste Jopeck
Olivier Houix
Annie Hubert
Ianis Lallemand
Ronan Le Régent
David Liaudet
Miguel Mazeri
Rachel Rajalu
Noémie Sauve
Claire Trotignon
Natsuko Uchino

coordonnées

28 avenue Rostov-sur-le-Don
72000 | Le Mans
tél. +33 (0)2 72 16 48 78
contact-lemans@talm.fr
esad-talm.fr

effectif

230 étudiants

Le Port

École supérieure d’art de La Réunion

présentation

L’École Supérieure d’Art de La Réunion est un établissement d’enseignement supérieur artistique francophone, le seul dans la zone de l’océan Indien, sous tutelle pédagogique du Ministère de la Culture et accrédité par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Située au carrefour des cultures et civilisations, entre l’Afrique, l’Asie et l’Europe, l’École Supérieure d’Art de La Réunion est un creuset à l’image de l’île de La Réunion.

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options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

unités de recherche

Laboratoire APILAB (laboratoire Arts – Paysages – Insularités)

Depuis 2018, la recherche à l’ÉSA La Réunion est structurée par une unité de recherche dénommée APILab. C’est un laboratoire – une des représentations de l’île pour les chercheurs – qui tresse ensemble Arts, Paysages et Insularités, en relation avec les spécificités de l’île : sa géographie et sa géolocalisation, ses histoires géopolitique, économique et sociale et son imaginaire.
Les questionnements de APILab, artistiques, esthétiques et critiques se fondent dans le territoire de La Réunion, un monde créole aujourd’hui mondialisé dans un espace physique toujours clôs et toujours en mouvement car volcanique. Mais ils sont aussi ouverts. Le volcan, sa science et son imaginaire est un thème de nombreuses représentations qui relie de nombreuses îles entre elles, par exemple. Ils sont ouverts plus généralement, car les projets menés, en art et sur l’art, visent à explorer l’île de la relation et de la complexité avec ces notions-outils de « paysage(s) » et « insularité » dans leurs dimensions conceptuelles, scientifiques et artistiques.
APILab prolonge la plateforme de recherche expérimentale API (Arts, Paysages, Insularités), créée en 2013. La mention “Paysages” a été l’ élément structurant de la recherche à l’ÉSA La Réunion et déterminant dans son habilitation à délivrer le DNSEP dès 2004, année où émerge la première plateforme de recherche “Art & Science sur le paysage”.

Comprendre le paysage (Extrait de la présentation du séminaire tenu à L’ESA RÉUNION – 7 mai 2022) “Le paysage est une production de l’activité humaine, dans sa dimension esthétique et dans les modalités d’aménagement d’un territoire. Sa formation est due à des modes de vie et à une organisation de la société. La seule traversée d’un lieu peut en changer la forme. Le paysage, en tant que marqueur esthétique d’un pays, est généralement le fait d’une organisation collective sédentaire. Habiter un pays, c’est habiter un type de paysages. L’espace se teinte ainsi d’une dimension affective ; il mobilise des émotions, c’est-à-dire une esthétique que nous cherchons à lire davantage comme catégorie politique. Il n’y a pas d’esthétique innocente, il n y a pas de « paysage vierge ». Le paysage apparaît avec les manières d’habiter. Il peut être bouleversé, modifié par des catastrophes naturelles et décisions sociopolitiques et devenir ainsi méconnaissable, autre. Une forme d’inquiétude peut le traverser, car un familier (le pays formé par nos habitudes sédentaires) a été défiguré.” Les interactions et les interrelations entre le paysage et l’humain font l’objet de la recherche deAPILab à travers ses deux axes : « Mémoire, histoire et créolisations india-océanes » et « Pensées plastiques des insularités », axes caractérisés par leur perméabilité.

programmes de recherche

Mémoire, histoire et créolisations india-océanes

On n’habite jamais sans être habité

La Réunion est une montagne dans la mer dont les pitons constituent les points les plus saillants d’un territoire plus vaste, immergé et interconnecté. Son histoire est celle d’un espace d’interdépendance, d’hétérogénéité, de mouvance et de fabrication. L’axe de recherche « Mémoire, histoire et créolisations india-océanes » propose de sonder l’épaisseur du temps présent afin d’interroger « l’écosystème culturel » de l’île en portant un regard sur la construction des récits et ce qui en a été évacué pour révéler sa dimension cachée, l’espace souterrain et sous-marin, les interstices, les marges, etc. Par la recherche en art, il s’agit de questionner la créolisation comme processus de création et comme possibilité d’émergence, le rapport à l’histoire et au patrimoine, notamment à travers le document, l’archive, la littérature et le champ des études postcoloniales, mais aussi ouvrir d’autres perspectives en considérant la mémoire du corps (performance, danse, chant, fonnkèr, rituel). Le paysage est ici envisagé comme un médium, c’est-à-dire un processus et une interface où se créent des interactions et des codes culturels.

Pensées plastiques des insularités

Projet d’élaboration d’une « carte mentale » des représentations îliennes

« L’œuvre d’art est un objet plastique produit par une pensée plastique distincte de la pensée technique ou scientifique. » Pierre Francastel, Art et technique aux XIXème et XXème siècles, Éd.

Denoël/Gonthier, 1972, p.108

J’ai une image de l’île en tête, celle d’un labyrinthe jouant de sa situation géographique et de sa topographie, naturel et culturel, lié à son histoire et à sa construction sociale. Pour comprendre l’île, la représentation du corps humain insulaire territorialisé – spécifiquement celui du corps réunionnais, individuel et social – paré d’un vêtement occidental, sur une peau indienne ou asiatique qui recouvre une chair intérieure de l’Afrique noire (idée empruntée à G. Chopinet), nous immerge déjà dans une île de la complexité. Une île qui s’est faite par croisements de juxtapositions. Il s’agit de mener et partager des recherches en art et sur l’art qui travaillent la question de nos représentations des îles, en général, de notre territoire insulaire en particulier , celui-ci en interrelations avec un archipel India- océanique et sa métropole française et européenne. Une île produit-elle des formes qui sont spécifiques aux représentations de son insularité et de son îléité ? Espace clos – « en discontinuité terrestre -, l’île est d’emblée signifiante de la relation.

– En quoi les œuvres, leurs formes, font-elles part de cette relation ?

– Comment les représentations et expressions sensibles témoignent de ce « processus géographique d’interaction régionale « ? (In : Etude de l’insularité – p.11 – Persée.fr)

– Comment les représentations de l’insularité et de l’îléité influent sur les expressions et les génèrent ? Les œuvres en retour, nous informent-elles, sur nos manières d’habiter un territoire insulaire ?

Ce sont quelques questions déjà de la recherche qui nécessite observation des productions sensibles. Parce qu’au départ espace clos, l’île est devenue un lieu privilégié pour les chercheurs. Elle est un laboratoire. Cette représentation moderne semble susciter un regain d’intérêt dans de nombreux champs d’études dont l’art avec des artistes qui travaillent ensemble art, science et poésie.

éditions

Une revue annuelle : Magma présente les états de la recherche.

vae

DNA option Art
DNSEP option Art

activité post- ou périscolaire

Cours de pratiques amateurs.

coopération internationale

L’ESA Réunion entretient des partenariats dans le cadre du programme Erasmus+ avec les établissements suivants :·
– Escuela de Arte de Oviedo (Espagne)
– Escuela de Arte y Superior de Diseno de Alicante (Espagne)
– Universitat Politecnica de Valencia (Espagne)·
– Facultad de Bellas Artes, Université de Castilla-La Mancha, Cuenca (Espagne)·
– Ecole Supérieure des Arts Saint-Luc, Liège(Belgique)·
– Ecole Supérieure des Arts de l’Image Le75, Bruxelles (Belgique)·
– Hochschule für bildende Künste Hamburg (Allemagne)·
– Universität Kassel (Allemagne)·
– Staatliche Akademieder bildenden Künste Karlsruhe (Allemagne)·
– Academia Albertina delle belle arti diTorino (Italie)·
– Akademie derbildenden Künste, Vienne (Autriche)·
– Cardiff Metropolitan University (Grande Bretagne)·
– Nottingham Trent University (Grande Bretagne)·
– Norwich Universityof the Arts (Grande Bretagne)·
– Kunsthøgskoleni Oslo, Académie nationale des Arts, Oslo (Norvège)·
– Listaháskóli Íslands, Académie d’art d’Islande, Reykjavík (Islande)·
– Ecole des Beaux-Arts d’Athènes/ Ανωτάτη Σχολή Καλών Τεχνών (Grèce)
– Université de Lisbonne, Faculdade de Belas-Artes (Portugal)

Hors Europe, l’ESA Réunion a signé des conventions avec les établissements suivants :·
– Escuela de artes del estado de Jalisco (Mexico)·
– Université Fédérale de Rio de Janeiro (Brésil)·
– Université du Québec à Montréal (Canada)·
– Durban Institue of Technology (Afrique du Sud)
– ISARC Maputo (Mozambique)·
– University of the Witwatersrand de Johannesburg (Afrique du Sud) (convention en attente d’un renouvellement)

L’ESA Réunion travaille actuellement sur des partenariats avec les établissements suivants :·
– Potti Sreeramulu Telugu University, Hyderabad (Inde)·
– Mahatma Gandhi Institute Mauritius (Maurice)

équipements spécifiques

Infographie 2D et 3D, gravure, lithographie, photographie, vidéo, céramique porcelaine, peintures et matériaux (fer, bois, composite…).

réseaux

Partenariats sur le territoire :

Cités des Arts, Musée Léon Dierx, Artothèque, Frac Réunion, Lerka, La Kour, Musée Stella Matutina, Musée MADOI, Terra Incognita, Documents d’artistes La Réunion, La Box, Association Praxitèle, Tropical Drawing, Réunion Métiss, La Friche, La Raffinerie, Université de La Réunion.

Partenariats au niveau national :

ANdÉA, TALM, ENS Paris Cergy, ENS Louis Lumière, Université de Mayotte.

Partenariats au niveau international :

École Supérieure d’Art de Maputo (Mozambique), Université de Moroni (Comores), Université de Durban (Afrique du Sud), Mahatma Gandhi Institute (Maurice), École d’art des Seychelles, Fondation H (Madagascar), Alliance Française de Chennaï, Pondichéry et New Delhi (Inde).

équipe administrative

Thierry Gangate Président
Julien Cadoret Direction
Isabelle Ponamalé Secrétariat général
Frédéric Mary Direction des études
Harry Chereau Comptabilité
Philippe Lebon Responsable Systèmes d’Information
Béatrice Orrico Vie scolaire
Sophie Euphrosine Secrétariat de Direction
Caroline Dickinson Relations Internationales
Marina Menavava Bibliothèque
Jean-Pierre Filain Ateliers et bâtiments
Yannick Chane-Fui Ateliers et bâtiments
Sophie Michel Ateliers et bâtiments
Alexis Poncharville Acceuil et surveillance
Désiré Gilboire Acceuil et surveillance

professeurs

Maud Marique Écriture / Édition
Mounir Allaoui Images / Mouvements
Cédric Mong-Hy Culture générale
Stéphanie Hoareau Dessin
Sasha Nine Espace objet
Leïla Quillac Esthétique et théorie des arts
Colette Pounia Histoire des arts
Diana Madeleine Histoire de l’art contemporain
Esther Hoareau Intermédias
Reed Esslinger Anglais
Nicolas Gérodou Littérature / Art et paysage dans l’Océan Indien
Simon Teroy Modèle vivant
Christophe Dennemont Peinture
Jean-Marc Lacaze Pratiques performatives
Thierry Rivière Volume
Migline Paroumanou Céramique
Pascal Arlandon Estampe
Kelly Nikoly Infographie
Reynald Alaguiry Photographie
Tony Houziaux Son
Patrice Dijoux Vidéo

coordonnées

102 avenue du 20 décembre 1848, BP 246
97826 | Le Port
Île de la Réunion
tél. +33 (0)2 62 43 08 01
fax +33 (0)2 62 43 08 02

sophie.euphrosine@esa.re
direction@esa.re
http://www.esareunion.com

effectif

110 étudiants

Limoges

École nationale supérieure d’art et de design de Limoges

présentation

L’École nationale supérieure d’art et de design de Limoges est l’une des dix écoles nationales supérieures d’art placées sous la tutelle directe du ministère de la Culture. Elle délivre deux diplômes en option Art et en option Design d’objet : le DNA (bac + 3 valant grade licence), et le DNSEP (bac + 5 valant grade master).

Elle propose également deux mentions : céramique et bijou contemporain.
Dotée d’un matériel technologique de pointe et d’une équipe pédagogique pluridisciplinaire, elle articule art et technique, savoir-faire, recherche et mise en œuvre. Elle s’est dotée depuis 2015 d’un laboratoire de recherche et elle est partenaire de l’Université dans la formation du master Création Contemporaine et Industries Culturelles (CCIC) et pour les thèses du 3ème cycle.
Elle invite chaque année une cinquantaine d’artistes, théoriciens, chercheurs, praticiens à l’occasion de conférences et de workshops. Ce maillage de connaissances et d’approches est porté à l’international dans le cadre d’échanges avec la Chine, la Finlande, le Portugal, l’Allemagne, ou encore le Japon.

Sur 7500 m2, les 200 étudiant·es reçoivent un enseignement dispensé par des artistes, designers, philosophes, historiens ou critiques d’art, et par des professionnels qui transmettent leur savoir et leur savoir-faire dans une politique d’échanges et de critiques. Les multiples expériences que mène l’étudiant dans les ateliers où il expérimente des matériaux en privilégiant une démarche éco-responsable (terre, bois, textile, teinture, cuir, etc.), des techniques (photo, vidéo, 3D, etc.), des langages (dessin, peinture, volume, multimédia, bijou, etc.), sont mises en perspective par les cours d’histoire de l’art et du design, des journées et des voyages d’étude et des ateliers de recherche et de création (ARC).

Dans une approche pluridisciplinaire, l’étudiant·e est amené·e à définir et étoffer son expression en apportant sa contribution à la société. Soucieuse de l’avenir de ses alumni, l’école travaille à leur insertion dans le secteur professionnel en proposant des rapprochements réguliers avec l’écosystème de l’économie culturelle régionale et nationale.

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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue extérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier porcelaine - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue intérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier volume - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier bijou - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier volume - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Atelier textile
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Ensad Limoges - workshop Dessin spacial et re-peintures
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Ensad Limoges - workshop I-matériel
15/21
Ensad Limoges - workshop Mais si on danse
16/21
Ensad Limoges - workshop Upcycling
17/21
Ensad Limoges - workshop Désirer Dessiner Décider
18/21
Ensad Limoges - workshop Le jardin émetteur
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Ensad Limoges - workshop Le jardin émetteur
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Ensad Limoges - Vue intérieure - Crédit photo : Oppic 2022
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Ensad Limoges - Vue intérieure - Crédit photo : Oppic 2022

options

Art
Design

diplômes

– DNA option Art
– DNA option Design
– DNA option Art mention céramique
– DNA option Art mention bijou contemporain
– DNA option Design mention bijou contemporain
– DNA option Design mention céramique

– DNSEP option Art
– DNSEP option Design
– DNSEP option Art mention céramique
– DNSEP option Art mention bijou contemporain
– DNSEP option Design mention bijou contemporain
– DNSEP option Design mention céramique

 

 

éditions

Éditions numériques :
– Arts et techniques 1 Du savoir à l’usage, séquences et organisation de la production entre arts et techniques,
Ed. Naima, 2016
– Arts et techniques 2 Du savoir à l’usage, séquences et organisation de la production entre arts et techniques,
Ed. Naima 2016
– Pendant et après Foucault…Ed. Naima, 2016
– Céramique et espace urbain. De la définition de l’espace urbain aux modalités d’intervention du médium céramique, Ed. Naima, 2016
– Industrie(s) culturelle(s), travail et création, quelques figures pour penser leur actualité, Ed. Naima, 2016
– Psychanalyse et industries culturelles, Ed. Naima, 2016
– La céramique comme expérience, vol. 2, Journées d’étude les arts du feu à l’heure actuelle, Ed. Naima, 2017

Editions papier :
– Situations, dérives, détournements. Statuts et usages de la littérature et des arts chez Guy Debord, Perspectives inactuelles #1, Ed. Art Book Magazine, 2017
– Fragments pour Isidore Isou. Entre esthétique , théorie de la connaissance, théologie et politique, Perspectives inactuelles #2, Ed. Art Book Magazine, 2017
– Intérieur / extérieur, design d’objets pour la marque Blossomup, 2016 (expositions 2016/2017)
– Light metal(s) design d’objets de l’ENSA Limoges pour la marque CTIM, 2017
– Une terre sans art suivi de Sortir des plis, Pierre Bergounioux, Ed. William Blake and Co, 2018
– Prix Jeune Talent Végétal design et gastronomie 2018. ENSA Limoges / Fondation d’entreprise Le Delas, 2019
– HOP’ Ensa Limoges année 3 design, 2019
– La céramique comme expérience, éditions Naima, 2019
– HOP’2 L’expérience du sensible, Ensa Limoges avec GHU Paris psychiatrie et neurosciences, le Lab-ah laboratoire de l’accueil et de l’hospitalité, 2020
– Jungle design : le design à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Limoges, éd. Naima /Ensa Limoges, 2022
– 18 DNSEP juin 2022, catalogue des diplômé.es DNSEP 2021/2022, ENSA Limoges, 2022
– 21 DNSEP juin 2023, catalogue des diplômé.es DNSEP 2022/2023, ENSAD Limoges, 2023

activité post- ou périscolaire

Cours publics pour enfants, adolescents et adultes.
Participation au programme de la Fondation Culture et Diversité Égalité des chances en école d’art et de design ;
Participation au dispositif Les Cordées de la réussite, Rectorat, Politique de la Ville ;
Participation au dispositif Chemins de Traverse.

coopération internationale

Une pédagogie ouverte vers l’Europe et le monde dans le cadre du programme Erasmus+ mais également grâce à des voyages pédagogiques, favorise la mobilité des étudiant·es et des enseignant·es.
Allemagne, Colombie, Espagne, Finlande, Norvège, Japon, Portugal, Italie, Suède, Bulgarie, Pologne… sont autant de destinations ouvrant sur la découverte de savoirs et de pratiques venant compléter les enseignements dispensés par l’École.

Le programme Erasmus+ permet à un·e étudiant·e de bénéficier d’une bourse d’étude pour une mobilité reconnue par son établissement d’origine. La Région Nouvelle-Aquitaine soutient également les étudiant·es pour des mobilités étude et stage en Europe et hors Europe en attribuant des aides financières.


													

équipements spécifiques

Ateliers et espaces d’expérimentation.
Les ateliers représentent l’interface indispensable des écoles d’art aux projets pédagogiques. Leur usage est donc le plus souvent réservé aux étudiant·es dans le cadre de la réalisation de travaux en lien avec les projets pédagogiques, mais aussi aux artistes en résidence et invité·es par l’école – parfois aux stagiaires ainsi qu’aux personnes inscrites dans les cours publics. Ces espaces sont sous la responsabilité des responsables d’atelier qui en assurent la bonne gestion en termes d’horaires (affichés à l’entrée) et de maintenance du matériel.

Les ateliers : Atelier bijou · Atelier céramique · Atelier volume · Atelier édition/sérigraphie, lithographie, gravure, typographie · Atelier matériaux souples/textile/teinture · Atelier photographie – vidéo/son · Atelier infographie.

Les espaces d’expérimentation : Laboratoire CCE (Céramique Comme Expérience) · Apocope Phygital Cuir · Espace jardin.

réseaux

ANdEA, ELIA, Erasmus, Pôle européen de la céramique, Réseau Astre en Nouvelle-Aquitaine.
LE GRAND HUIT – Réseau des écoles supérieures d’art publiques de la Nouvelle-Aquitaine.

équipe administrative

Françoise Seince : Direction
Isabelle Caperan : Secrétaire générale
Delphine De Boisséson : Directrice des études et de la recherche
Viviane Raffier : Secrétariat pédagogique
Josiane Pradoux : Communication et programme ERASMUS
Catherine Catinus : Bibliothèque
Karine Archer : Résidences d’artistes
Josette Soury-Zat : Webmestre

professeurs

Nathanaël Abeille · Jonathan Bass · Patrice Blouin · Monika Brugger · Fabrice Caravaca · Vincent Carlier · Yves Chaudouët · François Coadou · Indiana Collet Barquero · Clorinde Coranotto · Fabrice Cotinat · Flavie Cournil · Jessie Derogy · Alain Doret · Corentin Ferbus · Nicolas Gautron · Delphine Gigoux-Martin · Clara Guislain · Jessica Lajard · Ludovic Mallegol · Emmanuel Martin Bourdanove · Pierre-Emmanuel Meunier · Michel Paysant · Ken Peat · Olivier Sidet · Terhi Tolvanen · Camille Vacher · Cécile Vignau · Anne Xiradakis

coordonnées

Campus Vanteaux
19 avenue Martin Luther-King, BP 73824
87038 | Limoges cedex 01
tél. +33 (0)5 55 43 14 00
fax +33 (0)5 55 43 14 01
contact@ensad-limoges.fr
www.ensad-limoges.fr

effectif

200 étudiants

Lorient

École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Lorient

présentation

L’école européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB) – Brest, Lorient, Quimper, Rennes rassemble près de 850 étudiants répartis sur 4 sites géographiques. Elle propose des formations à Bac + 3 et Bac + 5 (équivalence master) en art, design et communication.

Le projet du site de Lorient se construit autour de la notion de récit. Le récit contemporain est caractérisé par l’hybridation des genres, des moyens et des supports. Des genres car il emprunte aussi bien à l’histoire, au roman, à la philosophie, à l’essai, à la poésie, à la psychanalyse, aux sciences humaines, à l’enquête documentaire, au reportage. Des moyens car il utilise textes, images, sons, actions, chorégraphies, objets, environnements pour créer ce qu’il convient désormais d’appeler des expériences narratives. Hybridation des supports enfin, car le même récit se déploie sur différents écrans, sur l’architecture, sur le papier ou encore dans les airs.
L’option Art va accueillir des démarches plus personnelles, construites sur les questionnements individuels du créateur (qui, souvent, en rejoignant des questionnements collectifs, trouvent un public). En cohérence avec le projet pédagogique, l’option art accentue les pratiques contemporaines du dessin, les arts graphiques, la photographie et la vidéo dans un rapport constant aux espaces et aux lieux du récit. La pédagogie y est moins liée à la contrainte externe et vise à développer une autonomie durable dans la production de formes artistiques.
L’option Communication accueillera davantage les créateurs qui se situent comme des intermédiaires, qui mettent leur écriture personnelle au service de projets tiers. Elle est mise en œuvre à Lorient avec un appui particulier sur le design graphique et la création d’images fixes, actives, interactives. En tant qu’auteur, l’artiste s’expose. En tant qu’acteur-trice, il/elle s’investit dans les multiples champs de notre société : l’éducatif, le culturel, le social, l’événementiel, l’institutionnel… Les enseignants stimulent la capacité des étudiants à s’approprier un exercice contraignant (techniques, sujets, formats, commanditaires…), à y répondre en dépassant la commande initiale par une approche personnelle et pertinente.

A Lorient, le DNSEP option art se caractérise par 2 mentions :
– la mention « arts visuels pour le journalisme » est liée à un champ professionnel précis, comme l’indique son intitulé. Il s’agit de concevoir, expérimenter et réaliser les nouvelles formes de journalisme visuel, sonore, à l’heure de la fusion des médias sur les supports numériques.
– la mention « arts et récits » laisse le projet de l’étudiant prendre sa place dans l’ensemble des récits du monde, en lien avec le projet pédagogique du site.

A Lorient en 2021, un nouveau DNA est créé : le DNA option art mention animation-volume. Il s’adresse à toute personne désirant pratiquer les techniques de l’animation-volume. L’accent est mis sur la fabrication des personnages, marionnettes ; les techniques d’animation (ou stop-motion) à proprement parler ; la connaissance du milieu professionnel.

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Atelier de recherche La vida loca, vidéo, son, installation, en partenariat avec le Théâtre de Lorient.
2/3
Workshop, option communication, EESAB Lorient.
3/3
Workshop wall painting avec Frédéric Malette, EESAB Lorient.

options

Art
Communication

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Communication
DNSEP  option Art mention arts visuels pour le journalisme
DNSEP  option Art mention récit
DNA  option Art mention animation-volume

vae

DNA option Art
DNA option Communication
DNA option Design
DNSEP option Art
DNSEP option Communication
DNSEP option Design

unités de recherche

Demain l’océan

L’EESAB, représentée par ses 4 sites sur l’ensemble du territoire breton, est en parfaite cohérence avec l’identité du territoire sur lequel elle se déploie. La Bretagne est une région fortement maritime, disposant d’un littoral de près de 2700 km de côtes. Ce territoire est un terrain de jeu propice pour mener des projets de recherche qui articulent démarche artistique et maritimité. « Demain l’Océan » poursuit les recherches précédemment engagées depuis la création de l’établissement autour de la notion de « Territoires extrêmes » (Géographies variables, A l’Ouest toutes…) en développant davantage les interrelations avec l’espace maritime.
www.eesab.fr/demain-l-ocean

programmes de recherche

L’expérience du récit

Le récit contemporain est caractérisé par l’hybridation des genres, des moyens et des supports. Des genres car il emprunte aussi bien à l’histoire, au roman, à la philosophie, à l’essai, à la poésie, à la psychanalyse, aux sciences humaines, à l’enquête documentaire, au reportage. Des moyens car il utilise textes, images, sons, actions, chorégraphies, objets, environnements pour créer ce qu’il convient désormais d’appeler des expériences narratives. Hybridation des supports enfin, car le même récit se déploie sur différents écrans, sur l’architecture, sur le papier ou encore dans les airs.
» Par-delà le langage, il existe de puissants espaces de sens, d’insoupçonnés espaces de visualité, de tonalité, de gestes, de mimique et de mouvement. Ils n’ont nul besoin d’amélioration ou de justification après-coup par la parole. C’est que le logo n’est justement pas que la prédication, la verbalisation et le langage. Son environnement est significativement plus vaste. Il importe de le cultiver.  »
Gottfried Boehm, « Par-delà le langage ? Remarques sur la logique des images », Trivium [En ligne], 1 | 2008, mis en ligne le 08 avril 2008, consulté le 01 août 2016. URL : http://trivium.revues.org/252
Depuis 2012, l’EESAB propose un séminaire intitulé « L’Expérience du récit ». Artistes, théoriciens, critiques d’art, commissaires d’exposition viennent y présenter leurs pratiques, perceptions, expérimentations autour de la notion de récit, qui fonde le projet d’établissement. Chaque épisode des journées d’études est suivi de la publication d’un ouvrage de différents contributeurs (artistes, théoriciens, enseignants ou étudiants en école d’art), ayant participé ou non aux journées d’études.

éditions

Catalogues d’exposition, actes de colloques ou séminaires.

revues

activités & événements

VOYAGES ET DÉPLACEMENTS
L’école organise régulièrement des déplacements ou voyages d’études pour les étudiants (Biennale de Venise par exemple). Tous les ans, au 1er semestre, un déplacement à Paris est proposé aux étudiants de 1re année, avec un programme de visites (musées, centres d’art, galeries,…)

SÉMINAIRES ET JOURNEES D’ETUDES
L’équipe pédagogique du site de Lorient propose des séminaires ou journées d’études, avec l’intervention d’invités extérieurs (artistes, enseignants, chercheurs de toutes disciplines) :
× Soit à l’occasion de projets communs menés avec d’autres sites de l’EESAB.
× Soit en lien avec le projet d’établissement du site de Lorient. Ainsi, tous les ans depuis 2012, les journées d’études « L’expérience du récit » sont l’occasion d’inviter théoriciens et plasticiens à partager leurs expérimentations ou analyses autour de cette notion de récit, fondatrices du projet pédagogique. Ces journées donnent lieu à une publication annuelle éponyme.

EXPOSITIONS
Dans les murs
La galerie de l’école accueille en moyenne 3 expositions par an. Artistes, collectifs ou galeristes proposent, en lien avec les enseignants, une sélection d’œuvres et se déplacent pour rencontrer les étudiants, animer une conférence ou un workshop en lien avec l’exposition. Cette programmation inclut les expositions liées aux biennales organisées dans l’agglomération de Lorient, les Rencontres photographiques et les Itinéraires graphiques co-fondés par l’école.
Hors les murs
L’école favorise les partenariats afin de permettre aux étudiants d’exposer le plus possible hors-les-murs : galerie du Faouëdic de la Ville de Lorient, médiathèques du Morbihan, galerie Pictura de Cesson-Sévigné (35), lieux de visite et de découverte de la Sellor.

activité post- ou périscolaire

une dizaine de cours et stages pour enfants et jeunes.
une trentaine de cours ou stages pour adultes (dessin/couleur, modèle vivant, volume/sculpture, peinture, photo, atelier de recherche, gravure, histoire des arts.)

coopération internationale

À travers le réseau Erasmus+, conventions d’échanges signées avec de nombreux pays européens.
Autres partenariats internationaux : Université d’Antioquia, Medellin, Colombie ; Province de Nha Trang, Vietnam.

galerie

Galerie de l’école

équipements spécifiques

Auditorium, bibliothèque.
Atelier bois, céramique, métal, modelage, moulage, terre, peinture, photographie prise de vue, photographie laboratoire, gravure, lithographie, sérigraphie, typographie, son, vidéographie, infographie, PAO, image 3D, presse numérique, plateaux de tournage de film d’animation-volume / stopmotion

réseaux

ANdEA, ELIA, Art contemporain en Bretagne.
Le site de Lorient développe des partenariats avec l’Université de Bretagne-Sud (56), l’atelier d’Estienne, centre d’art contemporain (56), le Domaine de Kerguehennec, centre d’art (56), la galerie « Le Lieu » à Lorient (galerie dédiée à la photographie), Hydrophone – scène de Musiques actuelles au Pays de Lorient, le Théâtre de Lorient, T.R.I.O…s, Théâtre du Blavet (56), le musée de la Compagnie des Indes (Ville de Lorient), le réseau des médiathèques de Lorient, la direction de la culture de la Ville de Lorient et la Galerie du Faouëdic, les archives municipales de Lorient, des associations et institutions engagées dans la vie culturelle locale, le conseil départemental du Morbihan (médiathèque départementale, archives départementales, etc).

équipe administrative

Danièle Yvergniaux Directrice générale de l’EESAB
Roland Decaudin Directeur du site de Lorient
Delphine Balligand Expositions et communication
Sandra Leray Secrétariat pédagogique
Claire Travers Bibliothèque
Mireille Pot Secrétariat de direction et comptabilité
Anne-Marie Métayer Accueil et secrétariat des cours publics
Agathe Lazko Responsable administrative
Maël Croquelois Responsable informatique et prêt de matériel
Alexis Beaudet Assistant technique en bâtiment, spécialité bois
Olivier Gouronc Atelier bois, atelier métal et maintenance
François Fravallo Entretien
Frédérique Dupont-Vanneder Accueil, gardiennage

professeurs

Nicolas Barrié
marie Belorgey
David Bideau
Marie Bouts
Daniel Challe
Astrid de la Chapelle
Armelle Corre
Jocelyn Cottencin
Christophe Desforges
Valérie Gallard
Cédric Guillermo
Hannah Huet
Laura La Cagnina
Odile Landry
Yannick Liron
Véfa Lucas
Julie Morel
Georges Peignard
Guy Prévost
Nathalie Prévost-Nikitine
Roman Seban

coordonnées

1 avenue de Kergroise
56100 | Lorient
tél. +33 (0)2 97 35 31 70
http://www.eesab.fr
contact.lorient@eesab.fr

effectif

160 étudiants

Lyon

École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon

présentation

L’Ensba Lyon est installée sur le site des Subsistances depuis 2007. En prise sur les formes et les enjeux actuels de la création, elle vise à faire émerger des talents singuliers et à produire les conditions d’une professionnalisation de haut niveau dans les champs de l’art, du design et de la création. L’École propose les options majeures qui structurent le champ des enseignements artistiques en France, avec plusieurs cursus en art et design.
Au-delà du deuxième cycle, l’école propose un post-diplôme international d’une année à destination de jeunes artistes et un troisième cycle de trois ans à destination de jeunes chercheurs et artistes-chercheurs, structuré autour de deux unités de recherche : ACTH, consacrée à l’articulation entre Art Contemporain et Temps de l’Histoire, et une unité numérique, dédiée aux enjeux esthétiques contemporains soulevés par les cultures numériques.
L’école développe un programme d’expositions dans le cadre du Réfectoire, galerie de l’Ensba Lyon, et une politique éditoriale orientée du côté de la recherche.

1/7
École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
2/7
Rez-de-chaussée
3/7
4/7
5/7
6/7
DatAData - École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
7/7
Marie-Luce Ruffieux, Proto-Histoire de l'Assistant. Avec Fabrice Mabime. Performance, Post-diplôme 2012-2013 - École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design d'espace
DNA  option Design mention design graphique
DNA  option Design mention design textile
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design d'espace
DNSEP  option Design mention design graphique

troisièmes cycles

3e cycle de l’Ensba Lyon

Le 3e cycle est structuré en trois Unités de recherche (UR) actuellement en activité :

Le 3e cycle se déroule sur 3 ans avec possibilité d’extension sur 1 ou 2 années, et est validé par l’obtention d’un diplôme recherche de 3e cycle délivré par l’Ensba Lyon. Les formes et les conditions de soutenance du diplôme sont spécifiques à chaque UR et à chaque projet : celle-ci peut prendre la forme d’une exposition, publication, édition, diffusion, événement, et est accompagnée d’un mémoire de recherche.
Chaque UR fonctionne avec un effectif de 5 artistes-chercheurs bénéficiaires d’une allocation annuelle de recherche. Chacun est administrativement inscrit en tant qu’étudiant à l’Ensba Lyon. Il peut être étudiant de 3ème cycle inscrit dans un autre établissement d’enseignement supérieur partenaire. A ceux-ci peuvent s’ajouter des artistes, plasticiens, théoriciens ou professionnels qui participent pour tout ou partie au programme en tant que « chercheurs associés ».
Un séminaire transversal commun aux 3 Unités de Recherche auxquelles est associé le Post-diplôme, constitue une part importante de la structuration de la recherche au sein du 3e cycle.

post-diplôme

Post-diplôme Art

Faisant partie des dispositifs d’accompagnement des artistes portés par l’Ensba Lyon depuis de nombreuses années, le Post-diplôme art consiste en une année de formation de haut niveau pour cinq artistes, de toute nationalité, aux parcours singuliers dans le domaine des arts visuels.

Le Post-diplôme art de l’Ensba Lyon offre à cinq artistes :

– Une bourse de 4800 € attribuée à chaque participant·e.

– Une résidence disponible dans un appartement collectif sur le site des Subsistances.

– L’accès à toutes les ressources de l’Ensba Lyon.

– Un accompagnement sur mesure.

Chaque session dure l’équivalent d’une année universitaire: d’octobre à juillet.

À Lyon, les participant·es bénéficient, pour réaliser leurs projets, de l’ensemble des ressources pédagogiques de l’école : enseignements, intervenant·es, bibliothèque/documentation, pôles techniques : édition, photo, images-mouvement, volume, ainsi que le labo nrv (numérique réalités virtualités).

Des contacts et relations privilégiés avec les différentes structures culturelles du territoire sont apportés.

Depuis sa création en 1999, le Post-diplôme art de l’Ensba Lyon soutient les artistes dans le champ professionnel de l’art contemporain. Vingt-deux promotions se sont succédé au sein de la résidence ; parmi eux, on peut citer Katinka Bock, Julien Creuzet, Latifa Echakhch, Benjamin Seror ou Thomas Teurlai…

D’abord piloté par Jean-Pierre Rehm (délégué général du FID Marseille) et Marie José Burki (artiste), puis par François Piron (commissaire d’exposition au Palais de Tokyo à Paris, critique d’art et éditeur), c’est désormais à Oulimata Gueye, commissaire d’exposition et critique d’art, qu’Estelle Pagès, directrice de l’Ensba Lyon, a souhaité en confier la direction à partir de la rentrée 2021-2022.

Statut
Le Post-diplôme de l’Ensba Lyon est un programme indépendant du système universitaire : ce n’est pas une formation diplômante. Une attestation de participation et d’assiduité est délivrée aux participant·es qui bénéficient du statut étudiant·es chercheurs·es. A ce titre, les 5 participant·es doivent s’acquitter de frais de scolarité à hauteur de 450 euros au moment de la confirmation de leur inscription.

Post-diplôme Recherche et Création Artistique

Un post-diplôme Recherche et Création Artistique d’une durée d’un an a été créé conjointement par l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Lyon (Ensba Lyon), le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (CNSMD) et l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT) en 2018.
En 2019-2020 la CinéFabrique (École Nationale Supérieure du Cinéma et Multimédia) rejoint le programme.

Pour qui ?

Ce programme s’adresse à des étudiants de l’Ensba Lyon, du CNSMD, de l’ENSATT et de la CinéFabrique, diplômés de leur établissement ou futurs diplômés (grade Master ou Licence selon le parcours).Prenant acte de la porosité croissante des champs de la création, ce programme est destiné à favoriser le croisement des disciplines artistiques enseignées dans les trois écoles : art et design, musique et danse, théâtre et arts de la scène, cinéma.

classe préparatoire

La classe préparatoire de l’Ensba Lyon

L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon dispense, en complément des cursus d’enseignement supérieur en art et design(s), les enseignements de la classe dite «préparatoire», une formation de base générale pour l’admission aux établissements d’enseignement artistique supérieur. Cette classe est intégrée au réseau national des classes préparatoires publiques au sein de l’association APPEA (Association des responsables des classes préparatoires publiques aux écoles d’art).
Théorique et pratique, l’enseignement comprend environ 35 heures de cours hebdomadaires, dispensés de septembre à mai.
Créée en 2006, la classe préparatoire de l’Ensba Lyon accueille 60 élèves. Ce développement répond à une nécessité de service public et une volonté d’engagement contre les discriminations sociales dans un contexte qui voit se généraliser le passage par la classe préparatoire en amont du concours d’entrée aux écoles supérieures d’art et se multiplier une offre privée à des tarifs ne permettant pas de garantir l’égalité des chances.Les élèves bénéficieront de 1200 m² de surface de travail en plein centre-ville, dans le quartier historique de Saint-Jean à Lyon classé Patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO.
+ d’informations

vae

DNA Art
DNA Design d’espace
DNA Design graphique
DNA Design Textile
DNSEP Art
DNSEP Design – mention espace
DNSEP Design – mention graphique

unités de recherche

ACTH Art contemporain et temps de l’histoire

Depuis janvier 2004, l’Ensba a mis en place un programme de recherche conduit par l’artiste Bernhard Rüdiger qui a pour titre « Art Contemporain et Temps de l’Histoire ».

Origine de la recherche – historique

L’Unité de recherche est née d’une étroite collaboration avec le Centre d’Histoire et Théorie des Arts de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris (CEHTA / EHESS) et le théoricien et historien de l’art Giovanni Careri.
Une première étape de la recherche autour de la question éthique d’une « image juste » du réel a été publiée sous leur direction chez Archibooks à Paris en 2008 : Face au réel : Éthique de la forme dans l’art contemporain. Ce livre rend compte des travaux conduits avec Pietro Montani, André Gunthert, Thomas Schütte, Luciano Fabro, Allan Sekula, Ernst van Alphen et Mieke Bal, en collaboration avec des jeunes chercheurs artistes issus de l’Ensba Lyon et des doctorants de l’EHESS.
L’unité de recherche a organisé en octobre 2008 le colloque Luciano Fabro : l’autonomie de l’artiste – espace nouveau ou dernier retranchement ? et a publié en mars 2010 le livre Luciano Fabro, Habiter l’autonomie / Inhabiting Autonomy, édité par l’Ensba Lyon sous la direction de Bernhard Rüdiger avec les contributions de Bruno Corà, Doris von Drathen, Luciano Fabro, Véronique Goudinoux, Giulio Paolini, Morad Montazami, Émilie Parendeau, Philippe Louis Rousseau, Margit Rowell, Benjamin Seror, Sarah Tritz.

Art contemporain et temps de l’histoire

Le colloque L’histoire mise en forme par le travail de l’art, qui s’est tenu à l’Ensba Lyon en 2009 a défini les axes de réflexion de la nouvelle unité de recherche qui a été constituée autour de la problématique des temporalités de l’histoire, il se propose d’étudier les relations entre certaines productions de l’art actuel et les « régimes d’historicité » qu’il mobilise. En novembre 2011, l’unité de recherche a réalisé une première expérience de mise en forme de ses réflexions avec l’exposition expérimentale Le temps suspendu. Avec des oeuvres des artistes de l’unité, ainsi que « Diorama » de Candice Breitz, « Lunch Break » de Sharon Lockhart, « Wavelength » de Michael Snow et une reproduction de la planche sur le 11 septembre de l’Atlas de Gerhard Richter, et un certain nombre de données, ou de liens, à l’aide de divers documents, visuels et textuels, organisés sous la forme de « tables de matière » ou plutôt de planches d’atlas comme celles qui ont été élaborées par Aby Warburg.Dans le cadre de cette unité de recherche, l’Ensba Lyon a par ailleurs accueilli les séminaires de Georges Didi-Huberman, Alfredo Pirri, Michael Fried, Luc Delahaye, Frédéric Moser et Philippe Schwinger, François Hartog et Ralph Ubl.

L’unité de recherche ACTH a organisé en juin 2011, en collaboration avec l’atelier Les usages publics du passé (EHESS), dirigé par l’historienne Sabina Loriga et la philosophe Isabelle Ullern, le colloque « La question du trauma dans l’interprétation du passé », avec la contribution des Fonds Ricoeur, à la Faculté Libre de Théologie Protestante de Paris.Les séminaires à l’EHESS de 2011 à 2014 ont été consacrés à l’élaboration théorique et au développement du dispositif de Atlas pour développer trois axes de recherche autour de la notion de « temps suspendu ». Une réflexion sur l’histoire et les stratégies artistiques autour du réalisme traumatique, l’opposition organique-machinique et la notion de temps hors de l’histoire, ou temps de l’histoire naturelle. C’est à partir de ces axes de travail que l’unité de recherche a organisé en décembre 2014 un colloque à l’Institut National d’Histoire de l’art à Paris, Le temps suspendu Art contemporain et temps « hors de l’histoire ». Cette rencontre a réuni artistes et théoriciens autour du rapport entre art contemporain et régimes de temporalité historique. Les invités ont contribué à questionner les formes d’art qui, par leurs propres moyens, élaborent la remise en question d’une conception progressive et linéaire du temps historique, aussi bien que du principe de causalité historiciste auquel se sont attachés les grands tournants de l’épistémologie de l’histoire au XXe siècle. Sont intervenus Fabien Giraud et Raphaël Siboni, artistes, Heiner Goebbels, compositeur et metteur en scène, Markus Klammer, Université de Bâle, Michael Snow, artiste, Ralph Ubl, Université de Bâle, directeur de Eikones Bildkritik, Marie Voignier, artiste, professeur et coordinatrice du pôle images-mouvement à l’Ensba Lyon, ainsi que les membres de l’Unité de recherche Luca Acquarelli, Bénédicte Duvernay, Jennifer Lauro Mariani, Thomas Léon, Angela Mengoni, Bernhard Rüdiger.
Le colloque s’est déroulé autour de la présentation d’oeuvres : « Schnittstelle » de Harun Farocki (1995), « La Mesure Minérale » de Fabien Giraud et Raphaël Siboni (2012), « A Journey That Wasn’t » de Pierre Huyghe (2005), « La Région Centrale » de Michael Snow (1971).

La collaboration entre l’Ensba et l’EHESS sous la direction de Bernhard Rüdiger et Giovanni Careri, s’est conclue avec l’édition publiée au mois de novembre 2016 Le temps suspendu, aux Presses Universitaires de Lyon (PUL). Ce livre accueille, organisées selon des tables en forme d’Atlas, outil visuel qui permet de dégager une discussion d’ordre théorique, les contributions de Luca Acquarelli, Yann Annicchiarico, Simon Bergala, Giovanni Careri, Bénédicte Duvernay, Jennifer Lauro-Mariani, Thomas Léon, Angela Mengoni, Morad Montazami, Philippe Louis Rousseau, Bernhard Rüdiger, Eric Louis Santner, Annabela Tournon et Ralph Ubl.
Après 2016 l’unité de recherche a entamé une nouvelle phase de travail fondé sur l’exposition de maquettes et la pratique de conversation. Les expositions Le temps découpé en son lieu qui se sont tenues au Palais de Tokyo à Paris dans le cadre de Vision et au Réfectoire des Nonnes au mois de décembre 2016 ont donné lieu à la publication du livre Découper le temps en son lieu sous forme de conversation orale retranscrite, publié en anglais et français fin 2019.

Post-Performance Future

De la relecture historique de la performance à son re-enactement puis sa dématérialisation
Ce programme de recherche se donne pour objectif de poser les jalons d’une nouvelle pensée, pratique, « inchoactive ». Il s’agit d’envisager ce que la « performativité » et sa critique fabriquent, ses formes et ses tensions. L’objet de la performance ? La performance en tant qu’objet. Qu’en est-il au premier quart du XXIe siècle ? « Le mythe de la co-présence, de l’être ensemble », résiste-t-il à la puissance de l’écran, au confort de la fascination passive ? Quel héritage de cette modernité à l’âge du capteur sensoriel, comment briser le 4e mur lorsque nous constatons que nous sommes l’écran nous-mêmes ? »
La critique n’a fait qu’interpréter la performance, il s’agit de la transformer, et de penser son devenir dans la « performativité » des choses comme l’exprime Jennifer Lacey.
À partir d’un constat sur l’émergence de pratiques issues des expériences du XXe siècle, d’un art du corps, de l’éphémère et de la « co-présence », à partir d’expositions clefs et de discussions avec des artistes tels Dora Garcia, Julien Bismuth, Jean-Pascal Flavien, Paul McCarthy, il s’agit, par le biais de figures et textes fondateurs, de mettre en perspective et prospective cette problématique.
Pour paraphraser Borgès, « Que vaudrait la théorie si elle ne servait aussi à inventer la pratique ? » Pris au sens d’un projet inachevé, celui de la modernité, la post-performance questionne l’âge du « post médium » en ce début de XXIe siècle, entre succession chronologique, postérité ou filiation historique, réemploi (de formes abstraites de leurs contenus) et rupture (comme changement de paradigme ou d’époque).
Apparue à la croisée de la philosophie analytique anglo-saxonne du langage et des champs de l’art et du spectacle, liée à des pratiques de langage, à des actions et à une rupture par rapport à un certain mode de représentation opérée au milieu des années 1950, la notion de performance est polysémique. Il s’agit de questionner ce nom, ce qu’il recouvre, et l’évolution de pratiques liées à son usage. Comment cet art de la performance évolue-t-il et comment évoluera-t-il dans les prochaines années, notamment avec les technologies numériques ? En quoi sommes- nous passés de sa dématérialisation à son « re- enactment » ? Que se joue-t-il ici ? Nous sommes amenés également à aborder les problématiques liées à la trace de la performance, comme l’archivage (oral et vivant), le document, le film, l’objet scénique ou encore la photographie numérique.
Par ailleurs, la question du public comme forme, de l’audience à la fois destinataire et partie prenante (public captif) permettra de questionner une société du spectacle à l’heure du « spectateur émancipé ».

À partir de 8 axes de réflexion, le séminaire de recherche alterne les cours théoriques et les exercices pratiques :
– Body Politic : les nouveaux genres de la performance.
– Objets scéniques : statuts des objets performatifs.
– Le public comme forme : audiomat et soap opéra : nouveaux scripts ?
– Documenter/recréer : le même mais un autre.
– On stage/on line: Hic sed Nunc ? – Anarchives : spéculer sur le reste.
– Cineperformance.
– Espace public, question du commun.

Une équipe de professeurs de l’Ensba Lyon

Marie de Brugerolle
Historienne de l’art, Marie de Brugerolle est commissaire internationale d’expositions et auteure. Depuis 1994, elle travaille au développement de l’histoire de la performance, des années 1960 jusqu’à sa dématérialisation ou absorption dans la société du spectacle au XXIe siècle : « post performance » qu’elle développe dans le cadre du programme de recherche : Post Performance Future qu’elle dirige.
Marie Canet
Docteure en Arts, mention esthétique. Elle est commissaire indépendante et programmatrice. Elle a collaboré notamment avec des institutions telles que le Centre Georges Pompidou, la South London Gallery et la Tate Modern de Londres . Elle est aussi critique et théoricienne du film.

UR numérique Art et Design

L’Unité de Recherche numérique Art et Design Ensba Lyon / ESAD Saint-Étienne accueille des étudiant.es-chercheurs en art et design dont les travaux sont en lien avec la question du numérique.

À l’Ensba Lyon, l’accent est mis sur les recherches en art. Reposant sur la mise en oeuvre de projets issus de ses participants, l’UR accueille des sujets de recherche d’une grande diversité dès l’instant où ils mettent en oeuvre un travail de fond sur une problématique en rapport avec le numérique.
L’UR ne s’interdit aucune hypothèse de travail et invite à aller « ailleurs qu’à l’endroit où » l’actualité numériques semble diriger les problématiques.
L’aspect technique, souvent important en numérique, n’est ni écarté, ni objet de focalisation. Prenant en compte des considérations formelles mais aussi symboliques et culturelles propres à la société numérique, les productions issues de l’UR numérique sont dans un rapport réflexif à la machine considérée comme outils, médium, support d’étude, etc. Un séminaire, programmé bimensuellement, et des rencontres hebdomadaires constituent le calendrier régulier de l’UR numérique. Les étudiant.es-chercheurs ont la possibilité de travailler quotidiennement au labo NRV. Des événements – expositions, conférences, workshops, formations techniques, voyages, etc. – sont organisés au long de l’année.

programmes de recherche

éditions

Éditions Ensba Lyon
Éditions Multiples

revues

revues

Cycle de conférences tous les mercredis.
Colloques et Journées d’études Recherche
Expositions au Réfectoire.
Expositions hors les murs : Jeune création internationale, en collaboration avec le Musée d’art contemporain de Lyon et l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne-Rhône-Alpes, dans le cadre de la Biennale de Lyon

activité post- ou périscolaire

coopération internationale

Avec près d’une cinquantaine d’établissements universitaires partenaires, l’Ensba Lyon a multiplié les partenariats institutionnels confortant l’établissement dans sa reconnaissance et son rayonnement internationaux, permettant ainsi à l’étudiant de parfaire sa formation dans le cadre d’un séjour d’étude semestriel ou annuel à l’étranger ou dans le cadre d’un stage prolongé auprès d’un des nombreux artistes et professionnels participant du réseau artistique de l’Ensba Lyon.
L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon encourage, dans le cadre de son cursus, les mobilités études et stages à l’étranger. Pour ce faire, elle s’inscrit dans différents programmes tant de la Communauté Européenne (Programme Erasmus+), de la Région Auvergne Rhône-Alpes que de différents organismes tels que l’Office Franco-Allemand pour la jeunesse (OFAJ) ou encore le programme d’échanges étudiants BCI (PÉÉ).

galerie

L’Ensba Lyon possède plusieurs espaces d’expositions :

Le Réfectoire des nonnes est la galerie d’exposition principale.
Lieu d’exposition, d’expérimentation, d’apprentissage et de transmission, le Réfectoire affirme sa situation particulière au sein d’une école d’art, en abordant, tant dans son fonctionnement que dans ses événements, certains aspects des modalités de travail et des enjeux à l’oeuvre dans une école d’art. Le Réfectoire est un lieu d’exercice à la fois artistique et curatorial.

L’espace rencontre s’adresse avant tout au public de l’école. Les étudiants (2e cycle Art) investissent régulièrement l’espace mural de grande dimension appelé « le Mur ».

La galerie d’essai est destinée à l’exposition de travaux d’étudiants.

équipements spécifiques

Éditions, numérique (labo NRV, équipement informatique et réseau, ateliers son, image vidéo…), photographie (laboratoire noir et blanc et couleur, argentique et numérique, plateaux de prise de vue, impression image…), volume (decoupe laser, sculpture, bois, métal, fonderie, résine…), Common’s Lab.

réseaux

ANdEA, ADÉRA, ACRA, APPÉA, Adèle-association des lieux de diffusion de l’art contemporain sur Lyon et sa région.

équipe administrative

Estelle Pagès Directrice
Nathalie Pierron Directrice adjointe – études et recherche
Fatiha Bellakhdar Directrice adjointe – ressources
Sophie Bellé Responsable Communication et relations extérieures
Valérie Grondon Responsable Etudes et scolarité
Anabelle Pijot Relations internationales
Corinne Vallin Bibliothèque

professeurs

ANDRADE TUDELA Armando – BALLANDRAS Fabienne – BARTO Eva  – BASTARD Pauline –  BÉGUÉRY Fanny  – BERRY Paul  – BIZZARRI Thomas – BOUTOUX Thomas – BYRNE Derek  – CARRETERO Julien  – CAUBET Jennifer – CHARROIN Amélie  – CHEVALIER Emmanuel  –  CÔME Tony – COURANT Jean-Marie  – DE BRUGEROLLE – DEAU Françoise  – DES MOUTIS David  – DICQUEMARE Sonja – DURAND Philippe – FERRAT Emilie – FOUCHE Florian – FRESPECH Nicolas  – FROMENTY Carole  – GARNIER Alaric – GAYRAUD Agnès – GRAND Gilles  – GUEYE Oulimata – JANOT Guillaume  –  KIEFFER Julie – KOSIAK Géraldine  – LARTIGAUD David-Olivier  – LEBRUN Olivier  – LERTXUNDI  DE PRADO Laida – LUCAS Laurent  –  MESSIEN Malou – MURPHY Kirsten – NOTTELLET Olivier  – OBERTHALER Nick – OLLAGNON Gaspard – PAGEARD Camille  – PAULHAN Camille – PLANO Marianne – POULAIN Pascal  – PRADER Olga – RICHERT Camille – ROMAGNY Vincent  – ROMARIE Nicolas – RÜDIGER Bernhard  – STRATMANN Veit  –  VAN DE STEEG Niek – WELINSKI Patricia  – ZABAT Olivier

coordonnées

8bis quai Saint-Vincent
69001 Lyon
tél. +33 (0)4 72 00 11 71
infos@ensba-lyon.fr
http://www.ensba-lyon.fr

effectif

350 étudiants

Marseille

Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM

présentation

Enseigner la création par la création

L’école des Beaux-Arts de Marseille est un établissement d’enseignement supérieur relevant du ministère de la Culture et soutenu par la Ville de Marseille. L’École délivre des diplômes donnant grades de licence et de Master 2.

Créée par les artistes marseillais en 1752, elle est installée depuis 1969 sur le campus de Luminy dans un ensemble architectural labellisé « Architecture contemporaine remarquable ».
Elle forme des artistes, des designer·euse·s et des créateur·trice·s dans le champ des arts plastiques et visuels.

Membre du réseau L’école(s) du Sud, qui rassemble les écoles supérieures d’art et de design de la Région, l’École a rejoint la conférence régionale des grandes écoles de PACA (CRGE-PACA), fin 2018, et a intégré le programme Égalité des Chances en École d’art et de design, initié par la Fondation Culture & Diversité.

Afin de proposer des formes et des contenus d’enseignement s’adaptant à l’évolution de la création, et forte de ses 5O écoles partenaires dans le monde et de son programme de professionnalisation, l’École s’est dotée de nouveaux outils : une plateforme numérique de haute technologie et des espaces dédiés à la fabrication (impressions, éditions, atelier de fabrication 3D), tout en renforçant ses bases techniques (Bois, métal, sérigraphie, gravure, terre, verre, moulage, peinture, maquette, design, cinéma, photographie, son..) afin d’ offrir à ses étudiant·e·s toute la palette des outils de la création contemporaine.

Depuis mars 2020, Les Beaux-Arts de Marseille et le Conservatoire Pierre Barbizet  sont deux établissements membres de l’Institut national supérieur d’enseignement artistique Marseille Méditerranée (INSEAMM).

Sa classe préparatoire publique aux concours d’entrée des établissements supérieurs d’enseignements artistiques, est membre de l’APPEA (association nationale des prépas publiques aux écoles supérieures d’art).
L’Institut de formation artistique Marseille-Méditerranée regroupe les ateliers publics et les stages de vacances (pratique amateur·e), et le Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI).

Quelques artistes, designer·euse·s issu·e·s de l’École : Mathieu K. Abonnenc (artiste plasticien), Marc Aurel (designer), Richard Baquié (artiste plasticien), Gilles Barbier (artiste plasticien), Cécile Beau (artiste, sculptrice, vidéaste), Louidgi Beltrame (photographe, vidéaste), Amélie Bertrand (artiste plasticienne), Michel Blazy (artiste plasticien), Fouad Bouchoucha (artiste plasticien), César (artiste, sculpteur), Sylvain Couzinet-Jacques (photographe), Olivier Dahan (cinéaste), Amélie Derlon (vidéaste), Samuel Gratacap (photographe), Valérie Jouve (photographe), Anita Molinero (artiste plasticienne), Mountaincutters (artistes plasticiens), Yazid Oulab (artiste plasticien), Marine Peyre (designeuse), Flavie Pinatel (réalisatrice, cheffe opératrice, plasticienne), Gérard Traquandi (artiste plasticien), Flore Saunois (artiste plasticienne), Delphine Wibaux (artiste plasticienne), Mountaincutters (artistes plasticiens), Auguste Carli (Prix de Rome) sculpteur, Adolphe Monticelli (peintre)

Programme Pisourd
Désignés en 2005 « site pilote » par le ministère de la Culture, les Beaux-Arts de Marseille mettent en application des modalités particulières d’accompagnement et d’accueil d’étudiant·e·s sourd·e·s et malentendant·e·s.

SAVE THE DATES

ADMISSIONS 2024-2025

Frais de concours : 37€ uniquement pour les candidat·e·s non boursier·ère·s

 

Concours d’entrée année 1 : 

Le concours est entièrement organisé à distance

  • Du 17 janvier au 03 avril 2024 inclus :  inscription, formulation et confirmation des vœux selon les modalités ParcourSup
  •  Entre le 16 et le 28 avril 2024 : épreuves écrites et dossier artistique
  • Du 14 au 16 mai 2024 : entretien de sélection (en distanciel)

 

Admission en cours de cursus (hors Parcoursup) : 

  • 1er mars 2024 : date limite d’inscription et dépôt du dossier administratif
  • Entre le 2 ou 3 avril 2024 : Entretien en distanciel

 

Admission en classe préparatoire (hors Parcoursup) : 

  • Du 17 janvier au 12 avril 2024 (inclus) : dates d’inscription
  • 17 mai 2024 : présélection
  • Lundi 27 ou mardi 28 ou mercredi 29 ou jeudi 30 mai 2024 : entretien en présentiel pour les candidat·e·s présélectionné·e·s

 

En savoir +

JPO 2024

Samedi 03 février 2024 : Journée Portes Ouvertes de l’école des Beaux-Arts de Marseille (programme à venir)

En savoir +

1/3
Programme SonArt © Rolf Julius, « music for the eyes », Photo Frac Limousin - École supérieure d'art et de design de Marseille-Méditerranée
2/3
© Maria ZITAKI Vide Blanc - École supérieure d'art et de design de Marseille-Méditerranée
3/3
Classe préparatoire © cecile Braneyre /ESADMM - École supérieure d'art et de design de Marseille-Méditerranée

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design
Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI) 

équipements spécifiques

Programme Pisourd
Désignés en 2005 « site pilote » par le ministère de la Culture, les Beaux-Arts de Marseille mettent en application des modalités particulières d’accompagnement et d’accueil d’étudiant·e·s sourd·e·s et malentendant·e·s.

Le programme comprend des actions pédagogiques rassemblées dans PiLAB CRÉATION, et des dispositifs spécifiques permettant l’accès des étudiant·e·s sourd·e·s aux études d’art et de design. L’objectif général est de construire des pistes de réflexions artistiques, linguistiques et sociales, conditions véritables d’une mixité culturelle sourde et entendante.

L’École met en place un accueil téléphonique (standard : 04 91 82 83 10) pour les personnes sourdes et malentendantes.
Plus d’informations sur ce dispositif

Coordinatrice du programme Pisourd
Franca Trovato

Documentaliste pédagogique
Christine Mahdessian

PARTENARIATS
MUSÉE D’ART CONTEMPORAIN DU VAL-DE-MARNE

classe préparatoire

La Classe Préparatoire des Beaux-Arts de Marseille

Classe préparatoire publique aux concours d’entrée des établissements supérieurs d’enseignement artistique.

L’école des Beaux-Arts de Marseille a ouvert à la rentrée 2013 une classe préparatoire aux concours d’entrée des écoles supérieures d’art. Cette formation se démarque par la qualité de ses partenariats et la transdisciplinarité des enseignements. Elle permet aux étudiant·e·s souhaitant avoir une initiation artistique préalable, de pouvoir acquérir des compétences tant pratiques que techniques. Elle permet aussi aux jeunes intégrant cette formation, de choisir l’orientation la plus appropriée à leurs aptitudes et à leur souhait professionnel. L’École est membre de l’APPEA qui regroupe toutes les classes préparatoires publiques aux écoles supérieures d’art, en France. Plus d’informations sur la page des Beaux-Arts de Marseille de l’APPEA

La classe préparatoire d’une durée d’un an, à plein temps, est ouverte aux étudiant·e·s titulaires d’un baccalauréat, et âgé·e·s de 17 à 23 ans (sauf dérogation). Elle accueille une vingtaine d’étudiant·e·s et dispense 35 heures de cours hebdomadaires de septembre à mai. La sélection s’effectue par un entretien avec un jury, et par la présentation d’un dossier artistique personnel.

L’enseignement, en 35 heures hebdomadaires de septembre à mai, couvre un large spectre de domaines artistiques : histoire de l’art, photographie, art numérique, vidéo, son, pratique des mots et des arts, pratiques transdisciplinaires (dessin, volume, outils informatiques), notions d’esthétique, anglais, mais aussi visites d’expositions et rencontres. Ce programme permet l’acquisition de compétences pratiques et techniques, mais aussi de méthodologies de travail. Il nourrit le sens critique et la mise en perspective culturelle, au regard de l’histoire des arts et plus globalement des idées.

La qualité et la diversité des enseignements prodigués ainsi que le suivi individualisé des étudiant·e·s permet un pourcentage de réussite remarquable assurant la poursuite des études dans des écoles supérieures d’art et de design. Attentif·ve·s à l’épanouissement artistique personnel, les enseignant·e·s accompagnent chaque étudiant·e dans ses projets de concours et l’orientent vers les cursus les plus appropriés à son profil. Trois bilans donnent l’occasion de confronter l’étudiant·e aux conditions de concours.

formation continue

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

Le CFPI est un diplôme d’établissement délivré par les Beaux-Arts de Marseille à l’issue d’un cursus d’une année.

Cette formation théorique et pratique, permet d’élaborer des projets artistiques partagés avec des enfants, des adolescent·e·s ou des adultes dans des contextes variés : milieu scolaire, hospitalier, carcéral, entreprises, Ateliers des Beaux-Arts de Marseille, commandes participatives, etc.

Cette formation est assurée par des artistes enseignant·e·s ayant une pratique confirmée de plasticien·ne·s intervenant·e·s avec des groupes d’enfants, d’adolescent·e·s et d’adultes, y compris dans des milieux spécifiques (hospitalier, carcéral, handicap, champ social, etc.).

Des rencontres avec des partenaires associatifs et institutionnels, des milieux culturels, sociaux et médico-psychologiques, jalonnent le parcours de la formation en construisant des repères indispensables aux bonnes pratiques du·de la plasticien·ne intervenant·e.

Un stage de 35 heures dans une structure au choix du·de la stagiaire complète les nombreux temps d’observation et de mise en situation.

Pour qui ?

Le CFPI est ouvert aux artistes plasticien·ne·s et designeur·euse·s, jeunes diplômé·e·s ou confirmé·e·s, titulaires d’un DNA (Diplôme National d’Art – ou précédemment DNAP ou DNAT) ou d’un DNSEP (Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique).

Dérogation possible pour les non titulaires des diplômes requis sur évaluation d’une pratique artistique professionnelle inscrite dans la durée.

Organisation de la formation
300 heures de formation

9 semaines/10 mois

comprenant un stage de 35 heures

 

Les semaines de formation pour la session 2022 sont les suivantes :

·         17 au 21 janvier 2022

·         21 au 25 février 2022

·         21 au 25 mars 2022

·         04 au 08 avril 2022

·         02 au 06 mai 2022

·         06 au 10 juin 2022

·         19 au 23 septembre 2022

·         10 au 14 octobre 2022

 

Contenus de la formation

La formation est articulée autour de 4 modules liés à des compétences et connaissances spécifiques.

Module Penser
Des cours théoriques permettent aux artistes d’acquérir des outils pour proposer des projets d’interventions adaptés aux publics de tous les horizons. Les enseignements portent sur la conception d’un projet artistique participatif, ses modalités d’intervention jusqu’à la formulation et la présentation du projet. Ce parcours est nourri de réflexions sur l’art et la société et de témoignages d’artistes intervenant auprès de publics variés.

Module Cartographier
Des rencontres, échanges et visites avec un ensemble de commanditaires d’interventions offrent un panorama du territoire de l’artiste intervenant·e. En définissant tout d’abord le périmètre réglementaire, l’artiste rencontre ensuite des structures culturelles, socioculturelles, médico-sociales, sociales tant du secteur public que du privé afin d’identifier un réseau de partenaires potentiels et les enjeux de leurs actions.

Module Expérimenter
Fondé sur l’observation et l’expérience sur le terrain, ce module propose diverses mises en situation encadrées au sein des Ateliers publics des Beaux-Arts de Marseille comme de structures partenaires. La variété des structures permet aux stagiaires de confronter leurs projets à des publics très différents. Ce module comprend également un stage de 35 heures avec une structure choisie par le·la stagiaire.

Module Valoriser
Les artistes en formation sont accompagné·e·s dans la constitution de leurs projets artistiques participatifs qui feront l’objet d’une exposition collective en fin de formation, offrant une rencontre avec les publics et les professionnel·le·s.

Une édition sur les pratiques artistiques et les projets participatifs des stagiaires clôt le parcours de formation. Elle constitue un support de communication et un outil de valorisation diffusable auprès de commanditaires potentiels

Évaluation et obtention du certificat
Pour obtenir le certificat, le·la stagiaire est évalué·e de la manière suivante :

Contrôle continu,
Évaluation des mises en situation,
Évaluation du rapport de stage et du document de synthèse,
Élaboration d’un projet artistique participatif présenté devant un jury.
Le CFPI est un diplôme d’établissement qui ne donne pas grade universitaire.

 

Pour tout renseignement
cfpi@inseamm.fr

programmes de recherche

Espaces sans qualités – Design, espaces urbains & technologies numériques

Les technologies numériques, dont le développement a amplifié et accéléré les mutations urbaines entamées à la fin du XIXe siècle, infiltrent aujourd’hui les espaces urbains, en modifient le paysage aussi bien que leurs usages et modes de gouvernance. Les données qui transitent par les réseaux de communication GSM, les réseaux WiFi, les infrastructures de transport et d’information des usagers, les dispositifs de surveillance ou les équipements RFID s’agrègent au milieu urbain et produisent et distribuent en permanence des espaces dont la nature se modifie sous le régime de l’hybridation entre espace physique (espace matériel, espace bâti) et « espace numérique », où la connectivité permanente, les systèmes de géolocalisation, l’informatique ubiquitaire et mobile modifient en profondeur les modes d’être urbains à l’échelle individuelle et collective.
La question qui préoccupe le design au sein de cette problématique est de savoir comment qualifier ces mises en tension permanentes qui caractérisent cette ville contemporaine (global / local, privé / public, anonymat / surveillance, individu / collectif, intérieur / extérieur, espaces bâtis / espaces des flux,…), comment s’orienter dans un environnement aux frontières poreuses, dans des lieux complexes, multiples et fragmentés, comment matérialiser l’effectivité d’une interrelation entre les corps, les lieux et les réseaux de communication numérique, bref comment donner forme et sens à ce que nous proposons d’appeler, en écho à la figure de L’Homme sans qualités de Robert Musil, des « espaces sans qualités ».
www.espacessansqualites.net
Depuis janvier 2013, l’école des Beaux-Arts de Marseille accueille dans ses murs son premier chercheur, Adelin Schweitzer, dans le cadre du programme de recherche Espaces sans qualités / Design, espaces urbains et technologies numériques.

La parole ancrée

À l’ère de la mondialisation des flux immatériels du capital, l’art peut réinventer de nouvelles formes de matérialisation de ces échanges et circulations du sens. Il peut ainsi introduire des zones de rupture, de friction et d’opacité et faire apparaître les difficultés inhérentes à la pratique de la traduction et du partage du commun.
La Parole ancrée a pris comme point de départ la Langue des Signes qui est une incorporation littérale de la parole et soulève d’emblée des difficultés de traduction. Ce projet de recherche s’intéresse aux passages d’une langue à l’autre, d’un support à l’autre, aux formes de pensée ou d’écriture ancrées dans le temps et l’espace particuliers de celui qui parle et de celui qui écoute.
Dans la continuité des forums 2014 Espaces partagés, espaces de traduction et de l’ARC PiLAB Création avec Pascale Houbin (2011-12), Imogen Stidworthy (2012-13) et Valérie Mréjen (2013-14), La Parole Ancrée propose cette année une réflexion autour des relations entre langage, corps, technique et matérialité. Ces questions seront abordées, d’une part, dans un nouveau cycle de forums, intitulé Le Geste et la parole : art, outil, corps, au cours duquel artistes et théoriciens s’interrogeront sur les manières dont l’outil peut fonctionner comme une extension du corps et une image de pensée. D’autre part, dans un ARC sur les Écritures matérielles, où nous explorerons
différentes façons d’enregistrer et de transcrire des forces et mouvements intangibles – du dessin à la cartographie, du design graphique aux enregistrements audio-visuels.
COORDINATION DE LA RECHERCHE : Vanessa Brito et Anna Dezeuze

Le Bureau des positions

Le Bureau des positions, c’est :

  • une plateforme de recherche et d’expérimentation où l’on met à l’épreuve ses positions comme on teste des hypothèses. On s’engage à y faire l’expérience de prendre position et de tenir une position, autant sur le plan physique (occuper un espace, maintenir une posture ou un projet sur la durée) que sur le plan de l’engagement artistique et politique. À quels moments ces deux plans peuvent-ils se recouper ? Comment une position se construit-elle ? À travers quelles dis-positions méthodologiques, quelles opérations de traduction et de trans-position, quelles conceptions de la restitution et de l’ex-position ?
  • un temps et un lieu pour se poser, pour faire une pause, ou, comme le suggère Robert Barry dans son Marcuse-Piece de 1970-71 : A place to which we can come and for a while be ‘free to think about what we are going to do’.
  • un espace d’échanges transdisciplinaires : une cartographie en mouvement qui met en question les frontières instituées par le frottement permanent à d’autres champs, d’autres pratiques, d’autres positions.
  • une forme de communauté à inventer ensemble : le Bureau des positions cherche à construire des situations dans lesquelles enseignants et étudiants se retrouvent tous en position de chercheurs. Ces expérimentations et échanges transdisciplinaires tentent de réinventer de nouvelles formes de collaboration et de travail collectif.

PROGRAMME 2017-2018La position du chercheurRencontres indisciplinées : arts et sciences sociales
Ouvert à tous les étudiants 8-9-10 novembre 2017 Centre de la Vieille Charité (salle Le Miroir), MuCEM (auditorium).
Le positionnement éthique ou politique d’un chercheur se construit à travers ses méthodes de travail. En sciences humaines et sociales, ces méthodes sont autant de manières de faire au sein du discours. Elles mobilisent un ensemble de gestes et d’opérations qui concernent aussi la recherche artistique. C’est sur ces gestes partagés que nous souhaitons amener le dialogue entre recherches scientifiques et pratiques artistiques. Nous partons de la part commune de matérialité du travail de recherche – la confrontation avec les matériaux, les archives et les témoignages – pour susciter un dialogue autour des gestes de la collecte, des méthodes d’enquête, des formes d’écriture et d’exposition. Admettre que celles-ci ne traduisent pas seulement des résultats, mais constituent en soi des chantiers théoriques et artistiques, c’est ouvrir un espace d’échanges entre arts et sciences sociales. Notre démarche consiste davantage à décloisonner les discours qu’à interroger la spécificité de nos recherches respectives. L’enjeu est de penser la recherche en dehors des frontières disciplinaires afin de constituer un laboratoire de réflexivité et d’innovation offrant aux uns et aux autres la possibilité de déplacer son regard sur ses objets et ses pratiques.

Partitions – Passations – Partages

« Une partition n’est pas une oeuvre mais sa définition. Elle invente des systèmes de notation, des formes de dictionnaire. La partition est la partie invariable d’une oeuvre. Elle ouvre sur les variations de son interprétation. Une oeuvre à partition a besoin de l’intervention et des compétences des autres, elle n’existe que dans sa transmission, c’est une trace laissée en avant. Une partition est une oeuvre qui se déclare dépendante de sa réalisation par d’autres, un objet en 2 dimensions qui se déclare dépendant de la 3e, un système de signes qui change de médium lors de son interprétation, une écriture qui change de lieu lors de sa lecture. Les oeuvres à partition ont la passion du réel mais comme les héros de l’amour courtois elles l’étreignent de loin. Une partition se reproduit à l’infini avant d’être finie, elle est pré-pubère et néoténique », écrit Fabrice Reymond, intervenant associé à ce projet en 2016 et 2017.
Le projet partition/passation interroge la notion de partition, d’écriture et de transcription d’une oeuvre à un acteur extérieur (ou pas). Nous analyserons les différents statuts de ces partitions selon les disciplines et les projets, qu’il s’agisse d’art (avec bien sur l’art conceptuel et ses descendants) ou de design avec le retour massif du « do it yourself » ou encore d’architecture de papier et aujourd’hui le phénomène des fablab et autres communautés open source. Cette question de la partition se déplace et ré-interroge aujourd’hui (comme hier) autant la question du statut de l’auteur que celui de l’oeuvre.
La partition peut être dans certains cas l’oeuvre elle-même, elle peut être un ensemble de directives afin de réaliser ou jouer une oeuvre. Elle peut aussi être l’amorce d’une oeuvre à prolonger et à enrichir en « open source », etc. La partition sera donc envisagée dans ce projet de façon très large, « flirtant » parfois avec le mode d’emploi ou la règle du jeu. Elle comprendra évidemment les oeuvres conceptuelles, mais aussi tel comédien qui rejoue les séminaires de Deleuze ou Lacan ou encore cette tablette Babylonienne qui contient les plans de l’arche de Noé !
Ce projet est mené par Christophe Berdaguer, et Jean-Baptiste Sauvage, professeurs aux Beaux-Arts de Marseille, avec la complicité et la participation de Fabrice Reymond.

POLIS-sensorielle – La ville sensible, ou la question de l’interface entre corps humain et corps urbain

POLIS sensorielle est un programme de recherche qui étudie la place de l’humain dans l’urbain, et s’intéresse, plus précisément et de manière prospective, à la question de l’interfaçage entre le corps et la ville. L’objectif est d’étudier et de favoriser l’émergence de dispositifs technologiques, d’objets et d’aménagements dans l’espace public, pouvant contribuer à la fluidité, la convivialité et un meilleur « vivre ensemble » dans l’espace urbain. Ces outils émergents doivent pouvoir être maîtrisés par l’homme et lui permettre de façonner le monde au gré de son intention, de son imagination et de sa créativité. Pour ce faire, le programme s’appuie sur des échanges et des collaborations multidisciplinaires, en croisant les différents points de vue des principaux acteurs, impliqués dans l’élaboration des villes de demain.
En 2050, 75% de la population mondiale vivra en ville. L’enjeu des grandes mégalopoles qui abriteront la majeure partie des individus, résidera dans leur capacité à associer harmonieusement l’ensemble des dimensions sensorielles, numériques, informationnelles, énergétiques, sociales, environnementales et politiques.
Qu’ils soient scientifiques, ingénieurs, designers, artistes ou architectes, il y a là, pour les créateurs de tous horizons, un défi considérable à relever : celui d’anticiper les besoins et les usages du futur, et d’assurer une transition douce et raisonnée, vers des villes plus intelligentes et respectueuses des personnes.
Cette mission cruciale, consiste entre autres choses à prévoir et à imaginer dès maintenant, les besoins et les usages des citadins de demain, et à proposer des interfaces innovantes, assurant une interconnexion et une interactivité optimale, entre les habitants, et entre la ville et ses habitants. Car c’est bien cette relation à l’espace urbain, cette création du lieu par sa pratique qui relie concrètement l’usager à la ville.
Pour analyser toute la complexité de ce lien, à la fois physique, sensoriel, affectif, imaginaire, esthétique et symbolique, le programme POLIS sensorielle bénéficie de la vision et des compétences de professionnels de l’espace public, d’artistes, et d’enseignants chercheurs issus des sciences humaines, des sciences exactes et des sciences de la conception.

COORDINATEURS DU PROJET
Fabrice Pincin, enseignant aux Beaux-Arts de Marseille
France Cadet, enseignante à l’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

Sonart – Pour un corpus numérisé & indexé des expérimentations et productions artistiques sonores

Un nouveau « catalogue d’exposition » : proposition de plate-forme numérique pour l’indexation et la diffusion des œuvres d’arts plastiques sonores.
Alors que le domaine des arts sonores est en pleine expansion, son inventaire et son approche historique n’en sont qu’à leurs débuts, tout autant que sa théorisation. Sonart propose d’y ajouter une importante contribution, en constituant une base documentaire qui portera sur les pratiques artistiques et expérimentales depuis le début du XXe siècle jusqu’aux œuvres les plus actuelles. Cette base sera créée à partir de systèmes et d’outils spécifiques d’indexation.
La place des Beaux-Arts de Marseille dans ce partenariat est de produire plusieurs expositions, à partir des œuvres liées au domaine de recherche et réfléchir à leurs étendues, en puisant dans les collections publiques françaises. (FRAC, FNAC et autres). En orientant à chaque fois l’exposition selon une thématique, un genre, une question spécifique… Il s’agit à travers la mise en exposition, de venir compléter la recherche en s’appuyant depuis la réalité des œuvres retenues. Ce projet de recherche est le fruit d’une collaboration universitaire/écoles d’art, croisant les expertises et les champs de connaissance.
Partenariats avec : LESA : Laboratoire d’étude en sciences des arts. Aix-Marseille Université, LSIS : Laboratoire des sciences de l’information et des systèmes. Aix-Marseille Université, BAUHAUS UNIVERSITÄT : Experimentelles Radio Bauhaus Universität Weimar Fakultät.

éditions

L’école des Beaux-Arts de Marseille édite des publications en rapport avec certains projets pédagogiques et artistiques, aux activités d’expression et de recherche menées dans l’école. Les diplômes de fin d’étude (DNSEP art et design) font chaque année l’objet d’un catalogue. L’École édite également l’ensemble de ses livrets pédagogiques.
Elle dispose dans ses murs d’un pôle édition (bases techniques Édition/pré-presse/archives, Sérigraphie, Lithographie/offset/gravure, Infographie) qui permet aux étudiant·e·s de se former, d’expérimenter et de réaliser de multiples ouvrages aux natures très diversifiées, depuis la création de livres d’artistes jusqu’aux mémoires d’études.

Ces dernières années, l’école des Beaux-Arts de Marseille a édité des revues de dessins notamment « Muet » (1 et 2) ou encore « Table de treize » sous la direction de Frédérique Loutz. Ces livres ont été présenté au #MAD du Salon de Montrouge.

 

activité post- ou périscolaire

Bienvenue aux Ateliers publics des Beaux-Arts de Marseille
Les Ateliers publics en arts plastiques des Beaux-Arts de Marseille proposent une double approche : des séances de pratique (cours de modèles vivant·e·s, fondamentaux de la peinture, vidéo, photographie, image numérique, volume, etc.) ; histoire de l’art et ouverture artistique et culturelle.

Ils permettent ainsi à chacune et à chacun, quel que soit son âge et son niveau, d’inscrire sa démarche créative dans l’art d’aujourd’hui dans toute sa diversité.

L’inscription aux Ateliers publics donne un accès gratuit à la bibliothèque des Beaux-Arts et aux conférences organisées par les Beaux-arts à Luminy ou dans des lieux partenaires comme le Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur ou le Mucem.

Ces ateliers de pratique amateure pour les enfants, les adolescent·e·s, les adultes et des publics spécifiques sont organisés en journée ou en soirée dans différents quartiers de Marseille.

ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE
Coordinateur des ateliers publics :
Pierre Architta
Enseignant·e·s :
Pierre-Louis Albert
Pierre Architta
Luisa Ardila Camacho
Agathe Bastide
Bernard Briançon
Pierre Chanoine
Jérémie Delhome
Delphine Mogarra
Nicolas Nicolini
Karine Santi Weil
Les Ateliers publics sont membres du réseau de l’ANÉAT — Association Nationale des Écoles d’Art Territoriales de pratiques amateurs. Créée en 2015, elle donne au plan national un cadre aux échanges entre les écoles. Elle est l’interlocutrice des associations professionnelles, des collectivités et de l’État. Elle regroupe collectivités territoriales et établissements publics qui délèguent leur représentation aux responsables de leurs écoles. L’ANÉAT s’organise à partir de groupes de travail, de chantiers. Plus d’informations sur l’ANÉAT

Consulter le programme : Programme des Ateliers publics 2021/2022 – Session 1

coopération internationale

Échanges internationaux

L’école des Beaux-Arts de Marseille s’attache à développer une politique internationale ambitieuse. Celle-ci s’appuie bien sûr sur le réseau d’échanges d’étudiant·e·s et d’enseignant·e·s de premier ordre de l’établissement dans le cadre du programme Erasmus +. La qualité générale de mise en œuvre, l’impact et la diffusion du projet européen de l’École a reçu le Label Bonne pratique de la Commission européenne. Les partenariats de l’École s’ouvrent au monde, à l’image des relations initiées de longue date avec l’École des Beaux-Arts d’Abidjan ou avec l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan. Les Beaux-Arts de Marseille jouent aussi un rôle proactif dans le réseau Miramar, un réseau méditerranéen d’acteurs académiques, artistiques et culturels qui vise à soutenir le développement professionnel des jeunes artistes et travailleur⸱euse⸱s de l’art, et à créer des opportunités d’échanges culturels basés sur la solidarité, la réciprocité et l’hospitalité.

Les étudiant·e·s d’année 2 en option art et d’année 4 sont incité·e·s à faire un séjour d’études dans l’une des 50 universités ou écoles d’art et de design partenaires des Beaux-Arts de Marseille dans le monde. Des aides financières spécifiques (bourse de l’école, bourse Erasmus+, Aide de la Région Sud…) sont proposées. La durée des séjours d’études est de 3 mois minimum à 1 semestre maximum. Les étudiant·e·s peuvent également opter pour un stage dans une structure de leur choix à l’étranger. La durée est de 2 mois minimum et de 1 semestre maximum. L’étudiant·e est accompagné·e individuellement avant, pendant et après son expérience de mobilité par le service des relations internationales de l’École.

Responsable de la stratégie internationale/Head of International Strategy  
Anaïs Déléage | 04 91 82 83 48 | anais.deleage@beauxartsdemarseille.fr

galerie

LES GALERIES DE LUMINY
Sur le site de l’établissement, deux espaces d’expositions expérimentaux sont à disposition d’artistes invité·e·s, des projets des étudiant·e·s et des professeur·e·s, ou encore de rendus publics des travaux à la fin des workshops.

équipements spécifiques

Ateliers et ressources techniques
La pédagogie des Beaux-Arts de Marseille est fondée sur l’engagement personnel et l’autonomie de l’étudiant·e. Elle s’articule, dès le premier cycle, sur l’accompagnement du projet artistique individuel. Les étudiant·e·s sont donc encouragé·e·s, dès leur première année, à mobiliser les nombreuses ressources techniques, technologiques, humaines et artistiques à leur disposition dans l’école.

La large accessibilité de l’École – le soir, et le week-end – constitue un atout pour les étudiant·e·s comme pour les professeur·e·s qui peuvent ainsi organiser des activités complémentaires aux enseignements (concerts, conférences, « nocturnes »).

Parmi les ressources de l’École, figurent les ateliers techniques, la régie technique, la bibliothèque, les espaces d’exposition et la plateforme numérique LoAD.

 

Découvrir le wiki des Beaux-Arts de Marseille

Un Wiki, c’est un site participatif où chacun·e peut éditer des pages pour contribuer avec différents contenus et ressources.
Il permet de documenter de nombreux savoir-faire des ateliers et bases techniques de l’École (bois, terre, métal, photo, édition, vidéo, son, numérique…).

Il permet aussi aux étudiant·e·s de documenter leurs projets, d’archiver des idées, formules, codes et autres recettes et de les partager. Cette plateforme offre ainsi un cadre de documentation et d’échange de diverses ressources.

réseaux

Acteur·trice·s artistiques (et design)
L’École des Beaux-Arts est membre du PAC/Provence Art Contemporain, réseau des galeries et des lieux d’art contemporain de Marseille.

Ceci est une liste non exhaustive, l’École étant amenée à développer et consolider de nouveaux partenariats tout au long de l’année :

Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou : cycles de conférences : pédagogie et professionnalisation
FRAC PACA, FRAC Languedoc-Roussillon : pédagogie et professionnalisation
Triangle France Astérides (Friche Belle de Mai) : pédagogie et professionnalisation
Documents d’artistes (Friche Belle de Mai) : professionnalisation
FRAEME (Friche Belle de Mai) : pédagogie et professionnalisation
(ex) Galerie Gourvennec-Ogor : prix ESADMM : professionnalisation
Art-Cade, galerie des grands bains douche de la Plaine : pédagogie et professionnalisation
Association Arts Médiation Évènements Organisation Méditerranée : professionnalisation
Art-o-rama : professionnalisation
Marseille : festival des « Arts éphémères » : professionnalisation
La Photographie Marseille / Prix Maison Blanche : professionnalisation
VIA : professionnalisation
Le Musée d’art contemporain de Marseille : professionnalisation
Marseille Objectif Danse : pédagogie et professionnalisation
Radio Grenouille : pédagogie et professionnalisation
Les Ateliers Sud Side, Cité des arts de la rue : pédagogie et professionnalisation
Chaîne internationale de télévision câblée « Souvenirs from earth » : pédagogie
Théâtre la Criée : pédagogie et professionnalisation
Mac/Val : pédagogie et professionnalisation
L’Institut Français : pédagogie
Musée départemental Arles antique : pédagogie et professionnalisation
Cité de l’architecture et du patrimoine : pédagogie
Festival Jazz des Cinq continents : professionnalisation
Place Publique (semaine de la Pop Philosophie) : professionnalisation
La Compagnie : pédagogie et professionnalisation
Ballet national de Marseille : pédagogie et professionnalisation
CIRVA : pédagogie et professionnalisation
FID marseille : pédagogie et professionnalisation
Espace de l’Art Concret : pédagogie
Festival Actoral : pédagogie
(ex) Galerie Arnaud Deschin : pédagogie et professionnalisation
Montevideo : pédagogie et professionnalisation
Passage de l’Art : professionnalisation
Centre d’arts plastiques Fernand Léger  : professionnalisation
Rétine Argentique  : professionnalisation
Où – lieu d’exposition pour l’art actuel : professionnalisation
MuCEM  : pédagogie et professionnalisation
Musée d’Histoire de Marseille  : pédagogie et professionnalisation
Château de Servières : professionnalisation
HLM, galerie de Marseilleexpos : pédagogie et professionnalisation
Centre Design Méditerranée  : pédagogie et professionnalisation
La Galerie Itinérante (Arles) : professionnalisation
Centre photographique Marseille : pédagogie
Musée Cantini : pédagogie et professionnalisation
CIPM : Pédagogie
Fondation Camargo : pédagogie
Zoème : pédagogie et professionnalisation
Mamac : pédagogie et professionnalisation
Festival Parallèle : pédagogie et professionnalisation
CRAC Occitanie : pédagogie
Klapp : pédagogie et professionnalisation
GMEM : pédagogie et professionnalisation
Destré : professionnalisation
Voiture 14 : professionnalisation
Sissi club : professionnalisation
Oxymore : professionnalisation
Fondation Lambert : professionnalisation
Association Collective : pédagogie et professionnalisation
Voyons Voir : professionnalisation
Tchikebe : pédagogie et professionnalisation
Les Têtes de l’art : pédagogie et professionnalisation
Documents d’artistes : pédagogie et professionnalisation
Dos Mares : pédagogie et professionnalisation
Zinc : professionnalisation
Seconde Nature : professionnalisation
FID : pédagogie et professionnalisation
Villa Noailles : pédagogie et professionnalisation
Galerie de la SCEP : pédagogie et professionnalisation
Mécènes du Sud : pédagogie et professionnalisation
Marianne Cat : professionnalisation
Jérôme Dumetz designer : professionnalisation
SMCP design Office : professionnalisation
Arthur Hoffner design : professionnalisation
Aggutes, vente aux enchères : professionnalisation

Partenaires scientifiques / universitaires
Les Beaux-Arts de Marseille sont membres du réseau des écoles supérieures d’art de PACA et Monaco. À ce titre, l’École entretient des liens privilégiés avec les 7 autres écoles du réseau :

École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
École nationale supérieure de la photographie d’Arles
École supérieure d’art d’Avignon
Pavillon Bosio, École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
École nationale supérieure d’art de Nice Villa Arson
École supérieure d’art et de design Toulon Provence Méditerranée
École supérieure des Beaux-Arts de Nîmes

D’autres partenariats qui concernent souvent des projets pédagogiques et de recherche, mettent l’école en lien avec notamment :

École supérieure d’art de l’agglomération d’Annecy
École nationale supérieure d’art de Bourges
École supérieure d’art du Nord-Pas de Calais/Dunkerque-Tourcoing
École nationale supérieure d’arts de Paris Cergy
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Équipe de recherche Projects
École d’ingénieurs d’Aix-Marseille université, Polytech Marseille
Le LESA (Laboratoire d’Études en Sciences des Arts), Aix-Marseille université
Le LSIS (Laboratoire des Sciences de l’Information et des Systèmes), domaine universitaire de Saint-Jérôme
CIRM (Centre international de Rencontres Mathématiques), Campus de Luminy
Le département Communication « Hypermédia de l’IAE Savoie » Mont Blanc
École des Hautes Études en Sciences Sociales, centre de la Vieille Charité, Marseille
École de commerce KEDGE Marseille
School of Architecture, faculty of engineering, Aristotle University of Thessaloniki
Maltepe University, faculty of architecture and design, Istanbul
IUAV di Venezia, (Italie)
Bezalel Academy of Arts and Design, (Israël)
École centrale Marseille
École des Mines de Saint- Étienne (Gardanne)
Ecole d’Acteur de Cannes
Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon
Ecole de céramique de Provence
Faculté Saint-Charles

 

Entreprises & monde économique
Partenaires économiques :

Pôle de compétitivité : Cap Digital, Primi, Pôle Mer Méditerranée
Chambre de commerce et d’industrie de Marseille-Provence (Pôle innovation et industrie)
CASTORAMA
Habitat Marseille Provence
Cabinet Ficorec
PÉBÉO
Avenir-Telecom
Groupe Genoyer
La poste
UPE 13
Savonnerie du Fer à Cheval
Maison Trabuc
Reynier
Fonderie de Roquevaire
Tuilerie Monier
Texaa
Les carrières de Provence
Bouygues Immobilier
Eiffage
Quartus Immobilier
Maison Régionale de l’eau
Hôpital Saint-Joseph
Le Cloître

 

équipe administrative

Président
Jean-Marc Coppola

Directeur général de l’INSEAMM 
Pierre Oudart

Directrice des Beaux-Arts de Marseille 
Inge Linder-Gaillard

Éditions et relations extérieures – Direction de service
Valérie Langlais

Coordination des enseignements et de la vie étudiante 
Sylvie Ori

Bibliothèque et éditions – Responsable 
Christine Mahdessian

Responsable de la professionnalisation et des stages 
Céline Christolomme

Coordinateur des activités de recherche et programmateur artistique 
Maxime Guitton

Responsable de la stratégie internationale 
Anaïs Déléage

 

professeurs

PROFESSEUR·E·S

Pratiques artistiques

Max Armengaud
Marion Balac
Dominik Barbier
Christophe Berdaguer
Bernard Briançon
Françoise Buadas
Patrice Carré
Pierre-Laurent Cassière
Sylvain Deleneuville
Frédérick Du Chayla
Jérôme Duval
Sylvie Fajfrowska
Frédéric Frédout
Lia Giraud
Charlie Hamish Jeffery
Chourouk Hriech
Luc Jeand’heur
Ronan Kerdreux
Piotr Klemensiewicz
Saverio Lucariello
Julien Maire
Agnès Martel
François Mezzapelle
Eric Pasquiou
Frédéric Pradeau
Nicolas Pilard
Alain Rivière
Karine Rougier
Jean-Claude Ruggirello
Jean-Baptiste Sauvage
Axel Christian Schindlbeck
Katharina Schmidt

Philosophie, histoire et théorie de l’art et du design, langues vivantes

Vanessa Brito
Philippe Delahautemaison
Anna Dezeuze
Frédérique Entrialgo
Nicolas Feodoroff
Alexandra Gadoni
Lise Guéhenneux
Christopher Jones
Nina Leger
Cécile Marie-Castanet
Denis Prisset
Dennis Tredy
Audrey Ziane

coordonnées

184 avenue de Luminy
CS 70912
13288 | Marseille cedex 9

tél. +33 (0)4 91 82 83 10
fax +33 (0)4 91 82 83 11

contact@beauxartsdemarseille.fr
Site internet
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effectif

Cursus art et design : 430 étudiants dont 20% d’étudiants étrangers
Classe préparatoire : 20 élèves
Ateliers publics : 600 élèves
Par le biais du programme Pisourd, l’école reçoit également les étudiant(e)s sourd(e)s ou malentendant(e)s.

Metz

École Supérieure d’Art de Lorraine | site Metz

présentation

En janvier 2011, l’École Supérieure d’Art de Lorraine (ÉSAL) est née du regroupement de l’École de l’Image d’Épinal et de l’École supérieure d’art de Metz Métropole. En janvier 2014, l’école a intégré le centre de formation musique et danse. L’ÉSAL est un établissement multisite proposant en son sein des formations arts plastiques, musique et danse en ouverture à des pratiques et expériences pluridisciplinaires.

Constitué d’un Pôle arts plastiques (Metz – Épinal) et d’un Pôle musique et danse (Metz), l’ÉSAL rassemble près de 300 étudiants. Elle prépare aux diplômes nationaux ayant grade de Licence (DNA) et de Master (DNSEP), ainsi qu’aux diplômes d’État (de 2 à 3 ans) à travers 5 formations :
– Art, mention Dispositifs Multiples (Metz)
– Communication, mention Arts et Langages graphiques (Metz)
– Design d’expression, mention Image et Narration (Épinal)
– Musique (Metz)
– Danse – classique, jazz, contemporaine (Metz)

L’axe Metz — Épinal situe l’école au centre de l’Europe. À proximité de la Belgique, du Luxembourg, de l’Allemagne, de la Suisse, l’ÉSAL bénéficie d’une situation privilégiée.

L’échelle de l’école est un atout pour l’accompagnement de parcours singuliers pour les 300 étudiants de l’ÉSAL : les résultats des diplômes et l’attractivité de l’établissement témoignent de la qualité des formations. L’accompagnement s’approche du “sur mesure” et permet un fort taux de réussite aux diplômes et une attention particulière au parcours professionnel des étudiants.

L’écriture —  accompagnement à la création —  est particulièrement encouragée à l’ÉSAL. En arts plastiques les étudiants sont accompagnés de la 1re à la 3e année dans l’objectif de la rédaction du texte DNA, qui reflète avec distance la sensibilité artistique des étudiants. En 4e et 5e année, l’écriture s’accompagne de recherches et d’expérimentations dans le cadre de la rédaction et la confection du mémoire, socle théorique et critique de la pratique artistique et œuvre constitutive du diplôme.

L’ÉSAL Metz /Épinal cultive son réseau de « Partenaires Particuliers » : des institutions artistiques et culturelles qui dynamisent les opportunités ouvertes aux étudiants. Entre autres: la Cité musicale-Metz, le Centre Pompidou-Metz, le Casino Luxembourg — forum d’art contemporain et le Casino Display; le Fond régional d’art contemporain Lorraine à Metz, le MUDAM, musée d’art contemporain à Luxembourg, la Synagogue de Delme, centre d’art contemporain, le Festival du Livre à Metz, etc.

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/

À télécharger : Brochure de l’ÉSAL

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École Supérieure d'Art de Lorraine-Site de Metz
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options

Art, mention dispositifs multiples / DNA + DNSEP

En art, les projets engagent une réflexion puis des productions qui expérimentent différents modes de mise en espaces, d’images et de langages. La formation est centrée sur la pratique du dessin, de la vidéo – image en mouvement, de la photographie, du son, du volume, de la gravure et de la scénographie.

Installation des DNSEP Art, Metz. Crédits : Pancake! photo

Communication, mention arts et langages graphiques / DNA + DNSEP

Du conte au journal intime, du fanzine au webdoc, de la photo de famille au documentaire, du slogan à l’affiche, du sticker au roman graphique, le récit et ses mises en forme sont au cœur de l’option. Sont proposés : design graphique, typographie, design éditorial et numérique, etc.

Installation des DNSEP Communication de Léa Signorini, 2022, Metz. Crédits : Pancake! photo

diplômes

DNA option Art – mention dispositifs multiples
DNA option Communication – mention arts et langages graphiques
DNSEP option Art – mention dispositifs multiples
DNSEP option Communication – mention arts et langages graphiques

 

Installation des DNA Art, 2023, Metz. Crédits : Pancake! photo

programmes de recherche

Recherche, écriture et mémoire à l’ÉSAL

Le mémoire à l’ÉSAL : écrire

« C’est depuis la pratique et vers la pratique que les recherches menées dans le cadre du mémoire prennent forme et prennent sens. Le mémoire doit s’inventer, pour permettre à chacun de trouver sa voie(x), de développer ses réalisations, de se positionner dans son propre travail et dans le champ de l’art » — Célia Charvet, coordinatrice du mémoire

La recherche à l’ÉSAL s’est développée à partir d’un point séminal : le mémoire. Contemporain de la constitution de l’ÉSAL en 2011, le mémoire fait l’objet d’un positionnement identitaire et d’un accompagnement spécifique. Dans le second cycle, chaque étudiant est accompagné par un « référent création » et un « référent mémoire », professeur théoricien qui encadre les mémoires et intervient tout au long des cinq années afin de familiariser les étudiants à l’écriture. Le mémoire travaille la singularité de l’univers de l’étudiant et en dévoile les spécificités, les enjeux, les résonances, les filiations. L’expérimentation est au cœur de cette pratique d’écriture(s) dans laquelle l’intuition, la recherche d’une méthode appropriée, l’articulation étroite entre forme et réflexion, voire la mise au jour d’une forme de la réflexion, participent de l’élaboration d’un langage proprement artistique.

En 2023—2024, l’ÉSAL met le mémoire à l’honneur avec l’exposition Mémoire déplié(e) : l’écriture à l’œuvre. Rétrospective sur dix ans de mémoire de DNSEP / Master Art et Communication à l’ÉSAL. Conçue comme un livre ouvert construit à l’échelle de l’espace, cette exposition propose une immersion rétrospective dans les mémoires des dix dernières années à l’ÉSAL— site de Metz.

Institut Page : texte — espace — édition

Coordination d’Elamine Maecha.

L’Institut Page se construit comme un laboratoire de recherches textuelles, graphiques et éditoriales. Il se déploie sous différentes formes : un programme de recherche, deux séminaires, deux ateliers de recherche et de création — ARC, des ateliers et des workshops (cf Livret de l’étudiant — précis de cours A4, A5).

Institut Page s’intéresse à la production de contenus issus des discussions et des conférences organisées à l’école ; à la conception de formes graphiques textuelles et éditoriales à partir de différents corpus de l’ensemble des ateliers ; à la prise en compte des contraintes techniques et économiques ; à la définition des publics et de la publication. L’institut rend compte de ses activités par des éditions imprimées ou en ligne.

En 2023—24, Institut Page s’intéressera entre autres à la Biennale Exemplaires — formes et pratiques de l’édition Exemplaires qui se déroulera à Valence ; à l’éditorialisation et à la publication d’un mémoire d’un Alumni ; à la création d’une plateforme numérique ; et l’organisation d’une journée d’études.

Compte Instagram de l’Institut Page : @institutpage
Plateforme numérique Institut Page : institut-page.com

 

Articuler recherche et création

Une proposition de Farah Khelil

Ce programme prolonge le cours de Culture visuelle et les suivis de mémoire autour de notions telles que féminisme, décolonial, désactivation, architexte, paysage, faire dans l’urgence. La médiathèque sera une fois par semaine un lieu d’articulation et de valorisation de la recherche. Ce programme complète le travail des étudiants dans leur création et leur écriture et les ouvre à l’actualité artistique et à la pensée contemporaine.

Pluridisciplinarité et transversalité

« Permaculture des arts & utopie » : une pépinière de la pluridisciplinarité entre arts plastiques, musique et danse

Une proposition mensuelle de Stéphane Ghislain Roussel.

Le programme pluridisciplinaire explore en 2023-2024, la sphère des corps. De la catharsis aux expériences les plus oniriques, le corps est au cœur du vivant. « Retourner aux corps » dans le sillage artistique c’est se pencher sur des champs allant de la performance dans la filiation du Happening et du Body Art, aux corps sonores et à la danse, mais c’est aussi, avec un peu de recul face à l’épidémie du Covid (toujours active), s’attacher à la sphère de l’intime à travers le soin de soi et le care. Expression des identités et violence de l’invisibilisation, présence en puissance sensorielle, le corps est le vecteur d’un art total et sociétal. Dépassant un anthropocentrisme qui conditionne encore et toujours l’art occidental, retourner aux corps, c’est également, aujourd’hui plus que jamais, s’attacher à des dialogues entre humains sensibles et sensibilités non humaines. Et pourquoi pas, ressentir le corps comme un jardin ?

Les Rencontres du soir : arts plastiques, histoire de l’art, anthropologie, sociologie, philosophie

Une programmation collégiale des enseignants qui propose cinq « Rencontres du soir » dans l’année afin de partager le travail d’artistes et de chercheurs en lien avec des enjeux et l’actualité de l’art contemporain. Elles sont ouvertes en soirée également aux Alumni et au public extérieur.

ARC Electrique / GAIA et Maison des étudiants : des projets d’étudiants pour les étudiants — arts plastiques — architecture — ingénierie

L’ARC Électrique développe des projets entre art et design, en collaboration avec un partenaire extérieur. Il mène un travail de recherche à travers la réinvention d’un lieu, réfléchit à la relation des usagers à l’espace et au temps, étudie et invente des manières d’écouter, de circuler, de s’arrêter. Il explore les manières d’habiter et de construire des environnements sensibles.

En 2022—2023, l’ARC Électrique a collaboré avec les ateliers les ateliers Gouvernance Architecture Ingénierie Administration (GAIA). constitués de l’École Nationale Supérieure d’Architecture (ENSA) de Nancy, de l’École Européenne d’ingénieurs en Génie des Matériaux (EEIGM) de Nancy et de l’École Nationale Supérieure en Génie des Systèmes et de l’innovation (ENSGSI) de Nancy.

En 2023—2024, l’ARC continue sa collaboration avec GAIA, tout travaillant avec l’Eurométropole de Metz, sur le projet de « Maison des étudiants ». L’objectif est de réfléchir à l’identité artistique du nouveau lieu (visuelle, sonore, plastique…) et lui donner corps, en gardant la philosophie de travail expérimental de l’ARC.

éditions

Dernières publications

Publications disponibles en vente : lien

TEXT—TENSION : agrandissement d’un concept littéraire, édition dans le cadre de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, Metz, 2023 (en cours de parution).

Sampling of knowledge, édition réalisée dans le cadre de l’exposition « How do you feed your second life » au MUDAM-Luxembourg, Metz, 2023.

Pétrichor, édition dans le cadre de l’atelier ZAD – Zones à dessin de l’ÉSAL, Metz, 2023.

D’une voix toute entière et rien d’autre chose, édition réalisée dans le cadre du « comité mémoire » au sein de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Claire Arnaiz, artiste et diplômé de l’ÉSAL,  Metz, 2022.

Particules, édition dans le cadre de l’atelier ZAD – Zones à dessin de l’ÉSAL, Metz, 2022.

Diplômes 2022 de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, ÉSAL, 2022.

Dependant Participation, édition dans le cadre du Projet Vitrine de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Vittorio Santoro, artiste, Metz, 2022.

Album Sébum, édition dans le cadre du workshop Tumultes – cases et débordements de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Lucie Durbiano, auteur de bande dessinée et illustratrice, Metz, 2022.

Cahier de débordement, édition dans le cadre du workshop Tumultes – cases et débordements de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Loren Capelli, autrice et illustratrice, Metz : ÉSAL, 2022.

Reader, édition dans le cadre du workshop Tumultes – cases et débordements de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Gwendal Coulon, artiste et musicien, Metz, 2022.

Messine, édition de recherche dans le cadre de l’Atelier Design graphique et Typographie de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, n° 1 à 6, Metz, 2021.

Diplômes 2021 de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, ÉSAL, 2021.

D’os, édition réalisée pour la Biennale Exemplaires dans le cadre de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, Metz, 2021.

Catabase, édition réalisée dans le cadre du « comité mémoire » au sein de l’Institut Page de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, avec Antonin Caniparoli, artiste et diplômé de l’ÉSAL,  Metz, 2021.

BLX, édition dans le cadre de l’Atelier Zone À dessins de l’École Supérieure d’Art de Lorraine en partenariat avec la Ville de Metz, Metz, 2021.

Publication des diplômes, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Publication des diplômes, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Messine, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Messine, édition, 2011-2021, Crédits : Romain Gamba

Catabase, édition, 2021, Crédits : Romain Gamba

revues

REVU

REVU est une édition créée au sein d’un atelier REVU,  laboratoire de recherche éditoriale mené à Epinal et à Metz, au sein duquel «expérimentation» est le maître mot. À partir d’un corpus d’œuvres et de textes proposés par les enseignants, les étudiants sont amenés à concevoir un objet éditorial qui s’engage à le «revoir», à en proposer une relecture, un prolongement.
#2017, #2018, #2019, #2020, éditions de l’atelier REVU (design éditorial Metz/Epinal)

REVU, édition, 2021, Crédits : Romain Gamba

REVU, édition, 2021, Crédits : Romain Gamba

Le Salon

Revue de recherche Image/dispositifs/espaces (IDE).

Le Salon est une revue de recherche de l’ÉSAL (École Supérieure d’Art de Lorraine) créé en 2006. Sous la direction de Sally Bonn et d’Alain (Georges) Leduc, elle s’est donnée pour tâche d’interroger de multiples manières ce qui concerne aussi bien l’image que l’espace à travers la notion de dispositif. La revue comprend les travaux et parcours croisés d’artistes, de praticiens et de théoriciens intervenant chaque année au cours de deux journées de séminaire autour d’une thématique propre à cette notion de dispositif. Chaque numéro de la revue contient en plus des séminaires organisés par le centre de recherche I.D.E. :
— des interventions organisées hors d’I.D.E.
— un cahier de travaux d’étudiants réalisés lors d’une session du séminaire
— un cahier création : dessin, photographie, exposition, poésie
— les biographies des participants

Liste des Salons :

— Le Salon 8 – Du Travail, encore !, 2015, éd. ÉSAL, Metz, 189 p.
— Le Salon 7 – Du Travail !, 2014, éd. ÉSAL, Metz
— Le Salon 6 – La vitesse, 2013, éd. ÉSAL, Metz, 205 p.
— Le Salon 5— Question d’échelle, 2012, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon 4— Dispositifs textuels, 2011, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon 3 – Du musée de l’exposition, 2010, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon 2 – Territoire(s) du paysage, 2010, éd.ÉSAL, Metz
— Le Salon – Dispositifs, Architecture et Scénographie, 2008, éd.ÉSAL, Metz.

activités & événements

Activités et évènements

L’ÉSAL propose régulièrement des évènements ouverts au public : expositions, concerts, conférences, rencontres, résidences, concerts, performances, éditions, journées d’études, et projections publiques.

L’école encourage le partage des recherches et des réalisations des étudiants, qui se déroulent grâce aux partenariats noués par l’école. Certains projets ponctuent l’année universitaire et sont une réelle ressource pour les étudiants en termes de professionnalisation.

Inscription à la newsletter de l’école : www.esalorraine.fr

 

Les Rencontres du soir : arts plastiques, histoire de l’art, anthropologie, sociologie, philosophie.

Une programmation collégiale des enseignants qui propose cinq « Rencontres du soir » dans l’année afin de partager le travail d’artistes et de chercheurs en lien avec des enjeux et l’actualité de l’art contemporain. Elles sont ouvertes en soirée également aux Alumni et au public extérieur.

« Permaculture des arts & utopie : une pépinière de la pluridisciplinarité » – arts plastiques Metz/Épinal – musique – danse

Une proposition mensuelle de Stéphane Ghislain Roussel.
Le programme pluridisciplinaire explore en 2023–2024, la sphère des corps. De la catharsis aux expériences les plus oniriques, le corps est au coeur du vivant. « Retourner aux corps » dans le sillage artistique c’est se pencher sur des champs allant de la performance dans la filiation du Happening et du Body Art, aux corps sonores et à la danse, mais c’est aussi, avec un peu de recul face à l’épidémie du Covid (toujours active), s’attacher à la sphère de l’intime à travers le soin de soi et le care. Expression des identités et violence de l’invisibilisation, présence en puissance sensorielle, le corps est le vecteur d’un art total et sociétal. Dépassant un anthropocentrisme qui conditionne encore et toujours l’art occidental, retourner aux corps, c’est également, aujourd’hui plus que jamais, s’attacher à des dialogues entre humains sensibles et sensibilités non humaines. Et pourquoi pas, ressentir le corps comme un jardin ?

Ateliers images imprimées des écoles d’art du Grand Est

Ls ateliers images imprimées des établissements supérieurs d’art du Grand Est : l’ÉSAL (École supérieure d’art de Lorraine), l’ENSAD (École nationale supérieure d’art de Nancy), l’ESAD (École Supérieure d’Art et de Design) de Reims, la HEAR (Haute école des arts du Rhin), se rencontrent autour des formes multiples du dessin. Il peut s’agir de projets tels que rencontres, workshops, débats, expositions dans des lieux de différentes natures ou d’éditions qui engagent la participation d’étudiants.

Tumultes, cases et débordements: 3 workshops,2 expositions et 1 édition autour des pratiques du dessin et de l’illustration

Depuis 2019, l’ÉSAL propose une semaine spéciale et intensive dédiée aux pratiques du dessin, de la narration et de leurs espaces de diffusions. Des workshops, des expositions, des rencontres et des éditions font de cet évènement un espace incontournable de découverte et de partage. L’ÉSAL travaille en collaboration avec le festival Le livre à Metz
et la galerie associative messine Octave Cowbell.

Résidence et création dans le paysage: parcours art en territoire 

Résidence au CIAP de Vassivières, mai 2023, photo: François Génot.

À la suite du projet de la Heidenkirche (2017-2022), un partenariat a été développé avec le Centre international d’art et du paysage – île de Vassivière en Nouvelle-Aquitaine, Limousin. Les étudiants bénéficient d’une semaine de résidence, afin de créer un parcours artistique dans le bois de sculptures de l’île. C’est un temps de création singulier, un moment fort de vie collective. Une exposition estivale publique et soutenue par le CIAPV, permet la visibilité des œuvres.

Carte de visite, l’exposition annuelle des jeunes artistes diplômés

Chaque année, les jeunes artistes fraichement diplômés de l’Ecole Supérieure d’Art de Lorraine de Metz donnent rendez-vous au public, afin d’y présenter leur exposition. Dans une déambulation pensée par eux, ils choisissent une seule de leurs œuvres. L’évènement, de la communication visuelle et a la scénographie, est entièrement organise par les artistes. Le vernissage de l’exposition est également le moment de l’annonce des lauréats du Prix Point d’Or et du « coup de cœur Bliiida » (cf. ci-dessous).

Prix Point d’Or de l’ÉSAL et « Coup de Cœur Bliiida »

Le vernissage de l’exposition « Carte de visite » est le moment de l’annonce des lauréats du Prix Point d’Or et du « Coup de cœur Bliida ». Le Prix Point d’Or est un prix porté par l’école afin de soutenir un lauréat de chaque option, par un montant en numéraire pour encourager les premiers pas dans la vie active. Les membres de ce jury sont des professionnels de l’art choisis par la direction.
Le « Coup de cœur Bliiida » complète le prix, par une résidence de 2 mois (selon le projet artistique) pour un·e diplômé·e, dans le tiers lieu d’inspiration, d’innovation et d’intelligence collective, basé à Metz.

Les Petits Laboratoires de l’Image

La DAAC en lien avec l’IA-IPR arts plastiques, la DRAC et les écoles d’arts de Lorraine, a développé un dispositif en direction des classes de collège et de lycée intitule Les Petits Laboratoires de l’Image. Il s’adresse aux étudiants des écoles d’art pratiquant la photographie et leur permet de mener un court projet en direction d’élevés de collèges ou de lycées. L’ESAL contribue à ce dispositif qui permet à une douzaine d’étudiants de réaliser cette expérience rémunérée.

Partenaires particuliers

Chaque année l’ÉSAL organise une rencontre entre les étudiants et les Partenaires Particuliers de l’école, afin d’informer les étudiants sur les structures et leurs programmations. Cette rencontre s’effectue en deux temps : une après-midi centrée sur les institutions telles que le Centre Pompidou — Metz, le MUDAM, le Casino, le Signe, centre de graphisme national, etc. Le lendemain, une visite guidée se déroule dans les lieux culturels de la Ville de Metz, organisée par le réseau LORA, afin de familiariser les nouveaux arrivants avec le paysage et les acteurs du terrain.

Évènements à envergure nationale

Elle coopère et favorise la participation des étudiants aux biennales (workshops et expositions) telles que la biennale Exemplaires— formes et pratiques de l’édition à Rennes, la biennale de design graphique à Chaumont ou encore la biennale de la photographie à Mulhouse. Elle participe également aux Ateliers Ouverts et collabore avec le FRAC Lorraine autour des expositions et des artistes invités. Enfin, l’école encourage et soutien les journées d’études, colloques et séminaires organisés dans ses murs.

activité post- ou périscolaire

Ateliers de pratique artistique – adultes

Destiné au public adulte, l’École Supérieure d’Art de Lorraine propose des ateliers dispensés dans le cadre du temps libre, du lundi au vendredi de 18h30 à 20h30. De tous niveaux, ils sont encadrés par une équipe d’enseignants artistes.

Les ateliers proposés
— Dessin, avec Franck Girard
— Le dessin tous azimuts (dessin et narration), avec Eric Chapuis
— Estampe (gravure), avec Voici Satmarean et Yvette Szakacs
— Peinture à l’eau, avec Se-Lyung Moon
— Peinture à l’huile, avec Matthieu Gauthier

Stage de pratique artistique – Jeunes de 16 à 20 ans

En 2024, l’ÉSAL propose un  stage du lundi 26 février au vendredi 1er mars : une semaine d’ateliers qui parcourt par exemple le dessin, le volume, la vidéo, la peinture et la culture graphique et visuelle. Une semaine pour faire, expérimenter et penser la création artistique sous un angle différent. Ce stage est à destination des jeunes de 16 à 20 ans – qui souhaitent s’immerger dans la pratique artistique ou s’engager dans des études supérieures en école d’art.

Plus d’informations: http://www.esalorraine.fr/metz/ateliers/

 

Photo : Alicia Gardes, 2023.

Photo : Alicia Gardes, 2023.

coopération internationale

Politique ERASMUS de l’École Supérieure d’Art de Lorraine

Depuis près de 30 ans, l’École Supérieure d’Art de Lorraine développe des projets à l’international et est titulaire d’une charte Erasmus depuis 2003. Une excellente connaissance des spécificités et atouts de nos établissements partenaires garantit des mobilités personnalisées en fonction d’objectifs d’acquisition de compétences. Notre situation géographique, frontalière avec 3 autres pays, le Luxembourg, la Belgique et l’Allemagne nous a conduit à privilégier à l’origine les projets transfrontaliers.

À télécharger : + Lire la suite de la déclaration de politique ERASMUS

 

Mobilité Erasmus

Le programme pédagogique de l’ESAL propose un semestre de mobilité internationale au semestre 8 (pour les étudiants de Metz) et au semestre 4 (pour les étudiants d’Epinal).

La mobilité peut avoir lieu soit dans le cadre du programme Erasmus soit dans celui de partenariats bilatéraux pour les pays qui ne sont pas éligibles au programme européen.

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/metz/erasmus/

 

Financement

Les étudiants perçoivent une allocation de mobilité Erasmus dont le montant dépend du nombre de mobilités accordées à l’école par l’agence Erasmus et du nombre de mobilités effectives ainsi que du pays d’accueil.

Pour l’année 2022-2023 l’allocation mensuelle a été fixée à:

Pays du groupe 1 : 455 € par mois
Pays du groupe 2 : 400 € par mois
Pays du groupe 3 : 345 € par mois

Une aide complémentaire peut-être également attribuée. Les modalités, ainsi que la simulation du montant peuvent être consultées sur le site : https://www.grandest.fr/vos-aides-regionales/aide-a-mobilite-internationale-etudiants/

La Région Grand Est attribue également des bourses vers les pays non éligibles au programme Erasmus et pour des stages à l’étranger (sous réserve de modifications).

Des conventions sont en cours pour élargir davantage notre réseau de partenaires. L’ÉSAL participe à :

  • Art Accord France, plateforme de mutualisation et d’échanges pour les responsables des relations internationales des écoles d’art permet de partager des informations, des outils et des expériences, de mettre à disposition des contacts, des partenaires potentiels.
  • ELIA, European League of Institutes of the Arts, donnant à chacun de ses membres une visibilité internationale et une ouverture sur un réseau d’excellence européen.
  • Campus Art afin de recruter par équivalence des étudiants du monde entier.

Pour ce qui sont des autres partenaires, la coopération transfrontalière est particulièrement intéressante du point de vue de la situation géographique de l’école, afin de développer des ateliers intensifs avec des partenaires transfrontaliers.

Contact

Billal Mebarki
+33 3 87 39 61 45
bmebarki@esalorraine.fr

galerie

La Galerie de l’Esplanade est un espace de 400 m², dont la gigantesque baie vitrée donne sur le Jardin à la Française de l’Esplanade. Vitrine ouverte sur la ville, la galerie de l’Esplanade permet aux étudiants de tester dispositifs d’accrochage et de monstration, en particulier lors de la soutenance des diplômes.

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/metz/materiel-et-ateliers/

 

Préparation de l’exposition des diplômés du DNA, octobre 2020, crédits : Romain Gamba

équipements spécifiques

Se déployant sur un espace de 3 000 m2, l’ÉSAL à Metz se structure à partir d’ateliers, de laboratoires, de ressources multimédia et de spatialisation, etc. Outre l’amphithéâtre et la salle de projection cinéma, l’école dispose de PAN et d’EDIT*ON.

Trois nouveaux espaces pédagogiques dédiés à la photographie, à l’édition et à l’image mouvement.

PAN Photo, Pôle Argentique et Numérique

L’ÉSAL propose l’enseignement de la photographie argentique et numérique depuis de nombreuses années. Avec l’espace PAN Photo, les étudiants bénéficient d’une approche complète du développement et du tirage photographique – de la prise de vue jusqu’à sa réalisation finale. Transversal et ouvert aux options Art et Communication, PAN Photo se veut diagonal et multifonctionnel. La nouvelle activité de tirage argentique couleur constitue une innovation parmi les Écoles d’Art du Grand Est.

EDIT*ON, espace de création éditoriale

L’édition est constitutive de l’identité de l’école, notamment à travers une pédagogie stimulée par l’écriture. L’enseignement éditorial a pour objet l’acquisition de connaissances pratiques en matière de culture visuelle et de création design. L’école encourage l’engagement créatif des étudiants dans toutes les pratiques, attentifs à l’édition, à l’image imprimée, à la typographie et à la création graphique en général. EDIT*ON rassemble plusieurs fonctionnalités en 1 espace : un Fablab, un espace tirage, un espace découpe et un espace reliure.

DUPLEX, espace pédagogique dédié à la vidéo et au son

L’espace DUPLEX se veut un espace modulable dédié aux pratiques des images en mouvement dans une diversité d’approches.
Destiné à être un espace de création audiovisuelle, d’expérimentations, de production, d’exposition et de diffusion à la croisée des pratiques artistiques : studio prise de vue et de son, régie d’enregistrement, manipulation et diffusion en direct, espace de Vjing, performances audio-visuelles et scéniques en direct, installation et mise en espace des images en mouvement (de l’écran à l’espace immersif), espace black-box pour l’exposition des images en mouvement, etc.

En 2023/2024, l’ÉSAL se dote d’un ascenseur pour faciliter l’ accessibilité aux ateliers pour les personnes à mobilité réduite.

L’ÉSAL et le tiers lieu Bliiida

L’ÉSAL et Bliiida, tiers lieu d’inspiration, d’innovation & d’intelligence collective, s’associent afin de permettre aux étudiants d’accéder à des équipements et à des compétences spécifiques en termes de fabrication numérique. En complément d’un atelier bois de proximité, le partenariat – qui s’inscrit dans le long terme – articule formation et professionnalisation. Les enseignements — accompagnants la production des travaux des étudiants — sont enrichis par l’accès à des équipements techniques et performants, par des formations sur les machines et outils pilotées par ordinateur, et par le suivi des techniciens du FabLab MIDO. Le tiers lieu soutien également un diplômé par an, avec le « Le Coup de cœur Bliiida ».

Les autres ateliers

– atelier hypermédia
– atelier de design graphique, éditorial et typographique
– atelier dessin
– atelier modelage
– atelier LabVIES
– atelier de recherche sonore
– atelier de gravure et image imprimée
– atelier bois de proximité (cf partenariat avec Bliiida)
– studio de captation vidéo (fond vert)

Plus d’informations : http://www.esalorraine.fr/metz/materiel-et-ateliers/

réseaux

  • ANdEA : Association Nationale des Écoles supérieures d’Art
  • ANESCAS : Association Nationale d’Établissements Supérieurs de la Création Artistique dans le domaine des arts de la Scène
  • Association Réseau des Écoles Supérieures d’Art du Grand Est
  • AGEM (association des grandes écoles de Metz),
  • Art Accord France,
  • CGEL : Conférence des Grandes Écoles de Lorraine,
  • Charte Erasmus,
  • ELIA,
  • Metz Campus,
  • Isseetech (Institut supérieur européen de l’entreprise et de ses techniques),
  • Réseau LORA, Lorraine Art contemporain,
  • Plan d’Est,
  • PLES : Pôle Lorrain d’Enseignement Supérieur,
  • Pôle Images
  • PR2A : Pôle de Recherche en Art et Architecture,

équipe administrative

Nathalie Filser Directrice générale et du Pôle arts plastiques Metz
Gilles Balligand Administrateur
Alice Blas Responsable ressources humaines et paie
Sabrina Gerber Assistante administrative aux ressources humaines
Billal Mebarki Gestionnaire budget, finances et régisseur 
Valérie Massonnet Assistante administrative au budget
Juliette Férard Responsable de la communication
Marion Sztor Chargée de la scolarité
Thibaud Schneider Chargé de la médiathèque
Patrick Ricordeau Responsable Informatique, réseau pédagogique
Claudine Langenberger Responsable Informatique, réseau administratif
Daniel Collot Responsable patrimoine et logistique
Gaëtan Leclerc Responsable des ateliers 
Nathalie Putz Entretien, logistique

professeurs

Biographies des enseignant·es : lien

*Docteurs

 

Aurélie Amiot,
image imprimée

Émilie Aurat,
design graphique et typographie

Éléonore Bak*,
son

Célia Charvet*,
écriture, arts de l’exposition et suivi de mémoire

Léo Coquet*,
écriture, design graphique et suivi de mémoire

Melina Farine,
photographie

Jean-Denis Filliozat,
design d’espace et d’interface

Matthieu Gauthier,
peinture

François Génot,
dessin et narration

Agnès Geoffray,
photographie et plasticité de l’écriture

Christophe Georgel*,
histoire de l’art et suivi de mémoire

Franck Girard,
dessin

Christian Globensky*,
initiation et interface

Hélène Guillaume,
vidéo live et images en mouvement

Antonin Jousse*,
images numériques et génératives

Farah Khelil*,
culture visuelle et suivi de mémoire

Jérôme Knebusch,
biennale Exemplaire

Elamine Maecha,
Institut Page et design éditorial

Constance Nouvel,
photographie

Émilie Pompelle,
transmédia et « Document d’artistes »

Jean-Christophe Roelens,
volume technique et matériaux

Yvain Von Stebut*,
Radio-théorie et suivi de mémoire

Frédéric Thomas,
transmédia, animation & FabLab

Pierre Villemin,
vidéo

Allison Wilson,
anglais

Assistants:

Robert Jung,
édition

Daniel Kommer,
perspective, 3D, LE CUBE

coordonnées

ÉSAL, École Supérieure d’Art de Lorraine — Metz/Épinal
1, rue de la Citadelle
57000 Metz
+33 (0)3 87 39 61 30
metz@esalorraine.fr

Site Internet : www.esalorraine.fr 

Newsletter ÉSAL arts plastiques • Metz – Épinal : évènements culturels et artistiques de l’école ouverts au public (expositions, concerts, conférences, rencontres). Inscription sur le site internet.

Réseaux sociaux

Facebook : @École Supérieure d’Art de Lorraine • Pôle arts plastiques
Instagram : @esalorraine_metz
Linkedin : @École supérieure d’art de Lorraine
Issuu :  @esal.edition 
Vimeo : @ÉSAL
Youtube : @esalorraine

effectif

216 étudiants en arts plastiques Metz/Épinal

135 à Metz
83 à Epinal

39 artistes-enseignants et 4 assistants en arts plastiques Metz / Epinal

27 enseignants-artistes et 2 assistants à Metz
12 enseignants-artistes et 2 assistants à Épinal

Monaco

Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la Ville de Monaco (ESAP)

présentation

Le projet du Pavillon Bosio est étroitement lié au contexte et à l’histoire de Monaco. L’école est héritière des associations historiques initiées par les Ballets russes au début du XXe siècle et du dialogue qui a toujours eu cours à Monaco entre les arts visuels et les arts de la scène. Cette orientation se traduit par une sorte de double cursus : d’une part les étudiant·e·s sont encouragés à développer leur pratique personnelle d’artiste quelque soit sa forme et c’est sur la base de ce travail que sont fondés les échanges avec les professeurs et jurys pendant les bilans, les galeries d’essai et les diplômes. D’autre part, ils participent à de nombreux projets collectifs et reçoivent des enseignements spécialisés en scénographie. A partir du Master, ils peuvent choisir l’un des quatre ateliers de recherche et création « scénographie d’exposition », « scénographie de la danse », « scénographie du théâtre » et « scénographie de la mode », les étudiants ayant la possibilité de passer de l’un à l’autre entre la 4e et la 5e année.

Cet environnement permet à la plupart des projets développés par les étudiants du Pavillon Bosio de prendre forme grandeur nature dans le cadre des partenariats noués par l’école avec de nombreuses institutions, théâtres, musées et centres d’art. A Monaco c’est notamment le cas avec les Ballets de Monte Carlo, le Nouveau Musée National de Monaco (NMNM), l’Espace Léo Ferré, le Théâtre Princesse Grace, le Théâtre des Variétés, la Société des Bains de Mer, la Galerie du quai, le Musée océanographique, les Rencontres Philosophiques… Au delà de Monaco, de nombreux projets sont développés en France et à l’étranger en association avec des Théâtres comme le TNN de Nice, le théâtre de l’Aria à Olmi-Cappella, le Cube Studio théâtre de Hérisson, des musées ou centres d’art comme le Musée de Sérignan, le 109 à Nice ou avec d’autres écoles d’art comme La Manufacture — Haute École des Arts de la Scène à Lausanne, l’ENSAV — La Cambre à Bruxelles, le Curatorial Studies Institute de Bratislava, le réseau L’École(s) du Sud, ou les écoles supérieures du réseau ECART (European Ceramic Art and Research Team).

1/18
Workshop ARC céramique (c) Esap Monaco
2/18
Imprévus, Partenariat Ballets de Monte-Carlo - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
3/18
Imprévus, Partenariat Ballets de Monte-Carlo (c) Esap Monaco
4/18
Imprévus, Partenariat Ballets de Monte-Carlo - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
5/18
Colloque Mise en scène du réel - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
6/18
Performance des étudiants, Le Bal des Chimères (c) Esap Monaco
7/18
Atelier peinture grand format (c) Esap Monaco
8/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
9/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
10/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
11/18
Exposition des travaux d'étudiants de 3e année - Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
12/18
Exposition des travaux d'étudiants de 3ème année (c) Esap Monaco
13/18
Exposition The project MPA - Joana Vasconscelos (c) Esap Monaco
14/18
Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco
15/18
(c) Digital lab
16/18
Studio dispositif de l'image et performance
17/18
Studio Scénographie — Espèces d'espaces
18/18
Garden Club #2 Les réformées du droit réservé

options

Les deux axes de la scénographie

La scénographie de spectacle & d’art vivant
La scénographie se révèle dans la tension salle-scène, regardant-regardé, au travers notamment de dispositifs scéniques frontaux, bi-frontaux, etc . À l’origine objet de commande, elle s’affranchit aujourd’hui de ses prescripteurs et de la notion de décor . Sa pratique s’enrichit de nouvelles compétences, du son à la vidéo en passant par les technologies numériques . Si son champ d’inscription reste la scène, en tant que lieu et concept, d’où elle tire son histoire et ses procédés, ses modes d’intervention franchissent désormais le seuil du plateau . L’enseignement des relations multiples entre espace et texte, espace et corps, espace et son, espace et lumière demeure essentiel . Dans un mouvement d’aller et retour entre le plateau et le travail d’atelier, les expérimentations sont déplacées Leurs enjeux esthétiques et dramaturgiques sont questionnés à l’aune des attentes du public et du rôle des arts vivants dans la société. Les projets convoquent la scénographie comme métier, comme discipline artistique, comme pratique d’auteur . La traduction la plus immédiate de ces interactions s’incarne dans l’exercice du théâtre, de la danse et de la performance.

La scénographie d’exposition
L’exposition est appréhendée comme un format de recherche qui met en relation l’œuvre, le dispositif, et l’architecture . Cet axe associe des enseignements sur l’histoire des expositions, sur l’architecture et le design, et sur l’installation. Il transmet une réflexion sur la création pensée comme lien entre des œuvres, des lieux, des expériences de spectateur . La scénographie est un des moyens de construction de cette relation, à travers une recherche sur la conception et l’organisation de l’espace, de la temporalité, d’un parcours . Les rapports au corps et aux modalités de récit sont interrogés et explorés . Les projets d’exposition sont aussi analysés à partir des positionnements curatoriaux qui les portent, et des différentes typologies qui s’en dégagent, entre exposition d’auteur, exposition recherche, exposition collaborative, etc . Les étudiant·e·s sont eux-mêmes en charge d’un certain nombre de projets d’expositions.

diplômes

DNA option Art & Scénographie
DNSEP option Art & Scénographie

post-diplôme

Décors programme professionnalisant

Depuis la rentrée 2022, le post-diplôme prend la forme d’un programme de professionnalisation intitulé Décors. Il s’adresse à des diplômé·e·s d’écoles d’art titulaires d’un DNSEP et a pour ambition d’accompagner chaque année un groupe de jeunes professionnel·le·s dans leurs premières expériences en scénographie. Il s’appuie sur des commandes adressées par des entités culturelles partenaires du Pavillon Bosio.

Résidence
Sous réserve de validation par le comité d’attribution des ateliers, les participant·e·s peuvent se voir attribuer un atelier collectif au sein des ateliers administrés par la Direction des Affaires Culturelles sur le Quai Antoine 1er pour une durée de six mois (prolongation non automatique au-delà de six mois, soumise à approbation du comité ad hoc). Cet atelier doit permettre aux participant·e·s de travailler collectivement à la mise en œuvre des commandes mais ielles sont également encouragé·e·s à y présenter leur travail personnel à l’occasion de rendez-vous ponctuels organisés avec les professeur·e·s et intervenant·e·s du Pavillon Bosio et des professionnel·le·s de l’art monégasques.

Accès à l’offre pédagogique et aux installations du Pavillon Bosio
Par ailleurs, les participant·e·s au programme Décors ont accès aux activités du Pavillon Bosio ainsi qu’à ses équipements. Leur inscription au programme leur permet en outre de postuler à des stages conventionnés. Les participant·e·s au programme sont inscrit·e·s en 6e année au Pavillon Bosio. Ce statut leur permet de postuler à des stages conventionnés.

6e année
Nouveau dispositif permettant aux étudiant·e·s diplômé·e·s du Pavillon Bosio de se réinscrire pour un an (uniquement dans l’année qui suit l’obtention du DNSEP) de manière à profiter d’un statut étudiant pour une année supplémentaire, cette sixième année permet notamment la délivrance de conventions de stage. Elle donne accès à toutes les conférences organisées par le Pavillon.

programmes de recherche

Le Pavillon Bosio produit chaque année de nombreux contenus inédits autour de la scénographie, son domaine de spécialité.

Ateliers de recherche et de création
Les ARC jouent un rôle important dans les activités de recherche au sein du Pavillon Bosio. Chacun des quatre ARC se construit autour d’une phase d’investigation théorique, accompagnée par des intervenants chercheurs ou professionnels. Certains de ces projets donnent lieu
à des captations ou à des publications (par exemple à l’occasion des dix ans du projet Imprévus avec les Ballets ou à l’issue du cycle ECART autour de la céramique à résonance rituelle). Presque tous les projets sont liés à des voyages de recherche (par exemple sur les traces de Carlo Scarpa en Italie du Nord ou à Bruxelles pour une journée d’étude sur la mise en scène théâtrale avec des étudiants de la Cambre).

Conférences, séminaires et studios
De nombreux intervenant·e·s sont convié·e·s chaque année au Pavillon Bosio, parfois en collaboration avec des institutions partenaires comme le Nouveau Musée National de Monaco ou les Rencontres philosophiques. Artistes, scénographes, historiens, philosophes viennent exposer leurs travaux et produire des formes nouvelles avec les étudiant·e·s. Les conférences constituent un fonds accessible et utile aux projets de recherche archivés à la bibliothèque.

  • L’entour
    L’entour est un cycle de conférences organisé en partenariat avec les Beaux-Arts de Paris et l’École d’architecture Paris-Malaquais autour de l’histoire et de la technique de la scénographie d’exposition. Une douzaine de conférencier·ère·s internationales·aux sont convié·e·s chaque année. Les conférences se tiennent alternativement à Paris ou à Monaco et sont diffusées en direct en vidéo.
  • Séminaires autour des pratiques curatoriales et de la mise en scène
    Introduits pour la première fois dans la grille pédagogique du Pavillon Bosio, ces deux séminaires s’adressent à des étudiant·e·s en Master.

Le colloque
Événement bisannuel ouvert au public, le colloque organisé par le Pavillon Bosio est un moment privilégié pour entendre la parole d’artistes, de chercheurs, d’historiens, de critiques d’art, de commissaires d’exposition, de scénographes, de chorégraphes et de personnalités issues de la danse et du théâtre. Ce colloque permet de faire un état de la recherche en art et en scénographie. Le prochain colloque se tiendra en décembre 2024 et sera entièrement consacré à des projets de scénographie conçus par des artistes. La liste des intervenants est pensée de manière à traiter à la fois des exemples historiques par la voix d’historiens et de chercheurs et des expériences de première main avec la participation d’artistes et de commissaires.

revues

Une collection de livres sur la scénographie, une revue

Une nouvelle publication annuelle a été lancée par le Pavillon Bosio en 2023. Le colloque sert toujours de point de départ à cet ouvrage mais il est augmenté d’images et de textes complémentaires et diffusé dans les librairies spécialisées. Pour la première fois, le Pavillon Bosio s’associe à une maison d’édition (Manuella) et à son distributeur (Les Belles Lettres). Le premier numéro s’appuie sur les conférences du colloque 2021 — « D’après maquettes » — complétées par des invitations faites à quatre artistes sous forme de cahiers d’images (parution octobre 2023). Le deuxième numéro est entièrement dédié à la scénographie de la mode (parution printemps 2024). La revue Pavillon, qui avait été éditée entre 2008 et 2022, compte aujourd’hui douze numéros et plus d’une centaine de contributions. Elle forme un corpus théorique unique dans le champ de la scénographie.

Jusqu’en 2022, les actes du colloque étaient publiés dans la revue Pavillon.

Le dernier numéro paru en décembre 2022 (nº 13) restitue les interventions du colloque 2021 intitulé « Et si les machines s’étaient endormies… »

— Pavillon n°1 (2008) : L’Imaginaire de la scène au cinéma
— Pavillon n°2 (2009) : Scénographie d’auteur
— Pavillon n°3 (2011) : Les Arts plastiques et la scène
— Pavillon n°4 (2013) : Mises en scène du réel
— Pavillon n°5 (2014) : L’Objet scénique
— Pavillon n°6 (2015) : L’Expérience de l’exposition : réception et temporalité
— Pavillon n°7 (2015) : Les Utopies du musée : pour une mémoire dynamique
— Pavillon n°8 (2016) : Dispositifs et (re)présentations
— Pavillon n°9 (2018) : La Place des corps
— Pavillon n°11 (2020) : Still Alive : l’animal vivant dans la création artistique
— Pavillon n°12 (2021) : Le Jardin comme exposition, l’exposition comme jardin
— Pavillon n°13 (2022) : Et si les machines s’étaient endormies

revues

— Expositions : exposition annuelle des étudiant·e·s de 3e année, exposition annuelle des diplômé·e·s de 5e année.
— Représentations publiques : les Imprévus — 4e et 5e années (spectacles jeunes scénographes, jeunes chorégraphes : Atelier des Ballets de Monte-Carlo) ; Théâtre et Nature — 4e et 5e années, au Cube, studio-théâtre de Hérisson ;  Scéno des mots — 3e année (forme expérimentale : Espace Léo Ferré, Monaco)
— Participations aux forums et festivals : Monaco Dance forum, Printemps des Arts, Rencontres philosophiques de Monaco…
— Colloque bisannuel de scénographie.
— Cycle de conférences.
— Stages.
— Déplacements culturels (Biennale de Venise, Biennale de Lyon, Festival Actoral Marseille, Festival d’Avignon etc.).

activité post- ou périscolaire

Ateliers publics enfants, adultes et adolescents : dessin, peinture, céramique, édition/reliure, infographie 2D 3D.
Stages pratiques amateurs durant les vacances scolaires : peinture, céramique, photographie.
Mini-stages pratiques amateurs le mercredi matin, sur quatre matinées consécutives, pendant la période scolaire.

coopération internationale

Partenariats : HEAD – Genève, ENSAV La Cambre – Bruxelles, Toneelacademie Maastricht, ENSA Villa Arson – Nice, EKWC – Oisterwijk, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, La Manufacture, Haute école des arts de la scène – Lausanne, Théâtre national de La Criée à Marseille, MAMAC – Nice, Compagnie des Ballets de Monte-Carlo, Monaco Dance Forum, Nouveau Musée National de Monaco (NMNM), Musée Océanographique, Jardin Exotique, Archives audiovisuelles, Rencontres philosophiques de Monaco.

galerie

Salle du Garden (à l’ESAP – Pavillon Bosio), Monaco
Salle du Quai Antoine 1er (selon projet spécifique), Monaco

équipements spécifiques

Atelier de construction, Atelier de scénographie, Atelier édition/reliure, Studio photo et prise de vues, Atelier céramique, Atelier bois-métal, Digital Lab, Studio son/acoustique, Salle infographie, Salle vidéo, Centre de documentation spécialisée, Bâtiment annexe.

réseaux

L’École Supérieure d’Arts Plastiques de la Ville de Monaco fait partie du Réseau des écoles supérieures d’art du Sud, L’École(s) du Sud, comprenant : l’École Supérieure d’Art – Aix-en-Provence, l’École Supérieure d’Art – Toulon Provence Méditerranée, l’École Supérieure d’Art – Avignon, l’École supérieure des Beaux-arts – Nîmes, l’École Nationale Supérieure d’Art, Villa Arson – Nice, l’École Supérieure d’Art & de Design Marseille-Méditerranée, l’École Nationale Supérieure de la Photographie – Arles.
Elle fait également partie des réseaux suivants : ELIA (European League of Institutes of the Arts), BEAR (Bibliothèques d’Écoles d’Art en Réseau), Botox(s) (réseau d’art contemporain Alpes & Riviera), ICOM (Conseil International des Musées).

équipe administrative

Thierry Leviez Directeur
Béatrice Augier Adjointe au directeur
Sandrine Perrin Responsable des études et de la recherche
Stéphanie Gandolfo Coordination administrative, événementielle et logistique                                   
Nathalie Schoepff Comptabilité
Christelle Dubois Ateliers publics et stages pratiques amateurs   
Valérie Virgile Bibliothèque et réseau alumni 
Jean-Sylvain Marchessou Ateliers céramique et volume, accompagnement technique des étudiant·e·s
Gaël Rosticher Atelier numériques
Ewan McNab Régie du bâtiment

professeurs

Laurent P. Berger, scénographie de spectacle et d’exposition
Ondine Bréaud-Holland, esthétique, philosophie
Dominique Drillot, scénographie, scénologie, espace et lumière
Renaud Layrac, scénographie, expositions et dessin de projet                                                     
Mathieu Lorry Dupuy,  scénographie, scénologie, espace et lumière                                           
Damien MacDonald,  anglais et littérature
Maxime Matray, communication visuelle, design graphique
Frédéric Pohl, peinture, techniques de la représentation
Mathilde Roman, histoire de l’art contemporain et des expositions
Maïder Fortuné, vidéo, techniques et dispositifs   
Mathieu Schmitt, volume, installations et dispositifs
Damien Sorrentino, acoustique, installation et dispositifs
Laure Fissore, dessin / peinture
Jeffrey Haines, volume / céramique
Michaël Lorenzi, multimédia / 2D, 3D + suivi du parc informatique
Florent Mattei, multimédia / photographie + coordination archivage images ESAP
Sophie Sédiri, objet / édition, fabrication
Micha Vanony, multimédia / vidéo / acoustique + coordination site Internet, archivage vidéo

coordonnées

1, Avenue des Pins
98000 | Monaco
tél. + 377 93 30 18 39

contact@pavillonbosio.com
www.pavillonbosio.com

effectif

76 étudiants

Montpellier

MO.CO. ESBA – École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Contemporain

présentation

Depuis 2017, l’Ecole Supérieure des Beaux-arts Montpellier Contemporain (MO.CO. Esba) a intégré l’établissement public de coopération culturelle Montpellier Contemporain (MO.CO). Le MOCO comprend ainsi au sein d’une même structure le MO.CO. ESBA et deux lieux d’exposition et de production : le MO.CO. Panacée (laboratoire de la création contemporaine) et le  MO.CO., espace dédié à des expositions d’envergure internationale.

Cet écosystème permet de mettre en place un modèle pédagogique original, adapté à son territoire tout en prenant en compte un contexte international compétitif et en mutation. Le MO.CO. entend maîtriser la filière professionnelle du monde de l’art, depuis la formation jusqu’à la recherche, en passant par la production, l’exposition, la médiation et la diffusion, constituant ainsi une institution apte à assumer les enjeux de l’avenir. Le Conseil pédagogique a revu le cursus afin d’intégrer pleinement les étudiants à la vie de l’institution et les faire participer aux activités des deux espaces d’exposition, depuis les rencontres, workshops et visites d’ateliers organisées avec artistes, curators et critiques, jusqu’aux stages effectués au sein des services des expositions, de la médiation, de la régie ou de la communication, en passant par l’intégration dans ce cursus du riche programme de conférences, tables rondes et projections mis en place à La Panacée. Au-delà de cette dynamique artistique développée par le MO.CO., les multiples partenariats avec les autres institutions culturelles, écoles d’art et universités de la métropole forment également le « milieu » au sein duquel les étudiants exercent leur capacité critique et effectuent leur apprentissage des savoirs et des techniques.

Par ailleurs, le centre d’art La Panacée est le seul en France à compter en son sein une résidence universitaire. 27 étudiants du MO.CO. Esba y sont actuellement hébergés, leur permettant ainsi de s’immerger dans la vie du lieu, notamment par le biais de projets artistiques élaborés avec le service des publics.

L’immersion dans ce contexte artistique se place au coeur du projet pédagogique de l’école : participatif, basé sur la confrontation des points de vue et développant ses projets à l’échelle d’un territoire, tout en développant activement son réseau international. La pédagogie par la rencontre avec les oeuvres et les artistes, la formation intellectuelle par l’échange avec théoriciens et historiens les plus divers, constitue ainsi l’axe majeur du projet de l’ESBA.
Enfin, les dispositifs de soutien aux diplômés en partenariat avec des acteurs du monde de l’art et au-delà constituent l’un des axes forts souhaités par le MOCO ESBA et représentent des opportunités pour les jeunes artistes dès leur sortie de l’école (Saison 6 – programme de résidences internationales, résidence transatlantique avec la Fonderie Darling à Montréal, résidence avec le domaine viticole Château Capion, etc…), permettant déjà aux jeunes artistes issus de l’école de bénéficier d’un véritable soutien professionnalisant.

1/1

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

éditions

revues

revues

coopération internationale

Dans un monde ouvert caractérisé par la circulation rapide des idées, des personnes et des oeuvres, l’expérience internationale est plus que jamais indispensable pour former les créateurs de demain. Elle permet la confrontation des cultures, des savoirs, des expériences, des productions et favorise l’ouverture culturelle, linguistique, intellectuelle et professionnelle des étudiants. L’ESBAMA a noué des accords à l’international, principalement dans le cadre du Programme Erasmus, et selon d’autres modalités.

1 – ERASMUS
Membre du programme Erasmus+ 2014 – 2020, l’ESBAMA est habilitée a proposer des mobilités entrantes et sortantes dans le cadre des partenariats établis, tant pour les étudiants que pour le personnel de l’Esbama et des établissements concernés. L’établissement a adopté la charte Erasmus pour l’enseignement supérieure (cf. document à télécharger).

Accords bilatéraux signés avec l’Esbama

2 – Autres accords
Des accords ont été conclus par ailleurs en dehors du programme Erasmus:

galerie

Galerie d’exposition de 220 m2

équipements spécifiques

Sérigraphie, gravure, volume, PAO, vidéo, cinéma d’animation, photographie…

réseaux

ANdEA

équipe administrative

Numa Hambursin Directeur général du MO.CO
Yann Mazéas Directeur
Marjolaine Calipel Responsable des études
Elisabeth Vergnettes Assistante de gestion administrative, pédagogie et scolarité
Corinne Nuccio Comptabilité
Céline Pires Assistante accueil/scolarité
Isabelle Quaglia Bibliothécaire
Thierry Guignard Responsable Technique MO.CO. Esba / Responsable Informatique MO.CO.
André Devezeaud Technicien : Volume, Bois et Fer
Thomas Ducrocq Technicien : PAO, micro-édition
Montse Prats Technicienne : Vidéo, Son
Daniel Rizo Technicien : Volume, Bois et Fer
José Sales Technicien : Photo, Sérigraphie-Gravure
Karine Secrétant Technicienne : Volume, Bois et Fer

professeurs

Gilles Balmet
Caroline Boucher
Laetitia Delafontaine
Joëlle Gay
Corine Girieud
Yohann Gozard
Sylvain Grout
Miles Hall
Pierre Joseph
Alain Lapierre
Nadia Lichtig
Julie Martin
Michel Martin
Caroline Muheim
Gregory Niel
Patrick Perry
Michaël Viala
Federico Vitali
Carmelo Zagari

coordonnées

MO.CO. ESBA
Ecole Supérieure des Beaux-Arts
130 rue Yehudi-Menuhin
34000 Montpellier

tél. +33 (0)4 99 58 28 20
Contact : esba@moco.art

http://www.mocoesba.art

effectif

165 étudiants

Mulhouse

Haute école des arts du Rhin | site Mulhouse

présentation

La Haute école des arts du Rhin est l’école d’un fleuve, l’école d’un territoire, l’école d’une époque en ébullition. Elle accueille 750 étudiant·es dans des formations d’enseignement supérieur artistique, préparant à des diplômes Licence Master Doctorat en Art, Design, Communication et Musique, ceci dans 20 spécialités. La HEAR se déploie sur plusieurs sites, dans deux villes – héritant de l’histoire de l’école des Arts décoratifs et du Conservatoire de Musique à Strasbourg, et de celle de l’école des Beaux-Arts à Mulhouse.
La HEAR présente tout au long de l’année des événements ou expositions liés à la pédagogie – hors les murs, en Alsace, en France ou à l’étranger ou en ses locaux, notamment à La Chaufferie (galerie de l’école). Concerts des ensembles de la HEAR-Musique, workshops, conférences, colloques, festivals … l’agenda est nourri de multiples propositions, souvent hybrides, dans une dynamique d’échanges continus avec son biotope culturel. La HEAR se veut une école poreuse, ouverte et augmentée de ses multiples partenariats. La HEAR est également Centre de Formation des Plasticiens Intervenants.

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNA  option Design mention design textile
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design
DNSEP  option Design mention design textile

formation continue

Programme annuel de formations de la HEAR

Des formations pour les artistes et professionnels de la création

Plasticiens, curateurs, architectes, designers, musiciens, performeurs, chorégraphes, metteurs en scène ou compositeurs : les formations courtes – de 3 à 5 jours – proposées par la Haute école des arts du Rhin (HEAR), à Mulhouse et Strasbourg, vous permettent de confronter votre travail à d’autres pratiques et d’autres territoires.
Les formations professionnelles de la HEAR s’articulent entre pratique et théorie dans le champ élargi de la création contemporaine : de l’édition en art à l’univers open source en passant par la mobilité internationale, la pratique du dessin, la création sonore ou le motion design.

Ces formations font intervenir une soixantaine d’artistes, philosophes, juristes, architectes, sociologues et personnalités du milieu de la création contemporaine. Elles donnent l’opportunité aux artistes de poursuivre leur processus de formation tout au long de leur parcours professionnel.

Programme complet disponible sur : http://www.hear.fr/formation-continue/programme-annuel/

programmes de recherche

Espaces sonores

Espaces sonores réunit les équipes dédiées aux arts sonores des trois sites de la HEAR accompagnées de l’équipe Art – La Fabrique. Il étudie notamment les rapports entre son et espace dans leurs dimensions artistique, culturelle et sociale.

éditions

Catalogues des expositions, livres d’artistes, catalogue annuel des diplômes, actes des colloques, conférences (collection Confer), estampes et affiches.

éditions

Conférences, workshops, voyages d’études, séminaires, journées professionnelles.
Expositions et installations in situ en lien direct avec la pédagogie mise en oeuvre dans l’école et son statut de recherche expérimentale qui se développe autour des arts plastiques (danse, musique, cinéma, théâtre, son, écriture).
Stages, expériences dans les milieux professionnels de création et de production.
Programmation d’une soirée trimestrielle de performances, lors des semaines de workshops « Tranches de Quai ».

activité post- ou périscolaire

Ateliers de pratiques artistiques adultes : cours du soir en dessin, peinture, gravure/lithographie, art contemporain, infographie, photographie.

coopération internationale

Séjours d’études à l’étranger
La HEAR a des accords avec quelque 100 écoles étrangères. Les échanges sont ouverts aux étudiants en Année 4.

Stages à l’étranger
S’ils doivent avoir prioritairement lieu lors de l’Année 4, les stages sont également possibles tout au long du cursus pendant l’été.

galerie

Un grand hall et deux salles d’expositions expérimentales.

équipements spécifiques

Ateliers traditionnels et multimédia : gravure, lithographie, sérigraphie, peinture, photographie, scénographie, volume, informatique et infographie, SONIC art & design sonore / pôle de recherche consacré aux pratiques sonores, montage audiovisuel.
Centre de documentation, vidéothèque.

réseaux

Alsace Tech, ANdEA, Anescas, Association européenne des conservatoires, académies de musique et Musikhochschulen, Cumulus, Elia, Versant Est réseau art contemporain Alsace

équipe administrative

Stéphane Sauzedde Directeur
Marc Ruhlmann Administrateur général
Noémi Baumler-Peyre Coordinatrice générale du site d’arts plastiques de Mulhouse
Rosalie Behra Responsable Scolarité Mulhouse
Josy Coutret Responsable Communication et développement
Virginie Ferraz Responsable Finances et commande publique
Claire Griot Bibliothécaire

professeurs

Thierry Ballmer
Louidgi Beltrame
Servin Bergeret
Édouard Boyer
Pierre Doze
Frédéric Dupuis
Jean-Nicolas Ertzscheid
Yvan Etienne
Ivan Fayard
Thomas Gluckin
Anne Immelé
Zoé Inch
Christelle Le Déan
Bertrand Lemonnier
Nathalia Moutinho
Fred Rieffel
Mirjam Spoolder
Chen Ni Yu

coordonnées

3 quai des Pêcheurs
68200 | Mulhouse
tél. +33 (0)3 69 76 61 00
mulhouse@hear.fr
www.hear.fr
facebook.com/hear.fr
https://www.instagram.com/hear.fr/

effectif

156 étudiants

Nancy

École nationale supérieure d’art et de design de Nancy

présentation

Fondée au XVIIIe siècle par le Ducs de Lorraine, l’école d’art de dessin fut d’abord une académie, augmentée à la fin du XIXe siècle de formations en arts appliqués tournées vers les industries d’art locales. La démarche de l’École nationale supérieure d’art et de design de Nancy (ENSAD Nancy) est aujourd’hui celle d’un établissement au service des publics. Ouverte et singulière, elle ménage un équilibre subtil entre théorie et pratique mais aussi entre recherche et professionnalisation. Une attention toute particulière y est portée aux enjeux d’égalité des chances et d’égalité entre les femmes et les hommes.
Parmi les sept écoles nationales installées en région, l’ENSAD Nancy est la seule de son statut à offrir des formations dans les domaines de l’art, du design et de la communication visuelle allant du premier cycle au troisième cycle en passant par un post-master.
L’ENSAD Nancy, située sur le campus Artem, un des douze campus d’excellence français. Elle dispose

  • d’ateliers de production performants : dessin, peinture, bois, métal, arts du feu - céramique, volume, modelage, sculpture, impressions (gravure, lithographie, sérigraphie, typographie, publication assistée par ordinateur, édition numérique), photographie argentique et numérique, conception assistée par ordinateur 3D, vidéo (studios de tournage et de son, banc de montage), multimédia, jeux vidéo ;
  • d’une galerie d’exposition de 250 m² intitulé NaMiMa (acronyme de Nano/Micro/Macro) ;
  • de nombreux services partagés : médiathèque, maison des langues, amphithéâtres, maison de l’étudiant.e, pôle de restauration multiservices ; offrant aux étudiants des conditions d’apprentissage et de travail exceptionnelles.L’ENSAD Nancy est une des trois composantes de l’Alliance Artem (ARt – TEchnologie – Management) aux côtés de Mines Nancy et d’ICN Business School. Cette alliance, créée en 1999, a permis de faire émerger une approche innovante de la pédagogie qui s’appuie sur des programmes transdisciplinaires reposant sur les compétences respectives et complémentaires des trois écoles. Elle favorise chez les étudiant.e.s une grande agilité adaptée à la complexité, à la transversalité des pratiques, à la nécessité de réactivité de notre société et à ses enjeux permettant de faire émerger de nouvelles compétences.

Option art : L’art, un commun à l’épreuve du monde. Le monde contemporain est paradoxalement globalisé et fragmenté, uniformisé et diffracté. Sa complexité grandissante nous échappe et une pensée unique tend à s’imposer malgré le potentiel émancipateur des réseaux sociaux. La pratique artistique est un défi permanent aux injonctions du management productiviste et de l’individualisme consumériste. L’art reste plus que jamais nécessaire et doit résister à toute tentative de domestication.

L’option art de l’ENSAD Nancy se définit comme un environnement ouvert et coopératif d’apprentissages, d’expérimentations, d’échanges, de créations et de recherches, sans a priori thématique, problématique ou stylistique. Un environnement qui garantit une attention égale à toutes les tentatives et à tous les essais.
Un environnement de travail ouvert à la prise de risque, aux réussites comme aux ratages. Un environnement de ressources techniques, culturelles et cognitives partagées et enrichies, questionnées et augmentées collectivement et continuellement. Le processus pédagogique de l’option art est le mouvement même de ce développement coopératif continu entre étudiant.e.s et enseignant.e.s. Il s’agit d’encourager les artistes en formation à mettre en commun leurs ressources, leurs idées et leurs dynamiques créatives.

L’environnement proposé par l’option art s’appuie sur une organisation pédagogique qui favorise les projets de groupes et les collaboration diverses à l’intérieur et à l’extérieur du champs de l’art. L’accent est mis sur la conception et la réalisation de projets concrets avec les partenaires présents dans la grande région, ainsi qu’avec l’alliance Artem et l’École offshore à Shanghai.

Chaque nouvelle génération se forme dans une distance savante avec la culture du passé, dans un dialogue avec la culture de son temps et dans un affrontement avec les questions d’actualité. Chaque nouvelle génération d’artistes émerge de l’intensité des interactions et du dialogue entre ses membres. Les dispositifs pédagogiques mis en place par l’option art visent l’interaction davantage que la transmission. Il s’agit, tout au long du cursus, dans les ateliers comme dans les cours ou les workshops, dans les expositions et les projets extérieurs, de favoriser et d’encourager les situations de travail, de suivi et d’évaluation qui engagent davantage le collectif et les collaborations, et qui installent des attitudes de solidarité et de coopération plus que de concurrence et de compétition.
L’option communication veut initier à l’urgence et à la nécessité de transmettre et de développer un art de l’information. L’étudiant.e y étudie sans limites, les écosystèmes conceptuels et techniques des arts visuels dans ses significations les plus contemporaines : les arts graphiques, le numérique, le cinéma d’information, la bande dessinée, le jeu vidéo, le display, la photographie… L’étudiant.e inscrit sa pensée en image, par sa compréhension du monde, ses flux, ses normes, ses formes, entre production et reproduction, écran et papier. Il .elle construit et active sa stature professionnelle par l’analyse critique de formes visuelles historiques et présentes, des plus ordinaires aux plus hautes, ainsi que par la fabrication d’objets graphiques nouveaux, la direction artistique de projets et la diffusion de sa recherche en direct.

communication.ensad-nancy.eu/

L’option design forme des créateur-trices, des concepteur. trices d’objets, d’espaces domestiques, urbains et paysagés, de services et de scénographies.
Elle tisse un lien privilégié dès le 1er cycle avec les écoles partenaires de l’Alliance Artem en intégrant dans son programme des propositions pédagogiques transversales, ce qui permet au futur designer
de concevoir et de diriger des projets au sein d’équipes pluridisciplinaires. Le design y est enseigné comme un régime d’activités lié aux environnements, aux « milieux » dans lesquels se déploie la totalité du vivant et où se développent les socialités. La formation cultive et privilégie la relation entre les échelles, du matériau (en amont de l’objet) au territoire. L’orientation pédagogique et les travaux de recherches
de l’option sont développés au sein de sa ligne de recherche intitulée : « Design des nouveaux milieux – Design des relations ». Celle-ci porte sur la relation entre individu(s) et milieu(x) et interroge la capacité du design à contribuer à la transformation de nos modes de vie pour parvenir à une vie, une société, un monde meilleur.

design.ensa-nancy.net

1/5
2/5
3/5
4/5
5/5

options

Art
Communication
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Communication
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Communication
DNSEP  option Design

troisièmes cycles

Atelier national de recherche typographique

L’ANRT est un lieu d’excellence où se développe une expertise particulière dans les champs du dessin de caractères typographiques et du design éditorial.
Il.elle a vocation à accompagner les projets de recherche personnels soumis chaque année par les candidat.e.s. Ces projets peuvent concerner aussi bien le dessin de caractères que le design éditorial. C’est aujourd’hui un 3e cycle de l’ENSAD Nancy qui accueille chaque année des jeunes chercheurs.e.s titulaires d’un diplôme supérieur (niveau master 2 ou équivalent), encadré.e.s par des spécialistes de premier plan dans le champ du dessin de caractères typographiques et du design éditorial.

post-diplôme

École offshore post-diplôme de recherche « création et mondialisation »

L’école offshore est un programme de recherche initié et développé par l’école nationale supérieure d’art de Nancy dans le cadre d’ARTEM.
Située dans l’une des villes les plus dynamiques de la planète, Shanghai, mégapole de 20 millions d’habitants, particulièrement représentative des mécanismes de la mondialisation, et implémentée dans un environnement cosmopolite extrêmement attractif pour les créateurs du monde entier, l’école offshore a pour ambition de développer un programme de référence concernant les enjeux de la création dans le contexte de la mondialisation.
Le programme de recherche « création et mondialisation » est ouvert aux étudiants post-master et aux artistes enseignants-chercheurs de l’ensemble des écoles d’art françaises. Les modalités de participation et de séjour à Shanghai sont définies en fonction des projets de chacun et selon le financement des écoles associées.
Les étudiants des écoles associées peuvent également participer à ce programme dans le cadre de leur semestre « mobilité »
Ce programme est transdisciplinaire et s’adresse aux diplômés en art comme aux diplômés d’autres disciplines. Il donne à chacun la possibilité de développer un projet personnel mettant en jeu la question de la création dans un contexte interculturel.
http://ecole-offshore.org

classe préparatoire

Classe Préparatoire aux Etudes Supérieures / Classe d’Approfondissement en Arts Plastiques (CAAP) Ensad Nancy

Classe préparatoire aux études supérieures / Arts

Lycée Frédéric Chopin (Public)
Esplanade Jacques Baudot
CS 54238 54042 Nancy cedex France
– secrétariat post-bac : Marie-Ange Bois
Tel : 03.83.40.85.24
courriel : post-bac@lycee-chopin.net

Contenu et organisation des enseignements pour la formation
Le programme de cette formation est fondé sur une approche pluridisciplinaire, permettant de conforter une culture artistique et générale, de développer les méthodologies du projet dans les démarches artistiques, avec un ancrage sur la diversité des pratiques artistiques.
La maîtrise de l’anglais est confortée en proximité avec les enseignements dispensés, afin de faciliter une ouverture internationale et la poursuite d’études à l’étranger.
Le projet pédagogique permet aux étudiants d’élaborer et réaliser un dossier personnel qui sera présenté aux entretiens d’admissions dans les écoles (premiers entretiens dès le mois de mars).
Au premier semestre, l’enseignement s’organise de manière hebdomadaire :
* 13 h de pratique artistique (création plastique bidimensionnelle, création plastique tridimensionnelle, création numérique, démarche de projet en art),
* 8 h de culture artistique (mise en perspective histoire de l’art et création artistique contemporaine, analyse et théorisation de la démarche artistique, approche des structures culturelles et démarches des artistes),
* 6 h de culture générale (anglais, philosophie et éléments d’esthétique, éléments de culture scientifique, lettres).
Le second semestre reprend ce découpage avec une orientation plus marquée vers la préparation des concours (réalisation des dossiers, préparation aux épreuves pratiques et entretiens d’admission selon les écoles concernées…).
Un module annualisé de pratique artistique avec des artistes vient compléter cette formation.
Les élèves sont accompagnés en parallèle pour développer leur projet artistique, et réaliser leur dossier.
Cette démarche vise à développer l’autonomie de l’étudiant qui bénéficie d’entretiens individualisés réguliers.
Attendus Nationaux
Disposer de compétences et de connaissances culturelles, littéraires et artistiques.
Disposer de compétences plasticiennes.
Disposer de compétences en matière de communication orale et écrite afin de pouvoir présenter et argumenter une démarche et une pratique artistiques.
Avoir développé au cours de sa scolarité ou dans le cadre personnel une capacité à la conduite d’un projet (notamment artistique et culturel) et au travail en autonomie.
Attendus Locaux
L’établissement n’a pas saisi d’attendus locaux

vae

programmes de recherche

Valuations

En 2014, l’option communication Nouveau département de l’Ecole nationale supérieure d’art de Nancy en partenariat avec le CNEAI= a commencé à développer une ligne de recherche dont l’intitulé Valuations concerne les notions de valeur et d’évaluation qui sont au coeur de nombreux processus sociaux, évidemment économiques et financiers, mais aussi symboliques qu’il s’agit de penser afin de les mettre à jour, afin aussi d’en proposer éventuellement d’autres modalités. Ce dispositif de recherche se propose de s’intéresser aux mécanismes de légitimation de la valeur et de contribuer à l’élaboration d’une théorie critique des mécanismes à l’origine de la dynamique associant évaluation (observation/mesure de valeur) et valorisation (production de valeur), sous des formes textuelles (théoriques et littéraires) comme artistiques. Cette ligne de recherche traverse les pratiques théoriques, artistiques et poétiques.
Elle réunit des créateurs (écrivains, artistes, graphistes), des philosophes, des économistes, des chercheurs en sciences humaines et sociales ou en sciences exactes et expérimentales et s’ouvre à une large gamme de domaines, en particulier l’éducation, les médias, les pratiques esthétiques quotidiennes…

Convention / Rencontres Vendredi 27 et samedi 28 mars 2015 Valuations, les mécanismes de légitimation de la valeur
Cneai – Île des impressionnistes à Chatou

éditions

Actes de colloques, catalogues d’exposition, affiches multiples et portfolios. L’École développe un programme d’édition et de coédition. Ainsi régulièrement sont publiés des catalogues d’exposition, des ouvrages d’art et de recherche.

Atelier national de recherche typographique – Archives 1985 – 2006. Édité à l’occasion du 30e anniversaire de l’ouverture de l’atelier (2015)
Strange design. Du design d’objet au design des comportements.(version anglaise)
Sous la direction de Jehanne Dautrey et Emmanuele Quinz. (2015)
Milieux et créativités (2016)
Construit à partir d’une série de séminaires ayant eu lieu à l’École nationale supérieure d’art et de design de Nancy entre 2011 et 2015 dans le cadre des activités de la plateforme de recherche Artem, cet ouvrage se donne pour objectif d’analyser l’émergence de nouvelles pratiques dans lesquelles des artistes, des designers, des graphistes, des architectes et des chercheurs oeuvrent au contact direct des différents milieux économiques et sociaux.
Design et pensée du care (2018) Pour un design des micro-luttes et des singularités. Sous la direction de Jehanne Dautrey, cet ouvrage est né de différentes collaborations engagées par l’ENSAD dans le cadre de sa recherche sur le « design des milieux ». Il s’interroge sur les relations entre design et pensée du care.
Sorcièrenuanonyme (2019). Le diséminaire « Sorcièrenuanonyme » s’est tenu du 6 au 8 avril 2018. Il a permis d’engager une refléxion sur la valeur de la parole et de l’anonymat.

activités & événements

Programme d’exposition : 5 à 6 expositions par an dans la Galerie NaMiMa et 5 à 6 expositions par an chez nos partenaires, Espace My Monkey, Centre culturel André Malraux, scène nationale, Musée des beaux-arts, Muséum Aquarium…

coopération internationale

galerie

Galerie S001 – Centre d’art Campus Artem
La  galerie de l’école qui se déploie sur plus de 260 m2 privilégie le travail dans une logique
de laboratoire avec de jeunes curateur.trice.s, de jeunes artistes français et internationaux et des étudiant.e.s dont certain.e.s sont issus des ateliers de l’Alliance Artem. Elle présente trois à quatre expositions par an dont l’une résulte d’un appel à projets international lancé en direction d’artistes ou collectifs engagés dans le champ de la recherche et s’intéressant aux formes émergentes.

équipements spécifiques

– Dessin.
– Peinture grand format.
– Volume, modelage et sculpture (terre, plâtre, résine, bois, métal, et plastique).
– Céramique
– CAO 3D (atelier doté de stations PC et Mac sous AutoCAD,3D Studio et Lightwave, couplées à des machines de prototypage et des imprimantes 3D).
– Impression : gravure, lithographie, sérigraphie, typographie,
– Publication assistée par ordinateur (PAO),
– Impressions numériques,
– Photographie : studio de prise de vue, argentique (laboratoire de traitement des films noir et blanc), et atelier numérique (stations de traitement, traceur).
– Vidéo : studio de tournage et bancs de montage,
– Studio son,
– Multimédia, interactivité, jeux vidéos…

réseaux

équipe administrative

Christelle Kirchstetter Directrice générale
Marine Aussedat, Sécrétaire générale
Loïc Horrelou Directeur des études
Dominique Laudien Directrice du développement, de la valorisation et de l’insertion professionnelle 
Caroline Barjon Relations internationales
Estelle Marchand-Ageron Responsable de la communication
Sophie Petitjean Médiathèque
Marie-Pierre Udron Secrétariat pédagogique
Marie Prêcheur Responsable de la scolarité

professeurs

Olivier Ageron
Jérôme Aich
Julia Andréone
Patrick Beaucé
Jean-Philippe Bretin
Alexandre Brugnoni
Jehanne Dautrey
Camille Debrabant
Alban Delacour
Julie Deutsch
Paul Devautour
Luc Doerflinger
Vanessa Dziuba
Jean-Jacques Dumont
Claire Fayolle
Philippe Fernandez
Peter Fletcher
Catherine Geel
Vincent Guimas
Catherine Guiral
Christophe Jacquet
Andrea Keen
Christophe Lemaitre
Samir Mougas
Leonor Nuridsany
Camila Oliveira Fairclough
Colin Ponthot
Tânia Raposo
Béatrice Selleron
Pierre Vanni
Benoît Verjat
Frédéric Wecker
Brigitte Zieger

coordonnées

1 place Charles Cartier-Bresson
boîte postale 13 129
54013 NANCY Cedex
tél. +33 (0)3 83 41 61 61
ecole.art@ensa-nancy.fr
www.ensad-nancy.eu

effectif

290 étudiants

Nantes et Saint-Nazaire

Beaux-arts Nantes Saint-Nazaire

présentation

L’école des beaux-arts Nantes Saint-Nazaire, une des plus anciennes de France, est une école à rayonnement national et international qui accueille, chaque année, plus de 400 étudiants se destinant aux métiers de l’art et de la création visuelle. Parmi ses anciens étudiants se trouvent de nombreux artistes de renom : Claude Cahun, Jacques Villeglé, Philippe Cognée, Pierrick Sorin, Fabrice Hyber, Lili Reynaud-Dewar, Hoël Duret, Justin Weiler…

Dans son projet d’établissement, l’école a fait le choix d’une stratégie originale, basée sur l’observation des cités innovantes à l’échelle internationale, qui parie sur un modèle d’enseignement renouvelé, et s’ancre dans un système de valeurs qui place l’art, la culture et le territoire au centre du développement de la métropole nantaise.
Le cursus se déroule autour des projets artistiques personnels de l’étudiant, d’un enseignement intense de culture générale et d’une connaissance des contextes artistiques. L’accent a été particulièrement mis sur la mobilité des étudiants et l’accueil des étudiants étrangers. Aux dispositifs de mobilité existants tels Erasmus, sont venus s’ajouter des programmes internationaux qui permettent aux étudiants de mener un projet plastique et théorique dans un pays étranger sur tous les continents, Europe, Amériques, Asie, Afrique… notamment à Marfa, Texas et à Dakar, Sénégal.

Depuis 2017, l’école a quitté le centre-ville pour rejoindre un nouveau bâtiment sur l’Île de Nantes. Ancienne halle industrielle réhabilitée par l’architecte Franklin Azzi, ce sont plus de 8500 m2 qui composent désormais les espaces mutualisés de la nouvelle école. 4 300 m² d’ateliers sont consacrés à la recherche et à l’expérimentation dans tous le domaines des arts visuels : pôles construction, image et print. Plus de 400 étudiants (dont 30 % d’étrangers), 2 000 élèves de tous âges et leurs équipes pédagogiques occupent les espaces dédiés à l’enseignement supérieur, aux cours publics et à l’éducation artistique.

Ouvert à tous·tes, le pôle public de plus de 900 m² est constitué notamment d’une galerie d’art et d’une collection d’art contemporain, d’un amphithéâtre et d’une bibliothèque spécialisée en art.

En 2018, l’école municipale d’art de Saint-Nazaire a rejoint l’EPCC de Nantes et déménage en 2022 pour un nouveau bâtiment de plus de 3000m2, à côté du Théâtre de Saint-Nazaire pour y développer un cursus DNA lié aux questions de paysages et de territoire, en lien avec les œuvres dans l’espace public et naturel.

Composante de Nantes Université avec l’ensa, Centrale Nantes, l’inserm, l’IRT Jules Verne, le CHU depuis janvier 2022, les Beaux-Arts de Nantes font aussi partie des grands établissements d’enseignement supérieur artistique regroupés de l’île de Nantes : l’école nationale supérieure d’architecture de Nantes (ensa Nantes), le pôle universitaire interdisciplinaire dédié aux cultures numériques, les Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire, l’école de design Nantes Atlantique et Audencia Sciences Com, le Pôle des arts graphiques.

Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire, architecture Franklin Azzi, photo Luc Boegly

Ce projet urbain répond aux grands enjeux de l’École des beaux-arts :
• encourager la création de pôles de recherche ;
• faciliter la mise en place de passerelles entre les acteurs du quartier ;
• renforcer l’attractivité pour offrir un environnement exceptionnel aux étudiants français et étrangers ;
• questionner et répondre aux enjeux du développement durable et sociétal.

Beaux-Arts Nantes diffuse sur 2 chaînes vidéo : vimeo et sur youtube

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Beaux-Arts, Île de Nantes. Photo We are contents
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Amphithéâtre beaux-Arts Nantes, photo Luc Boegly
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Bibliothèque des beaux-arts de Nantes
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Beaux-Arts – site Saint-Nazaire, architecture Titan
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Beaux-Arts – site Saint-Nazaire, architecture Titan
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diplômes

–site de Nantes
DNA Art
DNSEP Art

–site de Saint-Nazaire
Classe préparatoire nationale et internationale
DNA option Art, mention Territoires, paysages, espaces publics

Formations passerelles :
Master Civilisations, cultures et sociétés avec Nantes Université

 

coopération internationale

L’international est au cœur de l’École des beaux-arts Nantes Saint-Nazaire, qui accueille des étudiant·es de diverses nationalités et encourage ses étudiant·es à partir à l’étranger tout au long de leur cursus. En 2021, l’École compte 29 % d’étudiant·es internationaux·les.

Par ailleurs, de nombreux intervenant·es étranger·es (artistes et professionnel·les) sont sollicités pour animer des classes et des workshops tout au long de l’année.

Depuis 2015, l’école propose des programmes de formation adaptés aux étudiant·es internationaux·les sous le nom de Beaux-Arts International.

Ces programmes prévoient un accueil personnalisé (démarches de visa, logement, banque etc), un apprentissage de la langue française renforcé ainsi qu’une mise à niveau en art ou en design. Les cours sont dispensés par une équipe pédagogique riche d’artistes internationaux·les et de professionnel·les ayant une forte sensibilité interculturelle.
Ainsi, les étudiant·es poursuivent leurs études à l’école des beaux-arts Nantes Saint-Nazaire ou  intègrent d’autres écoles d’art ou de design.

 

Relations internationales

L’école a une politique de relations internationales riches, particulièrement en Europe grâce au dispositif Erasmus+ et aux accords bilatéraux signés avec des écoles et universités d’art d’excellence. Ce cadre offre des possibilités de mobilités d’un semestre à un an pour les étudiants des beaux-arts de Nantes.

Campus internationaux

Les campus internationaux sont des plateformes de débat, de recherche et de production qui engagent étudiants, artistes, et chercheurs dans des échanges multiformes. Ils offrent la possibilité aux étudiants de master sélectionnés sur projet de passer un séjour d’une durée d’un mois sur l’un de nos trois campus internationaux.

Plongés dans un contexte dynamique de recherche et de production, local et international, élaboré par les enseignants de l’école avec leurs partenaires internationaux, les étudiants rencontrent d’autres réalités, d’autres façons de faire, de penser, et de produire, qui les obligent à sortir de leur zone de confort, à inventer de nouvelles formes et pratiques. Confrontés à des approches venant de l’histoire de l’art, de la philosophie et de la théorie critique, des études postcoloniales et décoloniales, des pédagogies activistes et radicales, des études culturelles, des études urbaines, des questions de genre, de la théorie des images ou encore de l’histoire du cinéma, ils participent à des projets institutionnels (biennales, expositions) et d’artistes (production, performances), des workshops, conférences, et visites.

Fieldwork Marfa
En 2019, l’école fonde Fieldwork Marfa Consortium, un réseau de 9 écoles d’art engagées dans des projets pédagogiques et de recherche conjoints à Marfa, au Texas.
Ce consortium réunit trois établissements nord-américains : CalArts, California Institute of the Arts, USA ; University of Houston, Texas, USA et Concordia University, Montréal, Canada;
deux établissement européens Glasgow School of Art, Royaume-Uni et HEAD – Genève, Suisse;
quatre français Beaux-Arts de Paris, Atelier de Sèvres, Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire et Université de Nantes.
www.fieldworkmarfa.org

post-diplôme

classe préparatoire

– site de Saint-Nazaire

La Classe Préparatoire Internationale à Saint-Nazaire s’adresse aux lycéens diplômés de l’enseignement secondaire (baccalauréat français ou équivalent international).

Année associant matières artistiques et mise à niveau en langue française.

Cette formation sur mesure s’adapte aux besoins des étudiants nationaux et internationaux bacheliers, diplômés de l’enseignement secondaire (lycées) ou équivalent qui souhaitent préparer les concours d’entrées en première année des écoles supérieures d’art et de design en France et en Europe.

unités de recherche

Laboratoire de recherche Ateliers de troubles épistémologiques (CRENAU /UMR 1563 CNRS/MCC/ensa Nantes)

Dans le cadre des Ateliers de troubles épistémologiques, la revue Trouble dans les collections a été fondée par le projet de recherche éponyme, soutenu par la Fondation Maison des sciences de l’homme (2019-22) qui réunissait Lotte Arndt, Emmanuelle Chérel, Marian Nur Goni et El Hadji Malick Ndiaye, et était rattaché au CRENAU (Centre de Recherche Nantais Architectures Urbanités lié au laboratoire AAU). C’est dans ce cadre que s’inscrivent les quatre numéros parus entre 2020-2023. A partir de fin 2022, le comité éditorial s’est élargi avec Julien Bondaz et Honoré Tchatchouang et continue d’œuvrer à la démultiplication des contributeurs et contributrices.

Trouble dans les collections favorise une hétérogénéité des approches et contenus, en résonance avec son questionnement sur les classifications coloniales et leur mise en crise. Les numéros thématiques initiés paraissent à des intervalles semestriels. La rubrique « Au fil de l’eau » permet de publier des articles en prise avec l’actualité.

https://troublesdanslescollections.fr/

 

activité post- ou périscolaire

Cours de pratiques artistiques pour primaires, collégiens, lycéens et adultes.

– site de Nantes

– site de Saint-Nazaire

 

Education artistique et culturelle
Développement d’outils de médiation
• le mimu, mini-musée destiné aux bébés
• le Nomade, mobilier mobile de médiation

Développement d’événements
Place au dessin : événement participatif amateur de pratiques artistiques autour du dessin
Vacances aux Beaux-Arts : ateliers de pratiques artistiques pour enfants pendant les vacances

éditions

PUBLICATIONS

Objet d’expérimentations artistiques et graphiques, monographie, catalogue d’expositions, fanzine, livre de photographies, le monde de l’art entretient un lien privilégié avec le monde éditorial.

Les Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire ont développé une politique éditoriale envisageant l’outil imprimé comme un lieu expérimental artistique, de partages d’expériences et de diffusion.

Coédités avec les Beaux-Arts de Paris  ou encore la HEAD –Genève, les éditions collaboratives s’inventent autour des projets inter-écoles ou universitaires, comme l’exposition Félicità à Paris ou l’ouvrage sur le 10e anniversaire du programme international de recherche en art Fieldwork Marfa.

galerie

UNE PLATEFORME OUVERTE

Open School est une plateforme qui accueille tous les publics : artistes, amateurs, professionnels, parents et enfants, animateurs, enseignants, touristes… Sa programmation se manifeste dans différents lieux de l’école : l’accueil, la galerie, la collection artdelivery, la bibliothèque, le parvis, l’amphithéâtre et le lobby et sur son site internet.

L’école, en plus de sa mission d’enseignement supérieur, offre un panel de propositions artistiques : ateliers de pratiques, animation, conférences, expositions, documentation et partage de ses ressources.Une galerie d’exposition, Open School Galerie

Une artothèque, artdelivery, collection des Beaux-Arts de Nantes

Un café boutique laverie, Askip

équipements spécifiques

Pôle construction : bois, métal et terre céramique et matériaux composites
Pôle estampes et impressions : gravure, offset, lithographie, sérigraphie, prépresse offset sérigraphie.
Pôle images : multimédia, photographie, vidéo, son.

Plateau Scènes dédié aux pratiques performatives
Plateau Cyclo dédié aux tournages vidéo (fond vert)

réseaux

ANdEA – Association nationale des écoles supérieures d’art et de design
ELIA – European League Institutes of the Arts
ADRA – Association de Développement et de Recherche sur les Artothèques
Nantes Université

équipe administrative

Directions
Rozenn Le Merrer, directrice générale
Karine Bellosta, directrice Administration et Finances
Leïla Zerrouki, directrice du site de Saint-Nazaire

Finances – RH
Caroline Le Tynevez, responsable Finances
Véronique Maury, responsable des Relations humaines

Direction du service des études et de l’international
Pierre-Yves Arcile, directeur des études et de l’international

Pôle artistique et culturel et Communication
Alice Albert, responsable de la Bibliothèque, de la Galerie et des Partenariats
Mai Tran, responsable de la Communication et de la Collection

 

professeurs

Fabrice Azzolin
Luc Barbier
Théodora Barat
Viktor Belmoustakov
Philippe-André Bena
Pascal Bouchet
Emmanuelle Chérel
Damien Cadio
Marion Daniel
Jacques Denigot
Frédéric Emprou
Véronique Giroud
Marc Guérini
Claire-Jeanne Jézéquel
Olivier Joncour
Tangui Jossic
Georges-Albert Kisfaludi
Claire Maugeais
Béatrice Meline
Alexandre Meyrat Le Coz
Xavier Navatte
Georgia Nelson
Ian Nicholson
Anaïs Rolez
Cécile Paris
Éric Perraud
Daniel Perrier
Bruno Persat
Véronique Terrier-Hermann
Dominique Tisserandet
Xavier Vert
Euridice Zaituna Kala

coordonnées

NANTES
2 allée Frida-Kahlo
CS 56340
F-44263 Nantes cedex 02
contact@beauxartsnantes.fr

SAINT-NAZAIRE
4 rue des Frères Péreire
F-44600 Saint-Nazaire
saintnazaire@beauxartsnantes.fr

www.beauxartsnantes.fr

effectif

Effectifs (hors étudiant·es internationaux) : 463 étudiants au total (màj 5/9/2023)

Nantes 348 étudiant·es
L1 : 15
L2 : 130
L3: 92
M1: 57
M2 : 54

Saint-Nazaire 115 étudiant·es 
Classe préparatoire : 36
L1 : 63
L2 : 16

options

Nice

École nationale supérieure d’art de Nice – Villa Arson

présentation

Née de la volonté du ministère Malraux et ouverte en 1972, la Villa Arson est dès l’origine conçue comme un établissement artistique d’un type singulier réunissant une école nationale supérieure d’art, un centre d’art, une résidence d’artistes et une bibliothèque.
Aujourd’hui, la Villa Arson est un
établissement public du ministère de la Culture poursuivant une vocation d’enseignement supérieur, de recherche et de soutien à la création, tout en ayant la volonté de faire découvrir les pratiques artistiques les plus actuelles à un public diversifié.
► Ses missions sont à la fois distinctes et complémentaires :
la formation artistique avec l’accueil d’environ 230 étudiants dans un unique département Art, sur un cursus de trois à cinq années, permettant l’obtention des DNA et DNSEP, diplômes respectivement reconnus au grade de licence et master.
– la production d’oeuvres et d’expositions, avec la réalisation in situ de projets dans le cadre de la
programmation d’expositions et autres manifestations artistiques ;
– l’accueil en
résidence d’artistes, de critiques, chercheurs et d’étudiants dans le cadre d’échanges avec diverses institutions internationales ;
– la mise en place de projets d’
éducation artistique et culturelle et d’actions de médiation par le service des publics ;
– l’
information et la documentation sur l’art contemporain, grâce à sa bibliothèque d’études et de recherche.

► La particularité de cette école – parmi les sept écoles nationales installées en région –  est d’offrir à ses étudiants la possibilité de poursuivre leur cursus dans l’immédiate proximité d’un centre d’art contemporain et de bénéficier directement de la présence des artistes en résidence.  Chaque année, de nombreux acteurs de la création contemporaine sont régulièrement invités à rencontrer les étudiants et à travailler avec eux.

Villa Arson, atelier métal

Villa Arson, atelier métal

► Les ateliers proposés sont autant orientés vers les techniques dites traditionnelles que vers les nouvelles technologies et les pratiques artistiques les plus contemporaines.
L’école est organisée en ateliers techniques de recherche, d’enseignement et de production qui constituent cinq pôles :
Atelier peinture / Atelier dessin / Pôle volume (sculpture, installation, bois, métal, modelage, céramique, textiles et matériaux souples) / Pôle édition (sérigraphie, lithographie, gravure…) / Photographie (argentique et numérique) / Pôle numérique (vidéo, son, infographie, pratiques numériques) / Pôle d’enseignements théoriques et de langue (esthétique, histoire de l’art, histoire des idées, formes cinématographiques, langue anglaise)
À côté de ces ateliers techniques et des cours théoriques en amphithéâtres, les étudiants disposent de vastes ateliers où ils organisent leurs travaux et recherches personnelles.

► L’école est dotée d’un pôle de recherche, de production et d’enseignement basé sur les technologies numériques. Cet équipement offre aux étudiants la possibilité d’expérimenter toutes les manipulations liées à la production et la diffusion de l’image et du son, aussi bien que d’approfondir des recherches dans de multiples domaines (vidéographie, infographie, photographie numérique, son, édition, etc.).
L’établissement abrite également une « galerie d’essais » où les étudiants expérimentent en grandeur nature les conditions d’exposition de leurs travaux.

À l’occasion de son inscription dans l’espace européen de l’enseignement supérieur, la Villa Arson a redéfini la place de la recherche dans son cursus pédagogique. Elle est en mesure de proposer à ses étudiants différents axes de travail résultant de partenariats avec des acteurs de la recherche universitaire et des écoles d’art françaises et étrangères traduisant la singularité de la recherche en art. Pour exemples des atelier de recherche et de création réalisés dernièrement ou en cours :  ECART / réseau européen « art et céramique », LittOral, explorant les relations entre parole, scène et corps et IMPROVISATION/INDETERMINATION autour de l’improvisation et de la performance.

► En 2019-20, la Villa Arson est devenue à part entière membre composante d’UCA, Université Côte d’Azur. Cet adossement à UCA, outre la reconnaissance universitaire des diplômes, apporte de nouvelles perspectives aux étudiants en termes de cursus croisés, de programmes de recherche (à l’exemple de Improvisation/ Indétermination) et d’ouverture vers une riche vie étudiante. Cela a également permis la création de premiers contrats d’études doctorales.
Côté pédagogie,
l’optionalité est désormais proposée aux étudiants dès la première année afin de leur permettre de composer leur propre parcours d’études, d’initiations et d’expérimentations techniques.

Les étudiants peuvent par ailleurs avoir des expériences de médiation culturelle et de montage d’exposition dans le cadre de la programmation du centre d’art et de stages ou d’emplois qu’ils peuvent y effectuer.

Enfin, le site et l’architecture et la qualité des espaces de travail (ateliers techniques et espaces dédiés aux étudiants pour leurs travaux personnels) donnent un caractère exceptionnel à cet établissement et participent d’un cadre propice aux études et aux échanges.

 

…………
CONCOURS D’ENTREE 2021

► EXAMEN D’ENTRÉE EN PREMIÈRE ANNÉE
mardi 18 mai, mercredi 19 mai, jeudi 20 mai, vendredi 21 mai
Sur convocation nominative pour l’une de ces dates.
Inscriptions en ligne ICI, ouvertes du 18 décembre 2020 au 5 mars 2021

ADMISSION PAR ÉQUIVALENCE EN COURS DE CURSUS
Commission d’admission le mercredi 6 avril, jeudi 7 avril et vendredi 8 avril 2021
Sur convocation nominative pour l’une de ces dates.
Inscriptions en ligne ICI, ouvertes du 18 décembre 2020 au 5 mars 2021

L’examen se déroulera pour partie en distanciel (pour les écrits) et en présentiel (pour l’oral), en fonction de l’évolution du contexte sanitaire.
Information à confirmer d’ici mars 2021.

Pour tout renseignement
contacter le Secrétariat pédagogique : ensa@villa-arson.org / Tel. 00 33 (0)4 92 07 73 70.

Examen d’entrée mode d’emploi
Téléchargez le fascicule 2021

La Villa Arson – Ecole nationale supérieure d’art est référencée sur Parcoursup parmi les établissements d’enseignement supérieur artistique.
Cependant les inscriptions à l’examen d’entrée se font (encore cette année) exclusivement via le site internet www.villa-arson.org du 
18 décembre au 5 mars 2021.

La Villa Arson fait partie du réseau Campusart qui permet aux étudiant.e.s internationaux.ales de soumettre leur candidature pour une admission en équivalence via la plateforme créée par Campus France. Les candidatures en ligne peuvent être saisies jusqu’au 28 février 2021.
Pour plus d’informations : www. campusart.org et campusart.org/annuaire des formations
Contact : campusart@campusfrance.org

 

…………….
RENDEZ-VOUS / PORTES OUVERTES 2021
Des vidéos pour découvrir la Villa Arson
Des Rdv / Questions-Réponses jusqu’à mi-mars 2021

La Villa Arson invite le public et les futurs candidat·e·s à l’examen d’entrée à découvrir l’école nationale supérieure d’art au travers d’une série de vidéos présentant le cursus, les diplômes, la pédagogie et les spécificités de l’établissement.
Ces vidéos seront tout prochainement visibles sur www.villa-arson.org et sur facebook @villaarsonnice

D’autre part, en raison des mesures de prévention sanitaire toujours en vigueur, aucune visite réelle du site et des ateliers sous forme de Portes ouvertes ne peut hélas être programmée jusqu’à nouvel ordre.
Néanmoins,
afin répondre à toutes vos questions et d’échanger avec des étudiants, des rendez-vous Questions-Réponses « Rentrer à la Villa Arson » vous sont donnés régulièrement jusqu’à mi-mars, certains mercredis à 14h et jeudis à 18h. Ces Rdv se déroulent à distance sur JTSI, sur inscription préalable svp.

► Dates des Rendez-vous /Questions-Réponses
 À 14h les mercredis 20 janvier, 27 janvier, 3 février, 10 février, 17 février, 3 mars, 10 mars
À 18h les jeudis, 28 janvier, 11 février, 4 mars
Sur réservation préalable : formulaire d’inscription
Le lien sur JITSI vous sera envoyé la veille du Rdv.
N’hésitez surtout pas à faire part de vos centres d’intérêts et questions via le formulaire d’inscription.
Durée : 1h30 environ.

 

 

 

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Villa Arson, vue des terrasses avec Felice Varini, Point de vue, 1984. Coll. Cnap
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Villa Arson, atelier sérigraphie
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Villa Arson Atelier sculpture - métal
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Villa Arson, atelier dessin
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Villa Arson, atelier céramique
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Villa Arson, galerie d'essais
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Villa Arson, atelier sérigraphie
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Villa Arson, atelier bois
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(c) Villa Arson, atelier métal
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Villa Arson, exposition de Slavs and Tatars, 2020, Pray Way. Photo F. Fernandez
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Sol CALERO Souvenirs 2020

options

DNA  option Art

diplômes

DNA  option Art

troisièmes cycles

3e cycle de la Villa Arson, résidence de recherche

La Villa Arson organise un programme d’étude et de recherche qui fédère autour d’une expérience de travail en commun les entités constitutives de l’établissement : école nationale supérieure d’art (et ses ateliers), centre national d’art contemporain, résidence d’artistes et bibliothèque d’étude et de recherche. Ce programme permet d’accueillir les artistes sélectionné(e)s dans un environnement propice au développement de leur recherche artistique. Cette pratique artistique bénéficie du contexte collaboratif organisé par la Villa Arson avec ses partenaires académiques, en particulier au sein de Université Côte d’Azur, et un réseau international d’art contemporain.
A l’issue d’un appel à candidature pour un programme de recherche, la Villa Arson sélectionne cinq artistes qui sont accueillis en 3eme cycle.
D’une durée de trois ans, ce programme de recherche destiné à de jeunes artistes qui ont obtenu le diplôme d’une école d’art (ou équivalent) depuis au moins deux ans, a pour objectif de permettre à ces artistes de développer leurs recherches et de produire dans le contexte singulier de la Villa Arson.
Il permet d’envisager toutes les pratiques artistiques (arts plastiques, design, musique, danse, cinéma, littérature, etc.) dans la mesure où elles sont intéressées par l’interaction avec les arts visuels.
L’équipe de pilotage du programme réunit la direction et un groupe de professeurs de l’établissement, représentatif des différentes directions artistiques et de recherche de la Villa Arson.
Ces artistes bénéficient de conditions de travail spécifiques et d’un programme de rencontres ad hoc avec différentes personnalités invitées : artistes, commissaires, critiques, théoriciens de l’art et scientifiques.

Infos

unités de recherche

Bricologie

Unité de recherche BRICOLOGIE
Lancée en 2013, subventionnée par les crédits recherche du ministère de la Culture et de la Communication, l’Unité de Recherche Bricologie est un programme de recherche ambitieux autour des relations entre l’art et la technique dans la culture contemporaine. Elle est structurée comme une fédération de projets menés par plusieurs enseignants. Elle implique aussi bien des étudiant-e-s que des chercheurs extérieurs, l’équipe pédagogique et le centre d’art de la Villa Arson, et plusieurs partenariats avec des institutions scientifiques ou artistiques, en France et à l’étranger. Après un premier cycle de 4 ans, l’Unité de recherche Bricologie commence, en 2016|17, une nouvelle série quadriennale de projets.
Les temps forts du programme ont été
– en 2013, un échange avec l’école d’art et de design de Braunschweig (sous la conduite de Burkard Blümlein), deux expositions, l’une en Allemagne (janvier 2014) et l’autre à Nice (février 2015) ; par ailleurs, plusieurs séminaires et workshops ont été entrepris avec les étudiant-e-s.
– en 2015, une exposition au centre d’art de la Villa Arson : Bricologie. La souris et le perroquet (commissariat assuré par Thomas Golsenne, Sarah Tritz et Burkard Blümlein)
– en 2016, une publication scientifique, Essais de bricologie, dans la revue Techniques & Culture, sous la direction de Thomas Golsenne et Patricia Ribault, et le Festival Bricologique, ce sont succédées conférences et journées d’étude, projections de films et rencontres avec des artistes, des bricoleurs et des animateurs de fablabs.

ECART, european Ceramic Art & Research Team

ECART, european Ceramic Art & Research Team
Depuis 2009, le réseau ECART, European Ceramic Art & Research Team, réunit cinq écoles supérieures d’art européennes, spécialisées en art ou en design, autour d’une collaboration pédagogique axée sur la céramique et favorisant les échanges et la mobilité des étudiant·e·s et des professeur·e·s.

KLUB 16, Groupe d’expérimentation visuelle

KLUB 16, Groupe d’expérimentation visuelle
KLUB 16 est un atelier de recherche et de production destiné aux étudiants de 2e cycle. C’est un groupe d’expérimentation visuelle.

Situation post

SITUATION POST Atelier de recherches plastiques et théoriques
Sophie Orlando et Katrin Ströbel
situations post est un atelier de recherches plastiques et théoriques qui investigue la manière dont les changements géopolitiques, économiques et sociaux de 2007 induisent un renouvellement et un ajustement des stratégies d’artiste.
L’objectif général de l’atelier est de discuter de la situation spécifique des artistes pris dans une pensée des contextes (économie de travail, réseaux, publics, modes de production, stratégies, outils, ressources) selon plusieurs axes: culturels, socio-économiques, postcoloniaux et genrés.
L’atelier prend la forme d’une recherche, analyse, transformation des formes de productions artistiques processuelles, issues notamment de la performance et des pratiques collaboratives, et s’attache à définir une réflexion sur les formes de relation à l’espace (espace du texte et de sa notation, espace de production / espace d’exposition, espace de l’archive et du document).
À cette fin, situations post investigue l’écart supposé entre les formats théoriques souvent textuels et les formats plastiques en proposant de travailler d’autres modalités de recherche passant par les mécanisme de traduction et de transformation des savoirs (engageant le transfert de médium sur d’autre, les systèmes de notation notamment).
Il se formalise lors de workshops interdisciplinaires itinérants, de séminaires, des programmes d’échanges, et de séjours de recherche.

éditions

Editions, catalogues d’exposition, éditions d’artistes, publication annuelle des diplômés.

Librairie en ligne : bookshop.villa-arson.org

revues

activités & événements

Expositions du centre d’art. Voir programme
Résidences d’artistes + d’infos
Programme de workshop et conférences, voyages d’études
Programmation cinéma expérimental (Éclat)
Manifestations et événements (organisés par le service des publics ou l’association des étudiants (EVA)
Expositions d’étudiants hors les murs
Prix de la jeune création

activité post- ou périscolaire

Voyages d’études
Stages

Stages et emplois (en vacations horaires) sur les montages des expositions et les activités de médiation culturelles organisées par le service des publics.

coopération internationale

Si la dimension internationale est une constante à la Villa Arson de par l’accueil de professeurs étrangers, de l’invitation de conférenciers et d’artistes étrangers en résidence ou dans le cadre des expositions,de rencontres internationales, pour autant l’établissement poursuit sa politique volontariste en vue de son positionnement international et décline ses activités selon deux orientations complémentaires : la promotion de la mobilité internationale des professeurs, des étudiants et des personnels administratifs ; la consolidation de ses coopérations et de ses partenariats sur des programmes de un à deux ans, sous forme d’ateliers internationaux, expérimentant ainsi avec ses partenaires de nouvelles collaborations.
Chaque année, plus de la moitié de la promotion d’étudiants de 4e année effectue une mobilité internationale, études ou stages, ces derniers étant encouragés par l’établissement. Plus d’un tiers des professeurs est engagé dans un projet international.
Outre ses mobilités individuelles dans les cinquante écoles partenaires dont une quinzaine hors Europe, les professeurs proposent aux étudiants des ateliers internationaux.
Six ateliers internationaux sont en cours, l’atelier européen de Recherche en céramique regroupant six écoles européennes, l’atelier international Pratiques sonores avec le Canada et le Mexique, l’atelier européen Cultures numériques avec la Belgique, l’atelier de recherche Situations post avec des partenaires européens et du pourtour méditerranéen ; l’école OFFSHORE à Shanghaï et le laboratoire international de recherche Drawing Open avec des partenaires néo-zélandais et américains

galerie

Villa Arson, exposition de Slavs and Tatars, 2020, Pray Way. Photo F. Fernandez

Villa Arson, exposition de Slavs and Tatars, 2020, Pray Way. Photo F. Fernandez

La Villa Arson comporte un Centre national d’art contemporain (1500 m2),
une Galerie d’essais de l’école et une Galerie provisoire

équipements spécifiques

Pôle édition-photographie (gravure, sérigraphie, lithographie, édition, photo).
Pôle sculpture-installation (volume, bois, métal, céramique, moulage, textile et matériaux souples).
Pôle peinture-dessin
Pôle numérique (arts numériques, vidéo, son, webauthoring, infographie).
Galerie d’essais (évaluation en situation réelle d’accrochage).

réseaux

ANdEA, L’Ecole(s) du Sud – Réseau des écoles de provnce Alpes Côte d’Azur et de Monaco, Arsonist-Association des amis de La Villa Arson, DCA-Association de développement des centres d’art, Botox[s]-réseau artistique Nice Côte d’Azur.
Programmes EFTLV (Erasmus), OFAJ, CREPUQ, DAAD, Actions Chine-France, Bourses de mobilité Région PACA.

La Villa Arson fait partie de la Comue UCA- Université Côte d’Azur depuis 2016.

équipe administrative

Sylvain Lizon, Directeur
Alain Avena, Secrétaire général
Vittoria Parisi, directeur des études et de la recherche
Nathalie Balmer, Secrétaire pédagogique
Alexia Albouy, Secrétaire pédagogique
Christophe Robert, bibliothèque
Eric Mangion, Directeur du centre d’art
Christelle Alin, Service des publics
Michel Maunier, Communication & partenariat

 

professeurs

Kaloust Andalian, cinéma
Joan Ayrton, dessin
Frédéric Bauchet, atelier céramique
Claire Bernstein,  anglais
Burkard Blümlein, sculpture
Julien Bouillon, pôle numérique
Pascal Broccolichi, pratiques sonores
Caroline Challan-Belval, gravure
Céline Chazalviel, chargée d’enseignement édition
Frédéric Clavère, peinture
Julien Dubuisson, sculpture-installation
Jean-Baptiste Ganne, photographie
N.N., esthétique
Vanina Géré, histoire des arts
Stéphane Magnin, sculpture-installation
Arnaud Maguet, édition infographie
Pia Maria Martin, vidéo
Jérôme Mauche, histoire des idées
Sophie Orlando, histoire de l’art
Jean-Louis Paquelin, chargé d’enseignement disciplines numériques
Pascal Pinaud, peinture-installation
Laurent Prexl, peinture-performance
Anne Séchet, sérigraphie
Susanna Shannon, édition
Katrin Stroebel, dessin
Gauthier Tassart, vidéo-infographie
Christian Vialard, cultures numériques
N.N., photographie

assistants pédagogiques
Stéphane Accarie, photographie
Thierry Chiapparelli, atelier métal
Audrey Lachapelle, atelier céramique
Christophe Merlet, atelier bois

régie technique
Eric Grandbarbe, atelier matériaux souples
Aurélien Merebbah, pôle numérique, amphithéâtres
Simon Nicolas, studio son

coordonnées

20 avenue Stephen Liégeard
06105 Nice cedex 2
tél. +33 (0)4 92 07 73 73

Pour toute question générale: direction@villa-arson.org
Pour contacter l’école :  ensa-nice@villa-arson.org
Communication & presse : communication@villa-arson.org

www.villa-arson.org

Infos pratiques

effectif

250 étudiants
28 professeurs
7 assistants pédagogiques et régisseurs

activités & événements

 

Rdv Portes ouvertes

Rdv Portes ouvertes

RENDEZ-VOUS / PORTES OUVERTES 2021
Des vidéos pour découvrir la Villa Arson
Des Rdv / Questions-Réponses jusqu’à mi-mars 2021

La Villa Arson invite le public et les futurs candidat·e·s à l’examen d’entrée à découvrir l’école nationale supérieure d’art au travers d’une série de vidéos présentant le cursus, les diplômes, la pédagogie et les spécificités de l’établissement.
Ces vidéos seront tout prochainement visibles à partir de cette page et sur facebook @villaarsonnice

D’autre part, en raison des mesures de prévention sanitaire toujours en vigueur, aucune visite réelle du site et des ateliers sous forme de Portes ouvertes ne peut hélas être programmée jusqu’à nouvel ordre.

Néanmoins, afin répondre à toutes vos questions et d’échanger avec des étudiants, des rendez-vous Questions-Réponses « Rentrer à la Villa Arson » vous sont donnés régulièrement jusqu’à mi-mars, certains mercredis à 14h et jeudis à 18h.
Ces Rdv se déroulent à distance sur JTSI, sur inscription préalable svp.

Dates des Rendez-vous /Questions-Réponses
► À 14h les mercredis
20 janvier
27 janvier
3 février
10 février
17 février
3 mars
10 mars

► À 18h les jeudis
28 janvier
11 février
4 mars

► Sur réservation préalable : formulaire d’inscription
Le lien sur JITSI vous sera envoyé la veille du Rdv.
N’hésitez surtout pas à faire part de vos centres d’intérêts et questions via le formulaire d’inscription.
Durée : 1h30 environ.

Nîmes

École supérieure des beaux-arts de Nîmes

présentation

L’ésban — École supérieure des beaux-arts de Nîmes est un établissement d’enseignement supérieur qui forme aux métiers de la création.
L’ésban est un lieu d’étude et d’expérimentation où chaque étudiant·e peut développer sa propre pratique dans un contexte stimulant et varié. Il·elle est accompagné·e par l’équipe d’artistes-enseignant·e·s, chercheur·e·s ou critiques d’art tout au long de sa formation. Le cursus d’études est constitué de deux cycles qui s’articulent successivement pour permettre aux étudiants de construire une démarche personnelle cohérente et autonome.

L’école des diplômes du Ministère de la Culture :
– le DNA – Diplôme national d’art (BAC + 3)
– le DNSEP – Diplôme national supérieur d’expression plastique (BAC + 5), avec au choix
> DNSEP option Art
> DNSEP option Art, mention Écritures expérimentales

L’école délivre également un diplôme d’établissement (DE):
– DE « Production et régie des œuvres et des expositions » (pas de session 2023-2024)

Elle est également partenaire sur la CPGE Art et Design avec le lycée Hemingway et l’Université Unîmes

1/10
2/10
Hall d'entrée de l'ésban Hôtel Rivet (c) Myr Muratet / ésban
3/10
Workshop sténopé avec Juliette Agnel (c) Myr Muratet / ésban
4/10
Ateliers du Chapitre (c) Myr Muratet / ésban
5/10
Live 2023, restitution du DNSEP Art Écritures expérimentales. Photo : Sophie Lvoff
6/10
Salle de cous multimedia (c) Myr Muratet / ésban
7/10
Conférence de Larry Abramson (c) Myr Muratet / ésban
8/10
Exposition d’œuvres du Frac OM (c) Myr Muratet / ésban
9/10
Exposition de Jennifer Caubet à la Chapelle de Jésuites, 2023. Photo : Thelma Garcia.
10/10
Exposition Cueillir l'Horizon, Chapelle du Quartier Haut à Sète, 2023. Photo : France-Lan Lê Vu

options

Art
Production et régie des oeuvres et des expositions

diplômes

DNA option Art
DNSEP option Art
DNSEP option Art, mention Écritures expérimentales

Diplôme d’établissement : « Production et régie des œuvres et des expositions »
Il s’adresse à des étudiant·e·s inscrit·e·s en 2e cycle des écoles supérieures d’art et/ou à des diplômé·e·s du DNA ou du DNSEP ainsi qu’aux titulaires d’une Licence. Cette formation propose une spécialisation dans le champ de la régie et de la production des œuvres et des expositions telles que pratiquées en milieu artistique (centres d’art, Frac, musées, galeries, festivals), au sein des sociétés de transport ou encore d’agences de production d’œuvres et d’événements. Elle est ouverte aux enjeux les plus actuels des métiers de la production et de la régie, en particulier l’international et la transition écologique.

unités de recherche

La recherche à l’ésban irrigue la pédagogie des années 1 à 5. Elle se structure en 2nd cycle à partir des axes scientifiques des DNSEP. L’ésban est également membre du Réseau Peinture, réseau national qui rassemble 9 écoles supérieures d’art en France.

L’unité de recherche

En 2019, la structuration de l’unité de recherche de l’ésban qui est composée d’enseignant·e·s de l’ésban et de chercheur·e·s associé·e·s a été validée par le Ministère de la Culture qui la finance. Cette unité s’offre comme une structure de coordination des différents programmes. Elle veille à la pertinence des projets de coopération, des conventions et des partenariats avec des institutions artistiques (musées, centres d’art, FRAC), avec d’autres écoles ou avec des organismes de recherche universitaires. Elle conçoit les appels à projet et coordonne l’ensemble des activités liées à la recherche, telles que voyages d’études, expositions, journées d’études ou colloques. Elle s’occupe de la direction et du suivi des publications.

Le conseil scientifique

Afin de soutenir et d’aider à la définition des orientations de la politique de recherche de l’établissement, un conseil scientifique a été créé en mai 2020. Composé de personnalités qualifiées il est consulté notamment sur : la cohérence et les modalités de mise en œuvre de la politique scientifique de l’école, les modalités de mise en place des procédures internes d’évaluation des activités de recherche ; la répartition des allocations des ressources aux axes de recherche et à chacun de leurs programmes, les demandes d’activité de recherche des théoricien·ne·s, des artistes de l’ésban et des étudiant·e·s, la politique éditoriale et les modalités de restitution des travaux, tout projet de recherche développé par l’école en interne, en externe, avec une école doctorale et/ou partenariat, de participation à des réseaux, notamment dans le cadre d’un appel à candidature, la co-construction de la recherche avec des partenaires académiques ou autres ainsi que les projets d’accords scientifiques, etc.

programmes de recherche

Les programmes de recherche sont conduits par les enseignant.e.s avec des partenaires professionnel·le·s et académiques. Ils prennent notamment la forme de séminaires animés par un ou plusieurs enseignant·e·s, artistes et/ou théoricien·ne·s du groupe de recherche. Divers·e·s intervenant·e·s ayant le statut de chercheur·e·s associé·e·s viennent y renforcer la dimension collaborative de la recherche en art.

DNSEP ART

Les axes de recherche développés au sein du DNSEP Art visent à mener une réflexion et des expériences en considérant les différentes spatialités contemporaines qui s’épanouissent dans notre vie quotidienne et dans une variété de pratiques artistiques intégrant l’apport des études postcoloniales et féministes.

Les séminaires associés :

  • Expériences et pensées de la spatialité (Arnaud Vasseux)
  • Ici s’achève le monde connu. Résonances, marges utopiques et imaginations diasporiques (Mathieu Kleyebe Abonnenc)
  • Formes de problématisation (Anna Kerekes)

DNSEP ART mention Écritures expérimentales

Les axes de recherche poursuivis dans le cadre du DNSEP Art mention Écritures expérimentales consistent en une réflexion et en des expérimentations autour de formes artistiques au croisement de l’écriture, du cinéma, de l’art vidéo et de la performance ; des formes qui déplacent les limites de ces médiums tout en contribuant à en interroger les spécificités.

Les séminaires associés :

  • In my language (Annalisa Bertoni, Maïder Fortuné)
  • Atelier – focus (Annalisa Bertoni, Maïder Fortuné, Sophie Lvoff)

éditions

L’activité de recherche de l’ésban fait l’objet d’une valorisation par le biais d’une politique éditoriale ambitieuse, avec la publication d’ouvrages, actes de colloques…

Découvrez les éditions de l’ésban

activité post- ou périscolaire

Dans le cadre de l’offre pédagogique des ateliers publics, l’École supérieure des beaux-arts de Nîmes propose des activités ouvertes à tous pour s’initier aux pratiques plastiques.
Les ateliers de pratique artistique (APA) proposent des enseignements en dessin, peinture, gravure, pratiques contemporaines à destination des adultes, des adolescents et des enfants.
Un cours est spécifiquement tourné vers la préparation au concours d’entrée des écoles d’art pour les lycéens et étudiants. Un stage de préparation au concours est également programmé tous les ans durant les vacances de février.

coopération internationale

Les mobilités internationales, en premier comme en second cycle, ont une place importante dans le cursus des étudiant·e·s de l’ésban. Elles doivent être envisagées comme un projet que l’étudiant·e articule à sa démarche personnelle, à son travail de recherche et à son avenir professionnel.

L’ésban mène depuis plusieurs années une politique volontariste en faveur du développement des relations internationales.
La stratégie internationale de l’établissement privilégie quatre axes :

  • le soutien aux mobilités étudiants, enseignantes et du personnel,
  • le développement de projets de coopération internationaux et l’élargissement du réseau de partenaires
  • la participation à la construction d’un espace européen de l’enseignement supérieur artistique,
  • la reconnaissance de l’établissement et son inscription dans une dynamique méditerranéenne, européenne et mondiale.

Afin d’encourager les mobilités internationales, l’ésban participe à Erasmus+. Dans ce cadre, elle a reçu en 2019 le label Bonne pratique, qui reconnait la haute qualité de l’action menée par l’établissement.

Cette stratégie se décline en des actions très diverses (développement des échanges universitaires, workshops communs, enseignement de l’anglais, voyages pédagogiques…) et qui se déploient dans plusieurs domaines : la formation, la recherche, ou encore l’insertion professionnelle.
Les mobilités sont généralement impulsées par des conventions nouées avec des établissements d’enseignement supérieur en Europe et dans le monde. Les échanges académiques avec nos partenaires internationaux permettent aux étudiants de connaître d’autres systèmes d’enseignement artistique et de s’ouvrir au monde. Les stages à l’étranger offrent la possibilité de se former aux métiers de l’art dans des structures de renommée internationale.

En savoir plus sur les relations internationales

galerie

Hôtel Rivet, centre d’art d’application de l’ésban

Hôtel Rivet est un centre d’art d’application intégré à l’ésban. Conçu comme un atelier où les expositions et manifestations sont organisées et produites à échelle 1, il propose une programmation réalisée à partir des programmes de formation et de recherche de l’établissement.

Hôtel Rivet permet la présentation d’expositions d’artistes, de designers, d’œuvres de collections publiques, de diplômés et d’étudiant, ainsi que l’organisation de conférences et d’un cycle de rencontres.  Ce centre d’art d’application contribue à la professionnalisation des étudiants associés à toutes les étapes de l’exposition : création, production, communication et transmission.

Les projets sont organisés dans plusieurs espaces de la Ville de Nîmes – à l’ésban, au  Musée du Vieux-Nîmes, à la Chapelle des Jésuites et à Carré d’art / Galerie Norman Forster – ainsi qu’hors les murs.

LE PAPILLON, surface d’exposition nomade, se déploie, selon le même principe, « dans les murs » et « hors les murs, et est valorisé sur un site dédié : papillon.esba-nimes.fr.

Voir la programmation d’Hôtel Rivet.

équipements spécifiques

Cinq ateliers collectifs de 200 m2 chacun sont réservés aux étudiant·e·s qui y développent leurs projets et recherches personnels.
Les pratiques éditoriales disposent d’ateliers spécifiques équipés et les ateliers volume du site des Oliviers sont aménagés avec des outils et machines permettant de travailler le bois, le fer ainsi que le modelage et le moulage.
Trois espaces informatiques (PAO, TD, Vidéo/Son) et un labo photographique sont accessibles pour les étudiants qui souhaitent travailler les images et le son.
L’ésban possède également une bibliothèque spécialisée en art contemporain, inscrite dans le réseau formé par le centre de documentation de Carré d’Art, le FRAC Occitanie Montpellier et Unîmes, est participe activement, au niveau national, au réseau BEAR.
Enfin, les salles d’exposition de l’Hôtel Rivet, d’une superficie de 300 m2, permettent d’accueillir quatre à cinq expositions par an.

réseaux

Inscrit au sein des établissements d’enseignement supérieur de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée réunis depuis 2014 par la Communauté d’universités et d’établissements (ComUE), l’établissement adhère également à l’Association Nationale des Écoles d’Art (Andéa), au réseau de structures Art contemporain d’Occitanie « Air de Midi », ainsi qu’au réseau Ecole(s) du Sud.
L’ésban adhère également à des réseaux de développement culturel nationaux et internationaux où sont débattus les enjeux de l’enseignement supérieur artistique actuels et à venir (ELIA Artschools, Art Accord France, CampusArt, Paradox Fine Art).

équipe administrative

Delphine Paul Directrice générale
Directeur.ice des études
Hervé Lenormand Directeur administratif et financier
Cécile Martinez Responsable communication et projets
Elisabeth Klimoff Scolarité
Lola Wohlfahrt Relations internationales
Marjorie Borios Responsable de la bibliothèque et des développements numériques
Pierre Sentagne Technicien d’atelier édition
Javier Alonso Technicien d’atelier volume

professeurs

Mathieu Kleyebe Abonnenc
Annalisa Bertoni
Jean-Marc Cerino
Dror Endeweld
Maider Fortuné
Jean-Claude Gagnieux
Alessandro Gallicchio
Frédéric Gleyze
Nicolas Grosmaire
Anna Kerekes
Charles La Via
Sophie Lvoff
Augustin Pineau
Albert Ranieri
David Vallance
Arnaud Vasseux
Isabelle Simonou-Viallat

coordonnées

École supérieure des beaux-arts de Nîmes
10 Grand-Rue
30000 | Nîmes
tél. +33 (0)4 30 06 12 00
Mail info@esba-nimes.fr
Service scolarité
Mail scolarite@esba-nimes.fr
tél. +33 (0)4 30 06 12 00
www.esba-nimes.fr | Facebook | Newsletter

effectif

125 étudiant·e·s Cursus DNA/DNSEP
10 étudiant·e·s Diplôme d’établissement Production et régie des oeuvres et des expositions
24 étudiant-·e·s CPGE

Orléans

École supérieure d’art et de design d’Orléans

présentation

Comme son nom l’indique, l’ÉSAD Orléans est une école d’art avec une particularité : on y enseigne le Design et rien que le Design. Son autre particularité est que, en tant qu’école de Design, son approche est résolument artistique et tournée vers les questions les plus contemporaines. Ici il est beaucoup question du futur de l’édition imprimée et numérique – ou les deux à la fois, d’objets connectés et de sculpture des données, de cohabitation écologique et de biens communs, d’archéologie des média et de design des réseaux. Cela lui donne une place assez unique dans le paysage des formations en Design en France et en Europe.

En trois ans (Diplôme National d’Art, grade Licence), on y apprend le Design d’Objet et d’Espace et le Design Visuel et Graphique. Si l’on veut, on peut croiser ses études avec l’ENSAPVS (mention Design Objet Espace / Architecture) . En cinq ans (DNSEP, grade Master), on se forme au Design des Média ou au Design des Communs. Ces mentions au diplôme sont résolument tournées vers les pratiques et les recherches les plus actuelles au niveau international. Pour un an de plus, on peut faire un post-Master (« objets connectés » ou « film et animation ») et pour trois un Diplôme Supérieur de Recherche en Design. Enfin, notre classe préparatoire prépare aux examens d’entrée en école d’art.
Nous pensons que notre époque a besoin de designers, c’est-à-dire de personnes capables de capter les signaux du monde tel qu’il va et de rendre le monde de demain meilleur qu’il n’est. Pour cela, les designers doivent être en capacité de dialoguer et de créer avec des urbanistes, des écrivain.e.s, des artistes, des architectes, des ingénieur.e.s, des scientifiques, des administrateurs, des politiques et des femmes et des hommes du monde de l’entreprise. C’est pourquoi nous pensons que le designer du 21e siècle doit posséder à la fois l’intelligence et la sensibilité de l’artiste, les méthodes du design et une solide formation pratique, technique et intellectuelle.

Sur ce point, l’ÉSAD Orléans possède de nombreux atouts : une équipe enseignante engagée, des ateliers techniques dotés des outils les plus pointus, une activité soutenue dans le domaine de la recherche en et par l’art et le design en lien avec le monde académique, un tissu entrepreneurial et économique local fructueux… Forte de ses projets avec ses partenaires publics et privés et de ses relations nombreuses avec des écoles et universités en France et à l’étranger, elle accueille 300 étudiantes et étudiants, d’une vingtaine de nationalités différentes, et attire chaque année un grand nombre de candidat.e.s de la France entière et de tous pays.

Héritière de l’« École gratuite de dessin de la ville d’Orléans » fondée en 1787, de l’« École des Beaux-Arts », puis de l’« Institut d’arts visuels » (IAV), l’École Supérieure d’Art et de Design d’Orléans est refondée en 2011. Située dans le centre historique de la ville d’Orléans, au coeur de la Région Centre-Val de Loire, elle a la chance de posséder une situation privilégiée dans une métropole en plein essor, proche de Paris et des grands axes. Véritable fabrique culturelle, l’ÉSAD Orléans propose régulièrement des événements, des expositions (dans sa Galerie) et des conférences (au Musée des Beaux-Arts). Par son inscription dans le tissu culturel local (centre chorégraphique national, centre dramatique national, FRAC Centre, maison de l’architecture, scène nationale, scène de musique actuelle, etc.), l’ÉSAD Orléans est une actrice essentielle de la vie de la métropole.

Unique dans son approche du design, l’ÉSAD Orléans est incontournable au sein du réseau des écoles d’art et de design publiques sous tutelle pédagogique du ministère de la Culture et possède une dimension réellement européenne. La qualité des projets des étudiant.e.s parlent d’eux-mêmes, l’intégration professionnelle des étudiant.e.s également. Bref, nous sommes heureux d’y être !

1/5
2/5
3/5
4/5
5/5

options

Design

diplômes

DNA  option Design mention design objet et espace
DNA  option Design mention design visuel et graphique
DNSEP  option Design mention design des média
 DNSEP option Design mention design des communs
Master MEEF arts plastiques 

troisièmes cycles

Diplôme Supérieur de Recherche en Design DSRD

Le Diplôme Supérieur de Recherche en Design est un diplôme de troisième cycle délivré par l’établissement. Il s’adresse à des designers, des artistes et des théoriciens titulaires d’un Master ou d’un DNSEP. Il s’obtient après quelques trois années de recherche-création s’appuyant sur les ressources de l’ESAD Orléans – son Unité de recherche ECOLAB, ses programmes de recherche, ses enseignant·e·s chercheur·se·s et ses équipes, ses réseaux, mais aussi ses compétences de structure de production, d’édition et de résidence.

Suivant les orientations de la recherche de l’ESAD Orléans, il est créé quatre mentions du DSRD :
– « Éditions nouveaux médias »,
– « Archéologie des média »,
– « Design des Communs »,
– « Sculpture des données (data sculpture) ».

Le/la chercheur·se associé·e a une double position :

  • celle d’un apprenant autonome, qui vient trouver les conditions matérielles et intellectuelles pour nourrir et développer sa recherche personnelle au sein d’un programme de recherche,
  • celle d’un·e artiste/designer en devenir qui possède des compétences théoriques et plastiques et en fait bénéficier l’ECOLAB, son équipe enseignante et étudiante à travers sa participation active aux différentes activités.


Contenus
La formation pour l’obtention du DSRD est assurée par l’unité de recherche ECOLAB. Elle consiste en :

  • La participation obligatoire aux programmes de recherche en Art et en Design (expérimentation, conception, production, diffusion, séminaire, workshops, cours, événements, journée d’étude…). Chaque programme peut proposer un séminaire. Les séminaires peuvent être communs aux masters et aux DSRD. Il peut y avoir des séminaires transversaux entre les mentions.
  • Un accompagnement théorique dans la production de textes, articles, communications (colloque, journées d’études, séminaires…)
  • Un accompagnement dans la réalisation d’un projet personnel en design, articulé avec les axes de recherche des programmes de recherche.

Évaluation
Le passage à l’année N+1 est subordonné à 120 heures d’actions par an. Ces heures sont ventilées de la manière suivante :

  • Participation à l’activité de l’ECOLAB : 30 heures
  • Participation à l’un des programmes de recherche de l’ECOLAB : 30 heures
  • Publications de textes, articles, communications, expositions. Au moins 2 par an dans une revue à comité de lecture et/ou communication lors d’un événement national ou international (colloque, symposium, journées d’études etc.) et/ou expositions validées par l’ECOLAB : 30 heures
  • Projet de recherche personnel : 30 heures. Le projet de recherche personnel consiste en une production plastique et intellectuelle. L’intitulé et les axes de recherche du projet personnel du / de la chercheur·e associé·e en DSRD sont fixés par l’équipe du programme de recherche.

Le/la chercheur·se associé·e est encadré·e par deux directeurs de recherche (un·e théoricien·ne et un·e artiste/designer)

Définition et suivi du projet de recherche personnel – Encadrement et soutenance
Au cours de son parcours, chaque chercheur·se associé·e s’attache à développer un projet de recherche propre mais articulé à l’un ou plusieurs axes du programme de recherche auquel il est rattaché.
La soutenance du projet de recherche personnel n’est pas prédéfinie dans sa forme. Elle peut faire elle-même l’objet d’une démarche artistique ou de design. Elle peut également être abordée de manière plus conventionnelle, en s’inspirant notamment du modèle universitaire pour ce qui concerne l’écrit. La production plastique en design devra être montrée (exposée) dans un lieu adéquat et faire l’objet de partenariats avec un ou plusieurs lieux de diffusion reconnu(s) de l’art et du design actuels.
Évaluation de la soutenance : en dialogue avec le jury, capacité à contextualiser, expliciter et critiquer la production plastique et la production intellectuelle (articles académiques, communications dans des colloques, participations à des séminaires de recherche, etc.) développées au cours des trois années.

Contact
contact-recherche@esad-orleans.fr

post-diplôme

Post-Master Cinéma, Audiovisuel, Média Design et Image Animée

En partenariat avec Ciclic Centre-Val de Loire, l’ÉSAD Orléans met en place un post-master dédié à la création audiovisuelle et cinématographique, avec une forte attention portée au film d’animation. La création du post-master répond au besoin avéré de compétences dans le domaine en région Centre-Val-de-Loire. Ce post-master s’intitule CAMEDIA pour Cinéma, Audiovisuel, Média Design et Image Animée.

Le parcours a pour finalité une production artistique de l’étudiant, ce dernier devant produire une oeuvre de création audiovisuelle personnelle et originale au cours de l’année de formation.

Le parcours est professionnalisant. La formation d’un an favorise l’insertion professionnelle de l’étudiant. Il s’agit d’accompagner l’étudiant dans son début professionnel, en lui proposant d’approfondir ses compétences artistiques et professionnelles tout en l’aidant à découvrir le réseau des aides à la production cinéma et audiovisuel en France.

La formation pour l’obtention du post-master est assurée par le Studio Vidéo / Animation de l’ESAD Orléans en partenariat avec l’Agence CICLIC Centre-Val de Loire pour le développement d’un parcours d’auteur professionnalisant.
Pour l’année 2020-21, la formation accueillera un étudiant.

Contenus

La formation pour l’obtention du post-master est assurée par le STUDIO VIDÉO / ANIMATION de l’ÉSAD Orléans en partenariat avec l’Agence CICLIC Centre-Val de Loire pour le développement d’un parcours d’auteur.e professionnalisant.

Elle consiste au sein de l’ÉSAD Orléans en :

  • Un accompagnement dans l’évolution d’un dossier de production d’une oeuvre audiovisuelle à ambition professionnelle (conception, recherches théoriques, scénario, synopsis, note d’intention, recherches graphiques, expérimentations plastiques, story-board, animatique,…)
  • Un accompagnement dans la réalisation artistique personnelle d’une oeuvre de court-métrage en cinéma, audiovisuel, média design ou image animée (fiction, documentaire, pilote série, pièce vidéo, animation,…) à travers toutes les étapes de fabrication (écritures, images, sons, montage, post-production, diffusion…).
  • La participation à certaines périodes de recherches et d’investigations en Design des Média à l’ESAD Orléans (séminaires, workshops, cours, studio, événements, journées d’études, conférences, international week,…). L’étudiant.e pourra s’appuyer sur les ressources de l’ESAD Orléans – son unité de recherche ECOLAB, ses programmes de recherches théoriques et plastiques, ses enseignant.e.s, chercheur.e.s, plasticien.ne.s et ses équipes, ses réseaux, mais aussi ses compétences de structure de production, de post-production, d’édition et de résidence en école d’arts.

Pour ce qui concerne le volet professionnalisant de la formation, CICLIC Centre-Val de Loire propose plusieurs points de rapprochements possibles :

  • Un accompagnement individuel dans le processus de création de l’oeuvre artistique de l’étudiant.e grâce aux dispositifs de résidences d’incubation de CICLIC (Animation à Vendôme, Films de patrimoine à Issoudun), de stages sur les productions accueillies et également de rencontres (cours / thématiques / ateliers / formations) avec des professionnels sur les différentes phases de conception et réalisation.
  • Une réflexion sur la mise en place d’une bourse de création inspirée des bourses proposées par le Fresnoy. Sollicitation possible : Aide de la Fondation Culture et Diversité (Saïd Berkane).
  • Un développement inter-régionale sur le long terme, avec le Collectif Films en Bretagne avec l’École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne (formation Stop-Motion), et le Label 2 TEMPS, 3 MOUVEMENTS mis en place par CICLIC Centre-Val de Loire.
  • Un rapprochement avec la classe préparatoire de l’ESAD Orléans sur des interventions ponctuelles.

Évaluation

L’obtention du post-master est subordonné à 120 heures d’actions et/ou formations sur une année civile. Ces heures sont ventilées suivant les plannings de l’ESAD Orléans et de CICLIC Centre-Val de Loire.

  • Participation au STUDIO vidéo / animation et/ou suivi du directeur de recherche : 30 heures.
  • Participation à des périodes de recherches théoriques et/ou plastiques (séminaires, workshops, événements, journées d’études, conférences, festivals,…) validées par le le directeur de recherche : 30 heures.
  • Participation aux services d’accompagnement et/ou dispositif de résidence de CICLIC Centre-Val de Loire : 30 heures.
  • Projet de création personnelle professionnalisante (production plastique et intellectuelle qui doit aboutir à la réalisation d’une oeuvre artistique audiovisuelle) : 30 heures.

Total : 120 heures.

L’étudiant.e est encadré.e par un directeur de recherche (un artiste/cinéaste, metteur en scène) ainsi qu’un responsable d’atelier (assistant d’enseignement).

Restitution finale – Projection – Diffusion

La restitution du projet de recherche et du dossier de production n’est pas prédéfinie dans sa forme. Elle peut faire l’objet d’une édition, d’une performance ou d’une installation plastique, etc.. Elle peut également être abordée de manière plus conventionnelle, en s’inspirant notamment du modèle des dossiers de demande d’aides à l’écriture, à la production ou au développement (CNC ou Régions)…

La production plastique sera montrée (projetée, exposée, diffusée) dans un lieu adéquat et fera l’objet de partenariats avec un ou plusieurs lieux de diffusion reconnu(s) de l’art, du cinéma ou des festivals. (Voir aussi auprès de CICLIC, Cinéma Les Carmes, Théâtre d’Orléans, etc.)
Le travail de restitution fera l’objet d’une évaluation par un jury composé de professionnels et d’enseignants.

Dossier de candidature

  • Un curriculum vitae précisant la formation initiale, l’école d’origine et les stages.
  • Une lettre de candidature (2 pages maximum) exposant la motivation du candidat et ses intérêts pour la formation post-master.
  • Un dossier présentant le projet de master (PDF du mémoire) et le rapport des stages ou de mobilité internationale auxquels le candidat a participé (PDF pouvant contenir des liens vers la demoreel des productions effectuées par l’étudiant.e pendant les stages ou voyages).
  • Un portfolio des projets audiovisuels de 1er et 2e cycle et de diplômes pour les étudiant.e.s diplômé.e.s en art et design, avec tous les éléments d’écritures, d’intentions, d’évolution des recherches, de productions plastiques et de réalisations finalisées ou non (PDF pouvant contenir des liens vidéos vers une chaîne Vimeo personnelle, des enregistrements sonores, des liens vers un site web, etc.).
  • Une présentation orale en vidéo personnalisée (maximum 3 minutes) du projet personnel du candidat et éventuellement du champ de création envisagé pour l’année post-master. Cette vidéo peut servir de préambule à la présentation du portfolio, de synthèse critique et formelle du parcours personnel du candidat. Cette présentation portrait vidéo vivante n’est pas obligatoire mais fortement conseillée. Elle est totalement libre dans sa forme et doit révéler la singularité et la personnalité du candidat auteur.e.Dossier complet à envoyer par courriel à : mhuvelin@esad-orleans.fr

Calendrier

– Date limite de candidature : Mi-juin
– Sélection : Fin juin
– Début de la formation : Octobre

Contact

Maurice Huvelin
Enseignant cinéma, vidéo, image animée

Post-Master Objets connectés

L’ÉSAD Orléans propose depuis 2020, dans le cadre de l’Unité de Recherche ÉCOLAB, un post-master spécialisé Objets connectés en partenariat avec Polytech Orléans.

Au sein de notre environnement numérique complexe, le designer comme l’ingénieur sont amenés à collaborer. Dans le domaine des objets situés et connectés, la réussite d’un projet dépend de la capacité des concepteurs à l’envisager de façon globale et dans la multiplicité de ses aspects dès les premières phases de conception. C’est cette vision que les étudiant.e.s peuvent acquérir au sein du post-master « Objets connectés » .

Le post-master « Objets connectés » permet à des étudiant.e.s diplômé.e.s en art et design ou en ingénierie de renforcer leur formation et d’acquérir des compétences complémentaires : une approche en électronique, ingénierie, développement pour les designers, une approche design et création pour les ingénieurs. L’hybridation des compétences acquise par une telle formation apporte une véritable valeur ajoutée à leur profil professionnel.

En fonction de leur parcours, les étudiant.e.s peuvent suivre des formations déjà existantes au sein de l’offre pédagogique des deux établissements. Ils doivent en outre réaliser un projet personnel dans le domaine des « objets connectés ». Ce projet est accompagné par un enseignant de l’ÉSAD Orléans et un enseignant de Polytech.


Contenus

Résumé des contenus et de la structuration
La formation correspond à 120 heures d’actions et/ou de formations.

Cours
Les étudiant.e.s ont accès à un panel de cours faisant partie de la maquette pédagogique des deux établissements en fonction de leur profil et de leur projet professionnel. La construction du programme de cours de l’étudiant.e est élaborée sous la forme d’un parcours individualisé.

Immersion en équipe de projets
Les étudiant.e.s sont intégrés à des équipes de projets des écoles où ils apportent leurs compétences et en acquièrent de nouvelles. Les jeunes designers sont intégrés à des équipes de projets de Polytech Orléans tandis que les jeunes ingénieurs sont intégrés à des équipes de projets de l’ÉSAD Orléans, issus du programme de recherche en art et design « Objects, crafts, and computation », du parcours de DNSEP « Objets connectés ».

Projet
Le projet est mis en oeuvre en binôme (un.e étudiant.e ingénieur et un.e étudiant.e designer). Il est encadré par des enseignant.e.s. Il permet de mettre en place le dialogue et la collaboration, l’apprentissage des approches méthodologiques spécifiques. Il apporte aux étudiant.e.s les outils nécessaire à la réussite du projet long. Le projet peut être accompagné par une structure de type incubateur.

Le projet est initié:
– Soit par les écoles qui en établissent le cahier des charges.
– Soit par les étudiant.e.s eux même.
– Soit par un partenaire extérieur issu du territoire (Institution, entreprise).

Évaluation

L’obtention du post-master est subordonné à 120 heures d’actions et/ou formations sur une année civile. Ces heures sont ventilées suivant les plannings de l’ÉSAD Orléans et de Polytech Orléans.

Modalités de sélection

Le post-master Objets connectés s’adresse aux candidat.e.s :
– Diplômé.e.s en Art et Design : titulaires d’un diplôme à bac + 5 valant grade master de l’enseignement supérieur Culture, filière Arts plastiques (art, design, communication): DNSEP et autres diplômes d’écoles de l’enseignement supérieur Culture : DNSAP, diplôme de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs, etc.
– Diplômé.e.s d’École d’ingénieur.

Dossier de candidature


CV (précisant la formation initiale et l’école d’origine et le stages)
– Lettre de candidature (2 pages maximum) exposant la motivation du/de la candidat.e et ses intérêts pour la formation
– Dossier présentant les projets de master ou de stage auquel l’étudiant.e a participé ou a été associé pour les étudiant.e.s ingénieur.e.s
– Portfolio des projets de 2e cycle et de diplôme pour les étudiant.e.s diplômé.e.s en art et design

Dossier complet à envoyer par courriel à : czahnd@esad-orleans.fr

Calendrier

– Lancement de l’appel à candidatures : mi juillet
– Date limite de candidature : mi août
– Sélection des candidatures : fin août
– Début de la formation: septembre

Contact

Caroline Zahnd
Enseignante coordinatrice du Post-Master Objets connectés
Directrice du programme de recherche en art et design « Objects, crafts and computation »
Co-responsable de l’unité de recherche ÉCOLAB

classe préparatoire

Classe préparatoire aux métiers de la création Esad Orléans

Depuis la rentrée 2017, la classe préparatoire accompagne les étudiants entre le secondaire et les études supérieures artistiques. Bien qu’elle n’ouvre aucun droit automatique d’entrer en première année de l’ÉSAD Orléans, la classe prépa offre à ses étudiants, l’occasion de s’orienter vers les études supérieures de la création en préparant les examens d’entrée des écoles de leur choix, dans un environnement privilégié, à Orléans.

Panorama des enjeux de la création
La classe préparatoire permet à des élèves, sans formation artistique préalable obligatoire, d’accéder aux compétences techniques et théoriques indispensables lors des sélections d’entrée dans les écoles supérieures préparant aux métiers artistiques. Une approche transversale et panoramique permet d’arpenter les territoires de l’art (dessin/peinture/couleur), du projet et de travailler aussi bien le volume que le signe.

Année d’accompagnement dans l’orientation
Enrichie d’un suivi individualisé, cette pédagogie donne aussi à l’étudiant l’opportunité de rencontres avec les différents milieux artistiques. Au travers de visites d’établissements culturels et artistiques de premier plan, de rencontres avec des professionnels et d’une fréquentation quotidienne de l’ÉSAD Orléans, la classe préparatoire aux métiers de la création lui permet de préciser son projet d’étude en connaissance de cause.

Expression de tous les imaginaires
Les objectifs de cette année sont de développer la personnalité de chaque élève, de l’aider à trouver son domaine de compétence et d’expression plastique. Outre les apprentissages techniques et l’acquisition de moyens d’expression plastique, cela passe par la découverte des pratiques artistiques contemporaines et un accompagnement des capacités de l’étudiant à mettre en forme et à verbaliser ses orientations de travail.

Engagement de l’étudiant, évaluation et examen d’entrée
La formation impose un rythme de travail intensif et une grande motivation. L’étudiant constituera un ensemble de travaux personnels et diversifiés lui permettant de se présenter aux examens d’entrée dans de bonnes conditions. Deux bilans intermédiaires, des épreuves blanches (orales et écrites) le prépareront au mieux aux épreuves d’admission des écoles supérieures. Son objectif est clair : réussir les examens d’entrée des écoles supérieures de la création. Il s’engage à se présenter dans au moins 4 établissements pour accroître ses chances de succès.

Contenu de la formation

  • Pratiques artistiques (dessin, peinture, couleur, volume, composition graphique)
  • Approche des techniques d’atelier (maquette, modelage, gravure, photographie)
  • Initiation aux logiques de projet
  • Parcours d’orientation et accompagnement individuel
  • Culture et approches théoriques
  • Langue vivante (anglais)
  • Workshops, conférences et sorties culturelles
  • Travail personnel exigeant (10 à 12 heures par semaine)

Ressources
La classe prépa bénéficie d’une surface spécifique de 190 m2 ainsi que de l’ensemble des ateliers techniques de l’École (maquette, gravure, modelage, etc.) Les étudiants disposent en outre des mêmes droits d’accès à la bibliothèque, au matériel de reprographie, au restaurant universitaire, etc. Les élèves de la classe préparatoire bénéficient d’une grande proximité avec l’ÉSAD Orléans, ses étudiants et ses enseignants. Ils en partagent les projets, les passions, la culture de la création. L’école prend à sa charge une partie des fournitures pédagogiques, mais ne sont pas compris, dans les frais de scolarité, les fournitures et outils personnels de l’étudiant.

Équipe pédagogique
Issue de l’enseignement supérieur artistique, une équipe enseignante spécialisée d’une vingtaine de personnalités (peintre, plasticien, sculpteur, designer, architecte, architecte paysagiste, photographe, graphiste, dessinateur, infographiste, développeur) intervient auprès des étudiants. Elle est appuyée par les responsables d’ateliers de l’école. L’accompagnement des étudiants dans la construction de leur projet d’étude est assuré par le coordinateur de la formation. L’accueil administratif des étudiants est assuré par le secrétariat pédagogique.

Poursuite d’études

  • Entrée en école supérieure d’art et de design (Bac + 5, grade Master)
  • Entrée en école d’architecture (orientation notamment vers les écoles partenaires comme Paris La Villette et Paris Val de Seine) et autres écoles publiques du ministère de la Culture (vidéo, photo, cinéma…)
  • Entrée à l’université : Licence d’art plastique/histoire de l’art
  • Entrée en DNMADE et écoles spécialisées : Arts appliqués, design, paysage, vers cycles courts ou cycles techniques

Contact

Thomas Perrin
Coordinateur de la classe préparatoire

unités de recherche

ÉCOLAB Unité de recherche

L’Unité de Recherche « ÉCOLAB » de l’ÉSAD Orléans, soutenue par le ministère de la Culture, se définit par une réflexion« écologique » au sens large (environnementale, sociale, technique,mentale) reposant sur l’idée que toute activité de conception, de production et d’échange est définie par un ensemble de relations où chaque élément du système a une influence sur tous les autres. Il s’agit plus précisément de comprendre comment le design, comme forme de pensée et de création relationnelle, peut éclairer, approfondir et transformer la manière dont l’écologie et le numérique déterminent la vie humaine contemporaine.
Cette approche relationnelle et critique permet d’expérimenter de nouveaux modes de conception, de production, de représentation et d’échange sont profondément reconfigurés (écoconception,objets connectés, wiki et open design, graphisme génératif, nouvelles formes d’éditorialisation, etc.)
ÉCOLAB propose deux approches dans le cadre d’un « Le Labo sur les sens de l’espace » qui étudie l’espace et les sens de l’espace, et d’un « Le Labo sur images, technologies, environnements » qui étudie les pratiques de design graphique, génératif, éditorial, interactif

Objectif académique : faire de l’ÉSAD Orléans un acteur identifiable de la recherche en design (au niveau régional et national, international). Arpenter les différents territoires de la recherche-création et universitaire.

Objectif institutionnel : rendre l’ÉSAD Orléans identifiable comme une école spécialisée dans les questions relatives à l’écologie et au numérique en design.

Plus d’infos : www.esad-orleans.fr/ecolab-recherche/

Contact

ecolab@esad-orleans.fr

programmes de recherche

Blockchain in média

Pour le programme de recherche Blockchain in média, il s’agira d’aborder la chaîne de blocs (Blockchain) en tant que médium technique. Notre approche sera média-archéologique. L’archéologie des média peut être définie comme la science de l’émergence et de l’obsolescence des média (c’est-à-dire des appareils d’enregistrement, de stockage et de traitement de données), de leurs effets sur tout discours, sur l’écriture et le langage, la création et l’art, et plus généralement la culture. Pour mesurer ces effets, l’archéologie des média étudie les matérialités et temporalités propres de ces média, aussi bien de manière externe qu’interne (la logique propre d’invention des média eux-mêmes).

Une chaîne de blocs est un registre décentralisé de transactions. Il est infalsifiable et ineffaçable. La Chaîne de blocs stocke, traite, transmet de l’information d’une manière spécifique (réseau pair-à-pair, cryptographie, horodatage…), qui justifie qu’on l’aborde comme un médium spécifique, qui ne se réduit ni à l’ordinateur, ni à l’Internet. Il s’agit donc ici d’aborder la Chaîne de blocs depuis sa réalité technique, et non seulement depuis ses utilisations ou encore leurs conséquences économiques, juridiques et politiques, qui sont jusqu’alors les angles d’approche les plus adoptés.

Notre recherche visera à étudier de quelle manière la Chaîne de blocs constitue le déploiement des potentialités du médium informatique visant à temporaliser l’espace des transactions humaines. En ce sens elle participe à une archivisation du monde automatisée qui vient redessiner les conditions de construction du passé et du futur social (par exemple, par les smarts contracts) et par là-même du monde commun.

Tout médium d’enregistrement modifie les temporalités humaines : l’écrit, par la spatialisation de la mémoire, a été la condition d’une conception linéaire du temps permettant de se situer dans des repères temporels spatialement figurés, les média techniques d’enregistrement sonore ou visuel d’abord, le numérique ensuite, prescrivent le temps d’appréhension de l’information enregistrée. La Chaîne de blocs est un médium temporel, créé pour archiver les transactions humaines. Ainsi, l’archive numérique de la Chaîne de blocs, non seulement prescrit le temps d’appréhension mais aussi, en même temps, un temps social régi par le passé archivé. Ce faisant, elle redéfinit l’espace commun où la structuration du temps et le processus d’archivage de la réalité (humaine et informatique) ne font qu’un.

Il s’agira de saisir comment le design média-technique de la Chaîne de blocs affecte notre conception du temps. Par l’appréhension des matérialités de la Chaîne de Blocs, le programme (enseignant.e.s et étudiant.e.s) cherchera à explorer par l’art et le design (expérimentation, prototype, installation…) cette nouvelle construction du temps et à dessiner les contours de ce que pourrait être un design du temps à l’ère des réseaux et de la cryptographie informatique.

Édition, média, design : Expanded publishing, quand les data deviennent formes

Lorsque écrire, concevoir, éditer, publier et lire numériquement s’imposent comme une nouvelle norme de l’édition, que deviennent les pratiques où le « faire » renvoie à la singularité d’un auteur, à sa signature, à sa position dans un continuum historique de transmission de savoirs et savoir-faire? Les pratiques qui relèvent de l’édition font en effet face aujourd’hui à une mise en question, sans doute fondamentale, de leur modus operandi. Des décennies après l’invention de l’ordinateur, après la révolution numérique, l’édition se comprend dans une interaction de multiples média.
Pour le programme de recherche Édition, média, design, il s’agit d’expérimenter ces nouvelles formes d’éditions, d’expériences et de fictions interactives offertes par les technologies numériques: réalité augmentée, dispositifs transmedia interactifs et expériences vidéo-ludiques.

Le programme s’intéresse aussi aux problématiques posées par la production exponentielle des données et leur exploitation en étudiant les croisements plastiques et conceptuels qui s’opèrent aujourd’hui entre l’édition papier et l’édition numérique et leur influence sur l’écriture et le récit. Lorsqu’un dispositif numérique remplace ou simule un support traditionnel, ce n’est pas seulement le texte qui se trouve transformé. Il en va de même des pratiques graphiques et visuelles et de la conception des nouveaux environnements de lecture et d’écriture.

LIGA – Cohabiter avec le fleuve

L’ÉSAD Orléans s’inscrit tout naturellement dans le territoire de la vallée de la Loire, fleuve qui traverse la ville et marque fortement son identité (géographique, historique biologique, religieuse, populaire et artistique). Si une partie de la Loire est endiguée, canalisée, c’est aussi un fleuve largement « sauvage » dont les mouvements sont sensibles y compris dans la métropole d’Orléans.

Le programme de recherche LIGA-Cohabiter avec le fleuve, vient en écho avec le projet développé par le collectif POLAU (Pôle Arts & Urbanisme) initié en 2019 pour la création d’une entité juridique du fleuve Loire. En 2019, le POLAU initie le projet « Génies-Génies » (transition énergétique des territoires, valorisation des déchets et culture du fleuve). C’est à l’intérieur de ce projet que se trouve le chantier « culture du fleuve » proposant un « Parlement de Loire ». Ce projet consiste à poser la question suivante: « et si, pour la première fois en Europe, un fleuve avait la possibilité de s’exprimer et de défendre ses intérêts à travers un système de représentation interspécifique ? » Il s’agira alors tout d’abord d’étudier, interroger et expérimenter par le design la « personnalité » de Loire dans toute sa complexité (géographique, historique, biologique, technique, culturelle, sociale, juridique et politique) à travers les problèmes spécifiques posés par la cohabitation avec un fleuve jouissant d’un statut juridique nouveau et inédit en Europe.

Le programme abordera les questions de la cohabitation (formes de l’habiter, historiques, vernaculaires, à venir), de la biodiversité, des sols et des flux. Puis, l’objectif sera de produire des connaissances nouvelles et spécifiques sur le « design » du fleuve. Enfin, d’inscrire territorialement la recherche de l’ÉSAD Orléans en visant un développement à long terme autour des « Loire studies » selon une approche multidisciplinaire.

Objets et arts de faire computationnels

Le designer est aujourd’hui en capacité d’inventer des objets qui peuvent exister à la fois dans le monde tangible et dans l’environnement numérique, connectant et interfaçant l’un à l’autre. Il dispose d’informations, de réseaux et de média de création dits « dématérialisés » (Internet, données numériques, logiciels), de nouveaux lieux et machines de fabrication (FabLabs, imprimantes 3D, etc.) et de matériaux innovants. Les objets conçus et produits numériquement sont dotés de capacités de connexion et de communication. Ils sont devenus sensibles à leur environnement et aux humains. Ils tendent aussi vers une forme d’intelligence qualifiée d’ »artificielle ». Le programme de recherche Objects, crafts and computation étudie d’une part les mutations des pratiques du designer au prisme des nouvelles formes de conception, de production et de matérialités issues des révolutions numériques. Autrement dit, dans quelle mesure les média de conception et les machines de fabrication numériques affectent-ils le design? Comment les savoir-faire s’y redéfinissent-ils? Comment le designer s’empare-t-il des matérialités que les sciences et les technologies numériques mettent à sa disposition? D’autre part, il s’agira de savoir comment les informations captées et diffusées par des objets nouveaux, accumulées dans les fermes de données puis analysées et traitées, sont capables de les informer à leur tour, voire de leur donner une nouvelle forme plastique, et dans quel but. Comment l’interconnexion de ces objets, à l’intelligence à la fois embarquée et distribuée avec le réseau, redéfinit-elle notre rapport au monde et selon quelles logiques ? Abordant de manière spéculative la nature des objets algorithmiques et connectés, le programme s’interroge sur leur dimension ubiquitaire, leur aptitude à émettre, recevoir, capter et traiter des données, ainsi que sur leur autonomie grandissante dans les espaces qu’ils peuplent et déterminent.

programmes de recherche

L’ÉSAD Orléans propose une série d’expositions en lien avec les axes de recherche et de pédagogie spécifiques à l’école et faire connaître les travaux des étudiant·e·s, étudiant·e·s-chercheurs·euses, jeunes professionnels. Le programme d‘expositions est articulé avec l’unité de recherche en art et design “ÉCOLAB”, attentive aux enjeux écologiques, numériques, politiques et technologiques, et avec les engagements pédagogiques de l’école.

activité post- ou périscolaire

Ateliers de pratiques amateurs.
Cours pour enfants, adolescents, adultes.
Plus d’informations

coopération internationale

L’ÉSAD Orléans compte 41 écoles partenaires (dans 17 pays différents) dont 24 ont fait l’objet d’un accord interinstitutionnel Erasmus+. L’homogénéisation des accords interinstitutionnels signés dans le cadre du programme Erasmus+ permet la modernisation et la facilitation de sa mise en oeuvre. La qualité des partenariats est basée sur la similitude et la complémentarité des enseignements et des projets sans cibler une zone géographique particulière. Dans les années à venir, l’ÉSAD Orléans cherchera à davantage mettre en cohérence son réseau de partenaires internationaux avec son projet d’établissement, centré sur les questions écologiques, technologiques, numériques et politiques.

L’ÉSAD Orléans est membre active de l’association Cumulus, regroupant 357 écoles et universités de design réparties dans 66 pays. Des colloques pluriannuels y sont organisés afin de confronter les regards sur la pédagogie et la recherche en design. Ils sont l’occasion de rencontrer nos partenaires présents et futurs pour des projets de coopération ou de mobilité.

Grâce à ses partenariats internationaux, l’ÉSAD Orléans encourage la mobilité géographique des étudiants, personnels et enseignants, dans les pays européens et dans les pays tiers, via le dispositif Erasmus+. À tous les niveaux de décision concernant les mobilités entrantes et sortantes, l’ÉSAD Orléans veille rigoureusement au respect de l’équité, de la parité, de la non-discrimination en mettant en oeuvre des dispositifs de sélection transparent et inclusif.
La mobilité internationale permet aux étudiants d’être plus compétitifs sur le marché de l’emploi et d’acquérir une attitude citoyenne, une meilleure aptitude au « vivre ensemble ». Les enseignants mobiles sont des démultiplicateurs de mobilité, plus aptes à accompagner les étudiants dans leur parcours pédagogique, à leur ouvrir des fenêtres sur le monde. La compréhension fine des contenus de formation intégrant la mobilité à l’étranger dans les cursus de formation assure la pérennité de partenariats transnationaux.

Environ 10% de l’effectif étudiant total de l’ÉSAD Orléans provient de l’international. La moitié de ces non francophones vient de Chine, Corée du Sud, Amérique Latine et ont été recrutés par commission d’équivalence ou à l’examen d’entrée. L’autre moitié d’étudiants non francophones sont les étudiants mobiles accueillis dans le cadre de nos accords bilatéraux Erasmus+ ou au-delà de l’Europe (programme BCI pour le Québec ou partenariats bilatéraux avec le Brésil, l’Inde, la Chine, Israël, les États-Unis, etc.). L’ÉSAD Orléans inscrit dans ses programmes des cours de langue obligatoires toutes années confondues. Les étudiants internationaux (hors francophones) reçoivent des cours de français langue étrangère afin de leur permettre une meilleure intégration dans leur formation et de leur assurer une meilleure vie quotidienne en France.

Pour ce qui concerne les enseignements en anglais, de nombreux enseignants sont capables d’adapter leur propos en anglais vers les étudiants en échange même si langue d’instruction est le français. L’ÉSAD Orléans possède par ailleurs un vivier d’enseignants bilingues en polonais, allemand, italien, portugais et hongrois. Ces compétences linguistiques complémentaires participent fortement à l’accueil et l’intégration des étudiants et/ou personnel en mobilité entrante mais sont aussi essentielles lorsqu’il s’agit de s’adapter à des publics différents.

Contact

Marion Quintin
Responsable des relations internationales

équipements spécifiques

L’école dispose aujourd’hui d’un parc de plus de 150 ordinateurs, d’un laboratoire numérique et de différents ateliers : maquettes et prototypage, bois, métal, gravure, modelage et moulage, infographie, impression, 2D/3D, photo, vidéo et son.

L’ÉSAD Orléans dispose également d’un amphithéâtre équipé pour des conférences et projections, et d’une bibliothèque spécialisée proposant plus de 8000 ouvrages (monographies d’artistes, catalogues d’expositions, philosophie, esthétique, etc), 28 revues spécialisées sur le graphisme, le design, l’architecture, l’actualité culturelle, ainsi que des abonnements à des bases de données spécialisées.
Enfin, des espaces dédiés permettent à chaque étudiant de disposer tout au long de l’année d’un espace de travail adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser ses projets personnels. Des salles d’accrochage pédagogique leur permettent par ailleurs de présenter leurs travaux lors des évaluations ou des passages de diplômes dans des conditions professionnelles.

réseaux

APPÉA – Association nationale des prépa publiques aux écoles supérieures d’art
ANdÉA
Cumulus Association – Association internationale pour l’éducation et la recherche en art et design

équipe administrative

Emmanuel Guez Directeur général
Patricia Pujol Secrétaire générale
Juliette Beauchot Directrice des études
Catherine Bazin Responsable partenariats, vie professionnelle et événements
Marion Quintin Responsable relations internationales
Audrey Sallin-Pronier Responsable communication
Thomas Perrin Responsable classe prépa et ateliers de pratiques amateurs
Théo Nail Ingénieur d’études
Delphine Dupoux Secrétaire pédagogique
Florence Crosnier Secrétaire pédagogique
Sahida Zephar Comptable
Natou Gomez Assistante administrative et RH
Marie Danse Bibliothécaire
Angélique Swierczynski Bibliothécaire
Maïlynn Bejjani Accueil

professeurs

Laurent Baude
Rafal Borkowski
Olivier Bouton
Lionel Broye
Sophie Carles
Marie Compagnon
Philippe Costard
Emmanuel Cyriaque
Florent Deloison
Panni Demeter
Andrée Furey
Sylvia Fredriksson
Dominique Garros
Nicolas Girard
Victor Guégan
Maurice Huvelin
Didier Laroque
Loïc Le Gall
Claire Le Sage
Marie Lechner
Jean Lecointre
Réjane Lhote
Clothilde Liot
Gunther Ludwig
Uli Meisenheimer
Sophie Monville
Erik Nussbicker
Évelyne Paradis
Sébastien Pons
Léandre Porte-Agbogba
Samuel Roux
Laurence Salmon
Olivier Soulerin
Philippe Tarral
Nicolas Tilly
Raphaël Uhrweiller
Éric Verrier
Alessandro Vicari
Caroline Zahnd

coordonnées

14 rue Dupanloup | 45000 Orléans
+33 (0)2 38 79 24 67
contact@esad-orleans.fr
www.esad-orleans.fr

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effectif

300 étudiants

Paris

École des Arts Décoratifs

présentation

L’École nationale supérieure des Arts Décoratifs est un établissement public d’enseignement supérieur relevant du ministère de la Culture qui a pour mission la formation de haut niveau, artistique, scientifique et technique d’artistes, de designers et de chercheur·euses.

Lieu de foisonnement intellectuel, créatif et artistique depuis plus de 250 ans, elle a pour vocation de former les futur·es artistes et designers à être les créateur·ices du décor contemporain et les “transformateur·ices” du monde de demain.
Chaque année, plus de 800 créateur·ices dans 10 secteurs s’attachent à créer l’environnement matériel, visuel et imaginaire de notre temps et à penser les mutations du paysage sociétal et artistique.

Ils et elles ont fait L’Ecole des Arts Décoratifs :

Michael Amzalag et Mathias Augustyniak M/M (Paris), Philippe Apeloig, Kader Attia, Yacine Ait Kaci, Pénélope Bagieu, Neil Beloufa, Mohamed Bourouissa, Ronan Bouroullec, Nathalie Crinière, Philippe Cazal, Céline Devaux, Kenny Dunkan, Mimosa Echard, Charles Garnier, Jean-Paul Goude, Hector Guimard, Camille Henrot, Pierre Huyghe, Henri Matisse, Annette Messager, Kunihiko Moriguchi – Trésor national vivant, Michel Ocelot, Philippe Quesne, Auguste Rodin, Anri Sala, Claude Sautet, Jérôme Savary, Jacques Tardi, Xavier Veilhan, Martin Veyron, Jeanne Vicérial, Yiqing Yin, entre autres…

 

Les portes ouvertes de l’Ecole se tiennent chaque année à la fin du mois de janvier – en 2023 celles-ci auront lieu les 27 et 28 janvier.

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options

– Art-espace

– Architecture Intérieure

– Cinéma Animation

– Design Graphique

– Design Objet

– Design Textile et Matière

– Design Vêtement

– Image Imprimée

– Photo/Vidéo

– Scénographie

 

Dans sa pédagogie, l’École s’attache à concevoir des méthodologies qui favorisent le croisement et la rencontre des différentes disciplines. La 1re année du cursus, pluridisciplinaire, se poursuit dans l’un des 10 secteurs  où l’interdisciplinarité est développée tout au long de la formation par des workshops inter-secteurs et/ou inter-écoles.

 

 

diplômes

L’École des Arts Décoratifs propose un diplôme de grade de Master délivré au nom de l’État à l’issue de la 5e année d’études. Le diplôme est décerné à l’étudiant·e qui a soutenu avec succès son mémoire et son Grand projet.

Depuis la rentrée 2020, son premier cycle est par ailleurs sanctionné par un diplôme de grade de Licence.

 


 

ENAMOMA – Master Mode et Matière (Université PSL)

Fruit de la collaboration entre 3 établissements référents de leur domaine, en création (École nationale supérieure des Arts Décoratifs), management (Paris-Dauphine – PSL) et ingénierie (MINES ParisTech), le master Mode  &
Matière de l’Université PSL rassemble des étudiant·es de plusieurs disciplines au sein d’un cursus international sans équivalent à Paris. Accessible en formation initiale ou en apprentissage, ce Master a pour ambition de former une nouvelle génération de talents à même de comprendre les enjeux complexes qui animent le monde de la mode et des matières et d’accompagner la transition écologique et sociale du secteur.

post-diplôme

Formation professionnelle continue

L’École des Arts Décoratifs accompagne les professionnel ·les et jeunes diplômé·es avec une offre de formations originales (Dessin de Presse/media international en partenariat avec la cité internationale de la bande dessinée et de l’image et l’École européenne supérieure de l’image d’Angoulême Poitiers, ateliers d’été, post-masters) ou de stages dans le cursus initial. Elle propose également aux entreprises et aux collectivités des programmes sur mesure.

 

AIMS (Artiste Intervenant en Milieu Scolaire) est une formation diplômante d’un an de niveau post-master, de transmission artistique à destination d’enfants scolarisés dans des écoles primaires et collèges situés dans des réseaux d’éducation prioritaire d’Ile‑de-France (REP et REP+).

 

Design des mondes ruraux : un programme hors les murs de l’Ecole des Arts Décoratifs à Nontron.

Misant sur la capacité du design à redynamiser les territoires, l’École des Arts Décoratifs a lancé à la rentrée 2021 un programme de niveau Post-Master, en relation étroite avec la Communauté de Communes du Périgord Nontronnais, le Pôle expérimental des métiers d’art et les acteurs locaux. Le programme accueille 6 à 8 étudiant·es par an et tient à la fois de la résidence, du laboratoire, de l’incubateur et du bureau d’études, destiné à répondre à des problématiques concrètes locales.

 

Parcours « Promesse »

L’Ecole propose désormais à ses jeunes diplômé·es et ses étudiant·es en année de diplôme un dispositif tremplin construit selon différents modules sur-mesure pour offrir un soutien innovant à l’intégration professionnelle des jeunes créateur·ices et accompagner leurs projets de création de leur conception à leur réalisation.

troisièmes cycles

EnsadLab, le laboratoire de recherche de l’École, propose une formation doctorale dans le cadre de SACRe (Sciences Arts Création et Recherche), en coopération avec les écoles d’art de PSL (Beaux-Arts, CNSAD, CNSMDP, la Fémis) et l’École normale supérieure, délivrant un diplôme national de doctorat (Ph.D).

EnsadLab compte 5 groupes de recherche :
Formes du Mouvement (Coordination : Serge Verny et Nicolas Nemitz) ; Reflective Interaction (Coordination : Samuel Bianchini) ; Soft Matters (Coordination : Aurélie Mossé et Jean-François Bassereau) ; Spatial Media (Coordination : François Garnier en collaboration avec Fabienne Tsai) et Symbiose (Coordination : Patrick Renaud)

vae

Pour accéder à la VAE, il faut remplir certaines conditions, Justifier de 3 années d’activité et demander une validation des acquis de l’expérience correspondant aux connaissances ou aptitudes exigées pour l’obtention du diplôme de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs.
https://www.ensad.fr/formations/autres-formations/validation-acquis-lexperience

formation continue

L’École des Arts Décoratifs propose des stages pour les demandeur·euses individuel·les (stages limités à une année scolaire).

La formation est personnalisée. Il s’agit d’intégrer des professionnels dans le cursus de l’École et de leur proposer une formation à la carte pendant un an.

Les cours de formation continue sont proposés dans les secteurs suivants :

Architecture intérieure
Art-Espace peinture/sculpture
Cinéma d’animation
Design graphique/Multimédia
Design objet
Design textile et matière
Design vêtement
Image imprimée (illustration, gravure, sérigraphie)
Photo/Vidéo
Scénographie

Cette formation n’est pas diplômante.

 

 

éditions

L’École édite de nombreux ouvrages et catalogues, se renseigner auprès d’Elsa Carnielli – responsable des éditions.

 

Dans le cadre de ses activités éditoriales, l’École des Arts Décoratifs a lancé son propre média, DÉCOR, qui se manifeste sous trois formes : une revue digitale, une revue print annuelle et des « revues » vivantes. Ce média constitue un lien entre les productions artistiques et théoriques de l’École et le public extérieur : il manifeste, sous forme de créations et de textes, le regard que nos artistes et designers portent sur le monde contemporain. Ses contributeur·ices sont autant des élèves ou enseignant·es issu·es de l’École que les philosophes, curateur·ices, anthropologues, etc. qui pensent l’époque.
→ podcasts, vidéos, articles ou live sur revuedecor.fr

Le premier numéro est intitulé Décor (2021), le deuxième numéro est Vulgaire (2022).

classe préparatoire

Parcours prépa : un accompagnement aux écoles d’art et de design.

Ce parcours de soutien réalisé en partenariat avec le Lycée Colbert à Paris (10e) vise à accompagner les jeunes désireux·ses de se présenter aux concours d’entrée des écoles d’art et design. Il s’organise en une semaine de stage intensif pendant les vacances de la Toussaint et un rendez-vous hebdomadaire d’apprentissage de novembre à mars.
→ contact : Laure Vignalou

 

Programme « La Renverse »

En partenariat avec les Ateliers Médicis, l’Ecole des Arts Décoratifs invente La Renverse, une école d’art d’un nouveau genre qui s’adresse aux jeunes habitant·e·s de Seine-Saint-Denis ou des départements limitrophes exprimant une passion ou un talent pour la création, en particulier dans les domaines de la mode, du numérique, des jeux vidéo ou du design…

En les accompagnant dans le développement de leur potentiel artistique, l’objectif est d’aider les participant.e.s à élaborer un projet soit professionnel (lancement de marque, intégration d’une structure) soit de reprise d’étude (aide aux inscriptions Parcoursup, accompagnement pour la préparation des concours d’entrée en école d’art ou en classe préparatoire).
L’enseignement est dispensé par des jeunes artistes diplômés de l’École des Arts Décoratifs, pour une plus grande facilité d’échange et de transmission entre le corps enseignant et les participant.e.s.

coopération internationale

L’action internationale de l’École des Arts Décoratifs s’appuie sur un réseau de plus de 140 partenaires. L’École favorise la mobilité de ses étudiant·es par des programmes d’échanges académiques proposés en 4e année, une offre de stages et de workshops internationaux.

Elle accueille également en séjour d’études des étudiant·es étrangèr·es et invite enseignant·es et chercheur·euses du monde entier dans le cadre de ses cours, programmes de recherche ou événements culturels.

L’École participe aux grandes manifestations internationales des domaines de la création et de l’innovation.

Sur le plan de la recherche, des collaborations bilatérales autour de projets de recherche spécifiques sont établies avec plusieurs universités.

équipements spécifiques

Superficie : 15 000 m2 sur 7 niveaux comprenant

– 19 ateliers techniques encadrés par des technicien·nes spécialisé·es (maille, tissage, vêtement, impression textile, sérigraphie, scénographie, bois, gravure, métal, robotique, animation, photo, audio-vidéo, céramique, morphostructure, maquettes, pré-presse)

– 2 amphithéâtres

– 1 galerie d’exposition, « Rotonde Rosa Bonheur »

– 1 bibliothèque (22 000 livres, 4 000 documents patrimoniaux présentant un intérêt du fait de leur ancienneté ou de leur rareté, 230 journaux et revues dont 80 abonnements courants, 620 mémoires d’élèves, 2000 films –, 45 000 images sur la Photothèque et des centaines de milliers de ressources en ligne dont une très riche offre VOD)

– 1 matériauthèque de + de 6000 références issus de l’industrie et de l’artisanat,

– 1 cafétéria proposant une restauration bio et de saison

-1 récupérathèque…

réseaux

ANdEA, ELIA, Art Accord France, Cumulus, FDE, ICSID, Conférences des Grandes écoles.

L’EnsAD est un établissement associé de l’Université PSL (Paris Sciences & Lettres). Dans ce cadre, l’École copilote le programme SACRe (Sciences, Arts, Création, Recherche) dont l’ambition est de former une nouvelle génération de chercheur·euses en art et design.

Elle a également mis en place en 2017 – avec le soutien de PSL – EnaMoMa (l’École nationale de Mode et Matière), en partenariat avec MINES ParisTech et l’Université Paris-Dauphine – PSL.

L’École s’est engagée dans des programmes ambitieux de formation et de recherche, tels que la Chaire Studio 21, Mutations de la vie étudiante au XXIème siècle en partenariat avec les Crous, et la Chaire Ecodesign et création en partenariat avec Décathlon.

Elle est membre d’un large réseau d’associations internationales et développe en outre des relations avec 128 écoles supérieures et universités d’art et de design dans le monde.

équipe administrative

– Emmanuel Tibloux, Directeur
– Laurine Arnould, Responsable du pôle documentaire
– Philippe Berthier, Chef du service des ressources humaines
– Julien Bohdanowicz, Directeur des études
– Ariane Briost, Chargée de mission auprès du directeur
– Philippe Charles, Chef du service des systèmes d’information
– Sarah Chazalette, Cheffe du service des finances, achats et juridique
– Laurent Doucelance, Directeur du développement et de la communication
– Camille Hérody, Directrice des services généraux
– Emmanuel Mahé, Directeur de la recherche
– François Roussy, Directeur des services techniques
– Adèle Roy, Juriste
– Simon Vialle, Chargé de mission auprès de la DGS
– Aurélie Zita, Adjointe au directeur des études

 

e

professeurs

Abensour Judith
André Sabine
Audras Agnès
Baldinger André
Ballet Elisabeth
Barjini Antoine
Baur Ruedi
Beaunier Lauriane
Behage Dirk
Bellini Marco
Bernagozzi Anna
Bernard Vadim
Bianchini Samuel
Bigot Christophe
Blanc Jean-Luc
Blanc-Tailleur Romain
Blot Patrick
Bontour Blandine
Bourguedieu Christophe
Bouzid Nasser
Boyer Elsa
Caccavale Giuseppe
Capdenat Élise
Collignon Timothée
Colou François
Couprie Katy
Courbis Françoise
Cozzolino Francesca
Cueff Alain
Dages Joël
Darrasse François
De Bie Martin
Declercq Alain
Dégé Guillaume
Degoutin Stéphane
Dellsperger Brice
Delmotte Benjamin
Desjardins Antoine
Doleac Florence
Encrevé Lucile
Feintrenie Dominique
Ferrer Anne
Foucault Henri
Fougea Alexandre
Fourmond Jean-François
Frenak Catherine
Garnier François
Gaudric Mathieu
Gauguet Bertrand
Godart Laurent
Hahn Clarisse
Hamoir Rémi
Haute Lucile
Houssin Frédéric
Iseppi Marc
Jubert Roxane
Junod Ponsard Nathalie
Justin Bernard
Lacourt Marion
Laffont-Delojo Patrick
Larger Sophie
Laudenbach Sébastien
Leboucq Brice
Lesueur Natacha
Levasseur Iris
Lion Pascale
Mabille Pierre
Maeda Hiroshi
Marchetti Pauline
Marquis Pierre
Massenet Véronique
Mégret Sylvie
Mellier Fanette
Mercier Laurent
Millot Philippe
Montigné Benoît
Mossé Aurélie
Naux Christophe
Nemitz Nicolas
Paradeis Florence
Parodi Philippe
Perus Denis
Petit Gérald
Plénacoste Gérard
Renaud Patrick
Ribeyron Jacques
Rodier-Clergue Isabelle
Rondet Christian
Rosier Gilles
Roy Françoise
Rullier Jean-Jacques
Salgas Jean-Pierre
Sarti Raymond
Schär Roland
Solomoukha Kristina
Staunton Mathew
Strasser Catherine
Sztulman Paul
Tateossian Violaine
Teyssandier Véronique
Thebault Marc
Tritz Sarah
Ungerer Laurent
Vergne Annabel
Verny Serge
Visconti Orsina
Vogel François

coordonnées

31 rue d’Ulm
75240 | Paris cedex 05
tél. +33 (0)1 42 34 97 00
fax +33 (0)1 42 34 97 85
www.ensad.fr

Instagram : @ensadparis
Facebook : @Ensad75
Twitter : @Ecole_ArtsDeco

https://vimeo.com/ensad

effectif

800 étudiants français et étrangers
dont une quarantaine d’étudiants-chercheurs
15% d’étudiants étrangers
25% d’étudiants boursiers

 

L’École compte environ 268 enseignant·es et intervenant·es pédagogiques ainsi que 115 agent·es administratif·ves et techniques.

Paris

ENSCI – Les Ateliers

présentation

Née d’une volonté politique en 1982, l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle (ENSCI-Les Ateliers) est la seule école nationale exclusivement consacrée à la création industrielle et au design. Il s’agissait alors de rompre avec les modèles académiques en plaçant la création au cœur des préoccupations de la production industrielle et ainsi renouer avec l’esprit du Bauhaus ou du Black Mountain College.
Etablissement public à caractère industriel et commercial, l’ENSCI-Les Ateliers est placée sous la double tutelle des ministères chargés de la Culture et de l’Industrie et jouit d’une reconnaissance et d’une insertion nationale et internationale de premier plan. Elle est classée au 26e rang mondial des écoles d’art et de design du QS ranking 2021.

L’école est membre fondateur d’une communauté d’universités et d’établissements, la COMUE héSam.
Deux diplômes sont proposés en formation initiale : Designer textile et Créateur industriel, chacun élevé au grade de Master.
Dans le domaine de la Formation  tout au long de la vie, l’ENSCI dispense des formations courtes et délivre deux Mastères Spécialisés et un Master of science, accrédités par la Conférence des Grandes Écoles, un M2 Recherche en design.
L’ENSCI propose également un doctorat, avec le Centre de recherche en design (ENSCI Les Ateliers ENS Paris Saclay), Unité de Recherche n° 201923272T et l’école doctorale Sciences de l’Homme et de la société (ED SHS Paris Saclay).

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photo Veronique Huyghe
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Photo Véronique Huyghe

diplômes

post-diplôme

Mastère spécialisé Création et technologie contemporaine
Proposé par l’ENSCI-Les Ateliers, c’est un post-diplôme accrédité par la Conférence des Grandes Écoles qui accueille des candidats français et étrangers issus d’écoles d’enseignement supérieur de création (graphisme, design, architecture, arts plastiques, stylisme…). Cette formation à résonance professionnelle a pour objectif de permettre à des créateurs de mener un projet à la croisée de réflexions artistiques et technologiques contemporaines. Nous entendons par technologies contemporaines, les nouveaux procédés de conception et de fabrication, les technologies de l’information et de la communication, les nouveaux matériaux, les bio et nanotechnologies.
Le Mastère a pour vocation de former des professionnels de la création qui deviendront, dans leur champ d’activités, des porteurs de projet intégrant des techniques et des technologies innovantes confirmées ou émergentes.

les mémoires et les projets de soutenance
Bac+6/ RNCP Niveau 7/ Titre de Créateur.trice de produits technologiques et durables- Label CGE

 Mastère spécialisé Innovation by design
Ce mastère spécialisé vise à contribuer à la qualité et à la performance de l’innovation des organisations (entreprises, administrations, associations) en favorisant leur recours au design.Il forme des experts de la conception, de la structuration et de l’accompagnement de démarches design au service de l’innovation ainsi que de la conception et du pilotage de projets innovants ou de changement par le design. Il accueille tous les profils de professionnels et de jeunes diplômés qui ont des pratiques liées à la gestion de projet et veulent orienter leur carrière vers une innovation pertinente.

Les thématiques des mémoires de soutenance
Bac+6/ RNCP Niveau 7/ Titre d’Expert.e en stratégie d’innovation durable par le design- Label CGE

Master of science Nature Inspired Design

S’inspirer de la Nature et du vivant pour changer les méthodes et outils de conception, et former de nouvelles générations de de chef.fes de projet.
Les étudiants du MSc Nature-Inspired Design seront impliqués dans la conception de solutions innovantes bio-inspirées et biologiques afin de faire face aux problèmes contemporains; la formation leur permettra de réinventer leur propre pratique professionnelle en utilisant la nature comme inspiration, matériau ou processus. Ils seront formés pour devenir chefs de projets en biomimétisme et design.
Ce programme s’adresse à des Professionnels et jeunes diplômés engagés sur l’environnement.
Programme bénéficiant des expertises européennes et d’un public international, l’enseignement est dispensé en anglais et en français.

Les thématiques des mémoires de soutenance
Bac+5/ diplôme d’établissement- label CGE

troisièmes cycles

Doctorat en design
Se former à la Recherche à l’ENSCI, c’est s’engager dans une recherche en lien direct avec le Centre de recherche en Design (ENSCI Les Ateliers ENS Paris Saclay), Unité de Recherche : n° 201923272T (ED SHS Paris Saclay). Ce lieu multisite offre aux chercheurs en design et aux doctorants qu’il accueille, un environnement favorable où convergent des établissements de formation, des laboratoires et des industries de rayonnement international.
Le Centre favorise le déploiement d’une recherche-projet, pour la production conjointe de savoirs et de pratiques. Ancré dans la création industrielle, il se donne pour ambition principale de conduire des programmes de recherche travaillant à l’articulation contemporaine des connaissances scientifiques, des développements techniques et des transformations de la société.
Pour le suivi des designers en thèse, l’ENSCI-Les Ateliers travaille aussi avec des Établissements publics d’enseignement supérieur ou des organismes de recherche. Compte-tenu de la diversité des projets de recherche en design et des profils des doctorants, l’école a constitué un réseau d’établissements partenaires couvrant tous les champs disciplinaires ; des sciences expérimentales (ingénieries, biologie, physiques,…) aux sciences humaines et sociales (anthropologie, sociologie, sciences de gestion, philosophie).
Ce réseau comprend des chercheurs, habilités à diriger de la recherche, qui portent un intérêt tout particulier à la recherche en design. Ces chercheurs travaillent avec les designers du Centre pour l’encadrement et le suivi des élèves en thèse.

vae

VAE et VAP disponibles :

  • Création industrielle –VAE CI et   ( Bac+5/grade de master)
  • Design textile  VAE DT ( Bac+5 / grade de master)
  • Mastère Spécialisé Création et Technologie Contemporaine (BAC+6) VAE et VAP
  • Mastère Spécialisé Innovation by design-(BAC+6)- VAE et VAP
  • M1 et 2  Recherche en design-BAC+4 et BAC+5- master-  VAE et VAP

formation continue

Programmes de formation tout au long de la vie de l’ENSCI-Les Ateliers

L’ENSCI-Les Ateliers propose des diplômes de spécialisation  à bac+4/5/6

Les Mastères spécialisés, labellisés de la conférence des Grandes Ecoles, RNCP de niveau 7
Création et Technologie Contemporaine (Créateur/trice de produits technologiques durables)
Innovation by Design (Expert/e en stratégie d’innovation durable parle design)

Le Master of science, labellisé de la Conférence des Grandes Ecoles, DE, Niveau 7, RNCP à venir:
Nature inspired design (chef.fe de projet en biomimétisme et design)

Le Master (1&2) Recherche en design, en collaboration avec l’ENS Saclay, de niveau 6 pour le M1, 7 pour le M2, RNCP

La formation tout au long de la vie  de l’ENSCI propose des formations diplômantes ou des sessions courtes aux entreprises, aux salariés et aux créateurs soucieux d’acquérir des compétences, des savoir-faire pour appréhender les enjeux liés aux transformations contemporaines par le design, la création.

Formations individuelles
Dans un contexte socio-économique en pleine évolution, définir ce qui est souhaitable implique des choix et des risques qu’il faut limiter pour engager une mutation profonde. Révélateur de tendances, incitateur de nouvelles pratiques sociales, anticipateur de besoins futurs, le design a un rôle à jouer au coeur de cette mutation. L’ENSCI, par sa notoriété, sa capacité à devancer, sa pédagogie singulière en formation initiale comme en formation tout au long de la vie conçoit des programmes de formation adaptés à  un rythme de poursuite ou reprise d’étude et en réponse aux défis contemporains.

Formations entreprises
Nous proposons aux entreprises un environnement propre à enrichir, transformer, et accompagner le changement dans leurs pratiques professionnelles. L’industrie contemporaine doit prendre en compte les évolutions technologiques et les mutations sociales. Elle doit faire appel à de nouvelles compétences, mobiliser ses ressources sur de nouvelles approches, et pour cela investir dans la formation. Le designer, par sa créativité, sa capacité à anticiper et à intégrer les défis contemporains, est un partenaire à part entière pour proposer des concepts nouveaux et leur donner forme.

Toute l’offre de formation sur notre site

 

unités de recherche

Centre de recherche en design (ENSCI-Les Ateliers ENS Paris Saclay)
Le Centre de recherche en design voit le jour sous l’impulsion des deux tutelles par lesquelles il est aujourd’hui portées :
l’École normale supérieure Paris-Saclay (ENS Paris-Saclay) et l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle (ENSCI – Les Ateliers).

Basé en Île-de-France, il est implanté au coeur du campus de l’Université Paris-Saclay dans un bâtiment créé par Renzo Piano pour l’ENS Paris-Saclay, et profite des ateliers historiques de l’ENSCI-Les Ateliers et leur expertise reconnue. Ce lieu multisite offre aux chercheurs en design et aux doctorants (ED Sciences de l’Homme et de la Société) qu’ils accueillent, un environnement favorable où convergent des établissements de formation, des laboratoires et des industries de rayonnement international.

Le Centre favorise le déploiement d’une recherche-projet, pour la production conjointe de savoirs et de pratiques. Ancré dans la création industrielle, il se donne pour ambition principale de conduire des programmes de recherche travaillant à l’articulation contemporaine des connaissances scientifiques, des développements techniques et des transformations de la société.
À travers ces deux tutelles, il reçoit le triple soutien du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, du Ministère de la Culture (MIR – Mission Recherche) et du Ministère de l’Industrie. Inscription au Répertoire National des Structures de Recherche –
Unité de recherche : n° 201923272T

programmes de recherche

La recherche au CRD se concentre sur des problématiques de design émergentes, régulièrement motivées par des questions extérieures à son champ dans les domaines des sciences dures, des écologies, des systèmes de représentations démocratiques, des réalités et des corps augmentés et des connaissances patrimoniales.
C’est la raison pour laquelle la notion de ressource, et ses implications quantitatives et qualitatives aujourd’hui centrale dans nos sociétés, articule les cinq axes de recherche du CRD. Ils constituent le paysage d’un laboratoire ouvert sur des milieux innovants ou patrimoniaux où les doctorants et les chercheurs peuvent évoluer dans deux cadres stimulants : la grande école de création industrielle française et l’école normale supérieure au sein de l’université Paris-Saclay, 1ère université française dans le classement de Shangaï 2020.

Groupe de recherche #1   – Design des dispositifs. Corps augmenté, espaces numériques et fabrication des imaginaires techniques.
Les ressources sont les données organisant et résultants des expériences vécue en situation d’utilisation. Les dispositifs expérimentaux de chaque recherche, ses composantes matérielles et immatérielles, existantes ou comme hypothèses formelle en évolution, sont les cadres opérants de ces ressources. Enfin l’imaginaire inventif est premier, en ce qu’ii meut et préside à la création des dispositifs et à leur analyse comme visées du design.

Groupe de recherche #2  – Design et écologie. Milieux naturels et urbains, systèmes de production et transformation des normes.
Les ressources sont des personnes, des lieux et des choses qui existent au sein des systèmes de design. Ce sont des éléments matériels à la fois naturels et culturels, anciens et nouveaux ; ce sont les relations sociales qui rendent le design possible (par exemple, de la consultation d’experts à la participation collective avec les communautés). Ce sont les relations environnementales nécessaires au fonctionnement du design (en termes écologiques à travers les échelles d’espace et de temps).

Groupe de recherche #3  – Design et politique. Citoyenneté, collectifs et institutions.
Les ressources sont les formes, sensibles et idéelles, dans lesquelles le politique existe pour nous. Elles sont par ailleurs les formes collectives, institutionnelles ou portées par la société, dans lesquelles s’opèrent aujourd’hui l’invention ou les réinventions du politique. Il s’agit alors d’étudier, et d’accompagner, les façons dont le design contribue à ces manifestations, conceptions, et invention du public et du politique.

Groupe de recherche #4  – Études critiques. Histoire & épistémologie du design.
Les ressources y sont documentaires, patrimoniales et digitales. L’étude de ces matériaux éclaire la façon dont le design et les designers ont pu observer, étudier et participer aux évolutions des sociétés. En encourageant la position du designer comme historien de sa discipline et les doctorats en histoire du design, l’axe Études critiques construit une épistémologie de la discipline. L’axe articule archives et humanités numériques et initie une histoire critique.

éditions

L’ENSCI-Les Ateliers édite des articles et des textes sur son site internet comme les dossiers, les entretiens, les points de vue, les projets des diplômés. Elle publie des ouvrages comme les livres et brochures des diplômés, des catalogues d’expositions, des brochures spécifiques, une newsletter numérique. Au nom de la recherche, elle publie également ses carnets de recherche ou d’expérimentation.
Les mémoires des diplômés CI et DT sont en consultation au studio documentation sur rendez-vous auprès de francoise.hugont[a]ensci.com
Les mémoires des diplômés de Formation tout au long de la vie sont accessibles sur la galerie du site: ici

activités & événements

La Communication et les Événements
Responsable éditoriale du site internet, rédactrice en chef des publications supports de communication et d’information: Dominique WAGNER
Documentaliste audiovisuelle et iconographe: Aude BRICOUT
Responsable Programmation expositions, et notamment du nouvel espace le ‘Bis’: Camille JACOUPY

L’ENSCI associe l’enseignement du design à l’accueil ou à la production de manifestations, de projets, d’initiatives représentatives d’une grande diversité de sensibilités et d’approches dans les différents domaines de la création. Afin que ce potentiel soit valorisé et devienne une référence nourrie de multiples regards, d’expériences nouvelles, le Pôle Événements et Communication (PEC) de l’ENSCI, s’appuyant sur les forces vives de l’école, contribue à intensifier les flux d’échanges et à mieux investir le futur.

Les missions
Montrer et promouvoir la signature singulière de l’école, de ses enseignements et de ses recherches.
Inviter les autres instances institutionnelles et professionnelles à échanger, débattre du métier et des enjeux actuels et futurs du design.
Création, coordination d’événements et d’expositions porteurs d’échanges qui permettent à l’ENSCI d’être un lieu d’accueil et de production.
Organisation de rencontres qui s’appuient sur des orientations thématiques faisant écho aux sujets que l’école souhaite voir émerger et traiter. Elles s’inscrivent aussi bien dans les domaines des sciences humaines et sociales que des technologies, de l’économie… Elles ouvrent des pistes et font réfléchir, par le biais des personnalités invitées, aux grands défis du monde contemporain.
Éditions et publications d’ouvrages, éditions d’accompagnement de certains événements, de newsletters, de communiqués divers…

coopération internationale

Un département des relations internationales transversal, à vocation pédagogique, assure la dynamique des relations internationales de l’établissement. Il est à l’origine de collaborations entre professionnels, étudiants et pédagogues de la création industrielle et favorise les passerelles avec d’autres champs de spécialisation. Il coordonne également les enseignements d’habilitation linguistique et les interventions d’experts étrangers. Des accords avec la National University of Singapore et la CHIBA University au Japon, inscrivent l’ENSCI dans des nouveaux partenariats stratégiques en Asie. En Europe, l’ENSCI est une des sept institutions fondatrice du MEDes (Master of European Design).

L’ENSCI-Les Ateliers est la seule école en France participant au réseau Medes, qu’elle a fondée en 1999 avec six écoles de design les plus réputées en Europe.

En 2011, l’ENSCI-Les Ateliers, a créé l’ENSCI – Paris DESIS Lab®. Ce laboratoire – le premier en France – s’appuie sur le réseau international DESIS (Design for Social Innovation and Sustainability

Tous les élèves effectuent un stage professionnel obligatoire d’un semestre, en France ou, pour plus de la moitié d’entre eux, à l’étranger, et un grand nombre se rend en Europe ou à l’étranger pour un échange universitaire. L’établissement compte actuellement près de 80 écoles et universités partenaires à travers le monde. Trois d’entre elles constituent des têtes de pont : Chiba University au Japon, National Univesity of Singapore à Singapour et Parsons, The New School for Design à New-York.

Le MEDes (Master of European Design), organisé avec six autres instituts européens, permet une large ouverture sur l’Europe pour les élèves engagés dans ce cursus.

galerie

Le pôle événements et communication de l’ENSCI-Les Ateliers
L’ENSCI associe l ‘enseignement du design à l’accueil ou à la production de manifestations, de projets, d’initiatives représentatives d’une grande diversité de sensibilités et d’approches dans les différents domaines de la création. Afin que ce potentiel soit valorisé et devienne une référence nourrie de multiples regards, d’expériences nouvelles, le Pôle Événements et Communication (PEC) de l’ENSCI, s’appuyant sur les forces vives de l’école, contribue à intensifier les flux d’échanges et à mieux investir le futur.

équipements spécifiques

Ateliers bois, métal, plastique, CAO/CFAO, prototypage rapide, design numérique, croquis de nu, module imagerie technique, modélisation 3D, atelier art plastique et numérique.
Studios de ressources matériaux, photo, vidéo, son, communication graphique…
En savoir plus sur notre site

réseaux

ANdEA, IDA, Cumulus, FDE, ICSID, DESIS, Conférence des Grandes Ecoles, Campus art 

équipe administrative

Frédérique Pain Directrice

Marion Lévy Responsable du département de Design Textile
Geneviève Sengissen Responsable de la Formation Continue
Armand Behar Directeur adjoint Centre de recherche en design – ENSCI Les Ateliers ENS Paris Saclay
Olivier Hirt Responsable Chaire Innovation Publique ENA-ENSCI
Dominique Wagner Responsable de la communication
Yasmina de Takacsy Relations internationales
Françoise Hugont Bibliothèque

professeurs

Aurelien Acquier
Soufiane Adel
Bruno Angella
Cédric ASNIERES (d’) de VEIGY
François Azambourg
Armand Behar
Emilie BENOIST (née BENOIST-GIRONIERE)
Claire Brunet
Mathieu BUARD
Félix BULCOURT
Roland Cahen
Eleonore Challine
Philippe Costard
Françoise Courbis
Romain Cuvellier
Johan Da Silveira
Patrick De Glo de Besse
Béatrice De Lapaillone (née DE CRECY)
Delphes Desvoivres
Ramon Diago
Jean-François Dingjian
Simon d’Henin
Guillaume Foissac
Françoise Fronty-Gilles
Catherine GEEL
Laurent Greslin
Jean-François Guillon
Véronique Huyghe
Charline Kernin
Denis Laville
Noémie Lesartre
Frédéric Lintz
Loïc Lobet
Thomas Lommee
Philippe LOUGUET
Martin Luck
Mathilde Maitre
Jacques-François Marchandise
Laurent Massaloux
Bernard MOISE
Sarngsan NA SOONTORN
Timoty Perkins
Anna Radecka
Marie Rochut
Marie ROCHUT (née SZEWERDYKOWICZ-KOWALEWSKI)
Chantal ROSAS COBIAN
Sabine Sauret
Dominique Serrell
Audrey Shapiro
Matt Sindall
Justyna SWAT
Bruno Tainturier
Jean-Baptiste Taisne
Christophe Thélisson
Sylvie Tissot
Stéphane Villard
Karim ZAOUAI
Matt Sindall

Marina Wainer
Aurelien Fouillet
Xavier Lesage
Claire Lapassat
Guillian Graves
Adrien Payet
Silvia Doré
Ludovic Duhem
Romuald Vigier
Catherine Ramus
Florent Deloison
Jérôme Berge
Laurent Kaladjian
Catherine Geel
Joachim Savin
Apolline Le Gall
Laure Gareau
Blandine Brechignac
Fabien Gélédan
Arnault Blanck
Melissa Portilla
Anne Devoret
Annabelle Aish
Henry Dicks
Emmanuel Delannoye
Nadia Amezaine

coordonnées

48 rue Saint-Sabin
75011 | Paris
tél. +33 (0)1 49 23 12 12
fax +33 (0)1 49 23 12 03
www.ensci.com
https://formation-continue.ensci.com/

Se rendre à l’ENSCI

Métro lignes 5 / Bréguet Sabin ou Richard Lenoir
Métro ligne 8 / Chemin vert ou St Sebastien Froissart
BUS: 69, 72, 81

effectif

En chiffres, depuis sa création
1000 diplômés en Création Industrielle
210 diplômés en Design Textile
465 en Mastères Spécialisés et autres diplômes FTLV
344 élèves en 2022
Le réseau en visualisation interactive des alumni ENSCI, année par année : http://anciens.ensci.com/

Paris

Beaux-Arts de Paris

présentation

Les Beaux-Arts de Paris sont à la fois un lieu de formation et d’expérimentations artistiques, d’expositions et de conservation de collections historiques et contemporaines et une maison d’édition. Héritière des Académies royales de peinture et de sculpture fondée au XVIIe siècle par Louis XIV, l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, placée sous la tutelle du ministère de la Culture, a pour vocation première de former des artistes  de haut niveau. Elle occupe une place essentielle sur la scène artistique contemporaine.

Les Beaux-Arts de Paris sont partenaires de l’Université PSL (Paris Sciences et Lettres), une Comue qui comprend 25 établissements prestigieux de la capitale. Les Beaux-Arts de Paris ont notamment développé avec cinq de ses membres (le CNSAD Conservatoire national supérieure de musique et de danse, le CNSMD Conservatoire national supérieur d’art dramatique, l’ ENSAD Ecole nationale supérieure d’arts décoratifs et la Fémis) le programme de recherche SACRe (Sciences, Art, Création, Recherche).
Parmi les atouts des Beaux-Arts de Paris, plus de 60 accords avec les plus grands école d’art dans le monde; une centaine de rendez-vous par an avec des artistes, commissaires d’exposition, écrivains et penseurs: deux lieux d’exposition, le Palais des Beaux-Arts et le Cabinet des dessins; un corps professoral composé d’artistes de renommée internationale et de théoriciens; une collection de 450 000 œuvres anciennes et contemporaines.
Les Beaux-Arts de Paris mènent également une politique ambitieuse de soutien aux jeunes artistes diplômés, au travers de bourses, prix, résidences et expositions, rendue possible par ses mécènes et partenaires et par ses deux associations : les Amis des Beaux-Arts et le Cabinet des amateurs de dessin.

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Kenia Almaraz Murillo, Signaux, oeuvre conçue en collaboration avec Elliott Causse, dans le cadre d’un partenariat avec Altarea
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options

Diplôme de 1er cycle DNAP
DNSAP Diplôme national supérieur d’arts plastiques

diplômes

Diplôme des Beaux-Arts de Paris 

troisièmes cycles

SACRe (Sciences Art Création Recherche)

Les Beaux-Arts de Paris participent au programme de recherche SACRe mis en place au sein de la COMUe PSL dont elle est membre. Ce programme de trois ans créé avec l’Ecole normale supérieure, la Fémis, l’Ecole nationale supérieure des arts décoratifs, le Conservatoire national supérieur d’art dramatique et le Conservatoire national supérieur de musique et de danse est destiné aux jeunes artistes plasticiens déjà engagés dans une pratique autonome. Rapprocher les sciences et les arts, permettre à des créateurs et à des scientifiques de travailler et d’inventer ensemble, explorer les territoires communs de la recherche et la création : telle est l’ambition de la formation doctorale Sciences, Arts, Création, Recherche (SACRe), résultat de la collaboration de ces six institutions.

SACRe (Sciences, Arts, Création, Recherche)

Les Beaux-Arts de Paris participent au programme de recherche SACRe mis en place au sein de la COMUe PSL dont elle est membre. Ce programme de trois ans créé avec l’Ecole normale supérieure, la Fémis, l’Ecole nationale supérieure des arts décoratifs, le Conservatoire national supérieur d’art dramatique et le Conservatoire national supérieur de musique et de danse est destiné aux jeunes artistes plasticiens déjà engagés dans une pratique autonome. Rapprocher les sciences et les arts, permettre à des créateurs et à des scientifiques de travailler et d’inventer ensemble, explorer les territoires communs de la recherche et la création : telle est l’ambition de la formation doctorale Sciences, Arts, Création, Recherche (SACRe), résultat de la collaboration de ces six institutions.

post-diplôme

Programme d’artiste intervenant en milieu scolaire

Ce programme constitue au sein des Beaux-Arts de Paris une formation diplômante d’un an, de niveau post diplôme. Il a pour objectif de former de jeunes artistes à l’intervention en milieu scolaire tout en leur permettant de développer leur pratique artistique. Ce programme est fondé à la fois sur l’expérience d’un projet artistique et culturel réalisé avec une classe et sur un travail de recherche devant aboutir à un mémoire ayant pour sujet l’analyse de la spécificité du rôle de l’artiste dans une démarche d’éducation et de transmission à partir de l’expérience menée pendant l’année. Ce programme conduit au diplôme d’artiste intervenant en milieu scolaire.
Les candidats doivent être titulaires du Diplôme national supérieur d’arts plastiques (Dnsap) délivré par les Beaux-Arts de Paris, et l’avoir obtenu dans les trois années précédant l’année scolaire en cours. Le diplôme d’artiste intervenant en milieu scolaire des Beaux-Arts de Paris est un diplôme d’enseignement supérieur. Il est délivré par le directeur de l’École au nom de l’État.
Le programme soutenu par les Fondations Edmond de Rothschild, PSL, l’Education nationale et la Ville de Saint-Ouen a été relancé pour l’année 2016-2017 dans un cadre élargi aux écoles d’art de PSL et sur d’autres territoires (Saint-Ouen et Montreuil).

Séminaire commun avec l’Ecole du Louvre autour de la gestion scientifique des œuvres d’art contemporain

Ce programme, mis en place par l’École nationale supérieure des beaux-arts avec l’École du Louvre, s’adresse à une quinzaine d’étudiants équitablement répartis entre étudiants de post-diplôme de l’Ensba et ceux de 5e année de l’École du Louvre. Il vise à former les participants à la spécificité de la gestion scientifique des oeuvres d’art contemporain, en particulier des installations complexes.
Dirigé par Sophie Duplaix, conservatrice ne chef des collections contemporaines du Centre Pompidou – Musée national d’art moderne (Mnam) et Cécile Dazord, Conservatrice chargée de l’art contemporain au département recherche du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2rmf), le séminaire étudie les problématiques relatives à la documentation, l’archivage, la conservation et la restauration des oeuvres d’art contemporain, en s’appuyant principalement sur des cas concrets issus des collections contemporaines du Musée national d’art moderne. Exigeant une assiduité complète, il comprend entre quatre et cinq séances, complétées par une note de synthèse, et donne lieu à la délivrance d’un certificat de formation.

classe préparatoire

Via Ferrata, Beaux-arts de Paris

Via Ferrata est une classe préparatoire intégrée aux Beaux-Arts de Paris et créée en septembre 2016. Elle prépare 50 jeunes issus de la diversité sociale, culturelle et géographique d’Ile-de-France aux examens d’entrée dans les établissements supérieurs d’enseignement artistique en France.

programmes de recherche

éditions

Service éditorial avec une publication chaque année d’une trentaine d’ouvrages dans les collections Écrits d’artistes, D’art en questions, Beaux-arts histoire, Principes et théories de l’art, Ateliers. Catalogues d’expositions et guide.

éditions

– Programmation culturelle régulière ouverte sur toutes les disciplines artistiques, qui permet aux étudiants d’être en prise sur l’actualité de la création et de ses enjeux (rencontres, séminaires, colloques, workshops, projections et débats).
– Expositions dans les salles du Palais des Beaux-Arts et au Cabinet des dessins Jean Bonna
– Journées « Portes ouvertes » en début d’année avec la présentation de la classe préparatoire, de la formation et du cursus et fin juin  « Ateliers ouverts »  permettant l’accès libre à l’ensemble des ateliers sur les deux sites des Beaux-Arts de Paris rue Bonaparte/quai Malaquais, et à Saint-Ouen, rue des Rosiers.

– Les Beaux-Arts participent régulièrement à Nuit Blanche, à la Nuit des musées et aux Journées européennes du patrimoine

coopération internationale

Politique internationale particulièrement active, à travers les accords d’échanges avec plus d’une soixantaine d’ écoles d’art  dans le monde. Organisation chaque année de plusieurs voyages d’ateliers liés à des projets artistiques originaux en relation avec les écoles partenaires, suivis d’expositions et de publications.

galerie

– Palais des Beaux-Arts
13, quai Malaquais, Paris 6e
Ouvert du mercredi au dimanche de 13h à 19h
Tarification responsable : 2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !

– Cabinet de dessins
14, rue Bonaparte, Paris 6e
Ouvert du mercredi au dimanche de 13h à 19h
Tarification responsable : 2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !

équipements spécifiques

5 départements : pratiques artistiques (30 ateliers), matière espace, enseignements théoriques, chaires, langues.
3 pôles : dessin, numérique (image de synthèse 2D, 3D, interactivité, photographie, son et vidéo), impression multiples (gravure, lithographie, pratiques éditoriales, sérigraphie, alugraphie).
Bibliothèque de 45 000 ouvrages en art contemporain en libre accès, ainsi que Dvd, vidéo et documents électroniques.
Fonds prestigieux d’ouvrages, de collections iconographiques et de morphologie lié à l’histoire de l’école et issu des concours scolaires, ainsi que par les séries des prix et des envois de Rome de peinture, sculpture et architecture et de dons et legs.

équipe administrative

Alexia Fabre Directrice
Jean-Baptiste de Beauvais Directeur des études
Delphine Hérisson Responsable  de la vie scolaire
Bénédicte Mahé Responsable des relations internationales
Alain Berland Responsable de la Programmation culturelle
Marc Petit Responsable de la bibliothèque 
Kathy Alliou Directrice du département des oeuvres
Mélanie Bouteloup Responsable des expositions
Armelle Pradalier Responsable des publics
Anne-Marie Garcia Responsable du service des collections
Sophie Boudon-Vanhille Directrice Communication, mécénat et partenariats
Pascale Le Thorel Directrice des éditions

professeurs

Dove ALLOUCHE
Hicham BERRADA
Mireille BLANC
Olivier BLANCKART
Marie José BURKI
Stéphane CALAIS
Nina CHILDRESS
Claude CLOSKY
Clément COGITORE
Julien CREUZET
Hélène DELPRAT
Mimosa ECHARD
Tim EITEL
Patrick FAIGENBAUM
Dominique FIGARELLA
Petrit HALIJAJ
Emmanuelle HUYNH
Angelica MESITI
Eva NIELSEN
Guillaume PARIS
Éric POITEVIN
Julien PREVIEUX
James RIELLY
Anne ROCHETTE
Bojan SARCEVIC
Joann SFAR
Nathalie TALEC
Djamel TATAH
Pascale Marthine TAYOU
Tatiana TROUVÉ
Alvaro URBANO

Wernher BOUWENS
Aurélie PAGES
Julien SIRJACQ

Pascale ACCOYER
Götz ARNDT
Philippe RENAULT
Fabrice VANNIER

Frédérique LOUTZ
Jack MCNIVEN
Daniel SCHLIER
Valérie SONNIER

Pascal AUMAITRE
Jérémy BERTON
Laurent ESQUERRE
Carole LEROY
Rémy POMMERET
Anna VOKE
Michel SALERNO

Pierre ALFERI
Jean-Baptiste de BEAUVAIS
Christian JOSCHKE
Jean-Yves JOUANNAIS
Guitemie MALDONADO
François-René MARTIN
Pascal ROUSSEAU
Clélia ZERNIK

Intervenants :
Fabrice BOURLEZ
Elie DURING
Monique JEUDY-BALLINI
Thierry LEVIEZ
Sophie MARINO
Madeleine PLANEIX-CROCKER
Yann ROCHER
Patricia RIBAULT
Clara SCHULMANN
Barbara SOYER
Estelle ZHONG-MENGUAL

June ALLEN
Daniela CAPONE
Damian CORCORAN
Laura GIL-MERINO
Jürgen GOTTSCHALK
Jacques JEUDY
Adoka NIITSU
Christel PARISSE
David RECKFORD
Mark ROBERTSON
Véronique TEYSSANDIER
Eva WOESCHER

Vincent RIOUX
Ahmed BELDJILALI
Julie COUREL
Frédéric LATOUCHE

coordonnées

14 rue Bonaparte
75006 | Paris
tél. +33 (0)1 47 03 50 00

www.beauxartsparis.fr

effectif

600 étudiants

Pau

École supérieure d’art et de design des Pyrénées – site de Pau

présentation

L’École supérieure d’art et de design des Pyrénées propose des formations professionnalisantes reconnues dans le réseau européen de l’enseignement supérieur. Au pied des Pyrénées et proche de la côte Atlantique, l’école offre un cadre d’études exceptionnel et profite des campus des universités à Pau (12 500 étudiants) et Tarbes (6 000 étudiants).

À Pau
La formation design graphique multimédia ouvre la voie vers les métiers de l’image dans l’édition, l’art, la presse, le multimédia, la publicité, la communication institutionnelle, internet, les jeux vidéo, le motion design, la typographie, les aménagements urbains, la signalétique…

À Tarbes
La formation art céramique assure une insertion dans les domaines liés au champ culturel, aux métiers relatifs à l’industrie de la céramique, au monde de l’art et du design.

Création et innovation sont les maîtres mots de ces formations qui ouvrent à un très grand nombre de métiers, pour certains encore à inventer, et les croisements possibles entre différents champs disciplinaires sont vécus comme une richesse.
L’école met en place des outils permettant à ses étudiants de cultiver une distance critique dans le cadre de leur futur métier et d’envisager des approches nouvelles des enjeux théoriques, esthétiques et culturels de leur discipline. Il s’agit, tout en étant de plain-pied dans le champ de la recherche en art et en design, d’établir et de renforcer des liens avec d’autres secteurs de la recherche et des sciences en général.

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options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design graph. et multimédia
DNSEP  option Design mention design graph. et multimédia

unités de recherche

L’observatoire

L’Observatoire est l’unité de recherche de l’ÉSAD Pyrénées
L’unité de recherche l’Observatoire a été conçue pour fournir la structure intellectuelle, fonctionnelle et matérielle des programmes de recherche actuels à l’école, en art et en design. Elle assure également leur développement cohérent et relève leurs besoins. Elle accompagne leur rayonnement du niveau local au niveau international. Elle rend compte de l’exploration de diverses formes et méthodologies considérant notamment les liens entre création et théorie, entre art, design et sciences sociales. Elle encourage aussi la production d’œuvres et d’images, dans tous les formats et médias, et donne donc de la visibilité aux projets personnels des futurs artistes et designers diplômés.

En savoir plus sur l’Observatoire et découvrir nos programmes de recherche.

éditions

éditions

– Journée portes ouvertes le dernier samedi de janvier.
– Événements ouverts à tous tout au long de l’année :  projections, conférences, performances, expositions : consultez ici l’agenda de l’ÉSAD Pyrénées.
– Partenariats avec les acteurs culturels locaux (comme le Bel Ordinaire, espace d’art contemporain de la communauté d’agglomération Pau – Pyrénées, le Parvis-centre d’art contemporain de Tarbes-Ibos, avec le FRAC collection Aquitaine, l’association Image-Imatge, l’association Accès(s)s de création contemporaine, l’Espace Pluriels – scène conventionnée danse-théâtre…) et les acteurs institutionnels et économiques du territoire : en savoir plus ici.
– Voyages et expositions réguliers dans le cadre des études et des programmes de recherche.

activité post- ou périscolaire

Ateliers et cours publics pour les enfants, les adolescents et les adultes, sur les sites de Pau et Tarbes.

coopération internationale

L’École supérieure d’art et de design des Pyrénées est naturellement tournée vers la péninsule Ibérique. De nombreux échanges d’étudiants et de professeurs sont issus de cette proximité. Cependant, des liens tissés avec d’autres pays viennent enrichir l’offre pédagogique. L’école élargit chaque année son envergure internationale en développant de nombreux partenariats avec des écoles d’art et des institutions étrangères.


ERASMUS

L’ÉSAD Pyrénées est titulaire de la charte Erasmus+ qui permet aux étudiants de 4e année d’effectuer au moins un semestre d’études dans une autre école supérieure d’art et design européenne et aux étudiants étrangers d’être accueillis à l’ÉSAD Pyrénées.

En savoir plus sur les relations internationales à l’ÉSAD Pyrénées.

équipements spécifiques

À Pau

Les locaux se situent dans l’Espace des Arts, qui réunit sur un même site le Musée des Beaux-arts et l’École supérieure d’art et de design des Pyrénées. Dans un bâtiment art déco entièrement rénové en plein cœur de ville, l’école offre 4 000m² d’espace : ateliers, ateliers techniques, bibliothèque, auditorium, espace cafétéria, bureaux.
Chaque promotion a un atelier dédié et a accès à 11 ateliers techniques, dans lesquels les étudiants sont accompagnés par des enseignants et techniciens (construction, sérigraphie, PAO, photo, vidéo…).

En savoir plus sur nos locaux et équipements.

réseaux

équipe administrative

Jean-François Dumont Directeur général
Magali Chavagneux Directrice administrative et financière
Charlène Carmouze Directrice pédagogique
Camille Bidau Responsable des relations internationales et communication
Raphaëlle Cassou Assistante ressources humaines
Marion Mounou Secrétariat pédagogique, comptabilité
Corinne Miralles Secrétariat pédagogique
Isabelle Haumont Bibliothèque
Gabriel Blazquez Responsable informatique et technique
Fanny Demarais Technicienne atelier pao
Nathalie Kagan Technicienne photo
Jérôme Bellehigue Technicien vidéo
Benoit Bruguera Technicien atelier construction
Thibault Maïo Technicien soft-machine

professeurs

Laurent Agut
Julien Bidoret
Jean-Marie Blanchet
Julien Drochon
Isabelle Haumont
Pierre Labat
Jean-Paul Labro
Aleksandra Lypaczewska
Fabrice Mallorca
Corinne Melin
Vincent Meyer
Emmanuelle Rey
Perrine Saint-Martin
Jean-Marc Saint-Paul
Claire-Marie Tordeux

coordonnées

À Pau (Siège social)
2 rue Mathieu Lalanne, 64000 Pau
tél. +33 (0)5 59 02 20 06
pau@esad-pyrenees.fr
www.esad-pyrenees.fr

effectif

261 étudiants en 2023-2024
– 162 étudiants sur le site de Pau
– 99 étudiants sur le site de Tarbes

Poitiers

École européenne supérieure de l’image Angoulême-Poitiers | Site Poitiers

présentation

L’École européenne supérieure de l’image – ÉESI Angoulême-Poitiers est née de la réunion des écoles d’art d’Angoulême et de Poitiers.

En plus d’un parcours en création artistique contemporaine proposé sur les deux sites de l’école, les champs de spécialité cultivés à l’ÉESI sont les littératures graphiques et la bande dessinée à Angoulême, et la création numérique étendue aux jeux, aux nouveaux médias et à tous dispositifs d’interaction, à Poitiers.

L’ÉESI est le seul établissement à proposer un master bande dessinée et un doctorat de création en bande dessinée, en partenariat avec l’université de Poitiers.

Composée de professeur·es, artistes, auteur·trices et technicien·nes spécialisé·es reconnu·es dans le champ professionnel, l’équipe pédagogique de l’ÉESI travaille à l’émergence de la jeune scène artistique de demain. Elle prodigue un enseignement exigeant, diversifié et ouvert mêlant théorie et pratique artistique, en lien avec de nombreux partenaires régionaux, nationaux et internationaux qui favorisent l’insertion de chaque étudiante et étudiant dans le monde de la création artistique contemporaine.

L’ÉESI forme des artistes, des auteurs, des autrices, des créatrices des créateurs. Les diplômé·es possèdent des outils théoriques et conceptuels ainsi que la maîtrise des pratiques et techniques pour exercer dans les domaines et contexte toujours évolutifs de l’art.

Des projet architecturaux sont actuellement en cours sur les deux sites : l’école disposera donc en 2024 de bâtiments répondant aux besoins évolutifs de l’établissement, pour faire émerger l’individualité des élèves, dans la proximité, la friction, entre les disciplines et médiums, offrant de multiples lieux de pratiques et d’expositions.

Photo :WorkshopLaurentTixador-©2017FloreTricotelle

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diplômes

DNA option Art
DNA option Art mention bande dessinée (site d’Angoulême)

DNSEP option Art
DNSEP option Art mention bande dessinée (site d’Angoulême)

troisièmes cycles

Doctorat d’expression artistique et littéraire spécialité bande dessinée, en partenariat avec l’université de Poitiers (site d’Angoulême)

vae

Pour répondre aux fortes demandes de qualification et de diplôme des professionnels de la création en art, design et communication, l’association Le Grand Huit qui regroupe les cinq écoles supérieures d’art et deux classes préparatoires publiques de Nouvelle-Aquitaine sous tutelle du ministère de la Culture, initie la VAE – Validation des acquis de l’expérience en 2021-2022 pour l’obtention du DNA (grade licence) et du DNSEP (grade master).

Rendez-vous sur www.le-grand-huit.fr pour de plus amples informations.

Dès à présent, nous vous invitons à consulter le dossier de présentation qui détaille l’ensemble des éléments requis pour candidater, calendrier de l’accompagnement et passage des diplômes, droits et modalités d’inscriptions.

Date limite de dépôt des candidatures : le 22 novembre 2021

Pour toute demande d’information complémentaire : coordination@le-grand-huit.fr

Accompagnement : janvier à août 2022
Passage des diplômes du DNA Diplôme National d’Art ou du DNSEP Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique au sein de l’une des écoles du Grand Huit : 29-30-31 août 2022

vae

coopération internationale

Particulièrement soucieuse d’ouvrir les jeunes artistes à d’autres espaces (culture, histoire, pratique, concept, économie), l’École européenne supérieure de l’image Angoulême – Poitiers, mène une politique active d’internationalisation, pensée à deux échelles : l’internationalisation à l’étranger et l’internationalisation à domicile.

En art, comme en tout autre domaine, les jeunes diplômé·es doivent obtenir de leur formation la capacité d’interlocution (maîtrise linguistique) et d’interaction (adaptation au contexte) avec le monde contemporain.

La stratégie internationale de l’ÉESI a pour objectif de contribuer aux cinq priorités de l’agenda de modernisation de l’enseignement supérieur :
1 – Augmenter les niveaux de qualification pour former les diplômés et les chercheurs dont l’Europe a besoin ;
2 – Améliorer la qualité et la pertinence de l’enseignement supérieur ;
3 – Relever la qualité grâce à la mobilité et à la coopération transnationale ;
4 – Activer le triangle de la connaissance : faire le lien entre l’enseignement supérieur, la recherche et les entreprises pour favoriser l’excellence et le développement régional ;
5 – Améliorer la gouvernance et le financement.

Partir à l’étranger : mobilité en 4ème année, stages, ERASMUS+

Venir étudier à l’ÉESI

Établissements partenaires

Projets internationaux

équipements spécifiques

Description complète de nos équipements spécifiques dans le rapport d’activité

Les ateliers techniques du site de Poitiers

L’école offre à ses étudiant·es des espaces de production où expérimenter et concrétiser leurs projets. L’environnement technique élargi (volume, menuiserie, photo, plateau de prise de vue, studio de montage vidéo et son, atelier numérique, presses, sérigraphie, etc.) leur permet de tester leurs idées, éprouver la manipulation d’un médium et acquérir de solides savoir-faire. Au sein des ateliers sont mises en place des sessions de travail spécifiques (photo, vidéo, son, édition, programmation, peinture, volume) afin de dispenser aux élèves les bases techniques indispensables à leur autonomie progressive. Les étudiant·es bénéficient de l’accompagnement et de l’expertise d’une équipe de technicien·nes d’assistance pédagogique (TAP) confortée par la présence de moniteur·es d’atelier (étudiant·e en fin d’étude recruté·e, pour ses compétences et son assiduité, en soutien de l’équipe pédagogique attachée à l’atelier). L’amplitude horaire est importante : les ateliers restent ouverts en soirée, dans le respect des règles de sécurité élémentaires, garantissant ainsi un large accès à la communauté scolaire. Ces ateliers sont pour les plus jeunes étudiant·es, un lieu de partage d’expériences, d’apprentissages, de responsabilité et d’indépendance dans la conduite de leurs projets.

– Le Tardis –

Le Tardis est l’atelier des pratiques numériques expérimentales de l’école.
C’est un laboratoire où se rencontrent le jeu, l’électronique, la programmation, le bricolage et le vivant. On y vient pour jouer, créer des jeux, concevoir des dispositifs interactifs, hybrider plantes et robots, prototyper des interfaces alternatives, etc. Les compétences à y développer vont de la modélisation à l’impression 3D, de la programmation de microcontrôleurs au machine learning, du fair-play au game design, et du trucage à la prestidigitation. Les étudiant·es de toutes les années s’y croisent,
et un groupe régulier s’est constitué autour des pratiques du jeu.

Thomas Bellet, technicien présent à temps complet, propose un rendez-vous hebdomadaire autour du jeu et de l’actualité scientifique. Deux professeurs y basent
leur pratique : Hervé Jolly, qui enseigne les arts numériques, le jeu, les dispositifs
interactifs, la science-fiction, le bio-art et l’intelligence artificielle ; Gilbert Louet,
qui enseigne la modélisation et l’animation 3D, la réalité virtuelle et les dispositifs d’immersion.

– Atelier Photographie –

Tout au long du cursus, des initiations permettent d’expérimenter le médium photogra-phique. Un espace de postproduction permet de traiter ses images numériques et d’imprimer en grand format les photographies. L’atelier est équipé d’un ensemble de matériel numérique. L’atelier de Poitiers, ne disposant pas d’un équipement approprié pour la prise de vue comme le traitement des images argentiques, collabore régulièrement avec l’atelier photo d’Angoulême afin de permettre aux étudiant·es de Poitiers d’appréhender le médium argentique au sein du laboratoire d’Angoulême.

– Atelier Volume « Chasseigne » –

L’annexe de Chasseigne est composée de plusieurs espaces : un hangar d’atelier avec des machines de 300 m2, une cuisine, une salle polyvalente et un hangar de 600 m2.
Les pratiques à Chasseigne sont multiples : avant tout, le site a un usage d’ateliers et d’espaces dédiés aux pratiques de volume et de l’installation, mais aussi aux pratiques d’accrochages (qui nécessitent très souvent l’utilisation d’outils et de savoir-faire techniques pour mettre en espace son travail), de lieu de rendez-vous individuels avec les
professeur·es, ainsi que de workshops.
Un espace de 300 m2 où cohabitent plusieurs pratiques – bois, métal, moulage, bricolage, céramique – réparties en différentes zones. Depuis la fin 2018, un espace fermé a été aménagé en atelier de pratique humide (moulage, modelage…)
L’école donne un accès libre et limité à certains nombres de matières premières (plâtre,
terre, résine acrylique, ciment, alginate, silicone, cire, tissus, contreplaqué, tige métallique…).

– Atelier Studio Son –

Le Studio Son est l’atelier permettant aux étudiant·es d’aborder et de pratiquer les techniques de création sonore et comprendre les enjeux des différents
modes de diffusion du son. Les étudiant·es, au cours de leur 1re et 2e année de formation, prennent contact avec ce médium et son utilisation dans les pratiques contemporaines :
utilisation du studio, prise de son (Zoom, mixette cinéma…), créations électroacoustiques, installations sonores, mixage à l’image, utilisation des logiciels
(Audacity, Ableton Live, Reaper, …), traitements temps réel, spatialisation 3D, entre autres. À partir de la troisième année, le son étant au croisement de nombreuses pratiques artistiques, l’atelier devient un laboratoire de développement d’œuvres sonores et un espace de collaboration avec les autres ateliers de l’école ; Vidéo, Animation, Tardis…
Le studio Son sert également aux pratiques instrumentales, et une cabine de speak permet l’enregistrement de bruitages, voix off…

– Atelier Vidéo –

L’atelier vidéo permet de s’initier aux techniques de la vidéo. Les étudiant·es ont à leur disposition du matériel de tournage (caméras, matériel de prise de son, éclairage…) de montage et de Post Production (station de montage équipée de la suite ADOBE et de l’outil de montage/étalonnage Davinci Resolve). Ce matériel peut être emprunté tout au long de l’année au magasin de l’école.
Une formation initiale est dispensée à tous les DNA1 de manière à donner les bases de la pratique filmique. De manière plus générale, les étudiant·es peuvent bénéficier d’un suivi personnalisé sous forme de rendez-vous pour travailler sur leurs projets. Les étudiant·es des années diplômantes qui développent des projets de film ou d’installation mettant en jeu de la vidéo, vont bénéficient d’un accompagnement plus poussé.
La pratique de la vidéo à l’ÉESI est multiforme (fiction, documentaire de création, animation, expérimentale, live cinéma, installation…) ce qui implique de travailler de manière transversale avec l’ensemble des enseignements dispensés.

– Atelier Images animées –

Au cours de l’année, chaque promotion a l’occasion d’investir l’atelier « images animées » lors des ateliers pédagogiques initiés par les professeur·es, soit de façon ponctuelle, hebdomadaire ou mensuelle. Ces moments dynamiques et intenses sont suivis par des temps de production individuelle plus longs qu’impose la pratique de l’image par l’image.
Hors des temps forts, l’atelier est un espace d’échange et de partage qui apporte motivation et inspiration. Les étudiant·es ont accès aux outils de production essentiels tous les jours de la semaine librement (tables lumineuses, perforatrice, tablette graphique cintiq, scanner, linetest…). Initiés dès la première année via une journée de découverte, ils sont autonomes dans l’usage de ces outils. Ils peuvent demander
un soutien technique (logiciel d’animation 2D, de stop-motion, usage des cintiq,
fabrication d’éléments en volume…) ou un conseil sur la phase de conception
d’un projet, de méthode de production ou de postproduction et de diffusion, au technicien d’assistance pédagogique de l’atelier.

Les bibliothèques

Les bibliothèques de l’ÉESI, situées chacune sur un site de l’école, sont des pôles de documentation, de recherche et de rencontre. Elles sont dirigées par Anne Balanant à Angoulême et Romain Gasmi à Poitiers.
Les bibliothèques se trouvent au croisement de tous les enseignements de l’école et sont étroitement impliquées dans le travail de préparation des cours et des séquences.
Espaces très fréquentés autant par les étudiant·es que par les professeur·es, elles abritent des collections riches et spécialisées en art contemporain et en bande dessinée. Les bibliothécaires travaillent en collaboration quotidienne avec les étudiant·es et les enseignant·es pour être au plus près des besoins en documentation qui nourrissent le travail théorique et pratique au sein de l’école.

 

 

 

 

équipe administrative

accueil Angoulême Gaëlle Peron
tél. 05.45.92.66.02 g.puimaly@eesi.eu

accueil Poitiers Charlotte Guibert 07 45 19 45 35  c.guibert@eesi.eu

direction générale Marc Monjou
direction.generale@eesi.eu
assistante de direction Sophie Burel
s.burel@eesi.eu
secrétaire générale – adjointe à la direction Catherine Beaudeau
c.beaudeau@eesi.eu
directrice des études Sandrine Rebeyrat
s.rebeyrat@eesi.eu

coordinatrices pédagogiques
Adeline Lapeyre, site d’Angoulême
a.lapeyre@eesi.eu
Barbara Benedetti, site de Poitiers
b.benedetti@eesi.eu

responsable des relations internationales
Charlotte Martin
c.martin@eesi.eu

responsables bibliothèques
Anne Balanant, site d’Angoulême
a.balanant@eesi.eu
Romain Gasmi, site de Poitiers
r.gasmi@eesi.eu

responsable communication
Hélène Meunier
h.meunier@eesi.eu
designer graphique
Céline Chip
c.chip@eesi.eu

assistante communication

Belaura Alialabi

b.alialabi@eesi.eu

Service informatique
Sébastien Gonzalez, site d’Angoulême
s.gonzalez@eesi.eu
Jérôme Grellier, site de Poitiers
j.grellier@eesi.eu

Gestion des sites
Aurélien Stricher, site d’Angoulême
a.stricher@eesi.eu
Vincent Delavault, site de Poitiers
v.delavault@eesi.eu

Comptabilité
Marie Mahérault, site d’Angoulême
Charlotte Guibert, site de Poitiers

Ressources humaines
Fabienne Berger

Atelier technique
Stéphane Desforges, technique et maintenance, site d’Angoulême
Patrick Simonnet, agent de maintenance, site de Poitiers
Jacqueline Guéraud, agent d’entretien, Poitiers
Rudy Champagne, gardien, site de Poitiers
Samir Dahmani, gardien, site d’Angoulême

professeurs

Professeur·es du site de Poitiers 2021-2022

Aurélien Bambagioni, arts connectés
Sabine Barbé, histoire de l’art
Emmanuelle Baud, écriture et réalisation multimédia
François Delaunay, pratiques picturales
Jean-Christophe Desnoux, espaces sonores, images et espace
Chloé Dugit-Gros, volume, installation
Athanassios Evanghelou, histoire et théorie des médias
Léonard Faulon, graphisme et média, formes courtes
Hélène Giannecchini, théorie de l’art contemporain et création littéraire
Hervé Jolly, codes, processus, cultures numériques, jouabilités
Mark Kerridge, langue anglaise
Thomas Leblond, design graphique et éditorial
Gilbert Louet, capture des mouvements, procédés immersifs
Marine Pagès, dessin
Seumboy Vrainom :€, pratiques mixtes
Virginie Yassef, pratiques mixtes
Xavier Zimmermann, photographie

coordonnées

26 rue jean Alexandre – 86000 Poitiers
Accueil  +33(0)549884986
contact@eesi.eu
www.eesi.eu

Sité dédié aux journées portes ouvertes et concours : jpo.eesi.eu

Instagram
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effectif

Effectif des étudiant·es 2022-2023

Nombre d’étudiant·es : 275
Site d’Angoulême : 167
Site de Poitiers : 108

DNA -1 Angoulême : 30
DNA – 1 Poitiers : 30

DNA – 2 Angoulême : 34
DNA – 2 Poitiers : 23

DNA – 3 Angoulême : 27
DNA – 3 Poitiers : 28

DNSEP – 4 Angoulême : 21
DNSEP – 4 Poitiers : 9

DNSEP – 5 Angoulême : 19
DNSEP – 5 Poitiers : 18

Master BD 1  : 8

Master BD 2 Recherche : 19

Doctorat BD : 5

 

Quimper

École européenne supérieure d’art de Bretagne | site Quimper

présentation

L’école européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB) – Brest, Lorient, Quimper, Rennes rassemble près de 900 étudiant·es réparti·es sur 4 sites géographiques. Elle propose des formations à Bac + 3 et Bac + 5 (équivalence master) en art, design et communication.

Fondé sur l’option Art, le site de Quimper accueille environ 150 étudiant·es par an et propose une réflexion pédagogique autour d’une mention intitulée Penser l’exposition et d’un parcours Art et céramique. Ces deux axes irriguent les enseignements et les projets pédagogiques.

La mention se décline sous différentes formes : accrochages, espace performatif, édition, interventions dans l’espace public, expositions et ses métiers… L’EESAB-site de Quimper partage ainsi la création émergente avec un large public tout en formant les étudiant·e·s.

L’atelier céramique est aussi un dispositif important dans le cursus des étudiant·es : il permet de développer un travail artistique pointu autour de cette discipline historiquement inscrite à Quimper.

Les diplômes de l’EESAB sont contrôlés par l’État, le DNA valant grade Licence et le DNSEP valant grade Master.

A Quimper, trois plateformes sont proposées aux étudiant·es. Éditer, Nos désirs d’extérieurs et Situation nouvelle réunissent plusieurs enseignant·es et un groupe d’étudiant·es de différentes années. Elles structurent de manière transversale l’enseignement tout au long des premier et deuxième cycles  (DNA-Licence et DNSEP-Master). Les  étudiant·es peuvent s’y inscrire dès  la deuxième année d’études.

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La fenêtre fraîche, la cafète playa, l'école (c) eesab site de Quimper

options

L’école propose à l’ensemble des années, un parcours “Art et céramique” et des séries d’enseignements et de workshops corrélés à la mention aux diplômes intitulée “Penser l’exposition”. L’EESAB, le site de Quimper propose une seule option : l’option art, mention “Penser l’exposition”. Cette option permet des synergies et des confrontations avec toutes les pratiques artistiques, théoriques et techniques. La pédagogie se veut à Quimper expérimentale et totalement ouverte sur le monde. Le premier cycle s’articule autour des espaces de l’artiste et donc des pratiques singulières liées aux contextes de production et de monstration de l’œuvre ; le second cycle prolonge cette réflexion à l’échelle de l’exposition.

Penser l’exposition
Les deux cycles font l’objet d’une mention “Penser l’exposition”. La question de l’exposition fait partie de l’enseignement fondamental à l’école depuis longtemps. Au regard des évolutions récentes de l’exposition dans l’art contemporain, l’équipe enseignante amplifie cette dimension, à travers notamment la question de l’autonomie de l’œuvre, du récit qu’elle produit en situation d’exposition. Tout au long du cursus, l’enseignement de l’art s’accompagne de cours pluridisciplinaires, de conférences, de workshops et de sorties culturelles. Ces projets combinés aux nombreux partenariats locaux et internationaux séquencent l’apprentissage de manière dynamique.

Trois plateformes et des ateliers transversaux
Chaque plateforme : Éditer, Nos Désirs d’Extérieurs, Situation nouvelle — réunit plusieurs enseignant·e·s et un groupe d’étudiant·e·s de différentes années. Elles structurent de manière transversale l’enseignement tout au long des premier et deuxième cycles (DNA-Licence et DNSEP-Master). Les étudiant·es doivent s’inscrire à au moins une plateforme dès la deuxième année d’études. Au gré des partenariats, des ateliers transversaux sont menés par les enseignant·es et, par ailleurs, des initiatives étudiantes sont encouragées toute l’année.

Parcours “Art et céramique”
La Plateforme “Céramique et Cie” se transforme en “Parcours céramique” optionnel dès la 1ère année. Comme pour les plateformes, la céramique fera l’objet d’initiations et de workshops spécifiques.

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

éditions

Plateforme — “Éditer”
Benjamin Rivière, Antoine Dorotte
La plateforme est définie comme un espace, de recherche, d’expérimentation, de production, d’échange et de réflexion avec les enseignant·es, les artistes invité·es et les étudiant·es impliqué·e·s dans un engagement personnel et collectif. C’est aussi le temps pour observer la diversité des formes contemporaines qu’empruntent la production et la diffusion d’objets multiples produits en séries. La plateforme propose d’investir et d’interroger les formes et les pratiques de l’édition dans les arts plastiques. Par une pratique libre et curieuse, expérimentale et décalée, avec acuité et engagement, les étudiant·es sont encouragé·es à envisager l’édition comme un geste artistique qui s’inscrit dans une pratique et une recherche personnelle. La plateforme accompagne les projets des étudiant·es à travers l’utilisation des ateliers de sérigraphie, gravure, lithographie, reliure, infographie, céramique, gravure laser, impression 3D, photographie.

Atelier Suivi d’édition
• Espace de pratique, d’échange, de suivi de projets individuel ou collectif des arts graphiques et des arts imprimés. La mise en page, la reliure, la typographie, les papiers, la post-production des images et des documents…

• Constitution de resssources communes : papiers, typographies, livres, techniques…

• Suivi de projet de la Vitrine “italique” La Vitrine “italique” est un lieu d’exposition sur la façade de l’École européenne supérieure d’art de Bretagne site de Quimper. C’est un espace dédié à des expérimentations d’accrochages, d’images imprimées. Chaque proposition donne l’occasion aux étudiant·es de présenter une recherche de composition d’une image originale qui peut-être unique, en série, en séquence. Il s’agit d’explorer les techniques d’impression, la gravure, la lithographie, la sérigraphie, la photographie, le laser. Les questions de composition, de montage, de détournement, d’appropriation de documents d’archives ou de formes originales, de choix typographique et de mise en page sont au cœur de cette réflexion.

revues

revues

De nombreux évènements ponctuent l’année à l’EESAB-site de Quimper. Les partenariats noués avec des structures culturelles ou sociales donnent lieu à des expositions ou des éditions.

Les 3 plateformes ainsi que les cours font l’objet de restitutions et d’expositions dans le Quartier général. Elles sont ouvertes à toustes.

Des conférences ou colloques sont aussi l’occasion de rencontrer et d’échanger avec des intervenant·es extérieur·es.

Iels sont intervenu·es en 2022 : Alice MALINGE, Alun WILLIAMS, Bruno BERNARD, Camille GIRARD et Paul BRUNET, Cécile PONDARD, Charles PENNNEQUIN, Clémence ESTÈVE, Franck-Olivier MARTIN, Gabrielle MANGLOU, Julien LEMIERE, Julien TORHY, Melody RAULIN, Rika TANAKA, Simon LEROUX, Virginie GAUTIER, Martial DÉFLACIEUX, Karina BISCH, Céline VACHÉ -OLIVIERI, David DOUARD, Vincent VOILLAT, Jeanne BRIAND.

activité post- ou périscolaire

Les cours publics représentent une part importante de l’activité de l’établissement en cohérence avec le cycle de l’enseignement supérieur, dont c’est la mission principale.
Les cours publics s’adressent aux enfants à partir de 6 ans et aux adultes qui souhaitent développer une pratique personnelle dans les domaines de la peinture, du dessin, du volume, de la gravure et des pratiques artistiques numériques. Les jeunes sont aussi accompagné·es dans une dimension parfois plus collective et ouverte sur des pratiques extérieures.

coopération internationale

L’EESAB se place résolument dans une politique volontariste d’ouverture à l’international.

Elle encourage tout d’abord ses étudiant·e·s à s’inscrire dans des programmes de mobilité en Europe et dans le monde pour découvrir d’autres modes de pensée, s’ouvrir à la création internationale et enrichir leurs pratiques artistiques.

L’École développe également des coopérations à l’international dans le cadre de projets pédagogiques et de recherche pour proposer des projets collectifs internationaux.

Elle participe au réseau européen d’écoles d’art (ELIA).

galerie

Une galerie pédagogique et de nombreux espaces d’accrochages, d’exposition ou de restitution sont disponibles dans l’école et ce, toute l’année.

La Galerie
Située au premier étage du bâtiment, la Galerie occupe un espace d’environ 100m2. Espace pédagogique avant tout, la galerie est un lieu d’expérimentation et d’accrochage, notamment pour les évaluations. La galerie est le lieu où se pensent au quotidien les questions liées aux  « territoires de l’exposition » qui qualifient aujourd’hui le site de Quimper.

La vitrine italique
La vitrine « italique » est un micro-lieu d’exposition sur la façade de l’école. Il s’agit d’un espace dédié à des expérimentations d’accrochages, d’images imprimées ou de bas relief de la Plateforme « Editer » et qui fait écho à la Fenêtre fraîche située à l’autre extrémité du bâtiment. En 2023, la Plateforme Editer est coordonnée par Antoine Dorotte, Benjamin Rivière avec la collaboration d’Audrey Jamme.

La Fenêtre Fraîche
« La Fenêtre Fraîche » est un espace d’exposition mis à disposition des étudiants et artistes invités dans le cadre de la Plateforme  » Nos désirs d’extérieurs et autres choses publiques (NDE) ». Cette galerie se loge dans une fenêtre de l’école située au niveau des atelier techniques. Elle s’éclaire à la tombée de la nuit et envoie des signes de la vitalité de l’art sur l’esplanade François Mitterrand comme autant de bouteilles à la mer. La Plateforme NDE est coordonnée par Virginie Barré, Antoine Dorotte et Bruno Peinado.

Les espaces du rez de chaussée
De nouveaux espaces ont été mis à disposition de l’école sur une surface de 700 m2 , il s’agit des anciens espaces du Centre d’art contemporain, Le Quartier, qui permettent aujourd’hui à l’équipe enseignante d’accompagner les étudiant·es sur les grands sujets qui qualifient l’option art à Quimper : les conditions de production et d’exposition de l’oeuvre.

équipements spécifiques

Bois, métal, terre, gravure, sérigraphie, lithographie, photographie, vidéo, infographie, multimédia, découpe laser, thermophormeuse, fraiseuse numérique, imprimante 3D.

réseaux

ANdEA, ELIA, Art contemporain en Bretagne, DDAB

équipe administrative

Danièle Yvergniaux Directrice générale de l’Eesab
Judith Quentel Directrice du site de Quimper
Françoise Le Breton Responsable de l’administration
Eimer Birkbeck Relations internationales
Carole Pronost Secrétaire pédagogique et chargée de communication
Robin Garnier Chargé de bibliothèque et de documentation
Caroline Kervean Assistante administrative
Isabelle Mallard Chargée des stages et de l’insertion professionnelle
Marie-Estelle Martin Comptable

professeurs

Marie Adjedj

Virginie Barré
Eimer Birkbeck
Anne de Sterk
Antoine Dorotte

Audrey Jamme
Christine Lapostolle
Yvan Le Bozec
Christophe Le Mauff
Karine Lebrun
Jean-René Lorand
Pierre Malphettes
Samir Mougas
Bruno Peinado
Benjamin Rivière

Eva Taulois
Hervé Thoby

coordonnées

8 esplanade François-Mitterrand
29000 | Quimper
tél. +33 (0)2 98 55 61 57
fax +33 (0)2 98 55 70 51
www.eesab.fr
contact.quimper@eesab.fr

effectif

152 étudiant·es en 2022-23.

Reims

École supérieure d’Art et de Design de Reims

présentation

L’École Supérieure d’Art et de Design de Reims est un établissement public (EPCC) qui accueille quelque 200 étudiants, en deux filières principales : l’art et le design dont la complémentarité donne sa couleur à l’enseignement. La pédagogie vise à former des artistes contemporains et des designers, chacun dans une stratégie d’auteur. L’expérimentation et la recherche permettent d’utiliser les multiples techniques liées à la création artistique contemporaine au service des projets. De nombreux partenariats avec l’enseignement supérieur universitaire dynamisent la recherche ; chaque année, dans chaque option, l’implication d’entreprises ou d’institutions extérieures apporte un contexte d’exercice qui permet aux diplômés d’être des professionnels extrêmement complets.
Toutes les branches du design produit sont abordées : objet, mobilier, espace dans une conception à la fois plastique et en prise avec les grandes questions de société. Deux ateliers thématiques transversaux : l’un lié au culinaire, l’autre au végétal s’appuient sur des expérimentations et connaissances spécifiques qui enrichissent le champ d’action du designer. Le design graphique et multimédia est particulièrement développé sur les problématiques d’interface des objets communicants.
L’art, socle commun des disciplines, est à Reims une option très pointue dans son rapport aux problématiques de l’artiste contemporain : l’option fonctionne comme une cellule de réflexion, visant à l’autonomie artistique et sociale de l’élève.
Un incubateur-pépinière d’entreprise peut accueillir les jeunes diplômés.

1/8
Emeline Lavocat, Platinum Core Salviati, 2011 © ESAD de Reims
2/8
Adrien Lardet, Sublimation, 2012 © Simon Thiebaut - École supérieure d’art et de design de Reims
3/8
Cours du soir © ESAD de Reims
4/8
DNSEP 2010, Magali Wehrung, panier piano © ESAD de Reims
5/8
Adrien Lardet, Design Végétal , 2012 © ESAD de Reims
6/8
Post-diplôme Design culinaire, 2011, performance au Lieu du design, Alexandra Roudière © ESAD de Reims
7/8
Semaine folle 2011, Sébastien Cordoléani © ESAD de Reims
8/8
Semaine folle, 2012, Laurent Duthion © ESAD de Reims

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design culinaire
DNSEP  option Design mention design graph. et multimédia
DNSEP  option Design mention design objet et espace

post-diplôme

Post Diplôme Id -DIM : Inventivités digitales. Designers, Ingénieurs, Managers

L’ESAD de Reims et deux écoles de Mines Télécom : Institut Mines-Télécom Business School et Télécom SudParis ont élaboré une formation multidisciplinaire inter-écoles qui prépare aux métiers émergents : la formation intitulée « Inventivités Digitales : Designers, Ingénieurs, Managers » s’adresse à de jeunes designers, graphique/objet/espace/ numérique, titulaires d’un DNSEP ou niveau équivalent, qui formeront des équipes avec les ingénieurs et managers des deux écoles partenaires.

OBJECTIFS DE LA FORMATION
Les objectifs sont de former les apprenants aux activités liées à la gestion de projet, au design de projets numériques, à l’ingénierie de projets complexes dans un contexte innovant, créatif et agile, et plus généralement, à la collaboration multidisciplinaire.
Ce cursus forme des professionnels capables d’exploiter avec inventivité et efficacité les technologies numériques, les pratiques du code, la maitrise et la compréhension du design, l’expérience utilisateur, les techniques de management de la créativité, dans toutes les étapes de conduite d’un projet complexe numérique. La formation propose de larges débouchés dans tous les secteurs d’activités.
En plus du métier de chef de projet numérique (industries créatives, agences de communication, entreprises du web, créateur d’applications, de jeux vidéo, de services et d’environnements digitaux, de produits connectés…), le programme permet d’aborder des métiers orientés management (gestion de la créativité, entrepreneuriat et intrapreneuriat, accompagnement au changement dans un contexte de transformation digitale, étude de marché prospective…) technique (développeur, maître d’oeuvre…) ou artistique (designer).

INFORMATIONS PRATIQUES

* Durée : un an
Elle est organisée selon le principe suivant : un semestre académique (420 heures d’enseignement) suivi d’un semestre de stage en entreprise.
* Lieux : dans les locaux des écoles partenaires TEM et TSP à Evry, à l’exception d’un workshop à l’ESAD de Reims.
* Certification:
Ce post-diplôme est achevé par un certificat de participation, co-signé par les trois écoles fondatrices

* Coût de la formation : 900 € + 55€ frais d’inscription

Dossier complet sur la formation

Inscriptions promotion 2020-2021

formation continue

Atelier de dessin, Esad de Reims

Dessin d’observation d’après modèles vivants, ou natures mortes en expérimentant des techniques et outils divers tels que : le fusain, la craie, l’encre, l’aquarelle, etc. Les notions abordées sont:- l’étude des proportions- le rapport d’échelle- le rapport d’espace- les notions de plein et de vide- le travail sur le déplacement, le mouvement- les différents temps de croquis- la recherche d’une écriture personnelle.
Au cours de chaque séance, un certain nombre de ces exercices, ou de leurs déclinaisons est abordé, chacun se les appropriant en fonction de son rythme, son niveau de dessin et ses attentes.

Deux séances par semaine d’octobre à mi-mai de 18h à 20h
Lieu : À l’annexe ESAD de Franchet d’Espèrey

Groupe limité

En savoir plus:
Pratiques artistiques amateurs

Atelier de peinture

Les cours s’intéressent à toutes les formes d’expression et prennent en compte les différents médiums : gouache, aquarelle, huile. Les cours reposent sur les problématiques de la peinture contemporaine. Les aspects tels que la théorie de la couleur, la composition, la forme et le rapport d’échelle sont abordés tout le long de l’année. La matière et l’espace font l’objet de séances précises. Ils servent de point de départ à l’observation du réel, pour ensuite se développer de façon plus singulière. Les sujets sont choisis afin de travailler les techniques à base d’eau (aquarelle, acrylique, gouache) ainsi que l’huile et la préparation des supports (toile, bois, papier). L’objectif est de permettre à chacun de développer une écriture personnelle tout en étudiant les techniques et l’histoire de la peinture.

Une séance par semaine d’octobre à mi-mai de 18h à 20h
Lieu : À l’annexe ESAD de Franchet d’Espèrey

Groupe limité à 40 personnes

En savoir plus:
Pratiques artistiques amateurs

unités de recherche

Formes de l’innovation sociale – unité de recherche en art et en design

Structurée autour de l’Unité de recherche ‘Formes de l’innovation sociale‘, la recherche à l’ESAD réunit théorie et pratique autour des enjeux sociaux, économiques et écologiques contemporains. Chaque section décline l’innovation sociale en des problématiques qui lui sont spécifiques : les projets menés par la Chaire IDIS (Industrie, Design & Innovation Sociale), la datavisualisation ou comment rendre compréhensible des Big Data par le biais du design graphique et numérique (depuis 2015), le partage des saveurs et des savoirs par le biais des Banquets scientifiques (depuis 2013), les nouvelles pratiques artistiques liées aux ‘biens communs’ (en 2018). Tous ces programmes de recherche sont menés en collaboration avec des laboratoires universitaires, chaires de recherche et structures d’art contemporain nationales (Institut Mines Télécom, Université François Rabelais de Tours, les Laboratoires d’Aubervilliers…)

En lien avec le Conseil Scientifique et de la Recherche de l’ESAD, les partenaires académiques, institutionnels et les entreprises, l’Unité de Recherche, qui fonctionne comme lieu d’échange, de valorisation et de diffusion des produits de la recherche, projette de :

– produire des formes plastiques et théoriques : objets, expositions, publications
– développer un réseau de connaissances et de compétences accessible aux acteurs de la communauté de recherche en art, en SHS, et de la société civile
– inscrire la recherche en design au niveau du territoire : partenariats avec la Région Grand Est, les universités (URCA, UTT), les entreprises
– poursuivre et développer les partenariats et les projets internationaux

Réfléchir aux formes de l’innovation sociale, dans une Ecole Supérieure d’Art, c’est donc les concevoir, mais aussi les expérimenter, les mettre en oeuvre et les produire. L’Unité de Recherche se donne pour ambition d’être au coeur de ces processus et de mettre en relation les différents acteurs de la société civile, du champ des techniques et du design, de la recherche en sciences humaines et sociales et de l’ingénierie.

LA CHAIRE IDIS – Industrie, Design & Innovation Sociale

Première Chaire de design créée dans une Ecole Supérieure d’Art française, la Chaire IDIS associe de façon inédite, à l’échelle du territoire régional, des structures de recherche universitaires et des acteurs de la production – PME, industries et artisans du territoire – qu’elle nourrit de la culture et la méthodologie du design. Chaque année, les étudiants de Master en Design sont associés à un projet multi partie-prenantes (entreprises, pôles de compétitivité, associations, laboratoires de recherche) proposé par la Chaire IDIS. La recherche est centrée sur la pratique et veut faire émerger des champs d’innovation, permettre la création d’objets industriels ou artisan aux nouveaux, et diversifier l’activité de production en Région.
http://chaire-idis.fr

programmes de recherche

Art et Philosophie

Depuis 2010, des journées d’étude « Art et Philosophie » sont organisées en partenariat avec le laboratoire CIRLEP de l’UFR Lettres et Sciences Humaines de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Ces journées proposent de confronter l’oeuvre de philosophes modernes et de figures intellectuelles marquantes à leur héritage dans la création artistique contemporaine. Elles donnent lieu à des publications coéditées par l’ESAD et les éditions Epure, dans la collection éponyme dirigée par Fabrice Bourlez (ESAD) et Véronique Le Ru (URCA).

  • 2017 : Utopies des corps vs. Hétérotopies des genres
  • 2016 : Pasolini entre art et philosophie.
  • 2015 : Extension du domaine de la Guerre, entre art et psychanalyse, avec le concours de l’Ecole de la Cause Freudienne.
  • 2014 : La réappropriation en art : malheurs du droit d’auteur et puissances du faux à l’ère de l’Opensource
  • 2013 : Pourparlers entre art et philosophie. Langages et images chez Gilles Deleuze.
  • 2010 : L’Œil et l’esprit. Merleau-Ponty entre art et philosophie (réédition augmentée en 2015)

Artist Run Spaces

Artist Run Spaces est un thème général de recherche sur lequel s’adossait le Master Art de l’ESAD entre 2010 et 2014. Il pose l’hypothèse d’une économie de production particulière – celle des Artist Run Spaces, comme matrice possible d’une plateforme pédagogique et collaborative. Comment, par l’analyse des moyens dont il dispose comme des moyens qu’il met en oeuvre, ce fonctionnement peut-il advenir modèle de production en art ? Comment et pourquoi ces modes d'(auto-) production peuvent-il générer des formes collaboratives ? En quoi les formats d’expérience émis peuvent-ils se faire modèles de transmission ? Autrement dit, comment l’observation d’une structure particulière – dont l’espace domestique se mélange à l’activité artistique, et dont l’identité se distingue d’une galerie ou d’une institution pour favoriser l’exposition comme forme, peut-elle faire l’objet d’une recherche productrice, constructrice voire pédagogique ? Ce programme se construit avec des partenaires institutionnels principalement internationaux (Goldsmiths College de Londres, SIAC de Chicago, Dar Al Munian au Maroc, etc.).

Publications à venir en 2018.

Banquet Scientique

Le Banquet Scientifique est un concept scénique offrant le partage des savoirs et des saveurs en un même temps et un même lieu. Ce concept relève d’une réflexion sur les dispositifs favorables à la transmission et sur les formes que l’on peut donner à la pensée. C’est à la fois une performance de design culinaire (performances, oeuvres,installations…) et un colloque interdisciplinaire et international (communications) visant à interroger les modalités de la recherche académique tout en faisant vivre aux participants et au public une expérience sensible. Une première version, sur le thème « Pillage et Gaspillage », a eu lieu en 2013 au CENTQUATRE à Paris et à la Friche Belle de Mai à Marseille. En 2014, une deuxième édition du banquet scientifique s’est tenue aux Halles du Boulingrin à Reims surle thème « Guerre et Alimentation ».
En 2017, le Banquet Scientifique «Gastronomie & Diplomatie » a eu lieu au Palais du Tau à Reims, en partenariat avec l’Université François Rabelais de Tours, le Lycée des Métiers Gustave Eiffel et l’Ecole française de Gastronomie.

CommUne

Et si l’art agissait en tant que ‘commun’ ?
L’émergence dans les années 1990 de la notion de ‘communs’, avec les travaux fondateurs de la politologue Elinor Ostrom, marque l’apparition de mouvements en quête de modèles économiques et sociétaux distincts de ceux dictés par le capitalisme dominant. Il s’agit de remettre en cause la marchandisation et l’appropriation privée des ressources matérielles et immatérielles. La nature, mais aussi les connaissances et savoir-faire, deviennent l’objet de luttes pour une protection et une accessibilité sans droits de péages : ils sont des communs, des ressources partagées par des groupes d’individus dont le but est de faire perdurer et accroitre ces communs, au bénéfice de tous.
Et l’art alors ? Quels outils critiques et collaboratifs peut-il développer pour contribuer à cette expérience de gestion partagée ? Les pratiques artistiques elles-mêmes, aussi variées soient-elles, peuvent-elles devenir des ressources à partager, à nourrir, à transmettre ?

Ce programme de recherche en art sera initié le 5 février 2018 lors d’une journée d’étude à l’ESAD de Reims.

Formes, technologies, société

Le cycle en design graphique et numérique s’organise depuis 2011autour du partenariat avec l’Institut Mines-Télécom. Un séminaire de recherche a été mis en place, ainsi que des projets de R&D centré ssur le partenariat entre l’ingénieur et le designer (programme First, Orange Labs…) et se développent par des échanges d’enseignants et d’étudiants entre les deux institutions.Fruit d’une collaboration avec l’équipe de recherche « Ethique, Technologies, Organisations, Société » (ETOS) de l’Institut Mines-Télécom et, depuis 2014, le Laboratoire Sens et Compréhension du Monde Contemporain (LASCO) de l’Université Paris-Descartes et de l’IMT, le programme de recherche « Formes, Technologies, Société » positionne les pratiques technologiques et l’investigation philosophique dans un même espace de réflexion. En 2014 et 2015,des journées abordent la question de la perception des big data, flux de données propres à la société contemporaine et les enjeux de formes et d’interprétation qu’elle implique.
Paru en 2016 : Datalogie. Formes et Imaginaires du numérique. Sous la direction d’Olaf Avenati et Pierre-Antoine Chardel.
Depuis 2017, un nouveau cycle de séminaires questionne le devenir de nos subjectivités et de la vie de nos corps face à la multiplication des objets connectés.↬ www.esadlabs-reims.org/seminairefts

La Chaire IDIS

LA CHAIRE IDIS – Industrie, Design & Innovation Sociale

Première Chaire de design créée dans une Ecole Supérieure d’Art française, la Chaire IDIS associe de façon inédite, à l’échelle du territoire régional, des structures de recherche universitaires et des acteurs de la production – PME, industries et artisans du territoire – qu’elle nourrit de la culture et la méthodologie du design. Chaque année, les étudiants de Master en Design sont associés à un projet multi partie-prenantes (entreprises, pôles de compétitivité, associations, laboratoires de recherche) proposé par la Chaire IDIS. La recherche est centrée sur la pratique et veut faire émerger des champs d’innovation, permettre la création d’objets industriels ou artisan aux nouveaux, et diversifier l’activité de production en Région.

http://chaire-idis.fr

éditions

Vitalité des activités de recherche et de valorisation de l’ÉSAD

Établissement dédié à l’Enseignement et la Recherche, l’ÉSAD de Reims compte quelque 200 étudiant.e.s et 45 enseignant.e.s parmi lesquels des artistes, designers, historien.ne.s de l’art, théoricien.ne.s, philosophes, psychanalyste, etc. À l’ÉSAD, la transmission du savoir associe « pratique » et « théorie » – en art et en design* – autour d’enjeux sociaux, économiques et écologiques contemporains et de la question de la forme.
Le rapport de la création à la recherche est au cœur de l’approche pédagogique et, plus particulièrement, des années de Master (4e et 5e années). Dans les domaines de spécialisation qui sont les siens, l’ÉSAD développe la recherche dans deux directions – la recherche fondamentale et la recherche-projet –, en lien avec des partenaires universitaires, institutionnels, socioprofessionnels. Ces activités sont assujetties à l’approbation du Conseil scientifique et de la recherche de l’établissement qui se réunit deux fois par an.

À l’intersection de la création et du champ social, « l’innovation sociale » est le thème fédérateur de la recherche à l’ÉSAD. L’Unité de recherche « Formes de l’innovation sociale » regroupe plusieurs programmes d’étude, portés par les enseignant.e.s, correspondant aux différentes spécialisations de l’école en Art et en Design :

– La Chaire Industrie, Design et Innovation Sociale (IDIS) – en Design, mention Design objet & espace
– Brain roads – en Design, mention Design graphique & numérique
– Le Banquet scientifique – en Design, mention Design & culinaire
– Earthkeeping Earthshaking – en Art
– Art et Philosophie – en Art

Tout au long de l’année, enseignant.e.s, étudiant.e.s et partenaires se fédèrent autour de projets communs et d’événements (ateliers, conférences, expositions) donnant lieu à de riches publications.

À suivre :

Les hétérotopies de Michel Foucault, sous la direction de Sally Bonn, Fabrice Bourlez, Véronique Le Ru, Reims, éditions de L’Épure, en coproduction avec l’ÉSAD de Reims.

Dernières publications :

EKES Écoféminisme(s) et art contemporain, sous la direction de Rozenn Canevet, Camille Froidevaux-Metterie, Paris, éditions Les Presses du réel, en coproduction avec l’ÉSAD de Reims, novembre 2022. Préfacé par Raphaël Cuir.

La collection EKES (EarthKeeping EarthShaking) en Art et Sciences sociales diffuse les recherches du programme éponyme porté par l’ÉSAD de Reims au sein du Master Art depuis septembre 2020.
« EarthKeeping EarthShaking » reprend le titre du 13e numéro du magazine américain Heresies : A feminist publication on art and politics. Portée par le Heresies Collective fondé à New York en 1976, l’aventure éditoriale de cette publication durera de 1977 à 1993. Intituler aujourd’hui le programme de recherche « EKES » (EarthKeeping EarthShaking), c’est poser l’hypothèse d’un renouveau de l’habitabilité du monde du point de vue des artistes dans une perspective convergente de l’histoire politique, des humanités environnementales et de l’histoire de l’art. C’est aussi vouloir interroger un autre rapport au monde vivant, considéré non plus comme un tout mais comme une multitude. Un rapport plus collaboratif que séparatif pour favoriser l’échange, la transmission, l’altérité. À rebours d’un rapport de prédation, de domination et de hiérarchisation, tant sur les ressources naturelles que sur les femmes, le programme de recherche EKES soutient une posture de l’artiste qui n’impose plus une manière de voir, de faire, mais qui va revisiter son milieu de vie à travers son extériorité, son altérité, et son autonomie.

Design & culinaire : une culture en mouvement, sous la direction de Germain Bourré, Julie Rothhahn, Paris, éditions Menu Fretin, novembre 2022. Préfacé par Léo Mariani.

Cet ouvrage invite à découvrir et à comprendre le Design & Culinaire.
Il relate les activités de recherche du Master Design & Culinaire de l’ÉSAD de Reims en s’appuyant sur les projets de design et les formes produites ces dix dernières années au sein de l’école, tout en faisant émerger les réflexions qui se tissent autour.
Des contributions extérieures de chercheurs et de professionnels viennent apporter des regards pluriels sur la discipline et sur sa capacité à produire du sens au sein même de ses productions plastiques.
Le Design & Culinaire repose sur la capacité à lier de manière créative et consciente, par le travail de la forme, tout ce qu’englobe le champ de l’alimentation.
Cette publication montre en quoi la considération du vivant constitue la pierre angulaire du Design & Culinaire. Cette base de réflexion amène à remettre en question nos actions, nos gestes et nos postures, puisque le vivant pose, de fait, la question de l’altérité, de l’attention à l’autre. La deuxième partie de l’ouvrage se consacre à cette question. Se nourrir de l’autre, c’est s’efforcer à trouver une possibilité de dialogue entre des entités n’ayant pas toujours de langage commun. En travaillant à créer de nouvelles relations, de nouvelles manières de lier ce qui constitue l’alimentation, de nouvelles temporalités aussi, le Design & Culinaire ne peut ignorer la question des effets de sa pratique, voire des impacts de ce qu’il produit, et parfois, fait consommer. La dernière partie s’intéresse ainsi aux manières de faire table autrement pour demain, dans une approche prospectiviste tout en interrogeant une pensée d’un « juste avenir ». Elle invite à cheminer vers la proposition d’un renouvellement de la relation que nous portons au monde.

Comment devient-on créateur.rice ?, sous la direction d’Anaël Pigeat, Paris, éditions Les Presses du réel, juin 2022. Préfacé par Raphaël Cuir.

Corps célestes, Biennale de la photographie de Mulhouse 2022, point cardinal III, Réseau des écoles supérieures d’art du Grand Est, sous la direction de L. Horellou, I. Le Minh, Y.-M. Nguyen, J. Saint-Louvert Bié, édition la HEAR, juin 2022.

Corps connectés – figures, fragments, discours, sous la direction d’Armen Khatchatourov, Olaf Avenati, Pierre-Antoine Chardel, Isabelle Queval, Paris, Presses des mines, mai 2022.

Le Chanvre – matière à transitions, Design, Territoire, Écologie, sous la direction d’Elisabetta Bucolo et de Véronique Maire, Paris, Éditions LOCO, mai 2022. Préfacé par Dominique Bourg. Postface par Raphaël Cuir.

[…]

 

éditions

Expositions hors-les-murs, expositions des diplômés/ Master art (Prix Prisme) et Design (Design’R) en septembre et novembre, exposition et concours Céramix, visites et voyages pédagogiques (théorie et pratique), workshops et workshop interdisciplinaire : « Semaine folle », intervenants extérieurs, cycle de conférences dédié au design et à l’art contemporain (Transformations contemporaines, Vivacités écologiques, etc.), ciné philo…

Journée Portes Ouvertes
Le samedi 20 janvier 2024 de 10h à 18h

Inscriptions et informations détaillées sur www.esad-reims.fr
-Entrée en 1re année sur concours
-Commissions d’entrée par équivalence (en 2e et 4e année)

 

 

activité post- ou périscolaire

L’ESAD de Reims propose au public amateur d’Art et de Design, la possibilité de s’initier, de pratiquer et de se perfectionner dans différents domaines des arts plastiques enseignés dans l’établissement.
Regroupés en modules ou en ateliers de pratique annuels, ces séances sont animées par des artistes : enseignants de l’ESAD ou de jeunes professionnels qui y ont été formés. Au-delà de l’acquisition technique, c’est l’excellence artistique, encore et toujours, qui sera recherchée.
Cours de peinture (gouache, aquarelle, huile) et de dessin d’observation (étude de modèle vivant et d’objets, fusain, pastels gras, crayons…) dispensés le lundi, mardi et mercredi soir, d’octobre à mi-mai à l’exception des périodes de vacances scolaires. www.esad-reims.fr

coopération internationale

Un semestre de stage ou d’études à l’étranger est obligatoire en 4e année. L’ESAD participe au programme européen Erasmus+ et bénéficie d’accords bilatéraux avec des établissements d’enseignement supérieur de 21 pays différents. De nombreuses agences, artistes ou designers prennent également régulièrement les étudiants en stage.

Allemagne
Hochschule des Bildenden Künste Saar de Sarrebruck, Fachhochschule d’Aix-la-Chapelle, Université du Bauhaus de Weimar.

Arménie
Académie des Beaux-arts d’Erevan

Autriche
Fachhochschule de Salzbourg

Belgique
École des Arts visuels de La Cambre à Bruxelles, École Supérieure des Arts Plastiques et Visuels de Mons

Bulgarie
University of Velikovo Tarnovo

Chine
Central Academy of Fine Arts de Pékin, China Academy of art – Campus de Zhuantong, Hangzhou

Danemark
Danmarks Designskole de Copenhague

Espagne
Escola Massana de Barcelone, Escola d’Art i de Disseny de Valence, Escola Superior de Disseny de Barcelone

Grèce
Technical Educational Institute d’Athènes

Inde
National Institute of Design d’Ahmedabad

Israël
Bezalel Acedemy of Art and Design de Jérusalem

Italie
ISIA de Faenza, ISIA de Rome, Libera Accademia di Belle Arti de Brescia

Lituanie
Vilnius Academy of art

Mali
Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasséké Kouyaté de Bamako

Mongolie
Mongolian University of Science and Technology (MUST) Oulan Bator

Pays-Bas
ArtEZ Institute of the Arts

Portugal
ESAD de Caldas da Rainha, Escola Superior de Artes Aplicadas do IPCB de Castelo Branco

République Tchèque
VUT de Brno

Roumanie
Universitatea de Arte « George Enescu », Lasi, Ecole des Beaux Arts de Cluj

Suède
Linköpings Universitet, Norrköping

Tunisie
Ecole Supérieure des Sciences et technologies du Design, Tunis

 

équipements spécifiques

9 ateliers :

  • photographie argentique et numérique
  • montage vidéo, son et multimédia
  • métal
  • prototypage rapide : fraiseuses numériques, imprimantes et scanner 3D,découpeuse laser, découpeuse plasma et découpeuse plasma numérique…
  • plastiques, sculpture, peinture
  • bois
  • cuisine pédagogique (normes gastronomie)
  • céramique
  • sérigraphie

réseaux

L’ESAD est inscrite dans différents réseaux de veille et de réflexion sur les enseignements supérieurs artistiques dont l’Académie de Reims, l’ANdEA (réseau national), CUMULUS (réseau international), et Campus Art, et dernièrement l’Association des membres de l’Académie de Reims.
L’ESAD de Reims est signataire de la Charte Erasmus +, et tisse son réseau propre d’une trentaine d’établissements en Europe,mais aussi en Asie, au Moyen-Orient, et en Amérique latine. L’ESAD est co-fondatrice de l’association Réseau des Ecoles Supérieures d’Art du Grand Est qui réunit les quatre écoles de la région.

Partenariats de recherche :

  • L’Institut Mines-Télécom (Télécom École de Management et TélécomSud Paris)
  • Le Centre de Recherche Sens, Ethique, Société (CERSES), CNRS / Université Paris Descartes,
  • Le laboratoire Sens & Compréhension du Monde Contemporain (LASCO), Paris Descartes & IMT
  • La Chaire Valeurs & Politiques des Informations Personnelles
  • L’Université Technologique de Troyes (LivingLab ActivAgeing et Tech-CICO),
  • Le Département Histoire & Cultures de l’Alimentation – Université François Rabelais, Tours,
  • Le Lycée professionnel Gustave Eiffel – Hôtellerie et restauration, Reims,
  • L’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) et la Structure Fédératrice de Recherches en Sciences Humaines et Sociales Gaston Bachelard,
  • Le Collège universitaire de Sciences Po. Campus euro-américain de Reims,
  • Les Ecoles Supérieures d’Art du Grand Est: ESAL Metz-Epinal, HEAR Strasbourg, Mulhouse, ENSAD Nancy,
  • L’Institut International de la Marionnette, Charleville-Mézières,
  • Le Centre National des Arts du Cirque de Châlons-en-Champagne.

équipe administrative

Céline Savoye Directrice
Clotilde Delestrade Administratrice
Véronique Pintelon Coordinatrice des études
Amélie Chantraine Responsable de la scolarité
Emeline Tourteaux Chargée de mission scolarité
Katherine Sowley Responsable de la recherche
Leslie Picardat Responsable de la communication
Gilles Buffet Chargé des relations internationales
Catherine Cessac Secrétariat
Céline Arcese Responsable de la comptabilité et des achats
Anne-Claire Jacquet Chargée RH et instances administratives
Cyrielle Prévost Responsable du Centre de documentation

 

professeurs

Nicolas Aiello
Jean-Paul Augry
Olaf Avenati
Eric Blondin
Fabrice Bourlez
Germain Bourré
Laurent Burte
Fabien Cagani
Rozenn Canevet
Alexis Derouet
Brice Domingues
Mathieu Ehrsam
Anne Fressard
Giuseppe Gabellone
Mark Geffriaud
Jean-Michel Hannecart
Marion Kueny
Pierre-Yves Le Sonn
Cécile Le Talec
Véronique Maire
Manuela Marques
Martin Mc Nulty
Laurent Meszaros
Patrick Nadeau
Christian Porri
Paul Roberts
Julie Rothhahn
Raoul Sbaiz
Yohann Simonnot
Lise Terdjman
Renaud Thiry
Jean Wanschoor

coordonnées

12 rue Libergier
51100 | Reims
tél. +33 (03) 26 89 42 70
fax +33 (03) 26 35 36 78
contact@esad-reims.fr
www.esad-reims.fr

effectif

210 étudiants

Rennes

École européenne supérieure d’art de Bretagne | site de Rennes

présentation

L’école européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB) – Brest, Lorient, Quimper, Rennes rassemble près de 900 étudiant·e·s réparti·e·s sur 4 sites géographiques. Elle propose des formations à Bac + 3 et Bac + 5 (équivalence master) en Art, Design et Communication-Design graphique. À Rennes, les trois options sont enseignées (Art, Design et Design graphique), développant l’ensemble des champs de la création plastique contemporaine.

1/8
Atelier métal - ARC Art, Design et Savoir-faire "Fer, Feu", en partenariat avec les Compagnons du devoir 2019
2/8
Jardin du Cloître
3/8
4/8
Atelier terre
5/8
Workshop de rentrée avec Maximage. 4e et 5e années Design graphique 2018
6/8
7/8
Vernissage de l'exposition "Pierre, feuille, ciseau, robot" au parlement de Bretagne. Un projet art et design en partenariat avec l'entreprise Maillard & Maillard (taille de pierre)
8/8
Bibliothèque de l'école

options

Art
Communication
Design
MSc Management de projets créatifs, culture et design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Communication mention design graphique
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Communication mention design graphique
DNSEP  option Design
MSc Management de projets créatifs, culture et design 

vae

VAE ouverte aux personnes engagées dans la vie active et exerçant dans un milieu artistique – Art, Communication-Design graphique ou Design – depuis au moins 3 ans (équivalent temps-plein). La personne doit impérativement avoir une activité de création artistique, peu importe le cadre (salarié, indépendant, associatif, etc.). La démarche créative des candidat·e·s doit être actuelle et contemporaine. Il n’y a pas de limite d’âge. Nous proposons deux diplômes :
– Le Diplôme national d’arts plastiques (DNA) option Art, Communication-Design graphique ou Design. Niveau Bac+3. Donne lieu à la validation de 180 crédits ECTS.
– Le Diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP) option Art, Design ou Design graphique. Le DNSEP vaut grade de Master. Donne lieu à la validation de 300 crédits ECTS. Le DNSEP est validé niveau 1 par la commission nationale de certification professionnelle.
NB : Vous pourrez passer votre VAE à l’EESAB-site de Lorient.

formation continue

Formation continue, Eesab site de Rennes

L’EESAB propose une offre de formation professionnelle continue pour les artistes, les acteurs culturels, les professionnel·le·s de l’art, les enseignant·e·s et les animateur·rice·s désirant acquérir ou perfectionner des connaissances et compétences dans le domaine de la pratique artistique et de l’environnement culturel.
Il est proposé, sur les 4 sites, des formations courtes pendant les vacances scolaires (entre 2 et 5 jours) orientées sur des savoir-faire et compétences techniques, informatiques, de design et d’art.Plus de renseignements sur le site internet de l’EESAB : https://www.eesab.fr/eesab/offre-de-formations

unités de recherche

Demain l’océan

L’EESAB, représentée par ses 4 sites sur l’ensemble du territoire breton, est en parfaite cohérence avec l’identité du territoire sur lequel elle se déploie. La Bretagne est une région fortement maritime, disposant d’un littoral de près de 2700 km de côtes. Ce territoire est un terrain de jeu propice pour mener des projets de recherche qui articulent démarche artistique et maritimité. « Demain l’Océan » poursuit les recherches précédemment engagées depuis la création de l’établissement autour de la notion de « Territoires extrêmes » (Géographies variables, A l’Ouest toutes…) en développant davantage les interrelations avec l’espace maritime.
www.eesab.fr/demain-l-ocean

Formes du temps

Cette unité s’appuie sur l’histoire et le patrimoine pour faire des objets du passé ou des savoir-faire traditionnels des territoires d’invention et de création. Cette démarche prospective et exigeante qui relie patrimoine et création dans une approche scientifique et artistique est le coeur des principes de cette unité de recherche, et peut s’exercer sur différents objets du patrimoine matériel ou immatériel.
www.eesab.fr/formes-du-temps

Pratiques et dys-pratiques numériques

Les usages numériques sont omniprésents dans nos activités quotidiennes, professionnelles et personnelles. Ces usages peuvent être questionnés tant au regard de leur aspect purement technologiques que plus théorique, avec un regard critique sur leur fonctionnalités.

Ainsi, cette unité de recherche traverse aussi bien des projets très technologiques portés par le site de Rennes et son laboratoire DPN (Design et pratiques numériques) ou les activités développées au sein du LabFab.
www.eesab.fr/pratiques-et-dys-pratiques-numeriques

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

programmes de recherche

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

éditions

Retrouvez la liste des éditions publiées par l’EESAB-site de Rennes depuis 2006 ici :
https://www.eesab.fr/site/assets/files/publications_eesab-site_de_rennes_f_vrier_2022.pdf

activités & événements

Conférences, workshops, journées d’étude, expositions…
Un programme conséquent de conférences est proposé par l’école en lien avec l’équipe pédagogique et les partenaires. Les étudiant·e·s doivent y participer afin d’être en contact avec les acteurs majeurs de la création contemporaine. Elles contribuent à l’ouverture de l’école sur les enjeux artistiques et intellectuels contemporains et complètent l’offre théorique ou la connaissance de l’expérience artistique. Les conférences font par ailleurs l’objet de crédits ECTS en 3e année, toutes options confondues.
Les étudiant·e·sont également invité·e·s à pratiquer une veille personnelle sur l’actualité et à s’enrichir par des voyages d’études, des visites d’expositions, la fréquentation des bibliothèques.
Des workshops (temps de travail collectif intensif sur quelques jours, faisant ou non recours à des invités extérieurs) sont également proposés lors de l’année. Ils donnent généralement lieu à des restitutions publiques, ouvertes à l’ensemble des étudiant·e·s de l’école.
Des journées d’étude, organisées dans le cadre des activités de recherche de l’EESAB, sont proposées chaque année.
Des expositions publiques sont régulièrement organisées dans le Cloître et dans le cadre de projets hors-les-murs.

Expositions, conférences, colloques, workshops…
+ d’informations

activité post- ou périscolaire

L’EESAB-site de Rennes propose plus de 11 ateliers de pratique artistique pour adultes et enfants, du dessin pour débutant·e·s au cours de design d’objet en passant par des cours de modelage, photographie… Durant les vacances scolaires, l’EESAB s’adresse aux plus jeunes avec le stage « Fabrique » destiné aux 6-12 ans ou encore à celles et ceux qui aspirent à faire des études supérieures en art et design en leur proposant un stage de préparation aux épreuves d’entrée des écoles d’art et de design.

Les ateliers sont encadrés par des professionnel·le·s, artistes, designers et graphistes qui sont animé·e·s par l’envie, le besoin et le plaisir de transmettre. Les ateliers permettent de profiter des ateliers techniques de l’école.
www.eesab.fr/rennes

coopération internationale

L’EESAB a fait le choix de développer une politique internationale, fondée sur la mobilité des étudiant-e-s et enseignant-e-s, afin de favoriser le partage des cultures, l’enrichissement des pratiques artistiques, et la mise en oeuvre de projets d’enseignement.
En ce sens, l’école a tissé des liens avec de nombreux pays en Europe. Dans le cadre de la Charte Universitaire Erasmus +, l’EESAB est liée par accords bilatéraux avec plus de 50 partenaires européens. Elle est également membre du réseau ELIA (European League of Institutes of Art) réunissant 300 établissements d’enseignement supérieur artistique à travers 47 pays.
Au-delà du territoire européen, l’EESAB développe des contacts sur plusieurs continents, notamment l’Amérique du Nord (Canada) et du Sud (Mexique, Colombie, Argentine, Costa Rica), l’Asie (Chine, Vietnam) et l’Océanie (Australie).

galerie

– Galeries du Cloître : du lundi au vendredi, de 9h à 18h, en visite libre.
– Programme hors-les-murs : selon programmation. Partenariats avec le Musée des beaux-arts de Rennes, le FRAC Bretagne, le TNB, Le Kiosque Centre d’Action Culturelle Mayenne Communauté, Saint-Briac-sur-mer, le CROUS, Hôtel à projets Pasteur, etc.

équipements spécifiques

Céramique, gravure, sérigraphie, lithographie, photographie (studio photo, laboratoire argentique et argentique « grand format », laboratoire numérique), vidéo, son, maquette, bois, métal, résine, terre, thermoformage, laboratoire de langue, LabFab (Laboratoire de Fabrication numérique).
Ateliers « images numériques » pour toutes options et tous travaux.

L’école est accessible aux personnes en situation de handicap.

réseaux

ANdEA, ELIA, Art contemporain en Bretagne, GEPS (Groupe d’expérimentation plastique du sonore), Meeting (images et sons), Conférence des directeurs des Grandes écoles de Bretagne.

équipe administrative

Danièle Yvergniaux Directrice générale de l’EESAB
Maëva Blandin Directrice du site de Rennes – référente handicap
Coline Dupont Chargée de missions pédagogie et recherche 
Cindy Chemin Administration et relations internationales
Amanda Auffray-Liddiard Relations internationales – Erasmus
Annyvonne Rihet Assistante de direction, chargée de l’accueil
Stéphanie Berthelot Assistante pédagogique
Maud Leroux Assistante de gestion comptable et budgétaire
Valérie Destruhaut Assistante ressources humaines
Aurélie Maudet Chargée de bibliothèque
Juliette Guillevin Communication, expositions, conférences, événements

professeurs

Guillaume Allard
Amanda Auffray-Liddiard
Pierangelo Caramia
Caroline Cieslik
Soizic Debons
Catherine de Smet
Reynald Drouhin
Thierry Dupeux
George Dupin
Christelle Familiari
Joris Favennec
Nicolas Floc’h
Julie C. Fortier
Benoît Fougeirol
Hilary Galbreaith
Alban Gilles
Benjamin Gomez
Gaëlle Hippolyte
Isabelle Jégo
Raphaële Jeune
Guillaume Kazerouni
Laura La Cagnina
Luc Larmor
Patrick Le Priol
Manon Leblanc
Briac Leprêtre
Laurence Lépron
Jean-François Leroy
Marjolaine Lévy
Thierry Moré
François Perrodin
Guillaume Pinard
Marie Proyart
Kristina Solomoukha
Christophe Viart
Charlotte Vitaioli

coordonnées

34 rue Hoche
35000 | Rennes
tél. +33 (0)2 23 62 22 60
fax +33 (0)2 23 62 22 69
www.eesab.fr
contact.rennes@eesab.fr

effectif

330 étudiant·e·s

Rouen

École supérieure d’art et design Le Havre Rouen | site Rouen

présentation

L’École Supérieure d’Art et Design Le Havre-Rouen, réunissant les deux anciennes écoles d’art de Rouen et du Havre, est devenue, de fait, le grand établissement d’enseignement artistique du territoire haut-normand mais également un des plus grands établissements culturels de notre région.
L’ESADHaR offre un panel de formations artistiques important par un ensemble de propositions diverses autour de deux grands axes : l’art et le design graphique. Le site de Rouen est entièrement dévolu au département art. Le site du Havre propose deux départements : design graphique et interactivité, ainsi qu’un Master de Création Littéraire.
À Rouen, différents ateliers de recherche et création incitent les étudiants à s’emparer de sites à Rouen même ou dans les alentours. Plusieurs professeurs animent des modules en relation avec des partenaires extérieurs, incitant les étudiants à créer dans des espaces spécifiques.

ART – CAMPUS DE ROUEN
Le département Art vise à former des plasticiens à même de travailler avec une multitude de médias différents. Il encourage l’expérimentation sous toutes ses formes, ainsi que la transversalité des enseignements : volume, couleur, dessin, multimédia, photographie, etc. Les professeurs montent chaque année des projets à plusieurs, pour stimuler au maximum les étudiants et multiplier les points de vues plastiques. Le campus de Rouen compte de nombreux ateliers techniques : Bois, Métal, Céramique, Photographie, Gravure, Sérigraphie, Lithographie et Multimédia. Les étudiants sont aussi amenés à développer leurs pratiques dans une multitude de lieux du territoire, de manière à favoriser leur ancrage dans des interventions artistiques concrètes (exemples : Partenariats avec le Centre Hospitalier du Rouvray et le SMÉDAR). Cinq salles d’accrochages (dites « salles de contextualisation ») permettent aux étudiants de mettre en espace leurs travaux chaque semaine.
Ce département permet aux étudiants de s’orienter vers les métiers suivants :
– Artiste plasticien
– Médiateur culturel (responsable de musée, galerie, lieux d’exposition)
– Commissaire d’exposition
– Enseignant en arts plastiques
– Critique d’art.
⇨ Le département Art prépare au DNA et au DNSEP option Art.

1/5
ESADHaR campus de Rouen
2/5
ESADHaR campus de Rouen
3/5
ESADHaR campus de Rouen
4/5
ESADHaR campus de Rouen
5/5
ESADHaR campus de Rouen

options

Art
Certificat de Didactique de l’enseignement artistique

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

troisièmes cycles

classe préparatoire

vae

L’ESADHaR est un centre de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) pour des adultes professionnels qui souhaiteraient valider un DNA ou un DNSEP.
DNA option Art et option Design mention design graphique et interactivité
DNSEP option Art et option Design mention design graphique et interactivité

unités de recherche

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

programmes de recherche

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

éditions

Publications et catalogues liés aux expositions, manifestations et aux productions des ARCS et ateliers pédagogiques.
Actes de colloques et de conférences, livres d’artistes, catalogues, plaquettes, éditions d’artistes (estampes).

revues

revues

Avec ses différents lieux d’exposition et les grands événements qu’elle co-organise avec ses nombreux partenaires (Une Saison Graphique, les conférences « Écoute l’artiste »…), l’ESADHaR est un des grands acteurs culturels normands et s’inscrit dans un environnement riche d’institutions culturelles qui sont autant de lieux de stage possibles pour les étudiants : Frac, musées, centres d’art, galeries d’art, maisons des arts …

activité post- ou périscolaire

Sur les deux campus, l’école propose aussi des Ateliers des Beaux-arts pour favoriser le développement des pratiques artistiques amateurs (dessin, peinture, modelage pour adultes, adolescents et enfants). Elle propose aussi un atelier de préparation aux concours d’entrée des écoles d’art.

coopération internationale

– Participe au programme ERASMUS +
– Partenariats avec une quinzaine d’établissement en Europe.
– Partenariats avec plusieurs écoles hors Europe : Corée du Sud, Brésil, Israël.
– Bourses de l’OFAJ-Office franco-allemand pour la jeunesse et de la Région Normandie.
– 5 voyages d’études en Europe votés chaque : Grèce, Londres, Venise, Palerme, Moscou, Berlin, Madrid, Porto, etc…

galerie

– Campus Rouen : Galerie Hus.
– Campus Le Havre : Galerie 65.
– Artothèque de l’ESADHaR, rue Paul Doumer, au Havre.

équipements spécifiques

– Campus Rouen : Gravure, taille-douce, lithographie, sérigraphie, heliogravure, vidéo, photographie, infographie, multimédia, ateliers de volume – céramique, terres cuites, soudure, découpe au plasma.
– Campus Le Havre : Vidéo, informatique/multimédia, volume, bois et métal, photographie, sérigraphie, gravure, atelier son, four à céramique et four à fusion, Design créative Lab, Editing Lab, atelier reliure, Fab Lab.

réseaux

ANdEA, ELIA.

équipe administrative

Ulrika Byttner Directrice
Stéphanie Vallvé Directrice Administrative et financière
Marie-José Ourtilane Directrice des études, de la recherche et de la VAE
Diane Chevallier Chargée de communication et de développement des publics
Emmanuelle Daché Secrétaire pédagogique
Muriel Nasri Agent d’accueil et de liaison
Thibault Soyeux Technicien multimédia
Manuel Lefebvre Technicien volume
Jim-Kevin Quere Technicien impression
Zoé Autin Technicienne céramique
Aurélien Badmington Responsable technique et logistique
Catherine Chrétien, Renat Mutalapov, Nicolas Godefroy Agents d’entretien et de surveillance

professeurs

Jean-Paul Berrenger
Stéphane Carrayrou
Béatrice Cussol
Dominique de Beir
Edith Doove
Sophie Dubosc
Patrick Galais
Katja Gentric
Marc Hamandjian
Eric Helluin
Jason Karaindros
Anne Leméteil
Miguel Angel Molina
Sébastien Montéro
Élise Parré
Jean-Charles Pigeau
Edouard Prulhière
Stéphanie Solinas
Tania Vladova

coordonnées

Campus de Rouen (siège social)
2 rue Giuseppe VERDI
76000 | Rouen
tél. +33 (0)2 35 53 30 31
esadhar@esadhar.fr
http://www.esadhar.fr
Facebook / Esadhar officiel
Blog / www.esadhar.blogspot.fr
Plothr / www.plothr.blogspot.fr
Artothèque / www.artotheque.esadhar.fr

effectif

180 étudiants sur le site de ROUEN

Saint-Étienne

École supérieure d’art et design de Saint-Étienne

présentation

L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne forme les artistes et designers de demain.
La relation entre la pédagogie et la pratique en atelier valorise le principe du « faire » qui donne à l’Esadse sa place unique dans le réseau des écoles d’art. Au cœur de la Cité du design et de la seule ville française créative design de l’Unesco, elle bénéficie d’un environnement privilégié et d’un rayonnement international. L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne ouvre à ses étudiants un champ d’exploration très large, en prise avec les enjeux contemporains. C’est une école où se fabriquent les projets : les ateliers occupent une place centrale à l’Esadse. Favorisant les passerelles entre l’art et le design, ils sont organisés en six pôles : édition, modélisation, numérique, photographie, vidéo/son, céramique.

Une offre de formation complète en design et en art
L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne propose des formations en art et en design, avec la possibilité de choisir une mention parmi cinq à l’issue d’une première année généraliste.
L’Esadse prépare et délivre deux diplômes nationaux reconnus par le ministère de la Culture et le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la recherche : le Diplôme national d’art (DNA) – Bac +3 (grade de Licence) et le Diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP) – Bac +5 (grade de Master) mais aussi un post-diplôme et le diplôme supérieur de recherche en design.

Il est possible de suivre une classe préparatoire publique avant de postuler au 1er cycle.

L’Esadse a lancé en 2023 la première formation en apprentissage pour des étudiants en design déployée au sein d’une école supérieure d’art sous tutelle du ministère de la Culture. Les élèves entrant en 4e année dans le cadre d’un DNSEP design, mention Objet ou Public(s) peuvent effectuer leur 5e année en apprentissage, en alternant enseignement à l’école et formation en entreprise.

L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne propose également des formations internationales avec la Corée du Sud et la Chine, ouvrant sur des doubles diplômes.

Découvrez le cursus déployé à l’Esadse

Une école pour faire projet qui accompagne l’insertion professionnelle
Tout au long de leur cursus, l’Esadse prépare les étudiants à intégrer en tant que professionnels le monde de l’art ou celui de la création en design. Cette professionnalisation passe par des workshops, projets partenariaux, expositions et concours. Elle travaille en réseau avec 55 écoles à travers le monde. Pour élargir les perspectives, de nombreux artistes, graphistes, designers, chercheurs et alumni interviennent dans des formats divers : des rencontres, des conférences et un programme de workshops interdisciplinaires donnant souvent lieu à des restitutions publiques.

Portée par la Cité du design, la Biennale Internationale Design Saint-Étienne est un événement reconnu internationalement, né en 1998 au sein de l’Esadse. Aujourd’hui encore, les étudiants sont un moteur essentiel de cette manifestation dans laquelle ils sont invités à s’impliquer largement, du commissariat d’exposition à la médiation. La 13e Biennale Internationale Design de Saint-Étienne se tiendra en 2025.

L’école bénéficie des ressources de la Cité du design (espaces d’exposition, matériauthèque, etc.) et de la dynamique du quartier créatif stéphanois, qui accueillera en 2025 la Galerie nationale du design.

La plaquette de l’Esadse 2023-2024

1/9
© Alexandra Caunes et Sandrine Binoux - École supérieure d’art et design de Saint-Étienne
2/9
École supérieure d’art et design de Saint-Étienne © Alexandra Caunes et Sandrine Binoux
3/9
Random LAB - École supérieure d’art et design de Saint-Étienne
4/9
Labo IRD © Alexandra Caunes et Sandrine Binoux - École supérieure d’art et design de Saint-Étienne
5/9
École supérieure d’art et design de Saint-Étienne © Alexandra Caunes et Sandrine Binoux
6/9
7/9
8/9
9/9

options

Art
Design Objet
Design Graphismes et Images
Design Création numérique
Design Public(s)
Art & Design ACDC_espaces

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design

troisièmes cycles

Cycle Design Recherche

Le CyDRe est le 3e Cycle de l’École Supérieure d’art et design Saint-Étienne. Ce parcours a pour ambition de constituer une communauté de designers chercheurs reliés au territoire par leurs objets d’études, et par les ressources locales impliquées dans leurs projets de recherche.

Ce parcours commun à l’ensemble du CyDRe a pour objectif de :
– permettre aux etudiants de développer les cadres d’une recherche ;
– développer les capacités de socialisation des étudiants pour se mettre en lien avec les communautés de recherche ;
– développer les capacités critiques des étudiants pour réinterpréter et réutiliser les méthodes et outils utilisés par d’autres champs disciplinaires ;
– construire un socle théorique sur la recherche design ;
– stimuler l’expérimentation et le développement d’outils et de techniques de recherche (l’enquête, la la production de formes, donner à voir la recherche en cours).

Une offre de formation à la recherche en trois parcours pédagogiques :
DSRD – Diplôme supérieur de recherche en design
le doctorat Arts, mention Arts industriels
Le post-diplôme Design Art Recherche – Azimuts

  1. Diplôme supérieur de recherche design (DSRD)
    Le DSRD permet de prolonger une recherche par la pratique. Sa validation prend la forme d’une soutenance dans le contexte d’une exposition. Cette formation s’adresse à des designers souhaitant faire carrière dans la recherche design, dans l’enseignement en école d’art, ou dans des activités sociales en lien avec les communautés.
    Modalités d’admission
    Pour des étudiants titulaires d’un DNSEP ou d’un diplôme Bac+5, équivalent Master, ou pouvoir justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 5 années dans le domaine du design
    En fonction du numerus clausus : recrutement sur dossier et entretien à la suite d’un appel à candidatures en janvier ou en avril.
  2. Doctorat Arts Industriels en partenariat avec l’Université Jean Monnet (3 ans)
    La mention Arts industriels du doctorat Arts concerne les pratiques de création et de production susceptibles d’être diffusées massivement et d’usage largement répandu, qui supposent la fabrication de multiples, ou qui dépendent de modes d’engendrement propres à la culture industrielle ou post-industrielle. Durant ses trois années de doctorat, l’étudiant construit un dialogue entre théorie et production de forme, en jouant le jeu du cadre d’exigences de l’école doctorale 3LA.
    Cette formation permet d’accéder à des carrières d’enseignant-chercheur à l’université ou en école d’art.
    Modalités d’admission
    Le doctorat s’adresse à des étudiants chercheurs titulaires d’un Master, possédant un socle théorique de haut niveau ainsi qu’un goût prononcé pour la production de forme.
    Plus d’informations
  3. Le post-diplôme Design Art Recherche, Azimuts
    Il s’adresse à des étudiants-chercheurs en design graphique souhaitant conduire leur projet de recherche en utilisant la revue Azimuts comme un support d’apprentissage pour expérimenter, construire, produire au sein du CyDRe.  Il s’agit d’expérimenter la fabrication d’une revue de recherche, publiée par un établissement d’enseignement supérieur, à des fins pédagogiques via une formation de deux ans.

En savoir +

 

 

 

post-diplôme

Cycle Design Recherche

Le CyDRe est le 3e Cycle de l’École Supérieure d’art et design Saint-Étienne. Ce parcours a pour ambition de constituer une communauté de designers chercheurs reliés au territoire par leurs objets d’études, et par les ressources locales impliquées dans leurs projets de recherche.

Ce parcours commun à l’ensemble du CyDRe a pour objectif de :
– permettre aux etudiants de développer les cadres d’une recherche ;
– développer les capacités de socialisation des étudiants pour se mettre en lien avec les communautés de recherche ;
– développer les capacités critiques des étudiants pour réinterpréter et réutiliser les méthodes et outils utilisés par d’autres champs disciplinaires ;
– construire un socle théorique sur la recherche design ;
– stimuler l’expérimentation et le développement d’outils et de techniques de recherche (l’enquête, la la production de formes, donner à voir la recherche en cours).

Une offre de formation à la recherche en trois parcours pédagogiques :
DSRD – Diplôme supérieur de recherche en design
le doctorat Arts, mention Arts industriels
Le post-diplôme Design Art Recherche – Azimuts

  1. Diplôme supérieur de recherche design (DSRD)
    Le DSRD permet de prolonger une recherche par la pratique. Sa validation prend la forme d’une soutenance dans le contexte d’une exposition. Cette formation s’adresse à des designers souhaitant faire carrière dans la recherche design, dans l’enseignement en école d’art, ou dans des activités sociales en lien avec les communautés.
    Modalités d’admission
    Pour des étudiants titulaires d’un DNSEP ou d’un diplôme Bac+5, équivalent Master, ou pouvoir justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 5 années dans le domaine du design
    En fonction du numerus clausus : recrutement sur dossier et entretien à la suite d’un appel à candidatures en janvier ou en avril.
  2. Doctorat Arts Industriels en partenariat avec l’Université Jean Monnet (3 ans)
    La mention Arts industriels du doctorat Arts concerne les pratiques de création et de production susceptibles d’être diffusées massivement et d’usage largement répandu, qui supposent la fabrication de multiples, ou qui dépendent de modes d’engendrement propres à la culture industrielle ou post-industrielle. Durant ses trois années de doctorat, l’étudiant construit un dialogue entre théorie et production de forme, en jouant le jeu du cadre d’exigences de l’école doctorale 3LA.
    Cette formation permet d’accéder à des carrières d’enseignant-chercheur à l’université ou en école d’art.
    Modalités d’admission
    Le doctorat s’adresse à des étudiants chercheurs titulaires d’un Master, possédant un socle théorique de haut niveau ainsi qu’un goût prononcé pour la production de forme.
    Plus d’informations
  3. Le post-diplôme Design Art Recherche, Azimuts
    Il s’adresse à des étudiants-chercheurs en design graphique souhaitant conduire leur projet de recherche en utilisant la revue Azimuts comme un support d’apprentissage pour expérimenter, construire, produire au sein du CyDRe.  Il s’agit d’expérimenter la fabrication d’une revue de recherche, publiée par un établissement d’enseignement supérieur, à des fins pédagogiques via une formation de deux ans.

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Post-diplôme Design & Recherche

Le post-diplôme Design, Art et Recherche Azimuts

Cette formation s’adresse à des étudiants chercheurs en design graphique et d’édition souhaitant conduire un projet de recherche en graphisme autour et avec la revue Azimuts – Design Art Recherche. Cette revue de recherche sert de support d’apprentissage pour expérimenter, construire, produire des formes éditoriales et assurer une coordination éditoriale. Le post-diplôme est un programme indépendant du système universitaire : ce n’est pas une formation diplômante. Après les deux années passées en post-master, validées par une communication conférence, l’Esadse délivre à l’étudiant chercheur un certificat d’école.

Modalités d’admission
Post-diplôme ouvert aux étudiants diplômés d’un DNSEP ou d’un master en graphisme ou en édition, et aux personnes ayant une expérience professionnelle dans le domaine du design graphique.
En fonction du numerus clausus : recrutement sur dossier et entretien à la suite d’un appel à candidatures en janvier ou en avril.

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classe préparatoire

Classe Préparatoire, Esadse

Cette classe accueille des élèves issus de l’enseignement secondaire français et internationaux désireux d’intégrer un cursus en école française d’art et de design (1re année). Il s’agit d’amener chacun à être en capacité de se présenter aux concours d’entrée des écoles d’art publiques, à partir de leur motivation et de leur envie de mieux connaître l’univers de l’art et de la culture.

Ouverte à partir de 18 ans, sur dossier de candidature. Niveau d’études requis pour intégrer la formation : pratique artistique antérieure et intérêt pour le champ de l’art et du design
Inscription sur www.citedudesign.com à partir du 02/04/2024
Ouverture des inscriptions à partir du 02/04/2024
Date limite d’envoi du dossier avec un portfolio et une lettre de motivation le 12/06/2024
Annonce des résultats le 20/06/2024

Découvrez les points forts de cette formation

unités de recherche

Labo IRD (Images – Récits – Documents)

Ces trois termes délimitent le champ de la recherche au sein du Laboratoire Images_Récits_Documents. Le laboratoire ne spécifie pas un seul sujet de recherche, son intitulé exprime la volonté de traiter un champ pour en penser les frontières. La recherche s’élabore sur le dégagement de logiques entre les trois termes ; elle ne prétend pas épuiser les logiques et les problématiques d’image. Il s’agit pour le Laboratoire IRD d’évaluer et de comprendre les modalités de l’image dans son actuel rapport au réel selon les déterminations du récit comme champ de production d’une mise en scène narrative de la réalité et selon sa présentation objective (le document).
Le laboratoire IRD définit génériquement sa démarche de recherche par une pratique mise en théorie. La recherche interroge les processus et procédures d’image : le champ de recherche ouvert est celui de l’imagénéisation. La pratique n’est pas la résultante d’une théorie antérieure, elle est pensée en termes d’expérimentations successives permettant de produire des concepts. L’objet «image» se construit donc dans une approche où la pratique ne vient pas valider ou infirmer une condition hypothétique mais où elle est déjà une approche théorique de l’image qui conditionne les conditions de son apparition. La diffusion-édition est alors le lieu d’expérience où se détermine la validité des concepts.
Le rapport aux images concerne actuellement aussi bien l’Art que le Design. Les axes problématiques portent sur les déploiements sensibles visibles et visuels et ont pour objectif de comprendre la place des images dans le champ des pratiques. S’il s’agit de comprendre la redistribution de leurs productions et de leurs usages, c’est pour pouvoir également expérimenter de nouvelles techniques de production de l’image et comprendre comment elles se déterminent dans et par la représentation d’une idéologie. Ces questionnements servent donc à la construction d’images singulières et inédites intégrant la transformation de la relation des images aux autres pratiques de formulation et de formalisation du monde.
Référents du labo IRD : Kader Mokaddem, Jean-Claude Paillasson.

Labo LEM (Laboratoire d’expérimentations des modernités)

Depuis 1863, se sont succèdés comme modes de lecture historique et théorique de l’art, la modernité, les avant-gardes, le modernisme et la postmodernité. Et maintenant, où en sommes-nous ? Sommes-nous toujours modernes? Les avant-gardes ont-elles vraiment disparu ? Le modernisme est-il toujours de mise ? Sommes-nous toujours solubles dans le tout est dans tout postmoderne ? Ou, l’art contemporain a-t-il défini un nouveau mode qui lui serait spécifique ? Le laboratoire Modernité(s) se propose de faire le point sur quelques-unes des questions qui sont posées ici, non pour le simple plaisir de discuter sur le sexe des anges, mais pour essayer de repenser notre contemporanéité et ce qui s’y joue pour ses principaux acteurs, ceux que nous formons : les artistes.
Equipe du LEM : Karim Ghaddab, Denis Laget et Éric Suchère
Membres associés : Romain Mathieu, Fabrice Lauterjung, Philippe Roux

Le RANDOM (lab)

Le RANDOM (lab) du Pôle numérique de l’ESADSE est un espace de recherche consacré à l’expérimentation en art, design et nouveaux médias. Mis en place en 2011, il propose de tracer une voie singulière entre pratique et théorie. Outre un centre de ressource et un espace de travail permettant la réalisation de montages électroniques, le RANDOM (lab) met à disposition une « arduinothèque » constituée de plateformes de type arduino ainsi que d’extensions pouvant y être associées. Les étudiants peuvent ainsi avoir un contact direct et rapide avec ce genre d’interfaces afin de pouvoir passer, en un temps très court, de la conception au maquettage de projets incluant de l’électronique. Les étudiants associés aux RANDOM (lab) bénéficient également de l’ensemble des moyens logiciels (3D, 2D, etc.) et matériels (imprimante 3D, impression numérique…) du Pôle numérique afin de mener au mieux le volet technique de leurs projets.
Référents : Damien Baïs, François Brument, David-Olivier Lartigaud.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

éditions

Éditions Cité du design – Esadse

Azimuts – Design Art Recherche
Azimuts est une revue de recherche en design fondée en 1991 par les étudiants-chercheurs du post-diplôme de l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne. Publication unique dans le paysage éditorial du design, la revue constitue à la fois un lieu de réflexions, d’échanges et de critiques sur les enjeux du design contemporain et de l’art, ainsi qu’un terrain d’expérimentations et de recherches graphiques et typographiques.

La revue Azimuts recueille les points de vue de personnalités du monde du design, de la culture et de la recherche en général. Les numéros s’organisent autour de dossiers thématiques ayant trait au design et plus généralement à la culture matérielle ou à sa critique.

 

Occurrence – revue porteuse de projets pédagogiques menés par les étudiants de l’Esadse en lien avec des partenaires extérieurs à géométrie variable (acteurs culturels, collectivités territoriales, entreprises, etc.) À travers des expériences concrètes qui s’inscrivent dans un contexte professionnel, le projet éditorial de la revue propose un travail de synthèse, d’ouverture et de mise en valeur des réflexions partagées comme des objets réalisés pour mieux en rendre compte.

Occurrence #1 : Promenades domestiques
Occurrence #2: Travail sur l’identité graphique et visuelle de la Biennale (2015)
Occurrence #3 : l’Esadse dans la Biennale (2017)
Occurrence #4 : Aix les Bains Riviera des Alpes (oct. 2018)
Occurrence #5 : Échelles de regard urbains
Occurrence #6 : Stefania
Occurrence #7 : French Theory (juil. 2020)
Occurrence #8 : Assiégeons – Sculpture d’usage et objet performé (juil. 2020)

 

Catalogues d’expositions :

Archives 19 Catalogue de la Biennale Internationale Design Saint-Etienne 2019 (janv. 2020)
Objectiver (Collectif – sept. 2017) – explore, sous un angle design et prospectif, les enjeux des nouveaux outils de production numérique.
Working Promesse Catalogue de la Biennale Internationale Design Saint-Etienne 2017 (mars 2017)
Le Sens du Beau Catalogue de la Biennale Internationale Design Saint-Etienne 2015 (2015)
C’est pas mon genre !, catalogue de l’exposition [Musée des arts appliqués de Francfort du 20 octobre au 2 décembre 2012, et à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2013, du 14 au 31 mars 2013]
N+1, catalogue de l’exposition « N-1 » présentée lors de la Biennale Internationale Design Saint-Etienne
Catalogue, catalogue de l’exposition « Catalogue » réalisée avec et au Musée d’art moderne de Saint-Etienne Métropole
Who’s afraid of design?, catalogue de l’exposition Esadse présentée en 2009 à la Cité du design

Infos sur les éditions

éditions

Workshops et conférences
Pour élargir les perspectives, de nombreux artistes, graphistes, designers, chercheurs et alumni interviennent dans des formats divers : des rencontres, des conférences et un programme de workshops interdisciplinaires donnant souvent lieu à des restitutions publiques.

Concours et partenariats
La professionnalisation passe aussi par la participation des étudiants à des concours ou des partenariats. Cette démarche permet aux étudiants d’apprendre à répondre à un cahier des charges et à observer le travail de leurs pairs. L’Esadse organise notamment chaque année avec des mécènes la remise d’un prix art et d’un prix design pour ses diplômés.

Un environnement d’exception
Au cœur de la Cité du design et de la seule ville française membre du réseau des Villes créatives design UNESCO, l’Esadse est un établissement en connexion avec le territoire et ses acteurs, mais aussi avec des réseaux et projets internationaux d’envergure. L’école bénéficie des ressources de la Cité du design (espaces d’exposition, matériauthèque, etc.) et de la dynamique du quartier créatif stéphanois, qui accueillera en 2025 la Galerie nationale du design.

Suivre l’actualité de l’Esadse et de la Cité du design

 

Stages et réalisations en entreprises et institutions pendant le cursus
En savoir plus

coopération internationale

Relations internationales avec 65 écoles partenaires dont 43 en Europe et 22 hors Europe
Promotion de jeunes créateurs et stages à l’étranger
Plus d’informations

galerie

Exposition des diplômés dans la Platine, Cité du design
Pour chaque promotion de l’Esadse, les travaux des diplômés font l’objet d’une exposition inscrite dans la programmation de la Cité du design, dont la scénographie est confiée à un commissaire invité, ainsi que d’un catalogue.

La Bulle
est un espace qui permet aux visiteurs de la Cité du design de découvrir tout au long de l’année la nature multiple des travaux des étudiants et alumni de l’Esadse.

La Cabane du design
lieu d’expérimentation pour le jeune public, invite chaque année plusieurs étudiants ou alumni de l’Esadse à présenter une exposition temporaire.

 

La Biennale Internationale Design Saint-Étienne, une vitrine pour les étudiants
Porté par la Cité du design, cet événement reconnu internationalement est né en 1998 au sein de l’Esadse. Aujourd’hui encore, les étudiants sont un moteur essentiel de cette manifestation dans laquelle ils sont invités à s’impliquer largement, du commissariat d’exposition à la médiation. La 13e Biennale Internationale Design de Saint-Étienne se tiendra en 2025.

> S’abonner à la newsletter de l’Esadse-Cité du design

équipements spécifiques

L’Esade est une école où se fabriquent les projets : les ateliers occupent une place centrale à l’Esadse. Favorisant les passerelles entre l’art et le design, ils sont organisés en six pôles :
• édition,
• modélisation,
• numérique,
• photographie,
• vidéo/son.

Pôle édition : gravure sur presse, sérigraphie, lithographie, linogravure, offset, numérique grand format.
Juliette Fontaine, Nicolas Picq, Marie-Caroline Terenne

Pôle modélisation : forge, thermoformage, moulage, serrurerie, mécanique, menuiserie, ébénisterie.
Jean-Philippe Jullien, Marc Laganier, Bertrand Mathevet, Vincent Rivory

Pôle numérique : parc informatique Mac et PC, logiciels 3D, logiciels de mise en forme graphique, logiciels de création vectoriel, logiciels de traitement de l’image, scanners, imprimantes.
Jacques-Daniel Pillon, Samantha Zannoni

Pôle photographie et Pôle vidéo/son :
– Pôle photographie : prise de vue argentique, prise de vue numérique, petit, moyen et grand format, studio, laboratoires argentiques noir et blanc, impression numérique grand format.
– Pôle vidéo/son : unité de prise de vue numérique, plateau de tournage, montage numérique & analogique, studio son.
Sandrine Binoux, Alexandra Caunes, Anne-Sophie Seguin

réseaux

ANdEA, ADÉRA, ELIA, Cumulus, Art Accord France, Consortium design enseignement supérieur, Kodec.
Participation aux réseaux Erasmus-Socrates LLP, Pépinières européennes pour jeunes artistes.

Les écoles partenaires de l’Esadse

Des projets internationaux avec l’Esadse

équipe administrative

Eric Jourdan, directeur
Magali Coué, directrice des formations et des partenariats académiques
Alix Diaz, responsable administrative et financière
Caroline d’Auria, directrice des études
Julie Jacob Coeur , chargée de scolarité
Bérénice Barbier, chargée de scolarité
Delphine Dinardo, chargée de scolarité
Sandra Jacquier, responsable vie étudiante et recherche
Magali Théoleyre, responsable des relations extérieures et du développement Esadse
Séverine Palusci, assistante administrative
Marina Baudry, chargée de la mobilité internationale
Marie-Hélène Desestré, bibliothécaire / responsable de la médiathèque
Nathalie Pin, agent d’accueil et de prêt – Médiathèque
Adeline Barras, bibliothécaire

professeurs

Fedora Akimova
Pierre-Olivier Arnaud
Damien Baïs
Emmanuelle Becquemin
François Brument
Gabriel Conilh de Beyssac
Camille Corlieu-Maezaki
Denis Coueignoux
François Dingjian
Rodolphe Dogniaux
Sophie Dupré
Simone Fehlinger
Elen Gavillet
Karim Ghaddab
Grégory Granados
Laurent Grégori
Rémy Hysbergue
Molly Jacob
Denis Laget
David-Olivier Lartigaud
Fabrice Lauterjung
Stéphane Le Mercier
Michel Lepetitdidier
Christophe Marx
Julie Mathias
Romain Mathieu
Laurence Mauderli
Jérémie Nuel
Valérie Orgeret
Ernesto Oroza
Jean-Claude Paillasson
Émilie Perotto
Philippe Roux
Anouk Schoellkopf
Lucile Schrenzel
Marie-Aurore Stiker-Metral
Éric Suchère
Anthony Verot

coordonnées

3 rue Javelin Pagnon
42048 | Saint-Étienne Cedex 1
tél. +33 (0)4 77 47 88 00
fax +33 (0)4 77 47 88 01
infos@esadse.fr
Site Esadse

effectif

L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne accueille chaque année environ 400 étudiants.

Strasbourg

Haute école des arts du Rhin | site Strasbourg

présentation

La Haute école des arts du Rhin est l’école d’un fleuve, l’école d’un territoire, l’école d’une époque en ébullition. Elle accueille 750 étudiant·es dans des formations d’enseignement supérieur artistique, préparant à des diplômes Licence Master Doctorat en Art, Design, Communication et Musique, ceci dans 20 spécialités. La HEAR se déploie sur plusieurs sites, dans deux villes – héritant de l’histoire de l’école des Arts décoratifs et du Conservatoire de Musique à Strasbourg, et de celle de l’école des Beaux-Arts à Mulhouse.
La HEAR présente tout au long de l’année des événements ou expositions liés à la pédagogie – hors les murs, en Alsace, en France ou à l’étranger ou en ses locaux, notamment à La Chaufferie (galerie de l’école). Concerts des ensembles de la HEAR-Musique, workshops, conférences, colloques, festivals … l’agenda est nourri de multiples propositions, souvent hybrides, dans une dynamique d’échanges continus avec son biotope culturel. La HEAR se veut une école poreuse, ouverte et augmentée de ses multiples partenariats. La HEAR est également Centre de Formation des Plasticiens Intervenants.

options

Art
Communication

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Art mention objet
DNA  option Art mention scénographie
DNA  option Communication mention didactique visuelle
DNA  option Communication mention graphisme
DNA  option Communication mention illustration
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention objet
DNSEP  option Art mention scénographie
DNSEP  option Communication mention didactique visuelle
DNSEP  option Communication mention graphisme
DNSEP  option Communication mention illustration
Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI) 

formation continue

Centre de formation des plasticiens intervenants, HEAR

Espace de réflexion, d’expérimentation et d’échange de savoirs, la Haute école des arts du Rhin (HEAR) est l’un des Centres de formation des plasticiens intervenants labellisés par le ministère de la Culture et de la Communication. Son objectif est d’apporter une formation complémentaire à la pratique artistique, fondée sur l’acquisition de compétences didactiques et de capacités réflexives appliquées à la création contemporaine.Dispensée à Strasbourg, la formation de 280 heures s’entend comme une préparation à intervenir, sur la base d’une expérience pratique singulière, auprès de publics diversifiés en milieu scolaire, périscolaire, carcéral, hospitalier, associatif, service culturel…

PublicLe CFPI réunit des stagiaires d’origines diverses : jeunes diplômés, artistes professionnels, intervenants, assistants d’enseignement, etc. Depuis sa mise en place, plus d’une centaine d’artistes, de France et des pays limitrophes, ont suivi cette formation.

Comment s’inscrire ?La période d’inscription s’ouvre chaque année début avril et se termine début juin, pour une rentrée en septembre. La pré-sélection s’effectue sur dossier suivi éventuellement d’un entretien avec un jury.

Plus d’informationswww.hear.fr/cfpi – cfpi@hear.fr – +33 (0)3 69 06 37 68

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

Programme annuel de formations de la HEAR

Des formations pour les artistes et professionnels de la création

Plasticiens, curateurs, architectes, designers, musiciens, performeurs, chorégraphes, metteurs en scène ou compositeurs : les formations courtes – de 3 à 5 jours – proposées par la Haute école des arts du Rhin (HEAR), à Mulhouse et Strasbourg, vous permettent de confronter votre travail à d’autres pratiques et d’autres territoires.
Les formations professionnelles de la HEAR s’articulent entre pratique et théorie dans le champ élargi de la création contemporaine : de l’édition en art à l’univers open source en passant par la mobilité internationale, la pratique du dessin, la création sonore ou le motion design.

Ces formations font intervenir une soixantaine d’artistes, philosophes, juristes, architectes, sociologues et personnalités du milieu de la création contemporaine. Elles donnent l’opportunité aux artistes de poursuivre leur processus de formation tout au long de leur parcours professionnel.

Programme complet disponible sur : http://www.hear.fr/formation-continue/programme-annuel/

unités de recherche

Communication visuelle

La Haute école des arts du Rhin porte en 2013 – 2014 une unité de recherche, Communication visuelle, à laquelle sont adossés deux programmes de recherche (Didactique tangible et De traits et d’esprit).
Issue des longues traditions de la gravure et du livre imprimé dans le Rhin supérieur et d’une école d’arts appliqués créée en 1892, l’option Communication de la Haute école des arts du Rhin s’est structurée autour de trois ateliers développant des objets originaux et partageant la même pédagogie : Communication graphique, Illustration et Didactique visuelle. Les grands axes de recherche de l’option s’articulent autour des évolutions comme des reformulations des pratiques de lecture. La communication visuelle est peu investiguée, mal théorisée, délaissée par les grands courants de la pensée visuelle contemporaine au sein des écoles d’art. Ce qui a pour finalité d’engendrer une situation insensée ; nos sociétés produisent de plus en plus d’images mais nous sommes devenus, pour la plupart, incapables de lire convenablement le monde de signes graphiques qui nous entoure.

programmes de recherche

De traits et d’esprit

Ce programme étudie l’actualité et l’histoire de l’illustration en cernant ses enjeux présents et futurs à partir des étapes de son évolution et des défis conceptuels auxquels elle a été confrontée depuis ses origines. Le laboratoire est également impliqué dans la production contemporaine en induisant des enseignements et des expériences graphiques spécifiques.
Coordination : Olivier DELOIGNON

Didactique tangible – Convergences et interactions entre arts et sciences

Impliquant des partenaires français et étrangers, Didactique tangible concerne l’étude des convergences et des interactions entre arts et sciences. Il interroge les dispositifs didactiques depuis l’Antiquité classique jusqu’à l’époque contemporaine à travers l’étude des différents médiums et des possibilités offertes par chacun d’eux pour la transmission du savoir par l’image. Il revendique aussi la dimension appliquée et expérimentale d’une recherche menée avec des créateurs, praticiens du domaine d’étude.
Coordination : Olivier PONCER
http://didactiquetangible.hear.fr

Espaces sonores

Espaces sonores réunit les équipes dédiées aux arts sonores des trois sites de la HEAR accompagnées de l’équipe Art – La Fabrique. Il étudie notamment les rapports entre son et espace dans leurs dimensions artistique, culturelle et sociale.

Faire-Mondes

Faire-Mondes est une unité de recherche portée par l’option Art. Elle s’organise autour de trois axes : Pratiques artistiques et urbanités contemporaines Play>Urban (mention Scénographie), Écologie des récits visuels à l’ère globale (Art, groupe pédagogique No Name) et Biographie sociale des objets (mention Art-Objet).

éditions

Catalogues des expositions, livres d’artistes, catalogue annuel des diplômes, actes des colloques, conférences (collection Confer), estampes et affiches.

éditions

Colloques, conférences, workshops, cycles de projection vidéo, expositions, voyages d’études. De nombreux intervenants extérieurs et artistes en résidence. Expositions des DNSEP/Master le dernier week-end de juin.

activité post- ou périscolaire

Cours de dessin, couleur, dessin du corps humain, volume, photographie, gravure, vidéo, illustration. Cours d’initiation plastique, dessin du corps humain, couleur.

coopération internationale

Séjours d’études à l’étranger
La HEAR a des accords avec quelque 100 écoles étrangères. Les échanges sont ouverts aux étudiants en Année 4.

Stages à l’étranger
S’ils doivent avoir prioritairement lieu lors de l’Année 4, les stages sont également possibles tout au long du cursus pendant l’été.

galerie

La Chaufferie, galerie d’exposition de la Haute école des arts du Rhin (8 expositions annuelles en art contemporain).
Voir des photos des expositions de l’école.

équipements spécifiques

Ateliers bijou, bois, terre, livre, métal, textile, verre, volume, médias électroniques (numérique et vidéo), impression numérique, photographie, cinéma d’animation, gravure, lithographie, sérigraphie, typo/reprographie.

réseaux

Alsace Tech, ANdEA, Anescas, Association européenne des conservatoires, académies de musique et Musikhochschulen, Cumulus, Elia, Versant Est réseau art contemporain Alsace

équipe administrative

Stéphane Sauzedde Directeur de l’établissement
Christine Ritzenthaler Directrice des études d’arts plastiques
Marc Ruhlmann Administrateur général
Lucile Favet Responsable Scolarité et mobilité internationale Strasbourg
Josy Coutret Responsable Communication et développement
Virginie Ferraz Responsable Finances et commande publique
Muriel Boulier Responsable Médiathèque
Sarah Jacob-Schoch Responsable Technique et Prévention

professeurs

Yvan Alagbé
Nadine Bahi
Anne Bertrand
André Bihler
Mathieu Boisadan
Camille Bonnefoi
Cyrille Bret
Emmanuelle Castellan
Fabrice Cazenave
Guillaume Chauchat
Vincent Chevillon
Marie-Jo Daloz
Alexandra David
Alain Della Negra
Olivier Deloignon
Kevin Donnot
François Duconseille
Louise Duneton
Nicolas Fourgeaud
Samuel François
Alexandre Früh
Aurélie Gasche
Claude Gretillat
Joseph Griesmar / Béhé
Sophie Hanagarth
Sandrine Israël-Jost
Didier Kiefer
Ju-Young Kim
Yeung Kyung Kim
Franck Knoery
Anne Laforet
Stéphane Lallemand
Jean-Christophe Lanquetin
Oh Eun Lee
Florence Lehmnann
Elena-Laura Lemaitre
Isabelle Le Minh
Philippe Lepeut
Konrad Loder
Claire Malrieux
Joachim Montessuis
Olivier-Marc Nadel
Eloïsa Pérez
Olivier Poncer
Lidwine Prolonge
Salomé Risler
Francisco Ruiz de Infante
Jérôme Saint-Loubert Bié
Marie-Luce Schaller
Gérard Starck
Nina Strottup Larsen
Jérôme Thomas
Clémence van Lunen
Clotilde Viannay
Thomas Voltzenlogel
Pierre-André Weitz

coordonnées

1 rue de l’Académie
CS 10032
67082 | Strasbourg cedex
tél. +33 (0)3 69 06 37 77
fax +33 (0)3 69 06 37 61
communication@hear.fr
www.hear.fr
facebook.com/hear.fr
https://www.instagram.com/hear.fr/

effectif

430 étudiants

Tarbes

École supérieure d’art et de design des Pyrénées – site de Tarbes

présentation

L’École supérieure d’art et de design des Pyrénées propose des formations professionnalisantes reconnues dans le réseau européen de l’enseignement supérieur. Au pied des Pyrénées et proche de la côte Atlantique, l’école offre un cadre d’études exceptionnel et profite des campus des universités à Pau (12 500 étudiants) et Tarbes (6 000 étudiants).

À Pau
La formation design graphique multimédia ouvre la voie vers les métiers de l’image dans l’édition, l’art, la presse, le multimédia, la publicité, la communication institutionnelle, internet, les jeux vidéo, le motion design, la typographie, les aménagements urbains, la signalétique…

À Tarbes
La formation art céramique assure une insertion dans les domaines liés au champ culturel, aux métiers relatifs à l’industrie de la céramique, au monde de l’art et du design.

Création et innovation sont les maîtres mots de ces formations qui ouvrent à un très grand nombre de métiers, pour certains encore à inventer, et les croisements possibles entre différents champs disciplinaires sont vécus comme une richesse.
L’école met en place des outils permettant à ses étudiants de cultiver une distance critique dans le cadre de leur futur métier et d’envisager des approches nouvelles des enjeux théoriques, esthétiques et culturels de leur discipline. Il s’agit, tout en étant de plain-pied dans le champ de la recherche en art et en design, d’établir et de renforcer des liens avec d’autres secteurs de la recherche et des sciences en général.

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2/2

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art

unités de recherche

L’observatoire

L’Observatoire est l’unité de recherche de l’ÉSAD Pyrénées
L’unité de recherche l’Observatoire a été conçue pour fournir la structure intellectuelle, fonctionnelle et matérielle des programmes de recherche actuels à l’école, en art et en design. Elle assure également leur développement cohérent et relève leurs besoins. Elle accompagne leur rayonnement du niveau local au niveau international. Elle rend compte de l’exploration de diverses formes et méthodologies considérant notamment les liens entre création et théorie, entre art, design et sciences sociales. Elle encourage aussi la production d’œuvres et d’images, dans tous les formats et médias, et donne donc de la visibilité aux projets personnels des futurs artistes et designers diplômés.

En savoir plus sur l’Observatoire et découvrir nos programmes de recherche.

Coordinatrice artistique ou scientifique :
Lucia Sagradini, docteur et coordinatrice de recherche, ÉSAD Pyrénées à Tarbes, Jardin Massey, Place Henri Borde, 65000 Tarbes

éditions

éditions

– Journée portes ouvertes le dernier samedi de janvier.

– Événements ouverts à tous tout au long de l’année :  projections, conférences, performances, expositions : consultez ici l’agenda de l’ÉSAD Pyrénées.

– Partenariats avec les acteurs culturels locaux (comme le Bel Ordinaire, espace d’art contemporain de la communauté d’agglomération Pau – Pyrénées, le Parvis-centre d’art contemporain de Tarbes-Ibos, avec le FRAC collection Aquitaine, l’association Image-Imatge, l’association Accès(s)s de création contemporaine, l’Espace Pluriels-scène conventionnée danse-théâtre…) et les acteurs institutionnels et économiques du territoire : en savoir plus ici.

– Voyages et expositions réguliers dans le cadre des études et des programmes de recherche.

activité post- ou périscolaire

Ateliers et cours publics pour les enfants, les adolescents et les adultes, sur les sites de Pau et Tarbes.

coopération internationale

L’École supérieure d’art et de design des Pyrénées est naturellement tournée vers la péninsule Ibérique. De nombreux échanges d’étudiants et de professeurs sont issus de cette proximité. Cependant, des liens tissés avec d’autres pays viennent enrichir l’offre pédagogique. L’école élargit chaque année son envergure internationale en développant de nombreux partenariats avec des écoles d’art et des institutions étrangères.

ERASMUS
L’ÉSAD Pyrénées est titulaire de la charte Erasmus+ qui permet aux étudiants de 4e année d’effectuer au moins un semestre d’études dans une autre école supérieure d’art et design européenne et aux étudiants étrangers d’être accueillis à l’ÉSAD Pyrénées.

En savoir plus sur les relations internationales à l’ÉSAD Pyrénées.

équipements spécifiques

À Tarbes

Le site de Tarbes se trouve au cœur du centre ville, à l’entrée du jardin Massey, parc paysager de 11ha du milieu du XIXe siècle classé Jardin remarquable. La villa qui abrite l’école offre 1900 m² d’espace : ateliers, ateliers techniques et céramique, espace cafétéria et repos, bureaux.

Chaque promotion a un atelier dédié. La spécificité du site de Tarbes est son atelier céramique, organisé en 3 salles. Le site bénéficie également d’ateliers techniques (PAO, construction, photo).

En savoir plus sur les locaux et équipements de l’école.

réseaux

équipe administrative

Jean-François Dumont Directeur général
Magali Chavagneux Directrice administrative et financière
Charlène Carmouze Directrice pédagogique
Camille Bidau Responsable des relations internationales et communication
Johanna Malin Agent comptable pédagogique / Chargée des relations internationales
Julie Prieu Secrétariat pédagogique et assistante communication
Pauline Abadie Bibliothèque
Guy Martinez Technicien Infographie
Frédéric Beuhorry Adjoint technique multi-matériaux
Fabien Gouachon Adjoint technique en céramique
Marjorie Thébault Assistante en céramique
Patricia Marti-Noguere Agent technique

professeurs

François Cortès
Camille Fallet
Philippe Fangeaux
Jim Fauvet
Elsa Mazeau
Guillaume Poulain
Lucia Sagradini
Claire-Marie Tordeux
Juliette Valéry

coordonnées

à Tarbes :
Jardin Massey – Place Henri Borde
65000 Tarbes
tél. +33 (0)5 62 93 10 31
tarbes@esad-pyrenees.fr
www.esad-pyrenees.fr

effectif

261 étudiants en 2023-2024
– 162 étudiants sur le site de Pau
– 99 étudiants sur le site de Tarbes

Toulon

École supérieure d’art et de design Toulon Provence Méditerranée

présentation

L’ESADTPM est un Etablissement Public de Coopération Culturelle cofondée en 2011 par la Métropole Toulon Provence Méditerranée, le Département du Var et l’Etat, pour prendre la suite de l’Ecole municipale des Beaux-Arts crée en 1899 par la ville de Toulon et le ministère l’Instruction publique et des Beaux-Arts de l’époque.

Nous décernons trois diplômes en propre : le Diplôme National d’Art option Art, et le Diplôme National d’Art option Design, l’un et l’autre homologués au grade de licence, le Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique option Art, homologué au grade de Master.

Le partenariat renforcé avec l’Université de Toulon porte sur la vie étudiante, les projets coréalisés avec l’UFR Ingémédia, ainsi que le cofinancement d’un programme de recherche « Paysages en mouvement » traitant de l’évolution des paysages en lien à la crise climatique et à l’impact direct de l’activité humaine.

L’ESADTPM est aussi membre fondatrice de l’association Ecole(s) du Sud, réunissant huit établissements publics d’enseignement supérieur artistique : l’Ecole supérieur d’art d’Aix-en-Provence, l’Ecole supérieur d’art d’Avignon, l’Ecole nationale supérieure de la photographie à Arles, l’Ecoles supérieure d’art et de design Marseille-Méditerranée, le Pavillon Bosio – Ecole supérieure d’arts plastiques de la ville de Monaco, la Villa Arson – Ecole nationale supérieure d’art à Nice, et l’Ecole supérieure des beaux-arts de Nîmes. Ce réseau organise chaque automne une semaine de workshops communs permettant la mobilité des étudiants entre chacune des écoles, un séminaire annuel réunissant les communautés étudiantes, enseignantes et administratives autour de problématiques liées à la vie étudiante ou à la pédagogie, et enfin a mis en place en 2022 un programme d’accompagnement international autour du bassin méditerranéen de nos diplômés, intitulé Miramar. L’ESADTPM est membre de l’Association Nationale Des Ecoles d’Art et de design (ANDEA).

L’école est aussi partenaire d’un certain nombre de lieux culturels offrant à nos étudiants de 1er et 2e cycle, à travers des stages ou des projets, de découvrir le monde professionnel pour les aider à mieux s’y insérer : Villa Noailles, Hôtel des Arts, Villa Tamaris, Scène national Chateauvallon-Liberté, centre d’art Metaxu, Fondation Carmignac …

L’ESADTPM a imaginé et mis en place un accompagnement à la professionnalisation des étudiants et des diplômés, intitulé Plateau 10, et structuré par quatre actions majeures : 1- les rencontres et ateliers avec des professionnels, 2- des résidences spécifiquement dédiées à nos diplômés dans des lieux de la région, 3 – un accès de nos diplômés aux ateliers techniques pour la production de leurs œuvres, 4 – un programme d’expositions individuelles des diplômés et une exposition collective un an après leur sortie.

Enfin, l’ESADTPM dispose, depuis son emménagement dans ses nouveaux locaux d’un ensemble exceptionnel d’ateliers techniques, allant de la ferronnerie et menuiserie à l’atelier terre-céramique, en passant par la lithographie, la gravure, la sérigraphie, un pôle numérique et son, un laboratoire photo argentique, un atelier de reliure (à compléter). Les étudiants sont réunis pas année d’étude sur des plateaux de près de 300m2 chacun, et bénéficient de différents espaces d’accrochage modulable au sein du bâtiment.

L’objectif de nos formations est d’accompagner chaque étudiant par des professionnels, artistes, designers, scénographes, écrivains, auteurs, et des théoriciens universitaires, afin de penser et construire, en trois ans pour le 1er cycle et cinq ans pour le 2e cycle, leur projet personnel et professionnel. La pédagogie est orientée de manière à leur permettre d’acquérir les connaissances techniques et théoriques indispensables à la création contemporaine, d’acquérir une polyvalence technique et conceptuelle, une capacité d’adaptation au monde réel et à l’évolution de notre société, afin d’inventer leur métier et leur avenir.

 

Visite virtuelle interactive de l’école : ICI

reportage sur l’ésadtpm : L’ésadtpm au cœur du projet Chalucet – Toulon

 

 

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options

Art
Design

diplômes

DNA option Art
DNA option Design
DNSEP option Art

programmes de recherche

Bureau des PaySAGEs en Mouvement
Ce projet est porté par l’Université de Toulon et l’Ecole Supérieure d’Art et de Design Toulon Provence Méditerranée. Il s’inscrit dans la continuité et le développement des enjeux problématiques et de l’expérience vécue par l’ARC LATITUDE 43 à l’ESAD-TPM de 2018 à 2020, Atelier de Recherche et de Création inscrit dans deux programmes régionaux :

– Des Marches, Démarches du FRAC PACA (2018-2020) : mise en réseau multi-acteurs ayant pour but de partager une vision commune, d’impulser, d’accompagner et de fédérer des initiatives : expositions, installations, performances, workshop, résidences, événements… mais aussi de souligner la capacité de concertation des acteurs de terrain, de valoriser la richesse de leurs propositions artistiques, de construire un nouvel imaginaire territorial et de nouvelles circulations dans une notion dynamique de paysage.

-AMENINDEX, projet de recherche régional développé depuis 2018, à l’Université de Toulon, Pôle Echanges et Sociétés ESMED, Laboratoire BABEL: Son objectif, proposer un inventaire des aménités en région Sud-Paca, des parcours, une valorisation d’itinéraires culturels, la constitution d’un corpus d’oeuvres, de lieux et de parcours d’artistes (Maisons d’écrivains et des patrimoines littéraires, chemins des peintres, jardins remarquables…)

Il est issu d’une collaboration transversale entre enseignants, artistes et théoriciens de l’ESAD-TPM, de l’Université de Toulon, Laboratoire Babel, de l’ENSP Versailles Marseille, de l’ESAA d’Avignon, de l’Université de Paris I, de l’Université de Cergy-Pontoise entre autres.

Le projet :

Quels scénarii sont possibles pour tisser des liens entre terre et mer, entre les différents « mondes » du vivant ? Quelles narrations spéculatives, quelles fictions transmédia pourraient investir le champ de la recherche et de la recherche-action pour envisager et créer de nouveaux concepts de coexistence, d’interaction et de collaboration, de cohabitation, de biocoenosis ou biocénose ?

Nos communautés d’êtres vivants terrestres, marins et aériens, végétaux et animaux, partagent des espaces écologiques aujourd’hui fragilisés par les changements climatiques et les actions de l’homme. Ces écosystèmes, entre producteurs de ressources, consommateurs et décomposeurs, constituent la fabrique dynamique de paysages en mouvements.

Cette recherche interdisciplinaire propose d’envisager la mise en oeuvre de nouvelles méthodologies et concepts à la croisée du sensible, de l’art et de l’écologie. Ce projet explore les frontières, frictions et tensions entre conservation, restauration et création, impliquant une réflexion partagée avec les acteurs vivant sur des territoires sensibles ou résilients, entre espaces habités, mer et forêts, forêts et jardins, terrestres ou sous-marins.

La lenteur de nos décisions, les peurs, la conservation des habitudes de consommations et des biens acquis, deviennent de moins en moins compréhensibles au regard des crises écologiques, des transformations des milieux, des états de santé des humains et non-humains entrelacés. Derrière les politiques engagées, nos visions d’avenirs possibles sont perceptibles en creux comme palimpsestes. Comment s’entendre sur des objectifs différents voire contradictoires pour un monde en commun ? Le besoin de nouveaux imaginaires est de plus en plus flagrant : les scénarii du futur construits autour de la notion de progrès, pour un retour à la bougie, ou du business as usual … sont obsolètes et appellent un renouveau dans notre façon de penser, une mise en mouvement de nos repères, modèles. L’artiste, sa sensibilité au monde vivant, sa capacité d’imagination et de création interroge la vie politique, sociale, économique, pour bouger d’un saut nos valeurs et nos visions. Il s’agit d’hybrider, de fertiliser nos imaginaires pour construire des espaces de débat sur d’autres registres que des approches analytiques, dualistes du monde. De ces débats pourront naître de nouvelles visions.

Au regard de nos connaissances et de notre Histoire artistique et culturelle du vivant nous pouvons ainsi nous interroger en nous appuyant sur nos histoires et perceptions singulières :

Quelles hybridités émergentes apparaissent en cette période de transition ?

Quels phénomènes percevons-nous ?

Quelles étrangetés nous interrogent et remettent en question nos points de vue et modèles ? Quels enjeux sont posés par les notions de patrimoine culturel et naturel, matériel et immatériel aujourd’hui ?

L’objet de cette mise en réseau réflexive et artistique a pour champs d’exploration et de recherche :

– Interroger, décloisonner et relier les différents récits de science-fiction, anticipation, d’écofiction, fiction design, de narration spéculative au sein des diverses disciplines artistiques, enquêtes et spéculations scientifiques ;

– Analyser et partager les différents lexiques, registres, outils et méthodologies prospectives du monde de l’art, la littérature à celui des sciences humaines, sciences cognitives et sciences dures ; questionner les notions de conservation, de restauration, de création, d’instauration et de résilience en arts et en écologie.

– Participer à la constitution d’un corpus d’artistes, d’auteurs et théoriciens, d’oeuvres, d’écrits, d’expériences permettant de définir quels imaginaires, quels nouveaux concepts traversent la pensée contemporaine pour envisager les futurs scénarii de coexistence du vivant, de biocénose, hybridation, biomorphisme, bio-art, humanimalisme, naturalisme intégral, éco-sophisme…

– Générer une mise en pratique de ces concepts et de cette méthodologie transverse élaborée en latéralités par une production artistique et réflexive, faisant émerger de nouveaux formats, des modalités inédites et innovantes d’enquêtes, de restitution de la recherche artistique, singulière ou plurielle donnant forme aux projections multiples générées la transition écologique.

Des aventures verniennes à Ecotopia, des utopies/dystopies orwelliennes à Bruno Latour, de Mary Shelley à Donna Haraway, ce programme propose de croiser disciplines et regards sur la fabrique dynamique du vivant, des paysages, des écosystèmes : il a pour objectif la syntonisation, la rencontre de pratiques plastiques et paysagères, dans les domaines de l’art et du design, des pratiques littéraires et récits transmédia avec des démarches théoriques et scientifiques.

Le projet PaySAGE, transdisciplinaire, est conçu pour se développer sur deux ans.

Pour l’année 2020-2021, le calendrier prévisionnel s’établit comme suit autour d’échanges et de rencontres entre les différents partenaires articulé autour de quatre types de dispositifs :

– Des conférences et journées d’études

– Des journées immersives

– Des workshops

– Des expositions

Membres de l’équipe de recherche, artistes, auteurs et théoriciens, étudiants en Master et Post-Master sont invités à participer à l’ensemble des propositions selon leurs disponibilités, en réel ou en virtuel lorsque les conditions techniques le permettent.

Conférences et/ou Visioconférences : rythme mensuel

17 novembre : Charlotte Michel, chercheur-ingénieur sciences-sociologie : Prospective avec les habitants d’une île : Porquerolles à l’horizon 2050. Enjeux d’avenir et écriture de scénarii.

14 Janvier : Jean-Paul Thibeau, méta-artiste, coordinateur des Protocoles Méta, des méta-ateliers et des méta-skholé : Restauration de la perception.

Mars : Laure Lévêque, professeur de littérature, Laboratoire Babel, Université de Toulon, Les Voyages en France de Stendhal : questionner la prétendue objectivité du regard, et la notion même de regard, complètement subordonnée à la vision. Ce qui permet de dégager une typologie des morphèmes paysagers (montagnes / plaines, paysages du sud / paysages du Nord…) qui appartient davantage à la géographie humaine – historique, celle qu’à la même époque on retrouve dans le Tableau de la France de Michelet – qu’à la géographie physique ».

Avril : Joëlle Zask, philosophe AMU, Spécialiste de John Dewey et de philosophie sociale : Zoocities, Des animaux sauvages dans la ville.

Mai/Juin : Sylvie Brodziak, professeur de littérature, Laboratoire Agora, Université de Cergy-Pontoise : Sciences humaines et crise climatique, problématique de l’eau, de l’insularité, des frontières de l’eau, déconstruire les grands mythes.

Journées d’études :

Octobre-Novembre 2021 : 2 journées d’études organisées par l’Université de Toulon et l’ESAD-TPM.

Journées immersives : rythme bimensuel

Ces journées collégiales et transversales proposent l’immersion dans une démarche, une/des œuvres, un patrimoine.

Janvier/Février : Journée 1 :  » Pèlerinage au Musée-Pierre-de-Luxembourg à Villeneuve-lez-Avignon : une ambulation immersive dans le paysage d’un tableau d’initiation cosmogonique du XVème siècle » Marc Maire, ESAA Avignon.

Mars/Avril : Journée 2 : « Parcours d’artistes » à Porquerolles, randonnée expérimentale, entre paysages réels et paysages fictionnés, Valérie Michel-Fauré, ESAD-TPM et Laboratoire Babel, Université de Toulon.

Mai/Juin : Journée 3 : « Conte immersif », Opéra de Toulon, déambulation dans les « paysages » de l’Opéra, Olivia Papini CNAM (tableaux, peintures décoratives, espaces scéniques…)

Workshop / Exposition / Performance :

Du 15 au 19 mars : workshop Mobilis in mobile au Domaine du Rayol Canadel, Rémi Duthoit ENSP et duo artiste/paysagiste Les Eoliens avec le plasticien Franck Feurté. Projets réalisés par les étudiants en Master et post-Master des écoles supérieures d’art et du paysage, répartis en plusieurs équipes, accompagnés des membres de l’équipe de recherche et d’artistes invités.

Du 29 mars au 2 avril : workshop Porquerolles Cap 2050 sur l’île de Porquerolles, workshop expérimenté par les étudiants en L3 Design et L3 Arts du Cirque, encadrés par Valérie Michel-Fauré et l’équipe d’enseignants de l’unité Design de l’ESAD-TPM, Aurélie Vincq de l’ESACTO’LIDO. Les membres de l’équipe de recherche et étudiants en Master et post-Master des écoles supérieures d’art et du paysage construiront un récit d’expérience sur la rencontre entre les habitants et acteurs de l’île et du PNPC. Les étudiants qui seront en processus de création d’un évènement-parcours éphémère qui se déroulera les 1er et 2 avril mettront en lien les différents paysages, espaces de l’île (Plages, forêts, jardins…). Un travail documentaire et fictionnel, réalisé par les étudiants du MMI, encadré par Karim Adouane, responsable de la licence pro CVCA, accompagnera cette démarche.

Juin 2021 : Festival du Land art Mobilis in mobile. Vernissage-Rencontre au Domaine du Rayol Canadel, avec l’ensemble de l’équipe du programme de recherche PaySAGE, chercheurs, artistes, étudiants et diplômés. Cet évènement sera accompagné d’une performance de Pascale Weber, duo Hantu, projet « Comme l’herbe pousse », résilience/nature.

Ce vernissage coïncide avec l’évènement « Rendez-vous aux jardins » 2021, qui se tiendra les 4,5 et 6 juin 2021 et dont le thème est « La transmission des savoirs ». L’exposition durera de juin à octobre 2021.

Résultats attendus, rayonnement, ancrage territorial, transversalité

Lien avec les stratégies des collectivités – caractère innovant de l’opération sur le territoire

Parmi les résultats attendus, il est prévu que l’ensemble des travaux et recherches menés dans le cadre du projet PaySAGE fasse l’objet de publications dont l’édition scientifique sera assurée par les chercheurs de l’UTLN, l’ESAD-TPM et leurs partenaires dès 2021.

Deux types de collections sont envisagées :

PaySAGE : Bureau des Paysages en mouvements : Revue annuelle papier et transmédia (synthèse de l’activité annuelle)

PaySAGE : Ecostudies/Ecostories[1] (conférences, journées d’études, articles de recherche, écrits d’auteurs et d’artistes, essais, entretiens, catalogues d’exposition,…) Editions spécifiques pour chaque dispositif.

Une édition de synthèse des deux années est également envisagée.

Le projet PaySAGE compte s’inscrire sur la durée et en transversalité avec les partenaires institutionnels, acteurs et chercheurs, entrepreneurs et habitants, tous ceux qui vivent et partagent ce territoire régional. Les questions patrimoniales et environnementales ainsi mises en discussions lors des conférences, journées, expositions et rencontres sont ouvertes à tous les publics.

Il s’agira de décloisonner et relier les narrations spéculatives et réelles.

De mettre en partage les outils et méthodologies prospectives du monde de l’art, de la littérature avec celui des sciences pour en dégager les potentiels écopoétiques.

De construire et organiser un maillage d’artistes, d’auteurs et théoriciens, d’oeuvres, d’écrits, d’expériences permettant de définir quels imaginaires, quels nouveaux concepts traversent la pensée contemporaine pour envisager les futurs scénarii de coexistence du vivant.

De générer une mise en pratique de ces concepts et de cette méthodologie transverse élaborée en latéralités par un rayonnement de la communauté académique de l’UTLN. Cette production de modalités inédites et innovantes d’enquêtes, de restitution de la recherche artistique, a pour objectif de valoriser la place de la recherche universitaire dans la circulation des connaissances, la mise en valeur des patrimoines naturels, culturels matériels et immatériels, l’invention de dispositifs alternatifs entre sciences et arts, accroissant la visibilité de notre université et de la Région PACA à l’international dans l’anticipation des enjeux environnementaux ainsi questionnés et l’écriture collaborative et créative de scénarii futurs.

Valérie Michel-Fauré coordination artistique/ scientifique

[1] Ecostudies : étude critique de la « nature », corpus d’œuvres littéraires analysant la notion de nature, ses constructions culturelles et symboliques à travers l’histoire. Pour exemple, la série d’ouvrage Early Modern Cultural Studies 1500-1700, en 37 volumes, 2001-2019 : I.Kamps, K.Raber, Thomas Hallock, Early Modern Ecostudies : From the Florentine Codex to Shakespeare, éditions Palgrave Macmillan, 2016.

Ecostories : « histoires écologiques » racontées notamment dans le champ de l’écodesign, du slow design du fiction design ou design spéculatif, ou encore design critique, explorant les implications d’évolutions futures probables, possibles ou complètement spéculatives.

éditions

2008 : Contribution à « Global Paranoïa » – Palais de Tokyo
2012 : « La culture c’est la règle, l’art c’est l’exception » en collaboration avec l’Université Paris X – Nanterre – éditions de l’Harmattan
2013 : « Mappamundi, Art and cartography » contribution à Ulysse Project avec le FRAC PACA (Marseille-Provence 2013 Capitale européenne de la culture)
2014 : « des Objectivistes au Black Mountain College » – éditions de la Nerthe
2018 :  » Esthétique de l’enquête »
2018 : « Le spectateur aveugle » un journal contre la cécité acquise – Vittorio Santoro

éditions

Colloques, journées d’études, conférences

Grand Hall, galerie des balcons et la Galerie de l’école
Expositions collectives des diplômés DNSEP art de l’école, artistes en résidence, jeunes artistes…

Retrouvez toute la programmation de l’ESADTPM sur son site Internet : www.esadtpm.fr

activité post- ou périscolaire

 

Ateliers des Beaux Arts pour enfants et pour adultes.

Outre sa mission en matière d’enseignement supérieur, l’ESADTPM met à disposition du public des ateliers de pratiques amateurs en Peinture, Reliure, Dessin, Dessin modèle vivant, Gravure, Terre céramique, Photographie numérique, Sculpture volume, Histoire de l’art, Sérigraphie, Lithographie et en Arts Plastiques pour les périscolaire.

coopération internationale

Grâce au programme ERASMUS +, les étudiants et les enseignants peuvent percevoir une aide pour la durée de leur séjour dans un établissement conventionné. Cette démarche permet ainsi, d’élargir leurs horizons culturels et leurs connaissances.

Un contrat pédagogique est alors mis en place entre l’étudiant(e), l’établissement d’origine et celui d’accueil.

L’école est en contact avec des établissements dans toute l’Europe et repense ses partenariats à l’aube de la Charte Erasmus+ 2021-2027. L’établissement prospecte et poursuit ses efforts d’internationalisation pour s’ouvrir aux routes du monde : Toulon est un port qui s’ouvre sur la Méditerranée, et Toulon est une ville posée entre la mer et la montagne. Il est impératif de repenser la géographie des routes maritimes et terrestres, des dialogues et des espaces ouverts à l’aune de l’histoire contemporaine et de l’évolution de nos sociétés : l’objectif est d’une part de réactiver en priorité les liens vers les pays européens de la Méditerranée : Espagne, Italie, Slovénie, Croatie, Grèce ; d’autre part, de regarder au-delà des montagnes, vers l’Allemagne et l’Europe centrale afin d’équilibrer les échanges et travailler au nécessaire rapprochement de l’Est et de l’Ouest de l’Europe. Enfin, Toulon, port du Levant dans l’histoire moderne conduit l’établissement à retracer et repenser les routes maritimes hors de l’Union Européenne, vers la rive sud ou orientale de Méditerranée, voisins immédiats, et au-delà, vers les pays du Golfe Persique, Qatar et Emirats Arabes Unis en particulier, vers Singapour, la Chine déjà partenaire, ou la Corée du Sud, pays d’origine d’une petite communauté d’étudiants chaque année.

Allemagne

Stuttgart State Academy of Art and Design (https://www.abk-stuttgart.de/)

Hochschule Mannheim (https//www.hs-mannheim.de/)

Academy of Fine Arts Dresden (https://www.hfbk-dresden.de/)

Angleterre
Leeds College of Art (http://www.leeds-art.ac.uk/)

Belgique
Ecole Supérieure des Arts de la ville de Liège (http://www.esavl.be/)

Espagne
Faculté des Beaux-Arts de Barcelone (https://www.ub.edu/portal/web/bellasartes)
Faculdad de Bellas Artes Alonso Cano de Granada (http://www.ugr.es/pages/centros/facultades/facultad_bellas_artes)

Irlande
Dublin National College of Art and Design (http://www.ncad.ie/)

Italie
Accademia delle Belle Arti de Palerme (www.accademiadipalermo.it)

Pologne
Académie des Beaux-Arts de Varsovie (https://asp.waw.pl/eng/)

République Tchèque
Académie des Beaux-Arts de Prague (https://www.avu.cz)

Le Supplément au Diplôme
Le supplément au diplôme (SD) est un document joint à un diplôme d’études supérieures qui vise à améliorer la « transparence » internationale et à faciliter la reconnaissance académique et professionnelle des qualifications (diplômes, acquis universitaires, certificats, etc.). Il est destiné à décrire la nature, le niveau, le contexte, le contenu et le statut des études accomplies avec succès par la personne désignée par la qualification originale à laquelle ce supplément est annexé. Il doit être dépourvu de tout jugement de valeur, déclaration d’équivalence ou suggestion de reconnaissance.

C’est un outil flexible, non normatif, destiné à économiser du temps, de l’argent et du travail. Il peut être adapté aux besoins locaux. Le supplément au diplôme est délivré par les établissements nationaux selon un modèle élaboré par un groupe de travail conjoint de la Commission européenne, du Conseil de l’Europe et de l’UNESCO, qui l’a testé et parachevé.

Le supplément au diplôme se compose de huit parties (informations sur le titulaire du diplôme, informations sur le diplôme, informations sur le niveau du diplôme, informations sur le contenu et les résultats obtenus, informations sur la fonction du diplôme, informations complémentaires, validation du supplément, informations sur le système national d’enseignement supérieur). Toutes les informations requises dans les huit parties doivent être fournies. Lorsqu’une information fait défaut, une explication doit être donnée. Les institutions doivent appliquer au supplément au diplôme les mêmes procédures d’authentification que pour le diplôme en lui-même.

Une description du système national d’enseignement supérieur au sein duquel la personne a obtenu son diplôme doit être jointe au supplément au diplôme.

Retrouvez tous les informations sur les relations internationales de l’ésadtpm : http://www.esadtpm.fr/relations-internationales/etablissements-conventionnes-329.html

galerie

Le Grand Hall de l’école et la Galerie des Balcons

2, Parvis des écoles – Toulon

 

Galerie de l’école
18, rue chevalier Paul
Place Savonnières
83000 Toulon

 

 

équipements spécifiques

Bois, fer, gravure, terre, image, 3D, vidéo, son, réalité augmenté, photographie numérique, laboratoire photo argentique, reliure.

réseaux

ANdEA, L’École(s) du Sud (Réseau des Ecoles d’Art de la Région PACA et Monaco)

PARTENARIATS / CONVENTIONS DE COOPERATION CULTURELLE
Villa Noailles / Scène Nationale Liberté – Chateauvallon / Opéra Toulon Provence Méditerranée / Le Port des créateurs / Villa Tamaris Centre d’Art / Université de Toulon et du Var – Institut Ingémédia / Conservatoire Toulon Provence Méditerranée / Hôtel des Arts – Centre d’Art TPM / Vidéochroniques – Marseille / La Station – Nice / FRAC PACA / Metaxu / …

équipe administrative

Directrice – Nawal Bakouri
Directrice adjointe – Peggy Le Goff
Secrétariat de direction – Dominique De Salvo Mette
Ressources humaines – Sandrine Del Guidice
Responsable de la commande publique – Corinne Floch (Régie d’avances)
Coordinatrice budgétaire et comptable – Aurélie Girard
Responsable Communication / Presse / Action culturelle – Vincent Pujol
Chargée de mission Communication interne / Insertion professionnelle / Mécénat – Estelle Zerr
Coordinatrice des études – Caroline Petre
Responsable Relations internationales / Ateliers des Beaux-Arts, Ateliers libres – Virginie Dautemer (Régie de recettes)
Secrétariat pédagogique / Stages – Sandra Ballini, Stéphanie Pétralia (Régie de recettes du cursus diplômant)
Régisseur Général / Chef de service Moyens Généraux- Thierry De Martino
Informatique et réseaux – Pierre Pelletier
Accueil – Souad Ballini, Corinne Pablo
Entretien – Djaméla Hadji
Bibliothèque – Cédric Lerible, Leslie Benaïssa, Soraya Ghersi
Ateliers – Jean-Noël Bretonnière, Bois et Rémi Levraud, Fer

professeurs

Pierre Beloüin – Edition, impression, pratiques de l’image et des médias – Professeur
Pamela Bianchi – Histoire de l’art et du design – Professeur
Sylvia Bonal – Scénographie – professeur
Antoine Boudin – Professeur
Florent Chiappero – Architecture – Design d’espace – professeur
Anne-Gaël Escudié – Reliure – assistante
Lisa Fardelli- Ateliers Libres – Arts Plastiques / Périscolaire / Dessin
Véronique Galian – Anglais, Français Langue Étrangère – chargée de cours
Patrick Lacroix – Sculpture, mise en espace – professeur
Serge Le Squer – Vidéo – professeur
Raphaël Mahida-Vial – Ateliers Libres – Dessin modèle vivant / Volume / Peinture
Caroline Mary – Ateliers Libres – Terre céramique modelage
Valérie Michel-Fauré – Histoire de l’art – professeur
Olivier Millagou – Sculpture, volume – professeur
Edouard Monnet – Vidéo et théorie de l’image – professeur
Alain Pontarelli – Volume, sculpture – professeur
Magalie Rastello – Design – professeur
Julien Raynaud – Vidéo – image numérique B43 – assistant
Jean-Maurice Reboul – Technologie des volumes – assistant
Zagros Mehrkian – Ateliers Libres – photographie numérique
Nathalie Rodriguez – Gravure – Sérigraphie – assistante
Ian Simms – Civilisation anglo-saxonne – vidéo – professeur
Patrick Sirot – Dessin, performance – professeur
Cédric Teisseire – Peinture, installation – professeur
Solange Triger – Dessin, peinture – professeur
Cédric Vincent – Théorie de l’art – professeur
Jean-Baptiste Warluzel – Vidéo, multimédia – professeur

coordonnées

2, Parvis des écoles
83000 | Toulon
tél. +33 (0)4 94 05 58 05

infoesatpm@tpmed.org

www.esadtpm.fr

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Youtube

 

effectif

187 étudiants

Toulouse

institut supérieur des arts et du design de Toulouse

présentation

L’isdaT – institut supérieur des arts et du design de Toulouse est un établissement public d’enseignement supérieur dédié à l’art, au design, au design graphique, à la musique et à la danse. Chaque spécialité donne lieu à des enseignements et à des diplômes spécifiques et peut faire naître, selon les cursus, des projets de collaborations. Formation initiale, formation continue, cours ouverts à tous les publics, l’ensemble de nos formations répond à l’importance sociale et éducative de développer la création et la transmission dans notre société en pleine mutation.

Nos spécificités 

L’institut supérieur des arts et du design de Toulouse forme des artistes, créa­trices et créateurs dans plusieurs domaines, faisant de cet établissement d’enseignement supérieur public un lieu unique en France de dialogue artistique et pédagogique. Les futur·es auteur·trices, inter­prètes et enseignant·es trouveront à l’isdaT des cursus spécialisés en musique, danse, design, design graphique et arts plastiques, dans un équilibre entre pratique et mise en contexte culturelle et théorique, permettant ainsi aux étudiant·es d’être outillé·es pour s’épanouir et s’insérer dans la vie profes­sionnelle et sociale.

Les diplômes délivrés 

1/8
Façade extérieure, institut supérieur des arts de Toulouse.
2/8
Présentation lors des Journées Portes Ouvertes © Franck Alix.
3/8
Cour d'honneur de l'isdaT © Franck Alix.
4/8
Palais des arts de l'isdaT © Franck Alix.
5/8
Plateau-média de l'isdaT, concert lors des Journées Portes Ouvertes, février 2020 © Franck Alix.
6/8
Espace de travail, isdaT © Franck Alix.
7/8
Atelier bois, isdaT © Franck Alix.
8/8
Studio de prise de vue de l'isdaT, "Portraits avec masques" par Margot Debaisieux lors des Journées Portes Ouvertes, février 2020 © Franck Alix.

diplômes

DNA  option Art
DNA option Design mention espaces et objets 
DNA  option Design mention design graphique
DNSEP  option Art
DNSEP option Design mention espaces, objets, écosystèmes 
DNSEP  option Design mention design graphique

vae

Il est possible de présenter les épreuves des DNA et DNSEP dans le cadre de la validation des acquis de l’expérience (VAE).

Contact

Naïg Morcel
+33 (0)5 34 30 93 82
naig.morcel@isdat.fr

programmes de recherche

Changer d’échelle

Dès son apparition, la société industrielle aura pensé la notion de limite comme une entrave. Pour augmenter ses capacités de production dans le domaine de l’énergie, de l’alimentaire et de divers produits de consommation, elle s’est organisée autour du modèle de la centrale, modèle qui repose sur la concentration des moyens de productions. On sait depuis plusieurs décennies déjà les conséquences désastreuses de cette production à grande échelle sur les milieux de vies qui sont les nôtres. « Le monde ne se développe pas à la bonne échelle », remarque le chercheur en mathématique Olivier Rey.

En savoir + sur Changer d’échelle

Genius Loci

Le programme de recherche Genius Loci se propose d’explorer les manières dont le design graphique s’empare de la notion de génie du lieu à travers sa mise en tourisme. La création d’un lieu touristique, depuis le lieu même, en passant par les trajets qui y conduisent et des documents de toute sorte qui en font la promotion, invoque systématiquement un certain esprit des lieux avec lequel il faut composer, quitte à le caricaturer voire l’inventer de toute pièce lorsqu’il semble manquer. Ce cheminement, au cœur de la recherche, sera l’occasion d’observer des situations diverses où le design graphique joue un rôle important en terme d’aménagement, de signalisation et d’invention. Jalonné d’étapes, le cheminement vers les lieux sociaux du tourisme accompagne le voyageur dans la construction culturelle des lieux qu’il traverse. Le design graphique étant un des acteurs majeurs de cette construction, il semble nécessaire d’en explorer les contours et d’expérimenter la fabrication de ces espaces.

En savoir + sur Genius Loci

genre 2030

Le programme de recherche genre 2030 interroge l’influence de critères genrés sur l’évolution des pratiques, notamment picturales, et de leur exposition à l’heure de la mondialisation et considère en retour l’influence de ces pratiques sur l’évolution de nos sociétés à l’horizon 2030.

En savoir + Sur genre 2030

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

Stage Studies

Stage Studies : On Non-Virtuoso est un programme de recherche fondé par Émilie Pitoiset en 2016, en partenariat avec le Centre national des arts plastiques – Cnap, qui interroge le potentiel subversif du mouvement non virtuose à travers l’étude de pratiques et phénomènes sociaux mettant en jeu le corps individuel et collectif.

En savoir + sur Stage Studies

éditions

Afin de partager ses productions et de produire du sens par une ligne éditoriale affirmée, l’isdaT s’est constitué en maison d’édition en 2022. Ce parti-pris fait suite à une longue histoire éditoriale. Entre ouvrages de recherche, ouvrages de création et ouvrages de valorisation de ses collections patrimoniales, isdaT éditions propose plusieurs collections fidèles à ses missions. Deux ont vu le jour en 2022 pour inaugurer cette initiative : la collection Formes et la collection Recherche.

Retrouvez l’ensemble de nos éditions sur isdat.fr

activité post- ou périscolaire

Installé au cœur de Toulouse, quai de la Daurade, l’isdaT propose, en complément de sa mission d’enseignement supérieur, des cours publics et stages ouverts à toutes et tous. À titre d’initiation ou de perfectionnement, ils permettent d’acquérir et de développer une pratique artistique plastique.

Les cours adultes proposés par l’isdaT initient aux techniques du dessin et de la peinture. Au travers d’exercices d’observation, d’interprétation, et par l’expérimen­tation des outils, des matériaux, du geste, il s’agit d’acquérir les bases techniques et formelles de ces médiums. Ces problématiques plastiques sont replacées dans le contexte historique et contemporain de l’art sous forme de cours d’histoire de l’art, de visites de musées et d’expositions. L’objectif est de permettre à chacun·e de s’engager dans une démarche plastique personnelle, originale et de comprendre les courants artistiques du XXe siècle jusqu’aux développements les plus récents. Certains projets individuels peuvent, s’il y a lieu, être réalisés ponctuellement dans certains ateliers techniques de l’institut : gravure, sérigraphie, photographie.

Les cours enfants et adolescent·es offrent la possibilité à chaque élève d’apprendre de nouvelles techniques, et d’expérimenter autant en dessin qu’en peinture. Les bases sont abordées à travers des sujets variés, et permettent une maîtrise de différents outils ; différentes thématiques sont proposées pour favoriser l’imagination et le développement d’un univers singulier. En découvrant des artistes contemporains tout au long de l’année, les contenus du cours évoluent vers une démarche artistique que chacun·e s’approprie. L’expérience vécue est une véritable démarche d’atelier qui donne envie à l’enfant ou à l’adolescent·e d’aller plus loin dans la découverte de la pratique picturale L’enseignement se fait par groupe d’âge.

Vous pouvez retrouver les descriptifs des cours publics et les dossiers d’inscriptions sur isdat.fr

coopération internationale

Résultat d’une longue tradition d’échanges, l’institut dispose d’un vaste réseau d’institutions partenaires et encourage fortement ses étudiant·es à y effectuer des séjours d’études ou des stages.

Ces séjours sont effectués au cours de l’année 2 et 4. Les étudiant·es boursier·es peuvent bénéficier d’une aide pour étudier dans l’une des universités ou écoles partenaires ou effectuer un stage en entreprise à l’étranger. Chaque année, l’isdaT accueille un nombre important d’étudiant·es étranger·es en sus de celles et ceux inscrit·es dans les cursus.

Vous pouvez retrouver l’ensemble des écoles partenaires sur isdat.fr

galerie

Les étudiant·es bénéficient au sein du bâtiment de lieux de présentation et d’expérimentation de mise en espace qui sont également des lieux d’expositions pour des artistes invité·es. Lieux de rencontre avec le public, la programmation d’expositions et d’évènements a pour vocation d’établir une relation entre les étudiant·es et le monde extérieur, entre l’institut et la ville, entre milieu professionnel et émergence artistique. La participation au montage des expositions des artistes invité·es fait partie intégrante du programme pédagogique adressé aux étudiant·es.

Les espaces d’exposition font partie intégrante de l’institut :

  • La salle 02 (180 m2),
  • La galerie du quai (90 m2 + 15 m2) offre une salle d’accrochage et un espace de projection,
  • Le palais des arts (300 m2), interface entre la ville et l’école, permet la présentation de travaux d’étudiant·es et la programmation d’expositions d’envergure,
  • Mur, constitue l’espace d’expérimentation des étudiant·es de l’institut. Galerie d’essai, il est destiné à accueillir des travaux et des recherches d’étudiant·es. Compte tenu de la configuration de Mur, situé en amont du palais des arts, les travaux présentés relèvent de l’édition, du multiple, de l’image ou de l’objet de collection. Sa programmation mensuelle est construite à partir d’un appel à projet auprès des étudiant·es.
  • Le couloir de la bibliothèque (30m2), permet d’accueillir les expositions du Couloir réunissant les fonds patrimoniaux, le fonds moderne et contemporain de la bibliothèque pour une mise en valeur commune des documents et des œuvres de l’isdaT. Étudiant·es, professeur·es ou intervenant·es s’associent au Couloir pour exposer les productions issues de workshops, de cours ou de recherches de fin de cycle.

 

Vous pouvez retrouver l’ensemble de notre programmation sur isdat.fr

équipements spécifiques

Les ateliers techniques

  • Volume : composé des ateliers modelage/moulage, métal, bois, maquette et machina,
  • Matériauthèque : initie les étudiant·es à une curiosité et une méthodologie de recherche afin qu’il·elles s’approprient les connaissances sur les matériaux et les mettent au service du projet,
  • Peinture : espace d’initiation, lieu d’échanges et suivi des projets,
  • Édition : composé des ateliers gravure, sérigraphie et micro-édition,
  • Photographie : composé des ateliers studio de prise de vue, laboratoire de photographie argentique et numérique,
  • Numérique : composé des ateliers dessin et formes numériques, design graphique, 3D et dessin assisté par ordinateur
  • Son : composé des ateliers initiation à l’écoute/à l’utilisation des techniques d’enregistrement/au traitement du son et d’un accompagnement des projets dans le cadre d’une recherche,
  • Vidéo : composé des ateliers Images/imaginaires, Images du réel et Projection(s),
  • Web et langage de programmation : accompagne les projets artistiques en relation avec Internet ou qui en utilise le potentiel esthétique, social, narratif, politique.

Les espaces ressources

  • Bibliothèque : la bibliothèque est un lieu pédagogique, regroupant le fonds moderne et le fonds audiovisuel. C’est un espace de dialogue entre les étudiant·es, les enseignant·es et le personnel qui accompagne leurs recherches.
  • Fonds patrimoniaux : recoupant le fonds ancien, la collection d’œuvres et les archives,
  • Magasin de prêt : 1345 articles constituent la base de prêt et se décomposent en petit outillage, électro-portatif, panel de câblage, appareils photographiques, enregistreurs numériques, caméscopes, rétroprojecteurs, ordinateurs, vidéo-projecteurs, écrans TV…

Le plateau-média

Le plateau-média de l’isdaT est un espace commun de création et de diffusion, accueilli au sein de la bibliothèque patrimoniale (le fonds ancien). Conçu au XIXe siècle comme un lieu de représentation et de réception publiques, il était depuis quelques années réservé à la conservation et à la consultation des fonds patrimoniaux. S’il garde sa fonction d’espace de cours et de bibliothèque ancienne, il devient un nouveau lieu de débat, de conférences, de projections, de performances et de concerts ouverts au public. Outil de diffusion de la création, le plateau-média est également un projet pédagogique : les étudiant·es de l’isdaT ont participé à sa conception et à son aménagement et sont en charge de la captation audio-visuelle et du montage live des évènements qui y sont programmés.

En lien avec le programme pédagogique des formations dispensées dans ses spécialités art, design, design graphique, musique et danse, ainsi qu’avec la complicité de ses partenaires, l’isdaT propose au sein du plateau-média une programmation variée à destination de tous les publics.

Retrouvez certains de nos évènements en live et en replay sur notre chaîne YouTube.

réseaux

Enseignement supérieur et formation

L’isdaT est membre de l’ANdÉA (Association nationale des écoles supérieures d’art et design publiques) et de l’anescas (Association nationale d’établissements d’enseignement supérieur de la création artistique arts de la scène).

L’isdaT collabore avec des établissements d’enseignement supérieur pour la mise en œuvre de projets pédagogiques notamment avec l’INSA (Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse), l’ENSA (École Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse), le Lycée Dorian à Paris, etc.

Secteur artistique et culturel

L’isdaT est membre de réseaux professionnels au sein desquels il participe aux réflexions sur la recherche artistique, la diffusion culturelle ou l’aide à la jeune création (réseaux Peinture, PinkPong, Air de midi ; partenariats avec Les Abattoirs — FRAC Occitanie Toulouse, le Nouveau Printemps, le musée des Augustins, Lieu-Commun — Artist run space à Toulouse, le MO.CO. Montpellier Contemporain Esba, le Conservatoire Musique et Danse de la Ville de Montauban, le CRAC Occitanie…), offrant aux étudiant·es et aux diplômé·es l’opportunité de se confronter à des situations professionnelles dans des contextes régulièrement renouvelés.

Également, outre ses partenariats historiques et forts avec le Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulouse et l’Université Toulouse — Jean Jaurès, l’isdaT tisse des liens étroits avec le milieu professionnel du spectacle vivant, permettant à ses étudiant·es de travailler au sein d’ensembles prestigieux et d’être suivis par des artistes musicien·nes, danseur·euses et chorégraphes : la Cité de la musique-Philharmonie de Paris, l’Établissement Public du Capitole de Toulouse regroupant l’Opéra National et l’Orchestre National, l’Orchestre de Chambre de Toulouse, le Conservatoire de MontaubanLa Place de la Danse — CDCN Toulouse Occitanie, le RING — Scène Périphérique, le centre culturel Bellegarde, mais aussi Le Metronum, l’école Music’Halle et leurs réseaux musiques actuelles…

équipe administrative

Clémence Fraysse, Direction générale par intérim
David Mozziconacci, Direction des études art, design et design graphique
Estelle Desreux, Responsable communication
Émilie Delfaut Pradel, Coordinatrice de la programmation
Isabelle Ferrer, Responsable bibliothèque
Anne Jourdain, Responsable des fonds patrimoniaux et coordinatrice des éditions
Beatrix Villeneuve, Échanges internationaux
Naïg Morcel, VAE et formation professionnelle continue

Contacter le secrétariat pédagogique de l’isdaT :

 

Retrouvez l’ensemble des équipes administratives et techniques sur isdat.fr

professeurs

Retrouvez les biographies des enseignant·es et assistant·es d’enseignement sur isdat.fr

Professeur·es

Samuel Aden
Alexandra Aïn
Hervé Ambal
Sandra Aubry
Lionel Bataille
Yeelena de Bels
Simon Bergala
Nathalie Bruyère
Jean-Pierre Castex
Laurence Cathala
François Chastanet
Valérie du Chéné
Étienne Cliquet
David Coste
Michel Cure
Sébastien Dégeilh
Natacha Détré
Olivier Dollinger
Jérôme Dupeyrat
Jean-Marc Evezard
Éléonore False
Philippe Fauré
Michel Gary
Martine Gélis
Laetitia Giorgino
Françoise Goria
Philippe Grégoire
Sarah Holveck
Olivier Huz
Quentin Jouret
Theodora Kanelli
Jean-François Labérine
Raphaël Larre
Romain Paul Lefèvre
Felip Martí-Jufresa
Stefania Meazza
Bianca Millon Devigne
Hanika Perez
Émilie Pitoiset
Laurent Proux
Serge Provost
Mireia Sallarès
Ana Samardžija Scrivener
Adam Scrivener
Hervé Sénant
Elené Shatberashvili
Thomas Sipp
Coline Sunier
Martine Truong Tan Trung
Camille Tsvetoukhine

Assistant·es d’enseignement et responsables d’ateliers

Amélie Agut
Jean-Pierre Bourorga
Pierre-Louis Dufour
Pablo Guidali
Lény Lecointre
Rémy Lidereau
Arnaud Loridan
Anthea Lubat
Stephen Marsden
Thierry Odriozola
Christine Sibran
Valérie Vernet

coordonnées

Site Daurade (administration musique & administration et enseignement art, design, design graphique)
5 quai de la Daurade 31000 Toulouse
+ 33 (0)5 31 47 12 11
contact@isdat.fr
musique@isdat.fr

Site Saint-Pierre (administration et enseignement danse)
12 place Saint-Pierre 31000 Toulouse
+ 33 (0)5 31 47 19 42
danse@isdat.fr

www.isdat.fr
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Tourcoing

École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing — site de Tourcoing

présentation

Carrefour incontournable d’une eurorégion qui compte plusieurs millions d’habitants, territoire frontalier de la Belgique et du Royaume-Uni, forte d’une densité comparable à celle de l’île de France, la région des Hauts de France atteste un dynamisme dans le domaine de la culture qui se caractérise par l’implication des collectivités en faveur de programmes croisant excellence culturelle, promotion des territoires et accessibilité au plus grand nombre.
Depuis un ample réseau artistique, l’offre culturelle en région conjugue spectacle vivant et arts plastiques, patrimoines et festivals, dans toutes les formes d’expressions ; cinéma, danse, arts plastiques, théâtre, musique, spectacle de rue, littérature.

L’ESÄ accueille environ 300 étudiants répartis sur les deux sites, favorisant une offre pédagogique diversifiée et originale au sein de son option art.Le projet pédagogique se déploie sur les deux sites, entre métropole et littoral. Il s’articule au développement artistique et culturel des territoires. Les grands projets urbains qui dynamisent les deux villes placent la question de la création artistique au premier plan et favorisent de nouvelles formes de rencontres entre l’art et les publics qui sont autant de pistes d’inscription professionnelle pour les étudiants.
L’essence transfrontalière des territoires est propice aux échanges: la proximité de grandes capitales culturelles européennes (Bruxelles, Gand, Liège, Lille, Londres, Rotterdam…) renforce le rayonnement et l’étendue de l’offre pédagogique. Le réseau académique, professionnel et institutionnel ainsi constitué permet de construire une véritable dynamique de projet et de cursus : appui et construction dans les champs du pédagogique, de l’insertion professionnelle, de la mobilité internationale et de la recherche.

Le site de Tourcoing, qui rassemble 200 étudiants en 2015-2016 dont 50 étudiants en cycle 2), forme depuis 1999 avec le département Arts de l’Université Lille 3 un  » Campus Arts Plastiques  » permettant le partage de ressources et d’espaces, parmi lesquels une bibliothèque, une Galerie Commune et un amphithéâtre. Ce voisinage est également à l’origine de projets pédagogiques communs et d’échanges de cours et d’ateliers. L’enseignement dispensé sur le site de Tourcoing s’articule autour de séminaires, d’un enseignement de langue – anglais et chinois, d’activités de recherche et de professionnalisation, de cinq parcours. L’offre pédagogique y est variée et permet à l’étudiant de construire son propre parcours par un choix de différents ateliers lui permettant soit de concentrer sa pratique au sein d’un parcours spécifique identifié – « Les scènes à l’épreuve des arts plastiques », « Programme de Recherche Image Sciences et Technologies » , « Poétiques de flux », des doubles cursus– avec l’université de Lille ou l’université du Québec à Chicoutimi, ou encore une préparation à l’entrée du Fresnoy « art.image »,  soit au contraire d’opérer des passerelles entre différents ateliers complémentaires. La pratique artistique s’appuie sur les nombreux ateliers techniques existant sur le site (gravure, peinture, sérigraphie, photographie numérique, photographie argentique, son, vidéo, céramique, verre, bois et métal). Enfin l’Esä est identifiée comme l’école supérieure d’art préparant spécifiquement au concours d’entrée du Studio National des Arts Contemporains du Fresnoy, grâce à la filière intégrée Art.Image.

1/1

options

Art, Sciences, Nature

diplômes

DNA  option Art
DNSEP  option Art
Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI) 

post-diplôme

CE2A (Certificat d’Ecole en Enseignement de l’Art)

Présentation
Le CE²A/CFPI : une formation d’une année universitaire permettant à des artistes, titulaires d’un diplôme de fin de 3e année en art au minimum, d’acquérir les compétences nécessaires à la transmission des savoirs et des techniques, en France ou à l’étranger.


Organisation des études
La formation totalise à minima 30 semaines de cours soit environ 300 heures (hors stage). L’enseignement, développé sur une année universitaire, comporte 4 modules.

A. Connaître / concevoir

B. Expérimenter

C. Un enseignement des langues

D. Évaluer / Valoriser

 

Inscription
Le dossier de candidature doit comporter :

– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitæ ;
– un dossier de présentation du travail artistique.

Prérequis : ouvert aux candidat·es titulaires d’un diplôme de niveau 2 dans une filière artistique sans limite d’âge ou de nationalité (niveau TCF C1 requis). Une commission d’admission se réunit la 4e semaine de juin. Un entretien à distance (par visio-conférence) est organisé pendant cette semaine de recrutement. Envoi des candidatures avant le 25 juin de chaque année, à martial.chmielina@esa-n.info

Certificat de Formation de Plasticien·ne Intervenant·e (CFPI)

classe préparatoire

Classe FLEA – Français-Langue étrangère / Art — Esä | Dunkerque-Tourcoing

Première classe de mise à niveau conçue à l’intention des étudiants non francophones désirant se présenter aux concours d’entrée aux Écoles Supérieures d’Art françaises, la classe FLEA (Français-langue étrangère/Art) a ouvert ses portes en septembre 2013. Le contexte des études en école supérieure d’art a considérablement changé depuis quelques années avec le passage au système européen LMD et le grand développement de la mobilité des étudiants. FLEA propose aux élèves une double formation, combinant un apprentissage intensif du français écrit et parlé, à raison de 16 heures hebdomadaires et une préparation à l’intégration aux cursus des écoles supérieures d’art, sous la forme d’ateliers de pratiques plastiques diversifiés et complets (dessin, volume, vidéo, photo, peinture, édition, informatique). Les cours sont dispensés sur les sites de Dunkerque et de Tourcoing.

vae

VAE DNSEP-art

unités de recherche

Hyper.local

L’ésac de Cambrai, l’ésa-Nord Dunkerque-Tourcoing et l’ésad Valenciennes formalisent les complémentarités de leurs programmes de recherche respectifs dans les champs de l’art, du design, et de la communication au sein d’une Unité de Recherche (UR) dénommée HYPER.LOCAL.

Elle a pour vocation d’interroger, de comprendre et d’expérimenter les pratiques qui impliquent des rapports d’échelle critiques et des créations situées : entre « local » et « global », « micro » et « macro », « moléculaire » et « molaire », « topique » et « cosmique ». Cette orientation générale privilégie plus particulièrement le point de vue « hyper local », non pas pour se replier sur le connu et l’authentique au nom d’une identité fermée, mais pour se replacer là où les enjeux esthétiques, économiques, sociaux et politiques mondiaux se rencontrent pour prendre un sens vécu, partagé et discuté, c’est-à-dire au niveau de la singularité plurielle des lieux.

Deux axes seront particulièrement développés dans le cadre de cette Unité de Recherche.
Le premier axe, intitulé « Images, codes, récits », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’écriture de l’espace issues des sciences et technologies contemporaines. Cet axe interroge plus précisément les transformations de la perception, de l’imagination et de la narration qui s’opèrent selon les nouvelles articulations entre le corps, la machine et l’espace produites par les technologies numériques.
Le deuxième axe intitulé « Art, design et société », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’interrogation de l’espace public par l’art et le design. Cet axe investit plus précisément les modes alternatifs de conception, de production et d’échange que l’art et le design créent pour répondre aux problématiques sociétales contemporaines (écologiques, économiques, sociales).

programmes de recherche

Art & cité

Depuis 2012, l’ESÄ déploie une ligne de recherche autour de la thématique « Art & Cité ». Il s’agit d’interroger la façon dont les pratiques artistiques s’articulent avec les enjeux sociétaux actuels (développement durable, mondialisation, migrations…) Sont étudiés et expérimentés également les enjeux de la posture de l’artiste et de ses modes opératoires, les nouvelles modalités d’interventions, de participation, d’interaction avec l’environnement et/ou les habitants. La Cité est envisagée comme espace commun tant spatial que social et ne fait pas exclusion des zones urbaines, péri-urbaines ou rurales. Les activités de cet axe se déclinent sur le mode de la recherche artistique, de réflexions théoriques et d’interactions pédagogiques. Il s’agit d’explorer quelles sont les interactions possibles entre l’art et le territoire sur des modes d’entrées multiples. Quels sont les éléments contextuels qui permettent à l’artiste de développer un projet en prise avec la réalité dans toute sa complexité géographique, politique, humaine, sociale, éthique, tout en ouvrant le champ possible de l’imaginaire. Les réalisations et actions prennent forme dans un processus de maturation qui engage l’artiste au sein d’un collectif d’acteurs (les structures artistiques, les chercheurs de différentes disciplines, les collectivités territoriales, les habitants…). Cette ligne se déploie sur les deux sites de l’ESÄ et réunit des enseignants plasticiens et théoriciens, ainsi que des chercheurs associés. À Tourcoing, cet axe s’appuie sur un partenariat privilégié avec La chambre d’eau, structure de résidence d’artistes située dans l’Avesnois, inscrite dans un réseau à l’échelle internationale (Europe, Mexique) et le Laboratoire CECILLE (Lille 3). A Dunkerque, cet axe se développe en lien avec le Learning Center ville durable, l’Université du Littoral Côte d’Opale et La Plate-Forme – Laboratoire d’art contemporain.
En 2014-2015, l’ARC motif personnel a été mené en collaboration avec le CRP (Centre Régional de la Photographie de Douchy-les-Mines) dans le cadre des commémorations de la Grande Guerre adossé au projet «Guerre et Paix» porté par l’Association des conservateurs des musées du Nord-Pas-de-Calais. Encadrés par l’artiste Antoine Yoseph, ce projet a donné lieu à une exposition élaborée en partenariat avec les étudiants de Master Pôle exposition de Lille 3. En 2015-2016, l’ARC s’est articulé avec la biennale jeune création Watch this space organisée par le réseau transfrontalier d’art contemporain 50° Nord incluant notamment le Séminaire Résister-créer (entre autres intervenants : Fabienne Brugère, philosophe – Paris 8 ; Jean-Marc Lachaud, philosophe – Paris 1 ; Paul Ardenne – historien de l’art UFR Arts Amiens) et l’exposition Existence non garantie avec des oeuvres du FRAC Nord-Pas-de-Calais. Par ailleurs, en écho au programme Interstices, la philosophe Joëlle Zask est invitée par l’ESÄ en mai 2016 au Learning Center ville durable pour une intervention portant sur L’art comme modèle de participation démocratique.
En 2016-2017, différents programmes sont en cours de développement. A Dunkerque, les recherches sont envisagées autour de la question de la montée des eaux par le biais du programme « Polder ». A Tourcoing, un groupe de travail est en place autour des questions de ruralité (programme SAVRU en collaboration avec le Laboratoire Discontinuités (EA2468) de l’Université d’Artois et l’Association La chambre d’eau). Enfin, MIGRATION/MURMURATION est un programme inter-écoles à l’initiative d’artistes enseignants et théoriciens/nes d’écoles supérieures d’art (ESAD Toulon Provence Méditerranée / EESI Poitiers-Angoulême / ESA du Nord Pas de Calais Dunkerque-Tourcoing) souhaitant constituer un réseau cardinal autour des questions liées aux frontières terrestres, maritimes et spatiales en lien aux paysages de la mondialisation comme modèles et méthode de recherche en art.

Images, sciences et technologies

Images, sciences et technologies
La ligne de recherche « Images, sciences et technologies » s’attache à développer des conversations entre l’art et la science, en construisant des échanges et des rencontres entre les étudiants et les chercheurs. En 2015-2016, une collaboration a été entreprise avec la plateforme scientifique EquipEx IrDive (Recherche et innovation dans les environnements visuels, Numériques et Interactifs) située au sein du cluster Sciences et Cultures du visuel (SCV), à l’Imaginarium de Tourcoing. A partir d’une interrogation sur les avancées majeures des sciences cognitives, les étudiants ont participé à une série de huit tests cognitifs menés par des chercheurs, dont Angèle Brunellière, professeure associée au SCALab (Cognitive and Affective Science Lab), Université Lille 3. Ils ont pu s’emparer d’un matériau singulier (visualisation d’EEG, capture motion) qu’ils détournent au profit de formes plastiques et sonores innovantes. Ce projet a donné lieu à l’exposition « Master Mind » (24 mars – 1er avril, Galerie Commune, Tourcoing) et à l’édition d’un catalogue.Méthodologie : Acquisition d’un corpus d’images scientifiques, identification des sources et des contenus. Analyse d’un corpus d’oeuvres reliant art et science. Élaboration d’un parcours au sein de laboratoires scientifiques. Mise en oeuvre de productions plastiques à partir de données récoltées et de tests effectués dans ces laboratoires par les scientifiques. Mise en place d’une exposition et d’une édition.
Cette recherche participe à la réflexion menée dans le cadre des journées d’études portant sur la « Réticulation du monde ». (Voir ci-dessous)
Partenaires : année 2015-2016, SCALab, UMR CNRS 9193 (CNRS, Lille 2, Lille 3) Directeur : Yann Coello. Partenariat 2016-2017 : UMR CNRS 8198 ; UFR de Biologie, génétique, Lille 1.

Le programme se poursuit en interrogeant les questions du vivant, les structures des organismes, du végétal, de l’environnement, les relations entre le milieu naturel et les apports de la technologie.
L’exposition Cells Fiction, qui interroge l’univers du microcosme, présente des travaux menés dans le cadre du programme de recherche Images, Sciences et Technologies conduit par l’Esä en association avec le Centre d’art Espace Croisé et le laboratoire TisBio (CNRS, Université Lille 1). Pour réaliser leurs projets, dix étudiants ont travaillé au sein du laboratoire de microscopie photonique Tisbio, à l’interface entre la biologie, l’informatique et la physique. Si certains ont étudié les minéraux ou les propriétés de la lumière, beaucoup ont travaillé à partir des cellules, humaines ou végétales, ces plus petites unités du vivant. Quelles informations contiennent-elles ? Leur reproduction, leur division et leur disparition qui s’opèrent à notre insu peuvent-elles de manière symbolique nous apprendre des choses sur nous-mêmes ? Peut-on les faire « parler » différemment : ont-elles un son, une odeur ? Les séances au sein du laboratoire se sont multipliées depuis sept mois, conduisant les uns et les autres à affiner leur projet, à le nourrir de lectures scientifiques, à répéter les expériences et les phases d’observation. La production, dans sa mise en oeuvre, a également bénéficié de l’apport d’Adèle Vanot, responsable de la photothèque du CNRS. Enfin, le parcours s’est enrichi de la présence d’Ewen Chardronnet, artiste dont les activités concernent aussi bien l’art que la science, et dont l’expertise aura permis aux étudiants d’approfondir leur réflexion sur leurs productions issues du laboratoire.

Les sens mineurs. Perception et création contemporaine

Les sens mineurs. Perception et création contemporaine
Créé à la rentrée 2012 par Gilles Froger (critique d’art, ESA) et Valérie Boudier (Maître de conférences en Histoire et Théorie de l’art, Département Arts, Université Lille 3), tous les deux membres du Centre d’Etude des Arts Contemporains, le séminaire de Master Sens mineurs – Le goût, le toucher, l’odorat a pour objectif d’apporter aux étudiants des deux établissements des connaissances en histoire de l’art et de leur permettre d’appréhender les conditions, méthodes et outils de la recherche. Prenant appui sur des analyses d’oeuvres, il invite à s’interroger sur les sens longtemps considérés comme mineurs que sont le goût, le toucher et l’odorat. L’étude de leur représentation dans les oeuvres essentiellement picturales de l’époque moderne permet de mettre en perspective leur mise en jeu dans les oeuvres contemporaines.
Cette ligne de recherche a donné lieu, en 2012-2013, à un premier programme intitulé La Chair de l’animal, soutenu par le CEAC. Il s’est composé de trois expositions (OOZ, travaux d’étudiants ; Des animaux, Thierry Boutonnier et Antoine Petitprez ; Bestiaires, livres), d’un workshop (Hélène Singer), d’une journée d’étude (Astrid Bouygues, chercheuse en littérature, Paris 3 ; Thierry Boutonnier, artiste ; Anne Creissels, artiste, Maître de conférences, Lille 3 ; Anne-Elène Delavigne, ethnologue, CNRS ; Yves Gaumétou, taxidermiste et sculpteur animalier ; Antoine Petitprez, artiste ; Hélène Singer, artiste, Paris 1), d’une conférence de Noélie Vialles, anthropologue (Collège de France, EHESS), et d’une publication numérique (revue Déméter, CEAC / Université Lille 3).
En 2014-2015 et 2015-2016 a été mis en place un second programme intitulé Le Banquet, comprenant des communications et des interventions (Marie-Madeleine Castellani, Professeure de Langue et littérature médiévale, Lille 3 ; Véronique Goudinoux, Professeure en Histoire et Théorie de l’art contemporain, Lille 3 ; Laurent Moriceau, artiste ; Véronique Perruchon, Maître de Conférences en Arts de la scène, Lille 3 ; Dorothée Selz, artiste), un cycle de films et une exposition (oeuvres de Jan Kopp et d’un enseignant de l’ESÄ, travaux et performances d’étudiants).
L’actuelle phase du programme concerne la dimension olfactive, sa présence et/ou sa représentation dans les oeuvres d’art. L’enseignement théorique comprend une approche de la littérature (écrits artistiques, poésie, romans des XIXe et XXe siècles), de la philosophie et de l’histoire de la perception olfactive, permettant d’introduire l’étude d’oeuvres picturales anciennes et d’oeuvres contemporaines la mettant en jeu.
La création n’est pas laissée de côté, les étudiants ayant été invités, en décembre 2016, à concevoir un repas olfactif à l’occasion de la venue de Julie Fortier, artiste invitée, et à participer à un workshop qui s’est achevé par une soirée-événement, La Dimension olfactive, consistant en une restitution performative dans la Galerie commune.
De nouveaux intervenants, dont des artistes, interviendront en 2017-2018 afin de poursuivre avec les étudiants la réflexion menée sur les diverses formes que peut prendre la dimension olfactive dans l’art contemporain.
En marge du séminaire, les enseignants et les étudiants participant au programme de recherche Sens mineurs – Le goût, le toucher, l’odorat ont été associés à la journée d’étude organisée par Marjorie Meiss-Even, Maître de conférences en Histoire moderne, au sein du l’Institut de Recherches Historiques du Septentrion (IRHiS), qui a eu pour thème Arts et cuisine et qui s’est déroulée le mercredi 23 novembre 2016 à l’Université Lille 3.

éditions

activités & événements

Expositions (Galerie de l’école, hors les murs et espace public). Conférences.

activité post- ou périscolaire

Ateliers ouverts : enfants, adolescents et adultes, mini prépa. Site de Tourcoing

coopération internationale

L’École Supérieure d’Art | Dunkerque-Tourcoing a fait des relations internationales un point fort de son développement. Les projets internationaux sont articulés avec les programmes de recherche de l’esä :

  • La charte Erasmus : l’Esä possède seize conventions signées
  • Le partenariat avec l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger. Consciente des difficultés pratiques rencontrées par les élèves de terminale des lycées français à l’étranger qui souhaitent passer les concours d’entrée aux établissements d’enseignement supérieur artistique français, l’Esä a mis en place à leur intention un dispositif particulier. Il permet à ces élèves, français ou étrangers, inscrits à APB, de passer le concours d’entrée à distance à l’occasion d’une session organisée dans leur lycée de rattachement ou près toute autre institution avec laquelle ce lycée souhaitera collaborer dans l’optique de l’organisation de ce concours. Pour la rentrée 2015, dix candidats des territoires d’Outre-mer, d’Europe et de pays où sont présents les lycées français se sont inscrits au concours.
  • Classes de mise à niveau Français langue étrangère-Art, FLEA. Première classe de mise à niveau conçue à l’intention des étudiants non francophones désirant se présenter aux concours d’entrée aux Écoles Supérieures d’Art françaises, la classe FLEA (Français-langue étrangère/Art) a ouvert ses portes en septembre 2013. Le contexte des études en école supérieure d’art a considérablement changé depuis quelques années avec le passage au système européen LMD et le grand développement de la mobilité des étudiants. FLEA propose aux élèves une double formation, combinant un apprentissage intensif du français écrit et parlé, à raison de 16 heures hebdomadaires et une préparation à l’intégration aux cursus des écoles supérieures d’art, sous la forme d’ateliers de pratiques plastiques diversifiés et complets (dessin, volume, vidéo, photo, peinture, édition, design graphique, informatique). Les cours sont dispensés sur les sites de Dunkerque et de Tourcoing.


Partenariats avec des institutions chinoises

L’Esä développe, depuis plus de dix ans, avec la Tianjin Academy of Fine Arts, un programme d »échanges bilatéraux d’étudiants et d’enseignants.

La Tianjin Normal University a inscrit une cohorte d’étudiants à l’Esä.

Une convention a été signé avec Tianjin East Senior Middle School of Arts pour la création d’une classe préparatoire afin de préparer des candidats au FleA ou dans le cursus initial en proposoant des interventions d’artistes et d’enseignants choisis par l’esä.

Partenariats avec The Maharaja Sayajirao University of Baroda, Vadodara, India, il s’agit d’échanges bilatéraux d’un semestre maximum

Double cursus avec l’Université du Québec à Chicoutimi. Les étudiants inscrits à ce dispositif peuvent ainsi préparer en quatre ans le DNA et le bachelor.

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galerie

Galerie (galerie de l’école, Dunkerque).
Galerie 36 bis (galerie de l’école, Tourcoing).
Galerie Commune du campus arts plastiques de Tourcoing (ESA et Département Lille 3).

équipements spécifiques

Les équipements des deux sites comprennent :
– Des ateliers techniques encadrés par une équipe de techniciens spécialisés (ateliers céramique, moulage, modelage, sculpture, bois, métal, sérigraphie, gravure, imprimerie et typographie, dessin, peinture, photographie argentique et numérique, son, vidéo, informatique et multimédias, art du feu) ;
– Des espaces de travail permettant aux étudiants de disposer d’un lieu adapté au sein de l’école afin d’y concevoir et réaliser leurs projets personnels ;
– Un centre de documentation sur chacun des deux sites proposant un fonds de référence (ouvrages théoriques, monographies, catalogues, DVD, CD audio) dans le domaine de l’art, de son histoire et de ses théories ;
– Des galeries d’exposition où sont organisées des conférences, des rencontres avec des artistes, des expositions… permettant aux étudiants d’être immergés dans un environnement culturel stimulant qui enrichit leurs recherches artistiques et leurs créations.

réseaux

Partenaires académiques
– Université de Lille, Université de Lille Sciences Humaines et Sociales, département Arts (Parcours Arts Plastiques, Théâtre et Danse), laboratoires CEAC et CECILLE. Le site de Tourcoing de l’Esä et le Parcours Arts Plastique de l’Université de Lille Sciences Humaines et Sociales partagent les mêmes locaux au sein du Campus arts plastiques, générant de multiples partenariats scientifiques et pédagogiques, notamment un programme d’expositions au sein de la Galerie Commune et le programme de recherche “Les sens mineurs” (laboratoire Centre d’Etude des Arts Contemporains). De plus, l’Esä est associée au Master “Art et responsabilité sociale” ouvert en 2015 et aux programmes de recherche du laboratoire CECILLE.

– Le Fresnoy, studio national des arts contemporains : la filière AR.IMAGE est une formation dédiée aux pratiques contemporaines de l’audiovisuel et des nouvelles technologies, articulant une classe préparatoire à l’entrée au Fresnoy, Studio National des Arts Contemporains, et un parcours intégré au cursus de l’Esä.

-Le Concept, l’école d’art du Calaisis, avec la classe préparatoire. Un concours d’entrée à l’Esä est organisé au Concept, spécifiquement pour la classe préparatoire.

Le Concept propose chaque année une résidence pour un jeune diplômé de l’Esä et des étudiants de la formation CE2A font un stage au Concept.

– DLPU et de TAFA (Chine) : l’Esä développe depuis dix ans des échanges bilatéraux avec la Tianjin Academy of Fine Arts. La Dalian Polytechnic University est également partenaire de l’Esä. Des enseignants de notre école ont été invités à y dispenser des cours ; des expositions y ont été organisées et des étudiants de Dalian s’inscrivent dans notre classe FLE-A.

​Partenaires professionnels
– le FRAC Grand Large — Hauts-de-France : la nouvelle ligne de recherche “Art et terrioire”, développée sur le site de Dunkerque, bénéficie d’un partenariat avec le Fonds Régional. D’autres actions ponctuelles sont organisées, comme l’a été l’exposition Existence non garantie (œuvres du FRAC Grand Large) dans la Galerie Commune de Tourcoing pendant le séminaire Résister-Créer (janvier 2016).

– La malterie : partenaire identifié pour les dispositifs de professionnalisation des étudiants et diplômés de l’Esä, La malterie est une structure de soutien à la recherche artistique qui a pour objet l’accompagnement et la professionnalisation de parcours d’artistes dans les domaines des arts visuels et les musiques actuelles. Une trentaine d’artistes sont accueillis dans ses ateliers. Son inscription dans des réseaux au niveau régional et national (FRAAP, Art en résidence) l’amène à développer des collaborations avec un nombre important d’autres structures.

– 50° Nord – réseau transfrontalier d’art contemporain. Ce réseau fédère plus de 30 structures professionnelles de production, de diffusion et de formation supérieure de l’art contemporain, sur le territoire eurorégional – Région Hauts-de-France et Belgique.. Sont membres du réseau : le FRAC Grand Large — Hauts-de-France, le fracpicardie | des mondes dessinés, deux centres d’art, des musées, des établissements de formation dont l’Esä, des galeries associatives, des associations d’artistes. Parmi les divers événements proposés par 50° Nord auxquels elle collabore, l’Esä participe activement à la biennale Watch This Space en proposant à un-e jeune artiste d’exposer son travail et de collaborer à la vie pédagogique de l’école.​

– Le LaM, Lille métropole musée d’art moderne (Villeneuve d’Asq)

– le LAAC – Lieu d’Art et Action Contemporaine (Dunkerque)

​- le MuBA (Tourcoing)

– lille—design, l’Imaginarium (Tourcoing)

​- Pictanovo (Tourcoing)

– le Vivat (Armentières)

​- l’Atelier lyrique de Tourcoing

– le Centre Régional de la Photographie (Douchy-les-Mines)

​- la Plate-Forme (Dunkerque)

​- Fructôse (Dunkerque)

– le Musée du Dessin et de l’Estampe Originale (Gravelines)

équipe administrative

Président : Yves Duruflé

Directeur général : Thierry Heynen

Directeur du site de Tourcoing, directeur des études et des relations internationales : Martial Chmiélina-Verschaeve

Directrice du site de Dunkerque, directrice des études et de la communication : Anne Rivollet

Directeur administratif et financier : Guillaume Corroënne

Coordinatrice de la recherche et de la professionnalisation : Nathalie Poisson-Cogez

Comptable : Lahoucine Essofi

Secrétaire de direction et de la présidence, Gestion des ressources Humaines : Halima Medjahedi-Bouabderrezaki

Administratrice pédagogique, référente Égalité de l’Esä : Pauline Florent

Responsable administrative Erasmus+ : Élodie Lefebvre

Agente adminisrative, référente Égalité de proximité / site de Tourcoing : Sonia Aghbache

Chargé·e·s d’accueil : Marie-Thérèse Blondeaux (et relais pédagogique, Tourcoing), Claude Pollet (et responsable de la sécurité, Tourcoing), Cyprihan Everaert

 

 

professeurs

Stéphane Cabée
Magali Claude
Cyril Crignon
Jean-Claude Demeure
Virtosu Dominic
Marie Lelouche
Hervé Lesieur
Benoît Meneboo
Leila Pereira
Anne-Emilie Philippe
Nathalie Poisson-Cogez
Mélissa Ryke
Vanot Silain
Richard Skryzak
Nathalie Stefanov
Janusz Stega
Williams Thery
Ming Tong
Alexis Trousset

coordonnées

siège et site de Tourcoing
36 bis rue des Ursulines
59200 | Tourcoing
tél. +33 (0)3 59 63 43 20
fax +33 (0)3 20 11 21 81
contact@esa-n.info
www.esa-n.info

effectif

200 étudiants

Tourcoing

Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains

présentation

Ouvert en octobre 1997, Le Fresnoy est un établissement de formation artistique audiovisuelle et numérique de haut niveau. Sa conception et sa direction artistique et pédagogique ont été confiées à Alain Fleischer. Le mot « studio » indique un lieu d’études mais aussi un lieu de production : l’objectif du Fresnoy – Studio national est de permettre à de jeunes créateurs de réaliser des œuvres avec des moyens techniques professionnels, sous la direction d’artistes reconnus, et dans un large décloisonnement des différents moyens d’expression. La pédagogie du Fresnoy est fondée sur la production d’œuvres (moyens techniques professionnels et moyens de production).
Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains met en place chaque année une procédure de sélection de ses étudiants en deux temps : présélection des candidats sur dossier (à adresser en général fin avril), puis sélection finale au Fresnoy fin juin-début juillet. Les candidats présélectionnés seront auditionnés par un jury, que préside un représentant du Ministère de la Culture et de la Communication.
La production d’œuvres de niveau professionnel est prolongée par une politique de diffusion ambitieuse : expositions et événements variés se succèdent et explorent les enjeux de la création contemporaine, en particulier Panorama, qui présente chaque année à l’automne, l’ensemble des œuvres produites au Fresnoy. Le champ de travail, théorique et pratique, est celui de tous les langages audiovisuels sur les supports traditionnels, argentiques et électroniques (photographie, cinéma et vidéo) comme sur ceux de la création numérique.

1/1

options

Diplôme du Fresnoy

diplômes

Diplôme du Fresnoy 

post-diplôme

Diplôme du Fresnoy

Informations

éditions

Catalogues d’exposition, DVD…

revues

activités & événements

Partenariats pédagogiques et diffusion avec des structures culturelles internationales, nationales et locales (Centre Pompidou, IRCAM, La Villette, Fondacion Miro, MACBA Barcelone, ZKM Karlsruhe…).
Expositions, colloques, workshops, spectacles.

activité post- ou périscolaire

Ateliers artistiques et pratiques de formation à l’image (pratiques photo, vidéo et nouveaux médias) pour publics scolaires et centres sociaux.
Formations enseignants et formateurs.
Visites guidées des expositions…

coopération internationale

Partenariats avec l’Allemagne (ZKM Karlsruhe, Fachhochschule Köln), le Canada (Universités de Québec et Toronto, Société des arts technologiques, Montréal), Taïwan (école et le musée des beaux-arts)…

galerie

2 salles d’exposition (1 000 et 500 m2) accueillant 2 expositions principales par an et divers événements.
2 salles de cinéma – programmation art et essai d’actualité, films de patrimoine (films de la Cinémathèque française) et séances en lien avec les activités pédagogiques.

équipements spécifiques

Équipements professionnels couvrant toute la gamme de la production à la postproduction en photographie, cinéma, vidéo, création sonore et musicale, création numérique et multimédia.

réseaux

ANdEA, ELIA, ARÉA.

équipe administrative

Alain Fleischer Directeur
Stéphanie Robin Administratrice
Luc-Jérôme Bailleul Directeur des productions
François Bonenfant Coordination pédagogique
Éric Prigent  Coordination pédagogique
Anaïs Caquant Assistante pédagogique
Michèle Vibert Responsable de la communication
Hélène Groszek Médiathèque

professeurs

Caroline Champetier
Denis Côté
Claire Denis
Jean-Paul Fargier
Miguel Gomes
Benoît Jacquot
Ryoichi Kurokawa
Nicolas Moulin
Jean-François Peyret
Nicolas Reeves
David Rokeby
Edwin van der Heide

coordonnées

22 rue du Fresnoy, BP 80179
59202 | Tourcoing cedex
tél. +33 (0)3 20 28 38 00
communication@lefresnoy.net
www.lefresnoy.net

effectif

48 étudiants

Tours

École supérieure d’art et de design TALM-Tours

présentation

L’École supérieure d’art et de design TALM, produit de la réunion de trois écoles Tours, Angers et Le Mans, est un établissement sous tutelle du ministère de la Culture. Elle offre un vaste éventail de formations : en art, en conservation-restauration, en design avec des spécialisations espace, objet, sonore, mécatronique et computationnel, en sculpture, en techniques textiles. L’enseignement y est dispensé par un corps professoral – artistes, plasticiens, photographes, architectes, chercheurs, designers, théoriciens, conservateurs-restaurateurs, etc. – dont les qualités pédagogiques se doublent de talents et de compétences multiples.
Grâce à son vaste réseau partenarial dans les territoires régionaux, nationaux et internationaux, TALM permet à ses élèves de découvrir l’univers pluriel de l’art et du design contemporain, de la conservation-restauration, d’effectuer des stages dans le monde entier et de préparer avec efficacité leur insertion professionnelle.
L’établissement accorde une attention toute particulière à la recherche dans les disciplines de la création dont il sait maîtriser les enjeux et relever les défis. Singulière, attentive à la qualité de ses enseignements et soucieuse d’anticiper l’avenir de ses élèves, l’École supérieure d’art et de design TALM se pose comme l’un des acteurs essentiels de l’enseignement supérieur public artistique en France.

L’offre de formation de TALM

L’organisation en trois sites de TALM est une chance qui permet aux élèves d’éprouver de multiples médiums, d’ouvrir des voies nouvelles, d’expérimenter des techniques. L’enseignement à TALM, qui articule expérimentation, théorie, pratique et recherche, est assuré par des professionnels de haut niveau, artistes ou théoriciens. Les études sont organisées en semestre permettant une grande souplesse dans le parcours : ainsi un élève peut intégrer un établissement d’enseignement supérieur d’art en Europe ou à l’international. Chaque semestre donne lieu à l’attribution de trente crédits. À la fin d’un cursus en dix semestres, les élèves, qui auront acquis trois-cents crédits, seront titulaires d’un diplôme (DNSEP) valant grade de master. Cette organisation est pensée pour accompagner les élèves vers la gestion autonome de leur engagement artistique afin que ceux-ci construisent un parcours singulier qui prend en compte l’aspiration artistique, les enjeux théoriques et les besoins techniques d’une création. Depuis 2011, TALM a intégré le système LMD (licence, master, doctorat) inscrivant ses formations dans le cadre de l’espace européen de l’enseignement supérieur. Le rayonnement des élèves à l’international, l’insertion professionnelle et la recherche dans les disciplines de la création irriguent le projet pédagogique de TALM.

 

Journées Portes ouvertes

>Vendredi 2 février et samedi 3 février 2024

Horaires et programme sur esad-talm.fr

 

Concours d’entrée 1e année Art

> Épreuves théorique et pratiques : 6 et 7 avril 2024 en distanciel
> Entretien devant le jury : le 17 ou 18 avril 2024 à TALM-Angers

Sujets à télécharger sur esad-talm.fr à partir du 4 avril 2024

Concours d’entrée 1e année Conservation-restauration des biens culturels spécialité Oeuvres sculptées

> Admissibilité : du 8 au 11 avril 2024 (étude du dossier Parcoursup)
> Épreuves d’admission et entretien : 24, 25 et 26 avril en présentiel à TALM-Tours

options

Art

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Art mention Conservation-restauration des biens culturels spécialité Œuvres sculptées
DNSEP  option Art
DNSEP  option Art mention Conservation-restauration des biens culturels spécialité Œuvres sculptées
DNSEP  option Art mention Sculpture, Espace, Société

classe préparatoire

Classe préparatoire de l’École d’arts du choletais

Convention avec l’École supérieure d’art et de design TALM

La classe préparatoire

34 heures de cours hebdomadaires sont dispensées de septembre à mai : cours d’anglais, dessin, histoire de l’art, art contemporain, volume, arts appliqués, estampe, création assistée par ordinateur, atelier de recherche, couleur, photo, rencontres avec des professionnels de la création et d’anciens étudiants de l’école. L’équipe pédagogique est composée de plasticiens ou critiques d’art. Des bilans trimestriels sont rendus aux étudiants sous forme d’un bulletin rempli par l’ensemble des professeurs et de la direction. Un oral blanc devant un jury composé de professeurs de l’école, de la direction, d’un artiste invité est organisé en mars.

L’étudiant est invité à expérimenter l’interdisciplinarité et à approfondir les domaines du design, du graphisme, de l’architecture, du cinéma et de la littérature, autant de pratiques qui nourriront ses futures productions personnelles.

https://www.cholet.fr/download/down/eac_livret_etudiant.pdf

formation continue

Formations, Esad TALM site de Tours

Description des actions de formation continue disponible sur le site internet de l’école selon la programmation.

unités de recherche

La plateforme de recherche de l’Esad TALM – site de Tours

Sept programmes de recherche sont à ce jour identifiés, ils constituent une plateforme de recherche collaborative dont la structure repose à la fois, sur une Unité de recherche des programmes autonomes, et une coordination fonctionnelle. Deux types de programmes se développent au sein de la plateforme : ceux s’inscrivant dans un temps longs et structurant, à la fois pour la recherche, le 3ème cycle et les formations initiales, et ceux dont la durée s’installe sur une période courte, entre 18 et 24 mois.

L’Unité de recherche regroupe les programmes longs. Son fonctionnement est assuré par un coordinateur de recherche dont les missions répondent à plusieurs inflexions : l’accompagnement administratif et la veille à appels à projet, la valorisation, l’articulation avec le 3ème cycle et son développement à l’international. A la fois physique et fonctionnelle, cette plate forme est adaptée à la recherche dans une école d’art parce que le transfert d’une pratique artistique est différent de celle d’un savoir, la forme et la temporalité de ces programmes peuvent se décliner différemment suivant les besoins et suivant les options d’où ils émergent.

Pour l’essentiel les travaux émanant des programmes et de l’Unité de recherche s’adressent aux différents milieux professionnels de la création dont celui de l’art qui est central. Les modes de diffusion que sont l’exposition, la monstration, la démonstration, la projection, etc., sont formellement la conséquence de l’objet de recherche qui sous-tend les conditions d’existence sociale de la pratique artistique et de ses enjeux à partager.

Le développement de la recherche est accompagné par un Conseil scientifique qui est une instance consultative de l’établissement. Il est composé des enseignants porteurs d’un programme de recherche, de personnalités qualifiées, du coordinateur et des directeurs de site. Sa mission d’expertise et de conseil porte sur les formations initiales, les post diplômes, le 3e cycle et leur développement respectif, la recherche et son développement stratégique. Ses avis sont portés devant la Conseil Pédagogique et de la Vie Etudiante (CPVE) et débattus. Ils peuvent être validés par le Conseil de Direction avant d’être mis en délibéré lors d’un Conseil d’Administration si nécessité fait loi.

Le laboratoire des intuitions

Le laboratoire des intuitions est une plateforme pluridimensionnelle, constituée d’artistes et de théoriciens évoluant dans de nombreux champs d’expérimentations et de connaissances, susceptibles dans ce projet, de construire des liens dynamiques entre les formes de pensée, à travers l’art, la philosophie, la sémiologie, les mathématiques, la physique, etc.
Le laboratoire des intuitions a pour double objet : l’analyse des pratiques de dessins et de représentation dans tous les champs du savoir et la tentative dans le même temps d’élaborer avec les artistes de nouvelles pratiques dynamiques de mise en oeuvre du projet, en considérant que ceux-ci ont des intentions d’écriture propres au développement des formes (la transcription ou l’écriture de l’espace-temps de la performance par exemple, ou autre exemple, le diagramme dans sa phase image de pensée versus le diagramme dans sa figure de démonstration lors d’une conférence).
Ce programme, piloté par le champ de l’art, a pour objet d’interroger la notion d’intuition dans tous les champs des savoirs (y compris les sciences physiques et mathématiques).
Point d’exclamation et flèche sur grille
De l’art à la physique théorique en passant par la philosophie, les sciences sociales ou les mathématiques, ces liens se dessinent en partie à la main. Ce sont en effet les pratiques graphiques qui accompagnent, suscitent, signalent ou modélisent la pensée qui intéressent en priorité le LDI.
Le schéma, le diagramme, le croquis, l’esquisse, le bout de nappe crayonnée ne sont-ils pas le lieu d’un langage commun où la pensée se spatialise et se donne à voir, dans la médiation instantanée d’un trait, dans le geste synthétique qui saisit sans délai, qu’il s’agisse de donner forme visuelle à un système théorique ou de donner à réfléchir un dispositif d’exposition ?
Enjeu pour l’art comme pour la science : quand un artiste se demande dans quelle mesure l’expérience située d’une forme peut avoir un rapport avec ce que nous savons scientifiquement de l’espace et qu’il interroge le physicien à propos de cette apparente incommensurabilité, les deux finissent par dessiner ensemble. Plusieurs expériences conduites ces dernières années par le LDI en viennent à ce constat : remonter ou redescendre au stade de l’intuition dans la pensée ne doit pas nous engager dans une recherche en matière de théorie de la connaissance, de sciences de l’esprit ou de psychologie cognitive. Il s’agit plutôt de repérer un plan pratique commun où la pensée, quelle qu’elle soit, se découvre visuellement comme forme en mouvement, et devient par le regard le moteur d’une nouvelle dynamique de pensée.
Si le LDI décide d’engager à présent une recherche systématique sur les pratiques graphiques de pensée, c’est que celles-ci se révèlent être chaque fois de véritables laboratoires pour l’intuition : c’est là que l’hypothèse ou l’évidence sentie, que la connaissance non encore démontrée ou démontrable se met à l’épreuve, s’élabore et trouve visuellement le langage de sa propre réflexivité et de son échange. C’est aussi le premier test des résultats d’un calcul : la vérité résistera-t-elle à son image, à sa traduction dans le geste graphique ? Que penser à partir de cette situation de la pensée ?
Puis : ce qu’il en est de l’espace. L’héritage de Kandinsky et la problématique de l’art à l’ère post-newtonienne. Projet flèche, diagramme, grille etc…

programmes de recherche

Fabriques de l’art, fabriques de l’histoire

Le point de départ de ce projet de recherche, qui pose d’emblée l’hypothèse de fabriques conjointes de l’art et de l’histoire de l’art, est le constat d’une actualité prégnante de pratiques artistiques qui, diverses dans leurs médiums (peinture, sculpture, photographie, collage, montage, vidéo, performance, installation) mais toutes citant, discutant, articulant des formes, des gestes et des documents artistiques de la modernité et des néo-avant-gardes, semblent traduire de nouveaux rapports à l’histoire de l’art et aux institutions. Cette recherche est l’objet d’une convention de partenariat entre l’Epcc Esba TALM, l’ESAD Grenoble-Valence, l’ESA Cambrai et l’Université Paris 1-Sorbonne.

L’objet de la recherche s’articule autour de quatre axes :
Questionner et situer le plus précisément les enjeux esthétiques des évolutions et des transformations de la figure de l’artiste en historien de l’art depuis les années 1960 jusqu’à aujourd’hui. Ce, avec la collaboration et la participation d’artistes, d’historiens de l’art, de critiques d’art et de curateurs, tous acteurs et chercheurs de et dans ce champ de pratique, d’expérimentation et de recherche.
Se pencher sur les différentes structures collectives créées par les artistes, de l’agence à l’entreprise, et de l’institution à l’organisation. Quels rapports entretiennent ces structures « économiques » et « institutionnelles » à l’économie et à l’institution ? Les nouvelles identités génériques de l’art posent la question du collectivisme – plus comme éthique que comme pratique – mais aussi des nouvelles stratégies d’intervention (ou de communication?) des artistes dans la société réelle, incluant des processus de réinterprétation et de réécriture de l’histoire de l’art moderne et contemporain.
Étudier les processus d’écriture et de réécriture des histoire de la modernité et de l’art contemporain dans des contextes post-coloniaux (Inde, Proche et Moyen-Orient), mis en oeuvre par des artistes, des collectifs d’artistes et de théoriciens et des historiens de l’art.
Expérimenter de nouvelles formes de co-fabriques de l’art et de l’histoire de l’art par la conception de workshops et d’expositions, notamment à travers des collaborations et des co-commissariats d’artistes et d’historiens-critiques d’art. Par exemple : comment concevoir une exposition à propos de l’oeuvre d’un artiste au-delà de la forme monographique comme de l’hommage à un artiste par d’autres artistes, comment produire de l’histoire de l’art par le travail de l’art et de l’exposition, principalement à partir d’oeuvres ?

Responsable scientifique : Tristan Trémeau, docteur en histoire de l’art, critique d’art, professeur à TALM-ToursTours, ARBA-ESA à Bruxelles, Université Paris 1-Sorbonne.

Save contemporary Outdoor Sculptures

Initié en 2017, Save Contemporary Outdoor Sculptures (SCOS) est un programme dirigé par ER[cr]OS l’équipe de recherche sur la conservation-restauration des oeuvres sculptées de l’École supérieure d’art et de design TALM-Tours. Ce programme de recherche en quatre ans (2017-2020) vise à répondre à plusieurs problématiques soulevées par la conservation du patrimoine sculpté contemporain en extérieur. Les sculptures contemporaines conservées en extérieur soulèvent plusieurs questions de conservation spécifiques, absentes ou presque de la conservation du patrimoine extérieur sculpté traditionnel. On constate en effet sur ce type de collections des problèmes de vieillissement des matériaux modernes exposés aux conditions extérieures, des problèmes liés à la conception de l’oeuvre notamment le choix des matériaux par les artistes. L’obsolescence est devenue un enjeu central de la conservation des sculptures contemporaines extérieur. Les gestionnaires de ces collections sont souvent démunis devant ces problématiques nouvelles, ne sachant pas à qui s’adresser pour les résoudre et quel outil utilisé pour la gestion de ces collections. Le projet Save Contemporary Outdoor Sculptures entend étudier ce problème pour y apporter des réponses.
La pérennisation des oeuvres au bénéficie des générations futures rend indispensable la création d’un vocabulaire commun et d’une méthode applicable au grand nombre de cas afin d’améliorer la prise en charge du patrimoine sculpté extérieur. L’objectif final de Save Contemporary Outdoor Sculptures est de sensibiliser les acteurs (commanditaires, artistes, conservateurs, scientifiques, ingénieurs) aux enjeux de la conservation-restauration par la mise en place d’une méthode collaborative et d’apporter des solutions concrètes applicables par les acteurs à toutes les étapes de la chaîne patrimoniale et culturelle de la conservation-restauration : les institutions gestionnaires (services publics des agglomérations, musées, propriétaires privés), les artistes, les conservateurs-restaurateurs, la commande publique notamment avec le dispositif du 1 % artistique2, les services techniques et communaux en charge de leur entretien, les services d’urbanisme, paysages et espaces verts, etc.
La recherche est un enjeu majeur pour la profession et son développement futur. Save Contemporary Outdoor Sculptures, complètement intégré à la pédagogie, est l’opportunité de former les futurs professionnels de la conservation-restauration à la recherche au niveau européen et internationale et de préparer les étudiants aux méthodologies et problématiques de la recherche.

éditions

Édition et publication régulière de catalogues.

activité post- ou périscolaire

Cours publics de pratique amateur à destination des enfants, adolescents et adultes, à l’école et sur le territoire de Tours métropole Val de Loire.

Ateliers hebdomadaires (annuels), stages (vacances), intensifs (trimestriels).

coopération internationale

L’ESAD TALM élargit chaque année son envergure internationale en développant de nombreux partenariats avec des écoles d’art et des institutions étrangères.
L’établissement offre de multiples possibilités de séjours d’études à l’étranger. Les programmes d’échanges s’inscrivent dans le cursus normal de l’étudiant et sont proposés en priorité aux étudiants de quatrième année. Le séjour d’études dans une école étrangère oblige à confronter les premières ébauches d’un projet personnel à d’autres enseignants, d’autres milieux pédagogiques et culturels. Les trois sites de l’école signent des conventions bilatérales Erasmus pour la mobilité de leurs étudiants et de leurs professeurs et ont également des partenariats privilégiés avec des institutions hors Europe.

Établissements partenaires ERASMUS
http://www.esba-talm.fr/relations-internationales/etablissements-partenaires-erasmus-europe/
Établissements partenaires hors Europe :
http://www.esba-talm.fr/relations-internationales/etablissements-partenaires-hors-europe/

équipements spécifiques

Atelier de gravure, laboratoires photo, studio de prises de vues, atelier vidéo, « nUM » atelier de création numérique, four à céramique, équipements spécifiques dans les ateliers de conservation-restauration.

réseaux

ANdEA, Art Accord France, ELIA, Institut français, OFAJ Office franco-allemand pour la jeunesse.

Partenaires

équipe administrative

Marie-Haude Caraës Directrice générale TALM
Léo Guy-Denarcy Directeur TALM-Tours, Directeur adjointe TALM
Isabelle Derouet Responsable pédagogique et chargée des relations internationales
Céline Arnault Chargée de l’administration et des finances
Mathilde Péressse Chargée de communication
Carole Rafiou Bibliothèque
Brice Banzé Responsable de l’équipe technique

professeurs

Julia Becker
Jesus Benito Alvarez
Thomas Carrère
Nikolas Chasser-Skilbeck
Filbert Dubois
Sandra Delacourt
Rolan Dropsy
Marie Gouret
Cécile Hartmann
David Kidman
Carine Klonowski
Julie Morel
Fred Morin
Thierry Mouillé
Diego Movilla
Antoine Parlebas
Gaëlle Pichon-Meunier
Eleonora Pellizzi
Fabien Pilon
Stéphanie Richard
Tristan Trémeau
Patrick Turini
Vincent Voillat
Cyril Zarcone

coordonnées

40, rue du docteur Chaumier
37000 Tours
tél. +33 (0)2 46 67 39 65
contact-tours@talm.fr
www.esad-talm.fr

effectif

180 étudiants

Valence

École Supérieure d’Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Valence

présentation

L’École Supérieure d’Art et Design -Grenoble -Valence est une nouvelle école publique d’enseignement supérieur artistique issue du rapprochement de l’École supérieure d’art de Grenoble et de l’École régionale des beaux-arts de Valence.
L’ÉSAD -Grenoble -Valence organise régulièrement des colloques, conférences et présentations d’oeuvres de toutes natures (expositions, performances, concerts, projections…). Ces manifestations, dont la vocation initiale est pédagogique, sont l’occasion d’inscrire l’école dans le réseau professionnel de l’art contemporain et de l’ouvrir aux publics des villes de Grenoble et Valence et de la région.

1/5
École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Valence
2/5
Conférence de Danny Rolph (5 février 2013, ÉSAD Valence)
3/5
Couverture de la revue .txt, n°1 - École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Valence
4/5
École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Valence
5/5
Lancement de la revue From—To - École Supérieure d'Art et Design •Grenoble •Valence | site ÉSAD •Valence

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design graphique
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design graphique

unités de recherche

Il n’y a pas de savoirs sans transmission : contributions du design graphique

L’Unité de recherche Il n’y a pas de savoirs sans transmission : contributions du design graphique a été créée en 2013, après avoir été sélectionnée pour un soutien quadriennal par le Ministère de la culture, Direction générale de la création artistique. Ces objectifs sont :
– Analyser l’action du design graphique dans la production et la transmission des savoirs à l’ère de la culture numérique.
– Nourrir ces recherches avec les questions posées par les Humanités numériques.
– Élaborer des hypothèses mises en pratique par le design et une pratique du design qui se théorise.
Composée de quatre enseignants de l’ÉSAD Grenoble Valence (dont les trois docteurs), d’un enseignant chercheur de Rennes-2, de deux anciens étudiants de l’ÉSAD maintenant chercheurs, de deux doctorants (Rennes-2, EHESS), cette unité s’attache à plusieurs programmes de recherche :
– Programmation visuelle : hypothèse d’un design graphique opératoire, porté par Dominique CUNIN ;
– Anthologie raisonnée de textes historiques, porté par Annick LANTENOIS et Lucile BATAILLE ;
– Archéologie des éditions numériques, porté par Gilles ROUFFINEAU ;
– Contributions du design graphique au web sémantique, porté par Alexis CHAZARD ;
– Représenter l’histoire, organiser le temps, porté par Annick LANTENOIS ;
L’activité de cette UR se traduit par des journées d’études, des colloques, des expositions, la production de textes, des éditions imprimés ou en ligne, et elle est documentée par un site spécifique, à la fois outil d’information et d’édition : http://enjeuxdudesigngraphique.fr/.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

programmes de recherche

Art, théorie et pédagogie critique : tirer un enseignement de Craig Owens

Le projet traite de l’articulation entre théorie et pratique dans l’enseignement artistique, en questionnant la manière dont le savoir théorique nourrit et s’intègre à la pratique artistique, et réciproquement. Il prend pour point de départ la figure du critique d’art américain Craig Owens, en retraçant l’influence de son enseignement sur plusieurs artistes qui émergèrent au tournant des années 1980 et 1990. Issu en grande partie de la collaboration menée depuis 2014 avec le MAGASIN – Centre national d’art contemporain de Grenoble, ce programme s’inscrit de manière assez fine dans l’ensemble des recherches et pratiques qui fondent de longue date la pratique de l’ÉSAD autour de la question de la transmission.

Réseau Cinéma

L’ÉSAD Grenoble-Valence est l’une des écoles fondatrices du Réseau Cinéma qui est coordonné par l’ESBA TALM-Angers et auquel participent également les écoles d’Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et Toulon.
Le réseau bénéficie de l’aide à l’expérimentation et au développement de programme de recherche du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) pour les années 2016-2017 et 2017-2018, en vue de la constitution progressive d’un programme de recherche.
Le cinéma est enseigné dans de nombreuses écoles d’art mais les enseignants de l’image en mouvement se trouvent souvent isolés. Le réseau cherche à les rapprocher sur la base d’affinités existantes (démarches et interrogations) dans le but de mutualiser les ressources et d’approfondir les interrogations partagées. Quelle est la place prise par le cinéma ces dernières années au sein des écoles d’art ?
Débuté en 2015-2016, le programme de recherche s’est poursuivi en 2016-2017 avec l’organisation du premier workshop commun réunissant des étudiants et enseignants des écoles qui participent au réseau, du 22 au 24 mars 2017, aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Les recherches du programme en cours portent sur les collections d’ethnologie et des musées d’histoire naturelle des villes du réseau, dans la perspective d’associer une démarche cinématographique à un travail d’analyse et d’enquête sur ces objets.

Réseau De la peinture

Le programme de recherche « Réseau de la Peinture » est un espace de production et d’interrogation sur la peinture et un réseau international. Cette notion de réseau international est essentielle car la peinture doit être pensée aujourd’hui dans sa diversité, ses confrontations, ses déplacements et la multiplicité des propositions qu’offre un réseau de recherche international sur des scènes différentes. C’est le sens du partenariat avec des artistes et enseignants dans le réseau français des écoles d’art et à Londres, en Allemagne, aux États-Unis et en Asie.
Parce que des artistes et des critiques d’art ont longtemps partagé des expériences d’expositions, d’édition et de projets dans leur pratiques professionnelles, ils ont souhaité les rapprocher au moment où cette notion de recherche est débattue au sein des écoles.
Le réseau de recherche s’est constitué en 2010 avec l’intuition que la peinture ne peut se penser et s’enseigner que dans la diversité de ses pratiques et de ses artistes, et en conséquence de ses écoles. Les voyages d’études, les rencontres ou encore les visites d’ateliers d’artistes sont pensés dans cette perspective de déplacement et d’ouverture. Il s’agit dans cette recherche d’interroger ce que fait aujourd’hui la peinture à l’ère dite du « post médium », comment elle participe activement aux tissages complexes de la création contemporaine, quelles réponses nettement identifiables elle offre dans une diversité accrue et de moins en moins construite par ce que furent autrefois les courants et les mouvements. Des questions : comment la peinture produit-elle de nouveaux codes à l’époque du post-médium ? Dans quel champ élargi opère-t-elle ? Sur quelles scènes ? Comment la pratique picturale s’approprie et canalise les outils technologiques (logiciels, écrans, impressions…) ?
Membres de l’équipe de recherche :
– Olivier Gourvil, fondateur et membre du Réseau Peinture, ÉSAD Valence
– Edouard Prulhière, responsable du projet, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Jérôme Boutterin, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles
– Dominique Abensour, François Perrodin, ESEAB Rennes
– Christophe Viart, EESAB Rennes, Université de Paris 1
– Eric Corne, Didier Mencoboni, ENSA Bourges
– Stéphane Doré, TALM, site Angers
– Bruno Rousselot, ENSA Dijon
– Hervé Sénant, isdaT — institut supérieur des arts et du design de Toulouse
– Katharina Schmidt, ESADMM Marseille
– Miguel Angel Molina, ESADHaR, Le Havre-Rouen
– Sandrine Moreau, La Terrasse, Espace d’art, Paris-Nanterre
– Mick Finch, CSM, Central Saint Martins College et Paint Club, Londres
– Daniel Sturgis, CCA, Camberwell College of Arts, Londres
– David Ryan, CSA Cambridge Art School, Cambridge
– Benet Spencer, CSA Cambridge School of Art, Cambridge
– Marjorie Welish, Elizabeth Foundation, New York, USA
– Laura Lisbon, Philipp Armstrong, OSU, Colombus, USA
– Antonia Birnbaum, Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie, Université Paris 8
– Winfried Virnich, Kunsthochschule de Mayence, Allemagne
– Isabelle Simonou, Augustin Pineau, ESBAN Nîmes
– Denis Laget, ESADSE, Saint-Étienne
– Nadia Lichtig, Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Mo.Co
Un site web est dédié aux activités du Réseau de la Peinture : http://delapeinture.org/.
Ce site a une double vocation : d’une part, rassembler des informations, matériaux divers, textes et images issus de projets, et d’autre part, construire la recherche, ou les recherches en peinture qui se mènent dans les écoles du réseau. Ce site permet également de faire figurer les propositions des étudiants dans le cadre de workshops (Dijon, Bourges, Rennes), de voyages d’études (Valence, Rennes), d’expositions (Toulouse), etc.

éditions

L’ÉSAD -Grenoble -Valence réalise régulièrement des éditions (livres d’artistes, catalogues, cédéroms…).

revues

revues

L’ÉSAD -Valence organise des workshops avec des artistes, critiques, écrivains, designers invités et des voyages d’études en France et à l’étranger. Elle programme régulièrement des colloques, conférences et présentations d’oeuvres de toutes natures (expositions, performances, concerts, projections,…) et collabore activement avec les structures culturelles de l’agglomération valentinoise et de la région pour l’organisation d’événements. Ces manifestations, dont la vocation initiale est pédagogique, sont l’occasion d’inscrire l’école dans le réseau professionnel de l’art contemporain et de l’ouvrir aux publics de la ville de Valence et de la région.
Par ailleurs, l’ÉSAD -Grenoble -Valence fait partie du réseau des quatre écoles supérieures d’art de la région Rhône-Alpes. À ce titre, elle favorise les projets pédagogiques inter-écoles et l’insertion professionnelle des étudiants diplômés.

activité post- ou périscolaire

Cours pour enfants, adolescents et adultes : initiation aux arts plastiques, dessin, modèle vivant, peinture, volume, sculpture, gravure, infographie, multimédia.

coopération internationale

Dans le cadre de l’organisation des études, le semestre 8 est consacré à une mobilité internationale.
Chaque étudiant est invité à partir à l’étranger se confronter aux exigences du monde en effectuant, soit un séjour d’études, soit un stage dans une structure professionnelle.
L’ÉSAD -Grenoble -Valence participe au programme ERASMUS. De nombreux partenariats avec des établissements d’enseignement supérieur internationaux sont mis en oeuvre. Une aide financière est apportée aux étudiants par différentes bourses : Erasmus, Explo’ra sup de la Région Rhône-Alpes et OFAJ – Office Franco-Allemand pour la Jeunesse.
Quelques établissements parmi les partenaires de l’ÉSAD -Grenoble -Valence : University of the arts, Central St Martin, Londres ; Kingston University – Kingston upon Thames ; LUCA – School of Arts, Gand ; ERG/Ecole de recherche graphique, Bruxelles ; Ecole nationale supérieure des arts visuels de la Cambre, Bruxelles ; Muthesius Kunsthochschule, Kiel ; Stuttgart State Academy of Art and Design ; Weissensee Berlin ; HEAD – Haute École d’Art et de Design, Genève ; National University of Arts, Bucarest ; Facultad de Bellas Artes de Valencia (Université Polytechnique) ; Srishti School of art, Design and Technology, Bangalore ; Concordia University, Montréal ; PUC Campinas, Brésil.

galerie

L’ÉSAD -Valence dispose d’une salle d’exposition et d’un vaste espace modulable pouvant accueillir des expositions ou des manifestations artistiques en lien direct avec la pédagogie mise en oeuvre à l’école.

équipements spécifiques

L’ÉSAD -Valence dispose de tous les ateliers techniques adaptés : elle possède des dispositifs complets tant en ce qui concerne les techniques traditionnelles (dessin, peinture, gravure, lithographie, photographie argentique, sérigraphie, impression offset, plâtre, terre, bois, fer), que les techniques les plus récentes (technologies numériques appliquées à la photographie, à la vidéo, au son, au multimédia, PAO). L’ÉSAD -Valence dispose également d’un amphithéâtre équipé pour des conférences et projections et d’un centre de documentation spécialisé.

réseaux

ANdEA, ADÉRA, ELIA, ART ACCORD FRANCE.

équipe administrative

Amel Nafti Directrice générale
Benoît Poche Secrétaire général
Christine Priotto Relations internationales
Célia Ferrato Chargée de communication
Géraldine Letovanec Bibliothèque
Florence Prévost-Damiani Secrétariat pédagogique
Marie Angulo Secrétariat / accueil

professeurs

Fabrice Beslot
Alexis Chazard
Dominique Cunin
Franck David
Philippe Estienne
Nicolas Flory
Olivier Gourvil
Geoffroy Gross
Tom Henni
Dean Inkster
Mélanie Kenyon
Annick Lantenois
Florence Lazar
Alain Marchand
Jean-Jacques Palix
Yael Perlman
Jérôme Poret
David Poullard
Alex Rich
Gilles Rouffineau
Jean-Marie Sauvage
Samuel Vermeil

coordonnées

Place des Beaux-Arts
CS 40074
26903 | Valence cedex 9
tél. +33 (0)4 75 79 24 00
fax +33 (0)4 75 79 24 40
valence@esad-gv.fr
www.esad-gv.fr

effectif

159 étudiants

Valenciennes

École supérieure d’art et de design de Valenciennes

présentation

Patrimoniale et bicentenaire, l’ésad – école supérieure d’art et de design de Valenciennes, sous tutelle pédagogique du ministère de la Culture, est l’héritière de l’académie, puis de l’académie royale qui devient école des Beaux-Arts, l’une des plus anciennes de France et aussi l’une des plus prestigieuses.

Aujourd’hui installée sur un site industriel – l’ancien siège d’Usinor-Sacilor entièrement réhabilité, l’ésad Valenciennes se déploie sur une superficie de 5 000m2, offrant de nombreux espaces pour son public étudiant : des ateliers techniques, des salles de cours, d’accrochage et de réunion, une bibliothèque, un amphithéâtre, une cafétéria se déployant sur 2 niveaux et une galerie d’exposition.

L’École tire de son double programme – les options Art et Design – une forte singularité fondée sur la transversalité des enseignements artistiques et des enjeux de la création dans un monde en mutation. En art comme en design, l’école engage une pratique située, c’est-à-dire en prise avec un contexte, consciente des échelles et de l’adresse publique, dans une expérimentation permanente.

Les études conduisent au Diplôme National d’Art (DNA – 3 ans, valant grade de Licence) et au Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP – 5 ans, valant grade de Master) qui offre la possibilité de poursuivre en troisième cycle.

Depuis 2020, l’ésad Valenciennes propose un dispositif d’insertion professionnelle, l’Incubateur Création-positions, permettant à de jeunes artistes et designers de transformer un désir, une idée, un projet de recherche, une pratique, en activité professionnelle concrète. Les projets développés au sein de ce post-diplôme sont des projets d’activité professionnelle inscrits dans le domaine de la création, de la recherche et de l’insertion professionnelle où la recherche est comprise comme une recherche par/sur le terrain.

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options

Art
Design (mentions design d’espace / design éco-social)

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design d'espace
DNSEP  option Design mention design éco-social

unités de recherche

Hyper.local

L’ésac de Cambrai, l’ésa-Nord Dunkerque-Tourcoing et l’ésad Valenciennes formalisent les complémentarités de leurs programmes de recherche respectifs dans les champs de l’art, du design, et de la communication au sein d’une Unité de Recherche (UR) dénommée HYPER.LOCAL.

Elle a pour vocation d’interroger, de comprendre et d’expérimenter les pratiques qui impliquent des rapports d’échelle critiques et des créations situées : entre « local » et « global », « micro » et « macro », « moléculaire » et « molaire », « topique » et « cosmique ». Cette orientation générale privilégie plus particulièrement le point de vue « hyper local », non pas pour se replier sur le connu et l’authentique au nom d’une identité fermée, mais pour se replacer là où les enjeux esthétiques, économiques, sociaux et politiques mondiaux se rencontrent pour prendre un sens vécu, partagé et discuté, c’est-à-dire au niveau de la singularité plurielle des lieux.

Deux axes seront particulièrement développés dans le cadre de cette Unité de Recherche.
Le premier axe, intitulé « Images, codes, récits », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’écriture de l’espace issues des sciences et technologies contemporaines. Cet axe interroge plus précisément les transformations de la perception, de l’imagination et de la narration qui s’opèrent selon les nouvelles articulations entre le corps, la machine et l’espace produites par les technologies numériques.
Le deuxième axe intitulé « Art, design et société », propose de développer une recherche sur les nouvelles formes d’interrogation de l’espace public par l’art et le design. Cet axe investit plus précisément les modes alternatifs de conception, de production et d’échange que l’art et le design créent pour répondre aux problématiques sociétales contemporaines (écologiques, économiques, sociales).

programmes de recherche

ART / Art en Situation

Atelier de Recherche et de Création « Prendre Position »

Bliz-aard sale est le titre de la performance de 1983, épisode des boules de neige que l’artiste David Hammons vend dans les rues de New-York. The forgotten space est un film de l’artiste Alan Sekula qui avec Noël Burch prolongent en 2011 un travail d’investigation à long terme dans les coulisses de la globalisation. C’est à partir de ces deux oeuvres distantes de 30 ans que pourrait s’appréhender l’ARC intitulé « Prendre position ». Les enjeux de cet atelier sont d’accompagner l’étudiant lors de la réalisation de projets en prise avec l’art contemporain, les enjeux sociétaux liés à la globalisation, les contextes politiques, les relations humaines. L’exploration des différents possibles artistiques pour prendre position s’appuiera sur les marges de l’exposition à savoir la performance, l’écrit, le film, l’image dans tous ses états.

ART / Dispositifs technoesthétiques

Programme de recherche « ESPACE(S) 360°/VR : Narrations et dispositifs scénographiques dédiés »

Initiée en 2012, la recherche-création sur le 360° se poursuit aujourd’hui à travers plusieurs projets qui interrogent les formes d’analyse et de représentation de l’espace et de fiction du temps par l’intermédiaire de dispositifs innovants et expérimentaux (caméra 360°, dispositif immersifs, VR, et plus récemment réalitée augmentée). Depuis 2016, les aspects relatifs aux nouvelles formes de narration et de transmédialité sont particulièrement développés dans l’interaction entre vidéo 360° et réalité virtuelle (VR) en relation avec la scénographie.

DESIGN / Design Numérique et Objet Non-Standard

Atelier de Recherche et de Création « Replicator X »

Explorant les rapports entre l’homme et la machine, l’ARC « Replicator X » oriente une réflexion autour de la notion d’« archéologie d’un monde numérique ». Il s’agit d’émettre et de projeter des propositions plastiques qui pourraient être des points de convergence entre la technologie numérique actuelle et les techniques de fabrication rudimentaires ou primitives. Cette approche « archéologique » a pour objectif d’amener les étudiant·e·s à se questionner sur l’évolution des techniques et de leur importance dans leur manière de concevoir des projets ou formes. Les étudiant·e·s sont invité·e·s à réaliser des projets qui témoigneront des multiples variations dans lesquelles matières « organiques » et datas numériques s’hybrident, s’assemblent, évoluent et éventuellement se pervertissent pour ouvrir des champs de vision inattendus, improbables, voire non conformes.

DESIGN / Design Social et Territoires Soutenables

Atelier de Recherche et de Création « Habiter 2030 »

Les pratiques de design dans le domaine de l’innovation écologique et sociale sont inventoriées, analysées et expérimentées. L’idée d’un « design écosocial » correspond en ce sens à la relation singulière et concrète aux différentes composantes de la problématique qu’exige une pratique « soutenable » aux différentes échelles d’un territoire. Il s’agit plus précisément d’interroger les méthodes de conception, de production et d’échange qui répondent aux enjeux sociétaux contemporains en liant l’écologique et le social, c’est-à-dire en mettant en évidence leur interdépendance comme contexte du projet mais surtout comme finalité de la démarche adoptée. Les domaines d’action concernés traversent toutes les composantes écologiques et sociales d’une situation de vie humaine : le territoire, l’espace public, le logement, le mobilier, la santé, le travail, l’éducation, l’échange, les loisirs, etc. Ces domaines se croisent sur des problématiques relatives à la biodiversité, aux écomatériaux, à la vie d’un quartier, aux savoir-faire artisanaux locaux, aux savoirs vernaculaires, aux symboles micro-culturels, aux jeux et aux rites, etc. La question de la responsabilité « écosociale », c’est-à-dire de la prise de conscience de l’effet social des choix écologiques et l’effet écologique des choix sociaux (socio-politiques et socio-économiques) est à cet égard un champ de recherche décisif.

éditions

Design des territoires : l’enseignement de la biorégion, septembre 2020 L’ésad Valenciennes poursuit ses recherches pour un design résolument engagé dans les luttes sociales et écologiques à travers un nouvel ouvrage collectif réunissant designers, architectes, écologistes, géographes et philosophes autour de pratiques alternatives d’enseignement et de création envisagées depuis, avec et par les territoires. Broché – 144 pages – ISBN : 979-10-93250-38-0 

Design écosocial – Convivialités, pratiques situées, nouveaux communs, février 2018 Depuis 2012, l’ésad Valenciennes s’emploie à définir les conditions et les moyens du développement du design social par la recherche et la pédagogie. Cet ouvrage (Ludovic Duhem & Kenneth Rabin, dir.) résulte d’un travail au long cours qui a fait se succéder différents programmes de recherche « Design social, les nouvelles formes de convivialité » (2013-2015), « Design situé, territoires soutenables » (2015-2017) ainsi que des journées d’étude « Design social et économie solidaire » (2015) et « No transition : le design en situation de crise » (2016), soutenus et financés par le ministère de la Culture.

Avec Nawal Bakouri & Étienne Delprat, Jean-Hughes Barthélémy, Augustin Berque, Marceline Bonneau & Francois Jégou, Patrick Bourgne & Xavier Fourt, Marcelle Bruce, Sylvain Celle, Cristian Compagnaro, Franck Cormerais, Ludovic Duhem, Édith Hallauer, Paul Landauer, Mathieu Le Dû, Malte Martin, Aurélie Michel, Kenneth Rabin, Les Saprophytes, Juliette Six. Broché – 348 pages – ISBN : 978 2917053 31 7 – 24 euros

L’Appartement : Une métaphore du Monde, mars 2011
Cette publication restitue le projet de recherche et d’expérimentation mené par l’ésad Valenciennes autour de l’habitat urbain contemporain, interrogeant les nouveaux modes collectifs d’habiter et le rôle du designer dans la production des biens de consommation.

Sur le Pouce, novembre 2014
Brochure publié en restitution du projet d’étude sur la baraque à frites comme espace de convivialité inter régional, avec la participation des étudiants de l’école d’architecture et d’urbanisme de UMons (Belgique), de l’Ecole de Cambrai (ESAC) et de l’ésad Valenciennes.

éditions

Portes ouvertes 2022
5 février

Conférences, workshops, journées d’étude, expositions
Tout au long de l’année, des conférences programmées dans l’amphithéâtre contribuent à l’ouverture de l’école sur les enjeux artistiques et intellectuels contemporains. Elles complètent l’offre théorique ou la connaissance de l’expérience artistique, font partie du cursus et sont obligatoires.
Les workshops sont des temps intensifs faisant recours à des praticiens extérieurs. Ils ont une finalité productive.
Les journées d’étude relèvent de la recherche théorique et font appel à des chercheurs extérieurs sur des thématiques coïncidant avec les axes de l’École.
Des expositions publiques sont régulièrement organisées dans la galerie dans le cadre de projets pédagogiques menés par l’école.
Des ateliers de pratiques artistiques amateurs seront mis en place à l’automne 2022.

Les voyages d’études
L’école organise des voyages d’études en France et à l’étranger. Leurs durées et leurs objectifs sont variables. Un certain nombre de déplacements est axé sur l’actualité culturelle en écho au programme pédagogique : visites d’expositions, de musées, de foires d’art contemporain, de biennales. Certains voyages sont liés aux ARC et à leurs thématiques. La préparation des voyages facilite l’acquisition et l’analyse in situ ou a posteriori de ce qui est présenté. Les voyages alimentent, outre la connaissance de l’exercice professionnel de l’exposition, la mémoire personnelle référencée.

coopération internationale

L’ésad Valenciennes est titulaire de la Charte Erasmus depuis 2006 et bénéficie d’allocations d’aide à la mobilité (Dispositif Mermoz) pour les étudiants qui souhaitent réaliser un séjour d’études à l’étranger. L’école développe également un réseau de compétences et mets en place des coopérations internationales et notamment de nombreux programmes transfrontaliers avec la Belgique.
Par ailleurs, l’ésad accueille chaque année des étudiants étrangers et entretient un partenariat actif avec le réseau Campus Art.

galerie

Structure faisant partie intégrante de l’école, la galerie a une vocation initialement pédagogique et a pour mission de proposer et de monter des opérations artistiques ouvertes au public. Orientée vers la jeune création, la galerie est à la fois un espace de recherche et de formation mais aussi une structure en relation avec les réseaux de la création contemporaine. Chaque année, des expositions y sont organisées.

Fiche technique : 150 m², accès intérieur par le hall de l’école, accès extérieur par double porte et terrasse sol clair, béton peint, mur linéaire gauche de 15 m, mur droit interrompu par ouvertures fenêtres, éclairage néon, hauteur sous plafond variable, de 2,5 m à 5 m, connexion Wi-Fi (en projet).

équipements spécifiques

Les ateliers
・l’atelier volume
・l’atelier et le studio photographique
・l’atelier informatique et numérique
・l’atelier vidéo et multimédia
・l’atelier gravure
・l’atelier impressions/éditions
・le Plexus lab

La bibliothèque d’étude et de recherche, avec un fonds spécialisé de quelque 9000 titres et 25 périodiques français et étrangers. Suivez son actualité ici

L’amphithéâtre

La galerie

réseaux

L’ésad Valenciennes inscrit la portée de ses actions tant au niveau régional, que national et international. Les réseaux dont elle est membre contribuent à marquer cette spécificité.

50° Nord – réseau transfrontalier d’art contemporain
ANdEA – Association Nationale des Écoles Supérieures d’Art
Association « Habiter 2030 »
Lille Design – Plateforme de développement économique par le design

équipe administrative

Nawal Bakouri, directrice

Clémentine Julle-Danière, administratrice
Florian Bulou Fezard, responsable des études et relations internationales
Delphine Duong, chargée de la communication et des ateliers amateurs
Baptiste Boumard, bibliothécaire
Caroline Lefebvre, comptable et assistante administrative
Cathy Lagodzinski, secrétaire pédagogique

Manasor Amazoz, adjoint technique – régisseur bâtiment
Clément Brugger, adjoint technique atelier photographie
Jean-Baptiste Talma, adjoint technique atelier volume
Yashar Valakjie, adjoint technique atelier informatique et numérique

Fabienne Boulanger, agente d’entretien
Yamina Elkebaili, agente d’entretien

professeurs

Lucile Bataille et Sébastien Biniek – Structure bâtons, éditions
Jean-François Caro, anglais
Claude Cattelain, volume
Ludovic Duhem, philosophie
Stéphane Dwernicki, design – 3D – machines
Axelle Grégoire, design et dessin d’espace
Nicolas Guiet, couleur/espace
Elizabeth Hale, histoire et théories du design
Christophe Leclercq, histoire et théories de l’art
Christl Lidl, vidéo – vidéo 360° – VR
Martial Marquet, design – matériaux – maquettes
Delphine Mazur, gravure – dessin
Alexandre Perigot, image photographique
Julien Rodriguez, design d’espace et dessin
Nicolas Verschaeve, design – ressources et matériaux

coordonnées

132 avenue du faubourg de Cambrai
59300 Valenciennes
(T) +33 (0)3 27 24 80 12 – contact@esad-valenciennes.fr
www.esad-valenciennes.fr 

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effectif

120 étudiants