Les 45 écoles supérieures d’art et design publiques du ministère de la Culture

Lyon

École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon

présentation

L’Ensba Lyon est installée sur le site des Subsistances depuis 2007. En prise sur les formes et les enjeux actuels de la création, elle vise à faire émerger des talents singuliers et à produire les conditions d’une professionnalisation de haut niveau dans les champs de l’art, du design et de la création. L’École propose les options majeures qui structurent le champ des enseignements artistiques en France, avec plusieurs cursus en art et design.
Au-delà du deuxième cycle, l’école propose un post-diplôme international d’une année à destination de jeunes artistes et un troisième cycle de trois ans à destination de jeunes chercheurs et artistes-chercheurs, structuré autour de deux unités de recherche : ACTH, consacrée à l’articulation entre Art Contemporain et Temps de l’Histoire, et une unité numérique, dédiée aux enjeux esthétiques contemporains soulevés par les cultures numériques.
L’école développe un programme d’expositions dans le cadre du Réfectoire, galerie de l’Ensba Lyon, et une politique éditoriale orientée du côté de la recherche.

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École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
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Rez-de-chaussée
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DatAData - École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
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Marie-Luce Ruffieux, Proto-Histoire de l'Assistant. Avec Fabrice Mabime. Performance, Post-diplôme 2012-2013 - École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon

options

Art
Design

diplômes

DNA  option Art
DNA  option Design mention design d'espace
DNA  option Design mention design graphique
DNA  option Design mention design textile
DNSEP  option Art
DNSEP  option Design mention design d'espace
DNSEP  option Design mention design graphique

troisièmes cycles

3e cycle de l’Ensba Lyon

Le 3e cycle est structuré en trois Unités de recherche (UR) actuellement en activité :

Le 3e cycle se déroule sur 3 ans avec possibilité d’extension sur 1 ou 2 années, et est validé par l’obtention d’un diplôme recherche de 3e cycle délivré par l’Ensba Lyon. Les formes et les conditions de soutenance du diplôme sont spécifiques à chaque UR et à chaque projet : celle-ci peut prendre la forme d’une exposition, publication, édition, diffusion, événement, et est accompagnée d’un mémoire de recherche.
Chaque UR fonctionne avec un effectif de 5 artistes-chercheurs bénéficiaires d’une allocation annuelle de recherche. Chacun est administrativement inscrit en tant qu’étudiant à l’Ensba Lyon. Il peut être étudiant de 3ème cycle inscrit dans un autre établissement d’enseignement supérieur partenaire. A ceux-ci peuvent s’ajouter des artistes, plasticiens, théoriciens ou professionnels qui participent pour tout ou partie au programme en tant que « chercheurs associés ».
Un séminaire transversal commun aux 3 Unités de Recherche auxquelles est associé le Post-diplôme, constitue une part importante de la structuration de la recherche au sein du 3e cycle.

post-diplôme

Post-diplôme Art

Faisant partie des dispositifs d’accompagnement des artistes portés par l’Ensba Lyon depuis de nombreuses années, le Post-diplôme art consiste en une année de formation de haut niveau pour cinq artistes, de toute nationalité, aux parcours singuliers dans le domaine des arts visuels.

Le Post-diplôme art de l’Ensba Lyon offre à cinq artistes :

– Une bourse de 4800 € attribuée à chaque participant·e.

– Une résidence disponible dans un appartement collectif sur le site des Subsistances.

– L’accès à toutes les ressources de l’Ensba Lyon.

– Un accompagnement sur mesure.

Chaque session dure l’équivalent d’une année universitaire: d’octobre à juillet.

À Lyon, les participant·es bénéficient, pour réaliser leurs projets, de l’ensemble des ressources pédagogiques de l’école : enseignements, intervenant·es, bibliothèque/documentation, pôles techniques : édition, photo, images-mouvement, volume, ainsi que le labo nrv (numérique réalités virtualités).

Des contacts et relations privilégiés avec les différentes structures culturelles du territoire sont apportés.

Depuis sa création en 1999, le Post-diplôme art de l’Ensba Lyon soutient les artistes dans le champ professionnel de l’art contemporain. Vingt-deux promotions se sont succédé au sein de la résidence ; parmi eux, on peut citer Katinka Bock, Julien Creuzet, Latifa Echakhch, Benjamin Seror ou Thomas Teurlai…

D’abord piloté par Jean-Pierre Rehm (délégué général du FID Marseille) et Marie José Burki (artiste), puis par François Piron (commissaire d’exposition au Palais de Tokyo à Paris, critique d’art et éditeur), c’est désormais à Oulimata Gueye, commissaire d’exposition et critique d’art, qu’Estelle Pagès, directrice de l’Ensba Lyon, a souhaité en confier la direction à partir de la rentrée 2021-2022.

Statut
Le Post-diplôme de l’Ensba Lyon est un programme indépendant du système universitaire : ce n’est pas une formation diplômante. Une attestation de participation et d’assiduité est délivrée aux participant·es qui bénéficient du statut étudiant·es chercheurs·es. A ce titre, les 5 participant·es doivent s’acquitter de frais de scolarité à hauteur de 450 euros au moment de la confirmation de leur inscription.

Post-diplôme Recherche et Création Artistique

Un post-diplôme Recherche et Création Artistique d’une durée d’un an a été créé conjointement par l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Lyon (Ensba Lyon), le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (CNSMD) et l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT) en 2018.
En 2019-2020 la CinéFabrique (École Nationale Supérieure du Cinéma et Multimédia) rejoint le programme.

Pour qui ?

Ce programme s’adresse à des étudiants de l’Ensba Lyon, du CNSMD, de l’ENSATT et de la CinéFabrique, diplômés de leur établissement ou futurs diplômés (grade Master ou Licence selon le parcours).Prenant acte de la porosité croissante des champs de la création, ce programme est destiné à favoriser le croisement des disciplines artistiques enseignées dans les trois écoles : art et design, musique et danse, théâtre et arts de la scène, cinéma.

classe préparatoire

La classe préparatoire de l’Ensba Lyon

L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon dispense, en complément des cursus d’enseignement supérieur en art et design(s), les enseignements de la classe dite «préparatoire», une formation de base générale pour l’admission aux établissements d’enseignement artistique supérieur. Cette classe est intégrée au réseau national des classes préparatoires publiques au sein de l’association APPEA (Association des responsables des classes préparatoires publiques aux écoles d’art).
Théorique et pratique, l’enseignement comprend environ 35 heures de cours hebdomadaires, dispensés de septembre à mai.
Créée en 2006, la classe préparatoire de l’Ensba Lyon accueille 60 élèves. Ce développement répond à une nécessité de service public et une volonté d’engagement contre les discriminations sociales dans un contexte qui voit se généraliser le passage par la classe préparatoire en amont du concours d’entrée aux écoles supérieures d’art et se multiplier une offre privée à des tarifs ne permettant pas de garantir l’égalité des chances.Les élèves bénéficieront de 1200 m² de surface de travail en plein centre-ville, dans le quartier historique de Saint-Jean à Lyon classé Patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO.
+ d’informations

vae

DNA Art
DNA Design d’espace
DNA Design graphique
DNA Design Textile
DNSEP Art
DNSEP Design – mention espace
DNSEP Design – mention graphique

unités de recherche

ACTH Art contemporain et temps de l’histoire

Depuis janvier 2004, l’Ensba a mis en place un programme de recherche conduit par l’artiste Bernhard Rüdiger qui a pour titre « Art Contemporain et Temps de l’Histoire ».

Origine de la recherche – historique

L’Unité de recherche est née d’une étroite collaboration avec le Centre d’Histoire et Théorie des Arts de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris (CEHTA / EHESS) et le théoricien et historien de l’art Giovanni Careri.
Une première étape de la recherche autour de la question éthique d’une « image juste » du réel a été publiée sous leur direction chez Archibooks à Paris en 2008 : Face au réel : Éthique de la forme dans l’art contemporain. Ce livre rend compte des travaux conduits avec Pietro Montani, André Gunthert, Thomas Schütte, Luciano Fabro, Allan Sekula, Ernst van Alphen et Mieke Bal, en collaboration avec des jeunes chercheurs artistes issus de l’Ensba Lyon et des doctorants de l’EHESS.
L’unité de recherche a organisé en octobre 2008 le colloque Luciano Fabro : l’autonomie de l’artiste – espace nouveau ou dernier retranchement ? et a publié en mars 2010 le livre Luciano Fabro, Habiter l’autonomie / Inhabiting Autonomy, édité par l’Ensba Lyon sous la direction de Bernhard Rüdiger avec les contributions de Bruno Corà, Doris von Drathen, Luciano Fabro, Véronique Goudinoux, Giulio Paolini, Morad Montazami, Émilie Parendeau, Philippe Louis Rousseau, Margit Rowell, Benjamin Seror, Sarah Tritz.

Art contemporain et temps de l’histoire

Le colloque L’histoire mise en forme par le travail de l’art, qui s’est tenu à l’Ensba Lyon en 2009 a défini les axes de réflexion de la nouvelle unité de recherche qui a été constituée autour de la problématique des temporalités de l’histoire, il se propose d’étudier les relations entre certaines productions de l’art actuel et les « régimes d’historicité » qu’il mobilise. En novembre 2011, l’unité de recherche a réalisé une première expérience de mise en forme de ses réflexions avec l’exposition expérimentale Le temps suspendu. Avec des oeuvres des artistes de l’unité, ainsi que « Diorama » de Candice Breitz, « Lunch Break » de Sharon Lockhart, « Wavelength » de Michael Snow et une reproduction de la planche sur le 11 septembre de l’Atlas de Gerhard Richter, et un certain nombre de données, ou de liens, à l’aide de divers documents, visuels et textuels, organisés sous la forme de « tables de matière » ou plutôt de planches d’atlas comme celles qui ont été élaborées par Aby Warburg.Dans le cadre de cette unité de recherche, l’Ensba Lyon a par ailleurs accueilli les séminaires de Georges Didi-Huberman, Alfredo Pirri, Michael Fried, Luc Delahaye, Frédéric Moser et Philippe Schwinger, François Hartog et Ralph Ubl.

L’unité de recherche ACTH a organisé en juin 2011, en collaboration avec l’atelier Les usages publics du passé (EHESS), dirigé par l’historienne Sabina Loriga et la philosophe Isabelle Ullern, le colloque « La question du trauma dans l’interprétation du passé », avec la contribution des Fonds Ricoeur, à la Faculté Libre de Théologie Protestante de Paris.Les séminaires à l’EHESS de 2011 à 2014 ont été consacrés à l’élaboration théorique et au développement du dispositif de Atlas pour développer trois axes de recherche autour de la notion de « temps suspendu ». Une réflexion sur l’histoire et les stratégies artistiques autour du réalisme traumatique, l’opposition organique-machinique et la notion de temps hors de l’histoire, ou temps de l’histoire naturelle. C’est à partir de ces axes de travail que l’unité de recherche a organisé en décembre 2014 un colloque à l’Institut National d’Histoire de l’art à Paris, Le temps suspendu Art contemporain et temps « hors de l’histoire ». Cette rencontre a réuni artistes et théoriciens autour du rapport entre art contemporain et régimes de temporalité historique. Les invités ont contribué à questionner les formes d’art qui, par leurs propres moyens, élaborent la remise en question d’une conception progressive et linéaire du temps historique, aussi bien que du principe de causalité historiciste auquel se sont attachés les grands tournants de l’épistémologie de l’histoire au XXe siècle. Sont intervenus Fabien Giraud et Raphaël Siboni, artistes, Heiner Goebbels, compositeur et metteur en scène, Markus Klammer, Université de Bâle, Michael Snow, artiste, Ralph Ubl, Université de Bâle, directeur de Eikones Bildkritik, Marie Voignier, artiste, professeur et coordinatrice du pôle images-mouvement à l’Ensba Lyon, ainsi que les membres de l’Unité de recherche Luca Acquarelli, Bénédicte Duvernay, Jennifer Lauro Mariani, Thomas Léon, Angela Mengoni, Bernhard Rüdiger.
Le colloque s’est déroulé autour de la présentation d’oeuvres : « Schnittstelle » de Harun Farocki (1995), « La Mesure Minérale » de Fabien Giraud et Raphaël Siboni (2012), « A Journey That Wasn’t » de Pierre Huyghe (2005), « La Région Centrale » de Michael Snow (1971).

La collaboration entre l’Ensba et l’EHESS sous la direction de Bernhard Rüdiger et Giovanni Careri, s’est conclue avec l’édition publiée au mois de novembre 2016 Le temps suspendu, aux Presses Universitaires de Lyon (PUL). Ce livre accueille, organisées selon des tables en forme d’Atlas, outil visuel qui permet de dégager une discussion d’ordre théorique, les contributions de Luca Acquarelli, Yann Annicchiarico, Simon Bergala, Giovanni Careri, Bénédicte Duvernay, Jennifer Lauro-Mariani, Thomas Léon, Angela Mengoni, Morad Montazami, Philippe Louis Rousseau, Bernhard Rüdiger, Eric Louis Santner, Annabela Tournon et Ralph Ubl.
Après 2016 l’unité de recherche a entamé une nouvelle phase de travail fondé sur l’exposition de maquettes et la pratique de conversation. Les expositions Le temps découpé en son lieu qui se sont tenues au Palais de Tokyo à Paris dans le cadre de Vision et au Réfectoire des Nonnes au mois de décembre 2016 ont donné lieu à la publication du livre Découper le temps en son lieu sous forme de conversation orale retranscrite, publié en anglais et français fin 2019.

Post-Performance Future

De la relecture historique de la performance à son re-enactement puis sa dématérialisation
Ce programme de recherche se donne pour objectif de poser les jalons d’une nouvelle pensée, pratique, « inchoactive ». Il s’agit d’envisager ce que la « performativité » et sa critique fabriquent, ses formes et ses tensions. L’objet de la performance ? La performance en tant qu’objet. Qu’en est-il au premier quart du XXIe siècle ? « Le mythe de la co-présence, de l’être ensemble », résiste-t-il à la puissance de l’écran, au confort de la fascination passive ? Quel héritage de cette modernité à l’âge du capteur sensoriel, comment briser le 4e mur lorsque nous constatons que nous sommes l’écran nous-mêmes ? »
La critique n’a fait qu’interpréter la performance, il s’agit de la transformer, et de penser son devenir dans la « performativité » des choses comme l’exprime Jennifer Lacey.
À partir d’un constat sur l’émergence de pratiques issues des expériences du XXe siècle, d’un art du corps, de l’éphémère et de la « co-présence », à partir d’expositions clefs et de discussions avec des artistes tels Dora Garcia, Julien Bismuth, Jean-Pascal Flavien, Paul McCarthy, il s’agit, par le biais de figures et textes fondateurs, de mettre en perspective et prospective cette problématique.
Pour paraphraser Borgès, « Que vaudrait la théorie si elle ne servait aussi à inventer la pratique ? » Pris au sens d’un projet inachevé, celui de la modernité, la post-performance questionne l’âge du « post médium » en ce début de XXIe siècle, entre succession chronologique, postérité ou filiation historique, réemploi (de formes abstraites de leurs contenus) et rupture (comme changement de paradigme ou d’époque).
Apparue à la croisée de la philosophie analytique anglo-saxonne du langage et des champs de l’art et du spectacle, liée à des pratiques de langage, à des actions et à une rupture par rapport à un certain mode de représentation opérée au milieu des années 1950, la notion de performance est polysémique. Il s’agit de questionner ce nom, ce qu’il recouvre, et l’évolution de pratiques liées à son usage. Comment cet art de la performance évolue-t-il et comment évoluera-t-il dans les prochaines années, notamment avec les technologies numériques ? En quoi sommes- nous passés de sa dématérialisation à son « re- enactment » ? Que se joue-t-il ici ? Nous sommes amenés également à aborder les problématiques liées à la trace de la performance, comme l’archivage (oral et vivant), le document, le film, l’objet scénique ou encore la photographie numérique.
Par ailleurs, la question du public comme forme, de l’audience à la fois destinataire et partie prenante (public captif) permettra de questionner une société du spectacle à l’heure du « spectateur émancipé ».

À partir de 8 axes de réflexion, le séminaire de recherche alterne les cours théoriques et les exercices pratiques :
– Body Politic : les nouveaux genres de la performance.
– Objets scéniques : statuts des objets performatifs.
– Le public comme forme : audiomat et soap opéra : nouveaux scripts ?
– Documenter/recréer : le même mais un autre.
– On stage/on line: Hic sed Nunc ? – Anarchives : spéculer sur le reste.
– Cineperformance.
– Espace public, question du commun.

Une équipe de professeurs de l’Ensba Lyon

Marie de Brugerolle
Historienne de l’art, Marie de Brugerolle est commissaire internationale d’expositions et auteure. Depuis 1994, elle travaille au développement de l’histoire de la performance, des années 1960 jusqu’à sa dématérialisation ou absorption dans la société du spectacle au XXIe siècle : « post performance » qu’elle développe dans le cadre du programme de recherche : Post Performance Future qu’elle dirige.
Marie Canet
Docteure en Arts, mention esthétique. Elle est commissaire indépendante et programmatrice. Elle a collaboré notamment avec des institutions telles que le Centre Georges Pompidou, la South London Gallery et la Tate Modern de Londres . Elle est aussi critique et théoricienne du film.

UR numérique Art et Design

L’Unité de Recherche numérique Art et Design Ensba Lyon / ESAD Saint-Étienne accueille des étudiant.es-chercheurs en art et design dont les travaux sont en lien avec la question du numérique.

À l’Ensba Lyon, l’accent est mis sur les recherches en art. Reposant sur la mise en oeuvre de projets issus de ses participants, l’UR accueille des sujets de recherche d’une grande diversité dès l’instant où ils mettent en oeuvre un travail de fond sur une problématique en rapport avec le numérique.
L’UR ne s’interdit aucune hypothèse de travail et invite à aller « ailleurs qu’à l’endroit où » l’actualité numériques semble diriger les problématiques.
L’aspect technique, souvent important en numérique, n’est ni écarté, ni objet de focalisation. Prenant en compte des considérations formelles mais aussi symboliques et culturelles propres à la société numérique, les productions issues de l’UR numérique sont dans un rapport réflexif à la machine considérée comme outils, médium, support d’étude, etc. Un séminaire, programmé bimensuellement, et des rencontres hebdomadaires constituent le calendrier régulier de l’UR numérique. Les étudiant.es-chercheurs ont la possibilité de travailler quotidiennement au labo NRV. Des événements – expositions, conférences, workshops, formations techniques, voyages, etc. – sont organisés au long de l’année.

programmes de recherche

éditions

Éditions Ensba Lyon
Éditions Multiples

revues

revues

Cycle de conférences tous les mercredis.
Colloques et Journées d’études Recherche
Expositions au Réfectoire.
Expositions hors les murs : Jeune création internationale, en collaboration avec le Musée d’art contemporain de Lyon et l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne-Rhône-Alpes, dans le cadre de la Biennale de Lyon

activité post- ou périscolaire

coopération internationale

Avec près d’une cinquantaine d’établissements universitaires partenaires, l’Ensba Lyon a multiplié les partenariats institutionnels confortant l’établissement dans sa reconnaissance et son rayonnement internationaux, permettant ainsi à l’étudiant de parfaire sa formation dans le cadre d’un séjour d’étude semestriel ou annuel à l’étranger ou dans le cadre d’un stage prolongé auprès d’un des nombreux artistes et professionnels participant du réseau artistique de l’Ensba Lyon.
L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon encourage, dans le cadre de son cursus, les mobilités études et stages à l’étranger. Pour ce faire, elle s’inscrit dans différents programmes tant de la Communauté Européenne (Programme Erasmus+), de la Région Auvergne Rhône-Alpes que de différents organismes tels que l’Office Franco-Allemand pour la jeunesse (OFAJ) ou encore le programme d’échanges étudiants BCI (PÉÉ).

galerie

L’Ensba Lyon possède plusieurs espaces d’expositions :

Le Réfectoire des nonnes est la galerie d’exposition principale.
Lieu d’exposition, d’expérimentation, d’apprentissage et de transmission, le Réfectoire affirme sa situation particulière au sein d’une école d’art, en abordant, tant dans son fonctionnement que dans ses événements, certains aspects des modalités de travail et des enjeux à l’oeuvre dans une école d’art. Le Réfectoire est un lieu d’exercice à la fois artistique et curatorial.

L’espace rencontre s’adresse avant tout au public de l’école. Les étudiants (2e cycle Art) investissent régulièrement l’espace mural de grande dimension appelé « le Mur ».

La galerie d’essai est destinée à l’exposition de travaux d’étudiants.

équipements spécifiques

Éditions, numérique (labo NRV, équipement informatique et réseau, ateliers son, image vidéo…), photographie (laboratoire noir et blanc et couleur, argentique et numérique, plateaux de prise de vue, impression image…), volume (decoupe laser, sculpture, bois, métal, fonderie, résine…), Common’s Lab.

réseaux

ANdEA, ADÉRA, ACRA, APPÉA, Adèle-association des lieux de diffusion de l’art contemporain sur Lyon et sa région.

équipe administrative

Estelle Pagès Directrice
Nathalie Pierron Directrice adjointe – études et recherche
Fatiha Bellakhdar Directrice adjointe – ressources
Sophie Bellé Responsable Communication et relations extérieures
Valérie Grondon Responsable Etudes et scolarité
Anabelle Pijot Relations internationales
Corinne Vallin Bibliothèque

professeurs

ANDRADE TUDELA Armando – BALLANDRAS Fabienne – BARTO Eva  – BASTARD Pauline –  BÉGUÉRY Fanny  – BERRY Paul  – BIZZARRI Thomas – BOUTOUX Thomas – BYRNE Derek  – CARRETERO Julien  – CAUBET Jennifer – CHARROIN Amélie  – CHEVALIER Emmanuel  –  CÔME Tony – COURANT Jean-Marie  – DE BRUGEROLLE – DEAU Françoise  – DES MOUTIS David  – DICQUEMARE Sonja – DURAND Philippe – FERRAT Emilie – FOUCHE Florian – FRESPECH Nicolas  – FROMENTY Carole  – GARNIER Alaric – GAYRAUD Agnès – GRAND Gilles  – GUEYE Oulimata – JANOT Guillaume  –  KIEFFER Julie – KOSIAK Géraldine  – LARTIGAUD David-Olivier  – LEBRUN Olivier  – LERTXUNDI  DE PRADO Laida – LUCAS Laurent  –  MESSIEN Malou – MURPHY Kirsten – NOTTELLET Olivier  – OBERTHALER Nick – OLLAGNON Gaspard – PAGEARD Camille  – PAULHAN Camille – PLANO Marianne – POULAIN Pascal  – PRADER Olga – RICHERT Camille – ROMAGNY Vincent  – ROMARIE Nicolas – RÜDIGER Bernhard  – STRATMANN Veit  –  VAN DE STEEG Niek – WELINSKI Patricia  – ZABAT Olivier

coordonnées

8bis quai Saint-Vincent
69001 Lyon
tél. +33 (0)4 72 00 11 71
infos@ensba-lyon.fr
http://www.ensba-lyon.fr

effectif

350 étudiants